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dadoou · 3 days
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dadoou · 3 days
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dadoou · 12 days
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dadoou · 24 days
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dadoou · 24 days
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dadoou · 24 days
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dadoou · 1 month
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Un heureux retraité (2ème partie)
Aurélie était pensive, elle avait en tête cette première fois où elle avait fait cocu son mari, une semaine auparavant, lorsqu'elle avait sucé son collègue Jean-Marc le jour de son départ en retraite.
Elle se disait qu'elle aurait dû faire cela bien avant.
En suçant Jean-Marc, elle avait repensé à ses premières pipes au collège, une découverte de sensations et de saveurs jusque-là inconnues.
Elle avait compris assez jeune qu'elle aimait se mettre à genoux pour tailler des pipes mais surtout qu'elle adorait sentir un homme, et à fortiori plusieurs, jouir dans sa bouche.
Le lycée fut un terrain de jeu idéal, elle savait ce qu'elle voulait et comment le faire comprendre. Elle expérimenta un nombre incalculable de pénis, de forme et de taille diverses, et d'autant de type de sperme, du très liquide au très visqueux, de quelques gouttes à la grosse éjaculation.
Lorsqu'elle se baladait dans les couloirs du lycée, elle regardait les visages des garçons. Lui, oui. Lui, oui. Lui aussi. Lui... pas encore.
Le petit monde des lycéens ayant joui dans la bouche d'Aurélie augmenta au fur et à mesure de ses trois années jusqu'au bac.
Dans les toilettes du lycée, les douches du gymnase, dans les voitures des terminales, elle suçait, suçait encore et toujours. Sa technique progressait autant que son plaisir.
Elle avait découvert la gorge profonde et en était devenue une experte. De nombreux lycéens eurent le bonheur de jouir dans sa gorge, leur pénis totalement enfoncé et leurs couilles appuyées sur le menton.
Bonne élève, déléguée de classe, Aurélie était fréquemment en contact avec les professeurs qui ne se privaient pas pour reluquer son joli petit cul et ses deux petits seins.
Flattée par les regards de ses hommes plus âgés, Aurélie tentait de réprimer l'excitation qui l'envahissait mais se rendit compte qu'elle désirait céder à la tentation.
Elle flirta plus ou moins discrètement avec le prof de sport, un quinquagénaire avec une mèche rabattue sur le haut du crâne pour cacher sa calvitie.
Un soir de match de volley, Aurélie prit tout son temps pour ranger le matériel et récupérer les ballons avant de se rendre au vestiaire pour prendre une longue douche.
Toute nue dans la douche collective avec quatre copines volleyeuses, Aurélie vit le prof de sport débarquer, c'était son habitude, il aimait venir mater les filles en train de prendre leur douche tout en feignant de ranger le matériel.
« Allez les filles, on se dépêche, il faut que je ferme le gymnase ! ».
Aurélie accrocha le regard du prof et lui fit un sourire tout en se savonnant les seins et la chatte. Ce dernier lui rendit son sourire et la dévora des yeux d'un long regard de haut en bas, ne cherchant pas à lui cacher qu'il la matait.
Les autres joueuses se séchèrent et s'habillèrent avant de sortir, il faisait déjà nuit noire. Aurélie trainait. À peine la dernière fille était partie que le prof de sport ferma à clef la porte principale du gymnase et retourna au vestiaire.
Aurélie s'avança vers lui, sans attendre elle défit la serviette enroulée autour de son corps, la laissa tomber devant elle et s'y agenouilla, bouche ouverte, regard plongé dans celui de son prof de sport.
Ce dernier s'approcha, surexcité de voir son élève aussi docile, toute nue, prête à le recevoir. Il abaissa son pantalon de jogging laissant apparaitre son slip tendu par le sexe dressé.
Aurélie se mordillait les lèvres et des étoiles apparurent dans ses yeux lorsque le slip glissa et que la verge en érection apparut devant elle.
Rien à voir avec tous les sexes des lycéens qu'elle avait vus jusqu'à présent. Ce n'est pas tant sa taille qui l'impressionna, bien qu'elle soit parmi les plus grosses et larges qu'elle ait vu, c'est surtout cette impression de force et de virilité qui s'en dégageait.
Dressé, décalotté, légèrement incurvé, recouvert de veines saillantes, c'était le sexe d'un vrai mâle, il paraissait taillé dans la pierre. Très en dessous de cette verge de marbre pendaient de grosses bourses, lourdes, pleines. Le tout était entouré d'une toison sombre, hirsute, très fournie.
Comme pour confirmer qu'elle s'offrait pleinement, Aurélie colla sa tête contre le pénis et frotta langoureusement son visage sur le sexe de son professeur. Elle caressa le gland sur son front, passa ses joues sur la verge, elle enfouit son nez dans les poils pubiens et descendit le long du pénis jusqu'à ce que ses lèvres humides effleurent les bourses.
Elle embrassa les lourdes couilles, les lécha et remonta lentement le long du sexe en sentant les veines saillantes glisser sur sa langue. Aurélie lécha et suçota le gland qu'elle introduisit dans sa bouche.
« Hmm, quel plaisir » pensa-t-elle et elle commença à téter ce gland comme un agneau tète sa mère.
Elle enfonça le sexe un peu plus loin dans sa bouche, sentit le gland effleurer son palais et glisser sur sa langue. Elle le suça, lentement, langoureusement, gémissant à chaque mouvement.
De ses lèvres enserrant la verge s'écoulait de la salive, dégoulinant sur son menton, suivant sa gorge jusqu'à ses seins et son ventre.
Elle releva légèrement la tête pour regarder le professeur droit dans les yeux. Il observait son pénis aller et venir dans la bouche de son élève. Aurélie était surexcitée par cette vue en contre-plongée : elle était en train de tailler une pipe à son prof de sport !
Elle le vit poser délicatement une main sur l'arrière de sa tête pour lui indiquer la cadence et enfoncer plus profondément son sexe. « Glurp... Glurp... ». Le gland s'introduisait dans sa gorge, émettant des sons très excitants à chaque mouvement.
Le prof posa alors ses deux mains sur la tête et enfonça complètement sa verge dans la bouche d'Aurélie dont le menton se trouva collé contre les bourses et le nez enfoui dans les poils pubiens.
Le prof de sport enchaina alors une série de pénétrations profondes, retirant presque totalement son sexe pour l'enfoncer entièrement. À chaque retrait, de la salive s'écoulait de la bouche et pendouillait en d'innombrables fils au menton d'Aurélie.
Les sons de déglutition auraient fait jouir n'importe quel spectateur.
Au sommet de son art et de son plaisir, Aurélie était en train de se faire baiser la bouche par son prof de sport. Elle attendait avec envie le moment où il lui éjaculerait dans la bouche, elle s'imaginait qu'il allait jouir d'un moment à l'autre mais elle se trompait...
À sa grande surprise, le prof demanda à Aurélie de se lever, la prit par la main et l'emmena dans la salle de gymnastique jouxtant les vestiaires. Toute nue, il la fit s'allonger sur une pile de grand matelas de gymnastique puis il se déshabilla.
Entièrement nu, le prof se pencha sur Aurélie, lui écarta les cuisses pour lui lécher la chatte. Il se lança dans un cunnilingus d'une intensité qu'Aurélie n'avait jamais connu avec tous ses amants lycéens. Il la doigta tout en lui léchant goulument le clitoris à tel point qu'Aurélie se mit à gémir sans aucune retenue.
Elle se pétrissait les seins tout en sentant la langue de son professeur s'immiscer dans son intimité, léchant, bavant, mordillant. Aurélie aperçut son reflet dans les grandes verrières au plafond, quelques mètres au-dessus d'eux. Se voir ainsi, nue, se pinçant les tétons, avec son prof en train de lui lécher la chatte, la fit chavirer.
Les matelas étaient inondés, Aurélie mouillait comme une folle tout en se caressant les seins. Le prof de sport lui releva les cuisses pour lui lécher la raie des fesses puis s'arrêta sur l'anus, le lécha et y introduit la pointe de sa langue.
Elle n'y tenait plus, son prof de sport était en train d'introduire sa langue dans son petit anus serré. Pour la dilater, il introduisit son index puis deux doigts qu'il fit coulisser dans l'anus chaud d'Aurélie.
Tout en lui léchant la chatte, le prof continua de lui doigter l'anus de longues minutes, Aurélie se tordait de plaisir, mouillant sur le matelas de gym luisant de ses sécrétions.
Il lui saisit les chevilles et inséra son sexe dans la chatte dégoulinante. Il la sauta sans ménagement en lui maintenant les chevilles relevées puis lui écarta les jambes et s'allongeant sur elle.
Plus petite que lui, le visage d'Aurélie se trouva au niveau de son torse poilu, elle ne s'était jamais retrouvé sous un homme avec autant de différence d'âge et de virilité.
D'une main, il pelotait les seins d'Aurélie qui enfouit son visage dans les poils du torse, léchant et mordillants les tétons du professeur qui sembla apprécier. Ils s'embrassèrent, il lui lécha le cou, l'enduisant de sa salive, elle adorait.
Promptement, il se redressa et lui fit signe de s'approcher du cheval d'arçon en mousse. Il la fit se placer dos à lui, le torse allongé sur le cheval d'arçon, les pieds au sol. Le prof lui écarta les jambes contre lesquelles il appuya les siennes.
Il frotta son sexe contre la chatte humide puis plaça son gland à l'entrée du vagin sans l'enfoncer. Il prit alors les poignets d'Aurélie, les lui croisa dans le dos en les retenant de ses deux mains.
Le professeur enfonça alors son sexe dans le vagin jusqu'à l'enfouir entièrement. Tout en maintenant fermement les bras d'Aurélie plaqués dans le dos, il la pénétra sans retenue, avec une vigueur qu'Aurélie n'avait jamais connue jusqu'à présent mais qui fut un véritable émerveillement pour elle.
Une longue trace de mouille dégoulinait le long du cheval d'arçon et Aurélie gémissait à chaque coup de hanche de son professeur. Elle couinait comme une garce et elle gueulait régulièrement à plein poumon : « Oh oui monsieur le professeur, encore ! Défoncez ma chatte monsieur le professeur ! ».
Dégoulinant de sueur, le professeur retira son pénis et s'inclina pour lécher à pleine langue l'entrejambe d'Aurélie. Il partit du vagin dégoulinant, suivit la raie des fesses et enfonça sa langue dans l'anus.
Il se recula légèrement, cracha sur l'anus puis se releva et mit son gland contre l'anus tout en reprenant fermement les poignets d'Aurélie.
« Vas-y, demande-le moi ! dit-il, la voix saccadée par l'essoufflement.
— Oh oui monsieur le professeur, enculez-moi ! »
Son voeu fut exaucé sur le champs, la verge s'engouffra dans son anus jusqu'à y disparaitre. Le professeur poussa une expiration d'extase et Aurélie ne put retenir un long gémissement sonore.
Le professeur se lança dans un ramonage en règle de l'anus de son élève. Celle-ci, bouche grande ouverte, tentait difficilement de maintenir sa respiration tout en savourant cette intense pénétration anale.
En nage, Aurélie se sentait envahie par la verge de son professeur qui allait et venait dans son joli petit trou du cul étroit.
Le professeur relâcha les poignets d'Aurélie qui put se redresser, détachant son corps suant du cheval d'arçon sur lequel il avait laissé une empreinte trempée. Elle s'appuya sur les avant-bras, libérant ses seins qui ballottaient désormais librement, se balançant d'avant en arrière à chaque mouvement de pénétration dans ses fesses.
Ralentissant la cadence, le professeur de sport regardait ébahi son sexe aller et venir. Moins d'une heure auparavant, Aurélie était une élève jouant au volley lors d'un cours de sport. Désormais, il l'écoutait gémir pendait qu'il l'enculait.
Des deux mains, il lui écarta la raie des fesses pour observer son pénis s'enfoncer entièrement, jusqu'à ce que ses bourses touchent la chatte. Puis il retira très lentement sa verge jusqu'à ce que la couronne du gland apparaisse, écartelant un peu plus l'anus déjà bien dilaté. Puis il introduisit de nouveau son sexe et le vit disparaitre dans le rectum bouillant de son élève qui couinait de plaisir.
Il continua de la sodomiser sur ce rythme lent pendant quelques minutes puis, petit à petit, il accéléra. Il se pencha sur elle de façon à appuyer ses avant-bras sur le cheval d'arçon et à glisser ses mains sous le torse d'Aurélie pour lui palper les seins.
Tout en pelotant à pleines mains les seins d'Aurélie, le prof de sport augmenta la cadence des pénétrations. Bam. Bam. Bam. L'anus grand ouvert accueillait sa verge et l'enveloppait d'une chaleur intense.
Le front ruisselant, le professeur répéta plusieurs fois : "Ohh ça vient... Je vais te remplir les fesses...". Aurélie, exténuée, essoufflée, n'arrivait plus à parler mais elle gémissait à plein poumons.
Aurélie sentit ses seins être serrés fermement par son professeur de sport puis une série de coups de reins puissants lui écrasèrent les hanches contre le cheval d'arçon.
À chaque coup de rein, elle sentit comme une déflagration, un jet de sperme gicla puissamment et se déversa en un flot dans son rectum.
Dans une douce agonie, le professeur lâcha les dernières gouttes de sa semence, il venait littéralement de remplir les fesses de son élève.
Il retira lentement son pénis enduit de sperme et en badigeonna la raie et les fesses d'Aurélie. Ebahi, il regarda ce joli cul recouvert de son foutre et observa l'anus, rougi, dilaté, dont s'écoulait son sperme.
Aurélie reprenait sa respiration. Elle était comblée, dans tous les sens du terme. Ravie, elle se dit qu'elle aurait sans nul doute une très bonne note en sport.
La plaisir que lui avait procuré le quinquagénaire était sans commune mesure avec celui procuré par les lycéens avec qui elle baisait d'habitude.
Elle se dit que les hommes d'âge mûr savaient y faire et qu'il était temps pour elle d'en tenir compte pour ses prochains ébats. Pourquoi ne pas prendre des nouvelles de son ex-collègue, Jean-Marc, fraichement retraité ? Voilà une bonne idée...
Perdue dans ses pensées, Aurélie ne s'imaginait pas que quelques mètres au-dessus de sa tête, ses quatre amies volleyeuses étaient penchées sur la verrière qu'elles avaient atteinte par l'échelle de secours et qu'elles avaient assisté au ébats d'Aurélie et de leur prof de sport... Leurs petites culottes en dégoulinaient de plaisir.
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dadoou · 2 months
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Un heureux retraité (1ère partie)
Et voilà, après 25 ans dans la même entreprise, Jean-Marc, le comptable, prenait sa retraite. Aurélie, un verre de crémant à la main, le regardait défaire les cadeaux qu'il avait reçu pour son départ en retraite.
Un brin de tristesse la saisit, elle appréciait Jean-Marc, il était toujours avenant à son égard, toujours souriant. Il était de la vieille école, il avait commencé très tôt et prenait sa retraite à seulement 56 ans.
Toute l'entreprise était rassemblée, du patron jusqu'aux stagiaires. À deux pas des machines-outils, une table avait été installée au milieu de l'atelier pour y placer les verres, les bouteilles de crémant et de jus d'orange, les petits fours, les cadeaux pour le jeune retraité.
"Le dictionnaire amoureux du jardinage" sembla ravir Jean-Marc qui embrassa chaleureusement Anne, la secrétaire, larmes aux yeux, qui venait de le lui ouvrir. Aurélie regardait, amusée, les cadeaux s'empiler : un pull kitsch, une casquette de l'entreprise, une caisse de champagne par le patron, une canne à pêche.
Aurélie siffla son verre de crémant et s'en servi un autre en passant devant les ouvriers dont elle put presque sentir le poids de leurs regards parcourir son joli corps, elle en avait l'habitude, c'était toujours le cas quand elle passait par l'atelier.
Jean-Marc, plus âgé, était plus subtil, il la regardait mais il le faisait discrètement, un oeil jeté rapidement sur son décolleté quand elle venait lui présenter les chiffres à son bureau. Un coup d'oeil sur ses fesses et ses jambes lorsqu'elle repartait.
Aurélie aimait cette façon qu'il avait de mater avec politesse, rien à voir avec la vulgarité des ouvriers. Elle en jouait parfois, choisissait sa garde-robe pour l'aguicher discrètement, laissait tomber un document pour se pencher en avant.
Il avait été son voisin de bureau, son supérieur hiérarchique au département comptabilité, c'était même lui qui l'avait embauché 15 ans auparavant !
Son sac à main vibra, elle regarda le message, c'était son mari : « Pardonnes-moi, tu as raison, je ne devrais pas être jaloux, tu as bien sûr le droit de participer au pot de départ de ton collègue. Rentre à la maison qu'on en discute ». Elle leva les yeux au ciel, enfonça le téléphone dans son sac et termina son verre d'un trait.
Aurélie enchaina petit-fours et verres de crémant tout en regardant les employés partirent au fur et à mesure, serrant la main de Jean-Marc, lui donnant une chaleureuse accolade accompagné d'un « joyeuse retraite ».
L'entreprise se vidait peu à peu, à l'image des plateaux de petits-fours. Aurélie se reprit un verre, elle jouait la montre, elle ne voulait pas rentrer chez elle, elle voulait profiter une dernière fois de la présence de son collègue
Jean-Marc, cheveux grisonnants, les yeux rougis par le crémant et l'émotion, lui lançait parfois de brefs regards et des petits sourires auxquels Aurélie répondait en lui faisant son plus beau sourire.
L'éternel noeud papillon de Jean-Marc amusait Aurélie, ce côté vieux jeu lui plaisait, elle avait de l'affection pour son collègue quinquagénaire.
Voilà, le patron venait de donner une franche poignée de main à Jean-Marc qui se mit aussitôt à débarrasser la table de son pot de départ.
Aurélie l'aida sans dire un mot, elle empila les plats vides, rassembla les verres. Jean-Marc s'approcha d'elle et lui tendit une bouteille : « Il y a un fond, allez, cul-sec ! ».
Elle plaça la bouteille sur ses lèvres, la leva et but deux gorgées puis lui tendit la bouteille : « Tout de même, la dernière goutte pour toi !».
Légèrement éméché, il but au goulot la dernière gorgée et laissa s'échapper un mince filet de crémant qui dégoulina sur sa joue.
Jean-Marc voulut s'essuyer à l'aide du dos de la main mais déjà Aurélie passait deux doigts sur sa joue pour récupérer le liquide échappé.
Elle suça les quelques gouttes présents sur ses doigts. Ils échangèrent un long regard, sourirent, puis rirent de bon coeur.
Jean-Marc, les joues rouges, saisit quatre bouteilles par le goulot et dit à Aurélie : « Tu peux prendre les plateaux vides sur la table, on va les jeter dans les bennes ».
Elle s'exécuta et le suivit dans le dédale des couloirs de l'entreprise. Ils passèrent devant le magasin de pièces détachées, tournèrent à gauche dans le petit atelier aux odeurs de graisse et de métal usiné.
Jean-Marc tenta d'ouvrir le couloir qui menait au local des déchets mais, les mains prises, n'y arrivait pas. Aurélie appuya d'un coup ferme sur la poignée avec son coude et d'un mouvement des hanches, poussa la porte.
Elle précéda Jean-Marc dans le couloir éclairé de néons et ce dernier ne se priva pas pour mater les jolies fesses d'Aurélie qui se dandinaient devant lui.
Il sourit en pensant aux innombrables fois où il l'avait maté dans son intégralité : ses jambes, ses fesses, ses seins, sa jolie petite gueule. Il devenait fou quand elle portait son jean taille basse qui laissait apparaitre son string lorsqu'elle se penchait. Il perdait ses moyens lorsqu'elle portait en été sa petite robe légère, enserrant ses deux beaux petits seins de la taille d'une pomme.
Jean-Marc rougit en repensant à toutes les fois où, après l'avoir discrètement dévoré des yeux, il s'enfermait dans les toilettes et se masturbait en pensant à elle.
Durant toutes ces années à la côtoyer, il avait tout fantasmé : la baiser toute nue sur son bureau, lui éjaculer sur les seins ou dans la bouche, la sodomiser sauvagement.
Il s'était branlé en l'imaginant prise entre le patron et le DRH. Souvent il s'astiquait le manche en l'imaginant dans un gang-bang avec les ouvriers du grand atelier, enchainant pipes et sodomies sous le regard médusé du reste de l'entreprise.
En repensant à ses fantasmes, Jean-Marc rougit encore un peu plus et il sentit son sexe se dresser dans son pantalon...
Arrivés au local poubelle, ils cherchèrent la benne adéquat parmi une dizaine et y jetèrent les déchets du pot de départ. Aurélie échappa un plateau en plastique, le ramassa et en se relevant, elle aperçut la bosse très visible dans le pantalon de Jean-Marc.
Elle repensa à toute les fois où il l'avait maté en pensant qu'elle ne le voyait pas faire et qu'ensuite il s'enfermait quelques minutes aux toilettes et en ressortait, les pommettes rouges, le regard fuyant.
Aurélie se retourna, lui fit un large sourire et lui demanda : « Je vais te manquer ?
— Bien sûr, répondit-il, le visage écarlate, tâchant de cacher son érection en se cambrant légèrement. C'est triste de savoir que je ne pourrai plus te voir.
— Me voir ?... Ou me regarder ? » demanda-t-elle avec sourire coquin tout en descendant son regard vers la bosse apparaissant nettement sur l'entrejambe de Jean-Marc.
Celui-ci balbutia une réponse inaudible, rouge de honte, en essayant de cacher son sexe de la main.
Aurélie leva son regard et le fixa droit dans les yeux puis elle reprit: « J'espère que tu as apprécié la vue à chaque fois que je me penchais sur ton bureau... et que tu passais un agréable moment aux toilettes juste après...
— Mais... Je... Tu le faisais exprès ?!
— Idiot ! dit-elle, un sourire amusé aux lèvres. Bien sûr ! Pourquoi crois-tu que je défaisais un bouton de mon chemisier avant de venir te voir ? »
Sans plus attendre, Aurélie défit un à un les boutons de son chemisier puis l'ouvrit pour laisser apparaitre ses deux petites pommes lovés dans un charmant soutien-gorge à balconnet.
Elle laissa glisser son chemisier le long de ses bras qui tomba sur le sol sale du local poubelle. Jean-Marc était hypnotisé par la jolie paire de sein délicatement serrée dans le soutien-gorge noir, contrastant avec la peau blanche et propre d'Aurélie, se démarquant au milieu des bennes à ordures.
À sa grande surprise mais pour son plus grand bonheur, Jean-Marc observa Aurélie s'agenouiller lentement tout en le regardant droit dans les yeux.
La vue plongeante sur les seins était magnifique et Jean-Marc faillit jouir lorsqu'Aurélie prit son plus bel air de cochonne pour lui dire : « Laisse-moi t'offrir un cadeau très spécial pour ta retraite...».
Elle posa sa main sur le sexe et palpa la verge à travers le pantalon. Rien d'impressionnant en longueur mais la largeur parut plaire à Aurélie. En revanche, quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle glissa sa main entre les jambes pour saisir les bourses de Jean-Marc.
Les yeux d'Aurélie s'ouvrirent en grand lorsqu'elle soupesa les bijoux de famille du quinquagénaire, elle n'avait jamais eu en main une paire de testicules aussi grosse et pourtant elle en avait palpé beaucoup.
Elle défit la ceinture puis descendit le pantalon jusqu'aux chevilles. Elle lui jeta un bref regard puis saisit le caleçon et le descendit tout doucement jusqu'à ce que le pénis rebondisse devant son visage et se stabilise à l'horizontal.
Effectivement la verge n'était pas très longue mais quelle largeur ! Aurélie s'en mordit les lèvres. Mais lorsqu'elle aperçut les bourses, elle ne put retenir un « Waouh ! » de stupéfaction en voyant ces couilles de taureau.
Elle leva la verge pour les admirer, les palpa, les pétrit puis les embrassa. Jean-Marc ferma les yeux en voyant le visage d'Aurélie se coller contre son pénis et en sentant les lèvres mouillées se déposer délicatement sur ses bourses.
Aurélie embrassa les couilles sous toutes les coutures, les lécha et les suçota tout en maintenant la verge appuyée sur son visage. Elle se recula légèrement pour embrasser le prépuce, le mordilla délicatement et en lécha langoureusement la pointe.
Elle introduit la pointe de sa langue sous le prépuce et la fit contourner le gland très doucement. Jean-Marc jubilait de voir cette langue tant désirée se faufiler entre son gland et son prépuce.
Aurélie le décalotta alors très lentement, faisant apparaitre le gland qu'elle titilla de la pointe de la langue puis qu'elle suçota du bout des lèvres.
Jean-Marc était aux anges, son sexe continua de durcir et se dressa fièrement devant le visage d'Aurélie. Elle le décalotta totalement et commença à le masturber doucement, observant avec délice le gland disparaitre sous le prépuce puis réapparaitre.
Tout en regardant Jean-Marc dans les yeux, elle défit son soutien-gorge et le jeta entre les bennes à ordures. Cette fois, le sexe de Jean-Marc atteignit son érection maximale, il était droit, vertical, la peau du gland tendue, luisante.
Aurélie regardait ce large sexe, hypnotisée, elle l'embrassa, lécha les veines saillantes, palpant les énormes couilles. Puis elle l'abaissa à l'horizontal, l'enfourna dans sa bouche et le suça.
Les lèvres écartées par cette large verge, Aurélie suçait tout en masturbant. Puis, elle plaça ses deux mains sur les cuisses de Jean-Marc et enfonça plus profondément le sexe dans sa bouche.
Jean-Marc se délectait, il sentait son gland caresser le palais d'Aurélie et atteindre l'entrée de la gorge. Pour son grand plaisir, Aurélie commença à gémir doucement à chaque pénétration, salivant, bavant sur son menton.
Aurélie ne boudait pas son plaisir en sentant cette large verge écarteler ses lèvres. Aussi loin qu'elle se souvienne, elle avait toujours aimé sucer.
Elle se souvint de sa première pipe, elle était en 3ème, elle devait avoir 14 ans, c'était avec Kévin, le beau gosse du collège. Elle ne sortait pas avec lui à l'époque mais elle avait su lui faire un sourire assez explicite pour qu'il l'accompagne derrière le garage à vélo du collège dans un coin discret.
Tout en lui roulant des galoches baveuses, Kévin avait glissé sa main dans son jean pour la doigter. Sans qu'il l'ait invité à le faire, Aurélie avait senti une envie irrépressible de le sucer.
C'est tout naturellement qu'elle s'était mise à genoux devant lui et, émerveillée par ce premier pénis qu'elle voyait en gros plan, avait commencé à le lécher et le sucer.
L'immense plaisir de sentir un pénis dans sa bouche avait hélas été de courte durée, le petit Kévin ne tint pas plus de trois allers-retours avant de lui remplir la bouche de sperme qu'elle avala sans sourciller, se délectant de cette nouvelle saveur du foutre chaud.
Le coin discret derrière le garage à vélo s'avéra ne pas être aussi discret qu'elle l'escomptait car quelques jours après cette première expérience, trois petits voyeurs de 4ème, qui les avaient observés discrètement, vinrent voir Aurélie.
Avant même qu'ils essayent de la menacer d'en parler au reste du collège, Aurélie leur avait proposé une pipe en échange de leur silence, mais cette fois, pas derrière le garage à vélo.
C'était le coeur battant, mélange d'appréhension et d'excitation, qu'Aurélie les rejoignit devant les toilettes publiques du parc de la ville. Une fois entrés dans les toilettes pour handicapés, c'est l'excitation qui prit le dessus lorsqu'Aurélie s'agenouilla devant les trois garçons qui sortaient déjà leur pénis tout en s'avançant vers elle.
Sans savoir vraiment comment s'y prendre, elle suivit son instinct et ses envies, elle les branla, lécha les couilles et les glands puis les suça à tour de rôle. Trois pénis, trois formes différentes, trois saveurs à découvrir. Elle y mettait tout son coeur, savourant ces pénis qui coulissaient sur sa langue et entre ses lèvres.
Cette fois, ce ne fut pas un échec comme avec Kévin l'éjaculateur précoce. Aurélie eut le temps d'admirer ces verges dressées, de jouer avec et de les prendre longuement en bouche, s'en délectant une par une.
Tout était nouveau pour elle mais elle apprécia cette découverte. Sa position à genoux l'excitait énormément, elle jubilait de voir ces trois bites se pressaient pour entrer dans sa bouche et y être sucées. Les trois collégiens éjaculèrent tour à tour dans la bouche demandeuse.
Chaque jus avait son goût et sa texture, elle avala chaque goutte avec plaisir.
Ce qui ne devait être qu'une seule pipe en échange de leur silence se transforma en rendez-vous régulier. Elle les suça de nombreuses fois, améliorant sa technique, augmentant son plaisir, recevant avec joie ces verges en bouche jusqu'à l'obtention du nectar tiède.
Soudain, une sonnerie de téléphone interrompit Aurélie dans sa fellation et Jean-Marc fut surpris de la voir saisir son téléphone.
« Cette sonnerie, c'est mon idiot de mari... dit-elle d'un air exaspéré, de grands fils de baves pendant à son menton. Je réponds, fais pas de bruit, ça va te plaire. »
Jean-Marc resta estomaqué de la voir répondre à son mari au milieu d'une fellation.
« Quoi ?! demanda-t-elle à son mari d'un ton rageur après avoir mis son téléphone sur haut-parleur.
– Pardon ma chéri, je n'aurais pas dû te parler comme ça ce matin... J'ai été trop bête... Je.. je...
– Trop bête, c'est sûr, répondit Aurélie. Maintenant, je veux que tu t'excuses, plusieurs fois, sincèrement... puis que tu me demandes pardon et enfin, que tu me donnes une bonne raison de rentrer à la maison ce soir ! »
Puis sans attendre de réponse, Aurélie coupa le micro du téléphone, le posa au sol et à la grande surprise de Jean-Marc, elle recommença à le sucer.
La scène était insolite, Aurélie suçait Jean-Marc tandis que son mari s'excusait au téléphone, lui faisait tout un laïus sur sa stupidité, ses erreurs, avec des larmes dans la voix.
Ceci eut pour effet de surexciter Jean-Marc dont le sexe n'avait jamais était aussi dur. Aurélie était elle-même surexcitée par la dureté du pénis dans sa bouche ainsi que par le ballotement des couilles qui tapaient dans son menton enduit de bave.
Mais ce qui l'excita le plus fut bien évidemment d'entendre son mari bafouiller des excuses au téléphone pendant que le sexe de Jean-Marc était engloutie dans sa bouche.
Plus le mari pleurnichait dans le haut-parleur et plus Jean-Marc et Aurélie augmentaient la cadence. La large verge allait et venait entre les lèvres expertes, glissant sur la langue et s'immisçant dans la gorge d'Aurélie.
«Glurp... Glurp...Blurp... Blurp ». Les sons du gland qui s'introduisait dans la bouche et la gorge d'Aurélie se mélangeaient avec la complainte du mari et le plaisir d'Aurélie et Jean-Marc en fut décuplé.
Jean-Marc aperçut le torse d'Aurélie, ses seins ballottaient, enduits de salive provenant d'innombrables fils de baves dégoulinant de son menton. C'est alors qu'elle croisa ses poignets dans son dos comme si elle était ligotée, à la merci de Jean-Marc, lui offrant entièrement sa gorge.
Son excitation atteint son paroxysme, il prit la tête d'Aurélie entre ses mains et mit toute sa fougue à lui baiser la bouche. Les sons de pénétration et de déglutition augmentèrent de conserve avec les gémissements d'Aurélie.
Le mari, qui n'entendait rien, commença à pleurer au téléphone et lâcha une dernière phrase : « Pardonne-moi ma chérie, tu as raison, je ne devrais pas être jaloux...».
Jean-Marc, le coeur battant la chamade, faillit s'évanouir de plaisir en entendant cela et ne put se retenir plus longtemps : il éjacula dans un long râle de plaisir, les innombrables saccades vinrent tapisser de sperme la gorge d'Aurélie, ses couilles de taureau se vidèrent dans cette bouche humide et ardente qu'il avait désiré pendant si longtemps.
Aurélie couina de plaisir en sentant la décharge de foutre dans sa bouche qu'elle avala en plusieurs gorgées. Elle sortit la verge de sa bouche et lécha le gland dont sortait les dernières gouttes de sperme.
Elle prit le téléphone, activa le micro et dit : « Bon, ok, je rentre mais que ça ne se reproduise plus. Je sors avec mes amis si je veux, tu n'as pas à être jaloux ! ». Puis elle lui raccrocha au nez et caressa lentement son visage avec la verge de Jean-Marc, éreinté mais ravi.
« Joyeuse retraite mon Jean-Marc... J'espère qu'on se reverra bientôt. »
À suivre.
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La bonne mélodie
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Clément (11ème partie)
La randonnée d'Aurélie et son mari Xavier avait été mémorable. Accompagnés par leur ami Clément, ce dernier s'était occupé d'Aurélie dans le refuge, vite rejoint par leur guide de montagne qui n'en revenait pas.
Sa stupéfaction augmenta encore d'un cran lorsque trois joyeux inconnus italiens débarquèrent au refuge et s'occupèrent également d'Aurélie sous le regard ravi de son cocu de mari.
Le retour à l'hôtel se passa dans la joie et la bonne humeur le lendemain, Aurélie et Xavier étaient au comble du bonheur suite à cette soirée où Aurélie s'était déchaînée avec ces cinq hommes.
Xavier et Aurélie n'avaient jamais été aussi proches, le couple aussi solide, que depuis qu'ils s'étaient lancés dans le candaulisme. Aurélie aimait se donner à d'autres devant son mari et Xavier adorait voir sa femme coucher avec d'autres hommes.
Leur séjour à la montagne continua toujours dans la bonne humeur avec de nombreuses activités : ski, levrette, randonnée, sodomie, raclette, fellation...
Ils tâchaient toujours d'aguicher le réceptionniste lorsqu'ils rentraient à l'hôtel, lui montrant clairement que Xavier était le mari cocu et Clément l'amant, le mâle alpha.
Leur séjour touchait à sa fin et ils n'avaient pas encore essayé le jacuzzi extérieur ! Xavier et Aurélie descendirent au rez-de-chaussée en peignoir et rejoignirent le jacuzzi qui se trouvait à l'arrière de l'hôtel, sur une immense terrasse en bois à l'extérieur, à quelques pas du sauna.
Les abords de la terrasse étaient recouverts de neige et un petit air frais saisit Xavier et Aurélie lorsqu'ils sortirent de l'hôtel. Clément était resté dans la chambre, il les observa par la fenêtre, ils avaient planifié ensemble un petit scénario en s'apercevant d'en haut que deux personnes profitaient déjà du jacuzzi.
Une couche de vapeur se déplaçait lentement à la surface de l'eau chaude du jacuzzi et lorsqu'ils s'approchèrent, les deux hommes qui s'y trouvaient, des quadragénaires bronzés avec la marque des lunettes de soleil, les saluèrent d'un « bonjour » poli accompagné d'un sourire.
Xavier leur répondit, enleva prestement son peignoir, laissant apparaitre sa bedaine poilue puis entra dans l'eau chaude. Aurélie prenait son temps, faisant attendre les deux hommes dont l'intérêt s'était tourné vers elle lorsqu'elle les salua de son joli sourire.
Elle leur fit une forte impression lorsqu'elle ouvrit son peignoir et laissa entrevoir son joli corps dans son maillot deux pièces. Prenant son temps pour qu'ils l'observent, elle retira son peignoir, ajusta son bonnet à pompon puis enjamba le rebord du jacuzzi en leur tournant le dos pour passer la seconde jambe.
Aurélie fit ce mouvement avec lenteur afin que les deux hommes se délectent de sa jolie paire de fesses tandis que Xavier observait discrètement la scène du coin de l'oeil. Ce dernier entama la discussion en se présentant ainsi que sa femme en précisant qu'ils fêtaient leurs 15 ans de mariage, ce qui était totalement faux.
Bien élevés, le deux hommes les félicitèrent puis se présentèrent : Olivier et Nicolas, deux amis commerciaux, amateurs de ski, qui passaient une semaine dans la station sans leurs épouses.
Le barman de l'hôtel arriva et leur demanda ce qu'ils voulaient boire, leur proposant un vin chaud maison qui fit l'unanimité ! Le barman revint quelques minutes plus tard avec de grands verres en plastique (jacuzzi oblige) et les quatre barboteurs trinquèrent ensemble.
L'ambiance était bonne, la conversation plaisante, autant que le vin chaud qu'ils buvaient comme du petit lait. Les deux commerciaux ne se privaient pas de reluquer Aurélie qui se mettait régulièrement debout pour qu'ils la matent avant de s'asseoir de nouveau, laissant ses jolies épaules et le haut de ses seins apparaitre dans la couche de vapeur.
Le jacuzzi était de grande taille, il aurait pu accueillir une douzaine de personne facilement. La conversation étant bonne, les quatre amateurs de vin chaud s'étaient rapprochés dans un coin.
C'est le moment où Clément apparut, il salua tout le monde et comme convenu, il fit comme s'il ne connaissait pas Xavier et Aurélie. Il s'inséra dans la conversation et paya sa tournée de vin chaud dont les effets commençaient à se faire sentir.
Aurélie, les yeux brillants, rigolait à tout va et s'était assise sur les genoux de Xavier afin de se surélever et que ses seins soient clairement visibles. Clément et les deux commerciaux, légèrement bourrés, lorgnaient les deux beaux seins délicatement serrés dans le haut de maillot de bain qui laissait apparaitre les tétons dressés.
Xavier adorait voir l'intérêt de ces hommes pour son épouse. D'une main, il tenait son verre en s'accoudant sur le bord du jacuzzi et de l'autre, il caressait sa femme, ses cuisses, son sexe puis glissa sa main dans le bas de maillot de bain pour titiller le clitoris.
Sachant que les trois hommes ne pouvaient rien voir à cause de l'eau bouillonnante, Xavier commença à la doigter délicatement, il voulait la chauffer au maximum avant de la servir... Il lui fit boire son verre de vin chaud, un de plus, pour qu'elle perde le contrôle.
C'est alors que la troisième partie du scénario élaboré auparavant fut lancée lorsque Xavier dit à voix haute : « Je remonte dans la chambre, je te laisse ma chérie. Messieurs, je vous abandonne mais je vous laisse ma femme pour... discuter ! »
Au moment où Aurélie se leva légèrement des genoux de Xavier pour le laisser passer, celui-ci défit en un geste rapide les deux noeuds du bas de maillot de bain qui, aidé par les remous du jacuzzi, glissa entre les cuisses d'Aurélie et sombra sans qu'elle ne puisse rien faire.
Elle se rassit et tenta vainement de tâtonner le banc pour trouver son bas de maillot de bain, puis essaya de glisser ses pieds sur le sol du jacuzzi pour le retrouver mais impossible. Elle se retrouvait avec seulement son bonnet et son haut de maillot de bain mais la gêne laissa très vite place à l'excitation quand elle s'aperçut que les trois hommes la dévoraient des yeux et se rapprochaient encore un peu plus.
Assise dans le coin du jacuzzi, les trois hommes autour d'elle, Aurélie riait à gorge déployée tout en insérant deux doigts dans son vagin. Ses genoux cognaient ceux de ses deux voisins, les pieds se touchaient, les jambes se frôlaient...
Clément jouait son jeu de rôle, il faisait comme s'il ne connaissait pas Aurélie, un inconnu autant que les deux commerciaux, ils discutaient tous les quatre dans la bonne humeur. Aurélie regarda la facade de l'hôtel et leur dit : « La lumière de la chambre s'est éteinte, mon mari vient d'aller se coucher ». Elle savait que ce n'était pas le cas et qu'il observait dans le noir...
C'est alors que Clément se plaça à côté d'Aurélie, cuisse contre cuisse et passa son bras autour de ses épaules tout en présentant de son autre main son verre pour trinquer avec elle. Il termina son verre cul-sec, en signe de défi, et elle l'imita, puis jeta son verre par dessus sa tête.
Ils se regardèrent, droit dans les yeux, le temps semblait s'être arrêté, les deux commerciaux observaient, ne sachant pas ce qui allait se produire. Sous leurs yeux ébahis, incrédules, ils virent Aurélie poser un simple baiser sur les lèvres de Clément puis elle lui roula une grosse pelle, leurs langues se mélangèrent, goulument.
Un des deux commerciaux, Olivier, se plaça contre Aurélie et elle l'embrassa sans plus attendre, avec frénésie. C'est alors que le deuxième commercial, Nicolas, demanda : « Mais qu'est-ce que c'est que ça ? » et il récupéra à la surface de l'eau bouillonnante le bas de maillot de bain qui flottait devant eux.
Aurélie, complètement bourrée, lâcha un simple « Oups » d'un air coquin, la main devant la bouche feignant d'être prude puis éclata de rire.
Clément la prit par la taille et la fit s'asseoir sur ses genoux, appuyant son dos contre son torse viril. Les cuisses de Clément étant plus imposantes que celles de Xavier, Aurélie se retrouvait plus élevée, son torse apparaissait hors de l'eau, ses tétons pointaient plus que jamais à travers le haut de maillot de bain.
Aurélie sentit le sexe de Clément en érection contre le bas de son dos, il commença alors à l'embrasser dans le cou et remonta ses mains le long de son ventre puis palpa les deux seins de ses grosses paluches qu'il glissa ensuite sous le maillot de bain, pétrissant les tétons.
Olivier l'embrassa avidement et lui écarta les cuisses d'une main avec laquelle il caressa la chatte avant d'introduire deux doigts dans le vagin pour la doigter. Nicolas jeta le bas du maillot de bain derrière lui et pétrit l'un des seins disponibles avant qu'Aurélie ne se penche de son côté pour l'embrasser sans retenue.
Clément défit le noeud du haut de maillot qu'il retira et jeta au loin. Toute nue, avec seulement son bonnet, Aurélie se délectait de ces six mains qui la pelotaient et la doigtaient pendant que les trois bouches l'embrassaient et la léchaient.
Elle se leva légèrement et dirigea d'une main le sexe de Clément pour l'introduire dans son vagin puis se posa sur ses genoux. Bourré lui aussi, Nicolas enleva son caleçon, se leva et présenta son sexe devant la tête d'Aurélie sur laquelle il posa une main pour l'attirer vers lui.
Aurélie se soucia peu des chambres de l'hôtel dont la lumière était encore éclairée, elle était totalement surexcitée. Elle suçait Nicolas et déjà Olivier se mettait debout et lui offrait son pénis. Clément la faisait glisser le long de ses cuisses en un va-et-vient tandis qu'il prenait les deux seins à pleine main au-dessus de la couche de vapeur.
Masturbant et suçant les deux commerciaux debout dans le jacuzzi, Aurélie s'aperçut en passant d'un sexe à l'autre que des silhouettes apparaissaient en ombre chinoise à certaines fenêtres éclairées de l'hôtel. Loin de la mettre mal à l'aise, elle écarta légèrement les deux hommes afin d'être plus visible entre eux et elle redoubla d'ardeur.
Alternant d'un sexe à l'autre, Aurélie vit que les deux commerciaux commençaient à greloter à cause de la nuit froide qui s'était installée. Elle se leva, enjamba le rebord du jacuzzi et fut saisie par le froid mordant. Toute nue, avec seulement son bonnet, le choc thermique fut sévère. Elle se dirigea rapidement vers le sauna situé à quelques pas.
Arrivée devant la porte vitrée, elle se retourna, les trois hommes nus la suivaient, peignoir à la main, sexes puissamment érigés malgré le froid. Juste avant d'ouvrir la porte, elle eut l'impression qu'un peu plus de chambres étaient désormais allumées, laissant apparaitre quelques silhouettes de voyeurs. Éméchée et surexcitée, elle se foutait pas mal qu'on la regarde, au contraire, sa dernière once de pudeur avait volé en éclat lorsqu'elle avait commencé à tailler une pipe aux deux commerciaux devant tous les chanceux qui se rinçaient l'oeil depuis leurs chambres.
La porte s'ouvrit et laissa s'échapper une bouffée de vapeur qui les vivifia instantanément. Ils pénétrèrent tous les quatre dans ce nuage de vapeur tellement agréable, leur vision s'adapta à la lumière tamisée et ils découvrirent l'intérieur du sauna, recouvert de lattes de bois du sol au plafond et pouvant contenir une bonne dizaine de personnes sur des banquettes également en bois.
Les quatre corps se réchauffèrent rapidement mais lorsqu'Aurélie, toute nue, s'agenouilla devant eux, la température corporelle de Clément et des deux commerciaux prit encore quelques degrés. Elle les suça tout les trois à tour de rôle, lécha les bourses, suçota les glands et reçut les verges en gorge profonde.
Ils empilèrent leurs peignoirs sur la banquette en bois pour allonger Aurélie et la sautèrent l'un après l'autre pendant qu'elle taillait une pipe aux deux autres. Elle se retourna pour se faire prendre par derrière. La vapeur rendait les corps moites et empêchait Aurélie de savoir qui la pénétrait mais peu importe, elle les prenait en elle, ils n'étaient réduits qu'à leur pénis qui pénétraient et leurs mains qui caressaient et pelotaient.
Un léger courant d'air frais leur fit comprendre que quelqu'un s'était introduit dans le sauna. Un visage familier émergea de la vapeur, il ne s'agissait pas du mari cocu mais du barman, entièrement nu, sexe en érection. Quand Clément l'aperçut, il ne lui dit rien, il retira son sexe du vagin et indiqua au nouveau venu la croupe d'Aurélie. Le barman la prit par les hanches et enfila sa verge dans le vagin.
Aurélie retira un sexe de sa bouche pour tourner sa tête vers cet inconnu qui la prenait par derrière. Elle fit un large sourire au barman quand elle le reconnut, son menton était ruisselant de salive et de grands fils de bave y pendaient. Heureuse, elle retourna sa tête et ouvrit la bouche, langue sortie, pour que les deux commerciaux y introduisent leur pénis.
Clément cracha sur l'anus et y inséra deux doigts qu'il fit coulisser tandis que le barman la sautait. Après quelques minutes de doigtage, l'anus resta entrouvert lorsque Clément retira ses doigts et le barman ne put se retenir plus longtemps devant cet anus béant : il la sodomisa en profondeur, lui faisant pousser un gémissement de plaisir.
Xavier qui avait suivi la scène du jacuzzi puis l'entrée dans le sauna depuis sa fenêtre de chambre, décida de descendre. Il arriva lentement face à la porte embuée mais ne parvint pas à voir à travers le nuage de vapeur. Il s'approcha alors d'une fenêtre du sauna mais impossible de voir à travers. Il percevait seulement le mouvement de la vapeur causé par le déplacement des corps.
En revanche, il pouvait entendre certains sons, des voix d'hommes, enthousiastes, très enthousiastes. Les commentaires graveleux, les descriptions, lui permettaient d'imaginer, comme s'il regardait un film les yeux bandés : « Oh oui, t'es une belle salope ! », « T'aimes ça dans ton cul, hein ? », « Allez, suce ma queue ! »
D'Aurélie, il entendait seulement des gémissements, des halètements, des respirations essoufflées, des bruits de déglutitions mais aucune parole, rien. La connaissant, il se dit que sa bouche devait être occupée, remplie en continue par un ou plusieurs sexes.
C'est alors qu'il entendit un bruit derrière lui. Quelqu'un approchait, simplement habillé d'un peignoir, il le reconnut immédiatement : le réceptionniste, sourire aux lèvres. Xavier, sans une hésitation, dans un geste simple, lent et très symbolique, lui ouvrit la porte, l'autorisant à entrer pour s'occuper de sa femme.
L'air frais s'engouffra et déplaça la vapeur dans un tourbillon. L'espace d'un instant, Xavier entraperçut sa femme, elle était à genoux sur la banquette, un homme allongé entre ses cuisses, un autre à genoux la sodomisait tandis qu'elle suçait les deux hommes devant elle. Les mains des hommes saisissaient ses seins, palpaient ses fesses, dirigeaient sa tête vers leurs pénis.
Il se rendit compte que d'autres hommes, sexe à la main, étaient présents, ils avaient dû se joindre aux festivités lorsque il était sorti de sa chambre et descendu par les escaliers. Au final, il ne savait même pas combien d'hommes baisaient sa femme.
Déjà la porte se refermait et la dernière image que Xavier put apercevoir fut le réceptionniste qui laissait tomber son peignoir au sol et se dirigeait vers Aurélie pour la baiser.
Xavier, grelotant, resta dehors, écoutant les bruits de pénétrations, les commentaires des hommes qui encourageaient Aurélie et la traitaient de tous les noms. Il écoutait les bruits de succion et de déglutition des verges qui allaient et venait dans la bouche et la gorge de sa femme.
Quelques gestes précipités se firent entendre, accompagnés de râles et d'exclamations : les hommes étaient en train de jouir. Xavier ne pouvait qu'imaginer la destination des jets de sperme. Anus ? Vagin ? Parfois un simple « Avale tout ! » lui indiquait qu'un flot de sperme venait de se déverser dans la bouche de sa femme.
Au milieu des exultations, Xavier entendait sa femme haleter et geindre, exténuée. Un crescendo de cris et d'encouragements se fit entendre, suivi d'une salve d'applaudissements et de commentaires obscènes puis, plus rien.
Clément ouvrit la porte, nu, et fit signe à Xavier d'entrer. Celui-ci, grelottant, ne se fit pas prier et entra dans le sauna dont la chaleur le revivifia immédiatement. Il s'approcha au milieu des regards scrutateurs du groupe d'hommes entièrement nus.
Puis il la vit. Aurélie, son épouse, était étendue sur trois hommes. Les cuisses écartées laissaient apparaitre son anus et sa vulve, orifices écarlates et encore semi-ouverts dont dégoulinait un filet de sperme.
Son corps était maculé de traces d'éjaculations se mêlant à la sueur. Ses seins étaient enduits de foutre auquel venait s'ajouter celui qui dégoulinait le long du cou depuis le menton.
Le visage d'Aurélie était une oeuvre d'art, ruisselant de sperme. D'un mouvement lent, très sensuel, elle suçait un sexe en fin d'érection, elle semblait se délecter.
Aurélie le regarda, lui sourit tendrement, elle n'avait jamais été aussi amoureuse de son mari que depuis qu'il était cocu. Xavier était heureux, il aimait voir sa femme dans cet état, enduite de sperme, exténuée après s'être donnée à plusieurs hommes.
Elle s'essuya les lèvres d'un doigt qu'elle suça langoureusement. Tous les hommes présents la regardaient, souriants... surtout son mari.
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dadoou · 3 months
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