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cap-au-sud · 5 years
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Clap de fin
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Petit extrait de notre meilleur allié pendant ce voyage, maps.me, pour un aperçu de notre périple ! Après 105 jours de voyage, 25 nuits en tente, 20 jours en trek, 10 bus de nuit et une belle balade le long du Pacifique entre les latitudes 0 et 53,5S, on embarque dans quelques heures pour Paris - arrivée prévue samedi midi. On emmène avec nous des milliers de photos et de souvenirs à rassembler, trier et partager, du meilleur (Victoire : île de Pâques, Gautier : les baleines du détroit de Magellan) aux moments de doute (Victoire : traversée en ferry du bien-nommé golfe des peines, Gautier : des bus de nuit mouvementés). A bientôt à Paris ou ailleurs !
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cap-au-sud · 5 years
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Valparaiso - graffitis et fresques muraux
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Ils recouvrent les murs et dévalent les escaliers de Valparaiso, en leur donnant une seconde vie, formant une cacophonie de couleurs brillant au soleil. Pot-pourri de nos trouvailles, on continue à explorer la ville !
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cap-au-sud · 5 years
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Valparaiso - cure de couleurs et de chaleur
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...avant le retour vers l’hiver parisien. Après une semaine de randonnée et une journée de voyage pour remonter de la Patagonie, l’arrivée dans cette ville joyeuse et colorée nous a tant plu que nous y poserons nos sacs jusqu’à l’heure du départ, au détriment de Santiago qui attendra un prochain voyage. La ville a deux visages : ses fameuses collines (cerros) d’abord, constituées d’innombrables étages de maisons colorées et traversées d’un dédale de passages, d’escaliers et d’ascenseurs du début du siècle. Quelques collines concentrent l’afflux touristique, avec des ateliers d’artistes et d’attirants cafés à chaque coin de rue. Si on s’aventure dans les collines environnantes, l’effervescence fait vite place à une atmosphère paisible qui fait penser à un village de campagne, avec des ruelles pentues qui semblent plonger droit vers le Pacifique. Le deuxième visage, c’est la ville basse, dynamique et bruyante, avec le port industriel et ses vestiges d’une glorieuse époque économique, bien loin des paisibles cerros hors du temps qui planent quelques mètres au-dessus.
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cap-au-sud · 5 years
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Torres del Paine - encore plus de vert et de bleu
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cap-au-sud · 5 years
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Torres del Paine
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Nous partîmes à deux mais par un prompt renfort nous étions six en arrivant au parc (rejoints en chemin par deux Californiens égarés sur leur chemin de retour en France ainsi que deux Londoniennes venues vérifier si la pluie patagonienne est différente de la pluie anglaise). Floriane, Jean Yves, Valérie et Lisa allaient être nos compagnons de trek pendant 8 jours dans le fameux parc Torres del Paine. Le circuit O, c'est environ 130 km dans des paysages extrêmement variés avec une météo tout aussi changeante. Pas de pumas à l'horizon mais quelques condors, des tiuques (un oiseau charognard qui ressemble à un petit aigle), des sommets enneigés, des lacs, des forêts et surtout de somptueux glaciers bleutés.
Pour conclure cette semaine en beauté, réveil en pleine nuit pour aller admirer le lever du soleil (censé) caresser les célèbres tours qui donnent leur nom au parc.
Après ces 8 jours de déconnexion et de vie dans notre petite bulle, il nous a fallu quelques heures pour réaliser que c'était fini et revenir dans le monde réel, et surtout que la fin du voyage est toute proche... Direction Valparaiso pour profiter de nos derniers jours d'été austral !
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cap-au-sud · 5 years
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L’île aux manchots
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On vous présente le manchot de Magellan, qui, avec deux bandes noires sur son plastron blanc, diffère des ses cousins de Humboldt que nous avons vus plus au Nord. Il pullule sur une île au large de Punta Arenas. On a craqué (le prix de la visite est assez exorbitant) et on ne le regrette pas. Contrairement à nos précédentes rencontres avec des manchots, lorsque nous les observions à une trentaine de mètres depuis une embarcation, on débarque ici les touristes sur l’île. S’ensuit alors une promenade de 800m sur l’île pendant une heure. Un peu long pour faire 800m direz-vous, mais c’est à peine assez pour la troupe de touristes complètement gagas qui évolue avec des cris ravis à quelques mètres ou centimètres des manchots indifférents aux visiteurs. Les règles de la visite sont strictes, priorité aux manchots qui traversent le chemin : d’où des situations cocasses, avec des touristes tétanisés devant un manchot qui traverse paisiblement le chemin, où reste de longues minutes indécis au milieu de la route. La colonie de manchots cohabite sur l’île avec une foule de goélands : l’île est donc couverte de ces deux bestioles noires et blanches, à peu près de la même taille. Le tout dans une joyeuse cacophonie, car les manchots s’égosillent à intervalles réguliers devant leur nid pour appeler leur conjoint ou dissuader les intrus, et les goélands piaillent de concert. C’est la période de nidification, avec de mignonnes petites surprises duveteuses au fond de certains nids. En rentrant, l’immense colonie de lions de mer vociférants sur une île voisine nous auraient presque laissés indifférents après un tel spectacle.
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cap-au-sud · 5 years
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Promenade au phare du bout du monde
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Capitale de la Patagonie chilienne, Punta Arenas a été notre camp de base pour explorer cette superbe région. Perchée en face du détroit de Magellan et de la Terre de Feu, la ville marque la fin de la route, le terminus du continent américain, et dégage une atmosphère particulière (entre deux rafales de vent d'ouest).
Seulement ce n'est pas la vraie fin de la route, cette dernière continue quelques dizaines de kilomètres au Sud. Derrière le mythique panneau "Fin del camino", il est possible de poursuivre à pied pendant une dizaine de bornes jusqu'au phare San Isidro. Les puristes nous reprocheront de ne pas être allés au Cap Froward, qui est le point le plus austral du continent mais on n'avait pas le temps (il faut compter environ 2 jours de marche).
Sous un grand ciel bleu inhabituel ici, la balade est magnifique et, une fois arrivés au phare, au moment de faire demi tour pour de bon, un souffle de baleine apparaît à une vingtaine de mètres de nous ! On les suit le long de la côte, des dauphins essayent de leur voler la vedette mais leurs efforts passent inaperçus tellement la taille et la majesté des cétacés captivent notre attention. Il s'agissait probablement de rorquals (communs ou boréals) qui migrent vers les eaux froides. Ils peuvent atteindre plus de 20 m de long, ceux que l'on a aperçus devaient dépasser les 15 m.
Comme le disait Thierry R., après avoir vu ça, on peut repartir tranquilles. Demi tour donc, cap au nord...
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cap-au-sud · 5 years
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Croisière patagonienne - instantanés
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Regarder défiler des montagnes et de l’eau pendant quatre jours, ça a beau être magnifique, c’est long...alors le moindre signe de vie qui anime tout ce somptueux paysage est bienvenu. Après n’avoir vu pratiquement aucun oiseau (sans parler des cétacés divers qu’on a guettés désespérément) le premier jour, à l’approche du grand large le deuxième jour les albatros sont venus en masse planer autour du bateau. L’occasion de vérifier que, comme disait l’autre, ils ont tout à fait des ailes de géant ( mais on ne les a pas vus marcher). Beaucoup de pétrels aussi, et quelques petits oiseaux de proie qui sont venus se poser à la poupe. Côté proue, on a plutôt vu quelques dauphins noirs et blancs jouer autour du bateau. La plus grande déception de cette aventure a été de ne pas apercevoir de baleine (alerte spoil : on en a vu depuis !). On s’est consolés avec quelques jolis couchers de soleil sur la mer entre deux averses.
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cap-au-sud · 5 years
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Croisière patagonienne
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Après l'île de Pâques, 13h de bus depuis Santiago nous emmènent à Puerto Montt, 1000 km au Sud. C'est là que nous embarquons pour un trajet de 4 jours dans les fjords et les canaux patagoniens.
Le choc thermique après Rapa Nui est rude : nous sommes à présent dans les quarantièmes rugissants(comme on dit dans le jargon) et un vent glacial souffle quasiment en permanence au large.
Les premières 24 heures se passent sans encombre : la mer est calme, on profite des quelques rayons de soleil qui arrivent à percer les nuages et on passe le temps en lisant, jouant aux cartes ou en assistant aux présentations sur la faune et la flore locales faites par nos GO. Cela se complique légèrement ensuite : le ferry s'éloigne des côtes et rencontre une houle océanique de plus en plus forte... Le médecin à bord propose des médicaments à tous les passagers, Victoire en prend une double dose mais les effets sont décevants : Victoire ainsi qu'une bonne partie des passagers sont malades (ce qui fait qu'il y a moins de queue à la cantine, Gautier en profite). La houle atteint son paroxysme au moment de la traversée du bien-nommé Golfe des Peines qui dure une dizaine d'heures (heureusement une bonne partie a été faite de nuit, tout le monde dormait). Le lendemain matin au réveil, le bateau a retrouvé les zones abritées et la mer paraît d'huile. On peut alors pleinement profiter du paysage, composé d'une eau turquoise, de végétation verdoyante et de sommets enneigés. On croise au détour d'un canal une épave échouée sur un haut fond qui nous fait penser à un Hollandais volant moderne collé sur son rocher.
Les heures passent lentement et agréablement, entre lecture, jeux de cartes et observation des animaux (quelques albatros suivent le bateau, parfois imités par des groupes de dauphins).
Quatre jours plus tard, nous arrivons à notre destination : Puerto Natales. Après quelques hésitations dues au vent violent, le ferry s'amarre dans ce petit port du bout du monde et nous retrouvons (avec joie pour Victoire) la terre ferme.
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cap-au-sud · 5 years
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Rapa Nui - imperturbables Moais
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Les premières images venant à l’esprit quand on évoque l’île de Pâques sont bien sûr les immenses statues en pierre volcanique qui fascinent les voyageurs depuis des siècles.
Admirer de près ces géants à l'expression mélancolique, derniers vestiges d’une civilisation aujourd’hui disparue fait l'effet d'un voyage dans le temps à travers l'histoire de l'île et ses mystères. Comment ces statues étaient-elles transportées sur des dizaines de kilomètres ? Comment étaient elles redressées ? Pourquoi ? Et surtout, pourquoi ont-elles toutes été renversées subitement ?
C'est probablement cette impression mystique qui transforme cette îlot en un endroit à part, avec une atmosphère propre palpable dès l'atterrissage. L'île nous a littéralement envoûtés, à tel point que les quatre jours sont passés sans qu'on s'en rende vraiment compte...
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cap-au-sud · 5 years
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Rapa Nui - parenthèse flore et faune (surtout flore)
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Qu’on se rassure, en dépit des milliers de fleurs sacrifiées quotidiennement pour finir pendues au cou des touristes à l’aéroport, il en reste encore pléthore sur l’île.
Et, rien à voir, mais on a vu une jolie tortue barboter près d’une plage pour nous dire au-revoir juste avant de prendre l’avion, et on était encore plus tristes de partir.
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cap-au-sud · 5 years
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Rapa Nui - comme un petit air de Bretagne
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...avec quelques degrés Celsius en plus, et quelques volcans. On l’a parcourue en long, en large et en travers, à pied, à vélo et en stop, et on serait volontiers restés pour l’arpenter encore. Mention spéciale pour le cratère du volcan Rano Kau, parsemé d’une ribambelle de petits lacs, avec son flanc judicieusement creusé qui laisse apparaître le bleu profond du Pacifique. On est aussi tombés sous le charme un brin solennel des pentes du Rano Raraku, jonchées de Moais plus ou moins achevés (ils étaient sculptés là), piquant du nez ou face tournée vers le ciel, tristes reliques sans regard d’une civilisation disparue ... et du cratère du même volcan, sorte d’oasis improbable qui accueille comme le Rano Kau un lac couvert de roseaux.
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cap-au-sud · 5 years
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Rapa Nui - un Moai à la mer
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Quelques heures après être arrivés sur l’île tant rêvée, on sautait déjà dans un bateau pour s’en éloigner. Nous avons profité des conditions météorologiques idéales (beau temps, belle mer) pour ajouter illico une escapade sous-marine à notre programme.
C’était l’occasion pour nous de découvrir les eaux du Pacifique et d’aller saluer le Moai englouti à 23m de fond. La faune et la flore marines ne sont pas florissantes dans le coin (surtout en comparaison d’autres îles du Pacifique avec leurs barrières de corail), mais la visibilité exceptionnelle (plus de 40m) et la luminosité ont rendu cette balade bien agréable.
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cap-au-sud · 5 years
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Réserve nationale des manchots de Humboldt
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Petit détour au Nord de La Séréna pour visiter la réserve des manchots de Humboldt ; un peu redondant avec la réserve Pan de Azucar, mais on ne s’en lasse pas. La réserve est constituée d’une série d’îlots au large de Punta Chorros, on fait une balade en bateau pour s’approcher des côtes et fouiller du regard les amas de roches pour y dénicher les petites bestioles à plastron blanc qui s’y dandinent. Les îles regorgent aussi d’otaries, loutres qui se cachent dans les buissons d’algues, pélicans, vautours et autres oiseaux. Pour bien en profiter, on a posé nos sacs à Punta Chorros une nuit : après le départ du dernier bus pour la Serena, le village est désert en basse saison. C’est l’occasion de faire de jolies promenades sur le littoral, sauvage et découpé qui n’a rien à envier aux plus belles côtes bretonnes. On y voit des renards gris (encore) et des guanacos, sorte de lama déguisé en vigogne (couleur brun clair donc) avec un masque noir.
Après cette parenthèse bucolique, sportif enchaînement au programme: retour à La Serena, bus de nuit pour Santiago et vol pour l’île de Pâques dans la foulée !
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cap-au-sud · 5 years
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Valle de l’Elqui et La Serena
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À mi chemin entre Chañaral et Santiago, on a choisi de poser nos sacs quelques jours dans la région de La Serena, point de départ pour rayonner vers la vallée de l’Elqui et la réserve de Humboldt.
Véritable oasis de verdure dans cette côte désertique, la vallée de l’Elqui est célèbre pour ses nuits claires et étoilées qui attirent astronomes professionnels et amateurs, et pour ses vignes (pour la production du pisco chilien). Après une balade à travers les vignes, la visite d’une distillerie est une étape incontournable et on s’est pliés au jeu avec plaisir. Également petit cours d’astronomie le soir pour les motivés.
De retour à La Serena, balade sur le front de mer jusqu’au port de pêche de Coquimbo (la plage fait plus de 10 km de long) où les oiseaux et les otaries attendent avec impatience l’ouverture du marché aux poissons tous les matins.
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cap-au-sud · 6 years
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Réserve Pan de Azucar
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Ça y est, on a enfin franchi la ligne ! Enfin, pas La ligne, mais une ligne. Le tropique du Capricorne en l'occurrence. On quitte donc la zone tropicale qui va être frappée par la saison des pluies (tristes tropiques) pour descendre vers l'été austral.
Depuis Chañaral, on lève le pouce pour rejoindre un parc naturel à quelques kilomètres : la réserve Pan de Azucar. Dans un environnement désertique, on plante la tente sur une plage et on part à la recherche de gros lézards, de renards gris, de pélicans, de vautours et autres volatiles. Un petit renard un peu myope est venu s'approcher à quelques mètres, on se serait crus dans un remake chilien du Petit Prince.
Le lendemain on réussit à former un groupe de 10 touristes pour convaincre un pêcheur local de nous emmener voir l'île voisine (les habitants sont très peu hospitaliers et gardent jalousement leurs trésors de la nature...). Le spectacle est époustouflant : dauphins joueurs autour du bateau à l'aller, manchots de Humboldt sur terre et dans l'eau, otaries endormies sur leur rocher et une loutre curieuse qui vient inspecter le bateau. Le tout avec une eau translucide et sous un magnifique ciel bleu qui donnent envie de s'arrêter ici et d'ouvrir un club de plongée...
Retour en stop à Chañaral, puis bus de nuit vers le Sud, vers la Serena et la Vallée de l'Elqui !
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cap-au-sud · 6 years
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Find the viscacha
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La photo vaut ce qu’elle vaut, mais on vous laisse y dénicher un viscacha, mélange réussi d’un chinchilla, d’un lapin et d’un écureuil.
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