Tumgik
binyen · 8 years
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Alger: Initiative pour réguler la circulation routière
Un pacte d’actionnaires a été signé mercredi à Alger pour la création d’une société algéro-espagnole, chargée de la mise en place d’un système de régulation de la circulation routière et de l’éclairage public à Alger.
Le pacte d’actionnaires de cette société, baptisée « Mobilité, éclairage d’Alger », a été signé par deux Etablissements publics à caractère industriel et commercial (EPIC) de la wilaya d’Alger et deux entreprises espagnoles activant dans les systèmes de régulation de la circulation, selon la règle 51/49% régissant les investissements mixtes.
Il s’agit de l’Entreprise de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU) et de l’Etablissement de réalisation et de maintenance de l’éclairage public d’Alger (ERMA) du côté algérien, et des entreprises « Indra » et « Sice » du côté espagnol.
Selon le directeur des Transports de la Wilaya d’Alger, Rachid Ouazene, ces deux entreprises espagnoles, spécialisées dans le trafic routier et les systèmes de régulation automatiques, le prélèvement automatique des infractions de la route et l’éclairage public, ont déjà installé des systèmes de régulation du trafic routier dans les capitales de plusieurs pays.
La société mixte, qui sera opérationnelle à partir du septembre prochain, sera chargée de la mise en place d’un système de régulation de la circulation routière et de l’éclairage public à Alger pour régler le problème de congestion qui caractérise cette wilaya, a précisé M. Ouazene.
Ce système consiste, en premier lieu, à recueillir l’information, dans le centre de régulation de la circulation de Kouba, sur les flux de circulation par le biais de caméras et de puces magnétiques pour indiquer la présence de véhicules.
Dans une deuxième étape, ces données seront analysées afin de dégager des solutions pour alléger et améliorer les conditions de circulation soit à travers une régulation au niveau des carrefours (signalisation) soit en informant les usagers de la route par le biais de la 3G ou de la radio.
Le nouveau système permettra aussi l’enregistrement de toutes les infractions (vitesse, feux tricolores…) ainsi qu’une gestion automatique des parkings.
Il s’agit aussi de la mise en lumière des édifices publics et la mise en place d’un centre de télégestion de l’éclairage public.
Dans ce projet, la partie algérienne participera à hauteur de 30% dans les travaux qui seront réalisés, tandis que la partie espagnole interviendra dans les domaines que la partie algérienne ne maîtrise pas tels le contrôle des carrefours, l’ingénierie du trafic, la gestion des logiciels, les équipements pour la détection des infractions, la supervision des installations, la mise en place des équipements et logiciels et la maintenance.
« Ce projet qui devrait être finalisé dans une délai de 24 mois sera livré progressivement notamment pour les zones prioritaires », a précisé M. Ouazene qui a expliqué que l’option pour la création d’une telle société visait l’augmentation de la capacité dynamique du réseau routier vu la difficulté d’étendre ses capacités physiques dans l’immédiat.
« C’est un partenariat technologique qui va nous permettre de maîtriser ce système informatique pour gérer la circulation routière d’une manière automatique », a souligné de son côté le ministre des Transports et des Travaux Publics, Boudjemaa Talai, présent à la cérémonie de signature avec l’ambassadeur d’Espagne en Algérie, Alejandro Polanco Matas.
Pour sa part, le Wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a souhaité que cette société mixte commence par l’installation de la signalisation dans les « zones prioritaires » qui souffrent le plus des encombrements.
La wilaya d’Alger se caractérise depuis plusieurs années par des problèmes de congestion et de l’augmentation rapide du parc automobile qui avoisine 1,4 million de véhicules.
Ce problème est accentué par l’absence d’un transport collectif performant et de la régulation des carrefours par la signalisation et par la structure urbaine centralisée.
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binyen · 8 years
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PROJETS FOUS... Solution de problème d’ingénierie.
Voici quelques projets fous qui ont été réalisés à travers le monde, pour répondre à certains problèmes d’ingénierie, ils ont tous un seul point commun qu’est la complexité de la solution apportée et qui a fait que ces projet soient très étonnants.
Et enfin l’autoroute EST-OUST d’Alger
Restons raisonnable…POUR NOUS C’EST ENCORE DE LA SCIENCE FICTION.
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binyen · 8 years
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Gain de place à Turin…
A Turin, les architectes du studio BRH+ ont su tirer parti de la grande hauteur sous plafond d’un petit appartement de 65m2 pour optimiser l’espace.
Une mezzanine, utilisée comme chambre est installée au dessus de la salle de bains, on y accède par une simple échelle.
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binyen · 8 years
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Design 50’s… pourquoi cet engouement?
Depuis quelques années le design des années 50 et 60 revient en force. Que cela soit du pur vintage chiné ou des rééditions (plus ou moins réussies). Si la mode et le design sont d’éternels recommencement et d’éternelles réinventions, pourquoi est-ce que nous y sommes tellement sensibles en ce moment? Si vous faites partie de la génération des quadras, celle qui a du pouvoir d’achat (comprenez: pas les étudiants ou primo-locataires qui n’ont d’autre idée que de se meuble rapide et pas cher chez Ikea) vous commencez à envisager la vie sans vos grands-parents, partis bien trop tôt. Ils emportent avec eux les douces images de l’enfance, les goûters sur la table en formica, le chocolat chaud Banania (avant qu’il ne soit déclaré politiquement incorrect) les coussins en laine qui gratte, les motifs géométriques, le jaune moutarde des rideaux, les teintes pastel des murs, les couleurs criardes de la cuisine. En ces temps incertains, il est normal que nous cherchions des images rassurantes, enveloppantes. Les héros de notre enfance refont surface et cela marche car nous avons envie de transmettre cette insouciance à nos enfants. Comme les aventures du Petit Nicolas qui dépeint les années 50 comme une heureuse parenthèse. Cela se traduit par un retour du vintage (le succès des Puces du Design depuis 15 ans en est une preuve flagrante) Les collectionneurs de vaisselle décorée arpentent fébrilement chaque brocante à la recherche des motifs naïfs remis au goût du jour par Ora Kiely (qui a récemment créé une gamme pour Monoprix) ou Marimekko. Les jeunes créateurs (Miss Print) mais aussi les grandes maisons (Little Greene) éditent du papier-peint qui plante immédiatement un décor délicieusement rétro où l’on s’attend à voir une jeune femme en robe tulipe servir des Martini sur un plateau émaillé. Idem côté mobilier. Les années 50 ont vu l’apogée du design scandinave: danois, suédois, finois. Des formes organiques, des matières brutes: du bois, de la laine tissée, du cuir, de l’acier dont la sobriété n’a jamais été égalée. Et l’on garde un souvenir un peu raide du canapé de mémé Germaine sur lequel on ne faisait pas les marioles! (on ne s’y vautrait pas non plus pour jouer avec une console de jeux) Aujourd’hui toutes les enseignes abordables comme Bo Concept ont récréé des modèles similaires avec une assise mieux rembourrée pour adulescents épuisés. Car les années 50 sont caractérisées par des courbes douces, des teintes pastels, des motifs affirmés qui les rendent intemporels et immédiatement identifiables. Ceci répond à notre besoin de compréhension immédiate du monde qui nous entoure car surchargé d’information. Le génie du design des années 50 est leur identification immédiate. Comme la chaise série 7 de Arne Jacobsen . Ces objets tellement épurés, simples sans être simplistes, fonctionnels et beaux à la fois font que nous resterons très sensibles à ces créations… et qui sait… dans 50 ans, nos petits enfants à leur tour réinventeront ce design en souvenir de nos intérieurs, eux-mêmes chargé de la nostalgie de nos aïeux… Une sorte de mouvement perpétuel en somme, car connaître ses racine est se donner des ailes.
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binyen · 9 years
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Pour mener de grands projets BTP, l'Algérie veut accroître sa production de matériaux de construction
Le secteur algérien du BTP est en plein essor. Entre 2015 et 2019, des projets routiers d’un montant de 4.100 milliards de dinars (37,4 milliards d’euros) seront menés, ainsi que des projets portuaires s’élevant à 550 milliards de dinars (5 milliards d’euros). La construction de 1,6 million de logements est également prévue. A l’heure où plusieurs projets d’infrastructures de grande envergure tirent la demande de matériaux de construction vers le haut, l’augmentation de la production locale se retrouve au cœur des priorités de l’Algérie, qui souhaite ainsi réduire des importations coûteuses.
Le secteur algérien du bâtiment est en plein essor, porté par une vague de projets publics ambitieux, parmi lesquels on peut citer des barrages, des routes et de nouveaux logements. L’ancien Ministre des Travaux Publics, Abdelkader Kadi, a déclaré en début d’année que seraient menés à bien entre 2015 et 2019 des projets routiers d’un montant de 4 100 milliards de dinars (37,4 milliards d’euros) ainsi que des projets portuaires s’élevant à 550 milliards de dinars (5 milliards d’euros). De la même manière, le Ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, a confirmé que le ministère comptait toujours construire 1,6 million de logements, malgré des prix du pétrole à la baisse.
L’augmentation des activités de construction est telle que la demande dépasse l’offre pour ce qui est de matériaux clés tels que le ciment. La capacité de production de ciment de l’Algérie était de 21 millions de tonnes par an (tpa), selon l’édition 2014 du rapport Global Cement Directory : 5 millions supplémentaires seraient nécessaires pour satisfaire la demande. Les données douanières font apparaitre que les importations de ciment du pays ont atteint 513,7 millions de dollars en 2014, contre 400,08 millions en 2013, comme l’a rapporté l’agence Algérie Presse Service. Le fer et l’acier étaient également très demandés, représentant à eux deux 57% de la facture totale des importations de matériaux de construction l’an dernier, pour un coût d’1,84 milliard de dollars.
Si on observe depuis le début 2015 un ralentissement des importations, le gouvernement n’en est pas moins désireux d’accroître les capacités de production du pays. Plus tôt dans l’année, A. Tebboune a déclaré que l’objectif poursuivi par le gouvernement était de voir 85% des projets de construction en Algérie utiliser des matériaux de construction produits localement, un taux qui se situe à l’heure actuelle à 65%.
La pression s’est toutefois quelque peu relâchée dans la mesure où les importations de matériaux de construction – dont le ciment, le fer et l’acier, la céramique et le bois – ont chuté de plus d’un tiers au premier trimestre 2015 pour atteindre 664,8 millions de dollars, contre 995,1 millions de dollars il y a un an, selon les données douanières. La quantité des principaux matériaux de construction importés s’est également contractée sur la même période, affichant une baisse de 12% et s’établissant à 2,2 millions de tonnes.
Des investissements synonymes d’essor
Etant donné l’envergure et le nombre des projets de développement actuellement en préparation, qu’il s’agisse de nouvelles constructions ou de travaux d’expansion, cette tendance baissière pourrait bien se confirmer.
Le sidérurgiste turc Tosyali Holding a signé en juin un accord de 508 millions de dollars avec le groupe chinois Sinosteel pour accroître la capacité de son usine d’acier en Algérie et faire passer la production de cette dernière d’1,6 million de tonnes par an à 2,3 millions de tonnes, selon un communiqué de Sinosteel.
Le président du groupe a déclaré dans une interview accordée à Bloomberg à la fin novembre qu’un investissement d’1,3 milliard de dollars était prévu pour accroître la capacité de l’unité de production d’acier et de fer dont les activités ont démarré mi 2013.
Par ailleurs, le début des travaux du site de production d’acier de Bellara, situé près de Jijel, était prévu pour le premier trimestre de cette année. Les membres de la joint-venture -le groupe algérien Sider et Gatari Qatar Steel – visent une production de 2 millions de tpa dans la première phase du projet, estimé à 2 milliards de dollars.
Le secteur algérien du ciment a également tiré profit d’une importante hausse des investissements. Le cimentier sud-africain PPC a signé un accord avec la société algérienne Hodna Cement Company en vue de la construction d’une usine d’un coût de 278 millions de dollars. Cité dans une publication spécialisée au mois d’avril, Abdelkrim Mansouri, directeur général de l’Agence Nationale de Développement de l’Investissement (ANDI) a annoncé que les travaux devraient démarrer très prochainement. Une fois opérationnelle, l’usine produira 2,2 millions de tonnes de ciment par an.
L’entreprise publique Groupe Industriel des Ciments d’Algérie a également engagé un investissement de 154 milliards de dinars (1,4 milliard d’euros) dans le but d’augmenter sa production, actuellement de 11,5 millions de tpa, pour atteindre 18,5 millions de tpa d’ici 2017. L’unité algérienne du géant français du bâtiment Lafarge bénéficiera d’ici quelques semaines d’une capacité de production accrue dans le cadre d’un projet de 30 milliards de dinars (270 millions d’euros) : d’ici 2016, elle produira 2,7 millions de tpa.
Les efforts déployés par l’Algérie pour intensifier la production intérieure de matériaux de construction contribueront à réduire les importations, mais le fléchissement de la demande sur le court terme pourrait également aider à combler le déficit de l’offre. La volonté du pays de mener à bien des projets d’infrastructure de grande ampleur fait également l’objet de toutes les attentions dans un contexte de prix du pétrole faibles, soulevant des inquiétudes quant à la capacité de l’Etat de financer ces chantiers. Les travaux de construction de 230 000 logements sociaux devraient démarrer d’ici la fin 2015. Et donc certes, la capacité de production de matériaux de construction est en hausse, mais il se pourrait tout de même que la production doive continuer de progresser si elle veut rattraper la demande.
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binyen · 9 years
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Ghardaïa: Vallée du M'Zab
Situés à 600 km au sud de la ville d’Alger, au cœur du désert saharien, les cinq ksour (villages fortifiés) de la Vallée du M’Zab forment un ensemble homogène extraordinaire constituant la marque, dans le désert, d’une civilisation sédentaire et urbaine porteuse d’une culture originale qui a su, par son génie propre, préserver sa cohésion à travers les siècles.
Constituée des ksour et des palmeraies d’El-Atteuf, de Bounoura, Melika, Ghardaïa et Béni-Isguen (fondés entre 1012 et 1350), la Vallée du M’Zab a conservé depuis le XIe siècle pratiquement le même mode d’habitat et les mêmes techniques de construction, commandées tant par un contexte social et culturel spécifique que par la nécessité d’une adaptation à un milieu hostile, dont le choix répondait à une nécessité historique de repli et un impératif de défense.
Chacune de ces cités miniatures, enserrée de murailles, est dominée par une mosquée dont le minaret fait fonction de tour de guet. La mosquée est en effet conçue comme une forteresse, dernier bastion de la résistance en cas de siège, et comporte un arsenal et un silo à grains. Autour de ce bâtiment essentiel à la vie communautaire, s’organisent des maisons disposées en cercles concentriques jusqu’au rempart.
Chaque maison constitue une cellule cubique de type fixe, illustrant une organisation sociale égalitaire fondée sur le respect de la structure familiale dont elle s’attache à préserver l’intimité et l’autonomie. Au début du premier millénaire, les Ibadites ont donc créé au M’Zab, avec les matériaux locaux, une architecture vernaculaire qui, par sa parfaite adaptation au milieu et par la simplicité de ses formes, garde une valeur d’exemple et d’enseignement pour l’architecture et l’urbanisme contemporains.
Plus d’info:
Les ensembles anthropiques de la Vallée du M’Zab témoignent, par leur architecture puissamment originale datant du début du XIe siècle et par la rigueur de leur organisation, d’un modèle original exceptionnel d’implantation pour les établissements humains de l’aire culturelle du Sahara central. Ce modèle d’habitat a exercé une influence considérable pendant près d’un millénaire sur l’architecture et l’urbanisme arabes, y compris sur les architectes et urbanistes du XXe siècle, de Le Corbusier à Fernand Pouillon et André Raverau.
Les trois éléments constitutifs des ensembles urbains et d’habitat de la Vallée du M’Zab : ksar, cimetière et palmeraie avec sa cité d’été, sont un témoignage exceptionnel de la culture ibadite à son apogée et du principe égalitaire qui était méticuleusement appliqué par la société mozabite.
Les éléments constitutifs de la Vallée du M’Zab sont un exemple éminent d’habitat humain traditionnel, représentatif de la culture ibadite qui, à travers d’ingénieux systèmes de captage et de répartition de l’eau et de création de palmeraie, a su réaliser une interaction extrêmement efficiente de l’homme avec un environnement semi-désertique.
Dans une ville mozabite, le premier édifice à construire est la mosquée. Autour d’elle, les maisons viennent se greffer en cercle concentrique jusqu’aux remparts de la cité. Les habitations ont presque les mêmes dimensions, ce qui rend difficile la distinction des maisons des riches de celles des pauvres.
Les ruelles ont une largeur de deux mètres, à peine de quoi laisser passer deux mules ou un cortège funéraire. Cette constitution permet d’éviter l’immixtion du sable lors des tempêtes et rend les lieux plus frais en temps de grande chaleur.
Les ruelles, qui donnent sur la mosquée ainsi que sur les sites qui tenaient lieu jadis de siège de commandement de la cité et de centre d’approvisionnement en denrées et armes en temps de guerre, sont étroites et couvertes.
D’autres rues ont été conçues plus larges pour abriter des activités commerciales tels les souks. La superficie d’une maison mozabite ne dépasse pas, dans son ensemble, 100 m2.
Elle est composée de deux étages au plus et d’une terrasse. Le seuil de la porte (el-atba) est toujours surélevé à hauteur de 10 cm pour empêcher la terre de pénétrer à l’intérieur et l’air froid de s’échapper durant l’été.
Un couloir appelé sqifa mène droit vers wast eddar, une cour intérieure aérée et éclairée par une ouverture sur le ciel.
La hauteur de chaque maison ne doit pas dépasser 15 m comme il est interdit de construire un mur obstruant la lumière du soleil au voisin. Une règle qui date de l’an 1743 et qu’on respecte scrupuleusement depuis.
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binyen · 9 years
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Canicule : si nos villes ne s'adaptent pas au réchauffement climatique, elles exploseront
Le dérèglement climatique va rendre de plus en plus flou le contraste entre villes du Nord et du Sud quant aux risques, et Fukushima a hélas démontré que l’improbable était partout devenu possible. Nous assistons à une globalisation du risque urbain jamais rencontrée auparavant. Et parce qu’elle abolit des frontières devenues illusoires au sein du monde des villes, il va bien falloir nous habituer au « temps des catastrophes ».
Paris et Chicago étouffent sous les canicules, l’eau envahit le métro de New York, Montréal tombe en panne d’électricité comme Alger ou Le Caire, tandis que la montée des eaux littorales menace Miami comme Shanghai, ou que le sol de Bangkok s’enfonce peu à peu. En Île-de-France, une crue de la Seine type 1910 toucherait 800.000 habitants, avec 30 à 50% d’eau potable en moins, le métro serait interrompu à 70% et le RER à 50% pendant un ou deux mois, le gaz et l’électricité seraient coupés pour des centaines de milliers d’abonnés…
Pas assez d’espaces verts contre la canicule On constate des effets accentués d’îlots de chaleur urbains, plus denses, moins aérés, et dont la température reste bien plus élevée la nuit qu’en périphérie de la ville. Cela implique de leur opposer des « coupures froides » (espaces verts, toits et murs verdis..). Tout simplement parce que les zones vertes sont 2 à 8 degrés plus fraîches que le reste de la ville. L’eau fraîche des bassins, lacs et rivières constitue l’autre élément fort, et la combinaison des deux en une « trame verte et bleue » peut avoir des effets très positifs.
Berlin a ainsi eu le mérite d’élaborer depuis dix ans un programme à l’échelle de tout son Land, avec un réseau en forme de croix le long des rivières et une double ceinture d’espaces verts et naturels. Le tout favorise une circulation des courants froids au-dessus de la ville qui brasse l’air pollué et réduit les effets de chaleur. Mais cette initiative reste hélas encore bien rare dans le monde des grandes villes mondiales. Les risques naturels démultipliés par la croissance des villes Leur densité amplifie aussi l’impact des épidémies, et la croissance du trafic aérien les diffuse : je rappelle qu’il y a en permanence près de 400.000 terriens en l’air dans deux ou trois mille avions ! Au printemps 2003, le Canada a ainsi été le pays le plus touché par l’épidémie de Sras après Hong Kong.
Non seulement les risques naturels sont donc accrus par le dérèglement climatique, mais leur impact est démultiplié par la croissance des villes, par leur densification et leur étalement. Voilà donc la « résilience urbaine », pour aller au-delà de la seule prévention des risques. Car les perturbations pouvant affecter une ville peuvent être une opportunité pour un développement urbain plus durable.
Au-delà d’un certain seuil, les catastrophes ouvriraient des perspectives positives de changement, si l’on sait les intégrer par avance au fonctionnement et au territoire de la ville.
Une équipe française vient ainsi d’étudier la vulnérabilité et l’adaptation globale de la Wilaya d’Alger, en y confrontant les aléas sismiques, d’inondation ou de mouvements de terrain aux divers niveaux de sensibilité de la ville (réseaux, activités, habitat précaire, patrimoine, etc.). Tout cela a permis de bien mieux cibler les secteurs en nécessité d’évoluer à moyen ou long terme. Des plans urbains nécessaires contre l’explosion des villes Dans la même logique, des « plans climat territoriaux » font aussi leur apparition en Amérique du Nord, aux Pays-Bas ou en France, où ils deviennent obligatoires pour les collectivités de plus de 50.000 habitants. Objectif : adapter un territoire urbain au changement climatique, en le rendant, là aussi, le plus résilient possible au bénéfice des habitants et des activités économiques. Ainsi le « plan action climat » de la région capitale de Washington se concentre-t-il sur l’énergie (efficacité, alternatives renouvelables), les ressources (recyclage, trame verte) et le cercle vertueux entre transports et ville compacte.
Bref, nos grandes métropoles sont à la veille de péter les plombs, mais les exemples qui précèdent témoignent au moins d’une certaine prise de conscience. C’est toujours mieux que de voir certains architectes imaginer des villes flottantes en réponse à la montée des océans, dans l’ignorance complète des moyens qu’auront Dacca, Mumbai ou Lagos pour ne pas finir demain comme les îles Kiribati ou les Maldives. Ne désespérons pas tout-à-fait.
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binyen · 9 years
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Vers le classement de la Fac centrale d’Alger comme monument historique
Il y a à peine quelques mois plusieurs universitaires encore actifs ou à la retraite, qui ont étudié ou enseigné à la faculté centrale d’Alger, se sont constitué en un collectif nommé Djamiaat Jazair pour tirer la sonnette d’alarme sur l’état de délabrement avancé de cette université centenaire mais surtout sur la menace qui plane sur les collections documentaire, géologique et botanique qui y sont encore entreposé.
Leur revendication : classer les sept hectares bâtis de la faculté comme monument historique et ce vu l’importance architecturale du site centenaire et surtout celle de la collection qu’il abrite et qui retrace au moins un siècle de cumule de recherche scientifique dans les domaines de la botanique, géologie, paléontologie et de la médecine.
Ce collectif est constitué, entre autres du Pr Fettouma Chikhi, géologue, ex-responsable des collections du Musée de paléontologie, le Pr Nadia Bouguedoura, botaniste, et Zoulikha Bekkadour, moudjahida, ex-responsable de la Bibliothèque universitaire, la linguiste Pr Khaoula Taleb Ibrahimi, le Pr Yasmina Chaïd Saoudi, paléontologue ou encore le Pr en archéologie Nadjet Aïn-Séba.
Cette semaine le ministère de la Culture a fait savoir par communiqué qu’il a procédé à la classification de l’Université d’Alger comme monument historique en réponse aux appels des anciens de cette Université en concluant un accord avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique portant sur la classification de la Faculté centrale comme monument historique.
La Faculté centrale bénéficiera selon le courrier du ministère d’un suivi permanent des services spécialisés dans la restauration, la réfection et la réhabilitation auprès du ministère de la Culture l’opération intervient à l’issue de la rencontre avec le collectif d’universitaires qui avaient convenu de la nécessité de protéger la Faculté centrale d’Alger et de veiller à sa restauration et classification et à la préservation de sa documentation.
Le communiqué du ministère rassure également les membres du collectif en assurant que l’université d’Alger sera classée par les services compétents du ministère de la Culture ainsi que les contenus scientifiques dont elle dispose. Un bel exemple de mobilisation et de détermination que donnent ainsi la communauté universitaire algérienne qui a pris ses responsabilités et a su fédérer les énergies en un temps record.
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binyen · 9 years
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Un contrat autoroutier de 218 M€ en Algérie
Un groupement emmené par la société portugaise Teixeira Duarte – Engenharia e Construccoes a remporté un contrat de 218 Million d’euros portant sur la construction de l’axe autoroutier reliant le port de Skikda à l’autoroute Est-Ouest en Algérie.
A la tête d’un groupement constitué des entreprises algériennes Sero EST Batna et Nardjess Travaux Publics, Teixeira Duarte – Engenharia e Construccoes a été chargée de construire une pénétrante autoroutière de 31 km composé de deux axes comportant 3 voies chacun. Le chantier doit durer 24 mois et représente un gain de 168 Million d’euros pour l’entreprise portugaise.
Pour mémoire, Teixeira Duarte avait déjà remporté en avril dernier un contrat de 204 M€ pour la construction d’une liaison autoroutière entre le port de Ténès et l’autoroute Est-Ouest.
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binyen · 9 years
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Les architectes Algériens protestent
Le Conseil national des architectes et ses différents conseils régionaux ont observé, hier, une journée de protestation pour marquer le lancement d’un bras de fer avec le ministère des Finances relatif à la non-application du projet d’arrêté interministériel modifiant et complétant l’arrêté interministériel n° 17 du 15 mai 1988 relatif aux modalités d’exercice et de rémunération de la maîtrise d’œuvre en bâtiment. Les architectes menacent d’arrêter les missions de suivi de tous les chantiers, et ce, jusqu’à satisfaction de leur demande. Notons qu’une commission mixte a été installée l’année dernière et composée de membres du Cnoa et des représentants du ministère de l’Habitat pour la révision de l’arrêté de 1988 portant modalités d’exercice, de rémunération de la maîtrise d’œuvre en bâtiment. Cet arrêté définit aussi les conditions de rémunération de la maîtrise d’œuvre par l’article 02 qui stipule «au sens du présent arrêté, la maîtrise d’œuvre est une fonction globale couvrant les missions de conception, d’études, d’assistance, de suivi et de contrôle de la réalisation de bâtiment quelles que soient leur nature et leur destination, à l’exclusion des bâtiments à usage industriel. Elle est exercée par le maître de l’œuvre sous son entière responsabilité dans le cadre d’engagements contractuels le liant au maître de l’ouvrage.
«Cet article consacre pleinement la mission de suivi et de contrôle de réalisation comme part intégrante de la fonction de maîtrise d’œuvre. L’article 04 définit le coût d’objectif comme «le coût global prévisionnel toutes taxes comprises de l’ouvrage, déterminé par le maître d’œuvre sur la base des conditions économiques prévalant au moment de l’établissement de son offre». Les activités de maîtrise d’œuvre, prévues par l’arrêté sont : conception, esquisse, études, avant-projet, projet d’exécution, assistance dans le choix de l’entrepreneur, suivi et contrôle de l’exécution des travaux et présentation des propositions de règlement.
La révision du barème, objet de la discorde, porte sur les activités portant sur «le suivi et contrôle d’exécution des travaux et la présentation des propositions de règlement». Pour cela, les architectes accusent le ministère des Finances d’être à l’origine du blocage «en reportant à chaque fois et sans motif» la signature de l’arrêté interministériel approuvé par le Premier ministre, selon les architectes. Des conférences de presse ont été animées hier à tous les niveaux pour expliquer la démarche entreprise par le conseil national et faire état des actions envisagées à l’avenir.
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binyen · 9 years
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One World Trade Center : 11 ans de chantier en 2 minutes
A l’occasion du Memorial Day 2015, la plateforme panoramique du plus haut gratte-ciel américain a été ouverte à New York. Une vidéo retraçant toutes les étapes du chantier a été rendue publique, condensant en 2 minutes, onze ans de travail pour rebâtir un symbole patriotique.
La boucle est bouclée : le World Trade Center a repris sa place dans le ciel new yorkais. Quatorze ans après les attaques terroristes du 11 septembre, la « Freedom Tower » a ouvert son observatoire panoramique situé à son 102e étage, 400 mètres au-dessus de Manhattan. Un point de vue grandiose qui n’existait plus depuis la destruction des tours jumelles du premier World Trade Center. Ouverte dans le cadre du Memorial Day, jour de célébration des vétérans de toutes les guerres américaines, la plateforme offre une vision sur New York et le New Jersey sur 80 km à la ronde, les jours de beau temps.
Dans le cadre de cette inauguration, le site EarthCam, qui diffuse des images de webcams du monde entier, a compilé des milliers de prises de vue capturées au cours du temps sur le chantier du plus haut gratte-ciel des Etats-Unis. Mises bout à bout, elles résument, en deux minutes, onze ans de chantier, depuis le creusement des fondations – à un angle du site de Ground Zero – jusqu’à la pose de la grande antenne, symbolisant la flamme de la liberté, qui culmine à 1776 pieds, en référence à la date de l’Indépendance.
Cependant, les affaires restant les affaires, le « One World Trade Center » devrait prochainement être détrôné par une autre tour new yorkaise qui aura l’impudence de dépasser les 541 mètres. La tour Nordstrom aurait en effet modifié ses plans afin de gagner quelques mètres et atteindre les 1795 pieds (547 mètres)… De quoi contrarier les promoteurs du World Trade Center qui peinent à attirer des occupants pour les espaces de bureaux. Selon Le Figaro, un tiers de la tour serait toujours vide, sept mois après l’entrée des premiers locataires. La guerre des sommets fait toujours rage.
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binyen · 9 years
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Floating Seahorse, à mi-chemin entre yacht de luxe et sous-marin
Floating Seahorse ou Hippocampe Flottant est un concept qui élève les bateaux de luxe à un tout autre niveau. A mi-chemin entre sous-marin et maison flottante, il s’agit à priori d’un bateau puisqu’il n’est pas conçu pour être bâti sur la terre ferme.
Affichant un design moderne et épuré, ce yacht se définit comme une plateforme habitable à moitié immergée dans l’eau. Il dispose de trois niveaux d’espace : sous l’eau, au niveau de la mer et un étage supérieur. La partie complètement immergée sous l’eau comprend la salle de bains et la chambre principale. Les baies vitrées qui l’agrémentent permettent de bénéficier d’une vue imprenable sur les récifs et le paysage sous-marin. Au niveau de la mer, on retrouve une cuisine équipée, une salle à manger et un salon. Le tout est également entouré de larges baies vitrées. A ceci s’ajoute une terrasse ouverte sur la mer. Le pont supérieur, quant à lui, sert d’espace dinatoire et de relaxation en plein air. Il comporte un minibar, une petite cuisine, un jacuzzi et une terrasse. Comme le nom du concept s’inspire d’une espèce marine en voie de disparition, ce bateau disposera de son propre récif de corail pour servir de refuge aux hippocampes.
Développé par le groupe Kleindienst, le projet devrait s’implanter au large du golfe Persique. Ce bateau sera produit à 42 exemplaires et devrait voir le jour en 2016.
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binyen · 9 years
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Un pont de verre entre les montagnes des Na'vis
Cette passerelle transparente sera construite dans le parc national du Hunan qui a inspiré les montagnes volantes du film «Avatar». La province du Hunan en Chine possédera bientôt le pont transparent le plus haut, le plus long et le plus vertigineux au monde. Il sera construit dans le parc national qui a inspiré les montagnes volantes du film «Avatar» de James Cameron.
A 300m d’altitude, cette passerelle de verre de 380m de long et 6m de large offrira une vue imprenable sur le grand canyon de Zhangjiajie.
Conçue par le cabinet d’architectes Haim Dotan de Tel Aviv, l’attraction touristique pourra accueillir jusqu’à 800 personnes et offrira également la plus haute base de saut à l’élastique au monde. Les concepteurs espèrent aussi que cette infrastructure pourra accueillir des défilés de mode.
L’architecte Haim Dotan a expliqué à propos de ce projet qu’il voulait réduire au maximum l’impact sur l’environnement et donner l’impression qu’il vole dans les airs. «la passerelle de verre Zhangjiajie a été conçue pour être aussi invisible que possible», évoquant «un pont blanc qui disparaît dans les nuages». La construction de cette passerelle devrait être achevée en juillet, et l’inauguration officielle est prévue pour octobre.
Le réalisateur James Cameron avait reconnu avoir puisé son inspiration dans le parc national de Zhangjiajie pour créer les montagnes volantes de Pandora dans son film «Avatar».
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binyen · 9 years
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L’Ecocapsule sera-t-elle la caravane du futur ?
Avis à tous les amateurs de camping sauvage (qui aiment quand même un peu le confort) ! Un cabinet de design slovaque a créé la caravane du futur : une petite capsule de 4 mètres de long, super-fonctionnelle. Complètement autonome en énergie, elle s’installe n’importe où.
« Habiter avec l’esprit de liberté », c’est ainsi que le cabinet de design Nice Architects basé à Bratislava, en Slovaquie, définit son Ecocapsule. Cette caravane au design futuriste fait seulement 7 m2 de surface mais est très fonctionnelle.
L’Ecocapsule est aménagée avec une petite cuisine, un lit pliant pour deux adultes, une table pour manger ou travailler, une salle de bain fermée avec une douche et des toilettes, et deux espaces de rangement (dont un accessible de l’extérieur).
« Malgré sa petite taille, chaque Ecocapsule est agencée pour permettre un séjour prolongé confortable sans avoir besoin de la réapprovisionner en eau ou la recharger en électricité pendant près d’un an », indique Nice Architects sur son site internet. Ecocapsule est alimenté par une petite éolienne d’une capacité de 750 W complétée par l’énergie de 2,6 m2 de panneaux solaires intégrés au toit d’une capacité de 600 W.
Ces deux systèmes combinés à une batterie de grande capacité permettent à la capsule de produire assez d’énergie même pendant les périodes où il y a moins de soleil ou moins de vent. La récupération de l’eau de pluie est optimisée par la forme sphérique de la capsule. Et grâce à des filtres intégrés, l’eau peut ensuite être utilisée.
Pesant 1 500 kg, mesurant moins de 4 mètres de long, la capsule se place facilement sur une remorque tirée par une voiture ou un animal, ou dans un container sur un bateau. Mais surtout elle s’installe où bon lui semble, en haut d’une montagne, dans le désert, sur la plage, etc.
Nice Architects annoncera son prix à la fin de l’année quand il pourra répondre aux premières commandes. Les designers prévoient aussi de nouvelles améliorations sur le modèle actuel, notamment l’intégration d’un châssis et d’autres options d’aménagement et de customisation pour 2016.
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binyen · 9 years
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La construction de la «Tour Jenga» de Herzog et de Meuron en une minute
Haut de 60 étages, le gratte-ciel 56 Leonard est en cours d’édification à New York. Dans cette vidéo en timelapse, sa silhouette découpée se dessine peu à peu dans la skyline de Manhattan.
Débutés en 2007, les travaux de la tour située au numéro 56 de Leonard Street, dans le quartier de Tribeca à New-York, doivent s’achever dans les prochains mois. Conçu par l’agence suisse Herzog et De Meuron, ce gratte-ciel résidentiel de standing dominera le quartier du haut de ses 250 mètres.
Présenté comme «des maisons empilées dans le ciel» par ses architectes, le bâtiment a rapidement pris le surnom de «Tour Jenga», du nom de ce jeu d’adresse où l’on empile les briques en bois pour former une tour à la forme irrégulière.
Dans cette vidéo, 14 mois de travaux tiennent en une petite minute. Grâce au timelapse, un effet vidéo d’accélération, ce chantier colossal –et toujours inachevé- prend forme en un coup d’œil.
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binyen · 9 years
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La Grande mosquée d'Alger construite à moitié, la décoration se prépare
Trois ans et demi après la pose de la première pierre, la Grande Mosquée d’Alger enregistre un taux d’avancement des travaux du gros œuvre de 54%, a indiqué samedi 16 mai le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune rappelant que la réception du projet était prévue pour septembre 2016.
Une commission chargée de la décoration a par ailleurs été installée, a annoncé, jeudi 21 mai, un communiqué du ministère de l’Habitat rapporté par l’agence de presse algérienne APS.
Cette commission conjointe des ministères de l’Habitat et des Affaires religieuses a pour mission de définir les normes et critères qui devront régir la décoration géométrique et calligraphique de la Grande mosquée d’Alger et de choisir les versets coraniques et les hadiths qui orneront cet édifice religieux.
Lors de sa visite d’inspection, samedi 16 mai, en compagnie du ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aissa, Abdelmadjid Tebboune a exprimé sa satisfaction face à l’accélération du taux de réalisation qui « progresse de mois en mois ».
Les travaux ont accusé un retard d’une année et demi en raisons notamment de problèmes liés aux marchés et à la coordination entre le bureau d’études allemand « Engel und Zimmermann » et la société chinoise publique de réalisation « China State Construction Engineering Corporation »(CSCEC).
Le renforcement de la main d’œuvre, avec l’augmentation du nombre des travailleurs de 1.000 à 1.600 entre janvier et mars, a joué un rôle important dans l’accélération du rythme des travaux.
S’étendant sur plus de 20 hectares, la Grande mosquée d’Alger compte une salle de prière d’une superficie de 20.000 M2, une esplanade et un minaret d’une hauteur de 270 m, outre une bibliothèque, un centre culturel, une maison du coran, des jardins, un parking, des bâtiments de l’administration, de la protection civile et de la sécurité ainsi que des espaces réservés à la restauration.
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binyen · 9 years
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Des bactéries au secours du béton fragilisé
Le microbiologiste néerlandais Hendrik Jonkers a présenté un projet innovant au Prix de l’inventeur européen dans la catégorie Recherche. Ce dernier porte sur l’ajout de bactéries dans le béton capables de colmater les fissures.
C’est une information révélée par le quotidien Les Echos. Hendrik Jonkers, chercheur néerlandais âgé de 50 ans, est parvenu à développer des micro-organismes d’une durée de vie de 200 ans en mesure d’améliorer les performances du béton et lui permettre de s’auto-réparer. Pour cette découverte, il a été nommé au Prix de l’inventeur européen décerné par l’Office européen des brevets (OEB).
Concrètement, la bactérie « sous formes de spores » est introduite dans « un mélange d’argile, de zinc, de phosphore » lequel est ajouté au béton. Lorsque celui-ci se fissure, l’eau peut pénétrer dans le matériau et humidifier l’argile qui réveille les micro-organismes nourris par les composants et l’oxygène. « La réactivation conduit à la sécrétion de calcaire qui referment les fissures en trois semaines seulement », explique Les Echos.
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