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#le roman de silence
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It’s the wlw (gender neutral) of it all...
[ID: A version of the Spiderman pointing meme - Four cartoon Spidermans stand in a circle and point at each other, with the implication being that they’re all shocked that they look the same. Each Spiderman is labelled with one of the following: Roman de Silence, Yde et Olive, Grisandole (Post-Vulgate), Iphis and Ianthe.]
On the one hand, these stories are less like a neat circle and more like multiply-overlapping venn diagrams that cover ideas like ‘female warrior’, ‘secret identity’, ‘wlw yearning’, ‘shitty father’, ‘transmasc gender vibes’, ‘physical transformation as divine intervention’, and ‘plopped back into traditional gender roles and married to the king’...
...but on the other hand, who am I, if not a maker of memes?
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reading my research project from like 2 years ago and reading the comments again heheheheheeee
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liminalpsych · 1 year
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e x c u s e
was no one going to tell me about Le Roman de Silence from the first half of the 13th century?
I was just supposed to learn about gender-fluid / transmasc? / non-binary? / gender non-conforming minstrel knight Silence from a podcast episode??
how have I seen *zero* dialogue about this story in my queer Arthurian tumblr feed? is it just that unknown or have y’all been holding out on me?
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evelhak · 1 year
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Chapters: 7/16 Fandom: Kuroko no Basuke | Kuroko's Basketball, Le Roman de Silence | The Romance of Silence Rating: Mature Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Kagami Taiga/Kuroko Tetsuya Characters: Kuroko Tetsuya, Kagami Taiga, Kuroko Tetsuya's Grandmother, Ogiwara Shigehiro, Kiseki no Sedai | Generation of Miracles, Aida Riko, Original Characters Additional Tags: Fairy Tale Retellings, Alternate Universe - Fantasy, Female Kuroko Tetsuya, Magic, Heavy symbolism, Dialogue Heavy, Introspection, can be read as a standalone, POV First Person Series: Part 6 of The Other Things Summary:
"I just stand in the dark, not being able to think anymore. There’s another voice, barely a whisper, and I can’t even tell where it’s coming from, but it’s still unmistakably there.
What is your true nature?
Then there’s another light.
It’s the way out.
Everything feels like fog."
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I began posting a new fic that for once can be read as a standalone without complete confusion, and isn’t as long as the fics in my main story, so if you’re unfamiliar with my “TOTverse”, now is a good time to start reading!
If you like KnB, KagaKuro, fairytales, everything queer, and character-driven dialogue-heavy and (technically) canon-compliant stories with literary references ranging from overused to totally obscure, I’m here for you.
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eldcrow · 1 year
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There was a discussion on the Arthurian romance Le Roman de Silence on Discord, and so I felt compelled to do these drawings in my sketchpad.
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mmepastel · 2 days
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Holy shit.
Quel drôle de lecture. Je suis passée par divers états tout au long des quelques 600 pages de ce pavé qui est définitivement lourd. J’ai mis environ 200 pages à comprendre qui était qui, puis 200 de plus à être happée par le suspense, puis les 200 dernières à être complètement piégée. A la fin, un peu contrariée car une incertitude m’embêtait, mais je ne pouvais pas relire le roman pour être sûre ! Donc bref. Un peu d’énervement, de l’ennui parfois, de la perplexité, puis un vrai engouement.
Dans ce village fictif au bord de la frontière austro-hongroise, il y a tout de même pas mal de monde, et en plus l’autrice navigue des années 30 à la fin des années 80 (89, très exactement, en lien avec la destruction du mur de Berlin).
Bref, c’est une lecture exigeante, et le sujet n’est pas léger. Le roman évoque ce que la Seconde Guerre Mondiale a fait à l’Autriche, qui s’est en plus complexifié à l’Est du pays, notamment à la frontière austro-hongroise, avec l’invasion des Soviétiques juste après. Certains ont changé de rôles et d’idéologies comme on change de costume. Un nazillon peut se retrouver chef de la police nommé par les communistes. Cocasse ? Oui. Mais aussi terriblement gerbant.
Ce qui intéresse particulièrement l’autrice, c’est la couche de silence qui a recouvert les esprits. Chacun, rudement éprouvé, et encore on parle de ceux qui ont survécu, a vite cherché à retrouver une tranquillité, à tout prix. Peu importe les mensonges, les demis vérités, les rumeurs, on s’est mis progressivement à tout étouffer, tout refouler. Mais quand un squelette est déterré, un jour d’été de 1989, c’est tout un passé qui resurgit, dans lequel il n’est pas aisé de démêler le vrai du faux, le rôle de chacun à tel ou tel moment. Mensonge par omission, par réflexe de survie, par lâcheté, par honte, sans doute un peu tout ça. Et avec la volonté de quelques jeunes, du village ou d’ailleurs, désirant réparer par exemple le cimetière juif, le puzzle se reforme, péniblement.
Il y a quelque chose de laborieux dans ce livre. Il y a de l’humour, de l’ironie principalement, mais le style est parfois lourd, ou alors c’est un problème de traduction, mais je me suis parfois retrouvée à relire certaines phrases, les trouvant étranges, bancales, confuses. Le travail de recherches de ceux qui veulent la vérité est tout autant laborieux, parfois avec un brin de malice de l’autrice qui laisse le lecteur en savoir davantage que certains de ses personnages… mais ce lecteur doit être drôlement concentré… j’ai un peu peiné.
Pourtant, mon impression est positive et je me retrouve franchement admirative du travail de construction de la romancière. J’imagine sa difficulté pour rendre compte de ces temps troubles et complexes, ces consciences torturées, rendre compte aussi du processus énigmatique de la mémoire, qui oublie pour parfois pour survivre, parfois pour prospérer.
A un moment, il y a d’ailleurs un magnifique et terrifiant « retour du refoulé »… un masque au moins tombe à grand fracas, mais même dans ce cas là, les résistances autour continuent de se dresser… c’est dur de regarder les choses, surtout les plus immondes, en face, on est envahi alors d’une odeur fantôme de putréfaction insoutenable, mais les odeurs du souvenir, on ne peut pas les réduire au silence…
Un livre impressionnant, que je n’oublierai pas de sitôt.
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qualifying paper: submitted 🥴🎉
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angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lecture #07-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. Le dernier Jérôme Loubry, Le chant des silences Le chant du silence de Jérôme Loubry – Editions Calmann Lévy Fin de ronde de Stephen King Fin de ronde de Stephen King – Editions Albin Michel En lecture, une Masse Critique de Babelio, De lune en lune de Lise Syven De lune en lune Lise Syven tous les livres sur Babelio.com Présentation de…
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oceannacaldin · 2 years
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Elles et Ils disent : « Nous venons en paix Suicider le silence Et renaître Mettre au monde Un chant de terre latérite Mémoire d’encre vive Cendre d’espérance Fragile orchidée Plantée dans le champ D’un rêve de mille ans Reporté. »
Marc Alexandre Oho Bambe, Les Lumière d'Oujda
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coolvieilledentelle · 7 months
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"Plus rien ne bouge dans le désarroi du temps. Même l’océan sommeille à l’ombre du phare. Sur le chemin qui mène aux marais salants La pluie s’agite pour embrumer le regard. J’entends dans le loin grimacer la chrysalide De la lune ronde qui semble fuir l’obscurité. Le ciel voudrait allumer ses bougies timides Mais les tisons sont froids dans sa cheminée. Te dire mon silence intérieur qui bâillonne Le mot écrasé sur le sable vert de l’intime Ne chassera pas tous ces requiem aphones Il pleut des ténèbres jusque dans la rime. Entre les dunes, serpente un vent orphelin Il me parle de toi et je flirte encore souvent Avec ton ombre posée sur la nuit sans tain Je t’ai suivi jusqu’à l’épilogue de ce roman. Seuls mes pas crissent entre les fougères Césures incertaines au bout de cette plage Pensées inaudibles, il vaut mieux se taire Pourtant, de notre livre, se tourne la page. Longtemps immobile, ma coque intérieure Vogue vers la parenthèse de ton grimoire. Dans l’écho de l’âme, ressuscite ton cœur Comme le font les étoiles tous les soirs." ✍ Sedna ✍
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quemajoiedemeure · 3 months
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Hier dans un salon de thé j'ai vu un petit vieux qui ressemblait grave à mon père mais avec une barbe, genre même carrure même démarche même style de vêtements même façon de s'asseoir dans le silence, il était venu avec une petite vieille qui était sûrement sa femme et ils buvaient des chocolats chauds au fond du salon de thé en lisant des bouts de livres qui étaient là à disposition, et le fait de voir qu'il ressemblait physiquement à mon père ça m'a fait un choc quand il était de dos je pouvais totalement les confondre et j'ai rien pu faire j'ai eu les larmes aux yeux direct, je pense souvent à Roman Roy dans Succession quand il dit "Ça va, j'avais déjà fait un pré-deuil", j'ai cru un moment que j'avais fait ça aussi mais c'est sûrement pas vrai parce qu'il y a de la colère et de la rancœur et de l'injustice liées à la façon dont il est mort et on peut pas être préparé à ça, bref je pleurais en regardant le vieux j'avais envie de lui dire qu'il ressemblait à mon père mais je l'ai pas fait parce que bon il aurait sûrement eu peur
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près de moi s'envole ton chant, résonances d’arcs ; soudain cet autre monde, l’autre versant du berceau ; petites églises humbles et romanes édifiées pour élever les voix du silence qui s’élèvent aussi pour porter les voix chantantes vers d’autres royaumes ; leurs voûtes porteuses de pierres en plein-cintre se dressent à l’abri des saisons séculaires du soleil pour déployer dans la plus stricte intimité la prononciation de l’infini, pour entendre tout un phrasé d’outre-ciel, aux limites de notre langage ; elles ne sont pas là seulement pour maintenir droit
© Pierre Cressant
(mercredi 12 juillet 2006 - mardi 13 juin 2023)
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silence's ending is soooo sad beating the narrator with a hammer
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Cet après-midi, après une semaine intensive au travail, j'ai cultivé l'art de ne rien faire ! Un peu comme ce chat...
Avec seulement quelques grilles de mots fléchés pour la détente, et la joie d'avoir reçu ce jour : "L'homme qui voulait être heureux" de Laurent GOUNELLE
Roman qui sera à lire dans le silence en dégustant une tasse de café ou de thé...
" Et si nous gardions du temps pour ne rien faire, pour contempler, pour respirer ? "
Christophe ANDRE
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ernestinee · 7 months
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J'ai fini Psychopompe, d'Amélie Nothomb. Spoilers dans la suite. Je la lis depuis 1992 avec L'hygiène de l'assassin. J'ai dû le lire plus de 20 fois, le prêter, ne pas le récupérer, le racheter, le relire encore pour me le réapproprier.
Chaque année, ma maman m'offre son nouveau roman dès sa sortie.
Je sais ce qu'elle a bien voulu montrer de sa vie, dans ses romans autobiographiques, dans les indices laissés ça et là au travers des fictions. Je connais ses thèmes de prédilection, la beauté, la mort, l'alimentation, le froid, le silence, les mots rares.
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Cette fois, c'est un roman autobiographique particulièrement intime. J'avais comme à chaque fois sa voix dans la tête.
L'histoire commence avec un conte japonais qui met en lumière l'oiseau sublime qu'est la grue, et introduit la passion qu'a Amélie Nothomb pour les oiseaux.
Elle parle ensuite de ses nombreux voyages (elle est fille de diplomate belge, sa famille a beaucoup voyagé), de son observation des oiseaux, et cette deuxième partie se termine par un évènement majeur et traumatisant qui donnera lieu à plusieurs années d'anorexie. Elle en avait parlé dans certains livres, je connaissais cette partie de sa vie mais je n'en connaissais pas l'origine.
On comprend alors la quatrième de couverture "Écrire c'est voler" lorsque l'écriture l'aide à quitter le sol et l'anorexie. Les métaphores entre l'écriture et les oiseaux se suivent. Sa vision de l'écriture est envoûtante pour moi qui l'admire depuis longtemps.
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La dernière partie du livre est la plus intime, elle y parle de la mort, en particulier de la mort de son père et de leur conversation posthume. J'ai été assez émue.
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A plusieurs moments, l'histoire fait le lien entre certains de ses livres, des pièces s'ajoutent petit à petit dans un puzzle entamé depuis plusieurs années.
J'ai encore du mal à dire si j'ai aimé ou pas le livre, en fait. Hygiène de l'assassin, Mercure, Métaphysique des tubes, Cosmétique de l'ennemi, Antéchrista, Biographie de la faim, Stupeur et tremblements : je pourrais relire ceux-là plusieurs fois sans m'en lasser une seconde. Ce n'est pas le cas de Psychopompe, même si j'ai adoré l'impression d'en savoir un peu plus encore sur un personnage omniprésent chez moi depuis plus de 30 ans.
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eldcrow · 2 months
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I think one of the reasons for my interest/obsession with the Arthurian legends is that feeling that you know the story, until you actually sit down to read or hear the story itself.
I think what set off that aspect was when I was six or seven and I found out King Arthur died at the end. Up to that point, my knowledge of the Arthurian legends came from Disney's Sword in the Stone and various sanitised depictions of the legends.
And naturally I learned more and more as I got older, and yet even when I entered my twenties, I was still presumptious enough to think I knew the story of King Arthur and the Knights of the Round Table. And yet I would discover more things, especially when I began to seriously dive into what translations of medieval texts I could find. For instance, it was not until a couple years ago that I learned about stories like Melora and Orlando and Le Roman de Silence.
There's always more that we don't know, more stories and characters that have either disappeared from the public consciousness or never had a chance to properly embed themselves in it in the first place. And how much does the average person know about these legends at all?
That person might see only a puddle, but they have only thrust their hand into the water to realise it is an ocean. And what wonders swim in that ocean!
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