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#moineaux
guilbertjj · 2 years
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                      Le restaurant est ouvert et les clients sont nombreux
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skate-tautoloandsym · 1 month
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バルコニーにスズメ。2024年3月16日。March 16, sparrows on balcony. Moineaux sur balcon.
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dominique44000 · 1 year
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Monsieur Moineau devenu acrobate ils auront mis du temps a y venir , mais ne voulant pas laisser la place aux mésanges ils ont osés. 26 février 2023 Dominique Dubois #jardin#oiseau#oiseaux#oiseausauvage#moineau#moineaux#nantes#jardin#nantesmaville#moineaux https://www.instagram.com/p/CpKLni7N0kF/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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abdou-lorenzo · 4 months
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L’amour, ce n’est rien d’autre que le sourire venu sur le visage d’une femme.....✨💞
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Le reste n’est que de la mie de pain consentie aux moineaux....✨🪽
Pour l’homme qui le reçoit, c’est le cadeau le plus merveilleux, car, à chaque fois dans l’instant, il sent qu’il accède, un peu plus, à sa vraie identité d’homme.....💞✨✨✨
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source : @cheminer-poesie-cressant
les bourgeons sautillent le long des branches parmi les moineaux ; l'ensemble génère toujours plus de désirs turbulents qui ne savent pas se restreindre ; la prise du printemps tient dans cet enfantillage faussement naïf qui possèdent de profondes racines
© Pierre Cressant
(vendredi 5 avril 2024)
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ellednorih · 2 months
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J'ai deux lacs ce sont mes yeux des fleuves ce sont mes veines des branches ce sont mes doigts et des moineaux dans la gorge Tu t'obstines à y voir le néant
Salpy Baghdassarian - Quarante cerfs-volants
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mote-historie · 9 months
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George Barbier, La Belle aux moineaux. Robe de Visite de Paquin (The Beauty of the Sparrows. Paquin's Visiting Robe), detail, La Gazette du Bon Ton, 1912-1913.
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tournevole · 9 months
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L'amour du temps perdu. Le temps perdu est comme le pain oublié sur la table, le pain sec. On peut le donner aux moineaux. On peut encore le manger. Il n'est pas perdu, le pain perdu, puisqu'on le mange. Le temps perdu est le temps abondant, nourricier." Christian Bobin
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philoursmars · 1 month
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Après Libourne, après La Rochelle, après Brest, voici la quatrième et ultime étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s il y a un bon mois déjà : ma sœur Dominique et son mari, à Alençon, aux confins de la Normandie et des Pays de Loire.
Son jardin, où elle dépose des graines en hiver, attire de nombreux oiseaux, surtout des passereaux.
Ici, une volée de Moineaux, un Pinson (très territorial et ne laissant pas les autres s'approcher des graines !) et au milieu de tout ça, un Merle noir.
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alioversus · 23 days
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CollAGE D(ouble)
CollAGE D | Lotophagus Records | 2024
1. Le moteur tourne encore, mais le véhicule est à l’arrêt. À l’extérieur, des promesses bucoliques, de la nature radieuse : entourées de béton. Petits oiseaux qui chantent dans le parc… Ils ne se doutent pas. Et pourtant… Même une journée aussi ensoleillée, aussi tranquillement nonchalante, peut être le cadre rêvé d’un drame. Ça arrive tout le temps. Untel apprend la mort d’un ami proche, tel autre qu’il est atteint du cancer, telle autre que son mari la trompe, tel autre qu’il va nécessairement lui arriver quelque chose de pas très sympathique, puisque des gros bras l’ont kidnappé. Ce con essaie de taper dans la porte du coffre, ou de soulever la plage arrière. Je serre le volant, machinalement. De toute façon, il y a trop de bruit dehors pour qu’on puisse l’entendre. J’ai tout de même envie d’engueuler Maurice, de lui dire : putain, tu l’as mal ligoté ou quoi ? J’ai envie de l’appeler Momo. Je sais qu’il déteste ça. Il est sur les nerfs, lui aussi. Il me devance. Pourquoi t’es passé par là ? me dit-il. Tu savais pas que c’était jour de marché ? Le feu passe au vert, j’embraye. On sort de la ville. Un peu plus loin, on est encore arrêtés par un passage à niveau. Long train de marchandise, puis la campagne. 
2. On est arrivés à l’entrepôt. Gégé remplit les bassines pendant que le con attend encore dans la bagnole, encagoulé. La Perceuse étale ses outils de travail. Il en a bien cinquante, parfaitement alignés sur la table dépliante. Il est parfois difficile de deviner l’usage de certains, qu’est-ce que c’est censé pincer, qu’est-ce que c’est censé couper, où est-ce que c’est censé s’introduire… Maurice attend que les instructions arrivent sur le téléphone jetable. Parfois j’ai l’impression qu’il joue à un jeu vidéo ; ce genre de modèle tout en plastique bipe pour un rien. Gégé et La Perceuse comparent leurs attirails. Ils se charrient entre potes, comme deux catcheurs avant un combat, à qui prétend mieux faire, entre la méthode dite technologique et la méthode dite artisanale. Gégé dit qu’avec lui, c’est du propre. La Perceuse lui rétorque qu’il a encore ramené une vieille batterie qui suinte, qu'il ferait mieux de la fermer, alors qu’avec lui, au moins, tout est sous contrôle, qu’il sait doser…  L’ambiance est plutôt bon enfant. Sur la banquette arrière, je crois que l’otage récite des psaumes ou je ne sais quoi. Va ! Si ça peut l’aider à garder son calme…  Ça sera toujours supplications et pleurniche, quand on le lui fera couler, son sang-froid. Alors, Maurice, ça vient ? Je me garde bien de dire que je ne serais pas contre un contrordre. Ça y est, ça sonne. Oui, dit Maurice. Oui. Non. D’accord. Je regarde comment réagit l’otage. Il se tait, il écoute… Maurice raccroche. Alors, Maurice, on fait quoi ? 
3. Ça allait commencer quand ils m’ont envoyé chercher le toubib à cause de Big R. Je ne l’aime pas, Big R. Il est aussi con que son pseudo. Et il se fout toujours dans la merde. Apparemment, cette fois-ci, il se serait pris une balle… Mais pas mécontent de ne pas pouvoir assister au travail à cause de ça. Je ne suis que le chauffeur, moi, dans cette histoire… Je suis la route champêtre avec la fenêtre ouverte, en écoutant un CD pour me détendre : du jazz un peu trop free pour quand il y a Maurice à côté de moi. Putain, mais il ne font plus pousser que du maïs par ici ? Et du colza. Je débouche sur une parcelle de forêt. Je longe la rivière. Des nuées de moineaux à la sortie. J’arrive enfin dans le hameau. Le vieux m’attend déjà avec sa mallette, derrière le portail. C’est un médecin à la retraite. Cela se voit. Ça démarche est tout aussi disloquée que les couacs de saxo. Il dit qu’il a encore la main. Il n’y a pas non plus avalanche de concurrents… Il dit que c’est les pieds et les genoux qui ont trinqué, que c’est pour ça qu’il ne conduit pas. À peine monté, il me demande de couper le disque, parce que ça l'agace. Le toubib, lui non plus, je ne l’aime pas. 
4. Big R était planqué chez Annette. Elle aurait bien pu aller chercher le toubib elle-même. Ça aurait dû me mettre la puce à l’oreille… Maintenant, la nuit est en train de tomber. Je dois être mort depuis deux heures ou trois. Je ne sais même pas vraiment pourquoi. Je sens que je fais corps avec la terre, avec l’humus, avec les racines, avec les insectes… Je sens que je suis en train de nourrir la forêt. Moi, le chauffeur, me voilà complètement étranger au son des rares voitures qui passent. C’était malin de la part de Big R, tout de même, d’utiliser un fusil de chasse. C'est vrai qu'il y a plein de battues dans le secteur, en ce moment…
5. Thierry, tout tremblant, explique encore une fois aux gendarmes. Tout s’embrouille dans sa tête, et il s’inquiète pour ses deux fils, forcément eux aussi traumatisés par leur découverte dominicale… Thierry répète : ils étaient là, en ballade, pour essayer leurs nouveaux VTT. Et paf, c’est le plus petit qui tombe sur le cadavre, au milieu des gazouillis. Le gendarme tape uniquement des index, mais il tape fort et vite, comme une mitraillette. Thierry se demande si Inès va chercher à lui sucrer la garde du week-end. Parfois Thierry a l’impression que le sergent le suspecte… On lui fait signer sa déposition, on lui dit de ne pas partir en vacances. Il sort du bureau. Les enfants l’attendent en compagnie de la seule femme de la brigade. Ils ont l’air déphasé, mais calme. Thierry a la gorge serrée. Il leur avait promis d’aller au restau, ce midi. Puis il réalise qu’ils vont vouloir rentrer chez Maman, de toute façon.
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simbelmyneswriting · 9 months
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Jour 11 - La vie d’un pigeon
Ah. Évidemment. Ça parade, ça parade, ça s’installe et puis ça mange. Se goinfre, même, devant nos yeux affamés. Et ça rigole de nos efforts pour grappiller des miettes. Ah oui, ça a bon dos, hein. Ça nous insulte même. Rats volants. Voilà comment ça nous appelle. Je trouve cela honteux, nous qui apportons une touche pittoresque et joyeuse au centre-ville ! Oh bien sûr, il y a les moineaux, qui sont bien plus petits et donc plus mignons - juste parce que je suis un pigeon ne veut pas dire que je suis insensible à l’esthétique et aveugle aux préférences. Bien sûr que ça a l’air tout doux et tout rond et tout choupinet, un moineau. On a envie de lui donner des bouts de pain trop gros pour le voir s’affairer à le manger. Mais moi je pense et je le dis tout haut, que les pigeons sont beaux ET drôles ! Oui m’sieurs-dames ! Nos reflets métallisés brillent dans les rayons du soleil et nous faisons rire les enfants ! C’est tout aussi important que d’être mignon, je trouve.
En tout cas, nous sommes bien plus polis que les mouettes. Nous tournicotons autour des bancs, espérant que nos petites danses et attitudes nous remplissent l’estomac. Mais peut-être que la solution est là, en réalité… Utiliser la force pour, enfin, prendre ce qui nous est dû ! Alors bien entendu, nous n’avons pas la violence quasi-démoniaque d’une mouette, mais nous avons le nombre… Oui… C’est cela ! L’union fait la force ! Pigeons de tous les quartiers, unissons-nous ! Le Grand Soir viendra ! A nous de saisir les moyens de la production boulangère ! Tous ensemble ! Personne ne pourra nous arrêter, une armée grise et bleue se répandant sur la ville !
A nous le pain sans limite ! Les grains à tous les recoins ! La dominat - oh quoi ? Oh ! Une boulette de mie ! A moi
A moi !!!
A MOIII !!!
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lupitovi · 1 year
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    Les moineaux ont quitté Paris parce que dans la ville enrichie, sans cesse ravalée, il n'y avait plus de trous où nicher dans les creux des enduits, plus de pierres descellées, de souches de cheminées, plus de fissures. Le moineau parisien s'identifiait avec l'idée d'une capitale printanière et insouciante. Et avec celle de peuple. Tout particulièrement avec la figure du gamin. Déjà dans Les Misérables : Paris a un enfant et la forêt un oiseau; l'oiseau s'appelle le moineau l'enfant s'appelle le gamin. » Hugo se trompe, le moineau, ce passereau justement appelé Passer domesticus, n'est pas un habitant des forêts mais peu importe. Ensuite dans la chanson de Pellegrin (1924) : « J'suis I'moineau, j'suis l'titi/J'suis l'gamin d'Paris. » Puis chez les photographes humanistes : Doisneau, lui-même tête de piaf.     Les moineaux sont partis, en même temps que ce que l'on appelait donc le peuple de Paris. Les uns et les autres ont migré au cours du dernier demi-siècle, comme ils ont quitté Londres et quantité de villes, souvent pour se réfugier en banlieue. Ils ont, dans leur déplacement, abandonné les quartiers riches d'abord, ceux de l'ouest. comme s'ils fuyaient la hausse des loyers. Les moineaux ont quitté la ville quand tant d'autres l'évacuaient. Comme « nos frères gitans de Saint-Ouen », partis « sans crier gare » dans la chanson de Caussimon et Ferré. Et comme les hirondelles, « à tire d'aile et sans retour/Paris n'en avait plus besoin ». On connaît cette ritournelle. lI y a longtemps qu'est apparu, dans la conscience de l'Occident, ce paysage du mur mis à nu, porteur de fragments de décors délavés, de traces de vies humaines, qui nous bouleverse encore. Pas tant celui de la ruine, qui tient de l'antique et qui nous parle de l'Histoire, du destin des civilisations, mais celui du simple mur, le mur du fond, le mur-de-refend lorsque, suite à la destruction d un immeuble, il expose T'intimité des anciens occupants en même temps que l'anatomie du bâtiment, dans une sorte de dissection macabre. On imagine quelle longue période, quelle conjonction de facteurs il fallut pour que, vers le milieu du XIXe siècle cela devienne un thème de l'esthétique. (...)     C'est dans cette atmosphère que sont apparus il y a plus de quarante ans certains travaux anciens d'Ernest Pignon-Ernest. Ce couple de 1979, par exemple, ces deux figures debout, un homme, une femme, avec valise et matelas roulé sous le bras. Cela se passait à Montparnasse, ou bien autour de l'avenue d'Italie, des fronts de l'urbanisme de ces années-là. Sur une photographie de l'époque, on perçoit le chantier de l'hôtel Sheraton. Sur une autre, sous les affiches lacérées, un slogan à la bombe : « Halte à la rénovation». Ernest a depuis collé ses protestations sur tant de murs, les bossages baroques de Naples, les parois de brique, de parpaing, de plâtre éclaté, d'enduit de ciment, de peinture écaillée, les murs crépis et décrépis, les murs fanés, les ocres d'Italie, ou bien les soubassements de meulière, au ras du trottoir, du caniveau, les surfaces de tôle ondulée, rouillée, de Brest. En tel nombre qu'on a pu en oublier les diverses circonstances. Et puis les territoires de l'exil se sont à nouveau déplacés. Vers l'est encore, alors que la municipalité avait fait un mot d'ordre de la « conquête de l'Est ». Les gratteurs, les tagueurs, les fresquistes des années 1980 eurent affaire à Belleville, à Ménilmontant : ils y trouvèrent les mèmes moellons, les mêmes restes de papier peint, de carrelage de cuisine et de salle de bains, les mêmes boisseaux de cheminées en terre cuite ruisselants de goudron. Et leurs travaux sont devenus comme une sorte de chiendent, de végétation spontanée des lieux à l'abandon. Les figures inspirées des Shadocks, l'homme blanc, les pochoirs, les silhouettes à chapeau et manteau noir, les hippopotames et parapluies ouverts se sont mêlés aux arbres à papillons et aux ailantes, ces vieux compagnons des ruines.     Peut-être sera-ce bientôt la fin d'un genre. Il n'y a plus guère de ruines aujourd’hui. Intra-muros, du moins. Plus de terrains vagues, plus d'interstices où loger moineaux, classes pauvres et sans-logis. Moins d'hospitalité. Voilà ce que nous dit le chant du mur, du mur-pignon, du mur-de-refend, du mur sans défense. François Chaslin - Ernest, les pignons de l'exil
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dominique44000 · 1 year
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Moineau des jardins Nous en avons une tribu ( une quinzaine ) ils restent toujours dans les parages Ils côtoient tourterelles, pigeons , merles ,pies, mésanges, rouge gorge , pic vert de temps en temps , grives, étourneaux 8 février 2023 Dominique Dubois #moineau #moineaux #oiseau#oiseauxsauvages#nature#jarin#photooiseaux #naturephotography #naturephoto https://www.instagram.com/p/CoaYxfvNnxU/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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larucheanimation · 3 months
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Inktober week 1: Hunt
It’s the first time that I try to draw the Inktober 52 challenge. I need to draw one ink drawing per week in link with the prompt. My personal theme for this year is sparrows.
I drew for the first week a sparrow chasing a firefly. It’s a good start.
Inktober semaine 1: Chasse
C’est la première fois que j’essaye de faire le défi d’Inktober 52. Il s’agit de faire un dessin par semaine avec un mot imposer qui nous inspirer un dessin à l’encre. Mon thème personnel cette année sont les moineaux.
J’ai dessiné un moineau qui chasse une libellule. C’est un bon début!
@inktober
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elleferrocerium · 4 months
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Podomètre 8511
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-3°
Les pigeons s'encrassent de froid
Les mésanges s'engrossent de froid
La corneille bricole des paroles de froid
Le cormoran est en rebond. Il s'en fout de l'eau gelée
Les moineaux huit-huitent
et le merle attend
et le héron kwaque
Les colverts observent dubitatifs
la Loire et les canettes de Leffe
Le camion rouge passe et on ne voit que le haut
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sparrowsocks · 1 year
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Evil socks be like:
Moineaux Chaussettes
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