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J’aimerai faire une partie du stage long à l’orphelinat Atlas Kinder au Maroc. Il me tient à cœur de faire cette mobilité, je veux comprendre ce que ma formation de moniteur éducateur peut apporter à l’étranger et de qu’elle façon l’étranger peut m’enrichir en tant que professionnel. Ce qui s’appelle éducateur en France se nomme Maman au Maroc, je veux comprendre comment nos cultures influe dans nos professions d’éducateur et de Maman. L’objectif serait de prendre du recul vis à vis de ma propre culture et du sens de la moral qui m’a été transmis et que j’ai pu assimiler.

J’ai pu observer durant mon stage court au CDEF que la culture africaine n’étais pas suffisamment abordé, chacun y portait son interprétation

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I drew love around you cause i didn’t see in it . But i needed it so much.

no one will ever make me confuse love with violence again, no one but me.

Forget that I am sad, you only know how to complain about being guilty.

Adults don't like each other that much, I don't want to be among them.

Adults move forward, I have thoughts in my eyes, I turn around the wind.

Adults don't like each other that much, I don't want to be among them.

I feel so weird

Don't touch my skin it will hurt, it's so cold.

My heart has not grown well, it beats so fast when it hopes.

All their words fall to the side I only have splinters on my skin and

Nothing warms me.

I need to be a little alone when I feel too lonely

I don't have to hope in dead things anymore, so that my heart can fall asleep.

I think it wasn't that bad

It's not that bad

there are too many shining stars for none to be mine

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Suspension

On se nourrit avec la douleur de l’autre pour mieux dessiner la notre. Je passe de couleur vive à couleur noir. Laisse moi partir, j’entends encore tout ces insectes courir sur les murs. J’éntends ceux que j’aime crier et je ressens toujours leur peurs. J’efface toujours les premiers lignes écrites, c’est au bout de quelques points que ça s’apaise mes blessures, c’est au bout de quelques lettres que je commence à répondre. Pour jouer avec ma tête, pour jouer avec le talent, faut taper dans le cœur, faut que ça fasse mal au ventre. Mais j’aime tellement sentir la faim, terminer en suspension... j’ai fini par me dédier au silence, je continue à écrire comme des pansements les uns sur les autres, toujours persuadé d’avoir quelque chose à penser. Trop de maux en tête. Je piétine les belles choses, je les remues dans tout les sens sans comprendre qu’il faut les aimer comme telles. Moi je veux faire des montagnes avec des grains de sable. Le temps tourne et j’observe les ravins, du haut des montagnes dans mon cœur. La nausée me fais voir à l’envers. Ou était le bon et le juste ? J’ai cru qu’il fallait l’aimer moi. J’ai cru qu’il fallait simplement. J’aurais du regarder le plafond se changer en ciel bleu quand je trainais les pieds dans la boue... suspension.

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Je me laisse pas aller à écrire sur toi. Parceque j’ai honte de penser à toi. Je te romance trop, je fais de nos moments des secrets. Quand tu me tient, tout le monde me lache, tu prend trop de place. Ça se voit dans mes yeux, ça fais des tâches sur ma peau.. ça encre mes mots, ça coule autour de moi. Le monde me fuit et moi je t’embrasse, comme la seule à pouvoir t’aimer. Es ce quelqu’un nous entend parler ? Es ce que les autres ressente tes caresses ? Tu n’est pas seul, jamais. Nous, C’est secret, car si je lève ton voile ils me diront comme tu es mal. Je pardonne ta haine et je te rempli à mes dépend. Je croie que le monde m’a quitté, je ne voie que toi à mes côtés. Silence, nous c’est secret. Ta main dans la mienne, je voulais te donner le sourire mais t’es inlassablement triste. Je t’ai jamais vu sourire alors que je t’ai donner tout les miens.

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Je sais pas encore

Je sais pas encore si c'est le bon moment, à mon avis non.. Mais je me sentais attiré par mon mur, y faire danser mes doigts.

Tout ces cauchemard qui étais là pour me prevenir qu'il fallait que je te choisisse et je l'ai ai pas écouter. Tu sais parfois j'aimerai revenir près du tron d'arbre on étais si soulagé, heureuse l'une et l'autre. Puis il s'est mi à pleurer et c'étais retour à la case départ je voulais pas lui faire de peine, ma naiveté est revenu au galop. Putain que je suis naïve.. J ai jamais été doué pour faire des choix tout les psy me l'ont toujours dis. J'écris pas ce texte pour que t'oublie, je l'écris parceque je me suis jamais expliqué á moi même ce qui m'étais arrivé et j'avais envie de le partager avec toi.

Ça a commencer le jour où il a dis "qui me fais des papouilles" et s'est allongé sur moi direct. J'ai senti mon cœur loupé un battement de peur... J'ai eu peur tout à été très vite et j'ai pas osé dire non. Mais je savais très bien que c'étais mal pourtant mais je savais pas quoi faire. Tu sais quand ton cerveau t'envoies des tonnes de signaux mais que toi tu reste stoïque.

Puis j'ai fais de la dépendance affective..

Mais passons tout ça, j'ai fais la pire des connerie mais tu sais quoi. J'ai compris que je pouvais pas l'effacer juste vivre avec. Je t'en demande pas autant évidemment...

Juste de croire á mes je t'aime. Je me privé d'une autre relation c'est seulement que j'y arrive pas. Je me fais une raison au moin j'aurai connu le grand Amour et je tenais à te remercier pour ça.

Quoi qu'il arrive tu fera partie de mon cœur.

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Je te voies encore allongé sur ton lit, un mal de tête et une envie de crevé, comme chaque soir ou matin vers 4 ou 5 heures. Je te voies encore là somnolant, me bafouillant tes mots incomprehensible mise a part des "je t'aime" qui ressortent a chaque fois le reste est en suspens, tel un navire sans port, c'est de grandes promesses qui n'atteignent pas les bords.

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J'ai jamais aimé que ce soit simple, je l'ai jamais voulu, jamais demandé, parce que j'aime peut etre ça, etre comme un enfant fixant tes levres sans rien comprendre, j'aime te voir ébêté j'aime me sentir gênè, quand les choses se control pas quand les mots deviennent un tas de rien. J'aime en silence voir ton corps se crisper, tes joues rougir, tes yeux pleurer.. J'aime me dire que j'ai la vie entière pour apprendre à t'aimer. J'aime les regards, j'aime les histoires, j'aime rendre un moment éternel pendant que nous reste si réel, je te sens je te ressens et personne me laisse le temps. On m'a tendu la toile sans m'avoir appris à peindre alors sans feindre j'ai aimé, ne pas savoir vraiment ce que je faisais, quand j'ai laissé glisser mes doigts sur ta peau quand j'ai pri ta main jusqu'a ma bouche, quand j'embrassais ton corp empressé... chaque mot chaque sentiment reste emmêlé à d'autres et me rappelle toujours qu'on en comprend qu'un quart.. j'aurai beau me battre, me faire souffrir ça s'appellera toujours de l'amour et je te promet alors, que rien ne peux temperé l'amour

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La lumiere rose du neon tapait sur ses levres, tandis qu'il fixait sur ses bras denudé; ses muscles fremissant. Il s'aprocha comme un predateur à sa proie, toujours deboussolé et dans ses pensées alcoolisé, il lui proposa un verre et un autre, avant de l'emener dehors, à l'ecart des buées suffocante. une main glissa dans son dos le faisant perdre toute probité ... puis lorsque la lune tomba, les papillons noirs s'eteignèrent, comme une lueur dans les abysses, au dela du cercle polaire la terre fut prise d'un artifice; pour laisser aux creux des jours une place a son amour.

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Elles dansent... elles dansent au gré des jours, elles dansent au bas des arbres, un reflet sur un fond brun, des petales à l'arrache et des vides entres les branches. Elles dansent dans les rues, comme un velour sur les goudrons, bousculées au rhum, sur la melodie d'un bars. Et elles dansent encore, quand les mouettes se disent "je t'aime", elles dansent au sol, la trace de leur envole. Elles dansent, elle dansent et quand la nuit tombe, que plus rien n'eclaire, elle dansent en toi, promenent ton sommeil et noient ton sourire dans un bain de roses. Parcequ'elles sont les ombres et si les ombres sont belles c'est lorsqu'elles sont au soleil.

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Ils parviennent à s'evader avec du blues et des bières. Ils s'echangent des mots au soir, qu'ils oublient au matin. Ils aiment se faire du mal en se disant des "je t'aime" mêlé a des " tu m'aime ?" Des bouts de phrases que personne n'entend parceque c'est dis lorsqu'un train part et que les mots meurt lorsqu'on les voyage.

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J'aime ecouté de nouveaux morceaux, le genre de trucs que j'aime pas d'habitude. j'aime faire comme si je n'avais pas froid et regarder les étoiles après minuit, pour veiller plus longtemps que les autres, les autres veillant plus longtemps que moi... J'aime aller mangé chez toi et faire comme si j'etais à l'aise alors que je connais meme pas le nom des aliments dans mon assiette. J'aime t'inviter à danser, te faire bonne impression... J'aime faire comme si je connaissais les paroles et chantais avec toi, j'aime me dire qu'inspiré profondément calmera ma colère, je me fais rire puis je sens bête puis je m'endors. je m'allonge par terre, pres du lit, juste pour voir, et je pense à toi. Pendant tout ce temps... je pense à toi.

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Viens avec moi, on dormira sous un ciel d'Islande, on ira nager dans les cénotes du Yucatan et secher autour d'un feu. On s'aimera, aussi, un peu. Je voudrai marcher sur les pont de Lyon en te tenant la main, je voudrai descendre les cascades du Midi en criant ton nom, m'allonger avec toi dans une remorque, au mileu d'un champs, à attendre que la nuit tombe... et repartir le matin, comme si on avait toujours su... comme si s'était évident.

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Parfois il vas si mal c'est comme si il allait mourir là, juste à coté de moi, assis sur le sol, on dirait qu'il peut plus se relever, les larmes coulent sur son visage mais je pense qu'il les sent même pas, il bouge plus, il me repond plus... je croie qu'il est partagé entre souffrir et s'en battre les couilles, parceque souvent il finit par se relever. Il me dis qu'il a besoin d'un tour en 4×4 à travers l'Ohio, du reggea à la radio. Parfois il me dis qu'il va monter une association, faire de l'humanitaire... aller tager des églises, volé les riches, liberé les animaux des fermes... je lui rappelle qu'il a pas le permis, pas l'argent, que c'est dangereux, irrespectueux... mais en général ça le pertube pas plus que ça, il s'en fou je croie.

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j'ai peur d'aimer ces gens, ceux qui courent dans les métros, ceux qui dépensent des fortunes dans les restos. Ceux qu'on connait de vue, à qui on sourit bêtement sans se souvenir de leur prenoms. J'ai peur d'aimer les gens et leurs pays. J'ai peurs d'aimer les riches comme les pauvres, d'aimer les noirs et puis les blancs. J'ai peur d'aimer; les salauds et leur victimes, les putes et les nones. J'ai peur d'aimer les filles et les garçon, les solitaires et les fêtards, les égoistes, les égocentriques mais aussi les généreux, les spirituelles, les artistes et les manuels. J'ai peur d'aimer la vie toute entière parceque la vie me dis toujours qu'il faut faire un choix et si on le fais pas on fera jamais parti de rien. On sera ces gens qui de dehors parcours le monde différemment. un différent qui nous isole. je deviens quelqu'un que je n'aime pas, quelqu'un qui se perd dans son amour.

[heumjs]

Elle a un peu de mal a se voir grandir, un peu de mal a lacher ses repères. ça lui fais du mal de voir les gens partir et d'en voir d'autre souffrir. Elle est encore un peu faible, pas prête pour ce que la vie lui reserve. Elle pleure pour un sans abris, pour des gosses qu'on a jamais entendu rire.. Elle a un peu de mal a quitter ses amis parcequ'elle les aime surement de trop. Elle a peur de se retrouver seul, peur que les gens lui mentent quand ils lui disent je t'aime. Elle avait 15 ans à peine et pensait de pas vivre 1 an de plus. Elle aurait aimé mourrir en regardant au travers les fenêtres du bus.

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c'est quoi ces mots qu'ils se disent ? Quand je suis loin d'eux, les gens discutent. Leurs lèvres se caressent, elles s'étendent jusqu'à crisper leur machoires. J'ai peur moi. Quand les gens sourient. J'ai peur que quelque chose craque. Si leur visages se deforment, je suis innocente, innocente des bonnes heures qui font mal à leur coeur. Quand plus rien n'est clair, la nuit c'est doux, mais plus lorsque le bonheur s'en fou, qu'il n'étire plus nos lèvres, la nuit n'est alors qu'un serrement tout autour du corp. Elle serre, elle serre, elle serre encore, encore. Tu pleures ? Tu pleure à cause de la nuit ? C'est le vase à l'envers. Ça brise ? quoi ? bha nous. J'ai touché la nuit. J'ai touché vos sourires, quand il y a les bonnes heures, la nuit ils sont doux, mais pas autant que mes lèvres blotient dans ton cou, quand le bonheur s'en fou. Pourtant on attend que le jour revienne. Oh matin, le bonheur, pour combien d'heure ? Autant qu'il n'en faut pour tomber dans l'amour. Pour aimer de tout les yeux, les machoires crispées. Puis voila, le bonheur s'en va, s'en fou. Là les bonnes heures sont les bisous dans les coups. C'est encore doux, pour une nuit triste. Pourquoi on s'y plait tant ? C'est ce bonheur qui s'en fou, si vite, d'un coup. J'aime plus tant les bonnes heures. J'aime plus tant attendre le bonheur. Je préfère t'avoir, te savoir là. Ça me rend fou, et ça seul, quand le bonheur s'en fou.

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TOI TU AS CHOISI L'AMOUR Tu sais ce qui fait vraiment mal ? C'est pas l'amour hein ! ça c'est des conneries. Si t'es dans cet étât, c'est pas à cause d'une meuf. Mort-de-rire, il manquerait plus que ça ! Un mec qui se suicide pour une vieille meuf. Nan arrête je te croie pas. Ce qui fait mal en verité, c'est ces textes que les gens comme moi ecrivent en se prétendant poètes-artistes tout ce que tu veux... C'est les mots qu'on s'adresse en pensant que ça un sens, qu'avec ça on soignera l'univers hein ! Tant qu'à faire... Ça fait mal parcequ'on est complétement aveugle ! On a la tête qui gonfle et les idées qui fusent. On est des petits martiens dans un monde bien sage. Des petits esprits du futur qu'on pu tout comprendre avant les autres... Oui, bien sûr... Ce qui fait mal c'est de vouloir tout bien faire mais de continuer à mal faire, parcequ'en fait c'est simplement nous et faut s'y faire. Tant de choses qui font mal, mais non... Toi t'as choisi l'Amour.