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#trône de fer
westeroswisdom · 6 months
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Jaime Lannister knighting Brienne of Tarth in S08E02. By UK artist blackbirdrose at DeviantArt.
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processusmonomaniak · 2 years
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sushis4kalyo · 6 months
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Terminé ! 📚
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Aujourd'hui j'ai terminé mon pavé de l'été (commencé mi juin).
Il s'agit de l'intégrale 4 (sur 5 tomes parus actuellement) du Trône de Fer (Game of Thrones) de George R.R. Martin. 893 pages.
Et après ?
En temps normal, je ne lis que l'été car j'ai le temps sur mon transat mais j'aimerais pouvoir lire plus régulièrement. J'avais commencé mon pavé en juin quand je travaillais pour m'occuper sans écran pour m'endormir plus facilement. Peut-être que je devrais me réimposer ma demi-heure de lecture du soir même si je n'ai plus de contrat... Peut-être commencer par un petit format poche ? Je compte garder le 5ème tome pour l'été prochain.
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mother-rhoyne · 1 year
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Paysan du Conflans : Sire, les villages de Sherrer, Gué-Cabot et Warbourg ont été attaqués par les forces de Gregor Clegane et-
Robert, qui part à la chasse en laissant Ned au gouvernement :
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bouxmounir · 2 years
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« Montrer à Cannes les marques qui sont sur le genre de leur propre corps »
« Montrer à Cannes les marques qui sont sur le genre de leur propre corps »
Par Ocean Ciuni et Mathilde Seifert Publié les 2 heures, Ma journée 43 minutes Ambassadeur d’O’Real Paris, Nikolai Coster-Waldau est l’acteur central Le Trône de Fer. PS Ambassadeur L’Oréal Paris, dont il l’un des porte-parole depuis plusieurs années, l’acteur de Le Trône de Fer C’est libéré d’une certaine confidentialité après quelques jours dans une suite de l’Hôtel Martinez. Curieuse,…
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ecila-is-here · 2 years
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Activité pour les 1ere (chapitre sur l'Etat monarchique en France ). Je me suis retenue de rire quand j'ai vu la case "régicides"
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Jamie Lannister the Kinslayer 😂
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sur-nos-cendres · 9 days
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PROJET — CITY ENTRE NOIRCEUR & LUMIÈRE — BIRMINGHAM — TEMPORALITÉ ACTUELLE.
Bonjour par ici. C'est avec joie que nous vous présentons notre idée, qui ne devrait pas tarder à voir le jour. Vous trouverez plus bas le contexte ! On si hâte de vous en faire découvrir plus. ♡
Il fut une ville où les gamins vénéraient le soleil, il est une ville où l’ombre est devenue reine. Trône de fer sur ces âmes égarées, presque piégées, entre ses bras, ils ne partiront pas, plus. Malsaine fascination, malsaine addiction, le pandémonium terrien est devenu l’éden des malheureux, et là où les légendes grandissent, les murmures se taisent, étouffés par les sanglots. On dit apercevoir des créatures aux prunelles d’or, là, sous les entrailles du pauvre fleuve, des présences aux mille noms dans l’opacité du crépuscule. Mais ce ne sont que des simulacres, qu’ils disent, aux éhontés venus s’éprendre du charme céleste des habitations délavées. Dans les sombres ruelles ou entre les coupe-gorges aux lueurs ocrées, le fil se tisse et étouffe les chairs, tous reliés par la force de leurs péchés, ils sont cet amas de corps décriés par les béats. Regardez-les, regardez-moi, regardez-vous, vous ne valez plus rien. N’aspirez vous plus à rien ? Mécréants, avares, insipides, le dessein n’est plus en leur faveur, il suffit de leur porter un regard : se meurent déjà les espoirs avant même de quitter les caboches. Sous les astres, c’est une sordide promesse qui se dessine, aller sans retour entre les bras charnus de l’enfer dantesque. On ne quitte plus Birmingham, on y meurt, on y renaît, mais on y reste à jamais, marqués par l’emprise. Pourtant, la lumière se fraye déjà un chemin vers l’antre des loups, il suffit de l’observer, voilà qu’elle hurle : alors, sur mes cendres ils crachent leur spleen, font fleurir les fleurs d’un mal trop ensoleillé, la noirceur s’en ira, c’est juré.
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fortrylletfe · 8 months
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CHARLEMAGNE (742-814)
Dynastie Carolingienne
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Introduction
Avec la bénédiction du pape, les maires du palais ont usurpé le trône aux derniers Mérovingiens, « les rois fainéants ». Pépin III, dit le Bref devenu roi des Francs en 751, parvient à restaurer l’unité du royaume. Avec la reine Bertrade « Berthe au Grand Pied », la fille du comte de Laon, un puissant seigneur de l’époque, Pépin a deux fils : Charles et Carloman. Très vite l’aîné Charles s’impose et annonce son style, il se fera appeler « le Grand », et deviendra l’un des plus grands souverains de France qui marqua toute la période du Haut Moyen Âge.
De grandes conquêtes
La lutte des deux frères
A la mort du roi franc en 768, les premières difficultés apparaissent, les deux frères, Carloman et Charles ne s’entendent guère, le partage était dès lors prometteur de discorde. Selon les vœux de Pépin:
Charles obtenait l’Austrasie et le Nord de la Neustrie, il se fit sacrer roi à Noyon.
Carloman obtenait le Sud de la Neustrie, la Bourgogne et la Provence, il siégeait à Soissons.
En 769, l’Aquitaine se révolte, Charles demande l’aide de son frère, qui lui refuse. Charles prend alors la poursuite du duc d’Aquitaine et parvient à rétablir l’ordre en menaçant les Gascons (Basques) qui lui livrent finalement le duc rebelle. Mais en 770, c’est la Lombardie qui apparaît plus menaçante, la veuve de Pépin, Bertrade organise un mariage entre Charles et Désirée la fille du roi des Lombards. Mais les deux frères ne s’entendent toujours pas, et c’est finalement la mort de Carloman en 771 qui va tout changer. Charles destitue l’héritage de ses neveux qui s’enfuient avec Gerberge, la femme de Carloman, vers la cour lombarde (Gerberge est la fille du roi lombard). Charles est désormais roi unique des Francs.
Charlemagne
La conquête de la Lombardie
Les relations entre Didier, le roi des Lombards et le jeune roi franc se dégradèrent très vite, Charles avait répudié Désirée qui était très laide. Le pape Adrien Ier se réjouissait de cette opportunité, comme l’avait fait son prédécesseur, il demanda de l’aide auprès du roi franc. Charles avait un grand intérêt à soumettre les Lombards, menace constante, d’autant que leur roi Didier voulait réhabiliter les fils de Carloman, réfugiés à sa cour, sur le royaume franc. Charles traversa alors les Alpes avec son armée, défit les Lombards qui se réfugièrent dans la ville de Pavie, capitale du royaume. En 774, la ville tombe et Charles prit le titre de « roi des Francs et des Lombards », il fit alors son entrée triomphale dans la capitale coiffé de la célèbre couronne de fer, dont le fermoir, selon la légende, a été forgé avec un clou de la Vraie Croix du Christ.
Les Saxons, des adversaires irréductibles
Tout au long de son règne, les difficultés les plus conséquentes auxquelles Charles devra faire face sont liées aux Saxons, un peuple païen aussi irréductible face à l’épée qu’à l’appel de l’Évangile, qui vivait sur les territoires devenus aujourd’hui les Flandres et la Lorraine en plus de leur terre d’origine la Saxe, l’actuelle Allemagne. Il fallut à Charlemagne (du latin Carolus Magnus, Charles le Grand) près d’un quart de siècle pour les soumettre totalement. Les Saxons, qui avaient promis des concessions, profitèrent de la campagne de Lombardie pour se révolter de nouveau. Mais les Saxons sont de nouveau battus et promettent finalement leur conversion au christianisme, Charlemagne rentre avec son lot d’otages saxons. Malgré tout, les révoltes n’en continuèrent pas moins…
Charlemagne en campagne contre les Maures
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Depuis près d’un siècle, la chrétienté se voyait menacé par les Maures qui occupaient encore toute l’Espagne. Pour le pape, comme tous les chrétiens, il revenait à Charlemagne de se défendre contre ce danger permanent. Charlemagne n’avait pas l’intention de conquérir l’Espagne, il avait conscience du décalage économique et culturel des deux mondes, de plus il admirait la civilisation islamique, très avancée sur le commerce, l’artisanat, les sciences et les arts. Toujours est-il que Charlemagne envahit la Catalogne et pris la ville de Pampelune. Puis le gros de l’armée se replia pour rejoindre la Germanie, car les Saxons s’étaient de nouveau rebellés. L’arrière-garde qui protégeait le repli s’engagea alors dans les vallées pyrénéennes. Elle était commandée par Roland, comte de Bretagne, un valeureux guerrier très aimé de Charlemagne. Le 15 août 778, comme elle se trouvait dans l’étroit passage du col de Roncevaux, les Gascons (Basques) dévalèrent du haut des montagnes et massacrèrent la troupe franque. « Ce cruel revers, nous dit un chroniqueur du temps, effaça presque entièrement dans le cœur du roi la joie des succès qu’il avait eus en Espagne. » Cet événement devint le fait d’armes le plus connu du règne grâce à un grand poème écrit vers la fin du Xe siècle, la Chanson de Roland. Charlemagne se contenta dès lors d’occuper des places fortes en Catalogne.
La Chanson de Roland
Ce paragraphe décrit l’histoire du poème épique rédigé à la fin du XIe siècle (début des Croisades) où les Basques de Roncevaux ont été remplacés par des Sarrasins. Ganelon le beau-père de Roland, désireux de se venger de celui-ci ainsi que des onze pairs qui lui vouent un véritable culte, s’entretient avec Marsile, un roi sarrasin, et lui donne toutes les informations qui permettront d’exterminer l’arrière-garde de Charlemagne. Roland est nommé à la tête de cette arrière-garde, avec ses onze pairs dont Olivier, comte de Genève et meilleur ami de Roland. Charlemagne a dès lors un sombre pressentiment. Marsile a réuni 400 000 hommes, qui se rue sur les 20 000 Francs, enclavés dans le col de Roncevaux. Par fierté, Roland refuse alors de sonner l’olifant (cor) pour rappeler Charlemagne. La première vague de Sarrasins (100 000 hommes) est contrée et exterminée. Mais au bout du cinquième assaut, les Francs ne sont plus que 60. Roland se décide alors à sonner de l’olifant, Charlemagne l’entend mais Ganelon le dissuade d’en prendre compte. La bataille continue, Roland tranche la main de Marsile qui s’enfuit. Olivier mortellement blessé meurt dans les bras de Roland. Roland reste seul avec son ami Turpin qui sont soudain assaillis par 400 sarrasins qui les criblent de flèches avant de s’enfuir. Mourant Roland tente en vain de briser son épée, la vaillante Durandal, qui brise un roc. Roland se couche alors le visage tourné vers l’Espagne et s’en remet à Dieu. Charlemagne très affecté condamne le traître Ganelon, symbole de la félonie. La fiancée de Roland, Aude, meurt de chagrin. Le poème fait une grande part au merveilleux chrétien et à l’amour des preux chevaliers pour la « douce France »
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Olifant, dit le Cor de Roland
Des difficultés en Germanie
Les intraitables saxons se sont de nouveau soulevés, ils ont ravagé le territoire franc jusqu’à la Moselle. Charlemagne organise donc une sévère répression. Mais les révoltes n’en continuèrent pas moins. En 782, un chef saxon, Widukind, réussit à décimer une armée saxonne ralliée aux Francs et à se réfugier ensuite en territoire danois. Charlemagne avait la ferme intention d’annexer la Saxe à sa couronne, mais pour ce faire il devait faire plier les Saxons. Chose qui devient moins aisée à mesure que les païens appliquaient les tactiques militaires chrétiennes. Par représailles, Charles décida de se livrer à un épouvantable massacre, près de Verdun, ce sont 4 500 Saxons qui furent exécutés, femmes et enfants ne furent épargnés.
Les conquêtes en Europe centrale
Le soulèvement des Saxons encouragea par ailleurs le duc de Bavière, Tassilon III qui, en 779, refusa de reconnaître la souveraineté franque et fut sur le point de semer le trouble dans toute la partie Sud de la Germanie occupée par les Francs. Mais abandonné par ses sujets, Tassilon est finalement battu et emprisonné. La Bavière est ainsi intégrée au royaume en 788. Charlemagne confisqua les biens immenses de Tassilon, qui était considéré comme « l’homme le plus riche de l’Empire », plus que Charlemagne lui-même qui de surcroît, n’a jamais eu de fortune personnelle et fut un des premiers rois de l’époque médiévale à distinguer le Trésor Royal et ses biens propres.
Puis, après la Bavière, Charles affronta les Avars, une peuplade belliqueuse d’origine mongole, comme les Huns, qui était établie en Pannonie (actuelle Hongrie). La guerre contre les Avars fut sans pitié. Charlemagne répondit à la férocité de l’ennemi par une férocité égale. L’affrontement se termina par la prise du camp royal avar par Pépin, le fils de Charlemagne. Leurs terres furent placées sous le contrôle des Francs, puis christianisés. Un traitement analogue fut réservé aux Slaves de Bohème. A la suite de ces conquêtes, les territoires de Germanie, de Hongrie, de Bohème et d’une partie de la Yougoslavie furent arrachés à l’emprise barbare.
Empereur
Le sacre de Charlemagne
Les relations entre Charlemagne et le pape Adrien Ier n’étaient pas si exemplaires, la Toscane et toute l’Italie du Sud était promise au pape, mais le souverain franc préférait imposer sa propre domination sur l’Italie. L’indépendance des États du pape était de plus en plus fictive. Malgré tout, Charles est soucieux de sa construction politique, et il sait que le facteur religieux est essentiel. Aussi, lorsque le nouveau pape Léon III est emprisonné en 799 et roué de coups par des nobles qui l’accusent d’immoralité, Charlemagne intervient et assure le retour du pape à Rome sous bonne escorte. En remerciement de service rendu, notamment contre les Lombards, Charlemagne prend le titre inédit d’« Empereur des Romains ».
La cérémonie se déroule à la basilique Saint-Pierre de Rome le 25 décembre 800. Il se présente de façon symbolique en continuateur lointain de l’empire romain d’Occident. C’est ainsi qu’il arbore comme emblème l’aigle monocéphale.
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Sacre de Charlemagne par le pape Leon III
La conquête de la Germanie
La tâche la plus ardue pour Charlemagne était de soumettre définitivement les Saxons afin de rattacher la Germanie à l’Empire, et de la pacifier. En 785, le chef barbare, Widukind, tombe malade, il fut alors obligé de céder son commandement. Dès lors les campagnes saxonnes ne furent plus aussi dures ni aussi laborieuses pour les Francs qui finirent par gagner en 799. Mais guérillas, répressions et déportations en masse reprirent et ne s’achevèrent qu’en 804. cette année-là, Charlemagne eut recours aux grands moyens, en décidant que « tout Saxon non baptisé et qui refusera de l’être serait puni de la peine de mort ». De plus, il déporta toute la population saxonne résidant entre les deux fleuves de l’Elbe et de la Weser. A mesure qu’elle était pacifiée, la Germanie fut divisée en marches (zones de défense) dirigées par des chefs francs.
L’organisation de l’Empire
L’Empire carolingien
Au début du IXe siècle, l’État franc représentait déjà un vaste Empire et ses frontières étaient fortement consolidées. Après le couronnement de Charlemagne, le centre de gravité de l’Empire se déplaça vers l’Est, c’est-à-dire au détriment de la France et au bénéfice de l’Allemagne. La capitale fut instaurée à Aachen, ville germanique connu sous le nom de « Aix-la-Chapelle ». Charlemagne appréciait les eaux thermales de cette ville, qui lui permettaient de soigner sa goutte et ses rhumatismes. L’annonce du couronnement ne pouvait plaire à Constantinople qui vit en Charlemagne un usurpateur. L’Empire byzantin, devant la démonstration de puissance affichée, s’orienta vers des transactions entre les deux empires, et celles-ci se mirent en place. Pendant un moment, on pensa marier l’Empereur d’Occident, à Irène, l’impératrice souveraine d’Orient, le plan ne pût aboutir. A cette époque, il y a trois empires rivaux : l’empire carolingien, l’empire byzantin et l’empire arabe. Ce nouveau monde, en raison de l’antagonisme religieux ne pouvait tirer profit des relations maritimes entre l’Orient et l’Occident, contrairement au monde romain. D’où la restructuration de l’empire franc qui s’orienta vers une activité économique située entre le Rhin et la Meuse, favorisant la future Allemagne.
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Homme de guerre, homme de paix
Le portrait de Charlemagne nous est connu grâce à Eginhard, un historien contemporain. Grand (il mesurait 1,92 m), fort et vigoureux, Charlemagne inspirait le respect de ses ennemis qui, sur le champ de bataille, craignaient davantage sa force physique que son intelligence tactique. D’une réelle bonté, il aimait faire des aumônes aux pauvres, pouvait éclater en sanglots à l’annonce de la mort d’un ami, et vénérait sa mère Bertrade, qu’il consultait souvent. Très attachée à sa famille, il ne se séparait jamais de ses enfants, et fût marié à quatre reprises. Charlemagne a une grande curiosité d’esprit, il s’instruit beaucoup pour pallier ses lacunes, il donne ainsi une éducation complète à ses enfants. Mais il fut d’abord et avant tout un guerrier, bien que son but affirmé fût la paix. Profondément religieux, convaincu que Dieu avait confié au peuple franc et à son souverain la tâche de répandre et de défendre la foi chrétienne ainsi que les coutumes qu’elle apportait avec elle, il passa sa vie à combattre les Barbares, du nord au sud de l’Europe. Par le fer et le sang, il réussit à établir un empire chrétien sur la majeure partie de l’Europe occidentale, au point que les historiens lui attribuèrent par la suite le titre de Pater europae, père de l’Europe moderne.
Les Missi dominici
L’empereur ne pouvait pas toujours contrôler la manière dont ses ordres étaient appliqués. Charlemagne confiait donc les charges sûres à des personnes qui étaient « les yeux, les oreilles et la langue du souverain ». C’étaient les missi dominici (envoyés du maître). Véritables inspecteurs généraux du royaume, ils avaient les pleins pouvoirs pour rappeler à l’ordre comtes et marquis, surveiller le fonctionnement de la justice et de l’état des finances. Les missi dominici étaient en général au nombre de deux : un religieux et un laïc. Ils avaient pour mission de procéder à des enquêtes, de contrôler l’administration des provinces et de signaler à l’empereur les abus qu’ils avaient pu constater.
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Les missi dominici se présentant devant Charlemagne, Bnf
Comtes et marquis
Suivant en cela l’usage des Francs, Charlemagne divisa l’empire en comtés (il y en a plus de 200 dans l’Empire) ; aux frontières, il créa des marches ou régions tampons destinés à protéger les invasions extérieures. Comtés et marches, vivant en relative autonomie, furent confiés aux plus fidèles de ses compagnons (comtes et marquis). L’empereur leur rendait périodiquement visite ; il recevait alors les représentants de la population et les chefs du clergé, contrôlait les comptes, décidait des travaux à entreprendre. Dans chaque comté se tenaient régulièrement des assemblées provinciales ou plaids (du latin platicium, convention), qui tenaient lieu de cours de justice. Les juges ou échevins, réglaient les affaires ordinaires. Mais les jugements les plus importants étaient prononcés par le comte ou par le tribunal royal.
Plaids généraux et Champ de Mai
Les comtes et marquis se comportaient sur leur territoire comme de véritables petits souverains. En réalité, ils constituaient les vassaux de l’empereur, qui était le propriétaire des terres. Afin de centraliser son pouvoir, Charlemagne réunissait des plaids généraux (en moyenne trois fois par an). Tous ceux qui comptaient dans l’Empire étaient conviés : marquis, comtes, évêques, abbés (supérieurs de monastère)… Dans ces réunions, on débattait de tous les problèmes de l’Empire, et on instaurait des lois. Les fonctionnaires de l’Empire les transcrivaient ensuite de façon ordonnée en divisant le texte en chapitres. Revêtus de la signature et du sceau de Charlemagne, ces chapitres, ou capitulaires étaient répandues dans les provinces pour y être appliqués. Charlemagne tenta ainsi de remplacer les traditionnelles décisions orales par des écrits. Le Champ de Mai (appliqué au mois de mai) est un plaid général qui règle les questions militaires.
« L'Empereur à la barbe fleurie »
En prêtant à l’empereur une barbe alors qu’il était vraisemblablement imberbe, les représentations du souverain veulent souligner son autorité virile. Quand au qualificatif de fleurie, il s’agit d’une mauvaise traduction de « flori », qui signifie blanc en vieux français.
La société carolingienne
Une société belliciste
Dans l’Empire carolingien, la guerre avait une importance primordiale : elle était tenue pour une activité normale, presque une nécessité. Durant le règne de Charlemagne, les années où il n’y eut pas de campagne militaire peuvent même se compter sur les doigts d’une seule main. La période des combats était située entre mai et octobre. Les buts poursuivis étaient divers : remettre à sa place un comte récalcitrant ou traître, amasser un butin par des raids au delà des frontières et, bien sûr, conquérir des territoires et christianiser les infidèles. De toutes les régions de l’Empire arrivaient des armées entières avec armes et bagages, conduites par un comte ou marquis. L’empereur lui-même passait en revue l’armée franque. Le Champ de Mai était ainsi non seulement une assemblée de chefs, où se décidaient les opérations militaires à venir, mais aussi une occasion de réaffirmer avec éclat l’unité de l’Empire autour du souverain et de son armée.
Les serfs, moteur économique : L’économie au temps des carolingiens était fondée sur le travail des serfs. Ceux-ci n’étaient pas à proprement parler des esclaves, mais des personnes soumises à un maître, qui devaient accomplir la tâche qu’on leur ordonnait et qui restaient attachées à un domaine. Les villae étaient l’objet d’une attention particulière : domaine agricole vivant en autarcie, c’est-à-dire produisant tout ce qui est nécessaire à la vie de ses habitants, la villa formait l’unité économique de base de l’Empire.
Le clergé, ciment des peuples : Charlemagne s’appuya tout au long de son règne, sur l’Église. Le christianisme formait le ciment unissant les peuples de l’Empire, qui n’avaient en commun ni la langue ni les mœurs. Même s’il surveilla toujours de très près les affaires religieuses, l’empereur donna une place de premier rang aux dignitaires de l’Église.
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Charlemagne et les évêques, Bnf
La Renaissance carolingienne
La création d’écoles : Afin de former des administrateurs compétents, Charlemagne favorisa un renouveau des études, il créa entre autre l’École du palais, que dirigera Alcuin. Après de nombreux conciles, Charlemagne réussit à imposer des réformes religieuses (réforme liturgique, discipline dans les abbayes, écriture). Charlemagne s’indignait du style grossier de certains ecclésiastiques, aussi le clergé devait être instruit, d’où la création d’écoles près d’églises et de monastères. L’Église passa ainsi vers l’effort d’éducation du peuple. Dans les monastères, on recopie les Saintes Écritures, de façon élégante (nouvelle écriture plus ronde : écriture caroline) et dans un latin correct.
Charlemagne, restaurateur des arts et des lettres : Sous l’influence de l’art byzantin, les églises seront décorées avec des mosaïques et des fresques. Les reliures des Bibles s’ornent de bas-reliefs, on peint aussi des miniatures ou de délicates enluminures. Reliques et manuscrits sont ainsi décorés par de grands orfèvres. Les arts et les lettres subissaient une brillante renaissance, la langue latine était restaurée, des personnes brillantes comme Alcuin ou Angilbert relancèrent le goût de la culture antique. L’architecture subit également une véritable renaissance artistique, inspirée de l’art romain. Les constructions religieuses connaissent un véritable essor, le palais d’Aix témoigne également du renouveau de l’architecture civile.
Egingard apprit à Charlemagne à signer de cette façon : une croix comprenant les lettres de Karolus, les consonnes sont aux extrémités, les voyelles situées dans le losange central.
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Le monogramme de Charlemagne
La mort du souverain
Après la soumission des Saxons en 804, Charlemagne entreprend ses dernières campagnes militaires : contre les Arabes d’Espagne, les Avars ou les Bretons, mais aussi les Slaves, les Sarrasins, les Grecs et les Danois. En 812, l’empereur romain d’Orient Michel Ier reconnaît Charlemagne comme empereur romain d’Occident. Charles pense alors à sa succession :
De tous ses fils, l’un Pépin le Bossu avait tenté de le renverser, il fut enfermé dans un monastère.
Charles le Jeune, qui avait reçu l’onction du pape lors du sacre est destiné à la succession mais il meurt en 811.
Le second fils de Charlemagne, Pépin était roi d’Italie, il se distingua en capturant le trésor des Avars, « le Ring », il meurt en 810.
C’est alors Louis (le Pieux ou le Débonnaire) qui succédera à Charlemagne, il est sacré en 813, du vivant de son père.
Charles était fort et robuste, il ne fut malade que durant les quatre dernières années de sa vie, il se mit à boiter et à souffrir de la fièvre. En 814, il meurt de pleurésie, il est inhumé à la basilique d’Aix-la-Chapelle. L’unité de l’Empire qui était déjà difficile à maintenir à cause de l’immensité d’un territoire s’étendant de la Baltique à l’Adriatique et à cause du système des comtés et des marches, source de morcellement, put être sauvegardée aussi longtemps que Charlemagne fut en vie, mais ne devait guère survivre à la disparition du « ciment » que représentait son autorité et son prestige.
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Charlemagne. Détail d'une mosaïque de la cathédrale de Strasbourg
Histoire-de-France.net
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deviance-nocturnale · 7 months
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28. Il reste des batailles à mener
Notre société est un no man's land en régression : pauvreté, LGBT, racisme, égalité homme-femme, écologie...Il reste des batailles à mener, en fer de lance de l'éducation qui se transforme en bouillie d'enfants rois. Nous ne sommes qu'un petit bout d'infanterie, de chair à canon qu'on envoie au front sans réellement savoir le fond de la cause défendue et déjà perdue à notre échelle minuscule. Les puissants commandent, nous ne sommes que les exécutants. C'est bien de se gargariser de belles idées, de révolutions multicolores, mais rien ne semble ébranler le rocher de Polyphème bloquant la seule issue. Voter blanc, bleu ou rouge, la couleur paraît illusoire. Toujours la même rengaine rabâchée au pied levé. Regarder d'un œil dépité le jeu des trônes musicaux et vacants. Une nouvelle tête sort son épingle et vient décapiter les autres. Avec des espoirs étouffants. Il faudrait un tank et défoncer toute cette gloire républicaine qui chante ses propres louanges.
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doc42 · 2 years
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In France, A Song of Ice and Fire — Le Trône de fer — is apparently The Great Gatsby.
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corinneecrivaine · 9 months
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Willow TV Show fanfiction story
Part 8
Graydon
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Galladoorn.
Le roi Hastur faisait les 100 pas dans la salle du trône. Préoccupé. Comment ? Quel plan allait-il pouvoir mettre en place afin de répondre aux attentes du Wyrm, lui apporter Willow et Elora ?
Lorsqu’un garde entra, affolé, essoufflé, impossible de s’exprimer clairement : Mon Seigneur…. Je…. Il… Le… Prrrrr…
Hastur s’énerva : Parle !!!!!! Où je te mets aux fers !!!!!!
Le jeune garde n’eut pas le temps de s’expliquer que les portes de la salle du trône s’ouvrirent brutalement, ébranlées par une violente bourrasque. Deux êtres entrèrent.
Le roi reconnut la voix masculine et se retourna aussitôt.
Graydon : Bonjour père.
A la vue de son fils, se tenant devant lui, Zivian, fut stupéfié. Il prit quelques secondes avant de pouvoir répondre.
Hastur : Tu es mort !!!!
Graydon : Ho non je suis bien vivant, père, et plus puissant que jamais.
Son fils n’était plus le même. D’une personne effacée, manquant entièrement de courage et de confiance, Zivian avait devant lui, un être au regard obscur et maléfique. Tout vêtu de noir, les cheveux en arrière. Graydon portait un tallcoat gothique brodé avec des soieries, le col relevé, un gilet de satin noir et une chemise rouge sang. Des boutons dorés représentaient le sigle du Wyrm. Un pantalon de cuir noir, des bottes jusqu’aux genoux.
A ses côtés, Dark Elora, aux cheveux courts, oranges, vêtue d’une combinaison de cuir, noire, échancrée, ajustée, dessinant parfaitement les courbes de son corps. Elle avait le regard sombre, pernicieux, tout indiquait dans ses yeux, la froideur, le désespoir, les ténèbres et la haine.
Hastur : Non. Tu n’es pas mon...
Graydon : C’est ainsi, que vous accueillez le retour de votre fils. Ne suis-je pas devenu ce que vous vouliez que je sois !!!!!
Hastur : Ce que je voulais de toi, c’est que tu me donnes un héritier à Tir Asleen afin de me rendre ce que tu m’as enlevé !!!!!
Le rire sarcastique de Grayon raisonna dans la salle du trône, glaçant l’atmosphère et figeant de terreur le roi.
Graydon : Dermot, le fils prodige, l’héritier du trône, celui qui était voué à gouverner Galladoorn et Tir Asleen.
Graydon s’écria : Ce n’était qu’un faible !!!! Refusant les combats et les armes !!!!
Il s’exprimait avec un sourire diabolique : Ce fut si facile pour moi de le balancer de l’arbre. J’ai utilisé sa faiblesse, la confiance qu’il avait en moi.
Zivian ne put contenir sa colère et se jeta sur son fils afin de le frapper mais Graydon le propulsa contre le siège du trône, d’un éclaire rouge surgissant de sa main. Hastur s’écroula. Grayon se rapprocha de lui.
Graydon : Toute ma vie vous n’avez fait que me discréditer, m’humilier. Je n’étais pas le fils digne de porter le nom des Hastur. Je n’étais qu’une honte pour vous. Regardez-moi !!!
Il prit le visage de son père entre ses mains l’obligeant à le fixer droit dans les yeux et s’écria : Regardez-moi !!!! Je suis le résultat de vos attentes !!!!
A ce moment là, la reine Arianna, informée du retour de son fils, entra dans la salle.
Arianna : Graydon, mon fils, vous êtes vivant.
Heureuse de le retrouver, elle accourut vers lui.
Surpris, Graydon eut un geste d’hésitation et laissa sa mère le prendre dans ses bras. Mais Dark Elora, s’apercevant du changement, s’adressa aussitôt au jeune homme.
Dark Elora : Graydon, reste à mes côtés. Comment peux-tu oublier ce qu’ils t’ont fait ! Le sacrifice de ton corps, de ton âme !
La rage, la colère l’envahirent de nouveau et il repoussa sa mère toute affolée.
Arianna s’adressa à Dark Elora : Qui êtes-vous, qu’avez-vous fait à mon fils !
Dark Elora : Je suis… Votre impératrice Elora Danan (dit-elle sur un ton sarcastique) Votre fils s’est juste libéré de toutes ses peurs, il a tout simplement compris qui il pouvait être réellement. Je n’ai fait que terminer ce que vous aviez commencé à sa naissance.
Arianna, interloquée, perdue : Vous… Elora Danan… L’impératrice !!! De quoi parlez-vous !
Dark Elora s’adressa à Zivian : Vous ne lui avait rien dit, mon roi.
Hastur : Vous n’êtes pas Elora Danan.
Graydon : Mère, laissez-moi vous raconter.
Il existe dans les catacombes de notre château, une pièce dédiée aux sacrifices de l’Ordre du Wyrm. Le jour de ma naissance, mon cher père, me mena en ce lieu et me posa sur un temple de pierre. Des prêtres, 6 en tout, cachés sous leurs tuniques à capuche gris anthracite, l’un d’eux me déposa dans un baptistère rempli du vermiscus et commença une incantation en Pnakotic. Ce fut ainsi, tous les ans, à la date de ma naissance, je subissais ce rituel ignoble.
Lorsque j’atteignis l’âge de 10 ans, ce que père me fit subir fut un véritable calvaire. Régulièrement il me mena dans cette pièce aux supplices, enchaîné sur cette dalle des tortures, bâillonné afin de ne pas être entendu, les prêtres marquèrent mon torse des incantations inscrites dans le Malatrium tout en les fredonnant à haute voix.
Je suppliais père d’arrêter tout cela. Je pleurais. Je me mettais à genoux. Mais il ne m’écoutait pas. Il me traitait telle une offrande.
Les soirs, seul, dans ma chambre, j’implorais la mort de venir me chercher pour mettre un terme à toute cette abomination. J’étais sujet à des visions me représentant comme une personne démoniaque, assassin, voire diabolique. La seule force qui m’a permis de tenir fut votre amour, mère. Cet amour que vous me procuriez chaque jour. Je ne savais plus qui j’étais. Je sentais ce pouvoir, cette force grandir en moi. Me rendre invulnérable, puissant.
Puis vint cet instant maudit, où je poussai mon frère de cet arbre. Ce jour où je ressenti toute cette force et cette satisfaction de mon geste. Ce jour où je n’eus aucun remords.
Ce jour là, père me mena pour la dernière fois dans cet enfer. Il expliqua aux prêtes ce que je venais de faire subir à mon frère. De nouveau, enchaîné, bâillonné. Cette fois-ci, les prêtes firent une incantation afin de mettre en sommeil toute cette puissance qui grandissait en moi.
Mais lorsque je fut contaminé par le Lich et que Willow et Elora utilisèrent le Malatrium pour me libérer, des flashs de ces instants de tortures me virent à l’esprit. Je mettais cela sur la peur, le manque de courage, le faible que j’étais. Tout au long de cette quête pour sauver le prince, j’écoutais les enseignements de Willow à Elora. J’apprenais. Petit à petit je sentais toute cette magie s’éveiller, m’enivrer d’un intense pouvoir. Lors de mon sacrifice pour sauver Elora…
Dark Elora : L’autre Elora, la gentille pas moi.
Graydon : Tout me revint, tout ce que père m’avait fait subir. Tous ces cauchemars n’étaient en fait que mon passé. Un passé dissimulé par la magie mais que le Wyrm avait enfin libéré. Je compris qui j’étais réellement. Le Wyrm m’avais libéré de toutes mes peurs et croyances. Toute une vie de mensonge. Il me permit de découvrir ma nouvelle vérité. Mes peurs et les choix que j’avais faits.
Arianna était toute abasourdie par ses révélations : Zivian, je t’en prie, dis-moi que c’est faux.
Hastur : Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour notre famille !!!!
Graydon : Faux !!!! Vous ne l’avez fait que pour le pouvoir. Vous êtes tellement assoiffé de pouvoir que vous n’avez pas hésité à vendre vos fils !!!!!
Dans sa fureur, Graydon attaqua son père avec des éclairs sortis de ses mains. Voyant son mari se faire torturer par son fils et toute cette animosité qui vibrait dans le regard du jeune prince, Arianna essaya de le ramener à la raison.
Arianna : Graydon, je t’en prie !!!! Arrête !!!!
Mais il ne l’écoutait pas.
Elle radoucit le ton de sa voix : Graydon, mon fils, je t’en prie.
Le jeune prince se retourna, vit le visage apeuré de sa mère et laissa son père, à moitié abattu par la force de frappe qu’il venait de subir. Le roi trouva la force pour appeler les gardes.
Hastur : Gardes !!!! A l’aide !!!!
D’un simple geste, Dark Elora, fit apparaître the Scourge, the Doom and the Lich accompagnés des Death dogs.
Les gardes entrèrent, un combat s’amorça contre les sbires d’Elora. Un affrontement meurtrier et épouvantable. Chacun des chevaliers de la garde périssaient sous les armes des Gales et les attaques des Death dogs. Les cadavres jonchaient le sol de la salle du trône. Des corps transpercés, déchiquetés, démembrés, décapités, le sang des morts s’écoulait sur le sol. Cet affrontement vit la défaite des chevaliers de Galladoorn et la victoire des Gales.
Graydon : Seriez-vous prêt à sacrifier tous vos hommes.
Zivian resta silencieux.
Graydon : Je te laisse la vie sauve, pour l’instant. Ramènes-nous le sorcier et l’Impératrice et je déciderai de ton sort. Désormais Galladoorn m’appartient.
*******
Assis sur le trône de Galladoorn, Graydon se concentrait, les yeux fermés, ralentissant sa respiration. D’un seul coup il les ouvrit, brusquement et prononça le nom d’Elora.
Au même instant, la jeune impératrice, aux côtés de Willow pour parfaire son entraînement à la magie, eut la vison du visage de Graydon et tomba, déstabilisée.
Elora : Graydon.
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westeroswisdom · 5 months
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Yet another interesting concept of Bran Stark as the Three-Eyed Raven. This one by Indonesian artist Fredrick Runtu at ArtStation.
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processusmonomaniak · 7 months
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Les Liaisons dangereuses & Un Festin pour les corbeaux
L’été est une saison idéale pour rattraper son retard de lecture. On en profite pour lire sur la plage à l’ombre d’un parasol ou sur un banc, à la fraîcheur du soir. On dévore roman sur roman en se promettant de garder ce cap à la rentrée, même si secrètement on sait bien que cela ne sera pas évident ! C’est l’occasion de lire enfin ce classique qui nous tend les bras depuis des années ou de…
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tintinintergalactique · 4 months
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Le trésor de Beng Meala
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Le temple de Beng Meala était impressionnant. Il était recouvert de lianes et de mousses, et ses tours s'élevaient vers le ciel. Il semblait abandonné depuis des siècles, et aucun signe de vie humaine n'était visible. Tintin et Titine s'approchèrent avec prudence, en scrutant les alentours. Ils remarquèrent une ouverture dans un mur, qui semblait être l'entrée du temple. Ils décidèrent de s'y engouffrer, en espérant y trouver le trésor.
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Ils se retrouvèrent dans un couloir sombre, éclairé par des torches. Ils avancèrent avec précaution, en évitant les toiles d'araignées et les ossements. Ils arrivèrent à une salle circulaire, où se dressait un autel orné de sculptures. Sur l'autel, il y avait un livre ancien, relié de cuir. Tintin s'en saisit et l'ouvrit. Il y avait des inscriptions en khmer, qu'il ne comprenait pas. Il décida de le garder, en pensant qu'il pourrait le traduire plus tard.
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Ils continuèrent leur exploration, en suivant le couloir qui partait de la salle. Ils arrivèrent à une porte en bois, fermée par un cadenas. Tintin sortit son couteau et essaya de forcer la serrure. Il réussit à ouvrir la porte, et ils entrèrent dans une nouvelle pièce. Celle-ci était remplie de statues de Bouddha, disposées en cercle. Au centre, il y avait un piédestal, sur lequel reposait une clé en or. Tintin s'approcha pour la prendre, mais il déclencha un mécanisme. Des flèches empoisonnées se mirent à jaillir des murs, en visant les intrus. Tintin et Titine se jetèrent à terre, en se protégeant avec le livre. Ils attendirent que les flèches cessent de voler, puis ils se relevèrent. Tintin prit la clé en or, et ils sortirent de la pièce.
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Ils reprirent le couloir, qui les mena à une autre porte. Celle-ci était en fer, et portait une inscription en khmer. Tintin essaya de la déchiffrer, en se basant sur le livre. Il comprit qu'il fallait prononcer un mot de passe pour ouvrir la porte. Il essaya plusieurs mots, sans succès. Il se souvint alors que la clé en or avait une forme particulière. Il la regarda de plus près, et il vit qu'elle formait le symbole du soleil. Il eut une idée. Il prononça le mot "Surya", qui signifiait soleil en khmer. La porte s'ouvrit, et ils entrèrent dans la dernière pièce.
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Celle-ci était la plus grande et la plus belle. Elle était décorée de fresques et de mosaïques, représentant des scènes de la vie du roi Jayavarman VII, le fondateur du temple. Au fond, il y avait un trône, sur lequel était assis un squelette, vêtu de bijoux et de brocart. Devant lui, il y avait un coffre en bois, fermé par un cadenas. Tintin inséra la clé en or dans la serrure, et ouvrit le coffre. Il découvrit alors le trésor de Beng Meala: des lingots d'or, des pierres précieuses, des statues, des armes, et des objets d'art. Tintin et Titine étaient émerveillés. Ils avaient réussi à trouver le trésor, après avoir surmonté les épreuves. Ils se félicitèrent, et se préparèrent à emporter leur butin. Mais ils ne se doutaient pas qu'ils n'étaient pas seuls. Des hommes armés, qui les avaient suivis discrètement, les attendaient à la sortie du temple. Ils étaient les hommes de main d'un trafiquant d'antiquités, qui convoitait le trésor. Ils s'apprêtaient à attaquer Tintin et Titine, pour les éliminer et voler le trésor. Tintin et Titine prirent la fuite par le chemin de fer de la petite ceinture.
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Ecrit par GPT4
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kabbal · 1 year
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10, 24, 32 si t'y as pas déjà répondu !! ✨
10. How do you decide what to write?
Si je sens que personne n'a exploré un certain angle, je vais me caler dans l'interstice comme une araignée qui cherche un bon endroit pour poser sa toile. Je suis aussi très sensible à ce que j'ai regardé plus ou moins récemment, d'où des fics comme ma dernière sur le film Donjons & Dragons que j'ai commencée directement après être rentrée de ma séance.
24. Are there any easter eggs in [insert fic], and if so, what are they?
Bon puisque tu me donnes pas de fic précise j'ai été un peu fouiller dans ma fic la plus remplie de refs, Hypothèses d'Hyménée. En vrac:
l'idée de la métaphore des rivières pour parler d'univers alternatifs vient d'une fic Fairy Tail que j'avais lue quand j'étais bien plus jeune. Mate la référence niche (je suis la niche, ouaf ouaf)
Le ton général de la fic, lui, est inspiré d'une fic Harry Potter qui bâtissait une cathédrale de Headcanons sur la famille Malefoy
"il est universellement reconnu qu’un roi pourvu d’une épée magique doit avoir envie de se marier." est bien entendu une référence à Austen et son pride & prejudice
le genrage au féminin du mot trirème est une référence au fait qu'Astier, parfois, il est plutôt approximatif dans ses recherches
la phrase "il savait déjà ce que la tradition prévoyait en cas d’arrivée intempestive de jeune élu élevé au plus haut rang par distribution d’épée magique et autres étranges cadeaux de dames habitant les lacs." cache une référence aux Monty Pythons et leurs "strange ladies laying in ponds"
dans la liste des amant.e.s de Muirenn et Arthur, on trouve quelques personnages de la série comme Démétra, Aelis et Vénec, mais également d'autres personnages du canon Arthurien, à savoir Iseut (de Tristan et Iseut) Palamède (également de Tristan et Iseut) et Erec (pas de Tristan et Iseut, mais d'Erec et Enide, que j'ai dû lire l'an dernier pour mon cours d'ancien français)
la nièce de Galessin, Oswyn, me vient de ma chère amie @kaantt
la phrase "Elle se fit traduire la proposition de Lancelot, but son vin, mangea sa viande, puis rentra donner son rapport à son seigneur, un chef mercenaire prometteur que l’on appelait Horsa." est un écho d'une phrase un peu similaire d'un des points de vue de Daenerys dans le premier tome de la saga du Trône de Fer.
la phrase "(on) bouta les Saxons hors de Bretagne" est une référence à Jeanne d'Arc qui bouta les (Anglo)-Saxons hors de france
le personnage d'Aetia est partiellement inspiré d'Aliénor d'Aquitaine
« Je l’ai mérité, moi qui ai fait confiance ! » est une citation directe de la fable d'Esope Le Laboureur et le Serpent
voilà un paquet de références conscientes, y a en sans doute d'autres dont je me rend pas compte de l'inspiration
32. What’s your ideal fic length to read?
Entre 3k et 12k je dirais, à la louche. assez court pour le lire d'une traite, assez long pour bien rentrer dans le gras des choses.
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linstantdavant · 1 year
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Portrait robot du bourgeois, par Régine Pernoud (première partie)
Le texte qui suit est un extrait du livre de l'historienne et Archiviste Régine Pernoud La bourgeoisie, PUF, col. Que sais-je ?, Paris, 1985, p. 7-21.
Un prototype du bourgeois français : le bourgeois parisien sous la Monarchie de Juillet
C’est à Paris qu’il faut situer, aux alentours de 1840, le « bourgeois français ». Il a certes son homologue dans toutes les villes de province, mais il n’est pas un bourgeois de province qui, pour une raison ou une autre, n’ait affaire à Paris, ne regarde vers Paris, n’en attende les nouvelles et n’en copie les manières. Rien de plus naturel d’ailleurs, puisque Paris concentre alors la puissance économique ou, pour mieux dire, la puissance financière en toute activité économique ; sa prépondérance, son rôle de capitale remontent haut dans le temps et de plus, à dater de la Révolution française, c’est-à-dire un demi-siècle plus tôt, le pouvoir politique s’y est installé en même temps que le pouvoir administratif.
Et ne négligeons pas la vie artistique et littéraire avec les salons, les théâtres, les concerts où se rencontre la bonne société, sans parler des musées, des bibliothèques et aussi de l’université qui constitue, pour les professeurs les plus éminents, la consécration de leur carrière.
Nous compterons de préférence notre bourgeois parmi ceux qui se font bâtir à Paris ces « belles maisons à concierges » dont parle Balzac. Car on bâtit beaucoup dans le Paris de Louis-Philippe ; et le préfet Rambuteau, s’il n’a pas l’envergure de son successeur Haussmann, démolit et rebâtit toute une partie de la ville — ce Paris qui bientôt dépassera un million d’habitants. S’il n’habite lui-même dans les quartiers neufs, ceux de la plaine Monceau, de l’Europe, de la place Saint-Georges, notre bourgeois y sera en tout cas propriétaire d’un immeuble de rapport ; et il y applaudira, comme tous ses contemporains, les embellissements de la ville, l’achèvement de l’église de la Madeleine, l’érection de l’Obélisque sur la place de la Concorde, les nouveaux ponts jetés sur la Seine et aussi les « embarcadères » que l’on entreprend pour le futur chemin de fer. Et Paris devient la « Ville Lumière » grâce à son éclairage au gaz.
Une ambition sociale favorisée par le régime
Notre bourgeois occupe dans la société une situation proportionnée à l’importance de ses affaires : affaires de grand négoce ou de grande industrie, à moins que — et c’est d’ailleurs le sommet de la réussite — il ne soit banquier. Aussitôt après la Révolution de 1830 qui l’a installé sur le trône, Louis– Philippe a fait choix comme Premier Ministre d’un banquier, Jacques Laffitte ; et c’est un autre banquier, Casimir Périer, qui lui a succédé. Lorsque son contemporain, Adolphe Thiers, lui-même un bourgeois type, veut définir l’ascension type du bourgeois, il énonce :
Le père était paysan, ouvrier dans une manufacture, matelot dans un navire. Le fils si le père a été laborieux et économe, fermier, manufacturier, capitaine de navire. Le petit-fils sera banquier...Les générations s'élèvent ainsi les unes au dessus des autres.
Même s’il n’appartient pas nommément à la haute banque, alors tout entière juive ou protestante, même s’il ne fait pas partie de ces dynasties de Brumairiens qui, une quarantaine d’années auparavant, ont installé Napoléon, lequel en retour a aussitôt installé la Banque de France, la fortune de notre bourgeois repose avant tout sur son activité financière : il peut être simple rentier (depuis le Directoire — 1797 — la rente d’État est exemptée d’impôt ; elle a été bientôt après déclarée insaisissable) ou encore spéculer sur actions et obligations en un temps où la Bourse installée depuis 1826 dans le Palais de la rue Vivienne, aligne deux cent soixante valeurs cotées — contre sept au début du siècle.
Et s’il est une réforme qui lui paraît indispensable et à la réalisation de laquelle il s’emploie, c’est de pouvoir bénéficier, pour cette activité financière, de l’anonymat qui lui garantira la sécurité. La société anonyme dont on parle de plus en plus, sans qu’elle soit encore expressément permise, représentera le fruit d’un effort tenace, celui de la bourgeoisie tout entière dont elle comblera les vœux.
La bourgeoisie des industriels
Industriel, notre bourgeois ne l’est encore qu’avec une certaine timidité. Saint-Simon, lorsqu’il est mort en 1825, était à peu près inconnu et ce n’est que plus tard que se répandront ses doctrines sous l’influence desquelles on pourra vraiment parler en France de révolution industrielle. On voit certes des progrès impressionnants se manifester dans l’industrie, presque tous inspirés du modèle anglais : machines à vapeur, emploi du coke dans les fonderies à la place du charbon de bois, apparition des chemins de fer (la première disposition législative qui les concerne ne sera prise qu’en 1842).
Mais s’il n’appartient à quelque grande famille, comme les Wendel pour la sidérurgie, les Kœchlin ou Dollfuss pour les filatures de coton, les Schneider ou les Say et leurs émules, s’il n’est sucrier comme Delessert ou drapier comme Cunin-Gridaine, notre bourgeois se contentera d’avoir des intérêts à la Compagnie d’Anzin ou, un peu peu plus tard, à la Compagnie du Nord. Dans l’ensemble, il se fera remarquer plutôt par sa prudence que par son audace.
Il se trouvera plus avisé en consacrant le maximum de ses affaires au négoce. Selon son estimation, la réussite du siècle est celle des bonnetiers de Troyes qui font fabriquer à domicile dans les campagnes ou les petites villes les produits dont ils ont fourni la matière première et qu’ils vendent ensuite une fois manufacturés. Ils évitent ainsi les risques de la grande industrie et, les fabricants à domicile étant leurs salariés, ils perçoivent à la revente d’appréciables bénéfices.
Une seule loi « naturelle » : la loi de l’offre et de la demande
Là est la source de cet enrichissement qui fait la prospérité de la classe bourgeoise : "J'ai vendu un million de sarraus avec un franc de bénéfice : voilà comment je suis devenu millionnaire."
Cette constatation, émanant d’un bourgeois du temps (Colombier– Batteur), résume toute une philosophie. Le bourgeois, celui sur qui repose l’activité économique de la nation, sait qu’il n’y a pas d’enrichissement sans bénéfice, pas de bénéfice sans commerce, pas de commerce en dehors de la loi de l’offre et de la demande.
S’il est pour lui une vérité claire, fondamentale, intangible, c’est celle-là ; en dehors de la loi de l’offre et de la demande, aucun commerce ne peut subsister, toute la vie économique est compromise. Ne fait-elle pas partie d’ailleurs de ces « lois naturelles » qui déterminent toute existence ? C’est dire que, s’il est un point de doctrine sur lequel chacun doive être d’accord et qu’on doive considérer comme inviolable et sacré, c’est bien ce qui touche à la liberté du commerçant. Lors des « funestes ordonnances » de juillet 1830, cette liberté était mise en péril.
Les ordonnances limitantes de Charles X
La troisième ordonnance limite le pouvoir politique de la bourgeoisie
Les commerçants se sentaient visés par la troisième de ces ordonnances qui rayait la patente des impôts comptant pour le cens, donc pour le droit de vote. Notre bourgeois qui aurait été exclu du nombre des électeurs, donc des éligibles, si cette ordonnance avait été maintenue, a pris une part active à ces journées de juillet à côté des polytechniciens et autres gens de sa classe, justement indignés de pareilles atteintes à sa liberté.
La première ordonnance limite la liberté de la presse
Si la troisième ordonnance attaquait la dignité du commerçant, la première suspendait la liberté de la presse. Or, cette presse a pris entre-temps un prodigieux essor. Aussi bien, à travers les diverses affaires qu’il traite, pour son négoce, pour gérer sa fortune et celle que lui a rapportée la dot de sa femme, pour percevoir les fermages de ses propriétés, les loyers de ses immeubles, les bénéfices de diverses sociétés auxquelles il participe et le rapport de ses rentes et actions, notre bourgeois tient-il à son siège au conseil d’administration du journal dont il est l’un des actionnaires considère comme essentiel cet instrument d’avenir qu’est la presse.
La presse comme instrument d’enrichissement et de pouvoir
Quatre ans plus tôt, en 1836, à Paris, à quelques jours d’intervalle, ont paru successivement deux journaux : Le Siècle, puis La Presse, qui inaugurent une ère nouvelle dans ce domaine ; par une manœuvre hardie, Émile de Girardin, qui ne percevait pas un centime lors du lancement de l’opération, a su monter son affaire et promouvoir une presse de type entièrement nouveau à très bon marché (l’abonnement coûte quarante francs alors que celui du Journal des Débats est de quatre-vingts francs par an) ; il capte le lecteur par ses feuilletons quotidiens et surtout en ouvrant ses colonnes aux annonces commerciales.
Une ère nouvelle s’annonce grâce à cette presse largement répandue, par laquelle l’opinion peut être habilement dirigée et qui secondera la diffusion des produits commerciaux.
La presse, notre bourgeois le discerne clairement, va être l’agent le plus efficace de la vie économique étant donné son pouvoir sur l’opinion ; il ne doute pas qu’elle tienne en respect, s’il le faut, la puissance politique adverse ; trente mille abonnés, trois cent mille lecteurs informés chaque matin : un négociant habile sachant utiliser ce canal pour faire vendre ses produits ne saurait négliger pareil moyen ; peu importe au demeurant l’option politique du jour : M. de Girardin a dû s’orienter vers les conservateurs, son prédécesseur, M. Dutacq, qui avant lui a fondé Le Siècle, ayant capté les élus de gauche. Mais notre bourgeois sait d’expérience que La Presse n’hésitera jamais à opter pour la liberté.
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