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#mamelle
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Nathan Butler - Mamelle, the Goddess - Fawcett - 1974
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2t2r · 7 years
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Une chatte adopte des hérissons orphelins [vidéo]
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/une-chatte-adopte-des-herissons-orphelins-video/
Une chatte adopte des hérissons orphelins [vidéo]
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pombomb · 5 days
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iwankokoyuki · 8 months
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Mamel in Genshin
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lara-transilvania · 2 months
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M-am săturat să aflu de altă nepoată/verișoară/prietenă/cunoștință de 15 ani că își face gagiu de 20+.
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nolan-chance · 20 days
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dicketysplit · 2 months
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why on earth did I dream that scooter from the muppets was messaging me on facebook, introducing himself as a “nice little faggot” and offering to drive my car????????????
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tentativearsonist · 1 year
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I like this lady
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thebicanary · 1 year
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da keep was a great way to marry up different playthroughs and make world states you might otherwise not play out just to see the consequences in inquisition/beyond but it is still home of phobic that it doesn’t recognize my mods or my headcanons
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panafrocore · 2 months
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African Renaissance Monument
African Renaissance Monument is a 52 m (171 ft) tall bronze statue located on top of one of the twin hills known as Collines des Mamelles, outside Dakar, Senegal. The project was launched by then Senegalese president Abdoulaye Wade who considered it part of Senegal’s prestige projects, aimed at providing monuments to herald a new era of African Renaissance. It shows a family drawn up towards the…
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momoslegendarios · 9 months
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seacavepuzzle · 1 year
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Mamele (1938)
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pabifaye · 2 years
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Les mamelles #insta #instacool #mamelles #inspiration #senegal #instacool #inspiration #inspiration #pluie (à Dakar, Senegal) https://www.instagram.com/p/Cg40Y1LLyKR/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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satakentiaphoto · 9 months
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Juin 6. Pause raccoon. Parc des Mamelles, Guadeloupe.
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famousinuniverse · 25 days
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African Renaissance Monument, Dakar, Senegal: The African Renaissance Monument is a 52 m tall bronze statue located on top of one of the twin hills known as Collines des Mamelles, outside Dakar, Senegal. Wikipedia
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ekman · 1 month
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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