« (...) les idées minoritaires doivent pouvoir être entendues et débattues dans un esprit d’inclusion, de respect et de dignité afin que les idées majoritaires ne se transforment pas en une vérité que personne n’oserait contester. »
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« Les solutions sur lesquelles on peut généralement compter pour contrer l’extrémisme, comme le fait qu’un extrémiste va se modérer en vieillissant ou une fois qu’il aura décroché un bon emploi, ne sont pas applicables pour arrêter ces nouveaux radicaux. Et cibler les organisations d’extrême droite ne donnera pas non plus le succès escompté – les nouveaux radicaux n’en font pas partie. »
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« Près d’un jeune de 12 à 25 ans sur deux (48%) affirme avoir des symptômes compatibles avec un trouble d’anxiété généralisée ou une dépression majeure révèle une récente enquête sur la santé psychologique des jeunes menée à l’Université de Sherbrooke. »
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« On sait désormais où peuvent mener les « faits alternatifs » qui créent les mythes complotistes : au lynchage. »
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“Il faut traiter la radicalisation pour ce qu’elle est : une crise de santé mentale.”
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En 2017, une proportion élevée de demandeurs d'asile au Canada était des enfants âgés de 0 à 14 ans, soit plus de 26 % du total.
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«Si je compare avec le début des années 2000, clairement, il y a moins de tabou à demander de l'aide. Mais les médecins ne viennent pas nous voir assez tôt, analyse la Dre Magnan. Le PAMQ est associé à "quasiment sur le bord du pont". Il faudrait qu'ils viennent chercher de l'aide plus tôt.»
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« Les combattants ciblent souvent les civils plutôt que d'autres rebelles, attaquant des établissements de santé, des écoles, des mosquées, des églises et des camps pour personnes déplacées, indique le rapport de l'UNICEF. Au moins la moitié des 640 000 personnes déplacées sont des enfants. »
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« Ils ont fui pour leur vie. Ils n'ont pas choisi de venir ici et ils doivent faire le deuil de tout ce qu'ils ont laissé derrière : leur maison, leur emploi, leur communauté, leurs habitudes, leur culture, etc. La thérapie vise à les aider à faire cette transition aussi », expose Mme Harvey.
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Au sujet de l’affaire Sicotte.
Je l'ai vécu, j'y ai gouté. Gilbert Sicotte était ma bête noire. Avec Patricia Nolin, ils étaient les "Bon cop; Bad cop" du cours de jeu. De mon souvenir, puisque presque 25 ans se sont écoulées depuis, les cris et les injures à mon endroit étaient fréquents. J'étais de ceux qui n'avaient pas été choisis par Gilbert: je le savais, tout le monde le savait.
Dans le contexte, on rationalise, on se questionne, on doute. On essaye différentes stratégies pour que ça finisse par passer: on travaille plus fort, plus longtemps; on change de façon de faire, d'approche; on se morfond à essayer de comprendre ce qu'on nous dit sans cesse et à grands cris qu'on ne saisi pas.
Dans mon cas, je me suis cassé. J'ai pris la porte du conservatoire un certain mois d'avril, un mois avant la fin de la session. Sans diplôme et la couenne écorchée, j'avais perdu la flamme, mon plaisir dans le jeu. Et ce fût une bonne chose pour moi...
Cette expérience a enligné ma vie vers la défense de gens vulnérables, vers une approche positive, constructive et créative des relations. Je crois fondamentalement à "Donner et recevoir" plutôt qu'à "Prendre et se faire prendre"; à Inspirer plutôt que de Pousser.
Les abus de Gilbert Sicotte ont cristalisés ces valeurs en moi. En bout de ligne, des centaines et des centaines de personnes aidées plus tard, je me dis que le bilan est positif: j'ai sauvé plus de gens dans le Monde que Gilbert en a "cassé" sur sa petite île de pouvoir...
Merci Gilbert.
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La ligne est parfois mince quand il est question de harcèlement psychologique
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Prendre et se faire prendre...
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Les ressources que la planète est en mesure de produire cette année pour permettre aux gens de boire, de manger ou de se déplacer sont épuisées en date du mercredi 2 août
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On y parle de Trump, bien entendu, mais surtout du phénomène de cyber-intimidation. Toujours d’actualité.
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Détresse chez les agriculteurs: l'UPA forme un réseau de «sentinelles»
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10 stratégies ou attitudes ont été identifiées comme favorisant le bonheur par l'organisme sans but lucratif britannique Action for Happiness (Action pour le bonheur) "sur la base d'un examen approfondi des dernières recherches en psychologie portant sur ce qui affecte le bien-être mental".
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Une autre initiative d’économie sociale. Bravo! <blockquote> Première étape : un frigo fait son apparition au marché Jean-Talon. À la fin de leurs journées de travail, les marchands vont y déposer leurs fruits et légumes qui ne retourneront pas sur leurs étalages le lendemain. Les gens du Centre de ressources et d'action communautaire de La Petite-Patrie vident le frigo, apportent les denrées dans une chambre froide située dans leurs locaux. Le lendemain, ils distribuent les denrées à des familles à faibles revenus du quartier.
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