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#musée de l'armée et invalides
sleepydrummer · 2 years
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Le Drapeau Tricolore, octobre 2022 Napoleon Bonaparte, statue in the Cour d’honneur Hôtel des Invalides, Paris, France 📷 by Sleepydrummer
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flagstudies · 2 years
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Happy #Vexiday! Here’s a repost from @drapeauxsfv • Le musée de l'Armée situé aux Invalides à Paris est un excellent moyen de découvrir différents types de vexilles militaires! Voici un tout petit aperçu de la collection de drapeaux militaires dans ce merveilleux musée: 1) Tout d'abord, une magnifique armée de figurine portant chacune un drapeau représentant un régiment sous l'Ancien Régime. 2) L'étendard de la 4ème compagnie des Gardes du corps (1750-1791). 3) Le drapeau du 13ème régiment d'infanterie de marine (1880). 4) Le fanion du Groupement druze, formé en 1927 et au service de l'armée française au Levant. 5) Fanion de la 4ème compagnie de mitrailleuses du 1er bataillon du 171ème régiment d'infanterie de forteresse. 6) Affiche publiée en France occupée incitant à s'engager dans la marine allemande. 7) Fanion de voiture ayant appartenu au général Giraud. 8) Drapeau du Corps franc d'Afrique. 9) Fanion de la jeep du général de Gaulle. 10) La une du journal AEF publié le 7 mai 1945 et célébrant la capitulation de l'Allemagne nazie. ========== @museearmee_invalides @armee2terre @armeedelair @marinenationale @armees_gouv #drapeau #fanion #pavillon #vexillologie #France #nation #flag #vexillology (at France) https://www.instagram.com/p/CjMW0zZLcti/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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focusmonumentum · 2 years
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Les Invalides
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À la fin du XVIIème siècle, fut édifié sur la plaine de Grenelle, proche du lieu-dit du "Gros Caillou" (alors une zone champêtre en dehors de Paris), l'Hôtel des Invalides, vaste ensemble monumental occupant une superficie de 13 hectares.
Voulu en 1670 par le roi Louis XIV, afin d'accueillir les soldats de son armée retraités ou estropiés, ce complexe fut conçu par l'architecte Libéral Bruant, s'inspirant du palais-monastère royal de l'Escurial, à Madrid: une cour d'honneur centrale (menant à une vaste "église aux soldats"), desservant plusieurs casernes, infirmeries et ateliers, organisés autour de quatre cours secondaires. À la fois hôpital et hospice, cette institution commença à accueillir ses premiers pensionnaires dès 1674, ses travaux colossaux ayant pu être menés à bien très rapidement grâce à l'intercession du marquis de Louvois, alors secrétaire d'État français de la Guerre. Devenus musée depuis, les combles de sa cour nord-est accueillent dès 1777 les plans-reliefs militaires de cités et places-fortes, transférés du Louvre. Ceux-ci servirent notamment à la poliorcétique, à savoir l'art du siège militaire. Également siège du gouvernement militaire de Paris, l'Hôtel des Invalides se fera piller par les premiers émeutiers du 14 juillet 1789, réquisitionnant au passage près de 32000 fusils et 27 canons, avant de se diriger vers la prison de la Bastille... Après une réutilisation politique avisée sous le Premier Empire (nous y reviendrons), l'institution des Invalides poursuivit sa vocation d'asile militaire tout au long du XIXème siècle, les soldats se faisant cependant de moins en moins nombreux à y loger. Les parties désaffectées des casernes furent ainsi réattribuées sous la IIIème République, accueillant le musée d'artillerie en 1872, puis le musée historique des armées en 1896, fusionnant en 1905 afin de former le Musée de l'Armée. Conservant des artefacts archéologiques militaires courant de la Préhistoire à l'époque contemporaine, ce monumental musée, le cinquième de France par sa fréquentation (environ 1,2 million de visiteurs par an, sauf ces deux dernières années...), abrite une abondante collection d'armures médiévales et de la Renaissance, d'armes blanches et à feu de l'époque moderne, des guerres révolutionnaires et de l'Empire... Auxquelles s'adjoignent, au fil des conflits, de nombreuses pièces de la guerre franco-prussienne de 1870/71, ainsi que des deux guerres mondiales. On peut notamment y voir un des "taxis de la Marne", ces fameux taxis parisiens réquisitionnés par le général Gallieni, gouverneur militaire de Paris durant la Première Guerre Mondiale. Partis des Invalides les 6 & 7 septembre 1914, ces taxis permirent d'acheminer une brigade d'infanterie sur le site de la première bataille de la Marne. Visible plus loin dans le parcours chronologique, un des chars de la 2ème D.B. du général Leclerc, ayant participé aux combats pour la libération de Paris, dont un âpre fut mené ici le 25 août 1944. En 1918, deux infirmières de l'institution nationale des Invalides y créèrent le "Bleuet de France", en soutien moral et financier aux victimes militaires de la Grande Guerre, embryon de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre, administré ici depuis 1934. Les souterrains de communication des Invalides abritent sous l'Occupation (de 1942 à la Libération) un réseau de résistance ayant permis à de nombreux pilotes de reconnaissance alliés de s'abriter avant d'être exfiltrés. C'est afin de commémorer la mémoire de la Résistance française que fut inauguré en 1970 un nouveau musée, de l'Ordre de la Libération, à l'instigation de Charles de Gaulle, fondateur de cet ordre en 1940. Un lieu dédié à sa mémoire fut finalement créé ici en sous-sol en 2008. Cet "historial" Charles-de-Gaulle présente, en un espace multimédia de 2500m2, la vie et l'œuvre du général libérateur puis président de la République. 
En parlant des présidents, ceux-ci sont officiellement intronisés, depuis de Gaulle, par une cérémonie de revue aux Invalides (le président de la République assumant également le rôle de chef des armées), les canons de bronze surplombant les douves (trophées pris aux Ottomans au XVIIème siècle, aux Autrichiens le siècle suivant, puis aux Chinois) tirant alors 21 salves à blanc, détonations d'investiture... Dirigées vers l'Élysée, les bouches de ces canons rappellent symboliquement que le pouvoir véritable revient au peuple, qui pourrait à tout moment s'insurger contre le pouvoir exécutif (comme ce fut souvent le cas depuis la Révolution française). Cette symbolique fut notamment reprise lors des manifestations des gilets jaunes...
Si nous empruntons l'Axe républicain partant de l'Elysée, traversant les Champs-Elysées, passant entre les Petit et Grand Palais, traversant la Seine sur le Pont Alexandre-III, nous arrivons sur une large esplanade herbeuse (inconstructible depuis l'Exposition universelle de 1900, où de nombreux pavillons des nations furent érigés temporairement), dévolu officieusement aux rassemblements festifs, surplombant une vaste gare RER souterraine (de la ligne C, ayant remplacé en partie la ligne de chemin de fer des Moulineaux) ainsi qu'un pôle d'échanges du métropolitain. Parvis précédant donc les Invalides, lieu entré dans l'inconscient collectif comme lieu d'hommages nationaux, de la Vème République à ses "héros", militaires ou populaires, morts pour la nation ou malgré elle, aux soldats tués lors de missions de maintien de la paix à l'étranger, aux victimes d'attentats (comme ceux, tragiques, du 13 novembre 2015), ainsi qu'aux personnalités, politiques ou médiatiques, ayant permis au blason français de briller toujours un peu plus, par tous les biais possibles: du Commandant Cousteau à Jacques Chirac, de Jacques Chaban-Delmas à Simone Veil, de Jean d'Ormesson à Charles Aznavour... Ou encore à Jean-Paul Belmondo, l'an dernier, dont l'une de ses fameuses cascades eut pour écrin cette cour d'honneur des Invalides, dans l'épilogue du film Le Guignolo. Cette même cour qui vit la conclusion d'un autre succès cinématographique français, Les Aventures de Rabbi Jacob, mettant en scène les tribulations d'un autre monument français, Louis de Funès. Ce même de Funès qui y reçut la Légion d'honneur en 1973. En effet, c'est en l'Hôtel national des Invalides que les récipiendaires de la Légion d'honneur y reçoivent la fameuse décoration, et ce depuis un certain Napoléon Bonaparte...
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Ce même Napoléon Ier, figure des Invalides, est représenté ici (première photo), statufié en point d'orgue de la cour d'honneur, avec son fameux bicorne, la main gauche passée entre les pans de sa redingote grise, la main droite tenant une lunette télescopique (ces trois "icônes" de l'empereur étant exposées au Musée de l'Armée, avec son fidèle cheval Vizir), devant des boulets de canons, rappelant sa vocation d'artilleur. Cette statue en elle-même a une histoire intéressante. Surmontant la colonne Vendôme en 1833, elle fut déposée en 1867, sous le Second Empire, son neveu Napoléon III lui préférant une nouvelle représentation glorifiante, d'un Napoléon en tenue d'empereur romain, auréolé des lauriers de la victoire... Cette statue "à l'uniforme des grenadiers", bien plus représentative, fut alors installée au carrefour de Courbevoie, au bout de l'axe monumental de l'ouest parisien (courant du Louvre à l'actuel quartier de La Défense). À l'issue de la guerre de 1870, les prussiens songeant, après le siège et la capitulation de la capitale, à traîner cette statue impériale derrière un char, sur les pavés de Paris, quelques fervents défenseurs bonapartistes la déboulonnèrent de son socle, la couvrirent, puis la juchèrent sur une barge voguant sur la Seine. Tombée à l'eau lors d'une manœuvre accidentelle (?), elle ne fut repêchée qu'en 1876, puis abritée dans les réserves des Invalides, avant d'être restaurée dans les ateliers des soldats invalides et placée en son arcade perspective en 1911. Le carrefour de Courbevoie accueille, quant à lui, depuis 1883, une statue de La Défense de Paris, ayant donné son nom au quartier... Napoléon et les Invalides, toute une histoire ! Il y fonda en effet l'ordre de la Légion d'honneur le 15 juillet 1804, procédant à la première remise de médailles en la chapelle aux soldats, sous le chœur de l'église dite alors "du dôme".
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Achevée en 1709 par l'architecte royal Jules-Hardouin Mansart (près de trente ans après la pose de sa première pierre !), cette église monumentale complète les Invalides, point d'orgue de ce complexe. Cette église, dédiée à Saint-Louis, édifiée sur un plan carré incluant une croix grecque, à la façade présentant une juxtaposition de trois ordres, est surmontée d'un dôme, d'une conception architecturale unique à l'époque : deux caissons formant deux coupoles superposées, entourées d'un tambour inspiré par la basilique Saint-Pierre de Rome, sur lequel repose un dôme aux panneaux extérieurs de plomb doré à la feuille d'or (restaurés cinq fois par le passé, la dernière campagne de réchampissage ayant eu lieu en 1989); lequel dôme étant lui-même surmonté d'un lanternon aux quatre figures de vertus (également d'or), pointant vers les quatre points cardinaux, surélevé d'un obélisque couronné d'une croix catholique portant son altitude à 107 mètres au-dessus du sol, ayant fait de cette église le plus haut édifice de Paris 180 années durant, avant l'érection de la Tour Eiffel en 1889. C'est sous ce dôme, donc, que Napoléon Ier délivra ses premières médailles de la Légion d'honneur. Il fit également de ce choeur une nécropole militaire, nouveau panthéon post-révolutionnaire dédié à la gloire militaire passée, au croisement de la ferveur religieuse et du prestige guerrier, en y transférant le cercueil de Turenne, aux faits d'armes glorieux sous le règne du Roi-Soleil, le coeur du maréchal Vauban, aux fortifications devenues proverbiales, le coeur de La Tour d'Auvergne, héros des guerres de la Révolution, ainsi que les dépouilles du général Marceau et de Rouget de Lisle, l'auteur de La Marseillaise. Dans sa nef, il fait suspendre les drapeaux des nations défaites par la France (auxquels viendront s'ajouter, bien plus tard, les étendards "bleu-blanc-rouge", de part et d'autre de l'autel, faisant de Saint-Louis-des-Invalides le seul établissement religieux arborant des drapeaux nationaux). De par l'implication de l'empereur dans l'évolution de cette église, il semblait naturel pour le roi des français Louis-Philippe Ier (et dernier) de transférer le corps de Napoléon Bonaparte en l'église Saint-Louis-des-Invalides (depuis la si distante île de Sainte-Hélène où il succomba près de 20 ans auparavant), en une vaste opération, dite du "retour des cendres", en 1840, s'attirant ainsi la sympathie des bonapartistes. Une crypte circulaire non couverte fut alors excavée sous la marqueterie de marbre tapissant le sol du chœur sous le dôme, afin d'y installer le tombeau du défunt empereur, créé par l'architecte Louis Visconti, en quartzite rouge reposant sur un socle de granit vert, au sein duquel s'imbrique une succession de cinq sarcophages, à la manière des pharaons de l'Égypte ancienne, si chère à Napoléon. L'y rejoignit son "Aiglon" (son fils unique), dans une urne cinéraire, cent ans plus tard, sur la proposition d'un certain... Adolf Hitler. De nombreux généraux des deux guerres mondiales ont depuis été inhumés sous le dôme des Invalides, comme Foch, Lyautey, Juin, Leclerc de Hautecloque... Séparant le chœur de la nef depuis 1873, une haute verrière dissocie définitivement la nécropole militaire de l'église dédiée aux soldats, devenue cathédrale du diocèse aux armées françaises en 1986.
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La grille royale, au portail marquant l'entrée principale des visiteurs des Invalides, fut restaurée par des ferronniers d'art en 2019, retrouvant son éclatant bleu roi, ainsi que ses dorures rehaussant le blason sommital de l'Ancien Régime, aux trois fleurs de lys encadrées par les colliers de l'ordre de Saint-Michel, surmontée de la couronne du Royaume de France, symbolisant la fondation d'origine des Invalides par le Roi-Soleil.
350 ans d'histoire de France résumés ici...
Crédits : ALM’s 
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empiredesimparte · 3 years
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State Visit in Francesim - Bienvenue au roi Daniel et à la reine Shalom d'Alexandra
The Marseillaise, the anthem of Francesim, rang out in the Invalides on the arrival of the prestigious guests of His Majesty Emperor Napoléon IV. The Prefect of the Seine, Count De Signy and the First Councillor, Duke Murat, accompanied the first steps in Francesim of their Majesties the King and Queen of Alexandra.
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After a few minutes of greetings and warm exchanges in the Grand Salon of the Army Museum, Emperor Napoléon IV guided the guests to the Cour d'Honneur of the Invalides to review the imperial troops.
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(Collaboration with @royalsimsinsider, don't hesitate to discover this wonderful blog <3)
Visite d'Etat - Bienvenue au roi Daniel et à la reine Shalom d'Alexandra
La Marseillaise, l'hymne de Francesim, a retenti dans les Invalides à l'arrivée des prestigieux invités de Sa Majesté l'Empereur Napoléon IV. Le préfet de la Seine, le comte de Signy ainsi que le Premier Conseiller, le duc Murat, ont accompagné les premiers pas en Francesim de leurs Majestés le roi et la reine d'Alexandra.
Après quelques minutes de salutations et d'échanges chaleureux au Grand Salon du musée de l'armée, l'Empereur Napoléon IV guida les invités jusqu'à la Cour d'Honneur des Invalides afin de passer en revue les troupes impériales.
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"82 PB I, V et VI" impacts de plomb de Pablo Gosselin (2021) dans le cadre de l'exposition "Napoléon ? Encore !" au sein des collections permamentes du Musée de l'Armée, Hôtel des Invalides, juillet 2021.
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djezonmatelot · 3 years
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[#SuggestionsDuWeekend] 📣 Ce week-end, l'armée de l'Air et de l'Espace se mobilise au profit des Journées européennes du patrimoine (JEP).
En effet, plusieurs musées des traditions des bases aériennes seront accessibles les 18 et 19 septembre 2021 à l’occasion de cette 38e édition des JEP, véritable ciment du lien armées-Nation.
Découvrez différents lieux du patrimoine militaire et partez à la rencontre des Aviateurs présents sur place à travers diverses activités culturelles.
La Musique de l'Air prendra également part aux évènements culturels en proposant deux concerts gratuits ce samedi 18 septembre à 16h00 dans la Cathédrale Saint-Louis des Invalides et ce dimanche 19 septembre à 15h30 au Panthéon.
📣 Pour en savoir plus, rendez-vous ici : https://bit.ly/3AhGjK6
#JournéesEuropéennesduPatrimoine #JEP2021 #ArméesNation
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justforbooks · 6 years
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La Garde républicaine est une subdivision de la Gendarmerie nationale qui assure des missions d'honneur et de sécurité au profit des plus hautes autorités de l'État ainsi que des missions de sécurité au profit du public. Elle concourt également au rayonnement culturel de la France avec ses formations musicales et ses formations spéciales. Enfin, elle exécute des missions d’assistance, de formation et de coopération, tant en France qu’à l’étranger.
Subordonnée à la région de Gendarmerie d'Île-de-France (RGIF), elle est composée d’environ 2 800 hommes et femmes, militaires et civils. Elle est constituée d'un régiment de cavalerie, de deux régiments d'infanterie et de formations musicales qui comprennent notamment l'orchestre de la Garde et le chœur de l'Armée française.
Intrinsèquement liée à Paris, elle n'abandonne qu'en 1978 le nom de « Garde républicaine de Paris », acquis en 1870. Les gardes portent sur leur uniforme un écusson aux armoiries de la ville.
Le siège de l'état-major de la Garde républicaine se trouve au quartier des Célestins dans le 4e arrondissement de Paris.
Les honneurs sont rendus par le régiment de cavalerie et les deux régiments d'infanterie. Les escortes sont assurées par le régiment de cavalerie et par l'escadron motocycliste.
Des détachements du régiment de cavalerie renforcent les deux régiments d'infanterie dans leurs missions d'honneur et de sécurité dans les palais de l'État. Les hôtes prestigieux sont accueillis sur le perron de l'Élysée ou de Matignon — ou dans d'autres lieux — par des cavaliers à pied, la mission des régiments d'infanterie étant de rendre les honneurs et de veiller à la sécurité de ces palais ainsi qu'à celle des autorités. Certains services d'honneurs — haies d'honneur — sont rendus lors de visites officielles dans les musées ou l'Opéra ou lors de la descente des académiciens sous la coupole de l'Académie française.
Lors de visites officielles ou de travail, le protocole exige de la Garde républicaine que les honneurs soient rendus par dix cavaliers à pied sur le perron de l'Élysée et trois sections à 18 sous-officiers tandis qu'un orchestre de 18 musiciens de cuivres et tambours joue dans la Cour d'honneur ; lors de visites d'État, le protocole est renforcé par la présence du commandant militaire du Palais ou de son adjoint et de deux cavaliers à cheval devant l'entrée principale.
L'escadron motocycliste participe également à certaines missions d'honneur et notamment à l'escorte des corps des militaires tombés pour la France lors de leur transfert à l'Hôtel des Invalides.
Le régiment de cavalerie comprend 480 militaires et civils, dont environ 10 % sont des femmes. Il s'agit de la plus grande « formation montée » au monde et de la dernière unité à cheval de l'Armée française. Elle est jumelée depuis 1989 avec le Reggimento di carabinieri a cavallo italien et, depuis 1998, avec le Household Cavalry Mounted Regiment britannique et la Garde rouge sénégalaise.
Le régiment se compose :
d'un centre d'instruction, au quartier Goupil de Saint-Germain-en-Laye ;
de trois escadrons de cavalerie, chacun à l’effectif d’environ trois officiers et 115 sous-officiers ;
d'un escadron hors rang qui comprend :
la fanfare de cavalerie ;
les maréchaux-ferrants ;
le service vétérinaire.
Il possède environ 470 chevaux — hongres ou juments — dont plus de 90 % de race « selle Français », le reste appartenant à d'autres stud-book étrangers ou trotteurs français, tous répartis par robe: les cuivres de la fanfare et le 1er escadron sont montés en alezans, le 2e escadron en bais et le 3e escadron en bais bruns. Seuls les deux timbaliers et les trois chevaux de l'étendard sont gris. Depuis 2014, les timbaliers sont des chevaux lourds de race Percheron.
Les chevaux sont sélectionnés avec un soin particulier : ils doivent mesurer 1,66 m au garot minimum, être de robe franche, avoir de bons aplombs et être agréables à l'œil, chics, porteurs, sans trop de sang. À l'âge de trois ans, ils intègrent le centre d'instruction équestre de Saint-Germain-en-Laye, où ils sont préparés pendant deux ans. Cette période, appelée « débourrage », n'est cependant pas un entraînement à proprement parler. L'apprentissage militaire commence vraiment au sein du régiment de cavalerie, comme au quartier des Célestins, qui accueille environ 184 chevaux. Chaque année, la Garde réforme une quarantaine de chevaux, et achète un volume équivalent de poulains.
Si les sports équestres ne sont pas une priorité pour le régiment, il subsiste néanmoins des équipes sportives équestres, une de concours complet et une autre de dressage, à laquelle appartenait notamment jusqu'en 2010 Hubert Perring, champion de France de dressage en 2005, membre de l'équipe de France pour les Jeux équestres mondiaux de 2006. Le régiment de cavalerie a permis à deux cavaliers de participer aux Jeux olympiques de dressage : Serge Cornut sur Olifant à Barcelone en 1992, et Hubert Perring sur Diabolo Saint Maurice à Pékin en 2008.
Le régiment est, depuis 2016, commandé par le colonel Philippe Delapierre.
Daily inspiration. Discover more photos at http://justforbooks.tumblr.com
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gerardbillet · 3 years
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Exposition Napoleon ENCORE Herve Ingrand : Der Schwarze Teufel, Agnes Thurnauer : Border, Célia Muller : Delphine 1 et 3, Georges Tong Stoll : Paris Abysses 296 Laurent Grasso : Studies into the Past, Julian Schnabel: Golem, Art et Language: A Bad Place, Edgar Serin : Napoleon 2021, #hoteldesinvalides #museedelarmee #napoleonencore #bicentenairedelamortdenapoléon #herveingrand #derschwarzeteufel #generaldumas #agnesthurnauer #border #celiamuller #delphine #georgestonystoll #parisabysse #laurentgrasso #studiesintothepast #julianschnabel #golam #artetlanguage #abadplace #edgarserin #napoleon2021 #artistecontemporain #instapic #photooftheday #parismaville (à Hôtel Des Invalides - Musée De L'armée) https://www.instagram.com/p/CQwRVuPlixB/?utm_medium=tumblr
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jcarlosisla · 5 years
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Musée de l'Armée - Invalides. Dans le cadre prestigieux de l'Hôtel national des Invalides naît en 1905 le musée de l'Armée, issu de la fusion du musée d'Artillerie (1796) et du musée historique de l'Armée créé cent ans plus tard, à la suite de l'exposition universelle. Paris, France ➖ . . . #paris #france #paris_focus_on #architecture #parisianstyle #parismonamour #citytrip #vivreparis #pariscartepostale #parismaville #igersparis #citygrammers #parisianlife #parisjetaime #visitparis #parislovers #topparisphoto #topfrancephoto #topeuropephoto #hello_france #super_france #igersfrance #visitfrance #merveillesdefrance #parisjetaime #parismonamour #parigi #igersparis #invalides #museum (en Musée de l'Armée) https://www.instagram.com/p/B3yo4TFoMFp/?igshid=1p2nezuc3455v
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archivesgouv · 7 years
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19 mai 1802 (29 floréal, an X). Fondation de l’ordre de la Légion d’honneur par Napoléon Bonaparte, Premier Consul
La Révolution française avait supprimé ordres et distinctions au nom du principe d’égalité. Mais au lendemain de la Révolution, la création d’une distinction nationale fait partie du programme de réorganisation de la nation de Napoléon Bonaparte, Premier Consul, au même titre que la réforme de l’administration, la rédaction du code civil, ou la fondation de la Cour des comptes.  
 "Je défie qu'on me montre une république ancienne ou moderne dans laquelle il n'y a pas eu de distinctions", déclare-t-il lors de débats préparatoires très vifs au Conseil d’État, début mai 1802. "Il faut créer un ordre qui soit le signe de la vertu, de l’honneur, de l’héroïsme, une distinction qui serve à la fois la bravoure militaire et le mérite civil."
 Soumis au vote, le projet de Napoléon est adopté par le Tribunat par 56 voix contre 38, puis le 19 mai 1802 (29 floréal, an X) par le Corps législatif, par 166 voix contre 110. Le décret du 29 floréal porte donc acte de la création d’une Légion d’honneur qui récompense aussi bien les militaires que les civils, et qui rassemble aussi bien le simple soldat que l’éminent scientifique.
 Napoléon s’abstient d’abord de prescrire aux membres de la nouvelle institution le port quotidien d’un insigne, considéré par certains comme une offense au principe d’égalité. Il faut attendre la proclamation de l’Empire, deux ans plus tard, pour que le décret du 11 juillet 1804 (22 messidor, an XII) fixe la première forme de la décoration (dessin ci-contre), à peine deux mois après la proclamation de l’Empire (le 18 mai 1804). Le 15 juillet 1804, l’Empereur procède alors à la première distribution des insignes de la Légion d’honneur en l’église des Invalides au cours d’une fastueuse cérémonie officielle, la première de l’Empire.
 Faisant partie des collections du musée de l’Armée, le collier du grand maître de l’ordre de la Légion d’honneur (que l’on peut apercevoir ici) a appartenu à Napoléon 1er. Sa chaîne en or est formée de seize médaillons représentant les différentes disciplines des membres de l’Ordre (comme l’architecture, les lettres, les sciences, ou encore la marine) et de seize aigles, le tout encadré de deux rangs de chaînons décorés d’abeilles. L’ensemble est réuni par le monogramme  "N" (pour Napoléon).
L’Hôtel de Salm à Paris abrite le siège de la Légion d’honneur depuis 1804, date de son acquisition par le comte de Lacépède, premier grand chancelier de la Légion d’honneur.
Collier de Grand maître de l’ordre de la Légion d’honneur ayant appartenu à Napoléon Ier : © Paris-Musée de l'Armée, Dist. RMN-Grand Palais / image musée de l'Armée
Premier dessin en couleur de la croix de la Légion d'honneur joint au décret du 22 messidor an XII (11 juillet 1804) : © Archives nationales, AE/II/2342bis
Original du décret de promulgation de la loi portant création et organisation de l'ordre de la Légion d'honneur (première et dernière page du décret, signé par Napoléon) : © Archives nationales, AE/II/2878
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palvoyageuse-blog · 7 years
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1er juillet, jour 4, Musée des Invalides, Mont Martre et croisière sur le bateau mouche pour fêter le Canada!
Après une nuit de sommeil un peu plus longue(levé à 8:00), nous partons sous la pluie pour visiter le musée des Invalides, c'est-à-dire le musée de l'armée. Encore une fois, ce fut une très belle visite (le tombeau de Napoléon est immense et son cheval est rendu beige!😝)
En PM, nous reprenons le métro pour se rendre au Mont Martre avec le soleil qui est enfin venue nous dire bonjour! Arrêt photos devant le Moulin rouge et montée vers la basilique du Sacré-Coeur de Mont Martre. Achats de souvenirs et nous redescendons vers le métro pour souper plus tôt en vue de la croisière sur la Seine en soirée . Quelle belle journée surtout lorsque les élèves ont chanté l'hymne national canadien . Il faut dire qu'ils ont été incités par M. Brousseau qui a annoncé la fête du Canada au micro sur le bateau-mouche tout en saluant la présence des élèves de la PAL.
DU COUP, les jeunes connaissent maintenant le fonctionnement du métro parisien.
À demain.
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fashionbooksmilano · 7 years
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Armures des princes d'Europe
Sous l'égide de Mars
Olivier Renaudeau, Jean-Pierre Reverseau, Jean-Paul Sage-Frénay
Éditions Nicolas Chaudun, Paris 2011,  384 pages
euro 55,00*
email if you want to buy :[email protected]
"Sous l'égide de Mars, Armures des princes d'Europe" est le catalogue qui accompagne l'exposition du même nom présentée au Musée de l'Armée, Musée des Invalides de Paris (16 mars - 26 juin 2011). Jusqu'à ce jour, seuls quelques rares travaux d'érudition Bufflent été dévolus à la production armurière française de luxe. Les harnois commandés par François ler, Henri II, Charles IX ou par des souverains étrangers, aujourd'hui dispersés dans les grands musées d'armes du monde, comptent parmi les plus somptueux équipements défensifs. "Sous l'égide de Mars, Armures des princes d'Europe" permet de découvrir les raffinements et l'exubérance maniériste caractéristiques des ornemanistes de l'école de Fontainebleau qui trouvent leur correspondance dans la virtuosité du travail au repoussé de ces armures, les métamorphosant en de véritables chefs-d'oeuvre d'orfèvrerie. Leur confrontation avec les dessins préparatoires à leur décor renouvelle le regard qu'il convient désormais de porter sur des parures dont le degré d'excellence n'a rien à envier aux plus grandes oeuvres d'art.
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empiredesimparte · 3 years
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Bienvenue à l’Empereur David de Pierreland !
Emperor David of Pierreland continues his diplomatic tour. HIH Prince Henri and Ambassador Mr. Jérôme of Westphalia came to welcome the emperor on French soil.
The state visit has a busy programme. On this first day, Emperor David joins the imperial couple at the Invalides, where he will first visit Napoleon I's tomb. Then they will go to the Army Museum.
( Collaboration with @officalroyalsofpierreland <3 )
L'empereur David de Pierreland poursuit sa tournée diplomatique autour du globe. Son Altesse Impériale le Prince Impérial Henri et l'Ambassadeur M. Jérôme de Westphalie sont venus accueillir l'empereur sur le sol français.
La visite d'État a un programme chargé. En ce premier jour, l'empereur David rejoint le couple impérial aux Invalides, où il se rendra d'abord sur la tombe de Napoléon Ier. Ensuite, ils se rendront au musée de l'Armée.
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"Napoléon 2021" structure en bois et techniques mixtes d'Edgar Sarin (2021) installé sous le Dôme de l'Eglise Saint-Louis dans le cadre de l'exposition "Napoléon ? Encore !" au sein des collections permamentes du Musée de l'Armée, Hôtel des Invalides, juillet 2021.
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"Masque Mortuaire de Naopoléon Lauré" en bronze patiné et doré (XIXe siècle) à l'exposition “Napoléon n'Est Plus” au Musée de l'Armée, Hôtel des Invalides, juillet 2021.
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"Etole et Chasuble de Temps Ordinaire" ayant appartenu à l'Abbé Vignali en soie et galons d'argent (Aumonier de l'Empereur), "Chapeau Bicorne" porté par Napoléon à Sainte-Hélène en feutre, soie, basane, cuivre doré et bois (circa 1814) et "Habit de Petite Tenue de Colonel des Chasseurs à Cheval de la Garde Impériale" (circa 1813) sur le "Lit de Campagne" de Napoléon Ier dit "Lit-Murat" de Marie Jean Desouches à l'exposition “Napoléon n'Est Plus” au Musée de l'Armée, Hôtel des Invalides, juillet 2021.
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