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#École nationale d’aérotechnique
toutmontbeliard-com · 6 months
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L’UTBM fait son entrée dans le classement de Shanghai
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C’est le 27 octobre 2023 qu’a été dévoilé le classement thématique de Shanghai. L’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard (UTBM) y fait cette année son entrée. Réalisé depuis 2017 par l’Université chinoise Jiao Tong de Shanghai, ce classement thématique (Global Ranking of Academic Subjects, GRAS) a pour objet d’évalue l’engagement des établissements d’enseignement supérieur et de recherche dans leurs activités de recherche, selon 55 disciplines scientifiques réparties en 5 domaines ingénierie, sciences naturelles, sciences de la vie, sciences médicales, sciences sociales. Pour l’édition 2023 de ce classement, plus de 1900 institutions, dans 104 pays, sont citées (sur plus de 20 000 universités et écoles supérieures dans le monde). L’UTBM figure dans le domaine de l’ingénierie, au titre de deux disciplines scientifiques : l’ingénierie mécanique, dans le segment 5-10ème meilleures institutions françaises, au côté de 15 autres institutions françaises ; les sciences et technologies de l’instrumentation, aux côtés de deux autres institutions françaises (Université Paris-Saclay et Université Grenoble Alpes). Pour ces deux disciplines scientifiques, l’UTBM apparaît dans le segment de 201-300ème meilleures institutions au monde. La France compte 84 établissements d’enseignement supérieur et de recherche classés cette année, un de moins que l’an passé, dont 10 écoles d’ingénieur (par ordre alphabétique) : École des Ponts (Paris), Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique (Poitiers), Ecole nationale supérieure des arts et métier (huit campus en France), École nationale supérieure des Mines-Télécom Atlantique (Brest, Nantes, Rennes), EUROCOM (Sofia-Antipolis), Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon, Institut national des sciences appliquées (INSA) de Toulouse, Institut national polytechnique de Toulouse, Institut polytechnique de Paris et Université de Technologie de Belfort-Montbéliard (UTBM). Ghislain Montavon, Directeur de l'UTBM : "Figurer au classement thématique de Shanghai – un classement pour le moins très sélectif - doit faire la fierté de l’ensemble de la communauté de l’établissements, ses étudiantes ses étudiants et des personnels. C’est là l’expression de la qualité, au meilleur niveau mondial, et de la lisibilité des travaux de recherche conduits quotidiennement au sein des équipes de l’UTBM, par ses enseignants-chercheurs et l’ensemble des personnels les accompagnant quotidiennement (ingénieurs de recherche, ingénieurs d’étude, assistants-ingénieurs, techniciens, etc.). La qualité de cette recherche bénéficie corrélativement aux partenaires industriels et socio économiques de notre territoire, et au-delà : c’est l’une des raisons d’être, aux côtés de la formation d’ingénieurs, d’une université de technologie comme l’est l’UTBM". Read the full article
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maxgainzzz · 6 years
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Bombardier Inc. (BDRBF: OTCQX International Premier) | C Series Aircraft Lands at École nationale d’aérotechnique to Start New Training Mission
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utopiedujour · 7 years
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Boubaker El Hadj Amor : « Banalisons l’islam ! »
L’imam de la mosquée de Poitiers, BOUBAKER EL HADJ AMOR, est l’un des dirigeants historiques de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), souvent accusée d’être proche des Frères musulmans. Celui qui est par ailleurs maître de conférence dans une grande école d’ingénieurs s’explique sans langue de bois sur le terrorisme, les jeunes en voie de radicalisation, le mariage homosexuel, l’antisémitisme ou encore les influences étrangères qui ligotent toujours la communauté musulmane de France.
PROPOS RECUEILLIS PAR ANTOINE FABRY PHOTOS GABRIEL FABRY
Vous n’êtes pas très présent dans les médias. Pouvez-vous revenir sur votre parcours et votre engagement au sein de l’UOIF ?
À mon arrivée en France, en 1974, j’étais un jeune étudiant tunisien qui venait faire ses études de mathématiques grâce à une bourse de l’État français. Après ma thèse, j’ai commencé à enseigner dans plusieurs universités, ce que je continue de faire aujourd’hui à l’École nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique à Poitiers. Je suis marié et j’ai quatre enfants. Voilà pour mon CV. Quant à mon engagement dans le milieu associatif musulman, il a pris forme lorsque je rédigeais ma thèse à Bordeaux. À l’époque, nous n’étions, avec les étudiants et les ouvriers musulmans, qu’une communauté étrangère avant d’être une véritable présence religieuse en France. Le cadre juridique de l’époque rendait la création d’associations composées d’étrangers très difficile, avec une procédure laborieuse et une enquête approfondie et systématique des RG. L’islam, en réalité, n’était qu’une religion d’immigrés, avec ses mosquées Sonacotra, comme on les appelait à l’époque. L’islam n’existait pas sur le plan institutionnel et le milieu associatif était faible, indigent.
Du coup, qu’est-ce qui vous a permis de vous structurer ?
En 1981, avec l’élection de Mitterrand, la loi sur les associations s’est nettement assouplie. Ce qui a provoqué un véritable appel d’air pour les musulmans qui voulaient organiser la vie du culte et a permis la création d’une multitude de structures. En 1982, nous avons créé l’Association des musulmans de la Gironde avec plusieurs amis, et installé notre première mosquée, en plein centre-ville de Bordeaux. Mosquée dont le recteur est aujourd’hui Tareq Oubrou, très actif et présent dans les médias et dans la vie intellectuelle. Notre initiative et tout un tas d’activités liées à la pratique du culte (les commerces halal, les librairies musulmanes, quelques écoles coraniques) ont essaimé dans de nombreuses villes. Mais notre mouvement restait trop éclaté et c’est là qu’est née l’idée de créer une fédération des associations musulmanes existantes. Au départ, nous n’étions qu’une dizaine d’associations, mais peu à peu, plusieurs autres ont rejoint l’UOIF pour partager leurs expériences sur le terrain et peser auprès des institutions publiques.
Vous n’étiez pourtant pas la seule grande fédération musulmane ?
À l’époque, il n’y avait que la Grande Mosquée de Paris, qui reste emblématique de par son histoire, mais aussi en raison de son statut quasi diplomatique de représentant de l’islam algérien. Le père de l’actuel recteur Dalil Boubakeur occupait d’ailleurs les mêmes fonctions que son fils aujourd’hui. L’intérêt de l’UOIF était justement d’agglomérer plusieurs tendances de l’islam et surtout de mettre en place une institution représentative officielle. L’affaire Salman Rushdie (son roman Les Versets sataniques publié en 1998 avait été jugé comme blasphématoire par l’ayatollah Rouhollah Khomeini, guide de la révolution iranienne, qui avait alors émis une fatwa réclamant l’exécution de l’écrivain britannique – NDLR) en a été la première étape, car il a fallu s’exprimer…
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Publié dans Charles N°21, Politique & Religions, Printemps 2017
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maxgainzzz · 6 years
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Bombardier Inc. (BDRBF: OTCQX International Premier) | Media Advisory: C Series Aircraft to be Welcomed at École nationale d’aérotechnique on October 17
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