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#voix puissante
maraboutdjemey · 18 days
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INITIATION AUX TEMPLES INDIEN AVEC 2000€
Dans le but de parfaire votre niveau spirituel ,ou de pouvoirs avoir des forces de l’inde**, le marabout DJEMEY en partenariat avec les puissant maître du monde, il vous conduira jusqu’au bout dans le temple indien en INDE.** L’initiation dure 10 jours. Vous aurez entre les mains les clés de la production d’argent par des voies mystiques. C’est cette initiation (et ses secrets) qui est employée…
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plumedepoete · 1 year
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Voix puissante - Daroca Mikael
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Cœur d ’ empire Écoute le monde Respect de l ’ œil Promet du futur. Surprise de décision Stratégie de prudence Un cœur machiavélique Passions d ’ irrationnel. Dextérité. Détails des instants Lancent des enjeux La florissante errance Au dialogue généreux. Le rêve aux accès Délivre une demande Tout idéal s ’ expose L ’ harmonie vacille. Dessous. L ’ immense amour Dessine animations Facettes de passion Imaginent le contact. Magie des Libertés Rire des ellipses Couloirs se détachent Extension des êtres. Read the full article
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fieriframes · 2 months
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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Nous étions deux rivières aux sources éloignées, déclare-t-il d'une voix sentencieuse. Nous avons traversé des paysages différents dans l'attente de cette rencontre. Nous nous sommes jetés l'un sur l'autre, pour former un fleuve puissant, capable d'aller plus loin encore.
Thierry Cohen (si un jour la vie t'arrache à moi)
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kilfeur · 6 months
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Mon avis sur ML special Paris (my opinion about ML Special Paris)
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Je l'ai pas mal apprécié dommage que j'ai pu trouvé la version anglaise et non la version française. Bien que la performance de Cristina Vee Bryce Papenbrook sortent du lot. Mais ce special a des points forts que j'apprécie. Par exemple la relation entre Toxinelle et Griffe Noire qui sont alliés que par un concours de circonstance et semblent plus professionnels malgré leurs disputes. Croyant que leurs pouvoirs viennent de la chance ou de la destruction qu'autre chose. Il y a aussi le moment où Toxinelle est en proie en doute quand Betterfly essaie de les convaincre de rejoindre sa résistance. Où quand elle lit le journal de son alter ego, qui elle semble avoir une meilleure vie qu'elle au premier abord. Au début je pensais que sa vie était assez isolé et peut être même qu'elle connaissait pas ses parents. Mais en fait elle est belle et bien isolé, pas de mamam aimante, pas de petit ami ou de meilleur ami. Toute seule subissant le harcèlement de Chloé et c'est là que je trouve que l'idée du Suprême est intéressante. Car c'est justement ce genre de profil que ces organisations s'intéressant pour ensuite les convaincre et les recruter. Le suprême était l'espoir pour Toxinelle jusqu'à ce qu'elle découvre la surutilisation du Lucky Charm et le souhait qui peut pas être utilisé. Mais Marinette lui parle de sa propre expérience, disant que ça n'a pas été facile mais qu'elle a quand même essayé encore et encore. En voulant changer et évoluer, elle a pu changer ce qui l'entoure et avoir une vie où elle peut souffler un peu malgré les difficultés.
Griffe Noire est plus intrépide voulant jouer les cools mais aussi un poil suicidaire. Le fait qu'il se cataclysme lui même en est un peu la preuve, se montrant plus violant que son alter ego. Et ne supportant pas sa partenaire, le cafard qu'il adore appeler. Surtout que son cataclysme semble être plus puissant que Chat Noir ! Toutefois toute sa colère, cette haine cache une certaine douleur. Il veut ramener sa mère et croit que son père n'en a rien à faire. Alors que tout ce qu'il souhaite c'est la revoir or il y a un prix à payer et Adrien lui fait bien comprendre qu'elle n'aurait pas voulu. De plus j'ai bien aimé le fait qu'Adrien s'ouvre un peu concernant sa douleur aussi mais l'utiliser pour aider son alter ego. Et réconforte sa partenaire qui est en proie en désarroi quand elle n'a pas de plan. Il se pose des questions sur ses pouvoirs mais ça l'empêchera de faire ce qui est bon pour aider les gens.
Alya joue aussi un grand rôle en étant l'aide et aussi le soutien morale de sa meilleure amie. Ça n'a pas dû être évident une fois qu'elle a du faire la passerelle dans les autres mondes. Mais cela montre une fois encore que le personnage d'Alya a été important pour Marinette et que peu importe ce qui se passera, elle sera toujours à ses côtés pour l'aider. Aussi la scène où elle essaie de se cacher et où elle enregistre le plan de Monarque est bon. Quand Betterfly, je sens venir les gens dire que les scénaristes essaient de montrer que Gabriel est quelqu'un de bien. Et il l'est dans un autre univers ! Il a aussi ses fautes, lui même le dit. Vu qu'il était avec le suprême (d'ailleurs je me demande quel genre de relation il avait Toxinelle et Griffe Noire avant) mais son monde est différent, les miraculous sont gardés en tant que secret. Le suprême a un système corrompu et c'est probablement la mort d'Emilie qui l'a fait réalisé donc c'est pour ça qu'il a fondé la résistance en voulant garder l'espoir. Je trouve qu'il est solide en tant que perso bien que j'aurai aimé un peu plus sur son passé ou bien plus d'interactions entre lui et le mauvais duo. Quand à Monarque, je pense qu'ils l'ont fait exprès de ne pas les faire interagir pour montrer la différence entre ces deux là. Et puis c'est agréable d'entendre la voix de Keith Silverstein du côté des héros pour une fois.
Après il y a pas mal de questions en suspens comme le suprême, comment le système a été mit en place pour cibler des personnes fragiles et ainsi de suite. Bien que vers la fin avec Monarque tu sens que l'équipe s'est amusé à tabasser à répétition Monarque dans chaque univers qui est sympa mine de rien. Mais c'est pas plus mal un peu de mystère, raconter tout de A et Z est un peu ennuyeux je trouve. Mais bon ça peut toujours être exploré en fanfiction.
I enjoyed it quite a bit, too bad I was able to find the English version and not the French one. Although Cristina Vee Bryce Papenbrook's performance stands out. But this special does have its strong points, which I appreciate. For example, the relationship between Toxinelle and Griffe Noire, who are only allied by circumstance and seem more professional despite their arguments. Believing that their powers come from luck or destruction rather than anything else. There's also the moment when Toxinelle is plagued by doubt when Betterfly tries to convince them to join his resistance. Or when she reads the diary of her alter ego, who seems to have a better life than she does at first sight. At first I thought her life was pretty isolated, and maybe she didn't even know her parents. But in fact she's quite isolated, with no loving mum, boyfriend or best friend. She's all alone, suffering Chloé's harassment, and that's where I think the idea of the Supreme is interesting. It's precisely this kind of profile that these organizations are interested in convincing and recruiting. The Supreme was Toxinelle's hope until she discovered the overuse of the Lucky Charm and the wish that can't be used. But Marinette tells her about her own experience, saying it hasn't been easy but she's still tried again and again. By wanting to change and evolve, she has been able to change her surroundings and have a life where she can breathe a little despite the difficulties.
Griffe Noire is more intrepid, wanting to play it cool, but also a little suicidal. The fact that he cataclysms himself is proof of this, proving to be more violent than his alter ego. And he can't stand his partner, the cockroach he loves to call. Especially as his cataclysm seems to be more powerful than Chat Noir! However, all his anger and hatred conceal a certain pain. He wants to bring his mother back, and thinks his father doesn't care. All he wants is to see her again, but there's a price to pay, and Adrien makes it clear that she wouldn't have wanted it. I also liked the fact that Adrien opens up a little about his pain, too, but uses it to help his alter ego. And comforts his partner who's in disarray when she doesn't have a plan. He wonders about his powers, but that will stop him from doing what's right to help people.
Alya also plays a big role in being her best friend's helper and moral support. It can't have been easy once she had to make the transition to the other worlds. But it shows once again that Alya's character has been important to Marinette, and that no matter what happens, she'll always be by her side to help. Also the scene where she tries to hide and records Monarque's plan is good. When Betterfly, I can feel people coming up and saying that the writers are trying to show that Gabriel is a good person. And he is in another universe! He also has his faults, as he himself says. Since he was with the Supreme (I wonder what kind of relationship he had with Toxinelle and Griffe Noire before), his world is different, the miraculous are kept as a secret. The Supreme has a corrupt system and it was probably Emilie's death that made him realize this, so that's why he founded the resistance, wanting to keep hope alive. I think he's a solid character, although I'd have liked a bit more on his past or more interaction between him and the bad duo. As for Monarque, I think they did it on purpose not to make them interact to show the difference between those two. And it's nice to hear Keith Silverstein's voice on the heroes' side for once.
After that, there are quite a few unanswered questions, such as who is supreme, how the system was set up to target vulnerable people and so on. Although towards the end with Monarque, you get the feeling that the team had fun repeatedly beating up Monarque in each universe, which is nice, by the way. But there's something to be said for a bit of mystery. Telling everything from A to Z is a bit boring, I find. But you can always explore it in fanfiction.
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mmepastel · 2 months
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Tout à l’heure dans la voiture, j’ai entendu à la radio cette chanson de Nick Cave chantée par Johnny Cash.
O Lord, il la chante diablement bien. Mais je me suis souvenue de la première fois où j’avais entendu cette chanson par Nick Cave, il y a très très longtemps, c’était la version acoustique bizarrement, sur une édition rallongée de The Good Son, et j’avais senti mon sang bouillonner et se glacer simultanément avec cette voix qui psalmodiait, cette répétition entêtante, les syllabes graves qui trainaient sur « I’m not afraid to dieeee ». Cette noirceur, cette solennité macabre. Puissantes.
En quittant l’adolescence, j’ai appris à apprécier la légèreté en musique, mais de temps en temps, mon moi un peu gothique et grandiloquent se repaît bien volontiers de ces chansons qui célèbrent cette part sombre en nous.
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nereidestuff · 4 months
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☽ la isla blanca;; version cinq.
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hello, hello 💕 cinq mois désormais que notre doux cocon, LA ISLA BLANCA, à ouvert ses portes. mes petits coeurs de co-admins, nox, @jeudisgris, @erinye-stuff & moi-même venons vous présenter sa sixième version. dites adieu au duel entre ombre et lumière, et laissez-vous envelopper dans la douceur des fêtes de fin d'année. au programme; décorations scintillantes, odeur de cannelle, chocolat chaud aux épices, et cadeaux sous le sapin.
l'intrigue du mois; doux manteau d'hiver enveloppe ibiza. jours s'écourtent, et lampions festifs éclairent désormais l'île blanche, féérie s'éveille au cœur des rues étroites. lumières scintillantes s'accrochent aux branches dénudées des arbres, illuminent les chemins de leur lueur magique. étoiles, complices de cette symphonie céleste, dansent dans le ciel nocturne, éclairant les visages émerveillés des enfants. façades des maisons se parent de guirlandes chatoyantes, tissant une toile or et rubis alors que les vitrines des boutiques s'animent de jouets colorés, de poupées qui sourient et de trains miniatures qui s'échappent d'un monde imaginaire. air empli de senteurs sucrées épicées, se laisse porter par les effluves de pain d'épices, de cannelle et de chocolat chaud. papilles se délectent des douceurs de saison, tandis que les mains se réchauffent autour d'une tasse fumante, créant une symphonie chaude et gourmande. rires se mêlent aux chants de noël, s'élevant dans les ruelles pavées, voix se font douces et puissante, laissant de côté le clivage qui de plus en plus, ne cesse de se creuser. comme si, le bien et le mal s'adonnaient à une guerre éternelle. cependant, trêve de noël vient amener douceur et légèreté, panser les coeurs blessés et renouer familles déchirées. mais attention, savourez cette période, parce que si un certain hadès estafador semble, lui aussi passer du bon temps en famille, cela risque de ne pas durer.
– la isla blanca se veut un forum où règnera la bienveillance, et où l'on privilégie l'intégration de chacun. un doux cocon où les personnages de tout les horizons, nous l’espérons, pourront trouver une maison. du plus sombre, au plus doux, l'île ne cesse d'accueillir de nouveaux habitants aux nuances illimitées. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/ lien du forum :: https://laislablanca.forumactif.com/
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trente-haines · 5 months
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/ Autoportrait /
Mon Socle. Roc.
C’est ainsi que je te nomme.
Toi, l’Abrupt. Le Puissant.
Empêcheur de tourner en r
d O
n
Garde du corps,
des
/ cœurs à cœurs /
pour
/ corps à corps /
Tu vises la Nuque. Ou l’Âme.
Ton Mantra incarné pour que Jamais
Je
ne réclame. ne réclamera.
Tu guettes la chimère, et sa voix de Sirène.
Interpeller les alouettes.
C’est ton Flair qui se drape,
Entre Elles ~ é.m.o.i
Ami de longue date,
Tu guides aux confins des Vérités.
Tu n’amoindris rien. Non,
Toi Tu Dis.
Tu réClames.
Ni chuchotements, ni niaiseries.
À. l’ é
q
u e r r e
Rétablir le désordonné.
Je te substitue ma Hauteur. Ma Teneur.
Je te vois, me refuser l’Espoir.
Moqueur - Fureur
Ô Guerrier sans Peur,
Qui.
Garde à l’œil.
au coeur.
Toi,
[ Orgueil ]
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istadris · 8 months
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Le Roi et l’Imperator
@elitadream parce que tes fanarts de Mario et Astérix se rencontrant sont tellement adorables, et ça m’a beaucoup inspiré pour écrire sur leurs ennemis respectifs se rencontrant.
Donc...cadeau ! En attendant d’en voir plus !
*
La créature le toisait de toute sa taille.
Un exploit qui valait la peine d’être noté, étant donné que César avait l’habitude de regarder de haut la plupart ses pairs. Mais plus remarquable encore était la créature elle-même : un curieux et surtout immense hybride entre humain, tortue, et lézard, qui pouvait cracher du feu et briser des rochers à mains nues. Un dragon, suggérait dans un recoin de son esprit une petite voix qu’il s’efforçait à tout prix d’ignorer.
Plus étonnant encore était le fait que la créature était assez intelligente pour penser, parler, et plus encore être un chef, un roi même, de ce qu’il avait compris.
Assez intelligente pour s’esclaffer bruyamment à la proposition de César.
« Alors comme ça tu veux travailler pour moi, hein ? 
—Une alliance est ce que je propose, répondit César froidement, étant donné que nos objectifs semblent concorder à l’heure actuelle. 
—Une « alliance » impliquerait qu’on ait chacun quelque chose d’intéressant à apporter. J’ai la plus grande armée au monde, les meilleurs magiciens à mon service, et je suis le plus puissant de tout mon royaume. Qu’est-ce qu’une brindille comme toi a à offrir qui pourrait bien m’intéresser? 
—Bien des choses, ô roi, mais notamment ce qui te manque : de la stratégie. »
La créature gronda férocement en réponse à l’insulte, s’avançant brusquement en direction de César, ses babines retroussées pour dévoiler des crocs acérés. Il fallut à César tout son sang-froid pour ne pas porter sa main à son glaive ; non pas qu’elle serait d’une grande utilité contre les écailles épaisses de son adversaire.
«  Surveille tes mots, humain. Tu es distrayant pour l’instant, mais mon amusement a des limites.»
Pourtant, aussi caractériel et susceptible qu’était ce monstre, il semblait assez intelligent pour ne pas se laisser aveugler par son orgueil blessé et choisir à la place d’écouter César. Aussi celui-ci, calme et fier, regarda-t-il droit dans les yeux rouge feu qui le foudroyaient,
« Tu l’as dit toi-même : tu possèdes la plus grande armée de ce monde, tu disposes de vastes ressources…mais qu’en est-il de tes conquêtes ? Comment n’as-tu pas encore soumis le monde entier à ton règne ? 
—Ha, parce que tu crois pouvoir faire mieux que MOI ?
—« Mieux » ? Je laisse ce débat aux philosophes. Je sais seulement que je n’avais ni droit de naissance pour prétendre à un trône, ni fortune, ni magie. Et pourtant, je suis aujourd’hui le maître d’un empire en tout sauf en nom;  mes ennemis comme mes citoyens me respectent comme le conquérant du monde connu. Tous ceux qui ont osé s’opposer à moi se sont soumis ou ont péri. Peux-tu en dire autant ? »
Une fumée noire s’échappa des narines du monstre dans un bref grognement, les mots touchant clairement une corde sensible, mais pas au point de provoquer sa rage pour l’instant. César osa même s’éloigner de quelques pas de son interlocuteur, bras croisés dans son dos, contemplant l’étrange paysage les entourant alors qu’il continuait :
« Seul un petit village d’irréductibles continue de résister encore et toujours à mes troupes. Mais contrairement à moi, ils disposent d’une... magie qui leur donne une force surhumaine. Sans cette magie, ils auraient été écrasés depuis bien longtemps. »
La ruse et l’ingéniosité de certains d’entre eux jouaient également un rôle essentiel dans leur lutte...mais César n’avait pas besoin d’évoquer ce détail.
« Deux d’entre eux en particulier ne cessent de déjouer mes plans. Un duo infernal composé d’un petit nabot retors et d’un grand benêt le suivant partout. De ce qu’on m’a dit , ajouta-t-il avec un sourire en coin et un regard amusé en direction du roi,  cela nous fait un point commun. »
—Peut-être bien. Viens-en au fait. »
—C’est très simple, dit César en se tournant pour faire face au monstre. La magie est monnaie courante en ce monde et ta propre force ne fait aucun doute : même avec leurs pouvoirs, tu donnerais du fil à retordre à mes ennemis. Quant aux tiens…aussi puissants soient-ils, deux hommes ne peuvent suffire à protéger un royaume entier d’une campagne que j’aurais planifié. Un petit village où ils peuvent concentrer leurs efforts, oui. Tout un pays ? Je demande à voir. Voilà mon offre : débarrasse-moi des derniers obstacles à mon hégémonie et je m’assurerai que ton armée puisse écraser le royaume qui te tient tête.
—Et pourquoi tes plans seraient-ils plus efficace que les miens ?
—Parce que j’ai vu à l’œuvre tes troupes…si j’observais un tel manque d’organisation dans les miennes, je ferais fouetter mes centurions pour leur incompétence. Une chaîne de commandement inconstante en dehors de leur roi, des plans reposant sur des éléments versatiles et incontrôlables, des tactiques basiques et répétitives…»
Il laissa échapper un petit ricanement.
« Si je ne peux faire mieux, je peux difficilement imaginer faire pire.
—Et laisse-moi deviner, persifla le monstre sur un ton mielleux, je devrais te laisser les mains libres avec MON armée, dans MON royaume. »
Le sourire obséquieux se mua en grimace cruelle alors que le roi leva une de ses pattes, dégainant d’un coup sec des griffes acérées comme des poignards qu’il examina d’un air négligent.
« Et si à la place, je te tuais et je récupérais cette armée dont tu es si fier, hein?
—Alors tue-moi maintenant, au lieu de me faire perdre mon temps » rétorqua César avec un geste dédaigneux de la main. 
Pour la première fois depuis leur rencontre, l’arrogance laissa place à la surprise sur les traits de son interlocuteur, mais César poursuivit sans s’en émouvoir: 
« Je pensais avoir affaire à un roi intelligent, capable de voir où réside son intérêt et de saisir l’opportunité unique qui se présente à lui, mais si je n’ai affaire qu’à une bête primitive bouffie d’orgueil, autant m’épargner une migraine et me donner une mort rapide.»
Les yeux rouges semblèrent s’enflammer avant de s’étrécir, concentrés sur leur proie.
« SI C’EST CE QUE TU SOUHAITES...!!! »
La créature avança brusquement sa gueule vers César en poussant un rugissement à faire trembler le sol, les prémices d’un brasier embrasant les tréfonds de sa gorge.
Et pourtant, malgré le danger, César était…non pas rassuré, mais ...serein. Il avait déjà eu affaire à ce genre de personnes, impulsives, caractérielles et directes ; le monstrueux roi n’était pas du genre à gaspiller du temps à prendre une décision, ni à être sensible s’il fallait se salir les mains face à un élément gênant.
Qu’il vive ou qu’il meurt, César serait vite fixé. Aussi resta-t-il de marbre face à la menace, déterminé à garder sa dignité jusqu’au bout.
Et effectivement, après avoir rugi tout son content, le monstre foudroya César du regard pendant plusieurs secondes, babines retroussées...mais sa grimace de rage se fondit peu à peu en un rictus féroce, avant qu’il ne renversa sa tête en arrière dans un rire gras: 
« GWA HA HA HA !! Tu manques pas de cran, pour une brindille, j’aime ça! »
César parvint à laisser échapper la respiration qu’il avait retenu malgré lui sans que le roi ne semble le remarquer.
Celui-ci tourna à nouveau son regard sur César :
« Tu es sûr de pouvoir me débarrasser de ces deux empêcheurs de conquérir en rond ? »
—Très certainement. Mais seulement si tu acceptes de me rendre la pareille.»
Le roi laissa échapper un nouveau grognement, cette fois plus agacé qu’insulté.
« Tous les humains sont-ils aussi casse-pieds? » grommela-t-il, n’attendant pas la réponse de César avant de reprendre. « Mais tu as raison sur un point : depuis le temps que ces menaces à moustaches ruinent mes plans, je ne peux pas laisser passer la moindre chance de les éliminer. Si tu peux me la donner... Je saurais me montrer reconnaissant. » 
Pour la première fois, il afficha le sérieux et la prestance d’un vrai souverain alors qu’il toisa César, non plus comme que gêneur ou nuisance mais comme un potentiel allié.
« Donne-moi une victoire absolue et je t’offrirai une conquête. Qu’en dis-tu ?»
C’était ce qu’il recherchait depuis le début... et pourtant César prit un moment avant de répondre.
Ce monde était à mi-chemin entre l’absurde et la folie, entre ses couleurs vives, ses paysages chaotiques et ses habitants grotesques. Il pressentait déjà les migraines dans ses tentatives de transformer ces hordes chaotiques en armée disciplinée. Mais sous leur aspect ridicule, ces étranges êtres étaient aussi forts que résistants et disposaient de magie. De pouvoir.
Il fallait qu’il parvienne à en ramener ne serait-ce qu’un fragment avec lui quand il serait de retour à Rome.
César état également conscient qu’il prenait un énorme risque. Il était isolé, loin de ses armées et de l’influence dont il disposait ordinairement. Il voyait aisément l’ambition démesurée du roi bestial, étant donné qu’elle reflétait la sienne, et aurait besoin de s’assurer qu’elle n’inclut pas son propre empire. Il allait devoir surveiller soigneusement ses arrières pour ne pas se retrouver avec un poignard dans le dos dès le moment où cet allié orgueilleux et égocentrique aurait obtenu ce qu’il voudrait.
Mais il n’était pas devenu l’homme le plus puissant de Rome en se montrant pusillanime.
Alea jacta est, décida-t-il en tendant la main pour conclure l’accord.
Il parvint à ne pas fléchir quand la poigne monstrueuse manqua de lui broyer les os de la main.
En revanche, il trébucha et s'effondra sous l’immense claque dans le dos que lui asséna le roi avec un rire tonitruant.
«  Tu sais quoi ? Je sens que toi et moi allons former une très bonne équipe. »
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Tu vois, mon ami, le monde se divise en deux catégories, il y a ceux qui ânonnent le "sellezéceux" (ou le "àtoutezéàtousse") de la novlangue, et ceux qui désirent apprendre à parler français. Apprendre à parler correctement sa propre langue est le premier moment du système immunitaire… Pour eux, il y a la langue, toujours verte, de Victor Hugo:
«Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
Ceux dont le cœur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
Car de son vague ennui le néant les enivre,
Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
Ils sont les passants froids sans but, sans nœud, sans âge ;
Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
Ils errent près du bord sinistre de la nuit.
Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
Pour de vains résultats faire de vains efforts,
N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
Tourbe, foule, hommes faux, cœurs morts, races déchues,
Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !»
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luma-az · 9 months
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Le silence
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 4 août 
Thème : Puzzle/sous la canopée
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Une nouvelle pièce est tirée de la boîte du puzzle. Louis l’examine soigneusement avant de la rapprocher de l’image. Ce puzzle est difficile. Rien ne ressemble plus à une feuille d’arbre qu’une autre feuille d’arbre, et là, sous la canopée, ce ne sont pas les feuilles qui manquent.
Les animaux sont déjà faits. Singe, jaguar, anaconda, tout ça c’est assez facile à repérer et à assembler. Les fleurs, aussi, sont presque toutes déjà placées, ou au moins installée environ à la bonne distance des bords. Les bords sont bien sûr déjà finis, c’est la première chose à faire et Louis s’y applique consciencieusement, à chaque fois qu’il ouvre une nouvelle boite.
Il aime les puzzles. Il a toujours aimé ça. Ça empêche de penser.
Louis est installé sous la table – privilège des enfants, en tout cas ceux qui sont encore dans le groupe des petits. Il aimerait bien que la nappe des jours de fête soit installée. Ça ferait comme une cabane de tissu. Il aime bien les cabanes. Il se sent protégé dedans. A l’abri.
Au-dehors, la pluie tambourine contre la vitre, furieuse.
Au-dedans, les éclats de voix toutes aussi furieuses, mais différentes. Feutrées. Les voix de parents qui ne veulent pas que les enfants entendent les disputes.
Là-haut, Lisa est dans sa chambre, écouteurs sur les oreilles, la musique à fond. Elle a passé l’âge de jouer sous la table. De toute façon, Louis ne comptait pas vraiment sur elle. Quand les cris démarrent, c’est chacun pour soi. Chacun sa cachette. Son évasion. Sa technique pour ramener le silence.
Louis se concentre sur ses feuilles. Son puzzle est bien plus dur que ceux recommandés à son âge, mais il s’applique. Et Papa et Maman sont si fiers de lui, après. Ils s’en vantent auprès des autres adultes, la félicitation suprême. Louis qui est si intelligent. Louis qui est si sage. Ah, on a bien du souci avec Lisa, c’est l’âge, c’est la crise d’adolescence, mais Louis est un enfant modèle. Un amour. Un ange.
Louis s’applique. Plus c’est dur, mieux c’est. Il y est presque, dans la jungle. La canopée s’épaissit, feuille après feuille, liane après liane. Les fleurs qui voguaient encore sans amarres trouvent leur place peu à peu dans cette luxuriance verte. C’est plutôt joli.
Un claquement sec dans la cuisine. Le bruit d’une gifle. Louis sursaute comme si c’était un coup de tonnerre. Il regarde un peu, sans les voir, les pièces qui restent devant lui. Elles deviennent floues. Les larmes qui montent. Une porte qui claque. Le moteur de la voiture qui s’éloigne. Des sanglots dans la cuisine.
Il se concentre.
On ne montre pas aux adultes qu’on sait. Ça leur fait de la peine. Il n’y a rien dans la cuisine. Il ne s’est rien passé. Louis essuie ses yeux. Il finit son puzzle. Les feuilles. Les arbres. La canopée. En la regardant assez fort, elle pourrait l’engloutir – offrir un abri plus puissant encore que la table avec sa nappe des jours de fête, un refuge où personne ne pourrait venir le chercher. Il vivrait au milieu des fleurs, des singes et des jaguars.
La pluie tambourine à la fenêtre, de moins en moins fort. Le silence retombe sur la maison.
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lromarf · 1 month
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Prologue II
C’est ainsi qu’une des figures imminentes de ce petit milieu fut limogée après 10 ans de direction artistique. Grace, qui ne regardait jamais la télé appris la nouvelle par sa fille qui l’appela pour lui demander si c’était vrai. Après, vérification, c’était vrai, elle était renvoyée, remerciée, répudiée sans délai jusqu’à l’île de Ré pour jouir d’une retraite reposante.
Personne ne pleura le sort de cette sexagénaire démodée mais les rangs de la rédaction, les stylistes des maisons, les mannequins, photographes et directeurs commerciaux bruissernt d’excitation à la nomination de Larson, 22 ans, identifié comme un prodige de la mode.
Un an auparavant, le jeune directeur artistique avait été approché par Philippe de Sévigny, directeur de la publication du groupe B. alors qu’il était rédacteur mode dans un autre magazine, moins établi et plus innovant.
Il y avait fait ses classes et s’y était fait un nom qui avait attiré l’attention.
Philippe avait proposé ce candidat à la rédactrice en chef. Certaine de son pouvoir, soutenue par son directeur, applaudie pour ses ventes, aucune voix ne critiquait son règne. Alors pourquoi pas Larson ? Sandrine avait accepté la proposition de son directeur ce nouveau, DA dénoterait parmi sa collection d’employées porcelaine.
Un étranger Larson avait été intronisé par la puissante rédactrice en chef, Sandrine Rothman et son discret seigneur Philippe Sévigné le 27 juin 2007 jour de la sortie du premier téléphone tactile.
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homomenhommes · 7 months
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story: MON BON REBEU -03
Bonjour à tous,
Fin septembre, les cours on repris, le temps se dégrade peu à peu. Cela fait deux semaines que je n'ai pas de nouvelle d'Adam : il est partis sur Paris pour travailler.
Avant son départ, j'ai du le vider. Il m'avait demandé de prendre une chambre d'hôtel au formule 1, pas tres loin de Poitiers. Ce soir la, il m'avait défoncé dans les moindres recoins de la petite pièces, et c'était vidé sur moi et dans moi plusieurs fois.
Au lieu de me laver, j'ai eut le droit qu'à une douche dorée. Son jet était puissant.
Avec le début de la fac, et les premiers moment d'indépendance, je n'ai pas eut le temps n'y l'envie peut être (qui pourrait passer Apres Adam) de baiser. Ce n'est pas l'envie qui m'en manqué, mon cul criait famine apres deux mois à me faire ramoner 3 à 4 fois par semaine.
Cet après midi la, le temps c'était adoucis, le soleil montrait son visage. Je me baladais dans le centre ville de Poitiers quand j'ai décidé de m'acheter de nouvelle chaussures, des Stan Smith plutot en vogue à cette époque.
En rentrant à Foot Locker, je me dirigeais vers le rayon chaussures. Le vendeur, bien que mignon était plus occupé à regarder son téléphone que de m'admirer.
Alors que je regardais les différents coloris, je remarqua un homme, trentenaire, cheveux châtains et cours. Son t-shirt lui moulait ses pecs et son jogging adidas lui moulait le cul et le paquet. Je lâchais mon intérêts pour les chaussures afin de le reporter sur lui.
La chaîne qu'il portait autour du coup lui donne un air viril. Il essayait des Nike air blanche, qui bien que grosse, renforcé son côté mal Alpha.
Je pris un modele au hasard, et alla m'asseoir près de lui, sans le lâcher du regard. Ses bras étaient gros, ils semblaient puissants. Il se releva pour tester la confortabilite des chaussures. Son mouvement dégagé quelque chose d'animal. Ses épaules roulaient.
Il me regarda, une fois, puis deux, puis trois avant de se rassoir. Il enleva ses shoes pour remettre son anciennes paires, bien défoncé.
"Je vais essayé se t-shirt je pense" me dit il, avec un clin d'oeil. Il se dirigeait vers la cabine, et se retourna avant d'y pénétrer. Son regard était transpercent, comme s'il ne me laissait pas le choix. Je jeta un coup d'oeil au vendeur, il était toujours absorber par le téléphone.
Je pris un article à la hâte, et m'engouffra dans la cabine. Il était la, assis, les jambes écartés.
"Il me va comment alors ?"
Je fondais devant cet homme, en écoutant cette voix.
"Bien, il te va bien"
"Et toi ? Tu va essayais quoi ?"
Je lui montrais le short rouge que j'avais pris.
"Essais le" cela sonnait plus comme un ordre qu'un conseil.
J'enlevais mon pantalon, et l'enfila. Je faisais mine de me regarder dans la glace, bombant et cambrant mon cul pour l'aguicher.
"Un bon petit cul de pute ça"
Ces mots m'avaient fait rougir, je sentais des picotements sur les joues. Mon cul se réveilla, et se mis à mouiller. Il était resté assis, et me tournais dans tout les sens, comme s'il souhaitais vraiment voir comment m'alle ce short.
"Enlevé le" ce que je fis. Il claqua des doigts, et mon montra son paquet qui avait bien enflé.
Je me mis à quatre pattes, et sortis le monstre de ce survet. Il ne portait pas de caleçon. Pendant que je m'occupais de son penis, faisant de long mouvement de bouche, il retira mon caleçon, et tripota mon trou.
Cette position bloqué ma tete sur son penis, et je m'efforcaus avec ma langue de le sucer correctement.
Il me mis une petite claque sur les fesses, puissante et violente mais insonore. Il prit ma tete, la bloqua avec ses bras musclé, et me baisa la bouche dans les règles de l'art.
"Debout"
Il enleva sa chaussure et sa chaussette, qu'il enfonça profondément dans ma bouche. Elle dégageait une odeur de transpiration.
"Comme tu fera pas de bruit pendant que je te féconde"
Il tapota son gland sur mon trou, puis enfonça ses doigts dans ma bouche, repoussant la chaussettes sale. Il rentra d'un coup, ce qui me fit lâcher un cri ettoufé.
"Tu la sens bien là"
J'avais mal, comme si mon anus s'arrache. Il commença par des petits mouvements, restant bien à l'intérieur. Je mordais dans cette chaussettes, des larmes commençaient à couler.
Il sorta, laissant mon trou béant, vide. Puis il rentra brusquement, je voulais crier, mais rien ne sortais. Il fit Ca quelques fois avant que sa main ne me tienne par le bas du ventre, pendant que l'autre cambre appuyait sur le bas du dos pour me cambre. Ses mouvements sont devenue de plus en plus rapide, et de plus en plus fort. Mon plaisir augmenta ausdi.
Je le regardais par la glace me défoncer. Ses doigts retournèrent dans ma bouche pour enfoncer cette chaussettes, et il attrapa son collier dans sa bouche.
Je sentais l'élastique de son pantalon sur mes cuisses, le petit cordon les fouettant au rythme de ses coups de reins.
Il s'enfonça complètement, et resta longuement comme ça. Il ne laissait échapper aucun gémissement. Il prit ma bite dans sa main, et recommença les mouvements. Il ne me branlait pas, mais avec ses coups de butoir, mon corps allait d'avant en arrière ce qui eut le même effet.
Je sentais la jouissance venir. Ses mouvements devenaient de plus en plus rapide. Son gland se gonfla, et je sentis ses jets à l'intérieur de moi. Je venait dans sa main.
Il me fit mettre à genoux, me força à laver son penis, et m'enfonca ses doigts remplis de sperme dans la bouche. Il remit son pantalon et sorta.
Je me rabilla rapidement, et sortis à mon tour. Il était à la caisse, m'attendant.
"C'est lui qui pais piur les chaussures."
Je sortis ma CB, et acheta les Nike, encore sous le charme de cette bite. J'avais l'impression d'être qu'une sous merde, uniquement la piur des besoins. Il prit le sac, et s'en alla. Je me retrouvais bêta devant le vendeur. Je venais de réaliser ce qu'il s'était passé.
Quand je suis sortis, le soleil m'ebouillidsa. Il était la, adossé au arcades.
"Tiens le ticket de caisse, tu peux en avoir besoin". Et dans un merci, il partis, roulant des épaules, et marchant comme une racaille. Je me sentais laisé, honteux. J'allais chiffonner le papier, quand j'aperçu son numéro de téléphone. Je regarda dans sa direction, il s'était arrêté, et me fit un clin d'œil avant de disparaître dans la foule.
Ne vous inquiétez pas, Adam reviendra vite ;)
SLUT
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eiffel21 · 8 months
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Sieste
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Tom s’endormit rapidement après le repas. Ce n’était pas son habitude, mais il avait senti une grosse fatigue le terrasser et s’était allongé pour une petite sieste. A peine les yeux clos, les questions à propos de Joe lui revinrent en tête, tournant en boucle : comment le crocodile pouvait-il savoir, sentir à qui il avait affaire ? Comment avait-il échappé à toutes les traques ? Vivait-il seul ou avec d’autres ? Il le voyait glisser silencieusement dans l’eau ou la végétation, apparaissant et disparaissant comme par magie. Il sentait le souffle de son grognement puissant, à en faire trembler l’eau du marécage… Un long silence, puis une voix un peu rauque se fit entendre :
« Tom, tu es un jeune homme bien intelligent... »
L’esprit embrumé, il se retourna dans son lit. Avait-il bien entendu ? Joe lui parlait-il vraiment ?
« Ca fait longtemps que j’attends quelqu’un comme toi… quelqu’un qui puisse entendre mon histoire, avant que je ne parte pour de bon… »
Tom n’en croyait pas ses oreilles : Joe l’avait choisi, lui, pour raconter son histoire ! Il se retourna sur son lit et resta concentré, les yeux fermés. Il ne voulait en aucun cas que la voix se taise.
« Je suis né il y a fort longtemps dans une ferme, bien loin d’ici… Moi et les miens y étions parqués, séparés les uns des autres, bien mal traités. L’une des tiens est venue un jour et m’a montré du doigt. Son regard était différent, ses gestes moins durs que ce que je connaissais. Ensuite, je me suis retrouvé dans le noir, secoué pendant un bon moment, sauf quand celle qui est des tiens me donnait de la viande et de l’eau. Finalement, le sol a eu fini de trembler et je suis sorti dans la lumière. Tout ce temps dans le noir avait transformé mes petites écailles brunes en belles écailles brillantes. Et j’étais ici, dans ces marécages, libre.  Celle qui est des tiens m’a laissé m’éloigner en paix. »
Tom n’en revenait pas. Joe, un crocodile d’élevage ! Il connaissait les hommes et leurs comportements, il avait eu le temps de les observer. Il avait aussi repéré ceux qui le maltraitaient et les autres… Tout cela était resté gravé dans sa mémoire. Voilà qui expliquait beaucoup de choses…
Joe poursuivit.
« Aujourd’hui, je suis fatigué. Ceux qui sont des tiens viennent souvent ici. Ils cherchent les miens, me cherchent… ils ne sont pas bons pour nous, ils tuent la nature et nous, peu à peu. Et je suis épuisé. »
La voix faiblit avant de reprendre.
« Demain matin, je m’endormirai pour de bon. Tu me trouveras près du long marécage, là où les grues font leur nid au printemps. Viens me retrouver. »
Tom s’éveilla en sursaut, le front trempé de sueur. Il ne pouvait pas croire qu’il s’agissait d’un rêve, tout avait l’air si réel. La voix rauque de Joe résonnait encore dans son esprit. Dehors il faisait nuit noire, sa sieste avait duré des heures. Il lui restait un peu de temps avant le lever du jour.
Il saisit son portable et lança une recherche, bien décidé à vérifier les informations que Joe lui avait données. Il trouva rapidement trace d’une ferme à crocodiles sur la côte ouest du pays, où les plus grands maroquiniers venaient choisir les peaux qu’ils pourraient transformer. 18 heures de route. Cela semblait coller. Les journaux locaux faisaient état, cinquante ans plus tôt, d’une visite dans la dite ferme d’une starlette américaine, venue pour choisir le cuir de son futur sac à main. Elle avait finalement acheté un crocodile et était partie avec. Tous deux étaient ensuite tombés dans l’oubli.
Le petit matin était enfin venu. Tom enfila des bottes et partit pour le marécage. Comme guidé par son instinct, il retrouva le lieu mentionné dans son rêve par le vieux crocodile. En s’approchant, il entendit un souffle rauque, à peine audible. C’était lui, aucun doute n’était possible. Le soleil levant reflétait sa lumière sur les écailles du reptile, qui referma ses yeux jaunes pour la dernière fois. Tom était touché par la grandeur et la beauté de l’animal. Il essuya ses larmes avant de faire rouler, avec beaucoup de respect, le corps de Joe au fond de l’eau, son ultime demeure.
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corinneecrivaine · 9 months
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Willow TV Show fanfiction story
Part 8
Graydon
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Galladoorn.
Le roi Hastur faisait les 100 pas dans la salle du trône. Préoccupé. Comment ? Quel plan allait-il pouvoir mettre en place afin de répondre aux attentes du Wyrm, lui apporter Willow et Elora ?
Lorsqu’un garde entra, affolé, essoufflé, impossible de s’exprimer clairement : Mon Seigneur…. Je…. Il… Le… Prrrrr…
Hastur s’énerva : Parle !!!!!! Où je te mets aux fers !!!!!!
Le jeune garde n’eut pas le temps de s’expliquer que les portes de la salle du trône s’ouvrirent brutalement, ébranlées par une violente bourrasque. Deux êtres entrèrent.
Le roi reconnut la voix masculine et se retourna aussitôt.
Graydon : Bonjour père.
A la vue de son fils, se tenant devant lui, Zivian, fut stupéfié. Il prit quelques secondes avant de pouvoir répondre.
Hastur : Tu es mort !!!!
Graydon : Ho non je suis bien vivant, père, et plus puissant que jamais.
Son fils n’était plus le même. D’une personne effacée, manquant entièrement de courage et de confiance, Zivian avait devant lui, un être au regard obscur et maléfique. Tout vêtu de noir, les cheveux en arrière. Graydon portait un tallcoat gothique brodé avec des soieries, le col relevé, un gilet de satin noir et une chemise rouge sang. Des boutons dorés représentaient le sigle du Wyrm. Un pantalon de cuir noir, des bottes jusqu’aux genoux.
A ses côtés, Dark Elora, aux cheveux courts, oranges, vêtue d’une combinaison de cuir, noire, échancrée, ajustée, dessinant parfaitement les courbes de son corps. Elle avait le regard sombre, pernicieux, tout indiquait dans ses yeux, la froideur, le désespoir, les ténèbres et la haine.
Hastur : Non. Tu n’es pas mon...
Graydon : C’est ainsi, que vous accueillez le retour de votre fils. Ne suis-je pas devenu ce que vous vouliez que je sois !!!!!
Hastur : Ce que je voulais de toi, c’est que tu me donnes un héritier à Tir Asleen afin de me rendre ce que tu m’as enlevé !!!!!
Le rire sarcastique de Grayon raisonna dans la salle du trône, glaçant l’atmosphère et figeant de terreur le roi.
Graydon : Dermot, le fils prodige, l’héritier du trône, celui qui était voué à gouverner Galladoorn et Tir Asleen.
Graydon s’écria : Ce n’était qu’un faible !!!! Refusant les combats et les armes !!!!
Il s’exprimait avec un sourire diabolique : Ce fut si facile pour moi de le balancer de l’arbre. J’ai utilisé sa faiblesse, la confiance qu’il avait en moi.
Zivian ne put contenir sa colère et se jeta sur son fils afin de le frapper mais Graydon le propulsa contre le siège du trône, d’un éclaire rouge surgissant de sa main. Hastur s’écroula. Grayon se rapprocha de lui.
Graydon : Toute ma vie vous n’avez fait que me discréditer, m’humilier. Je n’étais pas le fils digne de porter le nom des Hastur. Je n’étais qu’une honte pour vous. Regardez-moi !!!
Il prit le visage de son père entre ses mains l’obligeant à le fixer droit dans les yeux et s’écria : Regardez-moi !!!! Je suis le résultat de vos attentes !!!!
A ce moment là, la reine Arianna, informée du retour de son fils, entra dans la salle.
Arianna : Graydon, mon fils, vous êtes vivant.
Heureuse de le retrouver, elle accourut vers lui.
Surpris, Graydon eut un geste d’hésitation et laissa sa mère le prendre dans ses bras. Mais Dark Elora, s’apercevant du changement, s’adressa aussitôt au jeune homme.
Dark Elora : Graydon, reste à mes côtés. Comment peux-tu oublier ce qu’ils t’ont fait ! Le sacrifice de ton corps, de ton âme !
La rage, la colère l’envahirent de nouveau et il repoussa sa mère toute affolée.
Arianna s’adressa à Dark Elora : Qui êtes-vous, qu’avez-vous fait à mon fils !
Dark Elora : Je suis… Votre impératrice Elora Danan (dit-elle sur un ton sarcastique) Votre fils s’est juste libéré de toutes ses peurs, il a tout simplement compris qui il pouvait être réellement. Je n’ai fait que terminer ce que vous aviez commencé à sa naissance.
Arianna, interloquée, perdue : Vous… Elora Danan… L’impératrice !!! De quoi parlez-vous !
Dark Elora s’adressa à Zivian : Vous ne lui avait rien dit, mon roi.
Hastur : Vous n’êtes pas Elora Danan.
Graydon : Mère, laissez-moi vous raconter.
Il existe dans les catacombes de notre château, une pièce dédiée aux sacrifices de l’Ordre du Wyrm. Le jour de ma naissance, mon cher père, me mena en ce lieu et me posa sur un temple de pierre. Des prêtres, 6 en tout, cachés sous leurs tuniques à capuche gris anthracite, l’un d’eux me déposa dans un baptistère rempli du vermiscus et commença une incantation en Pnakotic. Ce fut ainsi, tous les ans, à la date de ma naissance, je subissais ce rituel ignoble.
Lorsque j’atteignis l’âge de 10 ans, ce que père me fit subir fut un véritable calvaire. Régulièrement il me mena dans cette pièce aux supplices, enchaîné sur cette dalle des tortures, bâillonné afin de ne pas être entendu, les prêtres marquèrent mon torse des incantations inscrites dans le Malatrium tout en les fredonnant à haute voix.
Je suppliais père d’arrêter tout cela. Je pleurais. Je me mettais à genoux. Mais il ne m’écoutait pas. Il me traitait telle une offrande.
Les soirs, seul, dans ma chambre, j’implorais la mort de venir me chercher pour mettre un terme à toute cette abomination. J’étais sujet à des visions me représentant comme une personne démoniaque, assassin, voire diabolique. La seule force qui m’a permis de tenir fut votre amour, mère. Cet amour que vous me procuriez chaque jour. Je ne savais plus qui j’étais. Je sentais ce pouvoir, cette force grandir en moi. Me rendre invulnérable, puissant.
Puis vint cet instant maudit, où je poussai mon frère de cet arbre. Ce jour où je ressenti toute cette force et cette satisfaction de mon geste. Ce jour où je n’eus aucun remords.
Ce jour là, père me mena pour la dernière fois dans cet enfer. Il expliqua aux prêtes ce que je venais de faire subir à mon frère. De nouveau, enchaîné, bâillonné. Cette fois-ci, les prêtes firent une incantation afin de mettre en sommeil toute cette puissance qui grandissait en moi.
Mais lorsque je fut contaminé par le Lich et que Willow et Elora utilisèrent le Malatrium pour me libérer, des flashs de ces instants de tortures me virent à l’esprit. Je mettais cela sur la peur, le manque de courage, le faible que j’étais. Tout au long de cette quête pour sauver le prince, j’écoutais les enseignements de Willow à Elora. J’apprenais. Petit à petit je sentais toute cette magie s’éveiller, m’enivrer d’un intense pouvoir. Lors de mon sacrifice pour sauver Elora…
Dark Elora : L’autre Elora, la gentille pas moi.
Graydon : Tout me revint, tout ce que père m’avait fait subir. Tous ces cauchemars n’étaient en fait que mon passé. Un passé dissimulé par la magie mais que le Wyrm avait enfin libéré. Je compris qui j’étais réellement. Le Wyrm m’avais libéré de toutes mes peurs et croyances. Toute une vie de mensonge. Il me permit de découvrir ma nouvelle vérité. Mes peurs et les choix que j’avais faits.
Arianna était toute abasourdie par ses révélations : Zivian, je t’en prie, dis-moi que c’est faux.
Hastur : Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour notre famille !!!!
Graydon : Faux !!!! Vous ne l’avez fait que pour le pouvoir. Vous êtes tellement assoiffé de pouvoir que vous n’avez pas hésité à vendre vos fils !!!!!
Dans sa fureur, Graydon attaqua son père avec des éclairs sortis de ses mains. Voyant son mari se faire torturer par son fils et toute cette animosité qui vibrait dans le regard du jeune prince, Arianna essaya de le ramener à la raison.
Arianna : Graydon, je t’en prie !!!! Arrête !!!!
Mais il ne l’écoutait pas.
Elle radoucit le ton de sa voix : Graydon, mon fils, je t’en prie.
Le jeune prince se retourna, vit le visage apeuré de sa mère et laissa son père, à moitié abattu par la force de frappe qu’il venait de subir. Le roi trouva la force pour appeler les gardes.
Hastur : Gardes !!!! A l’aide !!!!
D’un simple geste, Dark Elora, fit apparaître the Scourge, the Doom and the Lich accompagnés des Death dogs.
Les gardes entrèrent, un combat s’amorça contre les sbires d’Elora. Un affrontement meurtrier et épouvantable. Chacun des chevaliers de la garde périssaient sous les armes des Gales et les attaques des Death dogs. Les cadavres jonchaient le sol de la salle du trône. Des corps transpercés, déchiquetés, démembrés, décapités, le sang des morts s’écoulait sur le sol. Cet affrontement vit la défaite des chevaliers de Galladoorn et la victoire des Gales.
Graydon : Seriez-vous prêt à sacrifier tous vos hommes.
Zivian resta silencieux.
Graydon : Je te laisse la vie sauve, pour l’instant. Ramènes-nous le sorcier et l’Impératrice et je déciderai de ton sort. Désormais Galladoorn m’appartient.
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Assis sur le trône de Galladoorn, Graydon se concentrait, les yeux fermés, ralentissant sa respiration. D’un seul coup il les ouvrit, brusquement et prononça le nom d’Elora.
Au même instant, la jeune impératrice, aux côtés de Willow pour parfaire son entraînement à la magie, eut la vison du visage de Graydon et tomba, déstabilisée.
Elora : Graydon.
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inthemoodforportnawak · 9 months
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