Tumgik
#sans que je ne pense a quoi que ce soit
Text
rant 2.
et si vous commenciez par laisser une chance aux petits forums ? au hasard hein. j'trouve qu'on se plaint beaucoup. qu'on parle énormément de "mouchoirs" qui ne tiennent pas plus que deux ou trois mois... mais, aux dernières nouvelles, ce qui fait un forum n'est pas uniquement son staff mais aussi ses membres. non ? j'doute sincèrement que la majorité des admins qui décident de fermer leurs forums le font par gaieté de cœur. ça fait plaisir à qui les inscriptions compulsives et les disparitions soudaines au juste ? personne hein. un jour tu penses voir ton forum décoller, puis finalement tu te rends compte que les gens se sont presque tous barrés et pour des raisons complètement obscures (X a vu Y se barrer alors, partons tous! (souvent, c'est ce schéma là parce qu'un départ ça en entraîne généralement d'autres... ou plombe complètement la motivation générale)). t'es là, tu fais tes mises à jour, t'espères convaincre des petits curieux avec tes nouveautés... mais rien. rien ne se passe. l'effet boule de neige marche dans un sens comme dans l'autre, et moralement j'vous jure que c'est difficile à encaisser. le monde attire le monde, c'est bien connu. sous prétexte que l'activité n'était peut-être pas celle que vous attendiez, vous quittez le navire (et la plupart du temps sans un mot) ? alors que vous auriez pu apporter votre aide ?... aussi petite soit-elle ? elle aurait pu changer beaucoup de choses. parfois, il suffit d'un rp, d'un lien ou d'un prélien pour faire décoller un forum. qui vous dit qu'y'a pas une personne active et super sympa sur ces forums qui n'attend que ça ? de vous trouver pour jouer ?
j'trouve ça triste honnêtement. cessez le plus possible de vous inscrire quelque part sur un coup de tête ou si vous n'avez pas pour but de vous investir UN MINIMUM, par pitié. y'en a marre des fiches terminées et validées et des gens qui ne se connectent plus juste après. également, ne vous plaignez plus de la fermeture d'un forum quand votre comportement sur celui-ci a tout sauf aidé à sa prospérité. attention, je n'ai pas pour but de vous faire culpabiliser, chacun ses obligations et ses contraintes, là n'est absolument pas le problème. par là j'entends simplement de ne pas se sortir les doigts du cul pour demander des liens, participer aux intrigues, ouvrir des rps avec les nouveaux. évidemment qu'on va pas te forcer à prendre plus de rps/liens que tu ne peux en gérer irl, c'est pas non plus le problème. mais bordel, le strict minimum quoi. vous êtes combien à patienter sagement que ça vous tombe dessus ? exactly. j'trouve ça juste fort de café et culotté pour certains de vous pointer sur les messages de fermeture avec des petites larmes de crocodiles alors qu'on ne vous a pas vu vous connecter pendant trois semaines consécutives sans ralentissement ou absence (ou pas vu rp/demander des rps/liens depuis que vous êtes inscrits tout court).
thank lord, il y en a encore pour prendre les devants... mais ça se perd de plus en plus (on se demande pourquoi mdr... AH SI, la réponse c'est que plus personne ne veut s'engager par peur de se faire ghoster, ouais on en arrive là, un bon gros cercle vicieux........)
vous pouvez changer les choses, sachez le. il suffit d'un geste de votre part pour en encourager d'autres.
cessez les comportements de merde.
pitié.
78 notes · View notes
fieriframes · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
[It's nothing less, nothing less between the worldly and the one self. All this breathing and the truth that's in your last breath. Don't it make you want to cry?]
VII - Daphnis
Paddington a pris une profonde inspiration puis m'a lu la traduction.
"Plongez dans les sept mers." 
J'étais prêt, mais où était la mer ?
Instinctivement, je savais que cette phrase devait faire allusion aux sept chansons. Les sept mers du son. Depuis le tout début, j'avais le sentiment que quelque chose s'y cachait. Je devais juste plonger et le trouver, quoi que ce soit. Le problème était que j'ai déjà connu ces chansons par cœur. Il n'y avait rien d'autre à découvrir. Mais peut-être que j'ai juste besoin de regarder de plus près. Il existe toujours plus de détails. Toujours un autre monde dans le monde. Les réponses étaient là quelque part.
L'enquête qui a suivi a été compliquée et ardue. J'ai passé ces dix-sept minutes au peigne fin, à la recherche du lapin blanc. Chaque son, chaque bruit de fond, chaque grincement du piano devenait une voix. Aucun détail trop petit, aucune intuition trop farfelue. Je suis allé de plus en plus profondément dans une fractale sans fin. J'ai disparu dans la mer et j'ai perdu de vue ce que je cherchais. J'ai pris chaque murmure et l'ai transformé en un mot de passe. Rien n'a fonctionné.
J'ai également perdu le contact avec le monde extérieur et je n'ai pas parlé avec mes amis pendant plusieurs semaines. Un soir, Christina est passée sans me prévenir pour voir comment j'allais. J'ai rangé en hâte et je l'ai laissée entrer. J'avais définitivement une sale tête, mais elle ne l'a pas commenté. On a parlé un moment et quand il y a eu une pause dans la conversation, elle m'a demandé ce que j'écoutais. Ça jouait en boucle depuis si longtemps que je ne remarquais même plus la musique. J'ai répondu que c'était l'album qu'elle m'avait aidé à trouver au café la dernière fois qu'on s'était rencontrés.
On s'est assis et on a écouté l'album entier en silence, puis j'ai finalement arrêté la boucle.
Christina: C'est étrange.
Moi: Je suis d'accord. Ces chansons sont très courtes et sans aucune structure. Pas vraiment bien écrit. Une seule mélodie presque enfantine et puis c'est fini.
Christina: Non, non, je suis habituée aux musiques expérimentales. En fait, c'est comme la bande originale d'un jeu vidéo. Mais, il y a des choix étranges faits ici. Par exemple, cette chanson que l'on a juste écouté…
Moi: Hořčický.
Christina: Quoi ? 
Moi: Ç'est le titre. Ça ne fait rien.
Christina: De plus en plus bizarre. En tout cas, c'est une chanson très calme, mais tout à coup un instrument bruyant joue quatre notes et rien d'autre. Je pense que j'ai entendu ce bruit dans plusieurs chansons. C'est bizarre, non ?
J'ai recommencé à jouer l'album. Je connaissais exactement le son dont elle parlait. Ça apparait une fois dans chaque chanson. Je ne pouvais pas croire que je n'avais pas vu la vue d'ensemble plus tôt, mais j'avais simplement été trop près pour la voir. Christina m'avait donné la clé, maintenant je devais franchir la porte.
Je me suis retrouvé avec ce qui suit écrit dans mon cahier:
Adrogué (−·· = D)
Terra Incognita (·− = A)
Unending Night (·−−· = P)
Hořčický (···· = H)
Who Is The Dreamer? (−· = N)
Adelma (·· = I)
El Barco Velero (··· = S)
En les mettant ensemble, j'ai obtenu DAPHNIS. Un nom si familier. J'ai feuilleté mon carnet et sur la page écrite lors de la visite au Louvre pour voir le tableau Et in Arcadia Ego, j'ai trouvé: "Les bergers sont réunis autour d'une pierre tombale. L'un des bergers pointe le nom gravé sur la pierre tombale : Daphnis."
Je m'en suis voulu de ne pas avoir essayé ce nom plus tôt, mais avec tant de possibilités à parcourir, j'en avais raté quelques-uns évidents. J'essayais de comprendre comment tout était lié. Les cartes de tarot, Nicolas Poussin, le manuscrit de Voynich… tout semblait être un monde à part et impossible à relier. Comment Leonora était-elle connectée à Daphnis? Et qui est la rêveuse? À ce moment, il m'est venu à l'esprit que les réponses à certaines de ces questions pourraient se trouver dans les titres des chansons. Mais d'abord…
J'ai rechargé le site web. Rien n'avait changé. Les pages du manuscrit de Voynich étaient encore légèrement en arrière-plan, tout comme la case pour le mot de passe. J'ai soigneusement tapé Daphnis et cliqué sur la button. La case n'a pas tremblé cette fois-ci. Au lieu de ça, le site a disparu. Après quelques secondes, deux triangles sont apparus; un blanc et un noir. L'image de fond est également passée de Voynich à un dessin d'une mystérieuse créature ressemblant à un cheval avec trois têtes.
Les triangles ont disparu et ont été remplacés par du texte qui s'est estompé ligne par ligne. Je ne pouvais pas le comprendre, encore une fois c'était écrit dans l'alphabet Voynich. Il était tard, mais j'ai écrit un message à Paddington et lui ai demandé s'il pouvait m'envoyer la cartographie qu'il avait utilisé pour le dernier message. Il s'est avéré que Paddington était toujours éveillé. J'ai reçu presque aussitôt cette image:
Tumblr media
Avec cette aide, j'ai traduit les mots à l'écran.
S'est-on réunis au-delà des ruines circulaires ? Quelque chose n'allait pas On s'est vu dans le miroir Mais on n'était pas dans la même pièce Les intruses Les témoins La rêveuse Je réside dans un endroit où le temps n'existe pas Détenant les secrets de Dieu
Il y avait un symbole; un carré avec un cercle au milieu, sous le texte. Je l'ai cliqué. Le symbole a tourné et est devenu un diamant, avant de disparaître. La plupart des lettres du texte se sont estompées, ne laissant que celles qui forment la phrase Trouve moi.
C'est alors que j'ai remarqué que l'image de fond avait encore changé. Cette fois, c'était une carte d'un monde.
92 notes · View notes
lisaalmeida · 2 months
Text
Poème :
′′ Ce n'est rien de ton corps ′′
Jaime Sabines
Ce n'est rien de ton corps,
Ni ta peau, ni tes yeux, ni ton ventre,
Ni cet endroit secret que nous connaissons tous les deux,
Fosse de notre mort, fin de notre enterrement.
Ce n'est pas ta bouche-bouche
qui est comme ton sexe -,
ni la réunion exacte de tes seins,
Ni ton dos doux et doux,
Ni ton nombril, où je bois.
Ce ne sont pas tes cuisses dures comme le jour,
Ni tes genoux d'ivoire au feu,
Ni tes petits pieds sanglants,
Ni ton odeur, ni tes cheveux.
Ce n'est pas ton regard - c'est quoi un regard ?-
Triste lumière égarée, paix sans maître,
ni l'album de ton oreille, ni tes voix,
Ni les cernes qui te laissent dormir.
Ni ta langue de vipère non plus,
flèche de guêpes dans l'air aveugle,
ni l'humidité chaude de ton étouffement
qui tient ton baiser.
Ce n'est rien de ton corps,
Pas de brin, pas de pétale,
Pas une goutte, pas un gramme, pas un instant :
C ' est juste cet endroit où tu étais,
ces mes bras têtus.
Jaime Sabines (25 mars 1926-19 Mars 1999)
Il était un poète et politicien mexicain reconnu comme l'un des grands poètes mexicains du XXe siècle.
Peinture :
Belarmino Miranda Montoya - De la série Manantial, 2005
Huile sur toile, 110 x 150 cm
Belarmino Miranda Montoya, né à Medellin (Colombie) 1966
′′ Amoureux de l'AMOUR, je pense que je suis un peintre fidèle à l'amour pour la femme ; je veux juste exprimer la beauté de son corps, à l'intérieur d'un fort mais très pur érotisme, sans aucune occultation, de femmes qui sont des emblèmes de la perfection physique, des corps qui crient, livrent, approximation, femmes qui s'imposent.
Je peins l'amour qui n'a pas peur de révéler quoi que ce soit, parce qu'il donne, mais toujours avec un grand humanisme, hautement signifiant, toujours de la main de maîtres anciens et toujours amoureux des femmes hautement poétiques qui irradient beauté, joie et beaucoup d'érotisme ′′
′′ Un artiste ordinaire se contente de son œuvre. Un artiste extraordinaire ne trouve jamais la perfection, il y a toujours autre chose à ajouter, à chercher, un coup de pinceau de plus, une note de plus, une ligne de plus.
La beauté d'une œuvre d'art est dans l'œil de l'observateur. L ' art est dans l'essence de tout être humain, les uns pour le créer et les autres pour l'admirer."
Source : SABINES, JAIME. <<Poèmes en liberté>>. Alliance éditoriale
Tumblr media
20 notes · View notes
homomenhommes · 10 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 142
Avec l'été un peu bousculé que j'ai passé, j'avais complètement oublié la commande de mon cockring en or (cf. épisode122). Le vendeur de la place Vendôme m'a appelé pour me dire qu'il était prêt depuis longtemps déjà. Je décide de monter à Paris. Sur l'autoroute j'ai du mal à respecter les limitations de vitesse. D'ailleurs je n'y arrive pas ! j'arrive à Paris sans m'être fait prendre au radar et comme la dernière fois gare le GSXR devant la " boutique ". Mon vendeur m'attendait et c'est lui même qui m'ouvre la porte. impatient le bougre !
Dans un salon particulier, il me présente ma commande. Je la prend en main. Lourd, l'anneau est parfaitement rond, la boule bien régulière me semble un peu plus grosse que sur le modèle. Je le fais remarquer et à l'aide d'un pieds à coulisse électronique, le vendeur en fait la constatation. 1mm de plus de diamètre, ça va me comprimer grave l'urètre. J'en discute avec le vendeur qui me propose aussitôt de faire rectifier le bijou. Mais cela va prendre une semaine et m'obligera à un nouvel aller et retour à Paris avec le risque de nouveau de me faire attraper pour vitesse inconsidérée.
Me voyant pas chaud pour cette dernière solution, il me dit que le mieux serait de le tester. Quelle bonne idée ! Aussitôt dit aussitôt fait, la combi sur les reins, je passe ma bite et mes couilles dans l'anneau en or blanc. Quand je ne bande pas, ça va, normal. Il est lourd et je dois bien le plaquer contre mon pubis. Pour voir en fonction normale, le vendeur s'est agenouillé devant moi et me suce. Il le fait bien et de le voir dans cette position en costume trois pièces me fait vite bander. Je sens bien la boule me comprimer le canal. Ce n'est pas désagréable pour autant. Maintenant il faudrait que je teste en fonction plus hard. Je relève le mec et le pousse sur la table de présentation. Il défait de lui même ceinture et boutons pour descendre pantalon et slip d'un seul mouvement. Je kpote ma bite et comme il s'écarte les fesses pour me dévoiler son trou, m'enfonce dans ce dernier. Il est chaud et je rentre comme dans du beurre. Ma queue gonfle encore. L'anneau est à la limite de la douleur et c'est très bon ! je vais le garder comme ça. Je m'active dans son cul et finis par décharger dans la kpote dans un furieux dernier coup de rein qui lui fait décoller les pieds du sol. Le giclées me semble plus laborieuses mais la pression est plus grande. Je pense que sans kpote je vais juter plus loin encore. Lui s'est sali la main.
Nous nous réajustons et je lui dis que je le prenais quand même en l'état à condition qu'il fasse un geste et de préciser financier. Nous discutons comme des marchands de tapis et j'arrive à lui extorquer 30% (sachant pertinemment qu'ils doublent ou triplent le prix de revient, je n'ai pas de scrupules). Je décide de le garder sur moi pour le retour. Le vendeur me demande, en passant sa main sur mon paquet, s'il y a quoi que ce soit qu'il puisse faire de plus pour moi. Je le remercie mais pour le moment, rien. Il insiste en me disant que si je suis seul sur Paris il se ferait un plaisir de me guider dans les lieux branchés de la capitale. Le retour se fait à la même vitesse que l'aller. Je sens bien l'anneau qui enserre ma tige à la base et quand je suis couché sur le réservoir, mes couilles s'écrasent dessus. Ça me fait bander et me compresse encore plus ! Je n'y tiens plus et m'arrête sur une aire de repos. Personne coté voiture. Je cale et verrouille ma moto puis, le casque à la main je descend coté camions. Là 1/2 douzaine de semis, les 3/4 rideaux tirés. Sur les restants, des chauffeurs assez âgés sauf 2 plus jeunes (25-35ans environ). Je retourne fixer mon casque sur la moto et vais pisser. Pas facile quand on bande ! j'essaye de penser à autre chose et, enfin, y réussi tout en restant raide. C'est à ce moment là qu'un des jeunes chauffeurs entre et s'installe à l'urinoir contigu (alors qu'il y en a 6 de front !).
Il sort un beau service trois pièces couilles rasées et poils taillés et jetant un regard vers le mien, me dit " joli matériel ". Quand je lui dis que je bande depuis Paris, il rigole. J'écarte plus ma combi qu'il voit le cockring et j'ajoute " ça plus le réservoir de ma moto... ". Là il comprend et me dit qu'il faut alors remédier à cela pour que le reste de ma route se fasse dans de bonnes conditions et de prendre ma bite dans sa main. Je le laisse faire. Il me pousse dans les WC pour handicapés et je pose mes fesses contre le lavabo. A genoux, il me suce la teub. Il n'est pas mauvais, mâchoire légèrement trop étroite mais ça passe quand même. Il est vorace à croire que ça fait une semaine qu'il n'a rien sucé ! Lentement il me mange plus et fini par écraser son nez dans mon pubis et son menton sur mes couilles. Il me dit qu'il veut mon jus. Ça me refroidit direct ! J'hésite même à le laisser continuer. Je réfléchis que si il me demande cela c'est qu'il le fait avec d'autre et d'un coup je débande. Le mec est étonné et tourne vers moi un regard interrogatif. Je lui dis que c'est ce qu'il vient de me dire. Il est surpris, habituellement, ça excite les mecs un maximum. Je m'excuse et remballe le matériel. Nous nous séparons sur une poignée de main et une dernière ironie " le résultat voulu (débander) a été obtenu ".
Retour calme jusqu'à la maison. J'arrive à temps pour emmener Jimmy à son rendez vous. C'est maintenant devenu une routine, client connu + opérateur souple et serviable = bon moment pour les deux et bonne rentrée d'argent pour l'opérateur et moi.
Je sais que j'avais presque décidé de raccrocher de ce coté là, mais j'ai du mal à laisser Jimmy et surtout Ed tout seuls. Mon coté sécuritaire ou mon coté voyeurisme ? surement un peu des deux. Je suis discret, avec des personnes consentantes dont je connais les noms et les adresses, je ne crains pas grand chose de ce coté là. d'autant plus que deux personnes dans la sécurité nationale sont parmi mes clients.
Soirée calme. Juste un coup de fil de Daniel (le vendeur de moto) qui stresse un peu pour son deuxième rendez vous. Je lui en demande la cause, sachant que pour sa première prestation, son client avait été ravi. Il me dit que la première fois j'étais à ses cotés. Ça me fait rire et il finit par rire aussi. Je lui dis de rester naturel, pas la peine de forcer sa nature et d'essayer de paraitre différent de ce que l'on est. Il me dit que c'est pas le coté sexe qui l'inquiète mais le reste, la culture générale. Je lui conseille quand il est chez lui de laisser sa télé branché sur les chaines de documentaires et d'infos en continu. Même quand il sera plongé dans une revue moto cela rentrera.
Je lui demande comment ça se passe dans la concession. De ce coté là, pas de changement de rythme, son boss l'encule une à deux fois par semaine et lui se vide dans le jeune apprenti au moins une fois par jour. Il me fait envie ce con ! Je lui dis que j'aimerai bien le rencontrer. Il me propose alors de me l'amener à domicile. Comme c'est un " fou " de belles mécaniques, il sera excité à l'idée de voir et de monter dans une Mercedes SLS AMG.
Marc étant encore en déplacement, je lui propose de ne pas reporter le coup et de me l'amener dès ce soir. C'est OK mais il me prévient qu'il n'est pas très " expérimenté " coté cul. ses pipes ne sont que passables mais son cul vaut le détour.
Ils arrivent vers 19h30. l'apprenti en passager de Daniel. Il descend, c'est un gabarit type Jimmy ou Ed, pas grand, pas gros, tête de voyou, en jeans slim et blouson cuir moto. Présentations, il s'appelle Cédric. Il me demande en sautillant où est la Mercedes. J'ouvre la porte du garage, il reste figé 1,2 minutes ;puis il entre. Il hésite entre la caisse et les motos mais fini par privilégier cette dernière. Il tourne autour une fois, deux fois et me demande timidement s'il peut voir le moteur. J'entre dans la voiture, il regarde la cinétique d'ouverture de la portière en aile mouette en fonctionnement puis lève le capot moteur que je viens de déverrouiller et plonge dedans. Je l'entend commenter ce qu'il voit à l'attention de Daniel car moi, coté mécanique, je ne sais que l'utiliser.
Alors qu'il est encore plié sur l'aile de la voiture, je lui mets la main au cul, mes doigts enfonçant le tissus du jeans entre ses fesses et je me couche sur lui pour lui glisser à l'oreille que la visite est payante. Sans se démonter, il me répond " normal pour une telle machine ". On est sur la même longueur d'onde.
Il décolle son bassin de la tôle pour que je puisse défaire sa ceinture et les boutons du jeans. Je tire pantalon et slip en même temps vers le bas dégageant ses fesses. Pendant ce temps là, il examine les différents organes du moteur. Je découvre un joli petit cul tout rond. Je bande à me faire mal (j'ai mis mon nouveau cockring avant qu'ils arrivent ! Je libère mon sexe et le kpote. Obligeamment, Daniel fait couler une pochette de gel entre les fesses de l'apprenti. Je le pousse sur l'aile et pose mon gland sur sa rondelle, je pousse. Il couine un peu à la pénétration bien qu'habitué aux 5,5 de Daniel. Son anneau serre bien ma teub gonflée à mort. Je m'enfonce sans tenir compte de ses gémissement et pose le cockring contre son trou écartelé.
Quand je me retire, il en profite pour se décoller de la tôle. Je pose une mains sur ses hanches et de l'autre vérifie l'état de son sexe. A tâtons, je devine une petite bite (13/14cm) raide, fine (<4cm), surmontant de petites couilles, le tout rasé de près. La situation excite Daniel qui pose ses fesses sur l'aile de la voiture et demande à Cédric de le sucer.
Il n'hésite pas et commence sa sucette. J'ai beau pousser sur son bassin en fin d'enculage, je n'arrive pas à l'enfoncer à fond sur la tige de Daniel. Et ce dernier de me commenter la médiocrité de la pipe. En effet à ce que je vois Cédric n'arrive à lui bouffer que la moitié de sa queue. Il me dit que c'est dommage car comme je peux le constater son cul est très agréable. Je demande à Daniel s'il veut qu'on essaye d'y remédier. Il secoue la tête verticalement. Cédric recrache la bite de Daniel et acquiesce à son tour, il aimerai bien sucer mieux mais n'y arrive pas. Je lui dis que ce n'est qu'une question de technique puisque la volonté il l'a.
Je décule et dékpote. Avec Daniel nous installons Cédric le dos sur un des établis du garage. La tête en dehors du plateau pend de façon à aligner sa bouche avec sa gorge. Je lui fais sniffer un peu de poppers, ça ne peut qu'améliorer sa motivation.
Ainsi préparé, je lui mets ma bite dans la bouche et m'enfonce. Je le laisse jouer un peu de sa langue avec elle. Il tète bien mais pas profond. Je lui dis que je vais maintenant m'enfoncer totalement et lui dit d'avaler quand il sentira mon gland dépasser sa glotte. Un coup de rein sec me fait passer l'entrée de sa gorge. Je le sens avaler et me retire aussitôt, pas la peine de lui provoquer un renvoi. Je le laisse respirer un peu et recommence. Le second passage est plus facile et je vais plus profond. Il me faut bien 1/4 heure pour réussir à tout lui mettre sans qu'il vomisse. Nous faisons une pause. Il s'assoit sur l'établi et me dit que c'est une sensation assez extraordinaire que de sentir un gland dans sa gorge, c'est une dimension autre que la simple pipe. Je lui confirme et lui dis que pour celui qui est sucé, c'est incomparablement meilleur, même si une langue agile qui tourne sur un gland surexcité c'est bon aussi.
Cédric se couche tout seul sur l'établi et attend que l'on remette cela. Un petit coup de poppers (pour lui) et je m'enfonce de nouveau dans sa bouche. il a bien pris le coup et je me sens aspiré vers sa gorge. Une fois, deux fois, puis je cède la place à Daniel impatient de tester les nouvelles capacités de son poulain. Je fais attention que dans sa précipitation il n'étouffe pas Cédric. A limer la gorge avec son gland, il gémit de plaisir. il me dit que c'est infiniment meilleur. Ses deux mains sur les oreilles de Cédric, il s'enfonce dans sa gorge avec la régularité d'un métronome. Cédric calme respire bien. N'ayant pour le moment rien à faire, son cul étant inaccessible de par sa position, je caresse son torse, t-shirt sous les aisselles. son petit gabarit ne l'empêche pas d'être musclé. Ma main courre sur ses abdos et ses pecs exempts naturellement de poils. Je descend plus bas et le branle. Il écarte les genoux (les chevilles entravées par son jeans), c'est un appel à un doigtage. Ma main glisse sous ses couilles et mon majeur suivit rapidement de mon index traversent sa rondelle encore souple du souvenir de ma queue.
Je fouille du regard le garage pour trouver un support adéquat qui nous permettrait à Daniel et moi de nous enfoncer ensemble dans Cédric. Je ne vois que la caisse rose qui emballait le GSXR d'Eric. Couché sur le coté avec un planche dessus ça devrait faire l'affaire. Je les laisse tous les deux le temps d'exécuter mon idée. Puis je reviens à eux et alors que j'attrape Cédric par les pieds, dis à Daniel de le prendre par les bras. Nous le transférons ainsi jusqu'à son nouveau lieu de plaisir. Pas trop mal. Daniel se met à genoux pour replacer sa bite dans la bouche et la gorge de Cédric et moi en face de lui, les chevilles de son suceur sur mes épaules, je m'enfonce à nouveau dans la chaleur de son boyau. Pris des deux coté, Cédric monte tout seul en pression et je jugule au moins deux fois ses montée de foutre avant de le laisser aller. Petite bite, petites couilles mais gros rendement ! il s'en met partout du nombril à sa bouche remplie de Daniel. Je compte au moins 6 à 7 giclées blanches. Je donne quelques coups de reins supplémentaires et sort vite pour lui juter dessus. Mon sperme laisse de longues trainées ;qui croisent celles précédemment dessinées par le sien. C'est alors au tour de Daniel d'y aller de sa contribution. Couvrant le bronzage de notre petit ami d'une nouvelle couche.
J'enlève le plus gros avec du Sopalin et comme il ne peu se rhabiller comme cela, décide que nous allions nous doucher à notre salle de sport qui à une entrée directe sur le coté de la maison. On remonte nos pantalons et ils me suivent au travers de la cour. Dans l'entrée, je fais déchausser avant de traverser notre salle de msucu et d'atteindre les douches communes. Yeux grands ouverts de mes deux acolytes que je pousse sous les douches. Vêtements vite retirés, et l'eau chaude vient nous mouiller. Avec Daniel, je savonne Cédric qui se tord sous les chatouillis que nos mains lui procurent. Sous les jets d'eau, ils n'ont pas vu arriver Ammed qui nous attend avec trois peignoirs sur les bras. Ce n'est que quand je coupe l'eau qu'ils le voient et ont un mouvement de recul. Ammed nous tends les peignoirs et me demande (façon grand style) si ces messieurs dinerons avec moi ce soir.
Il est tard et j'insiste pour qu'ils restent manger avant de partir. Nous montons à la maison par l'escalier intérieur. ;En attendant que le repas soit prêt, je m'alcoolise avec Cédric alors que Daniel se contente d'un jus de tomate retour moto oblige. Nous dinons calmement. Cédric me remercie de lui avoir fait découvrir ses capacités de gorge profonde, Daniel me donne des nouvelles des modifications du GSXR d'Eric...
ils me quittent après 23h.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
+
Tumblr media
12 notes · View notes
crococookie · 1 month
Text
Croco, Dys et RPGiste.
J'avais envie de parler de ma façon de RP, des outils que j'utilise pour éviter le bruler la rétine de mes partenaires de jeux, mais aussi des fautes que je fais.
Ma façon de RP
Il faut savoir que je ne me relis jamais. Pourquoi ? Parce que sinon je supprime tout et je me roule en boule dans mon coin en pleurant comme un potit caca, parce que je trouve que j'écris mal. Une relecture = moins 40 pts de confiance en moi.
Avant, j'étais team troisième personne du singulier. Je me perdais souvent dans ce que j'écrivais entre mon personnage et celui du partenaire. Puis je suis passé team première personne et ça a été une de mes meilleures décisions.
Je prends mon temps et j'arrête de me foutre la pression pour répondre autant de mots que les autres. Ce n'est pas grave de répondre moins de mots que ton/ta (taon ?) partenaire.
J'évite l'écriture inclusive, parce que je galère à l'écrire. Je le fais quand il le faut, mais c'est n'importe quoi. C'est pour ça que je préviens et que je ne RP pas avec des personnages qui utilisent l'inclusif. Mes ami-e-s proche qui utilise normalement l'inclusif accepte que j'utilise soit le masculin, soit le féminin ou sinon accepte les fautes absurdes que je fais (et je les aime bordel ! T-T merci à eux pour leurs patientes et leurs bienveillances.) OU j'utilise que des mots full neutre. OU des mots que je gère en inclusif (très limité).
Mes outils
J'écris tout sur GoogleDoc parce qu'il y a un module pour ajouter une version sombre (GoogleDoc Dark Mode) et parce qu'il y a possibilité d'utiliser des polices Google Font sans les télécharger (Lexend, meilleure police <3).
LanguageTool, c'est une extension de Chrome/Opera que j'utilise tout le temps. Ça montre les fautes d'orthographe, de grammaire ou de ponctuation (et bien d'autres). C'est aussi directement installable sur PC pour Word etc.
L'IA d'Opera (oui, je vois venir les fourches ! Mais ça aide à trouver de nouveau synonyme et faire une traduction rapide quand on utilise de l'anglais dans un RP alors qu'on ne parle PAS anglais). Comme dit entre parenthèse, je l'utilise pour les synonymes pour éviter de me répéter, ou pour traduire du texte. Après, il faut avoir Opera.
Mes fautes
99% du temps, je n'accorde jamais au féminin. "Mais comment ça Croco ?" Eh bien, j'oublie le "e" à la fin d'un "é". En réalité, je n'oublie pas vraiment, je ne sais juste pas quand le mettre parce que la langue française est un bordel sans nom. (Pas la peine de m'expliquer la règle, je la connais, on me l'a expliqué un million de fois et je galère autant).
Er, é, ée... Même en remplaçant par prendre, sur un texte très long, j'en oublie. (D'où mon problème niveau écriture inclusive T_T).
Les (p*tain) d'homophones. Vert, verre, vers... C'est de la torture. Quand j'étais enfant, j'écrivais con au lieu de qu'on.
Attention, INttention et tous les trucs du genre. À l'écrit comme à l'oral, il n'y a pas de différence pour moi.
Un, une, la, le. Alors, allez savoir pourquoi, mais même si je pense à la, je vais écrire le et inversement. Je ne comprends pas pourquoi, mais même en faisant attention (j'ai failli écrire intention T_T), je fais cette faute.
Voilà ! Bien sûr, je fais d'autre faute, mais celle-ci sont les plus récurrentes. J'espère que les outils seront utiles à d'autres. (re) la bise ~
15 notes · View notes
sabinerondissime · 6 months
Text
Tumblr media
Il y a 7 ans, je suis tombée follement amoureuse d'un homme qui m'a laissé espérer et qui, pendant des années, a alimenter cet amour sans jamais avoir l'intention de le vivre vraiment. Cela s'appelle une relation fantôme. Pour celui qui aime, c'est construire de toute pièce une histoire qu'il ne vivra jamais. C'est se trouver idiote, pathétique et malgré tout, ne jamais réussir à ne plus l'aimer, quoi qu'il fasse et même en ayant pleinement conscience qu'il ne m'a jamais aimé et que j'ai supporté des choses que je n'aurais jamais dû supporter. Cela fait 7 ans aujourd'hui et j'ai toujours des sentiments très fort pour lui. J'y pense plusieurs fois par jour. je ne sais pas quand cela s'arrêtera mais je le souhaite de tout mon cœur, qui n'est désormais plus capable de faire confiance à qui que ce soit.
21 notes · View notes
selidren · 1 day
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Printemps 1918 - Champs-les-Sims
4/10
C'est étonnant à quel point quatre jumeaux peuvent être différents. Il n'est pas aisé de tous les accorder les uns aux autres. Des tensions naissent et s'évanouissent à un tel rythme qu'il est parfois compliqué de suivre. Mais c'est parfois rassurant : Antoine a parfois l'air si adulte que le voir faire des bouderies à ces soeurs a quelque chose de très satisfaisant. J'ai longtemps été inquiète d'imaginer qu'il serait un peu trop à l'image de son père, trop détaché des autres. Ce n'est heureusement pas le cas, et il a tendance, comme toutes les enfants, à faire des chamailleries sur des détails qui apparaissent futiles aux adultes. Exception faire de sa soeur Noé, je n'ai jamais vu ces deux là se disputer, ne serait-ce qu'une fois.
Transcription :
Arsinoé « Pourquoi tu veux que ce soit moi le maître d’oeuvre ? Tu vois bien qu’il est tout de travers. »
Marc-Antoine « Mais non, tu vois bien ! Et bien parce que tu es meilleure que moi pour donner les ordres. »
Arsinoé « Si tu voulais quelqu’un pour donner les ordres, il fallait demander à Cléo, elle adore faire ça en ce moment. Je pense qu’on aurait pu avoir le bonhomme de neige le mieux habillé de France. »
Marc-Antoine « Cléo est un tyran. Elle aurait donné ses ordres sans faire attention à ce qu’on faisait, et dès que le bonhomme de neige aurait commencé à s’effondrer, elle aurait prétendu que de toute façon c’est un jeu pour les bébés. »
Arsinoé « Tu n’as pas tort. »
Arsinoé « Mais pourquoi moi je ne serai pas un tyran ? Je te dis bien quoi faire non ? »
Marc-Antoine « Oui, mais tu sais ce que tu fais et tu travaille avec moi à la construction. Cléo aurait refusé de se mouiller les mains dans la neige. »
Arsinoé « Elle déteste avoir froid. »
Marc-Antoine « Elle déteste beaucoup de choses. »
Arsinoé « Toi aussi, mais tu le cache toujours. Sauf quand tu m’en parle. Tu sais, tu ne devrai pas détester Cléo. »
Marc-Antoine « Et pourquoi pas ? Elle est hautaine, pleurniche pour un rien et essaie de tout diriger avec qu’elle ne connaît rien à rien. Toi, au moins, tu ne passes pas ton temps à te plaindre. »
Arsinoé « Elle n’a pas un mauvais fond. En fait, je pense qu’elle est jalouse de toi. »
Marc-Antoine « Mmh... »
Arsinoé « Tu as l’air plus âgé, tu dis toujours des choses censées et tu te comporte souvent comme un adulte. Je pense qu’elle aimerai juste être comme toi. »
Marc-Antoine « Tu es trop gentille Noé. Tu devrai plus dire ce que tu penses, même si ce n’est qu’à moi. »
Arsinoé « Mais je dis ce que je pense. Bon d’accord, j’enlève les pensées les plus méchantes de temps en temps. »
Marc-Antoine « Tout le temps tu veux dire ! »
Arsinoé « C’est juste que je n’ai pas autant de caractère que toi et Cléo, c’est tout. Vous êtes deux opposés, c’est pour cela que vous ne vous entendez pas, mais je pense qu’elle ne te déteste pas, elle est juste trop fière pour te montrer qu’elle t’aime. C’est votre seul point commun je dirai. »
7 notes · View notes
cendres-et-volcans · 7 months
Text
Elle était radicale en tout, sans aucune concession dans aucun domaine.
L'amour, le travail, l'écologie, l'amitié, la politique, l'art... sur un pied d'égalité.
Elle m'aimait avec la même force qu'elle luttait pour un monde meilleur.
Comment ne pas l'admirer ni en prendre ombrage ou s'offusquer ?
Elle était mon opposée en tout, presque, mais pas seulement.
Elle travaillait dans un musée, avec des enfants. Jamais elle ne m'a expliqué quoi que ce soit. Je l'attendais seul, ou plutôt, j'attendais seul.
Face a un bronze, un tableau ou un planning. Sans instructions ni orientations. Regarder pour exister ou comprendre.
Je n'étais la que pour elle. L'art pour moi, est secondaire. Comme la ponctuation ou les encadrements. Elle est un astre et moi je prioretise.
Cependant, assis, patientes heures, j'ai côtoyé la beauté.
Comme d'autres. Merci.
Sans la comprendre souvent, sans savoir. Mais là aussi, reconcilions sensations et savoir et oublions les hiérarchies. L'un ne va pas sans l'autre a priori.
De longues heures donc, antichambre de sa beauté. Parce que la voir, l'embrasser, la retenir et la dévêtir a toujours eu le goût de l'éternité.
Je pense à elle, je pense a toi devant chaque tableau
A chaque fois.
21 notes · View notes
norellenilia · 2 months
Text
TW : Relations abusives et violences domestiques Ces derniers temps je vois passer pas mal de reviews sur les livres de Colleen Hoover (que j'ai honnêtement découverte via ces reviews, je savais même pas qu'elle était autant à la mode mdrrr), et plus ça va, plus y'aurait des parallèles à faire avec la première saison d'Eldarya.
Alors disclaimer j'ai jamais lu Colleen Hoover mais après avoir vu des reviews détaillées de 3h remplies d'extraits des livres je pense pouvoir dire sans sourciller que je vois à peu près de quoi on parle lol
Et j'ai parlé d'Eldarya mais en vrai ça rentre dans la dynamique globale de relations présentées comme romantiques mais qui sont bourrées de red flags, à la Twilight ou Fifty Shades of Grey, et qui sont malheureusement très populaires, surtout auprès d'un public jeune et influençable (je dis pas ça de façon péjorative, c'est juste normal, quand on est plus jeune on est plus réceptif-ve à des trucs auxquels on prêterait même pas attention avec un peu plus d'expérience).
Et j'avais pas forcément fait le lien avec The Origins, mais quand on se rappelle que cette histoire rentre totalement dans cette mode de faire passer pour de la romance des relations pleines d'abus et de violence, finalement je m'étonne moins des réactions outrancières qu'on avait eues à l'époque. Ca veut pas dire qu'elles sont moins outrancières, ça veut juste dire que je réalise qu'elles s'inscrivent dans un phénomène de romantisation des violences domestiques à travers la fiction, dont les emblèmes ont évolué ces 15 dernières années, passant de Twilight à Fifty Shades à Hoover aujourd'hui (entre autres, mais je suis pas trop l'actu littéraire).
Concernant le fait que Colleen Hoover est passée maîtresse dans l'art de cette romantisation des relations abusives, je vous recommande du coup >cette critique< de It Ends With Us (Jamais Plus en français), où le perso masculin est censé être dépeint comme un auteur de violences domestiques, mais où au final, il n'est pas très différent des autres protagonistes de l'autrice, juste celui-là est censé être perçu comme violent, mais comme c'est un bg et que c'est le héros, l'autrice et ses personnages se donnent toutes les peines du monde à lui trouver des excuses. Bien sûr, attention, la vidéaste discute de ces sujets graves et partage son expérience sur le sujet.
Pour en revenir à Eldarya, pour les gens qui sont arrivé-e-s plus tardivement et/ou n'ayant pas joué à The Origins, peut-être n'avez vous jamais entendu parler de l'affaire de la potion, de l'épisode mauuuudit, j'ai nommé l'épisode 13 de la première saison :') Il s'agit de la potion mentionnée plusieurs fois au cours de A New Era, qui, après avoir été bue par Erika, a fait en sorte que toute personne ayant connu cette dernière sur Terre est censée l'avoir oubliée (c'était fort mal foutu mais passons). Et au cours de ce fameux épisode 13, après qu'on apprend que des mercenaires ont foutu le zbeul au temple fenghuang pour retrouver Erika et dont on n'entendra plus jamais parler après (non c'était pas des soldats de Papounet il a découvert Eldarya qu'après la prise de la potion), Miiko dit à Erika qu'ils vont lui faire boire une potion qui la rendra indétectable par les mecs qui la cherchent, quelque chose comme ça. Mais pour que ça marche, il faut qu'elle la fasse elle-même, aidée par l'un des trois chefs de garde. La romance piétinait déjà, on était à l'épisode 13 et il se passait rien, évidemment que le but était de choisir son CDC (Leiftan n'en était pas encore un). Et au moment de prendre la potion, après un indice d'Ashkore/Lance sur la véritable nature du breuvage, Erika ne veut plus la boire. Et là, après une tentative du CDC pour nous convaincre, on se retrouve face à un choix : soit on boit volontairement la potion, soit on la refuse. Si on la boit, il ne se passe rien, à part la tristesse d'Erika et l'encadré nous signifiant qu'on a raté l'illu, mais si on refuse, CDC met la potion dans sa bouche et plaque ses lèvres contre celles d'Erika, la forçant à ouvrir la bouche pour y transvaser la potion et l'obliger à la boire.
Là, si vous êtes doté-e d'un minimum d'empathie et de bon sens et que vous avez pas été trop matrixé-e par la culture du viol, vous vous rendrez très vite compte qu'il y a un problème. Seulement à l'époque, c'est parti en steak, entre les gens choqués que ce qui constitue légalement une agression sexuelle soit présenté comme un acte romantique récompensé par l'illustration de l'épisode, les gens qui chialent que "oh là là les râleuses féminiss qui gâchent tout c'est qu'un jeu/de la fiction lâchez-nous", les modos qui lâchent le mot "diffamation" quand on dit que c'est irresponsable de laisser une scène comme ça alors qu'elles savaient visiblement pas ce que "diffamation" voulait dire, et l'équipe qui a fait la sourde oreille jusqu'à ce qu'on fasse la révolution après l'épisode 14 juste pour dire "dsl que ces derniers épisodes vous plaisent pas mais on peut rien y faire c'est écrit à l'avance mais on va engager des bêta-readers et aussi arrêtez de débattre sur le forum un forum c'est pas fait pour ça lol"
(Wé j'ai toujours de grosses rancœurs sur le fonctionnement du forum mais c'est un autre débat.)
Bref, les discours habituels de "c'est de la fiction/c'est qu'un jeu" alors qu'on parle d'une situation vécue par des dizaines et des dizaines de femmes qui voient leurs sentiments et douleurs minimisés à coups d'arguments toujours bidons, non désolée ça passe pas pour moi. Parce qu'en plus, parmi les commentaires, j'en ai vus qui disaient, "moi ça me dérangerait pas de me faire embrasser de force par un beau garçon !", dits par des jeunes filles, et je trouve ça terrifiant. Parce que si ça devait leur arriver un jour en vrai (et je ne leur souhaite évidemment pas), alors ça veut dire qu'elles n'auraient pas les clés pour comprendre pourquoi en fait si, ça les dérange d'avoir subi ça, et elles culpabiliseraient, pendant que d'autres personnes leur diraient, "de quoi tu te plains, c'est un beau garçon/c'est ton copain/tu l'avais cherché" etc.
Et bien sûr le même genre de débat a ressurgi avec Leiftan après son spin-off, puis avec Lance après l'épisode 26, où le scénario a tenté le fanservice pour les gens qui voulaient le romancer depuis le début, sauf qu'entre temps il est devenu un méchant très méchant qui exerce de la violence physique et psychologique sur Erika, et à aucun moment, mais genre aucun moment, on n'en reparlera après...
Je compte plus les messages désobligeants que j'avais pu lire après le retour de Lance en saison 2 en réponses aux personnes mal à l'aise avec la possibilité de l'avoir en CDC, allant du classique "roh là là c'est qu'un jeu si vous êtes pas contentes cassez-vous" à la provocation "moi j'aime bien Lance mais j'aime surtout le dire pour emmerder celles qui l'aiment pas hihi"
Je l'ai dit et je le redis et le redirai encore, je m'en fous que des personnes adorent Lance et le romancent, je m'en fous que des personnes adorent lire Colleen Hoover, Twilight ou 50 Shades, ce que j'aimerais c'est que ce soit en connaissance de cause, en ayant conscience que ce ne sont pas des relations qui doivent être présentées comme saines, qui doivent être critiquées comme toute oeuvre peut et doit être critiquée même si on l'adore, et j'aimerais aussi qu'à défaut y'en ait qui s'achètent un minimum de décence et d'empathie pour les gens qui n'ont pas la même expérience de vie qu'eux.
Bref c'était censé être quelques réflexions comme ça au débotté après avoir vu une vidéo qui m'y a fait penser, au lieu de ça ça traîne dans mes brouillons depuis 3 semaines et ça fait encore 10 km de long dsl mdr
9 notes · View notes
nahkyl · 7 days
Note
ce match de merde te fais perdre la tête mdrr il y a aucun monde où ce que fait enrique donne envie à kylian de rester. kylian est pas né hier il sait très bien que enrique c'est juste de la com. un jour c'est préparer la prochaine saison sans lui et le lendemain c'est lui qui doit sauver l'équipe. il y a aucune structure, mais surtout il y a plus aucune confiance, ni avec enrique ni avec les coéquipiers. depuis 2 mois on répète sans cesse qu'on compte plus sur lui et que tout le monde veut le mettre sur le banc et jouer sans lui et après vous voulez qu'il soit passionné et joue à son meilleur après le traitement horrible qu'il subit depuis des mois. c'est un miracle qu'il fasse une saison de ce calibre malgré tout ce qu'il vit.
ses performances étaient excellentes dans le jeu et en stats avant que enrique commence à tout gâcher avec ses conneries. arrêtez d'inventer tout et n'importe quoi et commencez à assumer. enrique a sacrifié cette saison pour préparer la prochaine et on voit les répercussions. c'est dommage qu'un entraîneur laisse son égo ruiner ce qui aurait pu une saison légendaire. quand on se qualifie en quarts avec 3 buts de kylian, c'est le psg de luis enrique et c'est un collectif mais dès qu'on perd c'est la faute de kylian qui devait être le héros mdr vous êtes ridicules. vous avez saboté le meilleur joueur du monde et de l'histoire du club parce que son départ blessé l'égo, maintenant assumez.
J’ai remarqué que parfois, vous oubliez vraiment que je suis supportrice du PARIS SAINT GERMAIN avant que Kylian soit mon joueur préféré.
Alors. Peut-être que je me fais des films sur la lecture de l’autorité d’Enrique par Kylian. C’est fort possible, personne n’a la science infuse.
Par contre.
Y’a pas un MONDE où la performance de Mbappé est justifiée par quoi. Que. Ce. Soit. Si ce n’est peut-être un drame individuel dont on serait pas au courant et qui aurait eu un impact psychologique et même là, il a toujours répondu présent sur le terrain. Peu importe comment t’es traité, quand t’es un joueur de haut niveau, tu mouilles le maillot. Point. SURTOUT dans un match de quart de finale de LDC. Tu vas sur le terrain et tu te transcendes. C’est tout.
Ensuite, c’est pas à nous d’assumer quoi que ce soit mdr. Surtout pas en tant que supporters. C’est à lui d’assumer son statut. Tu penses être le meilleur joueur du Monde et tu le penses à juste titre: prouve-le. Tu te rates en amical, on s’en fout. Tu te loupes face à l’OM, ok. Face à Rennes, on sent que t’es perturbé malgré ton but; d’accord. Mais la LDC ? La LDC tu n’as PAS le droit à l’erreur.
Mais moi ce qui me désole parce que je vois de plus en plus d’extrait du matchs, c’est qu’au-delà de sa performance…l’attitude est exécrable. C’est pas NORMAL que sur des actions offensives, le meilleur joueur de l’effectif reste STATIQUE. C’est PAS normal. C’est un manque de respect flagrant aux supporters. J’aurais préféré qu’il ponde un match où il est impliqué mais qu’il se loupe en finition plutôt qu’un match où il est CLAIREMENT pas impliqué.
On a le droit de rater des matchs même quand on est un joueur de son calibre. On a le droit de rater des buts. On a le droit d’être nul. Mais ne pas être impliqué suffisamment pour se bouger sur des corners et des coup francs ? Non là c’est se foutre de la gueule du monde. Surtout quand tu te dis que t’es pas perturbé, que t’es prêt, que tu vas pas te cacher. C’est à lui d’assumer SES propos. Un grand joueur ne se trouve pas d’excuses.
Ensuite; je suis désolée hein mais maintenant on peut le dire : sa saison est extrêmement irrégulière mdr. C’est Mbappé en 2020-2021. C’est irrégulier. Et dans le jeu, je trouve vraiment que c’est pas ce à quoi il nous a habitués mais pour moi c’est pas entièrement sa faute. Le schéma de jeu a changé, notre milieu est incapable de le lancer dans la profondeur et l’attaque passe plutôt par le côté droit. Donc ok.
Mais rien justifie le manque d’ENVIE et d’entrain. Kylian n’est PAS ce genre de joueur, il se laisse pas affecter par quoi que ce soit, il joue son foot peu importe l’adversaire, l’équipe et l’entraîneur.
C’est lui-même qui le dit. Frérot, t’es sur la partance. Tu te casses dans un mois et 15 jours. C’est comme ça que tu veux partir ?
Bref on a saboté personne. Les supporters n’ont saboté personne. C’est aux JOUEURS de gagner la confiance des supporters, pas l’inverse.
Et Dieu seul sait que moi, quand il s’agit de Kylian, je trouve pas de circonstances atténuantes mais je suis juste. J’ai toujours été juste.
Mais là, la déception est à l’ordre du jour.
6 notes · View notes
kilfeur · 4 months
Text
Mon avis sur le disque Indigo (My opinion about Indigo Disk)
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Alors il y a beaucoup de choses sur ce dlc. Déjà j'ai aimé le fait que la difficulté soit de retour ! Ça a toujours l'une des plaintes concernant la saga Pokémon, c'est que c'était devenu trop simple les combats. Là on a des combats duo avec des dresseurs qui utilisent les objets. Je vous jure quand j'ai dû affronter le conseil 4, j'ai galéré en particulier avec Irido. Il me restait que deux pokémons encore actif, les autres étaient tous k.o. Donc c'était assez plaisant et perturbant de retrouver de la difficulté.
Le conseil 4 est assez sympa, ma préféré c'est Nérisse vu son lien avec Roseille et qu'elle semble s'inquiéter pour Roseille mais aussi Kassis. Irido est assez attachant bien qu'au final il nous utilisait un peu pour vaincre Kassis car ce dernier mettait une mauvaise ambiance à cause de son attitude. Quand à Roseille, elle est toujours fidèle à elle même, mais je la trouve moins agressive que dans la première partie. Là on voit que les erreurs ont été apprises dans la première partie et qu'elle nous apprécie. Certains se demanderont pourquoi Roseille n'essaie pas de parler à son frère ? Et vous vous rappelez quand on a voulu s'inscrire ? Roseille a essayé de lui parler mais Kassis lui a répondu de fermer sa gueule ! Donc ouais, il était pas enclin à écouter sa soeur même si Roseille essayait. Et il semblait écouter personne d'autre ! Le seul qui semble vouloir nous écouter c'est nous ! Car on est la cause de son obsession !
Quand à Kassis, parlons en de ce gosse ! Déjà le fait qu'il a changé du tout au tout, s'entraînant d'arrache pied pour nous vaincre. Car oui devenir plus fort et nous vaincre, c'est devenue une obsession. Et de l'autre je peux comprendre que certains s'inquiètent pour lui. Et c'était le cas pour moi aussi au début puis quand j'ai appris que son comportement toxique causait des problèmes aux autres. Je me suis dit qu'il fallait que je lui botte le cul ! Son attitude et ses agissements causent des problèmes à lui même mais aussi aux autres. Depuis qu'il est devenu le maître de la ligue, il faisait n'importe quoi. L'ambiance n'était pas bonne comme pouvait le dire certains membres du conseil 4 voir même certains npc !
Donc ouais Kassis n'est pas qu'une victime dans cette histoire ! Bien qu'au final, il arrive pas à nous vaincre lors de l'affrontement final ! Il ne comprend pas pourquoi ! Tout cet entraînement acharné ! Tout ça pour rien ? Sans compter qu'Irido qui remue le couteau dans la plaie. Après je pense qu'il a agit ainsi à cause de ce qui s'est passé au club. Il lui en a probablement voulu et c'est pour ça qu'il lui a parlé ainsi. Je dis pas que ça l'excuse pour autant mais de l'autre. Je peux comprendre d'ailleurs même lui il se rend compte qu'il aurait pas dû faire ça à ce moment là ! Et qu'il s'est juste laisser porter par les évènements !
Sans compter que lors de l'expédition à la zone zéro, on retrouve l'ancien Kassis qu'on connaît par des dialogues. Surtout que lorsqu'il essaie d'arracher le cristal de Terrapagos, ça lui permet de vider son sac sur ce qu'il ressent. Et je pense que ça lui a fait du bien ! On a beau l'avoir vaincu, il veut nous affronter avec Terapagos mais une fois la cristallisation de ce dernier. Il se rend compte qu'il a merdé et n'ose pas nous aider alors qu'on est seule à affronter Terapagos ! C'est quand on lui demande de l'aide que cette fois ci, il vient nous prêter main forte pour affronter et capturer Terapagos. Bien que j'étais en colère contre Bria, elle a été irresponsable avec son expérience ! Je vous jure, y a des baffes qui se perdent ! Une fois de retour à l'institut, Kassis se rend compte qu'il a merdé mais qu'il compte se racheter et souhaite qu'on redevienne amis ! Donc ouais on est de nouveau pote avec Kassis, tant mieux car je l'aime beaucoup ce gosse !
Donc au final, j'ai pas mal aimé ce dlc, je pensais pas autant m'amuser mais faut dire qu'avec les références à la Gen5, je suis un peu biaisé
So there are a lot of things about this dlc. First of all, I like the fact that the difficulty is back! One of the complaints about the Pokémon saga has always been that battles have become too simple. Now we've got duo battles with trainers using items. I swear, when I had to face Council 4, I had a hard time, especially with Drayton. I only had two pokémons still active, the others were all knocked out. So it was quite pleasant and disturbing to find difficulty again.
Council 4 is quite nice, but my favorite is Amarys given her bond with Carmine and the fact that she seems to care about Carmine but also about Kieran. Drayton is quite endearing, although in the end he used us a little to defeat Kieran, who was creating a bad atmosphere because of his attitude in the club. As for Carmine, she's still true to herself, but I find her less aggressive than in the first part. Now we can see that she's learned from her mistakes in the first part and appreciates us.
Some may wonder why Carmine doesn't try to talk to her brother? Remember when we wanted to sign up to fight the Council 4 ? Carmine tried to talk to him, but Kieran told her to shut up! So yeah, he wasn't inclined to listen to his sister even if she tried. And he didn't seem to listen to anyone else! The only one who seems to want to listen to us is us! Because we're the cause of his obsession!
As for Kieran, let's talk about that kid! First of all, he's changed completely, training hard to beat us. Yes, getting stronger and beating us has become an obsession. And on the other, I can understand why some people worry about him. And so was I in the beginning, then when I learned that his toxic behavior was causing problems for others. I told myself I had to kick his ass! His attitude and actions are causing problems for himself and others. Ever since he became master of the league, he'd do anything. The atmosphere wasn't good, as some members of council 4 and even some npc members could tell!
So yeah, Kassis isn't just a victim in this story! Although, in the end, he doesn't manage to defeat us in the final confrontation! He doesn't understand why! All that hard training! All for nothing? Not to mention Drayton stirring the pot. After that, I think he acted the way he did because of what happened at the club. He was probably angry with him and that's why he spoke to him like that. I'm not saying that excuses it, but I can understand that even he realizes that he shouldn't have done that at the time! And that he just let himself be carried away by events!
Not to mention the fact that the expedition to Area Zero reunites us with the old Kieran, whom we know from dialogue. Especially when he's trying to get the Terrapagos crystal, it gives him a chance to vent his feelings. And I think that did him good! Even though we've beaten him again, he wants to confront us with Terapagos, but only once it's crystallized. He realizes he's screwed up and doesn't dare help us, even though we're the only ones facing Terapagos! It's when we ask him for help that this time he comes to our aid to confront and capture Terapagos. As angry as I was with Bria, she was irresponsible with her experience! I swear, there are some slaps that get lost! Back at the institute, Kieran realizes that he screwed up, but that he wants to make up for it and wants to be friends again! So yeah, we're buddies with Kieran again, and that's good, because I really like that kid!
So in the end, I really enjoyed this dlc, I didn't think I'd have so much fun, but I must say that with the Gen5 references, I'm a bit biased.
11 notes · View notes
Text
De Julian à Alec
Cher Alec,
Petit bonjour de Chiswick ! Je suis sûr que Magnus t’a tenu au courant de nos aventures ici à Blackthorn Hall. Nous faisons des progrès, lentement mais sûrement. Cependant, le manoir est encore loin d’être une maison dans laquelle moi ou ma famille voudrions vivre. Sauf Dru, qui prétend qu’elle préférerait garder la malédiction pour l’atmosphère (bien qu’elle ne soit encore jamais venue).
Tout ça pour dire qu’à mon avis tu peux remercier l’Ange tous les jours que Tatiana Lightwood ait épousé un Blackthorn, et que cette maison soit notre problème et pas le tien. Bref, c’est toi qui reçois les nouvelles cette fois et non pas M. Tu comprendras vite pourquoi.
Nous continuons les recherches des objets qui maintiennent la Malédiction de Tatiana ! Rupert est à court d’objets vers lesquels nous guider, ce qui signifie que nous devons recourir aux cartes de ley lines. J’entends déjà Magnus maugréer alors que tu lui lis ceci. Oui, des cartes de ley lines du XVIIIe siècle, qui arrivent juste derrière les anciennes cartes célestes de Babylone en termes de facilité de lecture et de compréhension. Tu peux d’ores et déjà dire à Magnus qu’il n’a pas besoin d’enfiler son manteau, puisque nous avons contacté Ragnor Fell à la Scholomance pour qu’il vienne nous aider. Je soupçonne Ty de l’avoir harcelé jusqu’à ce qu’il accepte (bien que je n’en aie aucune preuve) mais il était assez aimable pendant son séjour. Aussi aimable que Ragnor peut l’être, s’entend.
Les ley lines nous ont suggéré deux endroits où l’on peut cacher quelque chose d’important : un club de gentlemen du Monde Obscur et une église, tous deux dans le centre de Londres. Nous avons décidé d’aller d’abord à l’église, qui s’appelle St. Mary Abchurch. (C’est juste une impression ou les noms britanniques sont parfois étrangement ridicules ? Emma l’a tout de suite surnommée « St. Church von Church » et maintenant je n’ai que ce nom en tête.)
Quoi qu’il en soit, St-Church-La-Grande-Church est une petite église en brique rouge sur Abchurch Lane (c’est une logique amusante). Nous avons pris le train puis le métro pour y aller. Le plus compliqué dans cette expédition, c’était peut-être bien de comprendre comment se déplacer dans ce système terrestre bizarre. L’église était plutôt calme et vide : c’était le milieu de l’après-midi et il y avait quelques touristes, mais je ne pense pas que ce soit assez connu pour que nous ayons eu des raisons de nous inquiéter. Nous n’avions pas dissimulé nos runes, et personne ne nous a remarqué de toute façon. Beaucoup de gens sont tatoués à Londres.
Nous avons parcouru toute l’église, faisant semblant d’admirer pensivement les statues commémoratives et les peintures sur les parois du dôme. Nous passions le Détecteur devant un maximum d’objets et attendions une réaction.
Sauf qu’il ne réagissait pas. Explorer toute l’église n’a pas été long. Comme je l’ai précisé, c’est petit.
Emma a fait remarquer que ce n’était pas parce que l’église se situait sur une ley line londonienne parmi tant d’autres que Tatiana y avait forcément placé quelque chose, puisqu’il y a beaucoup plus de ley lines que d’objets à trouver. Et elle a raison : nous sommes partis du principe que Tatiana n’était pas entrée par effraction dans une maison terrestre sur la même ley line pour y déposer un objet, mais ce n’est pas impossible venant d’elle. Ça aurait été très étrange, mais avec tout ce que nous avons appris sur elle, nous pouvons affirmer sans doute que c’était un étrange personnage.
Nous avons tout de même trouvé une piste : alors que nous étions sur le point de partir, Emma est allée voir un panneau qui expliquait l’histoire de l’église aux visiteurs. Il y avait tout un passage sur la Seconde Guerre Mondiale et la bombe qui a touché le dôme de St. Abchurch pendant le Blitz (Tessa était infirmière pendant le Blitz ; tu le savais ?). Ça parlait surtout du dôme et de ce qui a été détruit, combien de temps il a fallu pour le réparer, qui a réparé quoi… mais à la fin, il était écrit qu’un certain nombre des possessions les plus précieuses de l’église avaient été déplacées et mises en lieu sûr. C’était accompagné d’une illustration de ces possessions – je suppose que la plupart n’ont jamais été ramenées dans l’église – et maintenant, enfin, tu comprends pourquoi c’est à toi que j’écris et pas à Magnus !
Dans un coin de l’image, on voyait deux bougeoirs. Et ces bougeoirs présentaient un symbole que nous connaissons bien. Des flames. Pas n’importe quelles flames. Les mêmes que celles sur ta bague de famille. Avec un immense « L » stylisé.
Alors, est-il possible que toi ou Isabelle sachiez de quoi je parle ? Est-ce que c’est un Lightwood qui a sorti les bougeoirs de l’église ? Est-ce qu’on les a rendus à ta famille ? Je sais que les chances sont minces, mais il me semble que ce serait une drôle de coïncidence que des bougeoirs de Chasseurs d’Ombres se trouvent par hasard à St. Mary Abchurch. Fais-moi savoir s'ils vous disent quelque chose à toi ou à Isa, et embrasse les enfants pour nous !
Julian
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/684422588778332160/julian-to-alec
9 notes · View notes
fieriframes · 3 months
Text
Tumblr media
[In the pale dust I have discerned signs that frighten me.]
X - Mars Éditions
Sur le voyage du retour de Londres à Paris, j'ai lu Nuit Sans Fin encore et encore. C'était un livre très court; juste 9 poèmes étranges, chacun accompagné d'une photo encore plus étrange. Les première et dernière pages se composaient uniquement d'un triangle, un blanc et un noir. Les poèmes décrivaient une sorte de voyage à travers le monde souterrain. Des rituels magiques et une mythologie élaborée qui n'était pas facile à comprendre. Le vocabulaire était très compliqué; beaucoup de mots inconnus ou démodés. 
Par exemple, la première poème, simplement intitulé I:
Pour se réadapter Ces nombreuses hyènes Qui tout blêmit disparaissent doucement
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais j'ai compris sans comprendre. Ce livre pourrait révéler quelque chose, mais quoi ? Je ne savais pas. Après l'avoir lu en boucle pendant quelques jours sans progresser, je me suis rendu compte que le nom de l'éditeur était bien sûr mentionné au dos du livre. J'ai trouvé leur numéro de téléphone et j'ai décidé de les appeler.
Mars Éditions, bonjour ?
Oui bonjour, je vous appelle parce que j'ai une question sur l’un de vos livres; Nuit Sans Fin.
Pas de problème, comment puis-je vous aider ?
J'ai beaucoup de questions, en fait. Tout d'abord, je me demandais si vous saviez qui l'a écrit ?
Malheureusement, non. Je ne pense pas que cette information soit connue.
Ah, vraiment ? Tellement bizarre. Mais plus curieusement, il n'y a pas de date de publication dans le livre, c'était publié quand initialement ?
La première édition date de 2017, mais je pense que les poèmes sont beaucoup plus vieux. Il y a environ 300 ans, probablement.
Je ne comprends pas. Normalement, un livre comme ça comprend une sorte d'explication; un avant-propos, n'importe quoi. C'est intéressant que vous l'ayez publié juste comme ça, sans contexte ni sans aucune autre information.
Oui, en fait…(longue pause)
Vous êtes toujours là?
Oui. En fait c’est un peu difficile à expliquer. On est une entreprise familiale. L’entreprise a été fondée en 1869 par mon arrière-arrière-grand-père qui s'intéressait aux livres obscurs et mystérieux. Mon arrière-grand-mère, qui a repris l'entreprise, n'était pas différente.
Mais le livre Nuit Sans Fin est beaucoup plus récent et a sûrement été publié récemment?
C'est vrai, mais les circonstances sont compliquées.
Compliqué ?
Oui, après le décès de Michal, l'entreprise était déjà dirigée par sa petite-fille Ray depuis de nombreuses années. Mais il y avait des instructions très détaillées dans son testament à propos de ce livre.
Des instructions?
Comment le publier, quelles informations inclure, quelles photos utiliser, les photos du livre sont évidemment beaucoup plus récentes que les poèmes. Même la date exacte de la publication.
En quoi est-ce si important ?
1er Février, 2017. Le 555e anniversaire de Jean Trithème, ou Johannes Trithemius si vous voulez.
Trithème ?
Un personnage très intéressant. Il était un abbé bénédictin allemand célèbre pour ses découvertes en cryptologie, pour ses chroniques, mais aussi comme ésotériste.
Quel était le lien entre Michal et Trithème ?
En fait, le premier livre que Mars Éditions a publié était une réédition de Stéganographie, son ouvrage le plus connu. Ce livre se présente comme un traité d'angéologie d'inspiration kabbaliste, avec des explications pour communiquer sur de longues distances avec les esprits. À l'intérieur de ce livre, Trithème cachait de nombreux secrets. Il a effectivement inventé la cryptologie, l'art de cacher des informations.
Quel type d'informations ?
Je suis désolé, je dois prendre un autre appel. Au revoir.
Juste comme ça, je suis resté silencieux.
20 notes · View notes
perduedansmatete · 10 months
Text
bon, du coup hier après midi, sans grande surprise mon ami platonique me dit qu'il veut aller dans mon bar préféré parce que c'est un squatteur et que c'était la meilleure soirée ce jour là, sous entendu "viens avec moi" ce à quoi je lui réponds à mon regret que j'y vais déjà avec ma cousine, sous entendu "on va devoir se regarder de loin" (elle le déteste, en fait tout le monde le déteste, et officiellement, on ne se voit plus mdr) on passe donc l'après-midi à parler, il me dit qu'il a envie de moi, on prépare des plans pour se voir et on en rigole bien que ça ne me fasse pas vraiment rire en soi. le soir je retrouve ma cousine et sa nouvelle voisine/copine, en chemin on entend de la musique et des applaudissement venant d'un parc on trouve ça étrange, on pense que c'est chez des gens mais non, il y avait un concert de vieux qui faisaient des reprises. on reste jusqu'à la fin car il faisait bon dehors et qu'on avait l'impression d'être à une fête de village en vacances c'était sympa, sauf le premier relou de la soirée que je soupçonne d'avoir faire exprès de déverser sa bière sur nous pour pouvoir nous parler et ne pas nous lâcher. pendant ce temps je guettais mes messages entre l'ami platonique qui était déjà arrivé et mon super pote qui voulait essayer de passer pour qu'on se voit un peu (au final il est pas venu snif mais j'étais tellement en bad que c'est pas plus mal) puis on bouge au bar et s'en suit des moments terribles, tout le chemin mes deux partenaires espéraient que l'ami platonique ne soit pas là en lui adossant de petits surnoms très peu élogieux tout en déversant leur haine. (je me pose quand même beaucoup de questions, j'ai trop tendance à être amie avec des gens que tout le monde fini par haïr) évidemment la première personne que j'ai vu en entrant, c'était lui, et elles n'ont pas tardé non plus à le repérer. j'ai su directement que nos plans tombaient à l'eau et que je ne pourrais même pas lui faire un petit bisou en passant. on monte au vestiaire, je croise le pote du dernier mec que j'ai pécho et qui avait fini par (entre autres) m'étrangler parce que je ne voulais pas coucher avec lui. toute la soirée est étouffante, je lui parle par messages, il me fait dire les choses que j'ai entendu dans la bouche de mes copines à son sujet, il est à bout de nerfs, je le suis aussi, on veut chialer tous les deux. un mec vient à notre table, veut faire son intéressant, nous dit qu'on a toutes les trois l'air littéraires (?) est méprisant quand ma cousine lui dit qu'elle est maîtresse d'école, quand je connais pas son sociologue sorti d'un fond de tiroir qu'il ne savait même pas épeler, et quand la copine de ma cousine lui dit qu'elle ne connaît pas dostoïevski. plus le temps passe, plus je suffoque, je m'amuse pas, j'en ai marre. je veux rentrer chez moi mais je peux pas. l'ami platonique m'envoie des messages me dit regarde moi, mes partenaires se plaignent de sa présence, je le regarde pas. ma cousine est trop mal, on décide de rentrer, le chemin n'est pas long mais on a le temps de se faire siffler deux fois par deux mecs en bagnole, un autre trop bizarre nous raconte je sais pas trop quoi à un feu vert pour lui, on passe devant un commissariat et un connard nous balance de l'eau d'une fenêtre du commissariat comme il l'avait fait sur les passants juste avant, mais privilège féminin oblige, on a en plus le droit à un doux sifflement. on gueule mais on continue de marcher, un groupe de mecs passe et l'un d'eux se pousse pas alors que je ne pouvais pas le faire, il me regarde profondément et me bouscule à moitié, et enfin juste avant d'arriver un gars nous regarde trop chelou avec un sourire dégueulasse et n'arrête pas de se retourner vers nous en nous disant encore une fois je sais pas quoi pendant qu'on l'insulte. je finis par m'endormir avec l'autre folle (le chaton de ma cousine) qui joue avec mon bras tordu comme si j'étais son griffoir et je me réveille avec cette même folle qui essaie encore de me téter alors qu'on pensait l'avoir sevré. bref pas ouf/20, mais je m'attendais étrangement à pire en vrai.
19 notes · View notes
frisquette27 · 8 months
Text
Bonjour à tous !!
Voici enfin le chapitre 4 de UN PHILTRE SANS PHILTRE
Comme d'habitude ce n'est pas de la grande écriture (mais moi je m'amuse beaucoup) un grand merci à @miung-dreamer et à @kamomille9 pour leur soutien sur cette histoire :)
UN PHILTRE SANS PHILTRE : CHAPITRE 4
Un silence pesant régnait dans la pièce, le Roi légèrement avachi sur sa chaise attendait avec anxiété les remontrances de sa mère et de son horrible tante qui tardaient à venir ce qui ne présageait rien de bon, et pour clore le tableau ses beaux-parents les avaient rejoints dans la salle à manger. Il avait autre chose à gérer aujourd’hui, enfin surtout quelqu’un à gérer et ce n’était pas une sinécure. Le repas fut rapidement servi, aucun des serviteurs ne voulait s’attarder dans la pièce tellement l’ambiance était glaciale. La Tante d’Arthur posa bruyamment son verre et d’un air dédaigneux s’adressa directement au couple royal de Carmèlide.
« Donc vous devez être ravi, vous voilà à nouveau les beaux-parents du Roi de Bretagne, comme quoi les mariages mènent à tout »
Elle se tourna vers son neveu et toujours sur le même ton.
« D’ailleurs faudra m’expliquer pourquoi vous êtes allez la chercher l’autre cruche, elle n’était pas bien dans sa forêt ! »
« Oh l’autre cruche comme vous dites c’est ma fille ! »
« Et alors vous pensez que cela m’impressionne, et d’ailleurs on voit que vous l’avez bien éduqué votre fille, elle a le culot de ne pas venir nous saluer, elle se prend pour qui ? »
« La Reine de Bretagne » répondit sobrement Arthur
Avant que les sœurs de Tintagel puissent répondre la porte s’ouvrit avec fracas sur ladite Reine de Bretagne. Elle avait pris le temps de se changer avant de venir certes ce n’était pas la jolie robe quelle arborait ce matin mais ce n’était pas une de ses tenues habituelles d’apparat de Reine. Elle avait opté pour une robe légère qui épousait parfaitement ses formes.
Elle s’assit en silence à côté de sa belle-mère, Arthur s’était redressé sur son siège vivement à son arrivée. Oh pourvu qu’elle ait pris la tisane des enchanteurs se dit-il. Elle sourit et s’adressa timidement à Dame Ygerne.
« Je vous prie de m’excuser de mon retard Mesdames, je suis vraiment navré, j’ai eu ..une urgence et … »
« Une urgence de quoi, de broderie, vous n’allez pas me faire croire ma pauvre fille que vous ayez quoi que ce soit d’urgent dans votre vie ou ne serait-ce d’important » coupa Dame Cryda
« Vous n’avez aucun sens de la bienséance, quand vous recevez des personnes importantes vous devez au minimum vous présentez à eux dès leurs arrivés »
« Je pense que vous perdez votre temps ma sœur, une idiote pareille ne peux pas comprendre, d’ailleurs stupide comme elle est, je suis surprise qu’elle soit encore en vie, elle doit oublier souvent de respirer »
Guenièvre ne bougeait pas, un sourire sur les lèvres, elle encaissait les piques les unes derrières les autres. Arthur était soulagé à priori le remède devait fonctionner, il retrouvait sa femme timide. En vrai Guenièvre ne se laissait pas toucher par les propos de sa belle-famille, certes la tisane avait calmé son euphorie mais elle avait toujours la sensation d’être libre dans sa tête en tout cas plus libre que d’habitude. Donc elle se fichait royalement ce que vous pouvez dire ces deux mégères, elle se contentait de sourire, de toute façon elles seraient bientôt parties donc pas de vague, surtout pas de vague. Elle avait cessé de les écouter puis elle comprit que les insultes avaient changé de cible et son humeur changea, la colère revenait au grand galop. Elle serrait les poings sous la table, elle devait se retenir.
« Qu’est ce que vous voulez ma chère sœur avec un guignol pareil, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose, de toute façon je vous l’ai toujours dit un batard reste un batard »
La reine se mit à remplir excessivement son assiette, le visage fermé, extrêmement concentré à ne pas craquer.
« Ben qu’est ce qu’elle nous fait celle là encore, vous avez perdu du poids pendant votre petite escapade et du coup vous comptez vous rattraper, de toute façon oublié, vous ne plairez jamais à l’autre pignouf » dit Dame Cryda puis en s ‘adressant au Roi « Parce que ça aussi vous n’êtes pas capable de le faire, ben oui l’héritier, en même temps quand on vous voit on comprend qu’il ne vaut mieux pas se reproduire, il pourrait être aussi minable que vous. Vous nous avez toujours fait honte ! D’ailleurs vous êtes bien un enfant non désiré, qui voudrait d’un enfant comme vous ! »
S’en était trop pour Guenièvre, elle se leva vivement de sa chaise tout en attrapant son assiette
« Oh mais vous avez raison Dame Cryda, mon assiette est vraiment trop pleine, stupide comme je suis je vais être obligé de tout jeter à la poubelle » dit Guenièvre exagérément gaie, se caricaturant elle-même.
Elle se plaça derrière Dame Cryda et renversa tout le contenu de son assiette sur la tante d’Arthur qui poussa un cri d’effroi.
« Ben quoi ! » dit la Reine alors que Dame Cryda se levait en hurlant « j’ai jeté à la poubelle ..parce que c’est ce que vous êtes une poubelle, vu toute les ordures qui sortent de votre bouche »
« Mais vous n’êtes pas bien ma pauvre fille »
« Alors je vais faire très simple puisque à priori je suis stupide alors vous ouvrez grand vos oreilles car je ne me répèterais pas, vous dites encore une fois, une seule fois du mal d’Arthur et ce n’est pas de la nourriture que vous prendrez dans la figure mais mon poing »
Le Roi s’était levé choqué par la scène mais il ne put s’empêcher de sourire à la situation, à priori la potion devait encore faire effet mais il était touché que sa femme ai pris sa défense. Elle avait encaissé toutes les critiques qui la concernait mais n’avait pas supporté que l’on dise du mal de lui. Une chaleur tourna dans son ventre, il repensa au baiser dans le laboratoire, la chaleur atteint ses joues. Il allait de surprise en surprise aujourd’hui, il devait se l’avouer ce n’était pas pour lui déplaire.
Plus il la regardait, plus il la trouvait jolie sa femme, oui SA femme, il avait quand même de la chance de l’avoir avec lui dans le fourbi que pouvait être sa vie. Il regrettait de plus en plus son serment, d’ailleurs pourquoi se raccrochait il encore à ce serment. Il fut coupé dans ses pensée par sa mère.
« Et vous ! Vous ne dites rien, vous la laisser faire, vous la laissez nous parler de la sorte, jamais du temps d’Uther une telle chose se …. »
« Ah non » la coupa la jeune femme « Vous n’allez pas encore nous bassiner avec votre Uther, vous n’avez que ce nom à la bouche, franchement après tout ce que j’ai entendu sur lui on ne peut pas dire que c’était quelqu’un si bien que ça. Et puis Zut vous avez raison, on ne peut pas comparer Arthur à votre fabuleux Uther, oui on ne peut pas comparer le meilleur Roi que la bretagne est connue à un tyran. Arthur vaut mieux que dix de vos Uther, Arthur il est intelligent, juste, gentil et même très beau enfin vous … vous devriez être fière d’être sa mère, Voilà !»
La mère d’Arthur se rassit indiquant par un geste de faire de même à sa sœur.
« Celle-là, je ne l’avais pas vu venir depuis quand avez-vous ce genre de caractère ? Non ne vous m’éprenez pas j’apprécie qu’une reine ne soit pas une petite chose sans défense mais disons que vous passez d’un extrême à l’autre »
Guenièvre tendit une serviette à dame Cryda tout en montrant sa propre joue.
« Vous ferez attention vous en avez un peu là ! Ce n’est pas que votre compagnie est désagréable en vrai si elle est désagréable mais bon j’ai autre chose à faire »
Elle sentait bien que les effets de la potion revenaient au galop, elle préférait pour le bien être du Royaume de s’éloigner des deux femmes. Elle partit donc sans un geste ou surtout une parole supplémentaire. Arthur voulu la rattraper mais le bras de sa mère l’obligea à se rassoir.
« Vous la verrez plus tard, nous n’avons pas fait toute cette route pour une simple visite de courtoisie, nous devons discuter, vous devenez de moins en moins populaire auprès du peuple. »
« Ah ben tiens ça faisait longtemps, et vu que je suis un gros guignol du coup que dois-je faire pour que ma cote de popularité remonte »
« Ne le prenez pas comme ça » dit sa mère
« Vous devez replanter l’épée » dit Dame Cryda
« Cela rappellera que vous êtes le Roi » enchaina sa mère
« Non, mais ça va bien, je suis le Roi, j’ai pas à leur rappeler toutes les cinq minutes à toutes cette bande crétin »
« Dans ce cas il n’y a pas trente six solutions, il faut un héritier »
« Ben pour une fois je suis bien d’accord avec vous, on ne va pas l’attendre cent sept ans l’héritier » répliqua Dame Séli
Arthur s’était adossé à son siège, n’écoutant plus la conversation entre sa mère et sa belle-mère, perdu totalement dans ses pensées. Un héritier, avoir un enfant avec sa femme, ce n’était pas la première fois qu’il pensait aux conséquences de son serment, au-delà de la distance qu’il avait dû instaurer entre lui et sa femme, ne pas avoir d’héritier était la conséquence qui le taraudait le plus. Pourtant aujourd’hui plus que les autres, il se demandait si n’était vraiment pas le moment de dire adieu à son ancienne vie et de renoncer à son serment. Cela le tentait quand même beaucoup d’avoir un enfant et surtout avec sa femme. Le souvenir de leur baiser dans le laboratoire le hantait, il devait aller retrouver rapidement sa femme.
Au détour d’un couloir Guenièvre tomba sur sa suivante, elle avait les joues rosies, les yeux brillants
« Oh ma Reine » Angharad fondit en larme
Oubliant toute retenue la Reine la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux affectueusement.
« Ne vous mettez pas dans des états pareils, qu’est ce qui ne va pas ? »
« Non ma Reine, tout va bien, même très bien, je pleure de joie et c’est à vous que je dois ce bonheur » 
« Oh ! » comprit elle « Il vous a demandé en mariage ! »
« Oui, oui » répondit Angharad tout en fondant de nouveau en larmes.
« Oh mais ne pleurez plus c’est merveilleux, vous allez épouser l’homme que vous aimez. Vous allez devenir une femme de chevalier. Oh mais c’est merveilleux vous allez pouvoir être officiellement mon amie »
« Vous allez devoir me trouver une remplaçante, je suis vraiment désolé du désagrément Madame »
« Ne vous inquiétez pas pour ça ! J’ai déjà ma petite idée » dit-elle en riant
Elle relâcha sa suivante et recula vivement, ce qui fit sursauter cette dernière. La Reine était prise tout à coup d’un doute, si le projet idiot des seigneur Perceval et Karadoc était mené à bien, Angharad devra quitter le château pour suivre son mari. Ah non, elle n’allait pas perdre son amie la plus fidèle, mais empêcher la création de ce clan autonome signifiait que l’autre morue restait au château. Cela revenait à choisir entre son amie et son ennemie. Le registre, oui c’est ça le registre pourquoi elle n’y avait pas pensé avant.
« Angharad, il faut que je parle absolument à votre fiancé. Ou est-il ? »
« Parti en mission avec le seigneur Karadoc »
Bon à la taverne quoi ! se dit la Reine, elle n’allait quand même pas aller à la taverne toute seule. Oh et puis pourquoi pas. Elle laissa en plan sa suivante et parti en courant vers les écuries.
13 notes · View notes
ink-flowers · 1 year
Text
Tumblr media
Hello Tumblr. J'ai l'impression que ça fait un siècle que je ne suis pas venue ici...
Je vous donne quelques nouvelles.
Ma vie de raleuse insatisfaite professionnellement est révolue. Une page se tourne. Ma vie a évoluée, en bien. Je suis enfin posée, sereine et épanouie. Ma nouvelle vie pro a changée ma vie. Ce n'est pas tous les jours rose mais pour rien au monde je ne retournerais en vente. Fini le commerce. Basta j'ai assez donné. Physiquement et mentalement.
Je profite d'un nouveau rythme. Je souris, je ris, je kiffe ma vie.
Je travail avec une super équipe et une chef d'enfer, dans une entreprise qui valorise ses salariés et qui pense à leur bien être. Ça me fait encore tout drôle parfois. J'ai toujours l'impression que quelque chose va me tomber sur le coin du nez mais non... je suis juste dans une bonne entreprise. J'ai des horaires de bureau à la cool, je fais du télétravail et j'ai des primes sans avoir à les demander. Quelle belle avancée n'est-ce pas ?
Dans quelques semaines, cela fera un an que j'ai pris un risque pour éviter le burn-out et pour privilégier ma vie perso. Un an où je n'ai pas eu envie de démissionner ou que j'ai regretté mon choix.
Avec Doudou tout va parfaitement bien. On s'accorde des petits plaisirs de la vie qu'on ne pouvait pas s'offrir jusqu'ici. On prend du temps pour nous. On apprecie enfin notre vie de trentenaire
Notre vie à 2 avec les zamours nous convient toujours et on est pas prêt de changer. On subit, surtout moi, toujours le jugement des personnes peu ouvertes d'esprit qui ne comprennent pas nos choix de vie, comme le faite d'enfanter et de nous unir ne soit pas dans nos projets. Mais vous savez quoi...
Tumblr media
#This is Our life
On ne fera jamais taire ce genre de personne mais bon... On ne changera pas pour autant donc tant pis.
Tumblr media
Tumblr a été un excellent compagnon pendant des années. Un véritable pansement. Merci à ceux qui liront mon pavé (je ne change pas mes habitudes 😁) et qui sauront par quoi je suis passé. Peu des anciens seront là, mais je vois encore quelques pseudos dans mon fil qui me sont familiers. Alors... toi qui lis... Merci de ta patience, de ton temps et de ta bienveillance. Ça m'a fait un bien fou de vivre cette aventure. C'était fun. J'espère avoir pu te rendre lappareil à un moment donné.
Tumblr media
Une page se tourne pour moi. Et l'idée de vous quitter définitivement me trote dans la tête.
Je continue à vous lire de temps en temps. Mais je ne ressens plus le besoins de me confier. J'ai un sentiment d'apaisement. Comme si j'avais été au bout d'une thérapie.
A voir... mais ça en prend le chemin.
Tumblr media
24 notes · View notes