Tumgik
#ultrascore
burlveneer-music · 2 years
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Chassol - The Message of Xmas - I’m not really into Christmas music, but the title “Holiday for Reich” caught my curiosity, and the whole (short) album is fantastic
In 2019, the spirit of Christmas has taken over Place Vendôme thanks to Chassol and the Cartier House. An exceptional concert initiated by the great jeweler of Place Vendôme, directed and produced by Art Bridge. 'The Message of Xmas' was born from the meeting with the composer who imagined for the Maison Cartier a poetic and enveloping Christmas music, accompanied live by the choir of the Paris Orchestra conducted by Lionel Sow. This musical creation carries away from the cold and towards a warmth that is only transmitted through music, an evocation of the Christmas atmosphere. A new suspended moment, to prolong the magic. 
"This music evokes the feeling of going outside at Christmas, of walking on the snow carpet where the sound of footsteps is choked." Chassol
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affairesasuivre · 4 years
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Christophe Chassol : “Les BO des 70’s c’était un son génial. Maintenant tout est devenu cheap.”
Chef d’orchestre, musicien pour Phoenix ou Sebastien Tellier, arrangeur pour Solange ou Frank Ocean, Christophe Chassol a composé pour le cinéma comme pour la publicité. À 43 ans, il est passé du statut de musicien respecté par ses pairs à celui de véritable référence.
Juché sur un petit rocher au cœur du Parc Floral de Paris, Christophe Chassol répond aux questions en enchainant les cigarettes. Malgré son addiction à la nicotine, le tabac n’a jamais altéré sa voix suave. Celui à qui “Chassol” suffit amplement est passé du statut de musicien respecté par ses pairs à celui de référence : entré au Conservatoire à quatre ans, il intègre une école de jazz à quinze, reprend du Gainsbourg ou du Herbie Hancock avec ses amis puis rejoint le Berklee College of Music de Boston. Devenu chef d’orchestre, musicien pour Phoenix ou Sebastien Tellier, arrangeur pour Solange ou Frank Ocean, il compose aussi pour le cinéma et la publicité. Mais Chassol est bien plus que cela.
À 43 ans, le pianiste se plaît encore à harmoniser le réel : des samples de la nature – entre chants d’oiseaux et murmures de la rue – qu’il a baptisé “ultrascores”. Digne successeur du minimaliste new-yorkais Steve Reich, admirateur d’Ennio Morricone comme d’A$AP Rocky, Chassol transforme les discours en mélodies et les vidéos de YouTube en partitions intemporelles. À son actif, la performance live Nola Chérie (2009) – superposition malicieuse d’accords et de parades scolaires – commissionnée par le Musée d’art contemporain de La Nouvelle-Orléans. Mais aussi les projets Indiamore (2013) ou encore Big Sun (2015), dernier volet de sa trilogie d’ultrascores qui le pose en chirurgien de l’harmonie. C’est avec une humilité fascinante pour un artiste de son rang qu’il répond aux questions de Numéro, évoquant la batterie insupportable de Phil Collins ou la somptueuse villa de Solange.
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Propos recueillis par Alexis Thibault
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fleetingarrivals · 2 years
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Chassol: Indiankidz from Ultrascores (2013). Someone in the comments explained that these are young trainees who are learning Sanskrit chants to become Hindu priests. Curious to see certain sounds linked to head positioning. Observe the focus and some kind of fire in the eyes of these children. Odd to mix electronic instruments and piano with this, I would love to see the original source video and hear the raw singing. (via Ahsen)
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tizianomazzilli · 4 years
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Chassol ‎– Ultrascores #chassol #sundaygroove (at London, United Kingdom) https://www.instagram.com/p/CD8VOw7n4kw/?igshid=6agis3q5z157
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playmoss · 7 years
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► LISTEN to this Playmoss playlist: Good Fridays by Chassol Pianist, composer, arranger and musical director (he has worked with artists such as Phoenix, Sébastien Tellier and Frank Ocean), Cristoph Chassol is author of five brililant LP and dozens of original soundtracks: a proof of his talent to compose playful, magnetic and enigmatic sketches, halfway between jazz, contemporary music and pop. He’s also the inventor of the “ultrascore”: compositions that, by combining voice, music, sounds and images of every day life are transformed into new audiovisual objects. 
Chassol has prepared a fresh and cinematic playlist, a delicate selection of tracks in which we find from breezy pop, contemporary music, downtempo and latin jazz to punk, new wave, original soundtracks, zouk and electro pop. Larry Coryell - No One Really Knows Bertrand Burgalat - Spring isn't fair Al Jarreau - Breakin Away György Ligeti - Musica Ricercata [7/11] Wayne Shorter - Ponta de Areia Buzzcocks - Everybody's Happy Nowadays The Cure - Another day Ennio Morricone - My Name is Nobody (Terence Hill) - Il Mio Nome E' Nessuno (1973) - Soundtrack Aquaserge - Si Loin, si Proche Reich - You Are (Variations), Mvt. I JH Marmony - Sun Chassol - Chachadada
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journaljunkpage · 5 years
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L’ULTRABANDE
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Nicolas Trespallé / © Brecht Evens - Actes Sud
BRECHT EVENS & CHASSOL 
La bande dessinée, particulièrement américaine, apprécie les mélanges d’univers et on ne finira jamais de se délecter de ces croisements improbables qui ont donné lieu à des créations d’oeuvres aussi délicieuses que Superman vs Mohammed Ali ou autre Batman vs Aliens.
Les concerts de dessin ne sont-ils pas une manière de prolonger ce plaisir coupable du crossover en cherchant à télescoper des ambiances et des univers qui entretiennent entre eux une relation a priori peu évidente voire franchement distendue ?
Parmi la série d’événements annoncés pour cette 46e édition, la réunion inédite du tandem formé par Christophe Chassol et Brecht Evens s’avère en cela l’un des moments les plus excitants et alléchants de la programmation. Dans leur art respectif, les deux artistes combinent une facilité technique proche de la virtuosité à un goût commun pour l’expérimentation.
Passé par l’écurie Tricatel, le compositeur et pianiste Christophe Chassol nourrit dans son travail un rapport intime avec l’image, puisqu’il est aussi vidéaste s’essayant lors de ses performances à établir des ponts entre sa musique et des extraits de ses propres réalisations. Il lui arrive aussi d’isoler des scènes de films ou de séries qui l’ont marqué, harmonisant des sons de la rue pour dérouler un « ultrascore » qui semble se fabriquer comme une BO imaginaire et augmentée.
Représentant de l’école de Gand, le Belge Brecht Evens est devenu de son côté en quelques albums un poids lourd d’Angoulême régulièrement présent dans la sélection comme cette année avec l’éblouissant Les Rigoles qui nous plonge au coeur de la nuit parisienne à travers la dérive de deux dépressifs déglingos. Si ses récits sont difficiles souvent à résumer, c’est que les oeuvres de Brecht Evens reposent d’abord sur un effet de sidération graphique, l’auteur s’étant fait une spécialité de peindre par couches successives à l’aquarelle et à l’Écoline ses décors et ses personnages. Le résultat assez bluffant flotte dans une esthétique fluo/néon pour un résultat paradoxalement fluide et dense qui nous transporte dans un flux éthéré, un vortex de discussions décousues où se révèlent les névroses de l’homo festivus.
Autant dire qu’on est plus que curieux de voir comment le roi de la mosaïque chromatique va fondre son univers luxuriant et hypnotique au service des arrangements limpides et planants de Chassol.
Concert dessiné Chassol-Evens, vendredi 25 janvier, 21 h, Grande salle - Théâtre d’Angoulême, Angoulême (16000). www.theatre-angouleme.org
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double-croche1 · 6 years
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[INTERVIEW #147] Le pianiste Chassol se produisait récemment au Pitchfork Festival. Avant de monter sur scène, il nous a parlé de ses collaborations avec Solange et Frank Ocean et de son nouveau projet sur le thème du jeu. Qu’est-ce que tu vas jouer ce soir ? Christophe : On va jouer ‘Big Sun’, notre spectacle qu’on joue depuis 3 ans. On l’a joué d’ailleurs pour la première fois à la Cité de la Musique mais ce n’était pas la version actuelle. On a changé le montage notamment. Puis ce qui a changé surtout, c’est que maintenant on le connaît beaucoup mieux et bien que ce soit très écrit, on l’interprète différemment chaque soir. La première fois qu’on la joué, l’album n’était pas encore sorti, il n’est paru que cinq mois plus tard. D’ailleurs, est-ce que tu retouches les morceaux du live une fois l’album sorti ?  Christophe : Parfois, j’ajoute quelques scènes pour des rappels mais ce qui est intéressant pour moi, c’est que l’interprétation change à chaque fois. On joue toujours les mêmes choses mais différemment. Tu as toujours eu le même batteur sur scène ? Christophe : Non, cela a changé. J’en ai eu un avec qui j’ai travaillé pendant 13 ans. Là, j’ai un autre batteur Matthieu Edouard depuis 2 ans et il est fantastique. Il connaît par cœur toutes les arcanes du film.
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Ce soir tu fais ‘Big Sun’ du coup, mais dans tes concerts tu tournes entre ‘Big Sun’, ‘Indiamore’ ou encore la pièce ‘X-Pianos’ de Steve Reich. N’est-ce pas ? Christophe : Oui et je joue aussi une pièce qui s’appelle ‘Animal conducteur’. C’est un film que j’ai fait en 2009 sur Jean-Claude Casadesus qui est le chef d’orchestre de l’orchestre de Lille. Il dirigeait ‘L’Oiseau de feu’ et le ‘Boléro’ notamment, du coup j’ai fait une pièce où on ne le voit que lui en buste. J’ai harmonisé tout ce qu’il dit à l’orchestre. On l’a joué à l’auditorium Nouveau Siècle à Lille en juin dernier. On ne l’a joué qu’une seule fois mais on va le rejouer. C’est le même principe d’ultrascore ? Christophe : Oui absolument, à base d’harmonisation et de montage. C’est le premier ultrascore que tu avais réalisé ? Christophe : Non, le premier était ‘Nola chérie’ qui date de 2008. On joue d’autres choses aussi. On a des petites pièces électroniques comme ‘Computer Control’ à base de samples déclenchés. On va aussi jouer au musée d’art contemporain de Montréal pour une pièce sur Leonard Cohen. C’est une pièce de 15 min sur une série de ses poèmes nommée ‘Flowers for Hitler’ dans laquelle il parle de Cuba. Il revient sur la révolution cubaine en l’appliquant au Canada.
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Tu as été aux Etats-Unis très récemment et tu as joué pour Solange. Tu peux nous en parler ? Christophe : Oui, on a ouvert pour elle. C’était génial. Je la connais personnellement. J’ai un batteur supplémentaire aux Etats-Unis qui s’appelle Jamire Williams. Il est déjà venu en France, on a fait une tournée d’’Indiamore’ ensemble. Il est dans le milieu jazz avant-garde et hip-hop. Il était au lycée avec Solange. ‘Big Sun’ passait dans une exposition à New Orleans où elle habite. Elle l’a vu et elle a aimé. Elle s’est rendue compte après que c’était Jamire qui jouait avec moi aux Etats-Unis. Elle m’a contacté et on a ouvert pour elle au Radio City Music Hall de New York deux soirs d’affilée et au Greek Theatre à San Francisco. On a joué ‘Big Sun’ qu’on a du réduire un peu car il s’agissait d’une première partie. Il y avait aussi Flying Lotus et Earl Sweetshirt. Tu as dit que Solange t’a entendu dans un musée. A ce propos, tes œuvres ont déjà été dans d’autres expositions ? Christophe : Mes œuvres ont un aspect “muséal” tout à fait ! (Rires) Justement, cela a commencé avec le CACNO, Contemporary Arts Center de New Orleans. C’est là qu’on avait fait ‘Nola Chérie’. Xavier Veilhan avait montré mon travail là-bas. La commissaire de l’exposition Claire Tancons avait commissionné ce projet. Elle a fait une exposition qui s’appelle ‘En masse‘ sur le carnaval en général avec plein d’artistes plasticiens. Elle a pris ‘Big Sun’ qu’elle a diffusé dans une salle et  Solange l’a vu.
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Tu as aussi participé à la Biennale de Venise. Le concept était que tu mettes ton studio dans une pièce et que les gens participent, n’est-ce pas ? Christophe : En fait, le concept était que Xavier Veilhan s’accapare le Pavillon Français. Il l’a transformé en studio. Il y avait un ingénieur son génial Thibaut Javois, plein d’instruments à disposition, une architecture bien pensée et une super acoustique. Plein de musiciens se sont succédés. Je suis resté 5 jours. Tu viens et tu es une installation. Tu es installé dans le studio. L’idée est de travailler comme si tu étais chez toi. Il y a plein de visiteurs toute la journée qui passent. Ils regardent ce que tu fais, ils assistent aux processus de création de pièces. Quand j’ai compris ce qu’il voulait faire, j’ai surtout su qu’il fallait se ficher des gens. Quand tu visites un musée, une exposition et que tu vois des instruments et des musiciens, il y a une injonction à jouer. Là, il fallait résister à cette injonction. Le premier jour quand les gens venaient, je les voyais et tu sens qu’ils attendent à ce que tu joues quelque chose. Après, j’ai compris qu’il fallait plutôt que je fasse mon truc. Du coup, il y avait plein de moments où j’étais en train d’écrire ou lire ce qui n’était pas forcément aussi intéressant à regarder ! (Rires) Il y a eu des interactions avec le public ? Christophe : Cela dépendait des musiciens mais j’en ai eu pas mal parce que je me sers beaucoup avec ma musique de sons concrets. Il y avait des gens qui connaissaient ma musique, donc je leur ai fait chanter des choses. Il y a un petit garçon qui est venu, je l’ai fait improviser. J’ai eu un groupe d’étudiants chinois que j’ai fait chanter en chœur également. Du coup il y a de ces choses que tu vas peut-être réutiliser, non ? Christophe : Oui, je me suis fait un stock de musique pour 3 ou 4 ans là ! (Rires) J’y allais aussi pour faire mon boulot sur Leonard Cohen justement. J’ai fait d’une pierre deux coups.
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Tu reviens souvent dans les anciens éléments que tu enregistres ? Ou quand tu fais un nouvel album, tu oublies tout ce qui s’est passé avant et tu recommences à zéro ? Christophe : Je repars toujours d’une grille d’accords qui doit être ultime et qui puisse coudre tout le film. Je démarre souvent à partir de vielles grilles. Je me dis généralement que je dois en trouver une nouvelle mais en vrai il y en a toujours qui traînent et qui n’ont pas été exploitées. Je filme un peu tout le temps donc j’ai un stock de choses que je classe très bien. Je peux les réutiliser. J’aime bien pour un nouveau projet faire les choses proprement. Aller avec mon équipe et filmer. Utiliser ce que j’ai filmé à ce moment là. Pour le prochain, je vais utiliser certaines choses que j’ai déjà prises. A ce propos, peux-tu nous parler de ton prochain projet ? Où en es-tu actuellement ? Christophe : Je dirais qu’on est dans la préproduction. J’ai trouvé les lieux de tournage. Il y a plein d’autorisations encore à avoir, on est là dedans en ce moment. Le projet sera sur le thème du jeu. Je vais filmer plein d’endroits différents : des casinos, des cours de récréation, des parcs d’attraction… Ce n’est plus lié à un seul endroit géographique comme pour mes précédents projets. Je n’ai rien filmé encore pour l’instant. Je voulais commencer avant que ce soit l’hiver pour que les enfants n’aient pas des doudounes mais bon je vais faire au mieux ! Pourquoi ce thème du jeu ? Christophe : C’est le thème qui parle du plus de choses selon moi. Je joue moi-même quand je fais du piano. Je suis parti d’un livre qui s’appelle ‘Le Jeu des perles de verre’ de Herman Hesse [paru en 1943]. C’est un livre fantastique qui invente un jeu qui joue avec toutes les valeurs, toutes les sciences, toutes les cultures pour traduire les formules mathématiques en poésie. Le jeu n’est pas décrit dans le livre, je voulais en faire une partie. Il y a quatre grands domaines du jeu : compétition, hasard, théâtre et vertige. Dans ce dernier, il y a par exemple la grande roue ou le fait de s’amuser à se faire tourner. J’explore ces quatre domaines du jeu.
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On peut aussi parler des collaborations. Tu as récemment fait un morceau sur l’album ‘And Then He’ de Lenparrot. Christophe : Oui j’ai joué sur le morceau Vincent pour Romain [Lallement alias Lenparrot]. Je l’ai fait en une nuit. Il y a du chant, du célesta et des cordes. C’est un ami depuis qu’on a fait un truc au Casino de Paris. Il y avait un concours, il était avec le groupe Pégase à l’époque. C’est un ami de Julien Gasc aussi, ça s’est fait par lui. Tu as collaboré avec Frank Ocean sur ses deux albums ‘Endless’ et ‘Blonde’ parus l’an dernier. Comment ça s’est passé ? Christophe : Hyper bien. Cela a mis du temps. Je suis allé dans le studio Abbey Road à Londres pendant assez longtemps. On a fait plusieurs studios en tout : deux à Los Angeles puis Londres et Paris. Le gars est très fort. Il a une façon de travailler assez marrante. J’ai joué plein de choses différentes : des claviers, des basses, du chant, des arrangements de cordes. Tout était éclaté. Je travaillais sur un morceau et des parties se retrouvaient sur un autre. J’ai écouté les albums et je reconnaissais des parties dans différents morceaux. On va faire un truc aussi avec Solange je pense. Je vais essayer de l’intégrer au film. Le projet du nouveau film, c’est donc ton projet principal en ce moment ? Christophe : Ce le sera dans quelques jours oui, car là c’est un peu l’épilogue d’une longue tournée ce soir. Après je pars à Montréal et on a encore quelques dates. Je vais pouvoir m’y consacrer pleinement. Je suis même obligé de refuser des trucs alléchants pour pouvoir travailler là-dessus. C’est quand même super d’avoir la chance de pouvoir refuser ! Christophe : Oui mais il faut du courage aussi. Il y a des propositions intéressantes mais il faut accepter les trucs qui te sont chers et sincères et puis des choses où il y a beaucoup d’argent pour pouvoir ensuite avoir du temps. C’est le nerf du truc. Si tu sais que tu peux t’acheter 6 mois pendant lesquels tu n’as pas besoin de travailler et que tu peux tout payer parce qu’une pub te permet de vivre tout ce temps, il faut le faire pour après faire des trucs radicaux, ne pas s’endormir sur son canapé ! (Rires)
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Quels films as-tu vu récemment ? Christophe : J’ai vu ‘Fast and Furious 8′. Le 7 m’avait fait pleurer avec la mort de Paul Walker qui est décédé dans un accident de voiture. Je rigole quand je dis cela ! Sinon le truc qui m’a marqué ces derniers temps c’est ‘La Belladone de la tristesse‘, un film d’animation [de Eiichi Yamamoto] de 1973 qui est parfait. C’est érotique et psychédélique. Il est hyper beau. Il est ressorti il n’y a pas longtemps chez Potemkine. Il est incroyable. C’est un des meilleurs trucs que j’ai vus, vraiment génialissime. La musique est fantastique aussi. On dirait un peu de ‘La Planète sauvage’ [de René Laloux paru en 1973 également] avec sa bande-originale d’Alain Goraguer. Sinon, j’ai vu ‘Moonlight’ il y a deux jours j’ai été très déçu. C’est bien mais c’est du déjà vu. Dans l’absolu c’est un assez bon film, mais comme si l’argument c’était seulement : “On n’a jamais vu d’homosexuel au ciné, c’est dingue !”. A part cela, j’ai vu un film qui est sorti il y a quelques temps ‘It Follows’ [de David Robert Mitchell paru en 2014]. C’est bon ça, j’ai beaucoup aimé ! Il est cool. L’ambiance est super. J’ai aussi vu récemment ‘Le sens de la fête’ [d’Eric Toledano et Olivier Nakache paru en 2017], il est super bien. C’est certes fait par ceux qui ont fait ‘Intouchables’ [paru en 2011] que j’avais moyennement apprécié, mais ils ont un sens du rythme et de la comédie qu’on ne peut pas nier. Tu passes à la radio sur France Musique une fois par semaine pour ‘La Chronique de Christophe Chassol’. Tu peux nous en parler ? Christophe : Oui c’est le matin à 8h53 tous les jeudis. Parfois, j’en pré-enregistre deux. Ce sont des chroniques. C’est censé durer 3min30, mais je déborde souvent. Ce matin c’était Steve Reich. Je les écris à l’avance. C’est assez serré. Il faut que je prépare les extraits audio. Parfois je décortique les grilles d’accords, je les joue au piano. J’ai fait Aaron Copland par exemple, c’est le père de la symphonie américaine. Il a fait des ballets comme ‘Rodéo’ et ‘Billy the Kid’. C’est un peu le jazz dans la musique symphonique. Il fait de la musique de western en fait, c’est très pop. Comment cela s’est mis en place ? Christophe : J’avais fait une interview pour ‘Animal conducteur’ avec Saskia De Ville, la présentatrice de ‘La Matinale’. Après elle est venue au concert et m’a proposé cela. J’ai toujours bien aimé la radio. Je me suis dit que c’était l’occasion aussi de partager des trucs sur la musique classique. Il y a une barrière hyper forte encore aujourd’hui malheureusement. Cela me remet aussi au clair sur mes connaissances. Je relis à chaque fois puis je synthétise. J’ai fait John Adams, de la musique de film comme Jerry Goldsmith ‘La Malédiction’, ‘X-Pianos’, Copland, ‘Les Planètes’ de Gustave Holst. Elles sont sur le site de France Musique [par ici : http://bit.ly/2jFHjT3] et sur Facebook. Tu trouves vraiment qu’il y a une grande barrière vis-à-vis de la musique classique encore aujourd’hui ? Christophe : Je pense qu’en comparaison aux Etats-Unis c’est beaucoup plus large. Ils n’ont pas le poids des compositeurs européens. Ils ont une musique contemporaine beaucoup plus libre et affranchie de codes européens. Il y a des gars qui ont grandi dans des études classiques, ils ont joué dans des groupes de jazz d’avant-garde et ils ont écouté de la pop tout le temps. Ici, cela vient de plus en plus en effet avec internet et l’accès à toutes ces choses différentes qu’on peut avoir, donc les cultures s’étendent. Les américains ont le décloisonnement depuis plus longtemps que nous. Par exemple, les musiciens de Solange sont impressionnants ! Des musiciens qui sont classiques qui connaissent en même temps J Dilla et Stravinsky, c’est beaucoup plus dur à trouver ici ! (Rires) A&B
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arcadyr · 5 years
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WAIT HOLY SHIT I THINK I SPOTTED LUCIUM HEADED TO ULTRASCORE
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Chassol - Your name's not on the music [Ultrascore]
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longlistshort · 6 years
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Juniore- Magnifique
Things to do in Los Angeles this weekend (6/21- 6/24/18)-
Thursday
MOCA's free music night returns to their Geffen Contemporary location with TT featuring Theresa Wayman from Warpaint, WIVES, Current Joys, and Honey Power DJs
Tonight at Hammer Museum, Made in L.A. 2018 co-curator Erin Christovale will be discussing artist EJ Hill’s practice (for his project he "ran laps around every Los Angeles school he attended, a reflection on the hardships that black, brown, and queer bodies endure as well as their resilience") with Amanda Hunt, MOCA Los Angeles director of education and public programming and Desert X 2019 co-curator, and artist Texas Isaiah, who collaborated on Hill’s project. (free)
designLAb at the Pacific Design Center is having a reception for its Summer 2018 Exhibition
There are still tickets left for the Ted Leo and the Pharmacists show at The Echo, celebrating the 15th anniversary of their album Hearts of Oak, with Summer Cannibals opening
Anemone are opening for Men I Trust at the Echoplex
Friday
WAVVES are playing a free show at FIGat7th with Thumpasaurus opening
French pianist, composer, and musical director for Phoenix and Sebastien Tellier, Chassol, is performing his "ultrascore" project, INDIAMORE, free for Grand Performances. The film will be projected and accompanied by live music.
Filmmaker Catherine Gund's documentary Hallelujah! Ron Athey: A Story of Deliverance will be screening at the Billy Wilder Theater as part of the Legacy Project screenings curated this season by Zackary Drucker.  Gund, Athey and Drucker will be in person for this event.
La Luz are playing at the Teragram Ballroom with Summer Twins opening
Flora Wiegmann will be performing Reduction Burn, a series of movements with other dancers that reflect on the recent California fires, at Hammer Museum
The 'B' Girls, Death Valley Girls, and Kamila and the Karnivores are playing at Zebulon with performances and readings by Lydia Lunch, Carla Bozulich's "Bloody Claws"
Saturday
Artists Nikita Gale and Candice Lin will be discussing Patrick Staff's work during a 3pm tour of Made in L.A. 2018 at Hammer Museum
Blue Roof Studios is having a free daytime arts festival with artwork by over 60 artists, music, performances, an art makers bazaar and more
Self Help Graphics & Art is having its Annual Print Fair & Exhibition which includes free workshops and demos
The Getty's free music night Off the 405 returns with Peaking Lights Family Band which includes drummer Onochie Chukwurah and dancers
FEELS and Hooveriii are playing a free show at the Levitt Pavilion in MacArthur Park
Grand Performances free programming continues with Secret Life of Muslims, an evening of live music, comedy and short films
Sudan Archives, Peanut Butter Wolf, MNDSGN, Jerry Paper, and more are playing Stones Throw Soul at 1720
Sunday
French indie pop quartet Juniore are playing at the Echoplex with Sonoda and Tangients
Get a special guided tour of Clifton's historic restaurant with a book signing and discussion with the authors of 100 Things to Do in Los Angeles Before You Die, 2nd Edition to follow ($10)
Father John Misty is playing at the Hollywood Bowl with Gillian Welch and Big Thief
Spendtime Palace are playing at the Teragram Ballroom with Dr Danny and The No. 44 opening
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gropinginthedark · 6 years
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CHASSOL - Odissi [Indiamore] 'Odissi' from the movie 'Indiamore' of Chassol Join the channel: http://bit.ly/1gUcIY7 Play and create your Ultrascore on http://myultrascore.com Chassol a pour objectif d'harmoniser le réel, la vie, le monde, tout ce qu'il rencontre, tout ce qui lui parle. Harmoniser le réel, c'est partir d'une image l'intéressant dès lors qu'elle produit un son : Chassol la duplique, joue avec le montage pour créer un motif rythmique et visuel, harmoniser les sons ainsi créés et produire un véritable objet filmique et musical. Le résultat porte un nom : "ultrascore" Pianist, composer, arranger and musical director for the likes of Phoenix and Sebastien Tellier, the charismatic and talented Christophe Chassol gave birth to an unclassifiable artistic piece. His compositions articulate voices, music, sounds, images onto new audiovisual objects. The result has a name : "ultrascore". His aim : Harmonizing reality. Buy Indiamore: Digital (audio+vidéo): https://ift.tt/1SRuXmv CD+ Download movie on tricatel.com : https://ift.tt/1T2edI0 Track on the LP vinyl ULTRASCORES : https://ift.tt/2JTuHT8 http://www.chassol.fr/ https://youtu.be/wM0R6RmF4l8
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robertcadar · 7 years
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Noi artiști anunțați pentru Festivalul PLAI, ediția XII
Noi artiști anunțați pentru Festivalul PLAI 2017, din Timișoara: Tony Allen, unul dintre fondatorii afrobeat-ului și Tamikrest cu al lor rock’n’roll din deșertul Sahara pe scena de world music, Chassol, promotorul ultrascore-ului la Casa Filmelor și Röyksopp (DJ set) la scena de after party. Tony Allen [Nigeria] “Fără Tony Allen, nu ar exista Afrobeat” Fela Kuti “Probabil cel mai important…
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microbianslikes · 7 years
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Chassol - Your name's not on the music [Ultrascore]
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parlbandmusik · 7 years
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unitawa · 7 years
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Added to On écoute quoi en ce moment ? on Spotify: "Reich & Darwin (Keren Ann, Yuksek & Chassol Rework)" by Chassol, Keren Ann, Yuksek http://ift.tt/2cZ4MuA
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adamuz2 · 7 years
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