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#serge bouchard
dandanjean · 7 hours
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Être vivant
Quelle place l’être humain occupe-t-il véritablement sur l’échelle du vivant et dans la nature? Dialogue entre le journaliste et essayiste Aymeric Caron, auteur de Vivant, qui en appelle à une nouvelle classification du vivant, et l’anthropologue Serge Bouchard, auteur des Confessions animales – Bestiaire I et II, ouvrages qui mettent en scène le dialogue millénaire entre les humains et les…
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crepuscule-pourpre · 2 years
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nofatclips · 4 months
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Le sujet, a film by Patrick Bouchard
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badmovieihave · 9 months
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Bad movie I have The Whole Nine Yards 2000
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pallas-cat · 2 years
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just saying
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this is how a book summary should go
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ruemorinpointcom · 5 months
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Palmarès des actions pour la revitalisation du centre-ville
La table est mise pour amorcer une revitalisation du centre-ville de Chicoutimi Continue reading Untitled
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lepassagerdelanuit · 2 years
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En paix avec mes 85 ans faits. Publié par Christian Boulin
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Je ne suis pas de ceux qui voient la vieillesse comme un naufrage. Certes, je suis passablement gâté par la vie, Je n'ai pas de maladie incapacitante ou souffrante. Pour le reste, je pense qu'on a pas mal la vie qu'on s'est faite.
Je vieillis, c'est indéniable. Mon CORPS s'use. Mon cœur s'emballe. Ça grince de partout. Ça démarre plus lentement. Ça récupère moins vite. La mémoire oublie. Les mots se dérobent. Les oreilles se durcissent. La démarche se désapprend. Le corps ramollit et se dessèche. Le sexe ne répond plus à la libido qui persiste. Le monde rétrécit et s'éloigne. La vie ralentit et le temps s'accélère. L'équilibre se fragilise. Tout se fragilise. L'heure du départ se rapproche. On refait à l'envers le chemin vers le temps où on n'était pas et où on ne sera plus.
Mais la CONSCIENCE, elle, est plus vive, plus profonde, plus compréhensive avec l'âge. Le regard s'affine. Le cœur s'attendrit. L'âme s'éveille. Le silence parle. Serge Bouchard avoue : « Plutôt que de chercher la vérité du monde, j'ai poursuivi sa beauté. ». À la fin, c'est en effet la beauté qui l'emporte. C'est la Vie. C'est l'Univers. C'est le Soleil, les arbres, le fleuve. C'est le calme et l'intimité de la maison, la douceur du sommeil, la joie de vivre d'un petit-fils, la sécurité de la vieillesse, mon « Petit pays » au « Doux pays » du Kamouraska.
J'ai longtemps pensé que je ne dépasserais pas 65 ans. Puis, j'ai allongé la mise jusqu'à 75 ans. Me voilà parvenu à 85 ans. Et je me surprends à envier Guy Rocher qui vient d'en faire 97 avec la voix sûre et les idées claires. C'est un privilège de pouvoir vieillir.
La vieillesse est la saison des bilans , l'inévitable « plongée en soi-même et repli de survivance» (Serge Bouchard): l'âge nous oblige à réinterpréter nos vies, à en chercher le fil conducteur, à en peser les réussites, les ratés, les blessures, les moments-charnière; à faire le ménage, à prendre des distances, à transmettre à ceux qui restent et qui viennent ce qui mérite de l'être, C'est pourquoi j'écris, chez moi, de source, en attendant, et vous qui me lisez m'aidez à me sentir vivant.
Comme un bateau qui quitte le port, les vieux se détachent, s'éloignent. Les souvenirs deviennent leurs trésors les plus précieux: ils remplacent ce qui ne peut plus être. Leurs descendants relaient derrière eux leur empreinte dans la chaîne de l'ADN et du temps.
Vieillir n'a rien d'effrayant quand on prend conscience de quoi nous sommes faits.
Nous sommes fait de la matière de l'Univers, nous sommes fils de la Terre et du Ciel, nous sommes poussière d'étoiles, nous sommes issus de cette fureur de vivre qui pousse l'énergie cosmique à s'organiser, à vivre et à penser (Hubert Reeves).
Nous ne naissons pas : nous avons toujours été: nous apparaissons, comme l'herbe au printemps,
Nous ne mourrons pas : nous serons toujours : nous disparaissons, comme l'herbe à l'automne.
Nous sommes faits de la substance, de l'énergie et du mouvement de l'Univers. Entre l'hiver infini où nous n'étions pas et l'hiver infini où nous ne serons plus, nous vivons le temps d'un printemps, d'un été et d'un automne éphémères, nous sommes des étoiles filantes, trois petits tours et on s'en va, nous laissons une empreinte : nos enfants, nos amours, nos oeuvres.
Nous sommes, l'instant d'une vie, la Conscience de l'Univers. Les dieux, les récits et les philosophies qu'on a inventé pour le dire ne valent pas un coucher de soleil, un arbre vivant, la naissance d'un animal ou d'un enfant, l'embrasement de deux corps, la permanence d'un attachement, le dévouement d'un travailleur, le courage du peuple... et la cruauté de ses maîtres. La beauté du monde a réponse à tout.
Vieillir et mourir, comme le soir d'un beau jour : demain est un autre jour''.
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anisioluiz · 3 months
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Serge Bouchard et l’empathie
Serge Bouchard nous entretien sur l’empathie. Un regard lucide et avec humilité. Tout n’est pas sous contrôle.Serge Bouchard et l’empathie
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oreilletendue · 8 months
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Le zeugme du dimanche matin et de Serge Bouchard
«D’abord, cela [le baseball] se joue en pyjama. Bien sûr, avec les années, la mode est passée au collant, pour le plus grand plaisir des voyeurs et des voyeuses qui ne tarissent pas d’éloges sur les fesses des frappeurs ou sur les cuisses des voltigeurs. Mais qu’à cela ne tienne, l’uniforme de ces athlètes n’a rien à voir avec les accoutrements guerriers des joueurs de football ou de hockey.…
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«Ce pays demeurera toujours incompréhensible à qui n’apprécie pas le lien profond unissant la neige et le sable. Nos ancêtres ont toujours côtoyé l’intolérable et ont survécu dans un milieu qui n’a jamais été conçu pour la vie humaine. Quelques arpents de neige, un vaste désert de neige, au moins, cette fois, Voltaire avait raison. Les gens d’ici ne devraient plus jamais se croire français, latins, ni même nordiques ou américains. Leurs véritables interlocuteurs, les seuls amis en mesure de vraiment les comprendre devraient tout naturellement se retrouver chez les Touaregs ou parmi les Bédouins» (Bernard Arcand, dans Bernard Arcand et Serge Bouchard, «La neige», dans Du pâté chinois, du baseball, et autres lieux communs, Montréal, Boréal, coll. «Papiers collés», 1995, p. 55-70, p. 64).
Au début du vingt-troisième chapitre de Candide, «Candide et Martin vont sur les côtes d’Angleterre; ce qu’ils y voient», Candide discute avec Martin sur le pont d’un navire hollandais : «Vous connaissez l’Angleterre; y est-on aussi fou qu’en France ? — C’est une autre espèce de folie, dit Martin. Vous savez que ces deux nations sont en guerre pour quelques arpents de neige vers le Canada, et qu’elles dépensent pour cette belle guerre beaucoup plus que tout le Canada ne vaut.»
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hobodiffusion · 1 year
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★ 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
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★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
L'Enjeu féministe des retraites Christiane Marty, La Dispute
La Planète brûle Pas de révolution climatique sans révolutions sociales David Camfield, Les Nuits rouges
Le Théâtre carcéral Relations à soi et aux autres dans un monde sans commun Alexia Stathopoulos, Éditions du commun
L'Industrie du complotisme Réseaux sociaux, mensonges d'État et destruction du vivant Matthieu Amiech, La Lenteur
Les Psychanalystes et le travail Lise Gaignard, La Dispute
Censored 08 Apocalypticotrashecocidocious Collectif, Lab éditions
Vers la normativité queer Pierre Niedergang, Blast
Sortir du rang La Place des femmes en agriculture Julie Francœur, Remue-ménage
Women's Lands Construction d'une utopie (Oregon, 1970-2010) Françoise Flamant, iXe
L'Écriture de Monique Wittig À la couleur de Sappho Catherine Écarnot, iXe
Maternités subversives Maria Llopis, Goater
Une petite histoire de l’anarchisme Marianne Enckell, Nada
Une histoire personnelle de l'ultra-gauche Serge Quadruppani, Divergences
Mathieu Mestokosho, chasseur innu Serge Bouchard, Dépaysage
Quatre-vingt-neuf Georges Lefebvre, Éditions sociales
Être femme Virginia Woolf, La Variation
La Flemme Michèle Perrein, Les Lapidaires
Pente raide Marvic, Ici-Bas
L’Héritière de Keroulaz Marc Gontard, Goater
Onésime Francis De Miomandre, Les Lapidaires
Cerf, mon frère Juan Pablo Roncone, L'atinoir
Mo’ Meta Blues La musique selon Questlove Ahmir « Questlove » Thompson, BPM & Libertalia
The Velvet Underground Le Son de l'excès Massimo Palma, La Variation
Lacan écoute les Cramps & autres pulsions parallèles László, La Variation
Hollywood propaganda Final Cut Matthew Alford, Éditions critiques
« La question de la retraite des femmes n’est pas une question « spécifique » de celle des retraites. Au contraire, la réflexion sur l’avenir des retraites gagne à se baser sur le modèle de société souhaité qui intègre l’exigence d’égalité. » Christiane Marty, L'Enjeu féministe des retraites, La Dispute.
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dandanjean · 2 months
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Mammouths laineux
Je suis un grand-père du temps des mammouths laineux, je suis d’une race lourde et lente, éteinte depuis longtemps. Et c’est miracle que je puisse encore parler la même langue que vous, apercevoir vos beaux yeux écarquillés et vos minois surpris, votre étonnement devant pareilles révélations. Cela a existé, un temps passé où rien ne se passait. Nous avons cheminé quand même à travers nos propres…
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skillstopallmedia · 1 year
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In the time of hurried thought | Jean-Philippe Pleau smiles at the immensity of the almost
“Taking a subject, turning it around, questioning it in all ways, then saying to yourself at the end that we didn’t find an answer, before, it’s something that bothered me”, remembers Jean-Philippe Pleau, laughing at what, in contact with Serge Bouchard, has become for him a modus operandi, almost a way of life. In the time of hurried thoughthis first book, celebrates this “combat sport without…
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blogtbear · 1 year
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Notre ancêtre l'ours
Notre ancêtre l’ours
Dans un recueil d’essais de notre anthropologue et essayiste québécois Serge Bouchard, T-Bear a enfin trouvé la confirmation qu’il est du même sang que l’ours son totem.. tout comme vous d’ailleurs. Plutôt que de se lancer dans des explications confuse, il va vous régaler en partageant tout simplement l’humoristique pensée de l’auteur lui-même. L’ourse L’homme ne descend pas du singe, il…
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mhraymond · 3 years
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J’avais justement ce magnifique recueil sur ma table de chevet 😢 Je me laissais bercer par les histoires, les réflexions, la douceur et surtout la grande sagesse de Serge Bouchard 🤎 Je vous recommande fortement ce livre, son plus récent paru en mars dernier, duquel je partage cette citation:
«Dans le langage de l’éternité et du point de vue de l’infini, le mot longévité n’existe pas. Nous savons qu’un jour ou l’autre le rideau tombera. Mais en attendant, répétons. Chaque matin nouveau est encore plus précieux que celui d’hier, appelons cela, avec Romain Gary, «la promesse de l’aube»...» 💫
11/05/21
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savantefolle · 2 years
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A Short Winter Tale for a Short Day
A Short Winter Tale for a Short Day, an #upbeat urban Christmas tale. At the time I wrote it, #SergeBouchard, a dear friend of all poets and ex-trucker, had just left us. #HolidayStory
Special Delivery Clang! I was picking at the stubborn ice in the garage entrance. Again. Clang! Clang! My shovel made such a racket that I was certain the whole neighborhood had heard. At least, those neighbors who didn’t go out for work, which was, a lot of ’em this peculiar, cursed year. The current temperature danced around a balmy zero Celsius, but the wind had frozen everything…
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