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Les deux quinquennats du sale môme autocentré auront une conséquence que les Français ne mesurent pas encore, à savoir l’épuisement des institutions qui sont sensées régir l’équilibre politique du pays. La cinquième république ne s’en relèvera pas, qui ressemble aujourd’hui à un poulet sans tête courant à contresens de sa propre histoire. Réformes sans débats parlementaires – ou alors d’apparence seulement, dans le souci du vernis démocratique – conseil d’État aux ordres, cour des comptes sous acides, conseil constitutionnel dévoyé, magistrature marxo-laxiste, police déboussolée, armée en délitement... plus rien ne ressemble à ce qui était, il y a vingt ans encore, un État menacé mais encore fonctionnel.
On pouvait croire alors que les corps constitués aideraient au maintien de l’équilibre, voire contribueraient à une forme de redressement. C’était mal diagnostiquer la profondeur de la plaie ouverte par l’intérêt financier – et gardée béante par un État profond soucieux de sauvegarder ses prébendes au détriment du bien commun. Cette “bourgeoisie d’ancien régime” (appelons-la comme ça pour remettre un cliché au goût du jour), n’a eu de cesse de faciliter les manœuvres économiques et financières entreprises par un sac de stipendiés mal élus, sous-marins de Wall Street, européistes détestés par leurs compatriotes. Ce dévoiement à grande échelle a liquidé l’esprit même de la “res publica”, espérance politique usée jusqu’à la corde, concept helléno-romain devenu gazeux à force d’être manipulé par des universitaires progressistes.
La société française ne repose plus que sur le bruit des médias qui gouvernent l’opinion à coups de sondages à façon, d’infos bidonnées, de guignol publicitaire et de mensonges rabâchés. Plus d’éducation donc plein d’associations, aucune justice mais des marches blanches, zéro cohésion pour des tonnes de subventions… l’hyper-marché France ne désemplit pas !
J.-M. M.
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Séisme chez les collabos après la sublime question de Marion : “Où est la maman ?”
MARION OSE DEMANDER QU’UN ENFANT AIT UNE MAMAN C’est le scandale du jour ! Elle a osé ! Marion Maréchal, tête de liste Reconquête aux Européennes, a osé, dans un tweet de 4 mots, poser la question : où est la maman ? Les faits : deux millionnaires homosexuels, le styliste Simon Jacquemus et son mari se sont vantés d’avoir acheté des jumeaux, Mia et Sun, presque sur catalogue. Continue reading…
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Lettre d’un résistant fusillé : Le Parisien caviarde les références catholiques et à la « France éternelle »
Henri Fertet est né le 27 octobre 1926 à Seloncourt, dans le Doubs, et est baptisé à Verdun le 15 mai 1927 à l’église Saint-Victor. Mort fusillé le dimanche 26 septembre 1943 à Besançon, il fut un résistant français. Membre du Groupe Guy Mocquet, il est arrêté par les Allemands le 2 juillet à 3 heures 30 et fusillé le dimanche 26 septembre 1943 à 7 heures 36 à la Citadelle de Besançon, à l’âge de…
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Along the lake path this morning.
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Les Écuries de l'Occident. Jean Cau.
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Les masses déspiritualisées, dépoétisées sont maudites.
Louis-Ferdinand Céline
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“Ceux que vous accusez de médiocre Q.I. ont tout de même une capacité exceptionnelle, bien supérieure à la vôtre, dans la plupart des cas, pour démêler l’incroyable lacis des diverses aides sociales & tirer profit de chacune, ce dont vous êtes bien incapables, en général, ne serait-ce que par horreur administrative.”
— Renaud Camus.
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Dix petites années seulement pour que la France devienne un pays détesté et les Français des bêtes d’abattoir. Dix petites années qui sont l’aboutissement de décennies de mensonge, de manipulation, de corruption, d’incompétence. Partout où l’intelligence française brillait – recherche, industrie, technologies, médecine... – le voile opaque de l’internationale financière a brutalement obscurci l’horizon et brouillé les perspectives. L’immigration de remplacement est le bras armé de cette stratégie, chargée de ruiner les nations au budget, au moral, aux mœurs. J.-M. M.
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Le mensonge aura eu raison de nous, de nous tous, Occidentaux. C’est le mensonge qui apparait en dernier ressort lorsque l’on a analysé avec soin les raisons plausibles de la chute de ce qui fut une extraordinaire civilisation. La dynamique du gain financier, comme instrument et moteur du pouvoir réel – celui de la contrainte des nations, de leurs institutions et des citoyens – a installé le mensonge économique, politique, social comme outil de la disparition des valeurs premières de l’Occident : l’évidence du réel, la valeur esthétique, la primauté de l’éthique. 
L’argent, le prêt, la finance ont permis, tour à tour puis conjointement, de concrétiser la domination du petit bourgeois et de l’oligarque sur l’aristocrate, seule garant du sacré et de la liberté de chacun, toutes conditions entendues. En provoquant la décollation d’un roi de droit divin, c’et un peuple aveuglé par les Lumières qui a contribué à projeter sur tout un continent l’ombre portée des échafauds. 
Dès lors, la communauté des hommes a cessé d’écouter le prêtre quand ce dernier est descendu de chaire pour se laisser gagner par le vertige séculier. Son désir de contrôle a laissé le champ libre aux forces matérielles que lui-même avait contribué à renforcer. Mensonge et corruption des âmes !
Elle a aussi cessé de soutenir le soldat parce que ce dernier, endormi par le confort des paix de compromis et accablé par ses propres reculades, est devenu – pour la certitude d’une solde – le chien docile d’un pouvoir glacial qui n’avait plus rien de charnel. Mensonge et duplicité !
Elle a enfin cessé de compter sur elle-même en oubliant l’essentiel – le primat de sa survie – pour déléguer sa souveraineté à des falsificateurs, pour se vautrer dans le superflu aussi, troupeau toujours plus informe en deuil de ses balises identitaires, avide d’un progrès sans fondement rythmé par le tempo de la facilité et de l’illusion sociale. Mensonge et mensonges encore !
J.-M. M.
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"Même sans télé, les Français pourraient payer la redevance."
“Même sans voiture, les Français pourraient devoir contracter une assurance auto. Les assureurs aussi ont le droit de vivre.
Même s'ils ne se chauffent pas l'hiver, les Français pourraient devoir acheter régulièrement du fuel, par solidarité envers ceux qui ont 23° chez eux tout l'hiver.
Même s'ils ne dépassent pas les 80 km/h sur route, les Français pourraient être passibles d'amendes pour excès de vitesse, en raison de leur passé de conducteurs et des conneries qu'ils ont faites à vélo dans leur jeunesse
.Même si les Français ne se soignent plus, en raison de leurs faibles revenus et du déremboursement de nombreux médicaments, ils pourraient être amenés à payer une taxe pour consommation excessive de médicaments de confort, en vertu du principe de non-discrimination.
Même si les Français ont des écoles pourries qui leur coûtent très cher, la loi les obligera à mettre leurs enfants à l'école dès 3 ans et jusqu'à 21 ans minimum, afin que tout le monde soit soumis au même régime idéologique.
Même sans ovule ni utérus, les Français de genre masculin seront désormais priés d'avoir leurs règles comme tout le monde.
Même sans âme ni cervelle, les Français de genre féminin seront désormais astreints à se gratter les couilles devant les matchs de foot.
Même sans poils au menton, les Français de la catégorie “petites filles” devront dorénavant pisser debout et mettre des coups de boule à leurs maîtresses.
Même sans commettre aucun crime, les Français pourraient se voir condamner à onze années de prison ferme, afin de ne pas stigmatiser les délinquants ordinaires.
Même s'ils ont payé très cher le droit d'habiter la demeure qu'ils ont acquise péniblement après soixante de sacrifices, les Français pourraient devoir la partager, ou même la céder aux nouveaux arrivants, car il n'y a pas de raison (jurisprudence Carrère).”
Jérôme Vallet
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Renaud Camus, Journal (2007)
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À Paris, 77 % des violeurs de rue interpellés sont étrangers
À moins de 100 jours de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques 2024, Paris est plus que jamais sous le feu des projecteurs, et le moins que l’on puisse dire, c’est que pour le moment, la Ville Lumière ne brille pas. Ce jeudi 18 avril, Europe 1 publiait les chiffres de la préfecture de police de Paris concernant les viols commis dans les rues de la capitale française au cours de l’année…
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Bienvenue –si j'ose !-- en enfer...
Dans un délai qui risque d'être court, cette ''Fête de Pâques 2024'' restera comme la date officielle du début de la fin de ce qui fut la France : depuis le 15 novembre 2013, ce blog, s'appuyant sur mon arabophonie et ma connaissance de la civilisation arabe –c'est à dire, à peu de choses près, le Coran-- a répété, billet après billet, que nous allions vers une bérézina... Combien de gens de bonne foi et bien intentionnés m'ont écrit que j'étais pessimiste, que je voyais tout en noir...
Et soudain, voilà que toutes les boutiques de sondages se mettent à changer de discours et découvrent ce qu'elles refusaient de voir : les français sont inquiets à en paniquer, ils sont plus pessimistes que je ne l'ai jamais été, et les vrais chiffres sortent enfin des armoires où on les tenait cachés… Faut-il que tout aille mal, pour que nos armadas de vrais parasites/faux démocrates, nos laïcards de salon, nos soi-disant républicains, nosgauchistes d'opérette et nos révolutionnaires du ''Flore'' en soient soudain réduits à dire la vérité, comme de vulgaires hommes de Droite : neuf français sur dix osent enfin dire qu'ils ont peur, dans leur vie de tous les jours, et que l'insécurité progresse à toute vitesse... 72% d'entre avouent ne pas faire confiance au gouvernement pour les protéger (dixit Odoxa, devenue brutalement honnête), et 6 sur 10 ont décidé de se défendre eux-mêmes (alarmes, armes de poing, sports de combat).
Jusque là, on pouvait craindre qu'une passion pour le déni du réel, un attrait pour les idées de Gauche –toutes mauvaises-- et un refus de ce qui n'est pas conforme au grand mensonge qui sert de fondement à toutes nos idéologies mortifères, ne soient devenus de plus en plus difficiles à contourner : le ''système'' en place avait réussi à tout bloquer ! Des gouvernements peuplés d'aveugles et de nuls (mais tout puissants) nous interdisaient tout ce qui n'était pas ''pile-poil'' conforme à leur mensonge, via l'injustifiable (et démodé) enrégimentement à Gauche de 99 % des journalistes (qui doivent être tenus pour co-responsables de tous les maux qui nous tombent dessus). Ils ont été jusqu'à inventer des ''pandémies'' inexistantes pour nous cacher la seule pandémie (qui, elle, en est une, et ''mahousse'' !) qui nous menace vraiment : l'islam triomphant.... aidé dans sa marche par leurs silences et leurs mensonges ! Cet arsenal mortifère nous conduisait peu à peu là où ils voulaient que nous allions : en enfer. Nous n'y sommes pas encore, mais ''on n'en a jamais été aussi près'' !
Nos lamentables gouvernants, incapables --par système, mais aussi par absence d'intelligence et de référentiels culturels-- de désigner par leur nom toutes les horreurs dont ils ont fait notre quotidien, ont brutalement ouvert les yeux, et viennent tout juste de commencer à entr'apercevoir la série de catastrophes à laquelle leur impéritie et leur imprévoyance ne nous laissent que très peu de chances d'échapper : ceux qui ont vu clair ont baptisé ce drame ''le grand remplacement'', pendant que les idiots-utiles parlaient ''d'une chance pour la France''. Cherchez l'erreur !
On en revient toujours à Camus : ''Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde''... sauf que nos faux guides ne nomment même pas : ils esquivent ! Dans un torrent de pensée à l'envers, ils essaient de nous faire avaler que si on est pour la paix, on est pro-poutine... si on est pour dire la vérité, on est complotiste... et si on aime la France en tant que ce qu'elle est (et non en souhaitant leur enfer-sur-terre), on est facho... Notre cas semblait sans espoir...
Devant ce changement, la panique de nos apprentis-ministricules si peu professionnels devrait faire de la peine à voir... sauf que, ayant fait tout ce qu'il ne fallait pas pour que le ciel leur tombe sur la tête, ils n'ont que ce qu'ils méritent ! Nous allons, nous, souffrir ''un max'', mais en ce qui les concerne... ''c'est bien fait pour leur gueule''. Et ils croient nous impressionner en ayant mis devant chaque église, pour Pâques, (''quoi qu'il en coûte'', ajouterait sans doute leur chef, s'il ne s'était pas réfugié dans un inutile ''sauvetage -sic !'' de la forêt amazonienne --qui, sans lui, est condamnée... tout le monde sait ça !-- en veillant à ce que ses costumes voyagent sur un siège ''First Class'', plein prix. Honte à lui !), des militaires lourdement (?) armés des quelques sarbacanes qui nous restent encore, après que nous ayons sacrifié nos arsenaux et nos réserves stratégiques au fantasme anti-poutinien du chef... La vérité ? On ne les croit plus, c'est tout.
Vous rendez-vous compte de ce que signifie cette déroute en rase campagne ? Au nom d'une ridicule ''laïcité'' résiduelle, vidée de son sens et de tout intérêt, seul le christianisme est interdit de pratique, de respect et de considération, en France, où seuls comptent les choix supposés de quelques minorités, surtout si elles ne sont représentatives de rien ou de quelque dépravation indescriptible... Des pouvoirs hostiles ont pris le pouvoir dans nos banlieues, dans nos villes, nos campagnes, nos villages... et nous avons de moins en moins les moyens d'assurer la sécurité dans nos rues... Si Jules Romains revenait parmi nous, il ne ferait plus de ''Ambert et Issoire'' deux ''trous de province'' où des ''Copains'' (joués, plus tard, par Philippe Noiret, Guy Bedos, Pierre Mondy et Claude Rich, accompagnés par Les Copains d’abord de Georges Brassens) exerceraient leurs talents... mais des lieux de ''points de deal'' ! Sic transit gloria mundi, hélas !
Aujourd'hui, la population française –qui n'ose même plus se revendiquer telle, tremble en permanence pour son intégralité physique (je ne parle même pas de son intégrité morale...) pour ses biens, pour ses femmes et ses filles, pour ses enfants visés par les drogues les plus immondes... Notre langue est battue en brèche et arabisée, notre magnifique culture est niée par celui-là même qui devait la promouvoir, nos modes de vie menacés par la violence la plus barbare, et notre histoire, si riche, remplacée par des enchaînements de bobards dont pas un seul ne tient la route, mais que des ''cavaliers d'Allah'' barbus et sales interdisent de mettre en doute, puisqu'ils sont archi-faux !
Au nom de notre gloire fanée, et dans l'irresponsabilité la plus totale... nous avons fait la danse du ventre pour organiser des jeux olympiques qui ne devraient logiquement plus être ni l'un ni l'autre : nous n'avons plus un kopek vaillant en poche, et ceux que nous jetons par les fenêtres vient de traites tirées sur le futur de nos enfants. La guerre rode partout –en partie par notre arrogance à raconter que nous sommes prêts à la déclencher ''pour de vrai'' sans en avoir le début de l'ombre d'un moyen... Au nom du beau mouvement olympique, nous refusons aux athlètes russes de se produire sous les couleurs de leur pays et d'avoir droit à leur hymne national … qui sont les deux strictes définitions-conditions de l'olympisme... Nous sommes inconséquents, irresponsables et provocateurs, en offrant notre gorge aux tueurs de Daech, du défilé inaugural (''Une folie criminelle'', d'après Alain Bauer) au défilé final... qui risque ''d'être de la revue'' !
Et s'il n'y avait que tout ça... Au fil des ans et des mauvaises idées, c'est par vagues successives que nos lamentables gouvernants qui, initialement nuls, se révèlent dangereux tout azimuts (dixit aussi Alain Bauer) détruisent le bel édifice, construit avec amour, persévérance et tellement d'intelligence par 70 générations de français (qui furent, par moments, gaulois ou gallo-romains) : ils croyaient bâtir un monde... et il a suffi de 2 mandatures de ''lumières éteintes'' pour tout foutre par terre... Oh ! Que j'ai mal, très mal, à ma France !
En rongeant les fondamentaux, ils ont fait s'écrouler les murs... et nous voilà offerts, sans défense, aux dangereux vents du large. Un exemple ? Au moment où le monde entier se réarme, fait des stocks de munitions, re-remplit ses arsenaux... nous nous sommes engagés à offrir, gratos, à l'Ukraine (à qui ça ne sera d'aucune utilité : les carottes sont cuites... et nous, avec ! Là encore, il serait sage de voir le monde tel que 7 humains sur 10 le voient...), la totalité de tout ce que nous aurions pu produire... mais que notre impécuniosité va laisser à l'état de ''rêves éveillés''. Pauvre France ! Lorsque les canons tonneront (ce qui est possible, avec les puérils excès présidentiels !), on pourra continuer à donner au monde ce que nous nous croyons encore capables de donner : de mauvais conseils... à surtout ne pas suivre... Dire qu'il suffisait de si peu... trois fois rien, peut-être...
H-Cl.
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“Les grands moments d’une vie, les beaux, les forts, tiendraient sur une alléchante bande-annonce. Mais il faut se taper tout le film.”
— Eric Chevillard, L’Autofictif du 19/07/2018
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Phase terminale
“ La vision des images d’une transexuelle bousculée et insultée en marge d’une manifestation  d’algériens anti-bouteflika est particulièrement pénible et même profondément douloureuse tant elle révélatrice de l’état de déliquescence avancée d’une société qui, peu à peu, ne parvient plus qu’à susciter des hauts-le-cœur et des nausées. A la vue de cette scène, on ne peut désormais même plus parler de décadence, mais bien de putréfaction.  Tout dans cette « affaire » est pathétique, délirant, abjecte, écrasant de vilenie.
Le contexte bien sûr, tout d’abord : des hordes de maghrébins, carte d’identité française dans la poche mais drapeaux algériens à la main, défilant dans des rues qu’ils occupent d’ordinaire par leur violence et leurs trafics, démontrant  une fois encore – s’il était encore nécessaire-  où va leur cœur et leur allégeance véritable, le pays d’accueil n’étant qu’une villégiature accessoire, une nécessité alimentaire, une simple proie qu’on dépouille autant qu’on la méprise
.La « victime » ensuite : une triste créature tératologique fruit de névroses mentales croisées aux délires théoriques du « genre ». Un pauvre hère suffisamment malade pour nier sa propre nature, ses gênes et vouloir modifier l’in-modifiable à coups d’hormones et d’opérations qui finiront de le détraquer jusqu’au jour où on le ramassera dans un caniveau, suicidé ou overdosé. Demandera-t-on alors des comptes aux apprentis sorciers universitaires, politiques et médiatiques qui l’ont encouragé dans son délire, incité à « passer à l’acte » d’une transformation frankensteinesque, qui ont applaudi à sa « quête » suicidaire de négation du réel, des limites, de l’ordre naturel ? Sans doute pas. Cela fait bien longtemps que les salopards ne sont plus confrontés aux conséquences de leurs discours et de leurs actes et qu’ils meurent tranquillement dans leur lit, couverts des ors et des honneurs d’un temps qu’ils ont façonné à leur mesure…
Les faits : violence et lâcheté de la meute, vulgarité glaviotante, bêtise crasse et satisfaite. Laideur grimaçante de ces petites frappes dont les injonctions sexuelles (sur le thème « Sale travelo, suce-moi la bite ! ») ne sont d’ailleurs pas sans laisser planer certains doutes sur la virilité caricaturale dont ils prétendent se prévaloir…
Les commentaires enfin : les journalistes, écartelés entre antiracisme et anti-transphobie, s’adonnant à de piteuses pirouettes à base de « pas d’amalgame » et de mélopées « cosmopolito-tolérantes » qui n’en finissent plus d’être artificielles et si mensongères qu’elles deviennent criminelles puisque ce sont justement celles-ci qui parviennent à faire croire à un travelo hormoné qu’il peut tranquillement se balader au milieu d’une bande d’arabes en goguette, ces derniers étant forcément bons, doux, accueillants, tolérants, aimables et sympathiques puisque l’immigration nous est présentée ainsi depuis plus de 40 ans !
Par ce « fait divers », voici donc consacré le monde des barbares et des mutants, minorités de plus en plus envahissantes qui terrorisent et assiègent les vestiges d’une « majorité » qui fût jadis un peuple mais qui n’est plus qu’une multitude d’atomes, d’individus isolés et égoïstes ne cherchant désormais  qu’à parvenir à échapper au lynchage à coups de pognon, de portes blindées, de consommation, de fuite médicamenteuse ou hallucinogène… Sauver sa peau, jouir encore un peu, et pour le reste…  advienne que pourra….”
http://amoyquechault2.over-blog.com/2019/04/phase-terminale.html
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“Un tact qui s’est formé et affiné au fil de nos rencontres avec les infortunés affligés de lourds handicaps ou de difformités effroyables, ce regard exercé à n’être ni trop appuyé – ce serait blessant – ni trop furtif – ce le serait non moins –, à dissimuler le trouble, la curiosité, la sidération, la fascination, à feindre le tout-est-normal, le non-non-je-n’ai-rien-remarqué-d’incongru, un art consommé du comme-si-de-rien-n’était, dis-je, qui nous est bien utile aujourd’hui pour adopter la juste attitude quand nous croisons une jolie femme.”
— Eric Chevillard, L’Autofictif du 11/06/2020.
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