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cinema-look · 5 months
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2023.22 : Chicken Run : La Menace nuggets
J'ai évalué Chicken Run : La Menace nuggets (2023), de Sam Fell 7/10
Malgré un côté un peu réchauffé, on retrouve l'humour et l'univers qui marche du premier épisode
Ça avance (un peu trop) vite, c'est dynamique et combatif, ça parle beaucoup de liberté, sortir du confort pour se confronter au monde, ne jamais accepter sa condition
L'aventure permet d'aborder les causes de la maltraitance animale, les questions de véganisme, de l'écologie, de sociétés alternatives, ou de l'abrutissement de notre société de consommation.
Les buckets KFC, le château fort qui explose, une zad, mission impossible
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cinema-look · 5 months
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2023.21 : Lamb
J'ai évalué Lamb (2021), de Valdimar Jóhannsson 6/10
Film qui se base sur conte islandais avec éléments bibliques et connotations religieuse.
La propriété de l'homme pour soumettre la nature a son mode de vie et se retourne contre lui.
Vide, froid, triste, grand espace, très peu de dialogue, éléments surnaturel
Fusil, naissance cru, mi homme mi agneau
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cinema-look · 6 months
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2023.20 : Themroc
J'ai évalué Themroc (1973), de Claude Faraldo 7/10
Film sans dialogue autre que des grognements, des cris ou des onomatopées. Film symbolique interdit initialement au moins de 18 ans, il est encré dans son époque post-mai 68. Proche du film "l'An 01", il a une mise en scène très cartoonesque, ce qui le rapproche aussi de la BD et de l'époque Hara-Kiri. Léger par sa forme, pas de prise de tête, mais profond par son message contestataire. Contre les normes sociales, contre la propriété, pour la libération sexuelle, c'est un appel a la révolte, qui se propage à travers le personnage principal joué par Michel Piccoli. Il y'a aussi un super casting, Miou-Miou, Deware, Coluche etc...
C'est un appel à devenir sauvage dans ce monde oppressif, mais avec les défauts que cela engendre : les femmes deviennent aussi des morceaux de chair, la force viril du personnage incarne une figure héroïque indépassable.
Des murs qui se brisent, la destruction du mobilier, des flics qui volent, qui se font rôtir puis manger, des décors de ruine, des ouvriers qui se tapent dessus pour un travail aliénant et absurde.
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cinema-look · 1 year
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2023.19 : Vidéodrome
J’ai donné à Vidéodrome (1983), de David Cronenberg la note 5/10
BDSM, du sang, des écrans. Un cassette piraté via un signal télévisé porno par un petit patron opportuniste qui finit par se trier une balle, ayant lui même été pervertit par sa propre marchandise.
Grande critique de la manipulation des écrans, et surtout de son contenu (~le porno pervertit l'esprit), mais mal ficelé, beaucoup de mal à comprendre.
Belle séquence symbolique de SDF qui sont des salles de shoot aux écrans dans un centre de charité télévisé.
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cinema-look · 1 year
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2023.18 : À nos amours
J’ai donné à À nos amours (1983) de Maurice Pialat, la note 6/10
Thématique générale pas très intéressante mais toujours séduit par le charme des films Pialat.
Naturel, spontané, la jeunesse fait écho à Passe t-on bac d'abord mais dans un registre plus autour des normes familiales et des relations.
Un marin Américain, la plage, la nudité.
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cinema-look · 1 year
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2023.17 : Invasion Los Angeles
J’ai donné à Invasion Los Angeles (1988), de John Carpenter la note 7/10
Des séquences très symboliques
Des Ă©glises, des politiciens, des flingues, des flics, des courses poursuites.
Des cartons, des lunettes, une ambiance marquante appuyé par un thème musical qui se retient.
Mythe du self man made américain, de la liberté de conscience, des médias et de la pauvreté.
Une bonne idée et réflexions mais qui ne sont pas poussés très loin
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cinema-look · 1 year
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2023.16 : Papy fait de la résistance
J’ai donné à Papy fait de la résistance (1983) de Jean-Marie Poiré, la note 7/10
Sujet de la collaboration, le rôle de la France et la résistance clandestine, assez décomplexé.
La place de la bourgeoisie et de la culture.
M'attendait à plus drôle pour ce classique mais univers très attrayant.
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cinema-look · 1 year
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2023.15 : Les lignes courbes de Dieu
J’ai donné à Les lignes courbes de Dieu (2022) de Oriol Paulo, la note 8/10
Marquant, univers très parlant comme Vol au dessus d'un nid de coucou
Fin très bien amené
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cinema-look · 1 year
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2023.14 : L'Empire du Milieu
J’ai donné à Astérix & Obélix: L'Empire du Milieu (2023) de Guillaume Canet, la note 3/10
Très nul, acteurs mis en avant pour beaucoup inexistant. Un scénario sans intérêt, les situations sont créés pour faire des sketchs avec les personnages recrutés.
Univers asiatiques/ gaulois/ romain qui donne une impression bizzare.
Humour et blagues très moyennes, a part deux ou trois.
Effets spéciaux plutôt bien, et quelques belles déco, mais manque vraiment de spectaculaire ou d'originalité.
Un scénario basé surtout sur trois relations amoureuses inintéressantes.
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cinema-look · 1 year
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2023.13 : Glass Onion
J’ai donné à Glass Onion: une histoire à couteaux tirés (2022) de Rian Johnson, la note 7/10
Un renouvellement par rapport à son précédent film, une autre ambiance, le luxe de milliardaires modernes, au lieu du rustique manoir bourgeois.
Des idées de mise en scène toujours assez original, l'image est vraiment très propre, un montage (un peu trop) rythmé. Pas forcément toujours le temps de bien suivre, un peu du mal à poser l'action et les enjeux, ou de laisser respirer. C'est aussi l'essence même de ces types de films.
Meurtres, récits, énigmes, montage alterné, retours temporels, île isolé, du sang, des flingues, téléréalité et réseaux sociaux...
Tout brille, du bling bling, les sacs à mains de haute couture, les insupportables sourires et rires, la thématique de l'eau, l'art et les vitres.
Des personnages féminins puissants, des hommes plus en retrait.
Une fin au message assez radical qui permet au film d'aller au bout de son propos, c'est très appréciable.
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cinema-look · 1 year
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2023.12 : Le charme discret de la bourgeoisie
J’ai donné à Le charme discret de la bourgeoisie (1972) de Luis Bunuel, la note 5/10
Les thématiques et les sujets des films de Luis Bunuel sont toujours très intéressant, mais un rythme, une ambiance et une mise en scène qui ne me fait pas rêver.
Les insupportable manières bourgeoises, leurs dîners, leurs avis géo-politique, leurs échanges, leurs condescendances.
Les militaires qui jouent a la guerre, le curé qui tire sur le paysan, les gendarmes qui embarquent et tortures.
Les gauchistes terroristes, les révolutionnaires qui ne parlent pas, les mafieux qui tirent, et les bourgeois corrompus.
Un petit air Godard sur les dialogues politiciens inaudible, camouflé par des avions ou des sirènes.
La mort, le sang, des flingues, les rêves imbriqués dans des rêves certaines fois surréalistes. La famille décomposé.
Une triste habitude de tournage exclusif et conventionnelle en studio, aucune scène de rue.
Les bonnes cibles sont visés, mais un manque de perspectives, de mise en œuvre d'un type de cinéma pour la cause. Un regard qui me semble passif et mou.
Un fond révoltant une forme révolu.
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cinema-look · 1 year
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2023.11 : Eraserhead
J’ai donné à Eraserhead (1977) de David Lynch, la note 6/10
Du noir et blanc, un film quasi-muet (très peu de dialogues).
Un ambiance de mort à tous les sens, une bande son très sensorielle. Un bon film horrifique.
Un bad trip total, une tête coupée, du sang, un fœtus d'E.T., des embryons écrasés, la maladie, une femme aux joues déformées et un homme avec une coupe de cheveux affreuse.
Un monde misérable, du drap du lit, aux intérieurs, ou au quartier industrielle.
Ça rêve, ça chantonne, ça pleure, ça rigole. Et ça nous hypnotise.
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cinema-look · 1 year
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2023.10 : Babylon
J’ai donné à Babylon (2022) de Daminen Chazelle, la note 9/10
Un film qui fait penser à Once Upon A Time In Hollywood sorti quelques années plus tôt. Un film sur l'amour du cinéma en toile de fond et qui évoque autant son histoire, ses pratiques, sa théorie que ses philosophies. Les années 20 du cinéma plutôt que les années 60, et le passage au parlant.
Des films historiques évoqués, ou en clin d'œil. Processus de fabrication et répétition d'un film.
Un film à très gros budget mais très bien utilisé, tout semble parfait ce qui en serait presque agaçant. Un rythme très soutenu, surtout au début, les 3 heures passent sans s'en rendre compte.
Des grandes scènes impressionnantes de danse et de fête, des scènes de musique, qui évoque La La Land en tant que comédie musicale, mais aussi beaucoup d'humour subtil et surprenant pour un film de ce genre.
On parle aussi de drogue, de sexe, de dégradation de carrières, de mafias, d'argent.
Critique des bonnes pensées et moeurs bourgeoise, le cinéma semble notamment en être un émancipateur.
Une grande idée de liberté à plusieurs niveau de lecture, un film qui motive et léger mais profond, à voir et revoir.
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cinema-look · 1 year
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2023.9 : Brazil
J’ai donné à Brazil (1985) de Terry Gilliam, la note 8/10
Un film rétro-futuriste d'une très grande créativité et à une conception visuelle unique, où notamment les machines complexes ont prit beaucoup de place.
Une esthétique visuelle très approfondie, dans un style surréaliste et troublant, beaucoup d'utilisation de très courte focale, accompagnée par une très belle B.O.
Des attentats terroristes incompris, un gouvernement bureaute autoritaire et sur-structuré à grand pouvoir, une aristocratie qui baigne dans le superficielle et le ridicule. Des paravents qui viennent camoufler la vue de tout ce qui viendrait perturber l'ordre. Des bidonvilles dans des quartiers insalubres.
Des rebelles, le travail, la télé, la paperasse au bureau, les enquêtes.
Des plombiers efficaces et des saboteurs, des tours immenses et des machines complexes, des bureaux sans vies et des vies sans âmes. Mais une histoire d'amour en toile de fond qui se structure.
Des scènes de combat japonais, des envols aux allures médiévales, des scènes de tortures. Des doux rêves et des horrifiques bad-trips. Une scène finale émouvante.
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cinema-look · 1 year
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2023.8 : Soleil Vert
J’ai donné à Soleil vert (1973) de Richard Fleischer, la note 7/10
Un personnage principal au comportement détestable (flic...)
Une histoire et un univers dont on a du mal a saisir les enjeux et a bien intégrer la continuité, on s'ennuie et répétitif au début.
Une grande dystopie et une critique très bien amorcé mais un peu simplement, avec des images sur un capitalisme incontrôlable, en intro, épuisant toute les ressources.
Une fable écologique mais qui traite aussi de la violence de classe, du contrôle et de la répression de l'état.
Des camions pelleteuses à manifestants, des décors futuriste d'une esthétique année 70, des halls surveillés à la mitraillette, des politiciens corrompus et des flics pourris, beaucoup de sueur et des femmes sans cervelles...
Un film assez en avance sur son temps sur le propos, de très belles scènes d'émeute, du sang un peu trop rouge, des pauvres un peu trop pauvre et des riches beaucoup trop riche.
Des distributions alimentaires et des files de pauvres partout, qui travaillent en industrie, dorment par terre ou attendent.
Un peu trop de séquence en intérieur pour un tel univers, une super séquence sur la fin de vie d'un personnage mais une toute dernière séquence un peu décevante.
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cinema-look · 1 year
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2023. 7 : La cérémonie
J’ai donné à La cérémonie (1995) de Claude Chabrol, la note 4/10
Assez décevant, une bonne idée générale, mais mal vieilli, mal mis en scène ou un jeu d'acteur moyen...
Les personnages ne sont pas très développées non plus, les Bourgeois sont mit en scène de manière plus attendrissante que les 2 rebelles ce qui rend la fin très froide et presque a contre-sens de ce que Chabrol semblait vouloir produire comme discours.
Des miroirs, la télévision, une critique des activités bourgeoises, Saint-Malo...
Un intéressant choix de mort pour des chasseurs. Un duo révolté quand même assez beau.
Un film qui se rêverait aussi révolté mais toujours en demi-teinte, un coup un respect agaçant pour l'institution Catholique, un coup le Curé humilié, un coup les bourgeois sont appréciés d'avoir une fille rebelle qui aide la Bonne, un coup ils se font tirer dessus, un coup elles font la police du tri de vêtements des poubelles un coup ça colle des chewing-gums sous les bureaux.
Une irritante impression d'un cruel manque de budget alors qu'il s'agit d'un film de Claude Chabrol, serait-ce là le symptôme de plusieurs artistes vieillis de la Nouvelle-Vague qui ne savent plus renouveler leur format de cinéma d'auteur désormais sans problème de financement 30 ans après avoir apprit à les faire avec les moyens du bord ? Une triste enlise dans un cinéma conventionnel qui a perdu sa force : sa subversivité.
Le film en reste assez humain, mais une ambiance "sans-vie" s'en dégage, un film français plat et sans beaucoup de prise de risque.
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cinema-look · 1 year
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2023. 6 : La Chinoise
J’ai donné à La Chinoise (1967) de Jean-Luc Godard la note 6/10
Un film très créatif, mais un brin propagandiste. Ce n'est pas un mal, mais même prit au second degré, comme beaucoup de ses films, on a du mal a suivre.
L'effervescence des jeunes esprits révolutionnaires parisiens pré-68 prit dans les clivages idéologiques entre pays occidentaux face aux pays asiatiques au cœur d'une lutte anti-impérialiste.
Le communisme, le maoïsme, le parti, le livre rouge face au capitalisme, au PCF ou au révisionnisme Russe.
Le marxisme léninisme à l'heure de la guerre du Viêtnam sous toutes ses formes, des portraits de Staline, de Mao, le tigre, la mitraillette, la révolution violente, le terrorisme.
Le capitaliste et sa bouteille coca-cola, ses comics, ses avions et ses tanks.
C'est rouge, c'est bleu, c'est jaune.
On apprend méthodiquement, on se réveille sur l'internationale et on se met au récit des l'entraînements au balcon.
On lit, on récite avec ou sans lunettes, sans tout comprend ni à l'oreille, ni l'action ou les paragraphes sursautant à l'écran.
On parle aussi de la révolution au cinéma, de Méliès et des frères Lumières, de Eisenstein ou de sa propre mise en perspective, avec le film tourné sous les yeux du spectateur.
L'art, les tableaux, les livres, les philosophes et la musique (Mao) mais on souhaite quand même poser des bombes sur les universités sans même le soutien des plus grands du FLN (Algérie).
Un film mou en sa forme et pauvre en son récit, mais riche en ce qu'il témoigne d'une époque, énergique dans la vitalité des idées novatrices et porteuse d'espoir.
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