Tumgik
#musique pour sommeil
fitnessmith · 1 month
Text
Café et sommeil profond, ce que vous devez comprendre
NOUVEL ARTICLE ET VIDÉO : Café et sommeil profond, ce que vous devez comprendre. Lien en bio @fitnessmith ou sur mon site.
Vous voulez savoir si le café va affecter votre sommeil profond ? Dans cet article, je vais répondre à vos questions sur la qualité du sommeil et la prise de caféine.   Le café, ami ou ennemi du sommeil ? Une méta-analyse[1] a exploré les effets du café et de la caféine sur le sommeil. Vous n’êtes peut-être pas consommateur de café, mais vous trouverez de la caféine ailleurs. Les sodas et…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
La musique apaisante : Méditation et relaxation.
La musique apaisante pour la méditation et la relaxation profonde Imaginez un monde sans tensions, sans stress, juste un apaisement profond et une relaxation sereine. C’est possible grâce à la musique. Comment ? C’est ce qui sera profondément exploré dans cet article. D’abord, le rôle clé de la musique dans la méditation et la relaxation est discuté en détail. Ensuite, les avantages de la musique…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
sous-le-saule · 9 months
Text
Le musicien fantôme
- Messieurs !
Je n’obtiens pour réponse que des rires gras et des regards goguenards à ma tenue, qui détonne dans ce troquet de marins – voire de pirates, si j’en crois l’homme qui m’a indiqué le lieu.
Je me racle la gorge et insiste :
- Messieurs, je suis à la recherche d’un bateau et d’un équipage pour une aventure audacieuse, mais dont la rétribution sera à la hauteur du péril !
Des mines perplexes remplacent les rires.
- Il dit que ce sera dangereux mais bien payé, traduit un marin qui ressemble assurément à un pirate.
Anneaux dorés aux oreilles, tricorne vissé sur la tête, longs cheveux bouclés, un visage ma foi assez civilisé par rapport au reste des clients – il a l’air d’avoir toutes ses dents, ce qui constitue déjà un heureux contraste avec les autres.
- Aaaaah, font-ils en cœur, contents d’avoir compris.
Cela va être plus compliqué que prévu, comme me le confirme le regard amusé que me lance mon « traducteur ». Je suppose que quelqu’un qui viendrait pour s’encanailler pourrait le trouver séduisant.
- C’est quoi, votre aventure, milord ? m’interpelle un chauve à la chemise tachée de vin, me ramenant à mon affaire.
Bien que le ton ironique de son « milord » ne m’ait pas échappé, je lui réponds aussi gracieusement que possible :
- Je veux trouver le Musicien fantôme et monter à son bord.
Les buveurs sont partagés entre ricanements, ahurissement et peur non dissimulée – il y en a bien cinq qui se sont signés. Ils semblent cependant s’accorder sur un point : je n’ai pas toute ma tête.
- J’ai bien conscience de la réputation de ce navire mais je suis certain que de fiers gaillards comme vous –
- Et vous lui voulez quoi, au Musicien fantôme, exactement ? m’interrompt l’homme au tricorne.
J’hésite à dire la vérité. J’aurais dû préparer un mensonge à base de trésor pour les appâter, je m’en rends compte à présent, et je suis un trop piètre menteur que pour pouvoir improviser.
- C’est une histoire un peu compliquée…
- On aime tous les histoires, pas vrai, les gars ?
Il a raison, s’il faut en croire la façon dont les marins sont suspendus à mes lèvres.
- Eh bien, voilà. Je suis compositeur. Je… j’invente des musiques.
Je ne sais pas trop ce qu’ils comprennent ou non, peut-être suis-je en train de commettre un impair en leur parlant comme à des enfants. Tricorne réprime un sourire. Je continue tant bien que mal :
- Il y a quelques mois, j’ai rencontré fortuitement… par hasard… un des rares rescapés d’une rencontre avec le Musicien fantôme. Il m’a chanté la chanson avec laquelle les musiciens du bord attirent les autres bateaux. Il était complètement obsédé par elle. Il l’entendait encore chaque nuit dans son sommeil, disait-il.
- Eh ben quoi ? lance un garçon bien trop jeune pour fréquenter un tel endroit.
- Il se trouve que, cette musique, exactement la même, je l’ai composée il y a deux ans. Ne la trouvant pas très bonne, je ne l’ai jamais fait écouter à personne, et j’ai enfermé la partition dans un tiroir.
- Bah, c’pas possible, ça, fait un marin à la panse rebondie, manifestement un des plus malins de la bande.
D’autres acquiescent de façon un peu hésitante, pour faire comme s’ils avaient suivi son raisonnement.
- Précisément. Il me faut comprendre cette énigme. Je n’en dors plus.
Le malin pose sa chope et semble se faire le porte-parole de tous en m’assénant :
- J’serais vous, je trouverais un moyen de dormir pasque personne y va risquer sa vie, celle d’son équipage et son bateau pour répondre à vot’ petite question.
- Mais je vous paierai très cher ! J’ai de l’argent !
Ils secouent la tête, se détournent, retournent à leurs conversations et à leurs jeux. Trop tard, je les ai perdus.
Un seul regard me fixe encore. Celui de Tricorne. Il joue avec une de ses boucles d’oreille d’un air pensif. Puis, il tape du plat de la main sur la table et annonce d’une voix forte :
- J’en suis !
14 notes · View notes
sarahaubel · 6 months
Text
Star Ac' et pipes à crack.
Tumblr media
Je ne vais pas mourir aujourd’hui. Je le sais car j’ai demandé au pendule que Clotilde m’a offert samedi dernier. Par contre le con il a pas sû me donner la date de mon rendez-vous avec la Fin. Vraiment ça sert à rien ce machin. En revanche ce que je sais c’est qu’hier soir j’ai senti sous mes doigts une petite bille dans mon sein gauche, ou c’est le droit. Gauche par rapport à qui. Ça y est je m’embrouille. Bref, un truc qui n’a rien à faire là où je l’ai trouvé. Parce que les billes normalement on joue avec dans la cour quand on a 8 ans, on est pas censés les ranger dans ses nichons quand on en a 35. Enfin en 1972 je veux dire, les billes, parce qu’aujourd’hui j’imagine plutôt les pré-ados jouer aux mikados avec des pipes à crack. Fissa j’ai pris rendez-vous avec Docteur Quin. A une lettre près je consultais une star de sitcom c’est dommage. La mienne a 67 chats, mesure 1m90 au bas mot et fume des clopes dans son cabinet entre deux patients. Je l’aime beaucoup. En attendant le verdict et comme je suis une personne mesurée ce matin je me suis mis en tête de choisir la musique de mes funérailles. On prévoit jamais de mourir à 35 ans mais en même temps mon pote Guillaume il avait pas prévu de mourir à 17 et ses parents lui ont passé l’hymne de la Star Ac’ à l’église. Damn. Mon père adore Zaz. Soyons pragmatiques. Organisons-nous. Que vous dire d’autre avant la fin… J’aime pas les orchidées. Les compo d’interflora me filent de l’urticaire. Je veux être incinérée dans un cercueil low-cost. Gaspillez plutôt votre argent dans une bouteille d’Hennessy XO que vous boirez au goulot à ma santé. Je souhaite que mes cendres soient jetées dans l’océan, celui des Landes de préférence. Mais pas sur la plage de mon camping naturiste favori. Bien qu’imaginer tous mes proches à poil lors de mon dernier envol me fait quand même marrer. M’enfin bonjour les souvenirs pour plus tard lorsqu'ils se feront griller la saucisse au soleil en plein mois d’août, obligés de penser à leur pote morte qui leur flingue un peu le paradis (pas celui d’en haut avec les vierges tout ça, celui d’en bas où les gens sont tous nus sous les pins). Si la casse-bonbon du crématorium, la fille avec les cheveux derrière les oreilles et le tailleur prune de chez Cache-cache vous dit “non mais c’est interdit maintenant les urnes doivent rejoindre une concession gniagnia mesures sanitaires gniagnia un protocole gniagnia”, flanquez lui votre genoux entre les jambes et partez en courant (sans oublier l’urne ce serait idiot). Je serais pas contre une dernière course poursuite en Fiat Punto. L’idée d’être enfermée dans un vase, ça m'angoisse. Au pire renversez-le sans faire exprès “oups pardon quelle maladroite”. Je préfère finir dans un caniveau que dans un tiroir. Et pour terminer si vous pouvez glisser une invitation à Josh Hartnett n’hésitez surtout pas.
PS : Les meufs, on le dira jamais assez, palpez-vous les miches, pétrissez vos tétés, examinez vos loches. Il n’y aura probablement rien mais un jour vous pourrez tomber sur une petite nouvelle, qui elle-même ne sera probablement rien. Dans le doute. Les crabes se cachent parfois derrière les billes.
Ma playlist pour le jour J :
I will survive - Gloria Gaynor
Respire encore - Clara Luciani
Santé - Stromae
J’ai oublié de vivre - Johnny Hallyday
Le Grand Sommeil - Etienne Daho
Breathe - Sean Paul
I Feel better - Hot Chip
Gravé dans la roche - Sniper
Plus près des étoiles - Gold
Je reviendrai - Dick Rivers
Les adieux d’un sex-symbol - Starmania
Cache ta joie - Claudia Phillips
Taking me back - Jack White
Mourir sur scène - Dalida
L’adresse de Josh Hartnett :
Josh Hartnett Entertainment 360 10100 Santa Monica Blvd Suite 2300 Los Angeles, CA 90067 États-Unis
8 notes · View notes
Text
Quelques trucs bien. Juillet 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme.
M’entraîner à la poésie et redécouvrir les poèmes à forme fixe
Tenir bon face à maman qui lutte et demande (exige parfois) de continuer de faire « comme avant » alors qu’elle n’en a plus la capacité physique et mentale. Savoir que l’enjeu est une question de vie ou de mort. L’accepter pour elle, qui est dans le déni et le chantage affectif
Refaire le monde tard dans la nuit. Revenir avec humilité sur les rêves de jeunesse et le principe de réalité. Et puis me taire et laisser parler les donneurs de leçons
S’habiller dans toutes les nuances de la « Pink Party » et porter des lunettes extravagantes. Décorer le jardin de papier. Siroter un cocktail au romarin. Préparer une playlist de musiques entraînantes. Danser jusqu’à minuit dans le jardin. Faire un peu semblant de voir la vie en rose
Penser la poésie comme un casse-tête, bref me prendre au jeu du son et du sens
Recevoir mon parrain et ma marraine à la maison afin qu’ils prennent conscience de l’état dégradé de maman. Profiter de la vie tant qu’on peut. Les trouver heureusement inchangés, eux
Recommencer à écrire de la poésie. Commencer à s’entraîner pour les #30jourspourécrire
Organiser une Pink Party avec les copines
Aller au cinéma entre filles (ma sœur et mes deux nièces) pour voir Barbie. Rire et pleurer en conscience des injonctions paradoxales. S’en trouver regonflée et rassérénée avec l’espérance d’un avenir d’égalité homme femme
Perdre la face en amenant maman à son activité de bénévole, alors qu’elle n’en est plus capable. Rester en doublon jusqu’à ce qu’elle demande de rentrer à la maison. L’expérience aura duré deux fois 45 minutes, à deux jours d’intervalle. Décider pour elle et moi que c’est la dernière fois
Passer trois jours avec ma fille, son compagnon et le bébé. Pouponner (les trois)
Recommencer à écrire aussi. Tout doucement avec un haïku
Recommencer à lire. Enfin, plaisir des vacances
Dormir, puis faire la grasse matinée, et encore la sieste pour récupérer du sommeil en retard. Étaler la cure sur 3 jours
Finir l’année scolaire sur les rotules et sur les nerfs. Laisser couler les larmes lors de la dernière soirée. Me sentir bizarre encore mais trouver des collègues empathiques
Manger une paella lors d’une tablée à 25 personnes. Me souvenir des repas de famille où c’est ma grand-mère qui était aux fourneaux
Fêter des anniversaires en dizaines. Laisser un paquet cadeau incognito et recevoir un message de remerciement le lendemain matin
Attendre le mois prochain pour le défi en écriture annuel. Me sentir pourtant sans ressources
Préparer de nouveaux outils pour les collègues à la rentrée. Tirer bénéfices de la dernière formation avec des pictogrammes
Choisir sur cintre une robe par jour, varier les couleurs avec l’humeur estivale
Apprendre par hasard que mon ex est dans une nouvelle relation sentimentale et qu’il a pris un 3ème poste professionnel. Rien de surprenant, rien à envier. Me sentir soulagée d’être dans ma vie
Acheter un album messager pour mon petit-fils qui grandira avec le regard et les mots de ses parents. Écrire son histoire avec le temps qui passe
Rencontrer la médiatrice des ateliers pédagogiques du Musee d’art concret. Faire des projets ensemble sur la même perspective, celle de la valeur de la culture et de l’art accessible à tous
Écouter les cigales chanter l’été dès le lever du jour : 5h45. Il fait déjà trop chaud
Fêter le départ de la cheffe de service. Me laisser emporter par ses larmes de regret et de reconnaissance. Partager l’émotion
Manger au restaurant d’application et d’insertion dans un cadre magnifique. Trouver une équipe bienveillante et efficace. Prendre des contacts pour le réseau professionnel. Envisager d’en faire un lieu de stage pour les jeunes
Bénéficier d’une formation théorique et pratique, de qualité. Se sentir renforcée pour les nouveaux projets. Envisager des lectures offertes de mythes
Améliorer la maison. S’y sentir confortable
Profiter de l’absence de mon fils pour faire le tri dans les vieilleries : photos, souvenirs, fringues, etc. Me sentir allégée et soulagée
Passer des stridulations des cigales à celles des grillons, plus subtiles. Écouter venir la nuit dans la splendeur rose et bleue du crépuscule
Tumblr media
10 notes · View notes
les-portes-du-sud · 8 months
Text
Dix Sept. 26.08.2023
Dix-sept marches et il est à l'autel. Dix-sept seulement. La mairie est inondée de soleil, de fleurs et de rubans partout, et d’une lueur insupportable. Le cœur bat dans la poitrine jusqu'à devenir assourdissant, comme si le son interne des tambours coupait tous les sons externes. Un piano à queue se dresse à droite de la salle de cérémonie, ses côtés laqués blancs étincelants. Le couvercle est ouvert et son ventre sans fond scintille, il est plein de roses. Une jeune fille en robe de mariée blanche est assise sur une chaise près du piano : le satin et la dentelle luisent, soulignant les débordements nacrés de la peau délicate, sa fragilité et son impuissance. Une coiffure haute s'élève en vagues sombres sur un cou fin, comme un nuage d'orage sur un tronc de bouleau. Il ne voit pas son visage, car il s'approche de la pianiste par derrière. Il ne voit jamais son visage.
2. Dix pas, le piano se rapproche, invités et témoins se figèrent d'anticipation. Peut-être que la musique est bonne. Elle a dû les émouvoir, réveiller des prémonitions et des souvenirs dans leurs âmes. Amira était une merveilleuse pianiste. Le soleil perce les épaisses baies vitrées en les irisant. Ici, ils sont allongés sur le piano avec deux bandes écarlates, le barrant, les notes posées sur le pupitre, les touches se rapprochant des doigts fins en gants de mariage blancs. Il aimerait entendre ce qu'elle joue, mais son cœur continue de s'étourdir, éclatant de temps en temps de douleur. Il arrive.
Cinq pas et il sursaute sous le tonnerre des applaudissements. Le jeu est terminé et la mariée se lève du piano, repousse maladroitement la chaise, redressant sa jupe trop longue, dénouant la traîne sous ses pieds. Elle se tient face à ceux qui sont assis et debout, et les boucles de sa coiffure qui encadrent son visage le cachent complètement de son regard. Bientôt.... Il reste un pas et il tend la main pour lui toucher légèrement le coude, elle commence à se retourner dans sa direction. Lentement, comme à travers l'eau, comme à travers un verre visqueux, il voit comment une volée de colombes arrive, battant de manière assourdissante leurs ailes blanches, même s'il n'est pas encore temps de les relâcher. Des pétales et des plumes remplissent l'air, clignotant devant ses yeux... l'empêchant de voir son visage, il ne la voit jamais .
Il passe ses mains sur son visage et sent de la sueur mêlée de larmes sur ses doigts. Le cœur bat toujours de façon assourdissante. Mais non, on dirait que les voisins frappent au mur. Il devait encore crier dans son sommeil. Il crie toujours quand il rêve d'elle. Et il ne voit jamais son visage. Il ne voit pas dans son sommeil.
Il quitta son lit et entra dans la cuisine, fume et essaie de se calmer... Une autre nuit d'insomnie.
Les-portes-du-sud
9 notes · View notes
happy-traditional-mom · 2 months
Text
Il faut se ressaisir
C'est fou a quelle point ce déménagement m'a perturbé ! Seigneur, j'ai l'impression d'être submergé de choses a réglé... nous avons voulu agrandir notre lit, et passé d'un 140 a un 160... quelle erreur.... le lit que nous avons pris est trop haut... premier point dangereux pour notre fille... elle ne peux plus descendre du lit seule, ce qui a mon sens est un frein pour son autonomie, le lit la depasse...et c'est fou comme 20 cm font la différence au point de vue sécurité de la pièce... nous allons donc tout renvoyer, et repasser au 140... tant pis pour notre place de sommeil !
Point positif de ce déménagement, la buanderie, le balcon, la seconde chambre ( qui me servira de salle de musique) focalisons nous la dessus !
jehovah donne moi la force de m'occuper du reste de la maison, et de gérer ces soucis qui mettent le bazar dans mon cerveau de maman autiste ! Amen
3 notes · View notes
cestdanslatete · 11 months
Text
Je suis partie, ce week-end, au mariage de ma meilleure amie. C'était le premier mariage auquel j'assistais (qui plus est, en tant que témoin (j'ai d'ailleurs appris l'expression "témoin majeur" (et, sinon, on peut être plusieurs fois témoin, dans sa vie ?))) et j'ai beaucoup aimé l'expérience. J'y ai ressenti beaucoup d'amour ; dans le choix des mots pour les discours, dans celui des musiques dédicacées. Gros coup de foudre, enfin, pour la "salade olivier" 🔥 (la version iranienne) et pour les chambres du haras dans lequel nous logions (à jamais dans mon cœur : les tableaux représentant des chats que je n'ai pas pensé à prendre en photo).
Hier, lorsque j'ai dû préparer à nouveau mon sac pour partir en séjour avec mes collègues, j'ai senti l'anxiété m'envahir. J'ai repensé à tous les mails à traiter, les manip' à faire sur nos plateformes, les articles à rédiger, la peur de ne pas être à ma place… J'ai respiré un bon coup, et puis j'ai pris la ligne 6, parce qu'il fallait bien décoller, et je suis arrivée devant le TGV 3 minutes avant son départ (🤙 easy 🤙).
On a bu un café dans un bar avec un mur couvert de vieilles valises, on a pris un TER dont l'une des gares d'arrêt est Saint-Sébastien Pas Enchantés (salut, c seb, pas enchanté), on a pris place à bord de 2 CV pour parcourir les routes et résoudre des énigmes, on s'est acheminés vers notre hôtel magnifique (et là, clairement, je suis reconnaissante de pouvoir profiter de trucs aussi cool) pour déposer nos affaires, on est ressortis pour une BALADE EN BÂTEAU (le meilleur truc (bonne bouffe, bons vins, une lumière incroyable, de chouettes paysages, une enceinte pour se faire des blind tests)), après une mini poignée d'heures de sommeil, on a savouré un bon petit-déj' (toujours l'impression d'être une reine dans ces moments-là) (+ un des signes que le buffet était bon = pain aux céréales au moelleux et à la température parfaite), on a marché vers plein d'endroits (Machines qui étaient fermées pour cause de mouvement social (ON EST LÀ 💪), tour LU, château, cathédrale), on a encore bien mangé (tartare à l'italienne) mais en deux-deux pour ne pas rater le train du retour.
Pour moi, c'est important de noter ces petits détails ; autrement j'oublie.
8 notes · View notes
gerceval · 1 year
Text
Le Choix - chapitre 9
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
Tumblr media
- Oui bon bah ça va c’est pas non plus la peine de démonter la porte !
La voix de Merlin était tout engoncée de sommeil. Arthur ne pouvait pas lui en vouloir ; il n’était même pas tout à fait six heures du matin.
- Ah mais c’est vous seigneur Lancelot ? Je savais que vous étiez un lève-tôt mais enfin quand même…
- Je peux entrer là ?
- Si c’est encore pour m’engueuler que votre potion pour avoir les dents blanches est pas encore prête ça sert à rien, je peux pas aller plus vite que la musique !
- Ma… ? Nan mais c’est pas ça là, laissez-moi entrer deux minutes.
Merlin s’écarta de l’encadrement de la porte pour le laisser passer. Arthur fut immédiatement pris à la gorge par une odeur presque insoutenable.
- Mais qu’est-ce que c’est, vous faites mijoter de la bouse là-dedans ?
- Ah commencez pas, vous savez bien que c’est votre potion d’épaississement des cheveux qui fait ça, donc avec tout le respect ce serait mal venu de me faire ch-
- Bon bref, c’est pas pour ça que je suis là, d’autant que l’épaississement des cheveux je m’en fous pas mal. Bon accrochez-vous parce que ç’en est une sévère celle-là. Vous pensez que je suis le seigneur Lancelot, là comme ça. Eh ben en fait non, je suis le roi Arthur.
Merlin resta silencieux quelques secondes.
- Là vous êtes le roi Arthur ?
- Comment ça là, je suis le roi Arthur, c’est tout. Mais j’ai pris l’apparence de Lancelot.
- Pourquoi vous avez fait ça ?
- Mais j’ai pas fait exprès espèce de con ! On s’est pris un sortilège sur le coin du pif et on a échangé d’apparence, c’est pas la meilleure de l’année celle-là ?
- Un sortilège ? Ça a l’air puissant comme sortilège ça, je serais pas rassuré si j’étais vous, ya peut-être des effets secondaires…
- Ah bah super, merci, heureusement que je viens vous voir !
- Et pourquoi vous êtes pas venus tous les deux, peut-être que j’aurais pu mieux vous aider ?
- Nan mais parce qu’on s’est frittés là, bon… Pourquoi, vous avez une solution où il faut qu’on soit tous les deux ensemble c’est ça ?
- Ah bah une solution non, mais bon j’aurais pu me faire une idée… Vous vous êtes frittés à cause de quoi ? ajouta-t-il tandis qu’Arthur levait les yeux au ciel.
- Je vous en pose des questions ?
- Oh allez, vous pouvez bien me dire… Et le roi il en pense quoi ?
- Le roi ? Mais non mais c’est moi le roi ! s’emporta Arthur. Je vous dis qu’on a échangé de corps, j’ai le corps de Lancelot mais c’est moi, le roi Arthur ! Donc vous allez me trouver une solution pour que je retrouve mon apparence, ou je vous fais catapulter par-dessus le mur fortifié de l’arrière-cour !
- Ah oui oui pardon, bon bah ça va je me suis planté c’est pas la peine de gueuler ! C’était pour voir si vous suiviez, de toute façon.
- Pour voir si ? Je suivais ?
- Ben oui, continua Merlin, comment je peux savoir que vous êtes pas tout simplement Lancelot qui voudrait que je le transforme en roi Arthur ? C’est pas comme si ça s’était jamais vu !
- Comment ça, parce que ça s’est déjà vu que Lancelot veuille que vous le transformiez en roi Arthur ?
- Nan mais pas Lancelot, mais vous êtes le mieux placé pour connaître l’histoire, Uther, le duc de Gorlais, tout ça, je vais pas vous la refaire ! Alors moi, je suis désolé, mais je ne préférerais pas m’immiscer dans vos petites histoires.
Arthur ne pouvait pas nier que le parallèle était malheureux. Mais que répondre à Merlin, si ce n’était qu’il était bien Arthur ?
- Comment je peux vous prouver que je suis bien le roi Arthur ?
- Ah ben ça j’en sais rien c’est à vous de me le dire !
- Bon écoutez, si je reviens vous voir avec Lancelot, qui pourra vous expliquer qu’il est bien Lancelot et que je suis bien Arthur, vous verrez bien que c’est pas juste moi qui vous mens !
- Qui ça « moi » ?
- Ben moi quoi, moi, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !
- Nan mais je vous embête sire. Revenez me voir avec Lancelot, mais je peux vous dire que s’il a la tronche du roi Arthur, ça m’étonnerait qu’il ait envie de l’abandonner si vite que ça. Vous imaginez ce que ça doit lui faire ?
- Ah bah j’imagine assez bien ce que ça fait d’avoir la tronche du roi Arthur, oui, ironisa Arthur.
Ce n’était pas comme si ce doute ne lui était jamais venu à l’esprit. Il savait tout ce que Lancelot lui enviait, et à quel point sa droiture devait lutter contre sa détermination à toujours obtenir tout ce qu’il voulait. Lancelot avait toujours été sur le fil, et les dieux seuls savaient ce que ce genre de sortilège pouvait créer dans son esprit. Il repensa avec ce que Lancelot lui avait jeté au visage quelques instants plus tôt, et il fut gagné par l’amertume. Essayez de commencer à donner des ordres, vous verrez si on vous rit pas au nez. Les sous-entendus étaient nombreux et lourds, et Arthur fut surpris lui-même par la colère qui l’envahissait. Sans même parler de ce qu’il avait vu en entrant dans la chambre… Commencer à essayer de démêler ses sentiments à ce point de vue là était tout bonnement inutile.
- Quoi qu’il en soit. Vous pensez pouvoir nous trouver une solution dans combien de temps, à peu près ?
- Je vais faire de mon mieux sire, je vais retourner tous les vieux bouquins qui traînent là-dedans, mais honnêtement j’aurais du mal à dire… Revenez avec Lancelot dans une ou deux heures et pis on verra…
- Oui d’autant que d’ici là Elias sera probablement arrivé, compléta Arthur, sarcastique.
- Si vous voulez un conseil d’ami sire, à votre place j’éviterais que ça s’ébruite cette histoire. Si Elias est au courant ça risque de tomber dans les oreilles de n’importe qui avec un peu de pognon, et ce serait le meilleur moyen de semer le boxon dans le royaume.
Hm. Décidément, Merlin avait dû se réveiller ce jour-là avec l’envie de dire des trucs pas trop cons.
- Alors vous êtes d’accord, vous pensez qu’on devrait faire comme si de rien n’était ?
- Ben faites gaffe quand même, comme je vous disais Lancelot ça risque de lui monter à la tête d’être vous. Mais en attendant, le mieux ce serait quand même qu’il fasse semblant d’être vous et que vous fassiez semblant d’être lui jusqu’à ce que je vous aie concocté une solution. C’est le meilleur moyen de préserver la paix, si vous voulez l’avis de quelqu’un de confiance.
- Euh quelqu’un de confiance, ne poussez pas trop non plus.
- Vous me faites pas confiance, sire ?
- Je vous fais pas confiance pour pas faire ou dire de connerie non.
- Nan mais à part les conneries ? C’est quand même votre bon vieux Merlin que vous êtes venu trouver avec votre problème.
Arthur prit une seconde pour réfléchir.
- Oui oui non mais ya pas à dire, je sais que vous vous me voulez pas de mal, quoi.
Il eût aimé pouvoir en dire autant de Lancelot. Lorsqu’il quitta le laboratoire de Merlin quelques secondes plus tard, il ruminait. Il n’avait pas décoléré à son égard depuis leur altercation. Le comportement de Lancelot était complètement inacceptable, et il n’était même pas surprenant. Et Merlin avait raison. Lancelot voulait le pouvoir, il avait déjà fait des avances à Guenièvre par le passé s’il en croyait le calme de cette dernière lors de leur entrevue. Qui savait ce qui s’était déjà passé entre eux. Il n’avait aucune raison de vouloir régler le problème. Il pouvait enfin assouvir tous ses désirs secrets dont il ne pouvait rien dire à Arthur et qui gangrénaient leurs relations silencieusement depuis tant de temps. Il savait Lancelot capable de défendre ce qu’il venait de gagner avec toute la force de son être. Alors, Arthur n’avait pas d’autre choix que de faire en sorte que Lancelot soit pressé de récupérer son corps. Il ferait de l’image de Lancelot tout ce que Lancelot ne voulait pas voir en lui. Après tout, pourquoi ne pas malmener un peu l’enveloppe extérieure du chevalier parfait et noble qu’il prenait tant de soin à cultiver. Ça lui apprendrait à de moquer de lui.
Soudain, Arthur pensa à quelque chose. Une évidence, quelque chose qui ne lui était pas venu à l’esprit auparavant mais qu’il lui fallait absolument vérifier. Excalibur. Il se précipita jusqu’à sa chambre pour retrouver son Épée.
[Votez ici pour ce qui va se passer au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
11 notes · View notes
gedjub · 3 months
Text
120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
2 notes · View notes
Text
Trouvez le Sommeil Profond avec de la Musique Douce Relaxante
Lorsque la nuit tombe et que vous vous glissez dans votre lit, la musique peut être votre alliée pour vous aider à trouver le sommeil. La musique douce relaxante est depuis longtemps un remède naturel pour calmer l’esprit agité et créer une atmosphère apaisante propice au repos. Dans cet article, nous allons explorer l’effet bénéfique de la musique douce pour dormir, et vous présenter une source…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
rapha-reads · 6 months
Video
youtube
La sémantique de la mort - La chronique de Waly Dia
“Déjà s’exprimer sur I/P en règle générale c’est tenter un moonwalk bourré au milieu d’un champ de mines, mais là avec la contrainte en plus de faire des blagues, c’est moonwalk bourré champ de mines mais de nuit !”
[...]
“Les seuls qui se tapent des barres devant le conflit, c’est les marchands d’armes. Ils vendent la mort, mais devant leur chiffre d’affaires, ils sont morts de rire.”
[...]
“Les membres du Hamas qui ont massacré des civils israéliens dans leur sommeil avec des “allah akhbar” plein la bouche, déjà le jour de leur rencontre avec Dieu, j’espère qu’ils auront des bons arguments, parce qu’Il va te demander où t’as lu ça, et qu’il fallait faire ça, et en criant Son nom en plus ; t’as confondu être un guerrier de la liberté avec être une grosse merde sortie du cul d’un lâche.”
[...]
“Après faut être hypocrite pour pas mentionner le contexte. Tu sais, le fameux contexte, qu’on cherche à chaque fois que quelqu’un se fait exploser par un policier, par exemple. [...] Ben là, déjà, quand et où il démarre, le contexte ? Parce que à ce jeu-là, on peut remonter jusqu’au Cananéens, c’est loin, et on va pas faire la liste de tous ceux qui se sont disputés cette terre juste parce qu’ils étaient pas d’accord sur qui a crée l’Univers. 
En revanche, ça a pas commencé la semaine dernière non plus. Le gouvernement israélien, avec en tête Netanyahu empêtré dans tellement d’affaires de corruptions que Sarkozy se sent moins seul, qui après avoir promis la sécurité aux israéliens tout en accentuant la violence coloniale envers les palestiniens et en encourageant le financement du Hamas, nous fait l’étonné quand ça lui pète à la gueule.”
[...]
“‘Ils ont tué des civils, c’est ignoble, quel humain peut faire ça?’ ‘Absolument, du coup, qu’est-ce que vous allez faire ?’ ‘Bah on va tuer des civils aussi. Mais nous c’est une réponse.’ D’accord. Quand est-ce que t’estimes que t’auras répondu ? Y a un score, y a un barème, tu te dis ‘dans le doute je le tue tous’ ? Il y a plus de 700 enfants morts, à 2000 on se tape dans la main on se dit qu’il y a match nul, accompagné d’une musique qui nous chante que les civils de Gaza seraient les complices du Hamas ? 
Mais c’est lesquels, les complices ? C’est ceux qui sont écrasés sous les bâtiments, c’est ceux que le Hamas retient pour en faire des boucliers humains, ceux qui sont brûlés au phosphore ou ceux qui peuvent pas sortir de Gaza parce qu’autour y a des putains de barrières ?!
Si je dois choisir un camp ça sera toujours celui des civils quel qu’il soit, moi je pense qu’une vie innocente vaut une vie innocente, je fais pas de différences.”
[...]
“Tout ça avec le soutien inconditionnel de l’État français, bon, c’est pas étonnant, c’est pas l’ancien colonisateur qui va aller donner des leçons au nouveau, c’est pas Bertrand Cantat qui va aller faire la morale à Stéphane Plaza.”
[...]
“Pour vous dire à quel niveau politique on se situe aujourd’hui, on a l’extrême-droite qui essaie de nous faire croire qu’elle se soucie des Juifs de France. Ah ça c’est compter sur un cobra pour vous faire du bouche-à-bouche, faut pas le faire. C’est juste qu’il y en a qui détestent les Arabes tellement fort qu’ils sont obligés de faire une pause dans leur antisémitisme. C’est pas de la compassion ni de la solidarité, c’est de la gestion de priorités, ça n’a rien à voir.”
[...]
“A force de se demander qui a commencé, malheureusement, on se demande jamais qui va arrêter.”
2 notes · View notes
redstar07 · 1 year
Text
L'Ombre et la Proie
Chapitre 2
L’immeuble qui portait le numéro 628, à Pack Street, était un de ces immeubles d’habitation dont on sentait le poids des ans d’un simple regard, mais qui restait suffisamment bien entretenu pour qu’on puisse y trouver des logements modestes, mais pratiques et confortables. La plupart de ceux du quatrième étage, bien que petits, offraient tout le même le nécessaire pour un mammifère seul, voire un jeune couple. L’appartement 403 était un de ceux-là.
L’entrée donnait sur un couloir parallèle au corridor de l’immeuble. Au fond, à gauche, une porte donnait accès à l’unique chambre du logement. Le lit était installé sous la fenêtre de la pièce, contre le mur. Sur la table de nuit juste à côté, le réveil passa à 15h00, et commença à diffuser les programmes de l’après-midi.
Judy émergea de son sommeil. Par réflexe, elle éteignit l’appareil. À moitié assommée de fatigue, elle s’assit au bord du lit, prête à se préparer pour une journée de travail, avant de prendre véritablement conscience du moment qu’il était. Le matin même, comme après chaque fois qu’elle travaillait la nuit, elle s’était immédiatement mise au lit pour récupérer son sommeil perdu. Et comme chaque fois qu’elle avait travaillé la nuit, elle se réveillait au milieu de l’après-midi, afin de ne pas courir le risque de subir une insomnie la nuit suivante. Levant la tête, elle vit devant elle la porte ouverte de la salle de bain.
Avant même que Nick ait terminé sa formation à l’académie de police, Judy avait suffisamment économisé pour se permettre de déménager. Cet appartement était plus excentré que son précédent logement, mais il lui permettait cependant de ne plus se limiter aux plats à réchauffer au micro-onde, et, par chance, sa chambre était épargnée de tout tapage de la part de ses voisins.
Se décidant à se lever, elle ralluma le radio-réveil et gagna la salle de bain. Laissant la porte ouverte pour profiter de la musique, elle resta un bon moment sous la douche afin d’achever de se réveiller. Et après s’être soigneusement passée la fourrure au sèche-poils, elle enfila un t-shirt, sortit de sa chambre et traversa le couloir pour se retrouver dans le séjour. Un bref passage à la cuisine et, tasse de café à la main, elle s’affala dans le canapé.
Elle put enfin repenser à la nuit précédente. L’équipe scientifique et plusieurs enquêteurs avaient fini par arriver, et reprirent en main la scène de crime. Les officiers de patrouille leur avaient déblayé le terrain, ils avaient lord du leur céder le relai. Après leur avoir fait un bref rapport, il ne restait plus à Nick et Judy qu’à veiller à ce que les civils n’accèdent pas à la zone.
Judy aimait beaucoup son travail, par bien des aspects. Comme tous les emplois, il avait ses côtés pénibles, et affirmer que c’était facile aurait été mentir. Mais le simple fait d’avoir eu la chance d’emprunter la voie qu’elle souhaitait depuis son enfance, était une source de satisfaction permanente. Pourtant, elle sentait également qu’elle ne passerait pas sa carrière à contrôler le stationnement et à patrouiller dans les rues : pour elle, il était clair qu’elle pourrait… qu’elle voulait faire plus.
Elle repensait régulièrement à l’affaire Bellwether. Depuis lors, elle n’avait plus eu l’occasion de mener une enquête jusqu’à son terme. Après tout, le chef Bogo ne l’avait laissée faire que pour se débarrasser d’elle, la remettre à sa place de manière définitive. Même si la réussite de l’enquête lui avait montré que Judy était une recrue de valeur, elle restait un officier en uniforme : son job, c’était les patrouilles, y compris dans le cadre d’enquêtes. Les officiers étaient régulièrement requis par les services d’enquête pour aller à la pêche aux informations, mais ils ne pouvaient qu’obéir aux instructions.
Même si ce qui était arrivé avec ce véhicule était exceptionnel sur bien des aspects, le travail effectué était purement routinier : contrôler les accès, dévier la circulation, commencer à interroger les témoins, inspecter les lieux à la recherche d’indices… Mais une fois les enquêteurs sur place, ce n’était plus aux officiers de patrouille de procéder à l’enquête. Le fait de ne pas pouvoir y contribuer davantage, et même, de rarement pouvoir savoir comment l’affaire était clôturée, tout cela la frustrait fréquemment, quand elle y pensait. Alors, la meilleure solution, c’était…
Sur la table basse, son téléphone vibra. Elle lut le court message qu’elle venait de recevoir en avalant une gorgée de café.
« Hey, Carotte. Réveillée ? »
« Pourquoi poses-tu la question si tu connais la réponse ? »
Elle était réglée comme une horloge, et il le savait. Son travail comptait beaucoup pour elle, et face aux horaires contraignants, elle faisait tout ce qu’il faut pour s’assurer d’être fraiche et dispo. Les jours de repos qui suivaient un service de nuit, elle se levait au milieu de l’après-midi. Nick le savait. Et Judy savait quel serait le prochain message.
Quelques heures plus tard, ils se retrouvèrent à la pizzeria qu’ils avaient l’habitude de fréquenter. C’était devenu un rituel pour eux : le jour de repos qui suivait un service de nuit, ils retrouvaient au soir, au début à une adresse que Nick lui recommandait. Depuis, il lui avait fait découvrir suffisamment d’endroits pour qu’elle ait ses préférences, et Nick la laissait toujours choisir. « Solide ou liquide ? » : c’était ainsi qu’il lui demandait s’ils allaient manger ensemble, ou simplement boire un verre. Ensuite, il cherchait à savoir si elle préférait le confort d’une des quelques adresses où ils avaient fini par avoir leurs habitudes, ou l’expérience d’un endroit qui lui était encore inconnu. A force, elle avait l’impression que ceux-ci devaient être de plus en plus rares, mais jusque là jamais Nick ne s’était trouvé à court d’adresses. Elle connaissait maintenant suffisamment de bon plans où pouvoir manger sans se ruiner.
Plus rarement, quand l’envie de rester chez elle était plus forte que la volonté de sortir, Nick la rejoignait à son appartement, où elle lui faisait profiter des recettes de sa mère, avant qu’ils ne regardent un film pour passer la soirée. Mais ce soir-là, l’envie des pizzas de chez Sergio fut la plus forte. De toute façon, son frigo était vide.
Le restaurant Chez Sergio, comme toutes les adresses recommandées par Nick, alliait plusieurs avantages : relativement petit, ce qui garantissait une certaine tranquillité, bien situé pour qu’elle puisse rentrer à pied en quelques minutes et que Nick puisse gagner une station de métro non loin, et, enfin et surtout, la qualité de la cuisine. Sergio préparait la pâte de ses pizzas à la patte, et les légumes étaient d’une fraicheur qui rappelait à Judy les plats de la ferme. C’était sans doute l’endroit où ils se retrouvaient le plus souvent, après le commissariat. Ils avaient même fini par avoir leur table attitrée.
Judy était déjà installée depuis quelques instants, lorsque Nick arriva à son tour. Il prit le temps de saluer Ennio, le Bouc qui assurait le service, avant de rejoindre sa coéquipière. Enio passa de suite prendre leur commande : ils connaissaient la carte, ils savaient généralement ce qu’ils voulaient manger avant même d’avoir franchi l’entrée.
- Alors ? lança-t-il tandis que le caprin transmettait la commande à Sergio, qui s’affairait devant le four à bois. Qu’est-ce que tu penses de cette nouvelle affaire ?
- Tu es sûr de vouloir parler boulot ?
- Quand voudrais-tu que nous en parlions ? Surement pas quand nous sommes en service : il y a trop de travail pour qu’on ait le temps d’en parler.
- Bien d’accord avec toi, mais j’ai l’impression que tu ne lances le sujet que parce que tu crois que c’est ce dont je voudrais qu’on parle.
- Ce n’est pas faux, reconnut-il.
Alberto attrapa un plateau chargé de verres au bar, et passa entre les tables, déposant au passage leurs apéritifs à leur table.
- C’est un peu de ta faute, après tout, reprit Nick. Pas besoin de te connaitre depuis très longtemps pour savoir que tu es toute dévouée à ton job. À ta mission, devrais-je même dire. Tiens, un exemple : où es-tu, généralement, quand tu n’es ni avec moi, ni chez toi ?
Judy réfléchit une seconde… Nick était indéniablement l’animal qu’elle fréquentait le plus : non content d’assurer leur service ensemble, à quelques rares exceptions, ils devaient bien se retrouver en dehors du travail un jour sur deux. Généralement, quand ils n’étaient pas à deux, Judy était…
- Chez mes parents ? finit-elle par répondre. Ce qui faisait…
- Un week-end par mois, quand tu as la chance de ne pas être de service le samedi ou le dimanche ? Pas assez représentatif, Peluche !
Elle n’avait jamais pris la peine d’y réfléchir comme ça, mais maintenant qu’il posait la question…
- A la salle de sport.
- Précisément.
- Tu y viens également.
- À peu près trois fois moins que toi. Et pourquoi est-ce que nous allons à cette salle de sport ?
- Pour rester au mieux de notre forme pour…
Judy s’interrompit lorsqu’elle prit conscience de ce qu’elle allait dire. Ce fut Nick qui acheva sa phrase.
- Pour le travail, conclut-il avant de piocher une olive dans le bol posé sur la table.
Alberto, à ce moment-là, vint poser leur commande sur la table. Deux pizzas fumantes à peine sorties du four,  aussi belles à voir que leur fumet était agréable, se trouvaient alors entre eux
- Tu vis pour ce travail, Carotte, reprit Nick en attaquant une part. Si je t’emmène partout où je peux, c’est pour que tu puisses justement te le sortir un peu de la tête.
- Mais quand tu y arrives, à peu près trois fois par semaine, tu entames la conversation en parlant du travail ?
- Simplement pour que le sevrage ne soit pas trop brutal. On évacue le sujet, et comme ça il ne reviendra pas sur le tapis plus tard. Il nous restera alors plus d’autre choix pour conclure la soirée : il faudra que tu me dises ce qui te plairait pour ton prochain anniversaire.
Judy ne put retenir une exclamation amusée.
- Rusé, reconnut-elle.
- Dis plutôt : malin.
- Bon, marché conclu, mais alors, c’est moi qui offre le restaurant pour mon anniversaire.
- Deal !
- Evacuons ça en vitesse, alors. De toute manière, il n’y a pas grand-chose à dire. Ca n’aurait été qu’un accident impressionnant, mais presque banal. Sans le chargement de billets et la fuite des chauffeurs, nous n’en parlerions peut-être même pas.
- Peut-être… Mais je trouve tout ça loin d’être banal ! Un animal de grande taille, masqué comme un Renard des histoires que j’aimais quand j’étais enfant, qui traverse la moitié de la ville cramponné à l’aile d’une camionnette. Je ne pense pas que les Sangliers de la Task Force s’amuseraient à ce genre d’exploit. Alors : pourquoi ne pas profiter de cette affaire ? Imagine si nous parvenons à identifier ce gaillard, l’avancement que ça pourrait nous procurer.
Judy acheva de mâcher, et avala avant de répondre.
- Tu t’imagines toujours que Bogo nous signera une promotion un de ces quatre matins si nous résolvons une enquête de ce genre ?
- En tout cas, ça pourrait le pousser à choisir la bonne personne, un jour. Et puis…
- Et puis ?
- Et puis, je ne dirais pas non à une nouvelle enquête. Rappelle-toi, quand nous avons du parcourir la moitié de la ville pour retrouver Otterton. L’excitation de la recherche, la montée d’adrénaline lorsque Manchas nous poursuivait… La satisfaction d’avoir retrouvé les prédateurs disparus. Et celle plus grande encore d’avoir réussi à berner Bellwether et à trouver la véritable responsable.
- Ça te manque tant que ça ?
- Pour te faire une idée : ça doit me manquer autant qu’à toi. Je sais que tu guettes impatiemment de refaire preuve de tes qualités d’enquêtrice. Ça pourrait être l’occasion.
- Tu sais ce qui va se passer ? rétorqua Judy. Demain, au briefing, si jamais les services d’enquête ont besoin de nous, Bogo nous donnera instruction d’ouvrir l’œil sur certaines zones, de ramener certains suspects, ou d’aller faire une enquête de voisinage ou l’autre. Au mieux, on nous demandera d’aller interroger un témoin ou l’autre avec une liste d’informations à ramener. Notre rapport finira sur le bureau de l’inspecteur chargé de l’enquête, et c’est lui qui se chargera de démêler tous les fils qui constituent cette affaire.
- Je pensais que c’était moi le cynique de nous deux. Tu n’es tout de même pas en train de me faire une déprime ?
- Non, rassure-toi : j’aime toujours autant mon job, Nick. Notre job, corrigea-t-elle. Mais je me dis juste je ne devrais pas miser mon avancement sur un coup de dés. Ce serait plus judicieux de me préparer correctement aux examens et de veiller à ce que mes évaluations soient impeccables
- Je ne suis pas d’accord avec toi. Avant d’être flic, je n’attendais pas que quelqu’un vienne me demander de lui fournir ce qu’il voulait : je lui procurais avant même qu’il ait pris conscience d’en avoir besoin.
- Et donc… ?
- N’attends pas que Bogo te dise d’aller le chercher : amène-lui le suspect menotté en cellule.
- Pourquoi pas…
Le repas se poursuivit, et la conversation tourna autour de sujets moins graves. Mais alors qu’ils étaient occupés à profiter de leurs desserts, Judy se rappela d’une question qu’elle avait oublié de lui poser depuis quelques temps.
- Au fait : tu ne m’as jamais dit si ce rencard s’était bien passé, à Toundratown.
- Celui avec Émilia ? ça remonte à un mois… et c’est la seule fois où nous nous sommes vus : ça doit répondre à ta question.
- Loufard avait l’air persuadé que cette Renarde avait tout pour te plaire.
- Une Renarde polaire, précisa Nick. Il a manqué de flair, sur ce coup. Mais ce n’est pas de sa faute : je n’aurais pas du accepter. Je me suis très bien senti jusqu’à aujourd’hui sans avoir besoin de ce type de relation.
Il termina sa coupe de glace.
- Et toi ? Rien de neuf à ce sujet ?
- Je crois que l’expression « mariée à son boulot » est tout indiquée. Mais je n’ai pas plus de regrets que toi.
- Tant qu’on se sent bien. Tu sais, Carotte : je ne vois pas comment je pourrais être mieux accompagné qu’en étant avec toi.
Judy leva son verre.
- Aux amis de bonne compagnie, alors ?
Nick fit tinter son verre contre le sien.
- Aux amis de bonne compagnie, répéta-t-il avant d’achever son vin
8 notes · View notes
arypurple · 10 months
Text
DL - Résumé foireux S01.ÉP12
Tumblr media
Ça commence bien avec une musique hyper triste alors que les frères se plaignent que Plante Verte ait décidé de s'embrocher elle-même dans l'espoir de cesser tout ça (ce qui n'a pas fonctionné, malheureusement). Ils ont un sacré culot de critiquer alors que personne ne s'est bougé le cul quand elle pointait ce putain de couteau dans sa direction ! Le tonton a décidé de fuir par les tunnels souterrains, affirmant qu'il n'a pas le droit de mourir. Désolée Richter, mais j'attends que tu te décides à crever ! T'es chiant, inutile et même ta voix viole mes tympans. Du coup, alors que les frères ont l'air de se faire chier, que Tsundere Simulator s'amuse à staber des roses blanches et que le Butler réfléchisse à un moyen de se débarrasser de cette saloperie de MST Cordelia, le tonton inutile a largement le temps de visiter le manoir entier en tachant tout avec son sang avant de débarquer dans la chambre rouge de Christian Grey et... merde, je me suis trompée de scénario, là ! La robe est encore là à dégouliner de sang. Oui, sa robe dégouline encore de sang et je plains sérieusement la femme de ménage ! Laito qui voulait profiter de la chambre rouge débarque. Il dit à Richter qu'il n'avait rien remarqué... dude, t'es en train de dire qu'en tant que vampire, t'as jamais remarqué qu'une robe toute dégoulinante de sang traînait depuis dix-sept ans dans le manoir ?! Idem pour tes frères !? Pendant ce temps, Plante Verte devient assez blanche pour ressembler à Michael Jackson... tiens, il ne lui manque plus qu'un nez bien relevé et des cheveux noirs !
Tumblr media
Heureusement, Laito a tout le temps du monde devant lui pour se taper la discute avec son oncle. Prends ton temps, Fedora-chan ! Après tout, c'est pas comme s'il y avait une fille avec la poitrine transpercée qui repose sur le canapé ! Ensuite, le gamin demande si elle va crever. Bien sûr qu'elle va crever si vous restez plantés là à discuter ! Vient enfin le Butler qui a trouvé la solution miracle afin d'empêcher leur casse-croûte préféré de mourir. Monsieur arrive avec une petite fiole, affirmant que c'est une potion capable de la faire disparaître l'autre pouffiasse. J'espère que t'es sûr de ton coup, parce on les connaît les effets de tes potions 🙄.
Malheureusement, la potion ne peut être achevée que si on a un bout de la personne que l'on souhaite tuer... et intervint la facilité scénaristique lorsque Yandere King arracha la tête de Teddy (ça valait bien le coup de le protéger, tiens !) pour sortir une fiole avec les cendres de sa chère môman. Je ne vous dirais pas la passion de Kanato pour les cendres de ses victimes... ah merde, c'est dit ! Reiji mélange le tout et la potion est prête. Durant ce temps, Laito a eu la meilleure idée de tout l'anime: buter son oncle. Oui, il était grand temps que quelqu'un le fasse ! Sauf que... je ne suis pas persuadée qu'allumer un grand feu dans une pièce du manoir soit une brillante idée, même si c'est un noble de geste de calciner ce gars. Mais bon, advienne que pourra, je suppose ? Durant ce temps, Oréo-sama, qui a la potion en bouche, embrasse la princesse dans son sommeil pour lui faire avaler. Rapidement, Plante Verte reprend des couleurs et comme par magie, je suppose, sa blessure semble avoir disparue ? Non, mais je dis ça parce qu'il y a peu de temps, elle s'est stabée elle-même en plein dans la poitrine et alors qu'Ayato l'appelle par son prénom pour la toute première fois, elle s'assoit sur le canapé comme si elle n'avait jamais été blessée ! Mais bon, il faut se montrer super gentil avec elle pour mieux pouvoir la maltraiter dans la prochaine saison, voyons ᕕ( ᐛ )ᕗ Le suspens vous avait manqué ? Parce qu'à peine vient-elle de s'asseoir, Yui fixe les garçons avant de déclarer qu'elle a soif. S'ensuit alors le générique de fin et les frères qui proclament chacun un discours, tous plus malaisants les uns que les autres. Inutile de m'étaler sur la scène où Oréo-sama trouve Plante Verte sur le balcon pour lui donner son chapelet et que Claude Faustus verrouille de nouveau la pièce où se trouve la chambre de l'autre traînée. Sur ce, je vous dis à la saison prochaine ! Je sais pas si ce résumé foireux sera à la hauteur de vos attentes, mais j'ai fait de mon mieux, surtout que je voulais vraiment finir la première saison et que ça doit faire plus d'un an que je travaille dessus.
2 notes · View notes
clemecritflower · 10 months
Text
Musique :
Dealer - Lana del Rey
__
J'ai écris sous toute sorte de thème, de genre, de façons, de moment, mais je n'ai jamais vraiment parler de moi, peut être dans le poème "Merde,, mais sa ne dit pas vraiment comment je me vois, donc j'écris lui, qu'il soit heureux ou pas, long ou court, peut importe, peut être que je le jetterais et l'oublierais après.
Savez-vous pourquoi j'écris sur les autres et pas sur moi ?
Pourquoi les seuls poèmes qui parlent de moi sont tristes ?
C'est parce que je me déteste.
Que je le cache ou non, je n'arriverais jamais à m'aimer
Rien que de m'entendre parler j'ai envie de me tirer une balle dans le crâne
Me voir dans le miroir je donne envie de pleurer, vomir, crier, tout, sauf de sourire.
Je n'arrive même plus à parler de moi même, quand quelqu'un me demande comment va ma vie, j'ai envie de pleurer car je fais tout les mauvais choix possibles
J'en suis a m'en couper les cheveux tellement je me déteste, pas la peau non, ma peau a déjà assez souffert pendant 3 ans, on voit mes toute premières traces sur mes cuisses, et je ne dirais rien dessus
J'ai un sommeille de merde, et sa fais 4 ans que sa dure, pourquoi une gamine de 8 ans demande des putain de somnifère pour Noël ???
Au bout de 4 ans, il y a enfin des personnes qui remarquent que j'ai des poches sous les yeux et qu'à 4h du matin je suis la, a chialer
Et je les aime c'est personne la, merci a vous, je vous aimes de tout mon cœur
Mais maintenant c'est bon, je vais bien, c'est devenu une habitude, je connais mieux l'insomnie que moi même.
Et ce putain de poème par n'importe comment mais j'ai tellement de défauts a souligner chez moi que je pourrais en créer un livre.
🌟
Salut-
Waw, ça m'a fait dut bien de cracher
sur moi même, je vais surement ajouter
plus de truc des fois, ou carrément en faire
un très gros un jour, je sais pas, on verra bien ?
2 notes · View notes
swedesinstockholm · 1 year
Text
avant que je parte voir f. à zurich pour enfin rencontrer son copain et sa copine qui vivent désormais tous sous le même toit elle m’avait parlé d’une soirée queer kink sex positive bondage, alors en cas j’avais pris mon body en dentelle noir, et contre toute attente, après une tumultueuse dispute digne des anges de la téléréalité mais version suisse et respectueuse, ils ont décidé d’y aller et j’ai mis mon body en dentelle noir avec du rouge à lèvres rouge foncé et f. m’a fait deux tresses de boxeuse pendant qu’elle se disputait avec sa copine et je les ai accompagnés à la fête, avec une petite boule d’anxiété au fond de l’estomac quand même, et boy oh boy j’aurais du rester sur le canapé et regarder our flag means death toute seule. mais en même temps m. m’envoyait des photos de leurs tenues pour leur rave techno et j’avais trop peur de me morfondre jusqu’à la mort en restant toute seule devant la télé, et puis j’étais un tout petit peu curieuse. mal m’en a pris, j’avais oublié que j’étais pas sex positive du tout, je suis sex négative moins moins moins, j’ai fait la gueule toute la soirée.
à un moment j’étais assise sur une espèce de plaque ronde où les gens se faisaient des câlins histoire de pas rester seule dans mon coin perchée sur un tabouret du bar et un type s’est présenté mais j’ai mis deux minutes à réaliser qu’il me parlait à moi et il a du sentir ma sex négativité moins moins parce qu’il a commencé à faire des trucs à f. que j’ai pas du tout envie de décrire ici et s’il m’avait fait ça à moi je l’aurais envoyé balader de l’autre côté de la pièce. y avait une fille en onesie à moitié ouvert qui découvrait ses seins qui donnait des cuillérées de yaourt à une fille allongée contre elle avec une perruque rose et des bas résille et une fille butch en chemise et cravate avec un undercut qui me faisait un peu d’effet qui embrassait une fille pendant qu’elle en caressait une autre et ça me fascinait un peu mais en même temps c’était trop. c’était beaucoup trop. au fond y en avaient qui faisaient du bondage en suspension et je trouvais ça très perturbant de les regarder prendre du plaisir en public là ça me mettait mal à l’aise. et puis j’avais un peu l’impression d’être overdressed aussi et je me sentais HOT. sex négative, maussade et terrifiée mais hot. hot et normale. trop normale pour être là. j’avais envie de voir des gens normaux, sex neutres, bien habillés, qui font du small talk avec un verre à la main au lieu de se donner à manger du yaourt à la petite cuillère à moitié nus tout en se donnant des massages langoureux. le mot langoureux me donne envie de jouer aux sims, c’est tout. j’aurais vraiment préféré aller à une rave techno avec m. et danser dans la foule en me laissant prendre par la musique. y a que la musique qui a le droit de me prendre. à un moment y avait une chanson de björk qui passait et j’étais bien là à chanter like a killer whale lorsqu’un clown en costume où est charlie l’a coupée en plein milieu pour mettre un truc de merde quelconque et ça a fait qu’empirer mon humeur. 
je suis retournée me mettre sur mon tabouret au bar dans le coin de l’entrée pour faire la gueule en paix et puis j’ai vu le copain de f. se lever du machin à câlins pour venir me tenir compagnie et on a parlé de nos problèmes de sommeil. on est rentrés plus tôt parce qu’il avait envie de dormir et en marchant dans la rue à grandes enjambées masculines avec ma capuche sur la tête et mon body en dentelle sous mon manteau c’est là que je me suis sentie le plus hot. le contraste entre les deux, l’ambigüité toujours. j’ai commencé à courir pour me secouer de mes émotions et il a couru avec moi jusqu’à ce que je sois à bout de souffle, on a traversé le sous-sol de la gare déserté en silence et en attendant le bus je lui ai posé des questions sur ses cuddle workshops et après j’ai regretté parce qu’il me donnait des réponses interminables et j’en pouvais plus de parler de ça. mais je me demande si ce serait pas une bonne chose pour moi ce genre de trucs en fait, même si je trouve le concept archi crispant, je sais pas, ça m’aiderait peut être à voir où j’en suis vraiment avec tout ça.
l’autre jour une thérapeute m’a touché l’épaule et je me suis de nouveau dit que j’avais envie qu’on me touche, mais sans la pression de devoir répondre, de devoir savoir quoi faire, de devoir faire avancer les choses vers quelque chose de sexuel, etc. juste qu’on me touche et que je puisse me laisser faire comme une pierre. et puis pendant la nuit j’ai rêvé que je devais faire une inspection vaginale à c. et j’étais terrorisée, elle se baignait dans la rivière pendant que je l’attendais au bord et elle me parlait de mon bronzage, elle était beaucoup plus détendue que moi. on devait inverser les rôles après mais j’avais déjà prévu de me défiler.
le copain de f. me disait que beaucoup de gens qui allaient à ces workshops avaient très peu confiance en eux et dans leurs corps et que ça leur donnait l’occasion d’avoir du contact physique avec des gens, et qu’il essayait de pas avoir pitié d’eux mais qu’en même temps il voulait leur donner quelque chose, même lorsqu’il en a pas forcément envie au premier abord. je me suis demandé s’il avait pitié de moi. est-ce que pendant que je me sentais hot et normale je faisais de la peine à tout le monde?
ça fait presque deux semaines et ça continue à me tracasser parce que ç’a rouvert plein de trucs et j’en ai marre de pas savoir pourquoi je me protège autant, pourquoi je suis crispée comme une chips en permanence, pourquoi c’est trop dangereux pour mon corps de se détendre, ça fait tout partie du même gros complexe traumatique mystérieux qui envoie mon corps en paralysie quand je dois danser, ou même juste parler? ça me le fait au cours de théâtre aussi. j’ai l’impression que je pourrai jamais vraiment jouer sur scène tant que j’aurai pas réglé ce truc de trauma-mystère et l’emprise que ç’a sur mon système nerveux et mon cerveau et mon corps tout entier. 
10 notes · View notes