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#marcel schwob
the-evil-clergyman · 5 months
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Illustration from Marcel Schwob's Vie Imaginaires by Georges Barbier (1929)
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carnageandculture · 10 months
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Illustration from Marcel Schwob's Vie Imaginaires by Georges Barbier (1929)
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crucifiedlovers · 1 year
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Mix death with life, and divide them into moments. Wait not for death: it is within you. Be its partner and hold it close to you; it is much like you.
Marcel Schwob, The Book of Monelle (trans. Kit Schluter)
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mauvais--sang · 17 days
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« L’incendie devient mathématique, l’explosion raisonnée, la guillotine volante. On tue pour le principe ; sorte d’homéopathie du meurtre. Le ciel noir est plein d’étoiles rouges. La fin de la nuit sera une aurore sanglante.
Tout cela serait bon, serait juste, si l’extrême terreur n’entraînait autre chose ; si la pitié présente de ce qu’on supprime n’était plus forte que la pitié future de ce qu’on veut créer ; si le regard d’un enfant ne faisait chanceler les meurtriers des générations d’hommes ; si le cœur n’était double enfin, même dans les poitrines des ouvriers de la terreur future. »
— Marcel Schwob, Cœur double, 1891
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motifcollector · 1 year
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Destroy, for all creation comes from destruction.
And for higher benevolence you must annihilate lower benevolence. And thus new good appears saturated with evil.
And to imagine a new art you must break its forebears. And thus new art seems a sort of iconoclasm.
For all construction is made of debris, and nothing is new in this world but forms.
But you must destroy the forms.
Marcel Schwob, The Book of Monelle
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villings · 2 years
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Sé justo en el momento preciso. Toda justicia que tarda es injusticia.
Marcel Schwob
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thebeautifulbook · 2 years
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VIES IMAGINAIRES [aka IMAGINARY LIVES] by Marcel Schwob. (Paris: Le Livre Contemporain, 1929). Deco Art binding by N. Ralli.
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surrealistnyc · 1 year
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Spicilege, by Marcel Schwob, is out now from Wakefield Press:
"Marcel Schwob was, as Paul Léautaud described him, a 'living library,' and the critical biographies gathered in the curated essays of Spicilege display a few of the volumes in that library: his groundbreaking research on François Villon (work that remains a cornerstone to our knowledge of Villon’s legacy), his passion for Robert Louis Stevenson, and his encounters with such less-remembered writers as George Meredith. But it is the carefully developed ideas in these essays and the eccentric yet thorough scholarship drawing them together that are of particular interest today: the understanding of criminal slang in the Middle Ages; the 'romantic realism' of the adventure story; the study of prostitution in ancient Greece; the folklore inspired by a story by Gustave Flaubert; a complex critique of individuality that effectively laid the groundwork to what Jarry would come to define as 'pataphysics'; and ruminations on such themes as perversity, laughter, biography, love, terror and pity, and art and anarchy."
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xjmlm · 2 years
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For all construction is made of debris, and nothing is new in this world but forms. But you must destroy the forms.
Marcel Schwob,
The Book of Monelle
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corydon8 · 5 months
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MM. BURKE ET HARE
ASSASSINS
M. William Burke s’éleva de la condition la plus basse à une renommée éternelle. Il naquit en Irlande et débuta comme cordonnier. Il exerça ce métier pendant plusieurs années à Édimbourg, où il fit son ami de M. Hare sur lequel il eut une grande influence. Dans la collaboration de MM. Burke et Hare, il n’y a point de doute que la puissance inventive et simplificatrice n’ait appartenu à M. Burke. Mais leurs noms restent inséparables dans l’art comme ceux de Beaumont et Fletcher. Ils vécurent ensemble, travaillèrent ensemble et furent pris ensemble. M. Hare ne protesta jamais contre la faveur populaire qui s’attacha particulièrement à la personne de M. Burke. Un si complet désintéressement n’a pas reçu sa récompense. C’est M. Burke qui a légué son nom au procédé spécial qui mit les deux collaborateurs en honneur. Le monosyllabe burke vivra longtemps encore sur les lèvres des hommes, que déjà la personne de Hare aura disparu dans l’oubli qui se répand injustement sur les travailleurs obscurs.
M. Burke paraît avoir apporté dans son œuvre la fantaisie féerique de l’île verte où il était né. Son âme dut être trempée des récits du folklore. Il y a, dans ce qu’il a fait, comme un lointain relent des Mille et une Nuits. Semblable au calife errant le long des jardins nocturnes de Bagdad, il désira de mystérieuses aventures, étant curieux de récits inconnus et de personnes étrangères. Semblable au grand esclave noir armé d’un lourd cimeterre, il ne trouva point de plus digne conclusion à sa volupté que la mort pour les autres. Mais son originalité anglo-saxonne consista en ce qu’il réussit à tirer le parti le plus pratique de ses rôderies d’imagination de Celte. Quand sa jouissance artistique était terminée, que faisait l’esclave noir, je vous prie, de ceux à qui il avait coupé la tête ? Avec une barbarie tout arabe il les dépeçait en quartiers pour les conserver, salés, dans un sous-sol. Quel profit en tirait-il ? Aucun. M. Burke fut infiniment supérieur.
En quelque façon, M. Hare lui servit de Dinarzade. Il semble que le pouvoir d’invention de M. Burke ait été spécialement excité par la présence de son ami. L’illusion de leurs rêves leur permit de se servir d’un galetas pour y loger de pompeuses visions. M. Hare vivait dans un petit cabinet, au sixième étage d’une haute maison très peuplée d’Édimbourg. Un canapé, une grande caisse et quelques ustensiles de toilette, sans doute, en composaient presque tout le mobilier. Sur une petite table, une bouteille de whisky avec trois verres. De règle, M. Burke ne recevait qu’une personne à la fois, jamais la même. Sa façon était d’inviter un passant inconnu, à la nuit tombante. Il errait dans les rues pour examiner les visages qui lui donnaient de la curiosité. Quelquefois il choisissait au hasard. Il s’adressait à l’étranger avec toute la politesse qu’aurait pu y mettre Haroun-Al-Raschid. L’étranger gravissait les six étages du galetas de M. Hare. On lui cédait le canapé ; on lui offrait du whisky d’Écosse à boire. M. Burke le questionnait sur les incidents les plus surprenants de son existence. C’était un écouteur insatiable que M. Burke. Le récit était toujours interrompu par M. Hare, avant le point du jour. La forme d’interruption de M. Hare était invariablement la même et très impérative. Pour interrompre le récit, M. Hare avait coutume de passer derrière le canapé et d’appliquer ses deux mains sur la bouche du conteur. Au même moment, M. Burke venait s’asseoir sur sa poitrine. Tous deux, en cette position, rêvaient, immobiles, à la fin de l’histoire qu’ils n’entendaient jamais. De cette manière, MM. Burke et Hare terminèrent un grand nombre d’histoires que le monde ne connaîtra point.
Quand le conte était définitivement arrêté, avec le souffle du conteur, MM. Burke et Hare exploraient le mystère. Ils déshabillaient l’inconnu, admiraient ses bijoux, comptaient son argent, lisaient ses lettres. Quelques correspondances ne furent pas sans intérêt. Puis ils mettaient le corps à refroidir dans la grande caisse de M. Hare. Et ici, M. Burke montrait la force pratique de son esprit.
Il importait que le cadavre fût frais, mais non tiède, afin de pouvoir utiliser jusqu’au déchet du plaisir de l’aventure.
En ces premières années du siècle, les médecins étudiaient avec passion l’anatomie ; mais, à cause des principes de la religion, ils éprouvaient beaucoup de difficulté à se procurer des sujets pour les disséquer. M. Burke, en esprit éclairé, s’était rendu compte de cette lacune de la science. On ne sait comment il se lia avec un vénérable et savant praticien, le docteur Knox, qui professait à la Faculté d’Édimbourg. Peut-être M. Burke avait-il suivi des cours publics, quoique son imagination dût le faire incliner plutôt vers les goûts artistiques. Il est certain qu’il promit au docteur Knox de lui aider de son mieux. De son côté, le docteur Knox s’engagea à lui payer ses peines. Le tarif allait en décroissant depuis les corps de jeunes gens jusqu’aux corps de vieillards. Ceux-ci intéressaient médiocrement le docteur Knox. C’était aussi l’avis de M. Burke — car d’ordinaire ils avaient moins d’imagination. Le docteur Knox devint célèbre entre tous ses collègues pour sa science anatomique. MM. Burke et Hare profitèrent de la vie en dilettantes. Il convient sans doute de placer à cette époque la période classique de leur existence.
Car le génie tout-puissant de M. Burke l’entraîna bientôt hors des normes et règles d’une tragédie où il y avait toujours un récit et un confident. M. Burke évolua tout seul (il serait puéril d’invoquer l’influence de M. Hare) vers une espèce de romantisme. Le décor du galetas de M. Hare ne lui suffisant plus, il inventa le procédé nocturne dans le brouillard. Les nombreux imitateurs de M. Burke ont un peu terni l’originalité de sa manière. Mais voici la véritable tradition du maître.
La féconde imagination de M. Burke s’était lassée des récits éternellement semblables de l’expérience humaine. Jamais le résultat n’avait répondu à son attente. Il en vint à ne s’intéresser qu’à l’aspect réel, toujours varié pour lui, de la mort. Il localisa tout le drame dans le dénouement. La qualité des acteurs ne lui importa plus. Il s’en forma au hasard. L’accessoire unique du théâtre de M. Burke fut un masque de toile empli de poix. M. Burke sortait par les nuits de brume, tenant ce masque à la main. Il était accompagné de M. Hare. M. Burke attendait le premier passant, marchait devant lui, puis, se retournant, lui appliquait le masque de poix sur la figure, soudainement et solidement. Aussitôt MM. Burke et Hare s’emparaient, chacun d’un côté, des bras de l’acteur. Le masque de toile empli de poix présentait la simplification géniale d’étouffer à la fois les cris et l’haleine. De plus, il était tragique. Le brouillard estompait les gestes du rôle. Quelques acteurs semblaient mimer l’ivrogne. La scène terminée, MM. Burke et Hare prenaient un cab, déséquipaient le personnage ; M. Hare surveillait les costumes, et M. Burke montait un cadavre frais et propre chez le docteur Knox.
C’est ici, qu’en désaccord avec la plupart des biographes, je laisserai MM. Burke et Hare au milieu de leur auréole de gloire. Pourquoi détruire un si bel effet d’art en les menant languissamment jusqu’au bout de leur carrière, en révélant leurs défaillances et leurs déceptions ? Il ne faut point les voir ailleurs que leur masque à la main, errant par les nuits de brouillard. Car la fin de leur vie fut vulgaire et semblable à tant d’autres. Il paraît que l’un d’eux fut pendu et que le docteur Knox dut quitter la Faculté d’Édimbourg. M. Burke n’a pas laissé d’autres œuvres.
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ochoislas · 8 months
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κόρη                      el espejo, el alfiler, la adormidera
MIMO XVIII. Habla el Espejo:
Me formó en plata un hábil artesano. Primero fui cuenco como su mano, y mi otra cara se parecía al globo de un ojo nublado. Pero luego me dieron la combadura capaz de copiar las imágenes. Finalmente Atenea insufló en mí la sabiduría. No desconozco lo que desea la muchacha que me empuña, y le respondo por adelantado que es linda. Sin embargo se levanta de noche y prende su lámpara de bronce. Guía hacia mí el airón dorado de la lumbre, y su corazón desea un rostro distinto al suyo. Yo le muestro su propia frente blanca, y sus redondeadas mejillas, y el túrgido nacimiento de sus senos, y sus ojos llenos de ciuriosidad. Casi me toca con sus labios trémulos; mas el oro que arde alumbra sólo su rostro y todo lo demás en mí es sombra.
Habla el Alfiler de oro:
Mientras pasaba sin fama una trama de biso, que había sido robada a un tirio por un esclavo negro, me prendió una hetera perfumada. Me puso entre su cabellos y allí pinchaba los dedos de los insensatos. Afrodita me instruyó, acerando mi punta con la voluptuosidad. Finalmente paré en el tocado de esta jovencita, donde estremezco sus criznejas. Trisca debajo de mí como una novilla loca, sin saber qué la zahiere. Durante las cuatro vigilias de la noche, agito las ideas en su cabeza y su corazón responde. La llama inquieta de la lámpara pone a bailar las sombras que cimbran sus alados brazos. Tan turbulentas, que la muchacha vislumbra raudas visiones, y se lanza ante su espejo. Pero éste no le muestra más que su propio rostro castigado por el deseo.
Habla la cabezuela de Adormidera:
Nací en los soterraños campos, entre plantas cuyos colores se ignoran. Conozco todos los matices de la sombra; he visto las claras flores de las tinieblas. Perséfone me ha tenido en su enfaldo, y allí me he dormido. Cuando la aguja de Afrodita pincha de curiosidad a la mozuela, yo le muestro las formas que yerran en la noche eterna. Una hermosa juventud adornada con gracias que ya no existen. Afrodita sabe imbuir sus deseos, y Atenea muestra a los mortales la inanidad de sus ensueños; pero Perséfone posee las llaves misteriosas de las puertas de asta y de marfil. Por la primera envía de noche las sombras que visitan a las gentes; y Afrodita las arrebata; y Atenea las extingue. Pero por la segunda puerta la Clemente recibe a todos los que Afrodita y Atenea extenuaron.
*
κόρη                            le miroir, l'aiguille, le pavot
MIME XVIII. Le Miroir parle:
J'ai été façonné d'argent par un ouvrier habile. D'abord je fus creux comme sa main, et mon autre face était semblable au globe d'un œil terne. Mais ensuite je reçus l'incurvation propre à rendre les images. Enfin Athéné a soufflé la sagesse en moi. Je n'ignore pas ce que désire la jeune fille qui me tient, et je lui réponds d'avance qu'elle est jolie. Cependant elle se lève la nuit, et allume sa lampe de bronze. Elle dirige vers moi l'aigrette dorée de la flamme, et son cœur veut un autre visage que le sien. Je lui montre son propre front blanc, et ses joues modelées, et la naissance gonflée de ses seins, et ses yeux pleins de curiosité. Elle me touche presque de ses lèvres tremblantes; mais l'or qui brûle éclaire seulement son visage et tout le reste en moi est obscur.
L'Aiguille d'or parle:
Comme je traversais sans gloire une trame de byssos, ayant été volée chez un Tyrien par un esclave noir, je fus saisie par une hétaïre parfumée. Elle me plaça dans ses cheveux et je piquai les doigts des imprudents. Aphrodite m'a instruite et a aiguisé ma pointe avec la volupté. Je suis arrivée enfin dans la coiffure de cette jeune fille, et j'ai fait frémir ses torsades. Elle bondit sous moi comme une génisse folle, et elle ne voit pas la cause de son mal. Pendant les quatre parties de la nuit, j'agite les idées dans sa tête et son cœur obéit. La flamme inquiète de la lampe fait danser des ombres qui courbent leurs bras ailés. Ainsi tumultueuses, elle aperçoit des visions rapides, et elle se précipite vers son miroir. Mais il ne lui montre que son visage tourmenté par le désir.
La Tête du pavot parle:
Je suis née aux champs souterrains, parmi des plantes dont les couleurs sont inconnues. Je sais toutes les nuances de l'obscurité; j'ai vu les fleurs lumineuses des ténèbres. Perséphone m'a tenue sur son giron et je m'y suis endormie. Quand l'aiguille d'Aphrodite blesse la jeune fille de curiosité, je lui montre les formes qui errent dans la nuit éternelle. Ce sont de beaux jeunes gens parés avec des grâces qui n'existent plus. Aphrodite sait donner leurs désirs, et Athéné montre aux mortels l'inanité de leurs rêves; mais Perséphone tient les clefs mystérieuses des deux portes de corne et d'ivoire. Par la première porte elle envoie dans la nuit les ombres qui hantent les hommes; et Aphrodite s'en empare, et Athéné les tue. Mais par la seconde porte la Bonne Déesse reçoit ceux et celles qui sont las d'Aphrodite et d'Athéné.
Marcel Schwob
di-versión©ochoislas
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the-evil-clergyman · 1 year
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Illustration from Marcel Schwob's Vie Imaginaires by Georges Barbier (1929)
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crucifiedlovers · 1 year
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Destroy, for all creation comes from destruction.
Marcel Schwob, The Book of Monelle (trans. Kit Schluter)
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mauvais--sang · 11 months
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« Puis, sur les prairies sombres qui sont obscurément éclairées par un crépuscule d’astres, les deux ombres blanches s’assirent et cueillirent le crocos jaune, et l’hyacinthe ; et Daphnis tressa pour Chloé une couronne d’asphodèles. Mais ils ne mangèrent pas le lotus bleu qui croît sur les bords du Léthé, ni ne burent de l’eau qui fait perdre la mémoire. Chloé ne voulait pas oublier. Et la reine Perséphone leur donna des sandales de glace à semelle de feu pour traverser le courant enflammé des fleuves rouges. »
— Mimes, Marcel Schwob, 1894
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mote-historie · 6 months
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Claude Cahun (Lucy Schwob), La vitrine de chaussures (shoe showcase), London, 1936
Claude Cahun (French pronunciation: [klod ka.œ̃], born Lucy Renee Mathilde Schwob; 25 October 1894 – 8 December 1954) was a French surrealist. Lucy Schwob was a writer, actress, and outspoken member of the Parisian lesbian community between the two world wars. She and Suzanne Malherbe, her stepsister, became partners in life, love, and art, and took the ambiguously gendered pseudonyms Claude Cahun and Marcel Moore for their collaborative theatrical and photographic works. The images they made mostly depict Cahun, and sometimes Moore, in a variety of masculine, androgynous, and feminine personas set in minimally staged scenes in their home. (x)
Claude Cahun and his companion Suzanne Malherbe accompanied Jacqueline Lamba and André Breton to London during the first international exhibition of surrealism, organized by David Gascoyne, Roland Penrose and ELT Mesens, inaugurated on June 11, 1936.
[Anne Egger, 2023, Atelier André Breton] (x)
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jstor · 4 months
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Hi, jstor admin. Was the book about the children's crusade that you read history, or the novel? I am looking for a good nonfiction history book about the children's crusade. Or other crusades, if you can recommend any. Thank you!
Hi! It was the book by Marcel Schwob, with a foreword by Jorge Luis Borges. I admittedly haven't read any non-fiction works about the Children's Crusade, but I did find this brief free-to-read article on JSTOR about it!
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