Tumgik
#tent    party tant  luxurious tents
storeshopping · 3 years
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vivilongstocking · 3 years
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Le jour où j’ai fait le saut de la mort.
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Je quitte enfin la capitale, Lusaka, après quelques dix jours passés là-bas. Mes premières impressions de voyage me ravissent, et – rétrospectivement – j’ai conscience de traverser la période euphorique de ce Tour du Monde. Plus tard en Asie, je connaîtrai une grosse fatigue voire une grosse déprime, et vers la fin et l’Amérique du Sud, ce sera plutôt la nostalgie qui guidera mes pas vers l’inéluctable date du retour. Pour le moment, je profite – toujours incrédule – de chaque instant et quitte mon cocon, le Cha Cha Cha Backpackers, direction Livingstone. Là-bas m’attendent les chutes Victoria, celles qui me font rêver depuis que je suis toute petite. J’ai toujours imaginé le continent comme dépeint dans “l’African Queen” de John Huston, luxuriant et évidemment sauvage. J’étais cependant loin d’anticiper cette verdure insolente, complètement inattendue. La saison des pluies permet aux arbres géants qui m’entourent de s’épanouir de manière colossale et renforce le contraste avec la latérite si caractéristique de l’endroit. J’en viens même à apprécier l’odeur de fraiche humidité sur la terre après ces grosses averses qui me trempent jusqu’aux os, malgré mes deux épaisseurs d’imperméable! Ce soir, je passe ma première nuit du périple dans ma tente, à l’abri des ronflements de dortoirs. Demain, je finirai de parcourir les quelques centaines de mètres qui me séparent de mon but zambien ultime.
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Je les entends, avant de les voir. Le bruit est sourd et couvre toute l’atmosphère, des kilomètres à la ronde.
Au petit matin l’excitation est à son comble et me voilà rapidement dans la navette vers le parc national Victoria. Je les entends, avant de les voir. Le bruit est sourd et couvre toute l’atmosphère, des kilomètres à la ronde. Telle une vague rugissante. Je dévale les quelques escaliers qui me mènent au premier de point de vue et en ai le souffle coupé. Les Makalolo appelle l’endroit “la fumée qui gronde”* pour une raison: je ne vois quasiment rien! Mais mon regard s’habitue et s’adapte, et je finis par percer le mystère de la brume dégagée par l’abime. Epoustouflantes, les chutes sont tellement larges que je ne peux en voir la fin vers la frontière zimbabwéenne. Le Zambèze se déploie sur plus de deux mille mètres à ce niveau! Avec mon pote irlandais du jour, nous décidons de suivre le petit sentier de visite, nous nous photographions dans tous les sens et nous en prenons surtout plein les mirettes entre arcs-en-ciel, fous furieux qui sautent à l’élastique et babouins pacifiques perchés au-dessus de nos têtes. Et à force de déambuler partout pour ne rien en manquer, nous finissons évidemment par arriver là où on n’aurait pas dû. En remontant le majestueux fleuve en amont, nous tombons face à face avec quelques zambiens locaux qui nous proposent rapidement une petite traversée “facile” pour rejoindre une piscine naturelle. Dès le début ce n’est que tentation : d’après notre conversation approximative en anglais et les quelques gestes échangés, j’en déduis que l’expérience se situe sur l’autre rive du bras de fleuve sur lequel nous nous trouvons. A peu près 30 ou 40 mètres à traverser, même pas toute seule, je pense que c’est dans mes cordes… Le seul problème, c’est que je ne vais pas pouvoir immortaliser ce moment: impossible pour moi de franchir l’obstacle mon réflex à la main.
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L’eau monte jusqu’à mi-cuisse et nous pousse en arrière, je n’ose penser à la chute.
Et c’est parti, agrippée bras-dessus bras-dessous à mes acolytes, face au Zambèze et dos aux chutes… C’est flippant. Le courant est monstre. Il y a aussi un barrage un peu plus haut mais personne ne sait quand exactement il est ouvert! Trop tard, je suis déjà à la moitié du chemin. L’eau monte jusqu’à mi-cuisse et nous pousse en arrière, je n’ose penser à la chute. Ils nous ont fait enlever nos chaussures et nous évoluons sur une sorte de micro-mur en ciment immergé, sur lequel nous devons marcher en version pas-chassés. C’est dur, ça fait mal, c’est intense et ça fait vraiment peur. Bien sûr, je râle, je veux rebrousser chemin, je sens que j’ai fait une grosse connerie mais l’adrénaline me porte jusqu’au bout. C’est fait, nous sommes de l’autre côté! Malheureusement ma joie est courte car nos guides nous apprennent dans la foulée que nous ne venons à peine de parcourir qu’un tiers du parcours. J’enrage. C’est donc maintenant parti pour quelques 300 mètres de traversée paniquante sur des rochers acérés et glissants, toujours sans chaussures (décidément l’idée m’échappe)… Je suis plus qu’à la peine, la faute à ma condition physique déplorable! Je suis lente et je finis par me décourager. Mais pas de souci, Jeremiah – le guide – me pousse de force dans l’eau et ne me demande plus que de flotter. A partir de maintenant, il me traîne ainsi toute la route, tirant mon poids mort depuis les grosses caillasses. Forcément c’est beaucoup plus facile de la sorte et il connaît vraiment le fleuve comme sa poche. Après une bonne heure de traversée, nous atteignons enfin le sommet des chutes. Je suis à leur verticale et la peur du vide devant ces quelque centaines de mètres de hauteur est saisissante. Je me tiens un peu à l’écart, pas trop rassurée et surtout épuisée, vraiment.
A la crête de la chute, un simple renfoncement dans l’alignement des rochers laisse place à un plongeoir naturel…
Il nous reste 50 mètres jusqu’à la piscine et je dois me remettre à marcher… Personnellement, j’ai déjà eu mon lot d’émotions fortes et je refuse d’avancer plus avant. Je pique littéralement ma crise sur mon morceau de roc mais comme tout le monde s’en fout, je suis obligée de suivre. Et nous y voilà enfin à cette piscine de l’ange. A la crête de la chute, un simple renfoncement dans l’alignement des rochers laisse place à un plongeoir naturel qui vous envoie si vous le souhaitez quelques dix mètres plus bas, dans une cuvette, à pic du reste de la cascade. Forcément, faut pas se louper! Et là, je me sens moyennement capable de tenter le coup. Mes camarades, eux, s’en donnent à cœur joie pendant un bon quart d’heure. Et puis j’en ai marre d’attendre, et comme prise par une envie irrépressible je me présente à mon tour sur le bout de caillou-tremplin, demande où je dois sauter pour ne pas risquer trop gros, et me lance enfin sans plus réfléchir. Je ne comprends pas encore pourquoi j’ai décidé de sauter à ce moment précis. J’ai peur, je crie mais je suis en vie au retour à la surface. Elle est bonne, mais je ne m’éternise pas. Je m’agrippe là où il faut pour escalader les rochers salvateurs et me retrouve bientôt en sécurité au sommet. Il n’y aura qu’un saut, ça me suffit! J’ai encore la tremblote sur le chemin du retour et me laisse à nouveau trainer dans l’eau par mon guide. L’aller-retour nous aura pris plus de deux heures et demi. Physiquement, ce fut dur. Mais que l’on se sent vivant après une telle expérience!
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Je chéris souvent ce moment inoubliable…
Presqu’autant que quand on se fait lécher nonchalamment la main par une lionne en manque d’affection… Car à quelques encablures des chutes, il existe un Programme de conservation réputé: ALERT* créé après la chute vertigineuse de la population des félidés africains de 80% en 30 ans. Son objectif est de remettre en liberté des lions élevés en captivité, dans des réserves semi-sauvages (en général des surfaces de plus de 200 hectares protégées, où se mêlent les lions et d’autres espèces de la brousse). Les petits qu’ils auront alors grandiront en dehors de toute interaction humaine et repeupleront la savane africaine une fois assez âgés. C’est là-bas que je rencontre les soeurs Temi et Tswana. La première est la plus dominatrice, curieuse, espiègle, tandis que la seconde observe souvent sa sœur, moins assurée. Je les accompagne régulièrement explorer le monde qui les entoure, où elles découvrent l’eau, le vent, l’escalade et le gibier pendant les quelques jours que je passe sur leur site en tant que bénévole. Il faut croire qu’elles se font à ma présence et Temi m’adoube rapidement d’une léchouille convenue comme pour m’accepter dans leur sororité. Emotion. Je chéris souvent ce moment inoubliable, cette langue immense et râpeuse sur le dos de ma main, cette sensation que je ne revivrai très probablement jamais… Je repense aussi à mes nuits au milieu de la brousse, encerclée par des hippopotames rôdant dangereusement autour de mes pénates. Si près que j’ai peur de bouger et de me faire charger, si près que je me retiens presque de respirer pour ne pas me faire repérer. L’Afrique est ainsi, plus grande que nature. Généreuse aussi, surtout lorsque les douaniers zambiens me laissent re-franchir la frontière sans visa depuis le Zimbabwé. Autant d’aventures, intenses certes, peut-être trop spontanées et qui poussent malgré tout à se calmer sans tout risquer. Autant d’enseignements précoces importants de ce périple, qui m’ont appris rapidement à mieux voyager.
* Découvertes en 1855 par un explorateur écossais, David Livingstone, les Chutes Victoria sont désignées sous le nom de Mosi-oa-Tunya, («la fumée qui gronde») par la population locale.
* ALERT = African Lion & Environmental Research Trust – pour devenir bénévole ou faire un don, rendez-vous sur la page de l’organisation lionalert.org (page en anglais). Vous pouvez même suivre les aventures de Temi et Tswana à la télévision avec la série documentaire Lion Country d’Itv: https://www.imdb.com/title/tt4168790/
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INFOS PRATIQUES
On dénombre pléthore d’activités autour des Chutes Victoria: des survols en montgolfière au rafting, en passant par le saut à l’élastique et les croisières sur le fleuve. De nombreuses propositions de bénévolat auprès de la population et de la faune et flore locales sont également disponibles.
OU DORMIR
Il existe de nombreuses auberges de jeunesse de qualité à Livingstone, choisissez Jollyboys ou Victoria Falls Backpackers et comptez 20 à 40 euro par nuit pour un lit en dortoir ou une chambre privée. Vous paierez évidemment moins cher si vous campez, et les navettes vers les chutes sont gratuites.
Vous trouverez également beaucoup d’hôtels en ville ou proche du fleuve Zambèze à tous les prix, l’offre est très complète sur cette destination avec des hébergements propres et ayant fait leurs preuves depuis de nombreuses années.
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  Le jour où j’ai fait le saut de la mort. Je quitte enfin la capitale, Lusaka, après quelques dix jours passés là-bas.
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universallyladybear · 5 years
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swedishparrot · 7 years
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Ayutthaya est une ville étrange, entièrement entourée d’eau, un île-ville, à moins que ce ne soit le contraire. Du nord descendent deux rivières, la Lopburi (แม่น้ำ ลพบุรี) et la Pa Sak (แม่น้ำป่าสัก), du nord-ouest descend la majestueuse Menam Chao Phraya (แม่น้ำเจ้าพระยา), le fleuve sur lequel est assise Bangkok, séparant la mégalopole de l’ancienne capitale Thonburi, beaucoup plus discrète et charmante avec ses khlongs (คลอง) sillonnant les quartiers pauvres et luxuriants de végétation. La Chao Phraya contourne la ville par l’ouest, la Pa Sak par l’est, encerclant la ville en une forme de poche où, au sud, elles se rejoignent ; la Chao Phraya prend le dessus et descend seule vers la mer. Un canal a été creusé au nord, reliant les deux rivières et transformant ainsi la ville en île, l’eau enserrant dans ses bras l’antique ville royale. En y regardant de plus près, on se rend compte à quel point le réseau fluvial est éminemment plus compliqué, ce qui n’a pas jamais vraiment facilité le travail de nos cartographes occidentaux lors des premières tentatives aux XVIIè et XVIIIè siècles.
Source OpenStreetMap
Ayutthaya – Isaac de Graaff 1690
Ayutthaya – John Andrews 1771
Ayutthaya – François Valentijn 1724
Ayutthaya – Jean de Courtaulin de Maguellon 1686
Ayutthaya – Simon de la Loubère 1691
Au pied de l’hôtel baignant ses pieds dans la rivière sacrée, une petite barque motorisée, en fait un long-tail boat (Ruea Hang Yao – เรือหางยาว) couvert attend l’heure du départ pour visiter la ville par les rives. Il est 16h00 et la lumière commence déjà à revêtir ses habits de nuit. Lorsque je reviendrai, l’heure dorée éclatera de mille feux. En parcourant la vieille ville dans le skylab de Mr Sihn, je découvre la vie du quartier dans lequel je vis et notamment U-Thong Road, qui a ce mérite de faire tout le tour de la ville.
Vendeurs de fruits, échoppes roulantes proposant des plats à emporter, réparateurs de 2 roues constituent la majorité de ce qu’on peut trouver ici. La plupart des commerçants sont musulmans, ce qu’on peut remarquer par leur façon de s’habiller ou l’absence des sempiternels portraits des ancêtres dont les bouddhistes décorent leur intérieur, ou des petits temples rouges enturbannés par la fumée épaisse des commerces chinois. On trouve ici les Roti Sai Mai (โรตีสายไหม), la spécialité d’Ayutthaya. Pas facile de comprendre ce que sont ces sacs gonflés d’air, contenant des fils enchevêtrés de toutes les couleurs et alignés sur les étals. C’est en réalité du sucre candi, ou plutôt comme des fils de barbe-à-papa colorés et parfumés à tout ce qu’on veut (banane, noix de coco, fraise, pistache – arômes artificiels bien évidemment…) que l’on mange dans des petites crêpes qui peuvent elles-mêmes être parfumées. Pour ma part, j’ai goûté des crêpes à la pistache avec du sucre candi aromatisé à la fraise. Rien de transcendant ; ce n’est que du sucre parfumé, mais je ne suis pas si étonné que ça de voir le succès que ça peut avoir auprès des Thaïs, très friands de sucre en général (surtout dans les sodas qui sont horriblement plus sucrés qu’en France).
Pour l’instant, me voici parti sur la petite barque propulsée par un bruyant moteur de voiture monté sur une perche. Sur les rives de la Chao Phraya, on peut voir les maisons construites sur pilotis, les pieds dans l’eau la plupart du temps lorsque le terrain le permet. Si beaucoup ont une apparence assez misérables, rafistolées de plaques de tôle branlantes et de planches pourries, recouvertes de bâches en plastique bleu, d’autres sont très bien entretenues, en bois le plus souvent, peintes dans des couleurs vives et équipées de petites terrasses où sèche tant bien que mal le linge domestique. L’eau trouble de la rivière charrie des îles entières de jacinthes d’eau qui pullulent tranquillement malgré les remous des embarcations. Le bateau sur lequel je me trouve fait le tour de la ville dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. A l’horizon, un temple immense se dessine, avec ses toits à plusieurs étages pointus, juste sur la rive, à l’embouchure de la Pa Sak et de la Chao Phraya. C’est la silhouette du Wat Phanan Choeng Worawihan (วัดพนัญเชิง), dont le plus haut bâtiment est presque deux fois plus grand que tous les autres. L’étrave tout en finesse se taille une route dans les îles de jacinthes, qui ne chavirent pas pour autant. Lorsque j’arrive sur le quai, une petite dame rondouillarde dans sa guitoune perçoit un droit d’entrée pour l’accès au temple, par lequel on peut par ailleurs accéder gratuitement en arrivant par la terre et indique une direction en bredouillant quelques mots dans un anglais mâché que je ne saisis pas vraiment, mais j’imagine que le plus haut des wat est la direction qu’il faut suivre.
Je remonte la rivière avec l’espoir d’une promesse qui sera tenue. Il fait encore très chaud et ma chemise continue d’absorber en silence la sueur qui coule dans le creux de mes reins. J’ai la sensation d’arpenter des lieux en dehors du temps, malgré la foule qui se rend ici dans l’optique de servir les icônes de leur religion, ou peut-être d’obtenir des grâces que leur vie simple ne leur offre pas. Il règne une sorte de fébrilité discrète et de joies délicates d’être ensemble en famille.
Une foule de Thaïs se presse devant l’entrée où tout le monde converge vers une porte étroite qui ne laisse passer que deux ou trois personnes à la fois. On perçoit une ferveur intense, un je-ne-sais-quoi de profondément fébrile à l’idée d’entrer dans ce lieu qui n’a d’exceptionnel que la taille du Bouddha doré qui se trouve assis sous la voûte du toit, dont les genoux font deux fois ma taille. Malgré son aspect rutilant, c’est un Bouddha beaucoup plus vieux que la plupart de ceux qu’on peut voir en Thaïlande, puisqu’il date de 1324 ; il porte le doux nom de Luang Pho Tho (หลวงพ่อโต) pour les Thaïs et Sam Pao Kong (ซำเปากง) pour les Thaïs d’origine chinoise et se trouve être le protecteur des marins (d’eau douce, en l’occurrence). Les Birmans l’ont plusieurs fois saccagé, mais il a été restauré pour revêtir l’apparence majestueuse qu’on peut voir aujourd’hui.
Les Thaïs le contournent par la gauche, comme il se doit, avant de frapper la peau d’un immense tambour dont je ressens les vibrations dans la poitrine, et qui est censé porter chance. Derrière le grand homme doré, des femmes s’affairent à plier les kilomètres de toile couleur safran que les fidèles offrent en signe de vénération. Toute une équipe est dédiée, par un système ingénieux de cordes, à dévêtir le prince pauvre pour le revêtir de linge propre et d’un orange éclatant. Tout se passe dans une ambiance à la fois bon-enfant et respectueuse. Je m’amuse plus à observer la piété des fidèles devant cette gigantesque masse si imposante qu’on n’arrive pas en voir toutes les parties au niveau du sol plutôt que m’extasier devant un Bouddha qu’il est difficile d’appréhender. Les enfants s’amusent à faire résonner le tambour le plus fort possible.
Dehors, un petit temple peint en rouge arbore des idéogrammes chinois sous lesquels brûlent des centaines de bâtons d’encens. C’est un temple bouddhiste chinois, apparemment très fréquenté. Je retourne vers la bateau qui m’attend au ponton, où une troupe de Thaïs s’amuse à jeter par poignées entières des boules de couleurs aux énormes poissons-chats qui se chevauchent pour attraper leur nourriture. Plus qu’une habitude, c’est un geste sacré de nourrir ces poissons (Pangasianodon gigas) dont les plus gros spécimens dépassent le mètre. Il paraît qu’un pêcheur a sorti de l’eau un spécimen mesurant plus de trois mètres pour 293 kilos. On les voit pulluler ici, mais aussi en plein Bangkok, et leur nombre paraît si impressionnant qu’il masque totalement le fait que c’est une espèce en voix d’extinction, victime de la surpêche. Certains de ces poissons n’hésitent pas à se monter les uns sur les autres pour attraper la nourriture, montrant parfois leur ventre blanc rebondi au ciel… Le fait de savoir ces fleuves majestueux infestés de ces gros poissons les rendent un peu inquiétants ; même si ces bêtes sont loin d’être carnivores, l’idée de les côtoyer, moi qui adore l’eau mais uniquement lorsque je suis dessus et non dedans, me donne des sueurs froides.
La petite embarcation remonte la rivière Pa Sak vers le nord, à contre-courant, le long des rives dont certaines sont plantées de petits temples entourant un chedi blanc, solitaire, se découpant sur le ciel couleur de miel. Des barges pourrissent, encore attachées à leur ponton, parmi les jacinthes d’eau qui envahissent tout, au pied de maisons en bois dont les terrasses laissent libre cours à la flânerie de ceux qui s’y prélassent. Des entrepôts en bois doit les pieds baignent dans la rivière semblent sur le point de s’écrouler au premier coup de vent, mais les Thaïs sont des bâtisseurs de premier ordre, et même si leurs constructions ne sont pas faites pour durer dans le temps, elles sont au moins prévues pour durer le temps de leur utilisation. Rien de plus, raison pour laquelle on peut voir des usines entières sombrer dans l’eau des marécages, désormais inutiles et inutilisables, leur longues cheminées de briques daignant encore pointer leurs doigts effilés vers le ciel.
Sur les berges, on peut voir des éléphants longer la rive en se balançant comme le font les animaux en captivité ; des chaînes entravent les pieds massifs de ces énormes pachydermes qu’on contraint à rester au même endroit pour le spectacle, mais cette exhibition me désole. Je préfère ne rien retenir de ces moments qui ne me sont pas destinés. Je fais signe au nautonier de continuer son chemin et je m’engouffre dans ce canal plus étroit qui a été creusé au nord pour relier les deux rivières, entourant ainsi la vieille ville d’eau pour en faire une île, un immense navire protégé naturellement du reste du pays. L’embarcation file jusqu’à rejoindre un lieu beaucoup plus boisé, où les terrasses de petits restaurants coquets, déjà fréquentés par ceux qui ne travaillent plus, avancent dans l’eau et la surplombe.
Un immense chedi blanc et doré (Chedi Sri Suriyothai) se profile sur la gauche ; c’est l’unique vestige d’une résidence royale, portant le nom d’une reine du Siam ayant vécu au XVIè siècle, icône d’un certain nationalisme un peu déplacé. La moitié supérieure de monument, entièrement recouverte d’or, resplendit dans l’air du soir, renvoyant la lumière du soleil alentour, tel un phare immobile au pied de la rivière sacrée.
Tandis que le soir est prêt à tomber, que le soleil plonge vers l’ouest, il reste suspendu dans l’air vaporeux au-dessus de la silhouette pas tout à fait inconnue d’un grand temple, le ceignant d’une couronne de lumière d’ambre. Je dis pas tout à fait inconnue car je me trouve face à un temple, le Wat Chai Watthanaram, qui peut faire penser aux ombres dansantes des temples khmers d’Angkor, même si celui-ci est plus tardif. Son prang principal, construit dans le style Khom, est un chef-d’œuvre d’architecture qui culmine à 35 mètres de haut. Sa construction géométrique lui donne fière allure et les huit chedi qui l’entourent forment une promenade un peu désolante, car les statues de Bouddha qui la jonchent sont elles aussi meurtries, décapitées depuis l’invasion des Birmans.
Le temple n’a été restauré et rouvert au public que depuis 1992. Les plus grandes statues ont été restaurées elles aussi, surmontées de têtes en ciment inexpressives et sans charme. Certaines des statues servent de reposoirs à oiseaux qui ne se gênent pas pour s’oublier sur les épaules du Prince Siddhartha. La brique affleure partout, seuls quelques chedi arborent encore des traces de stuc blanc, entre les mauvaises herbes qui poussent dans l’appareillage de briques branlantes. L’air sent bon la fraîcheur des marécages, un je-ne-sais-quoi de végétal chaud, de terre chargée d’histoire, enrobée de la chaleur moite d’une fin de journée au cœur de la Thaïlande. Le soleil se cache derrière une brume épaisse qui donne au paysage une couleur intemporelle dans une fin de journée qui s’étire dans un soir éternel. Le disque orange se montre dans toute sa beauté, illuminant les pierres abandonnées dans un décor de fin du monde…
La terrasse de la suite Okun, hôtel iuDia, ma chambre…
Le long-tail boat me ramène au pied de l’hôtel tandis que le soleil a fini par s’évanouir derrière l’horizon. La silhouette étirée du Wat Phutthaisawan semble attendre la nuit dans son écrin arboré. Le corps fourbu, la peau cuite par un soleil que je n’ai même pas vu, je profite des derniers instants du jour pour plonger dans la piscine de l’hôtel depuis laquelle je vois les premières lumières s’illuminer sur le temple de l’autre côté de la rivière sacrée. C’est un moment unique, un de ceux que l’on aimerait voir durer toute une vie et qui ne sont au final que les touches finales qui servent à donner au voyage une couleur que les rudes instants de la vie n’arrivent pas à effacer. Tandis que je flotte sur l’eau claire de la piscine, les yeux tournés vers le ciel, je me remémore cette chaude journée, ma première en Thaïlande dans ce nouveau périple, passant mes doigts sur ma poitrine libre comme pour mieux laisser mon cœur se repaître de ce pays aux accents magiques. J’entends l’appel du muezzin, quelque peu incongru dans un pays où les bouddhistes sont rois, en regardant la rivière dont je me demande si le courant n’a pas changé de sens depuis ce matin…
Le soir venu, je remonte U-Thong road vers les restaurants qui flottent sur la rivière et jette mon dévolu sur une adresse que je ferai tout pour oublier, le Saithong River. Ce n’est ni plus ni moins qu’une cantine sans charme dans laquelle je pensais pouvoir trouver mon compte, mais ce n’est qu’une usine à touristes où les serveuses poussent à la consommation en remplissant mon verre de bière à chaque gorgée, où la nourriture est grasse et sans raffinement ; ambiance pour Chinois affairées à se remplir de whisky coca fascinés par un guitariste folk qui reprend des standards occidentaux pour éviter le dépaysement. Je me remplis l’estomac et quitte l’endroit avec empressement pour rejoindre la terrasse de ma chambre sur la rivière ; ici il fait calme et doux, seul le clapotis de la rivière vient perturber mes doux rêves d’Ayutthaya, et la bière achetée au 7/11 prend tout de suite une autre saveur…
Je m’endors en me demandant ce qu’il peut y avoir au cœur de tous ces prang…
La Chao Phraya à Ayutthaya sous une lumière d’ambre Ayutthaya est une ville étrange, entièrement entourée d'eau, un île-ville, à moins que ce ne soit le contraire.
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