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Carnet de bord 5

Crayons de couleur, morceaux de pellicule

Il paraît que l’artiste naît souvent de ses erreurs. Mais comment peut-elle arriver? En la provoquant?

J’ai ici déchirer une feuille de mon carnet de bord et jouer avec la forme créer.

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Carnet de bord 4

C’est un personnage triste que je met ici en scène, derrière des barreaux. Mais quels sortes de barreaux? Ceux créer par notre propre chef ou par les autres ?

J’avais envie de jouer avec le papier, en le découpant, mais aussi avec d’autres matériaux (ici la laine).

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Carnet de bord 3

Feutres

Après avoir vu l’exposition ‘‘Exemplaires’‘ aux Beaux-Arts de Rennes, j’ai voulu créer ma propre affiche. Ceci est un croquis.

Le thème est Pensées. Les traits noirs représentent le cours de notre imagination et les carré les limites de notre cerveau.

Pensées fluides, pensées tristes, pensées brouillons...

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Carnet de bord 2

Peinture jaune, feutre noir

Comme je l’ai dit précédemment, j’aime beaucoup l’outil qu’est le tampon. Ici, avec un reste de peinture, j’ai voulu voir l’effet que cela pouvait donner avec mon doigt. J’ai aimé joué avec l’épaisseur de la peinture et la disposition du tampon.

Ensuite, pour finaliser le dessin j’ai décidé de dessiné un personnage donc le traits passeraient par différents points créer par la peinture.

J’aime ce genre de travail graphique, très peu doté de couleur.

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Carnet de bord 1

Aquarelle

Après avoir étudié le pointillisme en cours, j’ai voulu essayer.

J’ai décidé de représenter un humain et ai utilisé de l’aquarelle car c’est une technique avec l’aquarelle il est facile de créer divers teintes rapidement.

C’est un réel travail de patience, où la couleur est très importante.

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Photos pour le Festival de Cinéma de Rennes Métropole Travelling

Lors de ce festival de cinéma, j’ai pu être bénévole et accompagner le photographe Gilles Pensart. 

Cela a été très instructif pour moi, qui suis attirée par la photographie depuis toute petite. Je ne manque aucune occasion pour effectuer divers stage dans ce milieu. J’ai aimé être en contact avec public mais aussi mettre en lumière certaines parties du festival. 

Pour cette série de photographies, j’ai décidé de jouer avec les collimateurs. Ainsi, j’ai pu créer différents effets de flous et mettre en valeur divers éléments. 

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TOT BAG AAE.

Feutres

Je porte beaucoup de totbag. Je trouve que c’est un sac pratique et facile à se procurer. 

Je pensais depuis quelque temps créer ma propre marque de totbag, ou simplement dessiner sur quelques mes modèles, pour le plaisir. 

J’aime travailler en collaboration avec d’autres personnes lors de projets artistique. Même si cela est parfois difficile, c’est très intéressant de croiser les visions et les points de vue. Avec deux amis, nous avons donc décidé de créer un premier dessin, sur papier d’abord, puis de le transvaser sur un sac. 

J’aime assez le résultat, pas forcément pour l’esthétisme mais surtout pour ce qu’il représente : un travail d’entraide.

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DOUDOU

Tissu, coton

J’ai une relation très particulière avec les doudous, que j’affectionne particulièrement et qui sont, pour moi, indispensable au développement de l’enfant. C’est pourquoi j’ai voulu créer les mien. 

La forme est simple, c’est celle d’un corps humain. Je trouvais cette idée intéressante car elle permet de personnifier l’objet, pour que l’enfant puisse se rattacher à une image familière.

J’ai utilisé du WAX comme revêtement, célèbre tissu africain. C’est un tissu que j’apprécie beaucoup car ces couleurs donnent du baume au cœur et ses motifs sont originaux.

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ENFANT SOLDAT

Peinture acrylique 

Il fallait ici, dans un rond de 50 cm de diamètre, mettre en scène un jouet quelconque. Je me suis emparée de ce sujet pour parler d’un thème qui me tient à cœur : celui des enfants soldats, aujourd’hui encore trop nombreux.

Je représente le jouet une couronne sur la tête car le dicton annonce l’enfant roi. Pourtant, celle-ci cache les yeux de l’enfant. Le gilet vert kaki et le fusil font tout de suite contraste avec cette couronne, ainsi que le sourire de l’enfant. 

Enfin, le fond rouge détonne. Il symbolise la violence. Celle de la guerre, image renvoyé par l’arme en main, mais aussi celle du sujet et de l’enfance gâchée au profit d’activité sombres.

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Flipbook typographique - MONDE, AUJOURD’HUI AUX INFORMATIONS

Feutre noir, papier journal teinté bleu

Le sujet est ici le flipbook typographique. Je représente dans un premier temps un homme buvant un verre, calme. Puis, dans un second temps, la solitude des migrants, abandonnés à leur sort en mer. Par un montage symbolique (que j’apprécie au cinéma), j’appuie sur le contraste entre les deux univers. L’eau plaisir pour l’un, ou possible tombeau pour les autres. 

Pour la typographie, j’ai utilisé du papier journal, symbole d’actualité. J’ai choisi des pages parlant de sujets sensibles, comme l’est celui du sort des migrants. Finalement, j’ai teinté le papier en bleu, puis dé- coupé pour créer ma transition (l’eau). 

Je suis beaucoup inspirée par des artistes comme Banski ou Orlan, qui se servent de leur art pour exprimer des messages forts. J’ai aussi des idées à exprimer, et je désire approfondir mes connaissances et ma pratique des arts pour y parvenir.

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CHAUSSURE

Poterie

Première réalisation en volume. Cet exercice a été très enrichissant car je n’avais jamais travaillé la terre (sauf pour créer des petits pots, jeune, souvent peu esthétique). 

J’avais été impressionnée par certaines sculptures présentées lors de l’exposition de la collection Pinault ‘’Debout !’’ et je ne demandais qu ‘à me familiariser avec cette expérience de mise en volume. 

J’ai donc appris des choses, notamment à bien décortiquer les étapes et ne pas se presser vers un résultat final. Même si c’était un travail de reproduction et non de créativité pur, ce sont ce genre d’exercice qui nous permettre d’acquérir des bases solides, pour s’entraîner et s’améliorer.

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BRILLANT ET IMBRIQUE

Matériel divers 

A partir de deux mots piochés au hasard, il fallait créer différents échantillons sur des carrés de 8x8cm. 

N’étant pas particulièrement adepte de mode, j’ai tout de même apprécié l’exercice. J’aime joué avec matières, les textures. J’aime aussi m’approprier des éléments du quotidien, les détourner de leur fonction première, comme le font les membres du mouvement du Ready Made. 

Pour répondre aux mots choisis, j’ai donc pu jouer avec la peinture (créer des tâches, des dégradés, des formes) mais aussi avec plusieurs autres matériaux (polystyrènes, paillettes, perles...).

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Ville tamponnée - VILLE EN MOUVEMENT 

Tampons (gomme, lino ou carton), peintures noire et jaune

Pour créer notre ville tamponnée, sept tampons étaient imposés. Il s’agissait de réaliser : un végétale, un animal, un véhicule, un tracé de circulation et trois éléments au choix. 

Jouer avec des tampons était très intéressant car, d’une part, c’est une technique que j’affectionne beaucoup, et, d’autre part, on peut jouer avec de plusieurs manières différentes (taille, répétition...)

L’importance pour moi était le mouvement. Effectivement, quand je ferme les yeux et pense à ce thème, je ne vois jamais une image fixe et stable. Plusieurs choix ce sont donc offert à moi pour représenter ce mouvement. J’ai tenté de créer un phenakistoscope mais mon choix final s’est porté sur la bande-dessinée, plus lisible.

La scène que j’ai créé devait être banale (pour se focaliser sur le mouvement). Mais, en posant mes immeubles je me suis rendue compte que de les imaginer tel des gratte-ciel plutôt qu’implanté dans le sol était plus intéressant. J’ai donc décidé de jouer avec ça en rendant ma voiture ‘’volante’’, peinte en jaune pour la mettre en valeur sur le mouvement. Cette idée ne prend pas le dessus sur le mouvement, au contraire elle se fond dans le rendu final.

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Mise en couleur

Gomettes colorées

L’objectif était ici de reproduire le portrait d’Oscar Wilde à l’aide de gom- mettes. Sur un demi-raisin, il fallait respecter les jeux d’ombres en s’assu- rant de garder les grandes lignes du visage.

Lié aux sept contrastes de couleur, j’ai beaucoup apprécié cet exercice. Il m’a permis de comprendre l’important rôle des couleurs et comment jouer avec elles.

Pour une future graphiste, approfondir le travail de la couleur est primordial. Celle-ci, porteuse d’informations, peut sous-entendre énormément mais aus- si impacter différemment en fonction de son utilisation : reproduire, faire ressentir et réfléchir une émotion, une idée, un message...

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MISE EN ABÎME

Feutre noir (fin et fort), crayon de couleur jaune

Je présente ici une mise en abîme d’un corps recroquevillé, dans un autre corps recroquevillé.

La séance était libre. J’avais envie d’affiner cette technique de trait continu que j’aime, mais aussi de me fier au côté gauche de mon cerveau en dessinant sans regarder le papier trop souvent (expliquant ainsi les proportions étonnantes).

Les cheveux jaune du modèle m’avaient marqués et j’ai voulu leur rendre hommage. C’est pour cela qu’ils sont le seul élément en couleur du dessin. Je trouve aussi intéressant leur position car, au final, derrière les cheveux se cache le cerveau. J’aimais cette idée, ou métaphore, de cacher les pensées par un voile, représentée ici par la boîte crânienne et les cheveux. 

J’apprécie le résultat où, en le regardant, on hésite entre sentiment d’insécurité ou de protection. Dans les deux cas, il se dégage une douceur étonnante du modèle, que j’ai aimé retranscrire.

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Représenter le mouvement - GANGSTER

Feuille vert eau, feutre noir, pastels rouge et jaune

C’est une danseuse qui est intervenue en cours. Dans le cadre du sujet, elle marchait en ligne droite, en réalisant des poses d’environ 10 secondes.

Lors de ce trajet, le modèle imitait une personne en train de marcher, une cigarette à la main. Et qui, finalement, sortait un pistolet et tirait.

J’ai dessiné le modèle d’un trait noir continu. Déjà, c’était plus facile de ne pas décoller la main, pour perdre le moins d’éléments possibles. Aussi, parce-que ce trait continu ne forme au final qu’une seule forme, et l’on ne veut dessiner qu’une forme : celle du corps.

J’ai seulement mis en couleur les éléments mis en scène. La cigarette d’abord, avec un rond jaune, rappelant des semblants de flammes. Le téléphone en rouge, élément perturbateur pour moi. Puis le pistolet, entouré d’un cercle jaune, synonyme de vide, de néant, de mort.

Pour aiguiller le spectateur, j’ai placé des cercles rouges où l’on distingue une silhouette entière, qui s’allient au mouvement du corps décrit.

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Mise en valeur de l’ossature - LE RÊVEUR

Papier Ingres brun, craie compté sanguine, crayon papier

Le sujet était ici d’appréhender le haut du corps masculin.

Pour dessiner les muscles et os du corps en profondeur, le carré Compté sanguine était très intéressant. Il permettait de créer de grands contrastes, avec homogénéité.

Au moment de dessiner, la position du modèle me laissait paraître qu’il était en plein songe. Je l’ai donc placé au bord du cadre, pour que l’on ne puisse saisir exactement ce qu’il regard, ce à quoi il pense. A chacun d’imaginer sa propre histoire.

L’exercice a été enrichissant. Déjà par l’utilisation de cet outil qu’est le carré Compté, très agréable à manier, mais surtout pour l’étude du corps.