« La beauté naît d'un cœur plein d'amour... C'est le cœur qui fait dorer ses mains, pour qu'à travers elles il puisse faire ressortir ses trésors et les offrir aux hommes.
Si le cœur se réjouit de quelque chose, alors il veut que les autres s’en réjouissent. Le cœur ne veut pas se réjouir seul. La joie est la sagesse du cœur.
Vos mains deviendront dorées lorsque votre cœur tremblera d’amour pur. Pensez-vous que ce sont les mains qui apprendront l’art de la joaillerie ? Non! Ce cœur le comprend et le maîtrise, exerce ses mains, polit ses doigts pour qu'ils fassent exactement ce que le cœur exige d'eux..."
les mains de la douleur ne réclament plus leur lumière ; dans le noir qu’elles auscultent comme un corps impossible, elles ont déjà commencé à sculpter ce qui peut nous faire croire à une présence oubliée, à une présence déjà partie ; la lamentation est une souffrance qui gesticule déjà dans l’éternité ; là est sa victoire ; l’éternité qui n’interpelle jamais, qui n’est que gestes muets, miettes invisibles jetées au visage de l’impassible