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Séance 12 : Bilan du cours

Même si les médias numériques font partie à part entière de ma vie, je ne m’étais jamais réellement questionné sur tout ce qu’il y a derrière eux. Le cours de médias numériques et société m’a permis de m’ouvrir et de m’informer sur le sujet. Tout d’abord, j’ai pu réaliser à quel point nous sommes rendus dépendants à toutes ces nouvelles technologies. Que ce soit pour s’informer ou pour socialiser, nous utilisons les médias numériques chaque jour de nos vies, et ce peu importe l’endroit. 

La séance sur la vie privée au temps de Facebook m’a particulièrement marquée, en partie grâce à la présentation orale de ce cours. Cette séance m’a permis de comprendre que toutes nos actions sur le web laissent des traces, peu importe de quelles natures elles sont. Ce qui m’a le plus surpris était d’apprendre que ces traces laissées sur le web sont utilisées afin de proposer des publicités adaptées à nos intérêts, ce qui nous pousse à consommer. 

Le cours de médias numériques et société m’a également surpris en m’apprenant que le web apporte du positif, mais également beaucoup de négatif : la surveillance, le piratage, les vols d’identité, la cyberintimidation, etc. Le cours m’a donc permis de réaliser qu’il est important d’utiliser les médias numériques de manière intelligente et informée, afin de ne pas tomber dans les pièges qu’ils peuvent contenir. 

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Séance 11 : Médias numériques et démocratie

L’information politique est maintenant plus accessible que jamais. Lors des campagnes, l’information qui apparaît dans les médias traditionnels comme la télévision et les journaux apparaît également partout sur les médias sociaux ; il est donc très peu probable de ne pas être informé. En effet, l’information politique vient à nous en abondance. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ?

D’un côté, je crois que les médias sociaux démocratisent l’accès à l’information. En effet, cela permet à tous d’être informés et de pouvoir avoir une opinion par rapport à la politique. Le fait que l’information politique apparaît partout sur les réseaux sociaux permet également aux gens de militer en faveur de leurs opinions politiques, par exemple en rejoignant des groupes ou des communautés, ce qui favorise la participation citoyenne.

D’un autre côté, puisque de plus en plus de gens partagent leurs opinions politiques sur les médias sociaux, cela peut facilement influencer le comportement des électeurs. Cela est problématique puisque l’information et les opinions que l’on voit sur les réseaux sociaux sont seulement celles provenant de notre réseau personnel ou de nos intérêts ; la variété des points de vue est donc négligée. En ne voyant que les opinions de notre réseau, on se ferme à la confrontation des opinions et à l’objectivité de l’information.

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Séance 10 : S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux

S’informer à l’ère de Google et des médias sociaux change beaucoup notre manière de consommer de l’information. En effet, nous avons tendance à consommer l’information presque entièrement sur les médias sociaux, puisqu’elle apparaît dans notre fil d’actualité. À la place de faire l’effort d’aller chercher l’information dans les médias traditionnels, nous laissons l’information venir à nous.

Le fait de consommer l’information par les médias sociaux offre de nombreux avantages, car l’information arrive en temps réel, de manière instantanée, directement dans les appareils électroniques des utilisateurs.

Par contre, cela comporte également son lot d’inconvénients. En effet, les algorithmes ont une grande influence sur le contenu informatif qui apparaît dans nos fils d’actualités. Facebook, par exemple, trie l’intégralité des contenus publiés sur les fils d’actualités des utilisateurs afin d’afficher les informations qui seront les plus susceptibles de les intéresser (Untersinger, 2014). Cela personnalise donc l’information qui vient à nous, empêchant ainsi la confrontation des opinions et l’information objective. 

Un autre aspect négatif de la consommation d’informations par les médias sociaux est la validité du contenu. En effet, il peut parfois être difficile de différencier le vrai du faux dans cette ère où tout le monde peut s’improviser journaliste et dire son opinion sur le web. Les personnes moins habituées avec les nouvelles technologies peuvent être confuses avec les fausses informations qui circulent sur le web. 

Source :  

Untersinger, Martin. 2014. « Comment fonctionne l’agorithme de Facebook ? ». Le monde.fr. En ligne. 1 aout. URL : http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/07/01/comment-fonctionne-l-algorithme-de-facebook_4448781_4408996.html. Consulté le 20 mars 2017.

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Séance 7 : La vie privée au temps de Facebook

La vie privée est devenue une ressource rare, qui est en voie de disparition. Les réseaux sociaux dont Facebook, Instagram et Snapchat permettent aux utilisateurs d’exposer leur vie entière sur le web, passant de la nourriture qu’ils ont mangée aux relations qu’ils entretiennent. Le fait de s’exposer autant est banalisé et les gens ne se méfient plus des dangers entourant ce manque de vie privée.

Un aspect plutôt inquiétant de Facebook est la toute nouvelle fonction, « ami à proximité ». L’ayant moi-même installée sur mon téléphone cellulaire, j’ai pu voir de quoi il s’agissait. La fonction permet de géolocaliser les amis Facebook des utilisateurs, et de leur envoyer une notification lorsqu’un d’eux se trouve à proximité.  La fonction apporte des avantages divers sur l’environnement social et professionnel des utilisateurs puisqu’elle permet de prendre contact rapidement avec nos amis. Par contre, elle apporte également son lot d’inconvénients. Les amis Facebook savent où se trouvent en tout temps les utilisateurs ayant installé cette fonction, ce qui brime énormément la vie privée. Plusieurs personnes ont même affirmé que cette fonction leur avait causé beaucoup de tort. Par exemple, une femme qui « avait partagé sur Facebook le fait qu'elle était en vacances à Las Vegas. L'un de ses "amis" Facebook a été particulièrement attentif à ses publications, et lui a envoyé un message pour savoir quand elle rentrerait. Sachant avoir le champ libre, il en a profité pour la cambrioler ».

Finalement, malgré le fait qu’il est très difficile de garder une vie privée sur les réseaux sociaux, il est bien important de rester très vigilant !

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Séance 6 : L’identité dans un monde d’avatars

Avec l’essor actuel du numérique, la ligne est mince entre le contenu privé et public de nos nombreux profils sur internet. De plus, tout le monde (ou presque) possède maintenant un compte, ce qui rend de plus en plus risqué le fait de publier n’importe quel contenu sur nos profils. Notre réputation dans la vie réelle peut se détruire en quelques clics à cause de notre identité en ligne, c’est pourquoi il est primordial de faire attention de garder une bonne e-réputation.

Avoir une bonne e-réputation est important puisque plusieurs employeurs utilisent maintenant les réseaux sociaux comme Facebook afin de recruter du personnel. Cela m’est arrivé récemment : un employeur m’a approché par Facebook afin de m’offrir un emploi. Il est donc impératif de garder un profil présentable. Pour s’en assurer, il suffit de se poser la question : « Est-ce que je suis à l’aise avec le fait que le monde entier, dont mes parents et mes employeurs, voit le contenu que je m’apprête à publier ? ». Il est également important de définir les paramètres de confidentialité de notre compte. Cela semble banal, mais il peut être risqué d’avoir un profil public et ouvert à tous.  

L’e-réputation peut également s’appliquer aux entreprises, qui utilisent internet afin de montrer des images positives de leurs compagnies. Au final, peu importe s’il est question de notre compte personnel ou de celui d’une entreprise, l’important avec l’e-réputation, c’est d’être prudent sur ce que nous publions !

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Séance 5 : Sociabilité et vie « en ligne »

De nos jours, la question « Est-ce que les Médias sociaux transforment nos rapports aux autres ? » ne se pose même plus. Les médias sociaux font partie intégrante de nos vies, et c’est devenu l’un des moyens de communication les plus utilisés. Est-ce qu’ils transforment nos rapports aux autres d’une manière positive ou négative ? Cela dépend de plusieurs facteurs. Pour ma part, les médias sociaux transforment certaines de mes relations positivement, et d’autres négativement.

Étant native du Saguenay, en déménageant dans la ville de Québec, je vois beaucoup moins souvent mes amis et ma famille de ma région. Les médias sociaux permettent de rester en contact avec eux, même s’ils sont loin. Sans les médias sociaux, je me serais sûrement beaucoup éloigné d’eux, à force de ne pas leur parler de vive voix.

Par contre, pour mes autres relations avec les gens que je vois souvent, c’est différent. Par exemple, j’ai une de mes amies qui habite à deux pas de chez moi, et puisqu’on discute souvent avec les médias sociaux, nous ressentons moins le besoin de se voir en face à face. Cela nuit donc d’une certaine façon à notre relation, puisque les conversations faites sur les médias sociaux m’apportent beaucoup moins qu’une conversation de vive voix. Et ce n’est pas seulement le cas pour cette amie en particulier, c’est le cas pour toutes mes relations avec des gens que je peux voir souvent.

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Séance 4 : Angoisses et vertiges du numérique

Le numérique, quoique révolutionnaire, a amené avec lui son lot de problèmes. En effet, en apportant de nouvelles méthodes de communication, le numérique a aussi amené la cyberintimidation. Cette forme d’intimidation consiste à intimider directement à partir du web ; soit par messagerie, soit par la publication de contenu.

Ayant moi-même grandi avec l’essor du numérique, j’ai pu voir cette forme d’intimidation quelquefois sur les réseaux sociaux, surtout sur Facebook. Cela se passait sous mes yeux lorsque j’étais plus jeune, puisqu’à cet âge, les enfants ou adolescents sont moins conscients des conséquences que leurs gestes peuvent avoir. Les jeunes publiaient des commentaires d’intimidation et d’autres jeunes venaient les supporter. Par contre, une fois de retour sur les bancs d’école, l’histoire n’était plus la même. Les jeunes qui intimidaient sur le web étaient beaucoup plus tranquilles lorsqu’ils arrivaient en face à face. C’est justement le point le plus dangereux de la cyberintimidation : derrière un écran, tout le monde est plus courageux qu’en face à face. Les intimidateurs n’ont rien à craindre et cela se fait de manière indirecte, donc ils intimident et en voyant le support des autres, ils continuent.

La cyberintimidation est un réel problème de nos jours. Même que selon une étude de l’organisme Jeunesse, J’écoute, 65% des jeunes ayant répondu au sondage avaient déjà été victimes de cyberintimidation. Elle peut se faire plus discrètement, mais cause autant de ravages. La sensibilisation est la clé afin de résoudre ce fléau du numérique.

 Source : 

La Presse Canadienne. 2012. « Près de 90% des jeunes ont été témoins d’actes d’intimidation » Radio-Canada. En ligne. 11 novembre 2012. URL: http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/587010/intimidation-sondage-sensibilisation. Consulté le 30 janvier 2017

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Séance 3 : Promesses et vertus du numérique

Le numérique est souvent perçu comme étant révolutionnaire et salvateur, entre autres car il offre un nombre infini de nouvelles possibilités dans le domaine de l’apprentissage, de la communication ainsi que dans celui de plusieurs autres sphères. L’une des formes du numérique, les jeux vidéo, est relativement controversée. Les gens se questionnent à savoir si les jeux vidéo apportent du positif ou du négatif pour les enfants et adolescents qui adhèrent à cette pratique.

Il a été prouvé que jouer à des jeux vidéo fournit aux jeunes une forme sociale et amusante de divertissement, puisqu’ils peuvent communiquer entre eux avec leur console ou PC. Cela encourage également le travail d’équipe ainsi que la coopération et leur offre des sujets d’intérêt commun et des occasions d’interagir avec les autres sur ces sujets. De plus, les jeux vidéo permettent de développer des habiletés scolaires dans des domaines comme la lecture, les mathématiques ainsi que la résolution de problème. Ils peuvent même permettre d’accroître la maîtrise d’une langue seconde (surtout au Québec, puisque nous sommes francophones et que plusieurs jeux sont disponibles seulement en anglais).  

Cette forme de technologie permet donc de communiquer et d’apprendre d’une nouvelle façon. Les jeux vidéo prouve d’une certaine façon les vertus du numérique. 

Source : 

Habilos Medias : Le centre canadien d’éducation aux médias et de littérature numérique. S.d. « Les aspects positifs des jeux vidéo ». En ligne. URL : http://habilomedias.ca/jeux-video/aspects-positifs-jeux-video. Page consulté le 23 janvier 2017.