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coxinel · 1 year
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Voyage au Japon n. 7 : sommaire
-- du 18 novembre au 11 décembre 2022 --
18 novembre : Trois ans déjà…
18 novembre : Embarquement pour Tokyo
19 novembre : Nouvelles procédures
20 novembre : Journée tranquille à Yokohama
21 novembre : En route pour Kyoto… et au-delà !
22 novembre : Amanohashidate, le « pont dans le ciel »
23 novembre : Ine, le village de pêcheurs
-- billets à venir : ---
24 novembre : la côte d’Udadome
24 novembre : le musée du sable de Tottori
25 novembre : les dunes de Tottori
25 novembre : un jardin au calme
26 novembre : des temples perdus dans la montagne
27 novembre : de Tottori à Matsue
27 novembre : le musée d’art Adachi et le « plus beau jardin du Japon »
28 novembre : Matsue Vogel Park, le châteeau de Matsue et le coucher de soleil sur le lac Shinji
29 novembre : le « terrifiant » pont d’Eshime et le jardin Yuushien
29 novembre : Sakaiminato et l’œuvre de Shigeru Mizuki
30 novembre : Izumo, une plage, un phare et des sanctuaires
1er décembre : les gorges de Tachikue et encore des sanctuaires dans la forêt
2 décembre : Iwami Ginzan
3 décembre : la plage des fossiles
3 décembre : les 123 torii du sanctuaire Motonosumi Inari
4 décembre : Hagi
5 décembre : le temple Shoin, à Hagi
5 décembre : la grotte et le plateau karstique d’Akiyoshidai
6 décembre : la pagode de Yamaguchi
6 décembre : retour à Kyoto
6 décembre : le Byōdō-in et le temple Mampukuji, à Uji
7 décembre : journée à Kyoto -1- bain de foule au Kinkaku-ji
7 décembre : journée à Kyoto -2- les beaux érables du temple Jōjakkō-ji
7 décembre : journée à Kyoto -3- le temple Tofuku-ji et la vallée des érables
7 décembre : journée à Kyoto -4- re-bain de foule au Kiyomizu-dera
7 décembre : pause gourmande à la gare de Kyoto
8 décembre : le temple Tō-ji et le temple Hongan-ji, à Kyoto
8 décembre : retour à Tokyo
8 décembre : Shinjuku, la nuit, c'est beau
9 décembre : journée shopping à Shinjuku
10 décembre : quand, le matin, tu vois le mont Fuji depuis ton lit…
10 décembre : shopping et pause gourmande à Shinjuku
10 décembre : sur le départ
11 décembre : … et nous avons fait le tour du monde
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coxinel · 2 years
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Ine, le village de pêcheurs
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Le temps est maussade aujourd'hui mais cela ne nous empêchera pas d'aller visiter Ine, un village de pêcheurs "les pieds dans l'eau", dont les deux cents maisons environ bordent une petite baie. Ces maisons, les "funaya", sont typiques de ce village. Le premier niveau est un garage à bateau et l'habitation se trouve à l'étage.
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Nous laissons la voiture au parking, et nous partons à pied dans l'unique rue qui traverse le bourg, dans la direction du port.
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La rue principale est bordée de maisons traditionnelles en bois. Du côté de la mer, le rez-de-chaussée sert de garage à bateau. Le lieu est quasiment désert, ce qui, en cette saison et par ce temps, n'est pas très étonnant.
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La seule activité qu'il nous est permis de voir est celle des pêcheurs et ce tous ceux qui travaillent dans le port.
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Nous longeons les petites installations portuaires, puis continuerons dans la rue du village. Le temps partiellement pluvieux finit par nous convaincre de faire demi-tour après avoir marché environ 2 km. Le phare, qui pourrait être le but de cette promenade, est encore loin et il nous tarde de nous attabler dans un endroit sec.
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Nous revenons sur nos pas. Il est possible de faire une balade en bateau, mais nous ne voyons aucune information à proximité de ce qui semble être un embarcadère ou qui est noté comme cela sur la carte.
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De retour sur le parking, nous apercevons un de ces bateaux proposant le tour du village. Deux personnes viennent d'embarquer. Une affiche indique le prix de 1000 yens (un peu moins de 7 €) pour un tour de 30 minutes. La pluie a cessé, peut-être pas pour longtemps aussi l'occasion est peut-être à saisir.
Le bateau nous emmène faire le tour de la petite baie, ce qui permet d'avoir un autre point de vue sur les maisons. On peut remarquer aussi quelques parcs à huîtres.
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Le temps étant toujours pluvieux, nous décidons de rentrer à Amanohashidate. Il nous reste encore à visiter le temple Chionji, proche de la bande de sable.
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coxinel · 2 years
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Amanohashidate, le « pont dans le ciel »
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Cette bande de sable plantée de pins, longue de presque 3 km est l’une des « trois plus belles vues du Japon », les deux autres étant Miyajima et Matsushima, que nous avions déjà visitées lors de précédents voyages.
Le temps est couvert mais il y a peu de risque de pluie aujourd'hui, contrairement à ce qui est prévu pour demain, aussi vaut-il mieux y aller aujourd’hui. Nous commençons par le belvédère auquel on accède soit en funiculaire soit en télésiège, qui n’ont étonnamment aucune barre de protection.
En haut se trouve un petit parc d’attraction, quasiment désert en cette période de l’année.
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Ici, le visiteur est invité à prendre la pose « matanozoki », qui permet de voir le paysage sens dessus dessous et donne l’impression d'un dragon dans le ciel.
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La visite continue par la promenade sur la bande de sable. Le sentier est réservé aux piétons et aux deux-roues.
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On peut y observer de nombreux oiseaux.
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De l’autre côté de la bande de sable, l’ambiance est plus calme. Il y a bien au moins un ou deux magasins de souvenirs et quelques restaurants, mais assez peu de monde dans les rues.
Nous trouvons un restaurant de fruits de mer, le すえひろ, servant d'excellentes tempura.
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Prix de ce festin : ¥1440 par personne pour le 天ぷら定食.
Il nous reste l’après-midi pour monter jusqu’au belvédère, cette fois en funiculaire.
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De ce côté, on ne voit pas les vagues que forment les plages du côté de la mer, mais le panorama est dégagé.
Depuis la gare supérieure du funiculaire, on peut encore monter, soit en bus, soit à pied par un sentier dans le parc Kasamatsu (傘松公園), qui rejoint ensuite la route.
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On retrouve ensuite un autre sentier menant à もみじ谷, la « vallée des érables » (もみじ谷) qu'il serait dommage de ne pas voir en cette saison.
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On atteint le but de la promenade, le temple Nariaji et la pagode à 5 étages qui se reflète dans un petit étang.
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Continuer un peu la route qui longe l'étang et suivre le petit panneau 写真スポット (ou demander le shashin spotto = spot photo) si l’on est perdu.
Encore quelques escaliers et l'on a alors mérité une vue panoramique sur le site.
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Il nous faut maintenant revenir. En regardant Google maps pour estimer l'effort qu'il nous faudra fournir pour refaire tout ce long chemin à pied, nous nous rendons compte que le parking où nous avons laissé la voiture est ouvert jusqu'à 17 heures.
Il est déjà 15 heures. Nous avons le temps de rentrer, mais il ne faut pas traîner : 20 minutes pour redescendre jusqu'au funiculaire, puis, une fois redescendus par le funiculaire, encore 3,5 km à faire pour revenir à notre point de départ. Nous avons le temps, mais il ne faut pas traîner.
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Nous pressons le pas, même si la fatigue commence à se faire sentir. Nous arrivons à temps au parking, sur lequel il ne reste que deux voitures. Et là, le gardien du parking, qui était invisible ce matin (il faut avouer que nous n’avions pas beaucoup cherché), attend dans un coin du parking et nous demande son dû, en parlant comme s'il s'adressait à des natifs. Mais ce n'est pas bien compliqué à comprendre.
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coxinel · 2 years
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En route pour Kyoto... et au-delà !
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Ce matin, nous partons pour Kyoto, première étape de notre itinéraire vers la région de San’in. 
Vers 8h30 nous sommes à la gare, avec l’intention de prendre un train vers 9 heures, de façon à arriver à 11 heures à Kyoto, car nous avons réservé une voiture à 11h30. Nous avons l’embarras du choix pour le train, car à cette heure sur cette destination un train part en moyenne toutes les cinq minutes. De quoi faire rêver les usagers du RER C, avec une fréquence 3 fois plus élevée alors que le trajet représente environ 450 km... Nous avons pris un peu de marge, et nous avons le temps de photographier et de filmer, car avant le nôtre, au moins 3 ou 4 trains passeront sur le quai.
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En prenant un NOZOMI, nous sommes en moins de deux heures à Kyoto
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Arrivés à la gare de Kyoto, nous avons la mauvaise idée de suivre les panneaux «rental car» qui ne nous amènent nulle part. Après nous être renseignés auprès d’un agent posté à la sortie du parking et avoir suivi ses explications qui nous envoient à un parking Times (et pas une agence), nous faisons ce que nous aurions dû faire depuis le début : suivre les indications de Google maps.
Nous avons trop chaud avec nos pulls en laine et nos vestes, et n’avons qu’une envie : nous retrouver sur la route loin de la ville. La circulation est assez fluide, et après quelques errements, nous voilà enfin sur la voie rapide. Cela nous coûte un peu plus de ¥2000, pour un gain de temps plutôt faible, mais cela présente l’avantage d’être plus simple pour cette reprise en main de la conduite au Japon.
Nous nous arrêtons dans un petit restaurant au bord de la route, tenu par un Japonais plus tout jeune. Ici, pas de plat en résine en vitrine, ni de «English menu». La carte est posée sur la table, et il suffit de savoir lire... Cela reste heureusement assez simple et même si l’on ne comprend pas tout, on peut facilement s’en sortir si l’on sait lire les kana, et que l’on connaît les kanjis de base : 牛 = vache, 丼 (don), c’est un bol de riz avec des choses dessus, et donc 牛丼, c’est un gyudon, soit un bol de riz surmonté de fines tranches de bœuf. Dans 焼きそば, il y a 焼 (grillé, grillade), et donc nous sommes ici en présence de yakisoba, des soba sautées. Et à la première ligne, on peut lire ビーフカレー, c’est un dire un curry au bœuf. Il ne nous en faut pas plus. Cela nous ira très bien pour ce premier repas de notre circuit, pendant lequel nous devrons nous débrouiller tous seuls.
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Encore 20 minutes de route, et nous arrivons à Miyama, village de montagne aux maisons traditionnelles, qui, contrairement à l’éco-village de Takayama, n’est pas un musée, mais un vrai village habité.
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Nous reprenons la route vers Amanohashidate, où nous arrivons à la tombée de la nuit. Nous sommes plus exactement à Miyazu, la ville voisine.
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L’hôtel (Fairfield by Mariott) nous surprend agréablement par la taille de la chambre. Bien qu’il soit classé 2* (peut-être parce qu’il n’offre pas de service de restauration et pas de petit déjeuner), le confort des chambres vaut celui d’un 3*. La chambre est spacieuse, la salle de bain n’est pas un module en plastique comme on peut en voir souvent, mais une vraie pièce qui peut s’ouvrir sur la chambre.
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Une cuisine est à disposition au rez-de-chaussée, avec des machines à café et de quoi réchauffer des plats. Comme l’hôtel se trouve en face d’un centre commercial, cela ne sera pas un problème pour la restauration.
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coxinel · 2 years
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Journée tranquille à Yokohama
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La soirée d'hier et la journée d'aujourd'hui étaient réservées aux retrouvailles en famille et à la récupération du voyage.
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Après quelques courses, nous passons l'après midi au repas dominical, suivi d'une visite du musée du ramen, ou plus exactement le "Cup Noodle museum", puisque l'inventeur de ces plats instantanés est un Japonais.
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Ce n'est pas forcément ce qui irait visiter en premier en arrivant dans la région mais si l'on a une heure à tuer en passant dans le coin (et si on a déjà visité le navire amarré non loin de là), pourquoi pas...
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coxinel · 2 years
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Nouvelles procédures
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À notre arrivée nous inaugurons presque les nouvelles procédures en vigueur depuis le 14 novembre. Pour faciliter les contrôles, qui comprennent maintenant un volet sanitaire avec vérification du certificat de vaccination Covid ou du test PCR, le Japon a mis en place un site sur lequel il est conseillé de s’inscrire au moins quelques heures avant le départ. Il permet non seulement d’enregistrer son certificat de vaccination ou les résultats du test PCR, mais aussi les informations que l’on remplissait avant sur une fiche dans l’avion ou à l’arrivée.
Dès la sortie de l'avion, des employés en chasuble rose nous attendent pour la vérification du QR code. Si l'on a pensé à faire une capture d'écran dudit QR code cela passe tout de suite, sinon il faut attendre que le wifi réponde, mais cela reste rapide. On nous donne alors un papier attestant que le contrôle a été fait.
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Nous passons ensuite au guichet de l’immigration. La nouveauté est qu’après avoir pris nos empreintes, il suffit de scanner notre QR code «immigration» qui remplace donc la fiche qu’il fallait auparavant remplir dans l’avion. Une fois cela fait, nous récupérons les bagages qui ont rapidement été livrés.
Pour la douane, même procédure : on nous invite à passer au «kiosk», un automate sur lequel nous scannons notre passeport et notre QR code «douanes». Une demi-heure après notre sortie de l’avion, nous sommes prêts à prendre le train. Je m’aperçois alors que malgré mes préparatifs et ma liste de «choses à ne pas oublier», j’ai oublié de prendre les cartes PASMO et SUICA des voyages précédents. Tant pis. Nous en achetons de nouveaux (le support coûte 500 yens).
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coxinel · 2 years
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Embarquement pour Tokyo
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C'est avec Japan Airlines que nous voyageons cette fois. Cela aurait pu être avec ANA, qui propose des vols quasiment aux mêmes horaires, mais lorsque nous avons acheté les billets JAL était un peu moins cher. Les vols avec escales étaient bizarrement plus chers que les vols directs. Quant à Air France, ils nous proposaient un tarif un peu plus élevé et les horaires nous convenaient moins.
Nous sommes arrivés à Roissy avec 3 heures d'avance car on ne sait jamais ce que l'enregistrement nous réserve. La dernière fois cela nous avait pris 2 heures pour arriver jusqu'à la salle d'embarquement, donc nous préférons être prudents.
Pendant que nous faisons la queue pour enregistrer nos bagages, on contrôle que nous avons bien enregistré notre certificat de vaccination ou notre test PCR. C'est avec une bonne surprise que nous voyons des humains aux comptoirs, humains qui disent bonjour, qui s'occupent de peser les bagages, coller les étiquettes, souhaitent un bon voyage. Cela est quand même bien agréable et cela change de notre dernier voyage.
En passant devant les comptoirs Air France nous constatons que laisser les clientd se débrouiller en les regardant de loin les bras croisés n'est pas une fatalité ni une généralité à Roissy, mais bien le choix de certaines compagnies dont Air France. Eh bien, tant que ce sera comme cela, nous prendrons une compagnie japonaise !
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coxinel · 2 years
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Trois ans déjà...
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Trois ans déjà depuis notre dernier voyage... L'épisode Covid est passé par là et nous avons dû patiemment attendre la réouverture du Japon. Début septembre déjà, il apparut que le voyage tant espéré pourrait se faire cette année, à condition que toutes les réservations soient faites par une agence, ce qui nous permettrait d'obtenir un visa. Ce n'est pas dans nos habitudes mais tant pis, nous nous adapterons. Et puis rapidement les bonnes nouvelles sont arrivées : le 11 octobre, le Japon rouvrirait aux touristes, comme avant ou presque (il faut maintenant être vacciné ou faire un test PCR). Nous avons peaufiné notre circuit, acheté les billets d'avions, réservé les hôtels et enfin le jour du départ est arrivé ! Cette fois nous avons opté pour la prudence et pris des billets semiflex, certes plus chers mais avec l'assurance de pouvoir changer nos dates voir annuler sans frais. Il y a encore peu de vols par rapport à la période faste davant COVID et l'interdiction de survol de la Russie n'a pas arrangé les choses, en allongeant les temps de trajet. Mais nous préférons ne pas attendre plus longtemps (de toutes façons nous avions posé nos congés pour fin novembre en prévision de ce voyage), en nous disant que nous profiterons sûrement du fait que le tourisme reprend doucement et que nous serons plus tranquilles.
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coxinel · 5 years
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Voyage au Japon n. 6 : sommaire
-- du 5 au 29 septembre 2019 --
7 septembre : Le chemin de la mer du nord
6 septembre : Sapporo, premier soir
7 septembre : Découverte de Sapporo (1)
7 septembre : Découverte de Sapporo (2)
7 septembre : Découverte de Sapporo (3)
8 septembre : Maruyama Park (Sapporo)
8 septembre : Bière et «poissons des îles paumées»
9 septembre : Le village historique d’Hokkaido
9 septembre : En voiture !
10 septembre : Sapporo Art Park
10 septembre : La colline du Bouddha (Makomanai Takino Cemetery)
10 septembre : Curry soup : on en redemande !
10 septembre : Dans le métro de Sapporo
11 septembre : Saut à ski et Jeux olympiques d’hiver (musée olympique de Sapporo
11 septembre : Barbecue
11 septembre : Bien arrivés à Noboribetsu !
12 septembre : Jogokudani (la Vallée de l’Enfer) (Noboribetsu)
12 septembre : Quelques animaux sauvages (le Bear Park, à Noboribetsu)
13 septembre : Le chemin des cratères (promenade dans les environs du lac Toya)
28 septembre : Concert de Drum Tao
-- billets à venir --
14 septembre : Otaru
15 septembre : Yoichi, la fabrique de whisky
15 septembre : Cape Kamui
16 septembre : des champs de fleur à perte de vue
16 septembre : une auberge et des moutons
17 septembre : Bear Mountain
17 septembre : pause tranquille au bord du lac
18 septembre : au pays des Aïnus
19 septembre : la péninsule de Shiretoko (1)
20 septembre : les lacs du parc Akan
21 septembre : la péninsule de Shiretoko (2)
21 septembre : où sont les baleines ?
22 septembre : la péninsule de Shiretoko (3)
23 septembre : le musée de la prison d’Abashiri
24 septembre : retour à Tokyo
25 septembre : un burger d’exception
25 septembre : une vallée perdue dans Tokyo
26 septembre : Matsumoto et le château du corbeau noir
27 septembre : Promenade à Kamakura
28 septembre : Le parc Senkeien, à Yokohama
28 septembre : soir de match
29 septembre : retour au bercail
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coxinel · 5 years
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Et pour terminer les vacances dans la bonne humeur, concert de Drum Tao, à l’Alternative Theater, dans le quartier de Ginza.
Il est bien sûr interdit de photographier et de filmer pendant le spectacle, sauf pendant le dernier morceau, que la troupe invite à enregitrer et à partager. Parce que rien de tel que des spectateurs contents pour faire un peu de pub ! 
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coxinel · 5 years
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Le chemin des cratères
Le lac Tōya est un lac d’environ 10 kilomètres de diamètre occupant une ancienne caldeira, à environ une heure de route de Noboribetsu. Au milieu, quatre îles sont accessibles en ferry depuis la ville de Toyako-onsen et offrent divers circuits de randonnées. 
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Ce n’est pas sur les îles que nous irons nous promener aujourd’hui, mais du côté du mont Uzu, un volcan dont la dernière éruption date de 2000. Le «chemin des cratères» est un chemin de randonnée qui permet de découvrir le paysage tel qu’il a été «façonné» par l’éruption.
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Le chemin offre des points de vue dégagés sur le lac Tōya, avec en fond, le mont Yotei, dont la forme rappelle celle du mont Fuji. 
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Le chemin commence juste après un premier grand mur, destiné à protéger la ville des futures éruptions.
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On passe ensuite devant quelques bâtiments abandonnés, dont un hôtel qui n’accueille plus que des arbres.
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Des pancartes invitent les promeneurs à ne pas entrer en raison du danger.
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Le chemin monte ensuite tranquillement dans la montagne. L’été à Hokkaido est réputé pour ses températures beaucoup plus douces que dans les régions plus méridionales du Japon, et pourtant le thermomètre indique plus de 30 degrés en fin de matinée. Heureusement, la montée n’est pas raide.
Nous arrivons à un premier cratère. 
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Tout au long du chemin, des panneaux explicatifs bilingues (japonais / anglais) expliquent ce qui s’est passé le 4 avril 2000, date de l’éruption du Mont Uzu.
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Nous pourrons observer plusieurs autres petits cratères le long du chemin. Nous continuons notre parcours en suivant le chemin «Nishiyama». Il commence par longer une ancienne route, soulevée lors de l’éruption.
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Ce chemin facile permet aussi d’observer encore quelques fissures et cratères.
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Du sommet, on a un point de vue dégagé sur la montagne et sur l’océan.
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On peut continuer la balade par un petit bout de chemin, qui descend doucement sur l’autre versant. Bientôt on arriver près d’un autre bâtiment détruit par l’éruption.
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Le chemin s’arrête ici et on fait demi-tour pour rentrer. 
Nous avons bien mérité une «sofukurimu» !
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coxinel · 5 years
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Quelques animaux sauvages
Sur les hauteurs de Noboribetsu se trouve le Bear Park, qui est en fait un zoo et un petit musée consacré aux ours.
Pour y aller il faut prendre le téléphérique, compris dans le prix d’entrée au parc.
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Le parc se visite assez vite car il n’y a que deux grands enclos dans lesquels sont parqués les ours, d’un côté les mâles et de l’autre les femelles, plus un autre près de l’entrée, où l’on peut voir quelques oursons jouer dans la piscine.
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Depuis le parc, on a une vue plongeante sur le lac Kuttara, un lac presque circulaire dont les eaux remplissent une caldeira. 
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Comme l’après-midi n’est pas encore terminée, nous avons le temps d’aller au bord du lac, mais il faut rentrer prendre la voiture et rouler une dizaine de kilomètres.
Sur le chemin du retour, juste derrière les hôtels et les habitations, nous rencontrons un cerf qui broute tranquillement dans un jardin abandonné, sans s’occuper de nous.
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Après avoir roulé une dizaine de kilomètres sur une petite route de montagne, nous arrivons au bord du lac, qui est déjà dans l’ombre.
Cela nous laisse peu de temps pour admirer les eaux limpides du lac, eaux qui sont considérées parmi les plus pures du Japon.
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Au retour, nous rencontrons quelques biches au bord de la route, qui semblent peu s’inquiéter des voitures.
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La route longe ensuite le lac d’Oyonuma, au bord duquel nous nous sommes promenés ce matin. Les touristes sont partis, nous sommes seuls au bord de la route et le seul bruit que l’on peut entendre est le bruit de la vapeur qui s’échappe de la montagne.
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coxinel · 5 years
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Jogokudani (la Vallée de l’Enfer)
Sur les hauteurs de Noboribetsu se trouve le Val d’Enfer : dans ce petit coin de montagne, l’eau jaillit à plus de 40 degrés. Ici, l’eau est sulfureuse, mais il n’y a pas cette odeur d’œuf pourri qui monte à la gorge, comme cela peut être le cas dans certaines stations thermales. 
Dans le hall de l’hôtel et au détour d’une rue, quelques « divinités » locales.
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Sur la route on peut voir de la vapeur s’échapper des soupiraux, de puits et autres cavités.
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En quelques minutes de marche à pied, nous arrivons à la Vallée de l’Enfer : une longue jetée en bois permet de se promener au milieu des rivières bouillantes, des mares de boue fumantes, et si on a de la chance, on pourra apercevoir un petit geyser. 
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Plusieurs sentiers permettent de faire le tour de la vallée et d’aller jusqu’aux lacs sulfureux d’Oyunuma et d’Oku no Yu.
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Les balades sont courtes et plutôt faciles. Après la vallée d’Enfer, nous prenons le sentier qui monte dans la forêt, jusqu’aux lacs. 
Sur le sentier, des panneaux permettent d’en apprendre plus sur les curiosités géologiques du coin en proposant des petits quiz. 
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C’est ainsi que nous apprenons que dans le lac d’Oyonuma, la température de l’eau atteint 130 degrés au fond et 50 degrés en surface.
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L’accès au lac est interdit aux intrépides qui auraient envie de patauger dans les eaux fumantes et sulfureuses.
De la montagne s’échappent des jets de vapeurs avec un bruit de cocotte minute sous pression.
On repart ensuite doucement vers la ville en suivant la rivière. Si, sur la photo, cela ressemble à un torrent de montagne, il ne faut pas compter se rafraîchir ici : l’eau est à plus de 40 degrés. 
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En contrebas, le bord de la rivière est aménagé pour que les promeneurs puissent se délasser en prenant un bain de pieds dans l’eau bien chaude.
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coxinel · 5 years
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Bien arrivés à Noboribetsu !
Après la visite des tremplins de Sapporo, nous quittons définitivement la ville. Prochaine étape : Noboribetsu où nous resterons trois nuits. Sur la route, nous avons prévu de faire halte près du lac Shitotsu, mais il pleut depuis notre départ, et depuis la rive on ne voit pas grand chose à part un bout de lac sous la pluie. Il n’y a rien d’autre à faire que de filer à Noboribetsu, d’autant que nous devons arriver à l’hôtel avant 17h30. 
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Nous arrivons à l’hôtel juste à temps. Nous avons le temps de nous installer avant d’aller au restaurant pour le 2e service. Pendant ce temps les employés viennent installer les futons pour la nuit.
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Buffet varié et copieux... et vin de la région d’Hakodate
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Les gourmands terminent sur une note sucrée...
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... et notamment le Baumkuchen fait maison.
Ce gâteau, d’origine allemande comme l’indique son nom, est très populaire au Japon. On le trouve même facilement dans les konbinis.
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coxinel · 5 years
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coxinel · 5 years
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Saut à ski et Jeux olympiques d’hiver
Sapporo, qui fut l’hôte des Jeux olympiques d’hiver de 1972, garde quelques souvenirs de cette événements, et notamment plusieurs tremplins de saut à ski, que l’on peut apercevoir depuis le centre-ville, lorsqu’on monte à la tour de télévision par exemple. 
On peut visiter le plus grand, qui est adossé au mont Okura.
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Un télésiège permet d’aller au sommet du tremplin.
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Au cours de la montée, on se rend compte que la piste d’arrivée est bien plus pentue que ce qu’on peut imaginer lorsqu’on regarde les épreuves retransmises à la télévision.
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C’est ici que les skieurs s’envolent.
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Vue plongeante sur la piste...
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... et panorama sur la ville
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Au pied du tremplin se trouve un petit musée des Jeux olympiques d’hiver, où l’on peut notamment s’amuser dans les simulateurs de saut à ski, de course de patin ou de bobsleigh. 
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Une frise retrace la chronologie des jeux olympiques d’hiver.
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Qui se souvient des J.O. de Grenobule ?
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À l’entrée du musée, rétrospective du ski et du patin à glace.
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Après tous ces efforts, nous avons bien mérité un petit remontant ! À côté du musée se trouve un restaurant de grillades, tout à fait bienvenu, d’autant qu’il est bientôt 14 heures et qu’il pleut à verse, ce qui n’incite pas à retourner en ville.
Parmi les viandes qui nous sont servies : de l’agneau. C’est la première fois que nous en mangeons au Japon.
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coxinel · 5 years
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Dans le métro de Sapporo
La réseau de métro de Sapporo est assez simple : trois lignes en étoile qui se croisent à Odori, et aussi Sapporo (là où se trouve la gare centrale) pour deux d’entre elles. Nous pouvons utiliser les cartes Pasmo et Suica que nos traînons depuis 2015 et qui nous ont servi dans différentes régions du Japon.
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Mais hier, nous avons exceptionnellement acheté des tickets, car le week-end, le pass journalier est à 520 yens, ce qui est particulièrement intéressant, le ticket à l’unité coûtant de 200 à 370 yens selon le nombre de zones. (Pour les jours de la semaine, le pass journalier est à 820 yens).
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Les noms des lignes sont pratiques (pour qui a des notions de japonais) : Namboku (南北), la ligne verte, signifie “nord-sud” ; Tōzai (東西), la ligne orange, signifie “est-ouest” ; et quant à Tōhō (東豊), la ligne bleue reprend les noms des quartiers des deux terminus, Higashi (東) et Toyohira (豊平).
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Sans surprise, on retrouve des composteurs similaires à ceux qu’on voit ailleurs au Japon. 
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Comme d’habitude, les indications sont claires : panneaux lumineux dans les rames, indication des noms des stations dans plusieurs systèmes d’écriture, et dans les rames, informations en japonais et en anglais.
Chaque station est identifiée par une lettre (correspondant au noms de la ligne à et un nombre, donc pas de panique si on ne retient pas les noms un peu compliqués des stations.
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Dans les stations, il suffit de suivre les flèches. 
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Un peu partout, des affiches rappellent quelques consignes de sécurité et de savoir-vivre dans les transports en commun. Ici, c’est “super-damé” (ダメ étant employé pour signifier qu’une chose est interdite ou du moins à ne pas faire), qui rappelle aux voyageurs de ne pas garder le nez dans le portable sans regarder où l’on va.
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Petit rappel de quelques règles de savoir-vivre dans les transports.
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Ici encore, rappel de quelques consignes, en mode anime comme souvent : ne pas écouter de musique en marchant, ne pas jouer aux jeux vidéo en marchant, ne pas utiliser son smartphone en marchant, ne pas lire en marchant, ne pas discuter au téléphone en marchant.
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