Tumgik
#histoire d'amour
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14 / 02 / 2024
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Chers lecteurs ! Joyeuse Saint-Valentin 🌹💞
Vous ne le savez peut-être pas mais je n'ai jamais célébré cette journée en couple, alors j'ai imaginé une histoire sur ce que j'aurais aimé vivre, comme je l'ai fait les années précédentes.
Aujourd'hui je publie une histoire inspirée par "l'art" (illustrations créées par Intelligence Artificielle) de @dragonslayher sur Deviantart. Il a représenté le chanteur / acteur Ross Lynch (âgé actuellement de 28 ans) et l'acteur Tom Holland (âgé de 27 ans) étant en couple au lycée. Si cette histoire vous plaît je publierais certainement ce qui s'est passé avant (Chapitre 1) et après (Chapitre 3) cette histoire (Chapitre 2).
Dans cette histoire, c'est un univers parallèle où Tom âgé de 17 ans et Ross âgé de 18 ans, avec leur différence de taille actuelle, auraient été ensemble au lycée et amoureux. Il est plus facile pour moi d'imaginer Tom Holland comme un mignon garçon dominé plutôt que comme un dominant, même si je l'ai déjà décrit ainsi dans des histoires précédentes.
Je suis également excité par Ross Lynch et je l'ai décrit ici comme un sportif géant et dominant. Vous pouvez également imaginer cette histoire comme ce qu'aurait été un film entre ces deux magnifiques acteurs.
J'ai mis cette histoire parmi celles sur les CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES mais ce ne sont pas ici les réelles stars qui sont mises en scènes mais des variants de réalités parallèles, c'est-à-dire dans un autre monde.
Je dédie cette histoire à tous les célibataires, en vous souhaitant de passer une bonne soirée seul et en espérant que mon histoire vous apportera de la joie. 😊
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
CÉLÉBRITÉS AMOUREUSES #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
LE GRAND SPORTIF ET SON PETIT GARS
CHAPITRE 2 - SAINT-VALENTIN AU LYCÉE
Tom Holland était un joli pompom boy de son lycée. Il n'avait d'yeux que pour son amoureux, le quaterback Ross Lynch. Ross Lynch était le plus bel homme du lycée, car il était le plus grand et le plus musclé. Avec son long nez droit, son sourire étincelant, son odeur chaude de sueur masculine, ses doux cheveux blonds magnifiquement coiffés, ses yeux bleu charmants, il avait tout d'un prince. Capitaine et quaterback de l'équipe de soccer du lycée, il était littéralement le Roi du lycée, car il dépassait tout le monde de minimum une tête, alors personne n'osait le contredire ou lui manquer de respect. Et pourtant, cet homme magnifique, naturellement autoritaire et qui n'avait pas besoin d'élever la voix pour être obéi des professeurs comme des élèves, était bisexuel.
Oui, et il était depuis récemment le fier petit ami de Tom Holland, un garçon cheerleader! Celui-ci ne pouvait y croire : depuis son premier jour au lycée, il était immédiatement tombé amoureux de Ross Lynch sans même avoir entendu le soix de sa voix, n'avoir respiré l'odeur de sa sueur, goûté à son corps, masser ses muscles ou tout simplement avoir pu lui parler ou l'écouter. Depuis, Tom Holland avait fait toutes ces choses, et personne n'avait plus jamais embêté le mignon petit garçon depuis qu'il était officiellement l'amoureux de Ross Lynch. Car, quel contraste il y avait entre eux !
Âgé d'un an de moins que Ross Lynch, Tom Holland était un joli garçon de 17 ans, un peu musclé mais avec un petit cul rond, alors que Ross était très musclé et avait un gros cul ; des cheveux bruns quand ceux de Ross sont blonds ; des yeux marrons alors que ceux de Ross sont noisettes... Mais la différence notable et majeure est la taille : même si Tom Holland mesure 1 m 69, ce qui est raisonnable, il a l'air minuscule comparé à Ross Lynch, qui mesure 1 m 83, donc plus d'une tête de plus que son amoureux.
Ross Lynch étant désiré de la quasi totalité des lycéens, beaucoup avaient espéré qu'un grand mâle blanc dominant et sportif, bon élève et séducteur, ne soit pas intéressé par ce garçon insignifiant. L'inverse s'était produit. C'est justement le caractère discret de Tom Holland, son aspect de mignon petit garçon doux et rieur qui avait plu à Ross Lynch. Il voulait être protecteur envers son garçon, qui, quoiqu'agé d'un an de moins que lui seulement, était son bien le plus précieux. Par amour et adoration envers, Tom Holland avait rejoint l'équipe de cheerleaders dans l'unique but de pouvoir admirer la musculature de son gigantesque petit ami.
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Voir et entendre son petit ami donner des ordres à ses coéquipiers émoustillait toujours Tom Holland, qui savait qu'il était la petite chose de son mec. Pouvoir respirer l'odeur de sa chaude sueur virile était une belle récompense pour toutes ces heures dépensées à apprendre des chorégraphies et des chansons dont le seul but était de glorifier la puissance et la beauté des athlètes dont Ross Lynch était le capitaine. Devenu le petit-ami du roi du lycée qui était candidat à sa propre réélection pour le prochain Bal de Promo, Tom Holland avait gagné en popularité auprès des lycéens.
En ce 14 février, jour de la Saint-Valentin, Tom Holland était dans un couloir, vêtu de son uniforme de pompom boy composé dun tee-shirt moulant aux manches courtes et d'une jupe plissée arrivant bien au-dessus des genoux. Ce contraste entre la masculinité des bras musclés de son petit ami et sa féminité par sa jupe excitait Ross Lynch, ouvertement bisexuel. Cela avait pour effet que les garçons et les filles du lycée rêvaient presque tous d'être en couple avec lui. Mais, même si certains espéraient toujours qu'ils rompent, la beauté du couple que formaient Ross et Tom avaient fini par les convaincre de la sincérité de leurs sentiments.
Des pas affirmés retentirent dans le couloir. Ross Lynch, l'homme le plus grand du lycée, était gigantesque pour son âge et tout le monde baissait la tête en signe de respect ou alors osait admirer la perfection de son visage. D'une allure assuré et un peu arrogante, Ross Lynch arriva au niveau du casier de son grand amour.
ROSS LYNCH : "Comment va mon bébé aujourd'hui 😏 ?"
Tom se retourna et sourit immédiatement en voyant son divin amoureux. Le haut de la tête de Tom arrivait à peine au-dessus des impressionnants pectoraux de son amant. Pour se regarder les yeux dans les yeux, Ross Lynch devait baisser la tête et Tom devait la lever.
TOM HOLLAND : "Mieux maintenant que je te vois 😁."
ROSS LYNCH : "Bonne réponse, bébé."
Vêtu de son teddy en cuir, d'un jean qui moulait son gros cul rond et son immense bite juteuse et ses couilles pleines, Ross Lynch avait un bras posé contre les casiers, empêchant des losers de s'en approcher tant qu'il se trouvant devant. Il adorait contempler son garçon de haut pour le voir le regarder avec adoration.
ROSS LYNCH : "Viens là, tu mérite ton bisou."
Ross Lynch prit Tom Holland par la taille, et le colla contre lui pour embrasser son front, son nez et ses oreilles, faisant rire son petit ami.
TOM HOLLAND : "Et moi ? 😅"
ROSS LYNCH : "Quoi, "toi" ?"
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas le droit de t'embrasser, s'il te plaît ?"
ROSS LYNCH : "Je vais devoir y réfléchir... Mais non je rigole, ne fait pas cette tête, bébé ! Tu as le droit à un baiser !"
Tom embrassa le cou chaud de son amoureux et en profita pour respirer l'odeur de sueur masculine.
ROSS LYNCH : "Viens, on doit aller en cours."
Ce matin là, Tom avait le bonheur d'avoir un cours commun avec Ross Lynch, qui avait un an de plus que lui. Les deux amants en profitèrent pour s'asseoir l'un à côté de l'autre. Tout au long du cours, Tom Holland regardait, admiratif, la perfection du visage de Ross Lynch, se demandant pourquoi il ne lui avait encore rien offert en ce jour particulier de la Saint-Valentin, leur première ensemble. Autour de lui des roses et des boîtes de chocolats, des cartes et des ballons, des bonbons et des peluches étaient échangés entre les amoureux. Lui n'avait rien reçu.
Ross Lynch avait-il oublié ? Impossible, car en temps que Président des élèves - un de ses innombrables titres au lycée - il dirigeait le comité d'organisation des fêtes du lycée : les ballons et les guirlandes roses et rouges ornaient les portes et les plafonds du lycée.
Tom se demandait s'il était puni d'une quelconque désobéissance envers Ross, s'il avait manqué de respect, s'il n'avait pas assez bien massé ses longs pieds ou sucé sa belle bite la dernière fois qu'ils avaient passés un moment intime.
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Perdu dans ses pensées, Tom Holland n'entendit par la professeur dire : "Tom, je sais que Monsieur Lynch est le plus bel homme qui ait jamais vécu sur Terre, que MichelAnge doit être triste de ne pas l'avoir eu pour modèle et que nous passerions tous nos journées entières à admirer sa magnifique splendeur, mais, mais, tu dois te concentrer un peu plus sur le cours et un peu moins sur la perfection de son visage !"
Cette intervention provoqua un léger rire, mais respectueux, sans moquerie, car quiconque aurait manqué de respect au petit ami aurait définitivement perdu l'usage d'un bras ou d'une jambe. Ross Lunch prit la douce petite main de Tom dans la sienne qui en mesurait quasiment le double pour le rassurer.
Après une journée à espérer n'importe quel cadeau de la part de l'homme de ses rêves, Tom se résigna, craignant que Ross Lynch, fidèle à sa réputation de séducteur, ne le quitte le jour de la Fête des Amoureux. En sortant du lycée, il vit Ross appuyé contre sa voiture.
"Monte.", lui dit Ross d'un ton calme mais qui ne supposait aucune réponse.
En petit ami obéissant, il voulait plaire à son géant. Il monta en voiture, et Ross lui claqua ses petites fesses avant de fermer la portière. Il aimait cette sorte d'androgynie chez Tom, le fait que Tom soit petit et mince avec une jupe courte comme une fille, musclé aux cheveux courts comme un gars. Il posa son long bras musclé derrière la nuque de Tom et l'embrassait sur la joue de temps à autre. Tom Holland ne savait pas à quoi s'attendre de la part de Ross Lynch.
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Ils arrivèrent dans une forêt, et, avant qu'ils ne se garent, Ross mit un ruban sur les yeux de Tom. Il lui demanda de s'habiller sans regarder. C'était un pantalon, un tee-shirt blanc et un gilet en cuir.
Une fois arrivés à destination, Ross guida Tom, lui mit une chaîne autour du cœur dont il se servir comme une laisse pour guider Tom Holland derrière lui comme s'il était son toutou. Tom Holland se considéré comme la propriété de Ross, il voulait lui appartenir pour l'éternité, alors être son animal de compagnie ne le dérangeait pas.
Pourtant lorsqu'il sentit les bras puissants de Ross le porter pour les derniers mètres, il comprit. Oui, la surprise. Celle qu'il espérait tant. Ross le posa à terre, retira le ruban et Tom découvrit une table sut une plate-forme recouverte de pétales de roses rouges, des bougies cachées dans des buissons, des plats délicieux les attendaient. Ross avait envoyé ses serviteurs préparer le lieu, mais c'est lui qui l'avait conçu et choisi le menu que ses cuisiniers personnels avaient faits. Tom eut les larmes aux yeux en voyant ça : jamais personne ne lui avait aussi élégamment témoigné de l'amour !
Ross prit la laisse de Tom et le guida à table, où les deux amoureux dégustèrent les mets fins, s'amusant à se mettre les plats dans la bouche de l'autre.
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Ross se leva, embrassa son mignon petit garçon et l'emmena regarder la nuit étoilée. Ross s'allongea contre un arbre. Il prit Tom dans ses bras, si fort qu'il pouvait aisément supporter le poids du corps du léger et mignon Tom sur lui, lui caressant ses cheveux bruns. 
TOM HOLLAND : "Merci de m'avoir emmené voir les étoiles, mais j'ai la chance d'en admirer une tout les jours : toi."
Narcissique, Ross aimer la flatterie. Surtout si elle venait du mignon petit garçon qui le voyait comme un dieu vivant et pour qui il aurait tué sans remord. 
ROSS LYNCH : "C'est bien. Continue." 
TOM HOLLAND : "Je n'ai pas besoin d'être éclairé par le Soleil si tu es face à moi." 
ROSS LYNCH : "Pas mal. Ne t'arrête pas." 
TOM HOLLAND : "Je mourrai si je ne pouvais pas te voir. Je t'aime plus que tout au monde, tu es un diamant, rien ni personne ne t'égale, je t'aime, merci d'être mon amoureux..." 
ROSS LYNCH : "Ça va, bébé, ça va ! Gardes en pour la prochaine Saint-Valentin. D'ici là tu auras le temps de t'améliorer en flatterie. Quand on est le petit ami d'un dieu on doit être reconnaissant."
 TOM HOLLAND : "Je le suis ! Je ferais tout pour toi !"
 ROSS LYNCH : "Tommy, mon bébé, tu es le plus mignon, le plus doux des garçons qu'un roi comme moi puisse désirer. Quiconque te fera le moindre mal subira d'atroces représailles. Tu es plus précieux à mes yeux que le plus pur des diamants."
Tom s'en voulait d'avoir voulu un cadeau : Ross Lynch est à lui-même un cadeau ! Celui-ci se pencha pour embrasser Tom Holland quand...
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Un rot tonitruant sentant la viande et le chocolat souffla sur le visage de Tom, dont la joli petite mèche se retourna en raison de la puissance du rot. Ross Lunch hurla de rire d'avoir roté au visage de son garçon, mais Tom respirait l'odeur de la bouche de Ross et le remercia pour son rot : tout ce qui venait de Ross Lynch était précieux et devait être apprécié.
Le beau maître gazeux, tenant toujours la chaîne en main, admira les étoiles en compagnie de son adorable petit garçon, et Tom s'endormit dans ses bras musclés, au comble du bonheur en cette Saint-Valentin.
 FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
Dear readers ! Happy Valentine's day 💞🌹
You may not know it but I've never celebrated this day being in couple, so i imagined a story about what I would have liked to live, as i did in the previous years.
Today I'm publishing a story inspired by the "art" (illustrations created by Artificial Intelligence) of @dragonslayher on Deviantart. It depicted singer/actor Ross Lynch (currently 28 years old) and actor Tom Holland (aged 27) being a couple in high school. In this story, it's a parallel universe where Tom aged 17 and Ross aged 18, with their current height difference, would have been in high school together and in love. It's easier for me to imagine Tom Holland as a cutie boy dominated rather than as a dom, even though I've already described him that way in previous stories.
I am excited by Ross Lynch too, and I've described him here as a giant dominant jock. You can also imagine this story as what a movie would have been between these two gorgeous actors 🥵.
It's a story about CELEBRITIES IN LOVE but it's not the real versions of the stars here, more variants from a parallel universe.
I dedicate this story to all the single persons, wishing you to spend a good evening alone and hoping my story will bring you joy. 😊
If you like this story I will definitely post what happened before (Chapter 1) and after (Chapter 3) this story (that's why it's already Chapter 2).
PERSONAL FICTIONAL STORY
CELEBRITIES IN LOVE #16
ROSS LYNCH x TOM HOLLAND
- THE TALL JOCK AND HIS SMALL BOY - CHAPTER 2 - HIGH SCHOOL'S VALENTINE'S DAY
Tom Holland was a pretty cheerleader at his high school. He only had eyes for his lover, quarterback Ross Lynch. Ross Lynch was the most handsome man in school because he was the tallest and most muscular. With his long straight nose, his sparkling smile, his warm smell of male sweat, his soft, beautifully styled blond hair, his charming blue eyes, he had everything of a prince. Captain and quarterback of the high school soccer team, he was literally the King of the school, because he was at least a head taller than everyone, so no one dared to contradict him or disrespect him. And yet, this magnificent man, naturally authoritarian and who did not need to raise his voice to be obeyed by teachers and students alike, was bisexual.
Yes, and he was most recently the proud boyfriend of Tom Holland, a boy cheerleader!
Tom couldn't believe it: since his first day in high school, he had immediately fallen in love with Ross Lynch without even having heard the six of his voice, having breathed the smell of his sweat, tasting his body, massaging his muscles or simply being able to talk to him or listen to him. Since then, Tom Holland had done all these things, and no one had ever bothered the cute little boy since he was officially Ross Lynch's love interest. Because what a contrast there was between them!
A year younger than Ross Lynch, Tom Holland was a pretty boy of 17, a little muscular but with a small round ass, while Ross was very muscular and had a big ass; brown hair when Ross's is blond; brown eyes while Ross's are hazel... But the notable and major difference is the height: even if Tom Holland measures 1 m 69, which is reasonable, he looks tiny compared to Ross Lynch, who measures 1 m 83, so more than a head taller than her lover. Ross Lynch being desired by almost all high school students, boys and girls, many had hoped that a tall, dominant and athletic white male, a good student and seducer, would not be interested in this insignificant boy.
The opposite had happened. It was precisely the discreet character of Tom Holland, his appearance as a cute, sweet and laughing little boy that appealed to Ross Lynch. He wanted to be protective of his boy, who, although only a year younger than him, was his most precious possession. Out of love and adoration, Tom Holland had joined the cheerleading team for the sole purpose of being able to admire the muscles of his gigantic boyfriend.
Seeing and hearing his boyfriend giving orders to his teammates always excited Tom Holland, who knew he was his boyfriend's little thing. Being able to breathe in the smell of his warm virile sweat was a great reward for all those hours spent learning choreographies and songs whose sole purpose was to glorify the power and beauty of the athletes of which Ross Lynch was the captain. Having become the boy of the high school school's king, who was a candidate for his own re-election for the next Prom, Tom Holland had gained popularity among high school students.
On February 14, Valentine's Day, Tom Holland was in a hallway, dressed in his cheerleader uniform consisting of a tight-fitting short-sleeved T-shirt and a pleated skirt reaching well above the knees. This contrast between the masculinity of his boyfriend's muscular arms and his femininity through his skirt excited Ross Lynch, openly bisexual. This had the effect that the boys and girls in high school almost all dreamed of being in a relationship with him. But, even if some still hoped that they would break up, the beauty of the couple that Ross and Tom formed had finally convinced them of the sincerity of their feelings.
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Assertive footsteps sounded in the hallway. Ross Lynch, the tallest man in school, was gigantic for his age and everyone either bowed their heads in respect or dared to admire the perfection of his face.
With a confident and slightly arrogant look, Ross Lynch arrived at his great love's locker.
ROSS LYNCH: “How is my baby today 😏?”
Tom turned around and immediately smiled upon seeing his divine lover. The top of Tom's head barely came above his lover's impressive pecs. To look each other in the eye, Ross Lynch had to lower his head and Tom had to raise it.
TOM HOLLAND: “Better now that I see you 😁.”
ROSS LYNCH: “Good answer, baby.”
Dressed in his leather teddy, jeans that hugged his big round ass and his huge juicy cock and his full balls, Ross Lynch had one arm resting against the lockers, preventing losers from approaching him as long as he was finding in front. He loved looking down on his boy to see him look at him with adoration.
ROSS LYNCH: “Come here, you deserve your kiss.”
Ross Lynch grabbed Tom Holland by the waist, and pulled him close to kiss his forehead, nose and ears, making his boyfriend laugh.
TOM HOLLAND: "And me? 😅"
ROSS LYNCH: "What, 'you'?"
TOM HOLLAND: “Am I not allowed to kiss you, please? 😊”
ROSS LYNCH: "I'll have to think about it... 🤔But no, I'm kidding, don't make that face, baby! 😂 You have the right to do one kiss!"
Tom kissed his lover's warm neck and took the opportunity to breathe in the scent of male sweat.
ROSS LYNCH: “Come on, we have to go to class.”
That morning, Tom had the pleasure of having a joint class with Ross Lynch, who was a year older than him. The two lovers took the opportunity to sit next to each other. Throughout the class, Tom Holland stared in awe at the perfection of Ross Lynch's face, wondering why he hadn't given her anything yet on this special Valentine's Day, their first together. Around him roses and boxes of chocolates, cards and balloons, sweets and stuffed animals were exchanged between the lovers. He had received nothing.
Had Ross Lynch forgotten? Impossible, because as Student President - one of his countless titles at high school - he headed the organizing committee for the high school celebrations: balloons and pink and red garlands decorated the doors and ceilings of the high school.
Tom wondered if he was being punished for any disobedience to Ross, if he had been disrespectful, if he hadn't massaged his long feet well enough or sucked his beautiful cock well enough too, the last time they hung out.
Lost in his thoughts, Tom Holland did not hear the professor say: "Tom, I know that Mr. Lynch is the most beautiful man who ever lived on Earth, that Michelangelo must be sad not to have had him as a model and that we would all spend our entire days admiring his magnificent splendor, but, but, you need to concentrate a little more on the lesson and a little less on the perfection of his face!”
This intervention provoked a slight laugh, but respectful, without mockery, because anyone who had disrespected the boyfriend would have definitely lost the use of an arm or a leg. Ross Lunch took Tom's soft little hand in his, which was almost twice the size, to reassure him.
After a day of hoping for any gift from the man of his dreams, Tom resigned himself, fearing that Ross Lynch, true to his reputation as a seducer, would leave him on Lovers' Day. As he left the school, he saw Ross leaning against his car.
"Come up.", Ross told him in a calm tone but which did not assume any response.
As an obedient boyfriend, he wanted to please his giant. He got into the car, and Ross smacked his little butt before closing the door. He liked this kind of androgyny in Tom, the fact that Tom was short and thin with a short skirt like a girl, muscular with short hair like a guy. He put his long muscular arm behind Tom's neck and kissed him on the cheek from time to time.
Tom Holland didn't know what to expect from Ross Lynch. They arrived in a forest, and, before they parked, Ross put a ribbon over Tom's eyes. He asked him to dress without looking. It was pants, a white t-shirt and a leather vest.
Once at their destination, Ross guided Tom, put a chain around his heart which he used as a leash to guide Tom Holland behind him as if he were his dog. Tom Holland considered himself Ross's property, he wanted to belong to him for eternity, so he didn't mind being his pet. Yet when he felt Ross' strong arms carrying him for the last few meters, he understood.
Yes, the surprise. The one he hoped for so much. Ross put him on the ground, removed the ribbon and Tom discovered a table on a platform covered with red rose petals, candles hidden in bushes, delicious food waiting for them. 🌹
Ross had sent his servants to prepare the place, but it was he who had designed it and chosen the menu that his personal cooks had made. Tom had tears in his eyes when he saw this: no one had ever shown him love so elegantly!
Ross took Tom's leash and guided him to the table, where the two lovers tasted the fine dishes, having fun putting the dishes in each other's mouths.
Ross got up, kissed his cute little boy and took him to watch the starry night. 🌌
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Ross lay down against a tree. He hugged Tom, so tight that he could easily hold the weight of the light, cute Tom's body on top of him, stroking his brown hair.
TOM HOLLAND: “Thank you for taking me to see the stars, but I have the chance to admire one every day: you.”
Narcissistic, Ross loves flattery. Especially if it came from the cute little boy who saw him as a living god and for whom he would have killed without remorse.
ROSS LYNCH: "That's good. Keep going."
TOM HOLLAND: "I don't need to be lit by the Sun if you're facing me."
ROSS LYNCH: "Not bad. Don't stop."
TOM HOLLAND: "I would die if I couldn't see you. I love you more than anything in the world, you are a diamond, nothing and no one equals you, I love you, thank you for being my lover.. ."
ROSS LYNCH: "It's okay, baby, it's okay! Save some for next Valentine's Day. Until then you'll have time to get better at flattery. When you're the boyfriend of a god you have to be grateful."
TOM HOLLAND: "I am! I would do anything for you!"
ROSS LYNCH: "Tommy, my baby, you are the sweetest, sweetest boy a king like me could want. Anyone who does you the slightest harm will suffer terrible retaliation. You are more precious to me than the purest of diamonds."
Tom was angry with himself for having wanted a gift: Ross Lynch is a gift to himself! He leaned over to kiss Tom Holland when...
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A thunderous belch smelling of meat and chocolate blew into Tom's face, whose pretty little locks flipped due to the power of the burp. Ross Lunch howled with laughter for burping in his boy's face, but Tom breathed in the scent of Ross's mouth and thanked him for the burp: anything from Ross Lynch was precious and should be appreciated.
The handsome gassy master, still holding the chain in his hand, admired the stars in the company of his adorable little boy, and Tom fell asleep in his muscular arms, at the height of happiness this Valentine's Day.
END OF THE STORY
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juliendorcellove-blog · 3 months
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Une jeune boulangère, Noémie, s’ennuie dans la vie. Elle trouve son existence terne entre son mari milicien et son travail routinier. Jusqu’au jour où elle rencontre le commandant Luc, un maquisard séduisant. Elle va alors hésiter entre son mari très quelconque et son amant aventurier. Arrivera-t-elle enfin à se décider entre les deux ? Comme dit le proverbe : le cœur a ses raisons que la raison ignore. Découvrez donc ce drame passionnel dans la France occupée de 1944 ...
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unjourdemai · 6 months
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Symphonie de Couleurs et de Rêves 🌹
Chapitre 1 : Les Couleurs de l'Avenir
Le soleil couchant baignait les rues animées de Séoul d'une douce lueur orangée. Min-Jun, un jeune Coréen de dix-sept ans, marchait d'un pas vif, emportant son carnet à dessin comme s'il s'agissait de son bien le plus précieux. Ses doigts effleuraient les pages épaisses, caressant les esquisses qui donnaient vie à ses rêves.
Min-Jun avait toujours été fasciné par le monde des arts. Chaque coup de pinceau, chaque mélange de couleurs, était pour lui une aventure dans un royaume de possibilités infinies. Son appartement était un véritable atelier, où toiles et croquis s'entassaient dans un joyeux désordre. Parmi tout ce tumulte créatif, son fidèle compagnon à quatre pattes, Mochi, un Chihuahua à poils longs, observait avec curiosité.
La vie de Min-Jun n'était cependant pas seulement faite de pinceaux et de toiles. Malgré son jeune âge, il avait atteint la taille remarquable d'1m79. Cela n'avait pas échappé à l'œil attentif d'un agent de mannequins qui, un jour, avait repéré le jeune artiste dessinant sur le trottoir d'une rue achalandée.
C'était un moment clé dans la vie de Min-Jun. L'agent l'avait convaincu de tenter sa chance dans le monde de la mode, et les séances photos et défilés s'étaient rapidement enchaînés. Il était devenu l'incarnation d'une élégance naturelle, sa grâce déployée sous les projecteurs rivalisant avec la beauté des chefs-d'œuvre qu'il créait sur toile.
Pourtant, derrière le glamour des apparences, Min-Jun nourrissait un rêve secret. Chaque nuit, lorsque la ville s'endormait, il se glissait dans un studio de danse désert, s'entraînant en secret aux mouvements complexes de la K-pop. Il avait l'ambition de devenir une idole, de charmer le monde avec sa voix et sa présence magnétique.
Les jours passaient, entre les poses figées devant l'objectif et les pas de danse répétés à l'abri des regards. Min-Jun jonglait habilement entre ces deux mondes, chacun nourrissant sa passion et sa détermination.
Le soir suivant, alors que la lune se levait timidement dans le ciel de Séoul, Min-Jun s'installa devant son carnet, laissant les idées flotter sur le papier. Son esprit était un tourbillon d'émotions, une toile vierge prête à accueillir les rêves qui ne demandaient qu'à prendre forme.
Ainsi commença la quête de Min-Jun, un voyage où la toile blanche de sa vie se remplirait de couleurs vibrantes, mêlant la grâce du mannequinat à la passion de la K-pop, avec pour toile de fond la ville électrique de Séoul.
Chapitre 2 : Harmonie en Couleurs
Les semaines s'écoulaient, rythmées par les pas cadencés des répétitions et les flashes des séances photos. Min-Jun jonglait entre deux mondes, chacun exigeant sa propre dose d'engagement et de créativité. Pourtant, il savait que sa véritable passion résidait dans l'art de créer.
Un jour, alors qu'il se promenait dans les rues animées de Hongdae, Min-Jun fit une découverte qui allait changer sa vie. Un petit atelier d'arts ouvrait ses portes, animé par un maître de la peinture traditionnelle coréenne. Là, les pinceaux caressaient la soie, donnant vie à des paysages empreints de poésie.
Min-Jun entra, absorbé par l'atmosphère sereine qui régnait dans ce lieu. Le maître, un homme aux traits sages et aux yeux rieurs, leva les yeux de son œuvre en cours et accueillit Min-Jun d'un sourire chaleureux. Une connexion instantanée sembla se tisser entre les deux âmes créatives.
Au fil des semaines qui suivirent, Min-Jun se plongea dans l'apprentissage de cette forme d'art ancestrale. Il apprit à manier les pigments avec délicatesse, à laisser l'encre glisser avec grâce sur la toile, à capturer l'essence même de la nature.
Chaque instant passé dans l'atelier était une bouffée d'inspiration. Les pigments vibrants se mêlaient aux couleurs de ses rêves, créant des tableaux qui semblaient respirer. Min-Jun découvrit une nouvelle dimension de sa créativité, un mariage parfait entre tradition et innovation.
Pourtant, dans le secret de la nuit, il continuait à danser. Les mélodies enivrantes de la K-pop résonnaient dans l'obscurité, ses mouvements devenant plus fluides, plus assurés. Il ressentait la musique dans chaque fibre de son être, laissant son corps s'exprimer dans une symphonie de mouvements gracieux.
Les mois passèrent, et Min-Jun devint un artiste accompli dans chaque facettes de son être. Le mannequinat le propulsait sous les projecteurs, la peinture traditionnelle le ramenait à ses racines, et la danse le laissait libre d'exprimer l'émotion qui brûlait en lui.
Chaque jour était une toile blanche, prête à accueillir les couleurs de son imagination. Min-Jun savait que son chemin était unique, que sa destinée se dessinait dans une palette infinie d'opportunités. Et il était prêt à les saisir, à faire vibrer le monde de son art, à laisser son âme s'épanouir en une symphonie de couleurs et de mouvements.
Chapitre 3 : Éclats de Scène
Alors que l'automne peignait les rues de Séoul d'une palette de rouges et d'or, Min-Jun se trouvait à un tournant de sa vie. Son talent éclatait dans chaque toile et se révélait sur chaque scène. Le jeune homme avait conquis les cœurs par sa grâce et sa créativité, devenant une étoile montante dans le monde du mannequinat et de l'art.
Cependant, son rêve ultime, celui de devenir une idole de la K-pop, restait enfoui dans les replis de son âme. Chaque nuit, les mélodies résonnaient dans sa tête, l'appelant à un destin qu'il n'avait pas encore saisi.
Un soir, alors que les lumières de la ville étincelaient comme des étoiles lointaines, Min-Jun reçut un message qui allait tout changer. C'était une invitation à participer à une audition pour une agence de divertissement réputée. Son cœur s'emballa, l'excitation mêlée à une pointe d'appréhension.
Dans l'intimité de sa chambre, il s'entraîna avec ferveur, perfectionnant chaque mouvement, chaque note. Il savait que cette audition était l'opportunité qu'il avait attendue toute sa vie.
Le jour J arriva, une brise légère portant l'effervescence de l'occasion. Min-Jun se tenait devant les portes de l'agence, son cœur tambourinant dans sa poitrine. À l'intérieur, il découvrit un univers effervescent, où la musique résonnait dans chaque recoin.
Quand vint son tour, il monta sur scène, les projecteurs illuminant son visage déterminé. Chaque pas, chaque note était une offrande de son âme, une promesse faite à lui-même.
Lorsque la dernière note s'éteignit, une pause suspendue dans le temps, l'audience resta silencieuse, suspendue à l'émotion qui flottait dans l'air. Puis, un tonnerre d'applaudissements éclata, accompagné de sourires bienveillants et de regards émerveillés.
Min-Jun avait conquis la scène, il avait prouvé au monde, et à lui-même, qu'il était capable de briller dans chaque aspect de son art.
La nouvelle se répandit comme une traînée de poudre, et bientôt, Min-Jun devint une sensation, mêlant mannequinat et K-pop avec une grâce inégalée. Il était devenu la preuve vivante qu'on pouvait réaliser ses rêves les plus fous, que la persévérance et la passion pouvaient ouvrir les portes de l'inimaginable.
Ainsi, sous les feux des projecteurs et les étoiles de Séoul, Min-Jun dansait au rythme de sa propre symphonie, éclairant le monde de son talent et de sa détermination. Chaque chapitre de sa vie était une promesse d'éclats et d'émerveillements, une ode à la puissance des rêves qui brûlent dans le cœur d'un artiste.
Chapitre 4 : Harmonie en Scène
La vie de Min-Jun était devenue une danse incessante entre les plateaux de tournage, les studios d'enregistrement et les galeries d'art. Chaque jour apportait son lot d'émerveillements et de défis, et pourtant, Min-Jun n'avait jamais été aussi épanoui.
Son appartement était devenu un sanctuaire de créativité, où les pinceaux s'entrechoquaient avec les partitions, et où les toiles dévoilaient des mondes de plus en plus vibrants. Mochi, son fidèle Chihuahua à poils longs, était toujours à ses côtés, un témoin silencieux de cette symphonie de vie.
Au fil des saisons, Min-Jun avait conquis le cœur du public, devenant une icône de l'expression artistique sous toutes ses formes. Sa peinture, oscillant entre tradition et modernité, était exposée dans des galeries prestigieuses à travers le monde. Ses performances scéniques, fusion de grâce et de puissance, électrisaient les foules.
Pourtant, au plus profond de lui, un rêve persistait. Min-Jun avait toujours voulu créer sa propre musique, composer les mélodies qui résonnaient dans son cœur. Chaque nuit, il se retirait dans son studio, les notes s'élevant doucement dans l'obscurité.
Un jour, alors qu'il travaillait sur une toile inspirée par les couleurs d'un coucher de soleil, Min-Jun reçut un appel qui allait bouleverser son univers. C'était l'agence de divertissement qui l'avait découvert, proposant de produire sa première chanson en tant qu'artiste solo.
L'excitation et l'appréhension se mêlèrent à nouveau dans son cœur. C'était le défi ultime, la chance de donner vie à une autre facette de son âme artistique. Il se lança tête baissée dans cette nouvelle aventure, entouré d'une équipe de talents qui partageaient sa vision.
Les semaines passèrent dans une fièvre créative, les mélodies prenant forme sous ses doigts agiles. Chaque note était une émotion, chaque refrain une promesse de liberté. Lorsque la chanson fut enfin prête, Min-Jun se retrouva en studio, le cœur battant la chamade.
La première fois qu'il entendit sa voix s'élever dans l'obscurité du studio, ce fut comme une révélation. Il réalisa que cette chanson était bien plus qu'une simple mélodie. C'était son âme mise en musique, une partie de lui-même offerte au monde.
Lorsque la chanson fut finalement partagée avec le public, l'accueil fut incroyable. Les fans découvraient une nouvelle facette de Min-Jun, une harmonie qui venait compléter la symphonie de son art.
Ainsi, Min-Jun continua son voyage artistique, chaque chapitre de sa vie apportant son lot de découvertes et d'émotions. Il avait compris que l'art était une danse infinie, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait. Et dans chaque note, dans chaque coup de pinceau, il trouvait une harmonie qui le comblait.
Chapitre 5 : L'Éclat du Destin
Alors que les années s'écoulaient, Min-Jun avait conquis le monde de l'art sous toutes ses formes. Ses toiles ornaient les murs des plus grandes galeries, ses performances scéniques électrisaient les foules, et ses chansons résonnaient dans les cœurs de millions de fans à travers le globe.
Il avait réalisé son rêve, mais il savait que son parcours était loin d'être terminé. Chaque jour apportait son lot de défis et de nouvelles inspirations. Min-Jun avait appris que l'art était un voyage sans fin, une exploration constante de soi-même et du monde qui l'entourait.
Un matin d'été, alors que le soleil inondait la ville de sa lumière dorée, Min-Jun se tenait sur le balcon de son appartement, contemplant l'horizon qui s'étendait à perte de vue. Il se sentait empli d'une gratitude profonde pour tout ce qu'il avait accompli, mais il savait qu'il y avait encore tellement à découvrir, à créer.
C'est alors qu'une idée germa dans son esprit, comme une graine prête à éclore. Il décida de retourner à ses racines, de se replonger dans l'art de la peinture traditionnelle coréenne. Il avait évolué depuis ses débuts, mais il sentait que cette forme d'art avait encore tant à lui offrir.
Min-Jun se rendit chez son ancien maître, celui qui lui avait enseigné les premiers rudiments de la peinture traditionnelle. Il fut accueilli à bras ouverts, comme un fils prodigue revenu à la maison. Ensemble, ils se plongèrent dans la création, laissant les pinceaux danser sur la soie blanche, donnant vie à des paysages empreints d'émotion.
Les semaines qui suivirent furent une évasion dans un univers de couleurs et de symboles, une réconciliation avec ses origines et une redécouverte de lui-même. Min-Jun sentait que chaque coup de pinceau était une révélation, une fusion de passé et de présent.
Lorsqu'il dévoila sa nouvelle série de peintures lors d'une exposition, la réaction fut unanime. Les œuvres de Min-Jun étaient un témoignage de son évolution en tant qu'artiste, une fusion harmonieuse de tradition et de modernité.
À travers ce retour aux sources, Min-Jun avait trouvé une nouvelle force, une nouvelle perspective. Il comprenait désormais que l'art était un voyage continu, une exploration infinie de soi-même et du monde qui l'entourait.
Ainsi, Min-Jun continua de créer, de danser, de peindre, et de chanter, laissant son âme s'exprimer à travers chaque geste, chaque note, chaque coup de pinceau. Son parcours était devenu une symphonie en constante évolution, une célébration de la vie et de l'art dans toute leur splendeur. Et dans chaque chapitre de son histoire, l'éclat de son destin brillait d'une lumière plus vive encore.
Chapitre 6 : Toiles de l'Avenir
Les années avaient passé, et Min-Jun avait atteint un nouveau sommet dans sa carrière artistique. Ses œuvres étaient désormais convoitées à travers le monde, et son nom était devenu synonyme d'innovation et d'émotion. Pourtant, malgré la renommée, il restait humble et avide de nouvelles découvertes.
Un jour, alors qu'il déambulait dans les ruelles étroites d'un quartier historique de Séoul, Min-Jun tomba sur une petite boutique d'antiquités. Il fut attiré par une vieille boîte en bois richement décorée, qui semblait renfermer des trésors du passé.
En l'ouvrant avec précaution, Min-Jun découvrit une collection de parchemins et de pinceaux d'une époque révolue. L'émotion l'envahit, comme si ces objets anciens lui chuchotaient des secrets oubliés. Il savait qu'il tenait là quelque chose de précieux, une source d'inspiration inestimable.
De retour dans son atelier, Min-Jun déploya les parchemins centenaires, découvrant des paysages et des scènes de vie figées dans le temps. Les pinceaux anciens semblaient vibrer d'une énergie vieille de siècles, prêts à reprendre vie entre ses mains.
Il se mit au travail, mêlant son style contemporain à l'essence même de ces œuvres anciennes. Chaque coup de pinceau était un hommage au passé, une célébration de l'art qui transcende les époques.
Les semaines passèrent dans une frénésie créative, Min-Jun se nourrissant de cette fusion entre hier et aujourd'hui. Les toiles qui prenaient forme sous ses mains étaient des ponts entre les époques, des fenêtres ouvertes sur des mondes oubliés.
Lorsqu'il présenta sa nouvelle collection, l'accueil fut unanime. Les critiques et les amateurs d'art étaient éblouis par cette réinterprétation magistrale du passé. Min-Jun avait réussi à capturer l'âme de ces anciens artistes tout en y insufflant sa propre vision.
À travers cette nouvelle série, Min-Jun avait trouvé une connexion profonde avec les générations d'artistes qui l'avaient précédé. Il avait compris que l'art est un langage universel, transcendant les frontières du temps et de l'espace.
Ainsi, Min-Jun continua d'explorer les infinies possibilités de l'art, chaque toile devenant une invitation au voyage à travers les époques. Son atelier était devenu un sanctuaire où passé et présent se rencontraient dans une danse intemporelle.
Dans chaque coup de pinceau, dans chaque œuvre qui prenait vie sous ses doigts, Min-Jun rendait hommage à ceux qui avaient tracé la voie avant lui, tout en laissant son empreinte unique sur la toile de l'histoire de l'art. Et dans chaque chapitre de cette aventure, les toiles de l'avenir se déployaient avec une promesse d'éternité.
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kinglandfr · 7 months
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annacswenson · 7 months
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« Elle expliqua qu'ils avaient choisi la zone française parce que les Français avaient la réputation de mieux comprendre les histoires d'amour »
—Romain Gary, Les Racines du Ciel
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infoscoop · 1 year
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Mimie Mathy en couple avec Patrick Bruel : un duo surprise en préparation
Mimie Mathy en couple avec Patrick Bruel : un duo surprise en préparation https://infoscoop.fr/wp-content/uploads/amour-en-chanson-mimie-mathy-et-patrick-bruel-bientot-ensemble-sur-un-album-2975.webp La célèbre actrice Mimie Mathy aurait trouvé l'amour avec le chanteur Patrick Bruel. Un duo serait en préparation pour leur prochain album. #mimiemathy #patrickbruel #chanteur #actrice #couple #album #coupledestars #albumenduo #amour #romance #histoiredamour #histoiresdecœur #tournagedefilm #mariage #projetmusical #public #fans #voix #mélodies #desproges #pablomira #journalistedinvestigation #relationsamoureuses https://is.gd/NrEsAT
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jadeect · 1 year
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... douleur et cigarettes (part 2)
Océane a oublié comment sourire. Sourire pour de vrai.
Elle est triste tout le temps, sauf peut-être quand elle est dans les bras de Lena. Elle aime Lena, et Lena l'aime, elle le sait. Mais elle se dit aussi que personne ne mérite d'aimer une personne cassée. Et Océane, elle est cassée de partout, un peu déchirée, froissée, et les abysses de son cœur abîmé. Elle ne sait pas trop par quoi. C'est comme ça.
Océane, y a que Lena qu'elle aime pour de vrai. Elle l'aime avec son corps, avec son âme, avec tellement de force et de résignation -ou d'obstination- qu'elle n'a pas les mots pour décrire ce qu'elle ressent. C'est souvent comme ça. Elle ressent des trucs trop fort, trop grand, et les mots se meurent sur sa langue sans qu'elle ne puisse jamais laisser s'échapper tout ce qu'elle ressent. Alors, les sentiments, ils gonflent en elle, ça fait une grosse boule noire dans sa gorge, ça pèse lourd dans sa poitrine.
Océane est fatiguée, un peu brisée.
Alors, elle va se libérer de ce fardeau. Alors, elle va libérer le monde de son fardeau. Et son monde, c'est Lena.
C'est pas la première fois qu'elle y pense, mais c'est le première fois qu'elle en a vraiment besoin. Qu'elle sait qu'il lui reste que ça.
Se foutre en l'air.
Ça fait des semaines qu'elle y pense. Ça lui brise le cœur pour Lena, mais elle peut pas continuer comme ça. Tous les autres, elle s'en fout, pour le peu qu'il y ai des autres. Elle connait pas son père, elle est même pas certaine que sa mère sache qui c'est. Et sa mère... aurait mieux fait d'avorter, sûrement. Elle a pas vraiment de potes, mais elle est pas sûre que ça aurait changer grand-chose, de toute façon.
Non.
Elle n'a que Lena. Ses yeux bleu dans lequel elle voudrais se noyer encore. Ses cheveux blond qui s'emmêle dans le vent. Ses joue roses quand elle l'embrasse. Ses lèvres. Elle crèverait, pour ses lèvres. Elle rêverait, pour ses lèvres. Et ses mains, qui l'embrasent dès qu'elles effleurent son épiderme. Elle est si belle. Si belle...
Lena s'est fout, elle, des cicatrices de son cœur et de sa peau, elle s'en branle, qu'Océane ne soit pas parfaite. Elle ne l'est pas non plus, après tout.
Mais ça, Océane ne le voit pas. Ou peut-être est-ce la peine qui la rend aveugle.
Lena, c'est l'amour qui lui a prescrit cette cécité. Trop aveuglée pour voir la détresse de sa bien aimé. Lena, elle est persuadée d'être super-puissante. De pouvoir rendre Océane heureuse à nouveaux. De l'aimer et que ça compte suffisamment. Et c'est vrai, puisque qu'il n'y a qu'avec elle qu'Océane se sent bien.
Mais pas assez. Ça suffit plus.
Car Océane est bonne menteuse, et qu'elle sait sourire pour détourner l'attention du mascara qui noirci jusqu'à ses joues. Elle a même su se mentir à elle-même, pendant un moment. Elle pensait que Lena suffirait à la maintenir en vie. Elle y a cru, elle a voulu y croire. Doux leurre sucré sur sa peau mutilée. Et quand elle dit à Lena que ces marques sur sa peau sont juste un souvenir, comme un mauvais rêve vite oublié, elle la croit. Elle veut la croire, elle aussi.
Lena n'est pas conne, elle voit bien, parfois, la tristesse qui nage dans les beaux yeux de D'Océane.
Elle est juste incapable de voir à quel point cette tristesse nage dans tout son corps, dans chacun de ses gestes, dans chacun de ses rires, dans chacun de ses mots. Pas juste dans ses yeux.
Mais ça n'a plus d'importance. Bientôt, cette tristesse aura disparue. Elle se sera noyée, épuisée de nager. Océane n'a pas peur. Elle s'en veut pour Lena, pour leur amour qui résonne si fort. Mais ses coupures résonnent plus fort encore. Sa peine. Son asthénie. C'est drôle, asthénie, ça lui fait penser à anesthésie. C'est comme ça qu'elle se sent, parfois, trop lourde et épuisée pour encore ressentir quoi que ce soit.
Elle n'a pas l'impression d'abandonner. Au contraire, elle se bat une dernière fois.
Pardon, Lena. Ne m'en veut pas de partir. Ne m'en veut pas de t'avoir aimée.
Elle aime Lena, bien plus qu'elle n'aime personne d'autre, bien plus qu'elle ne s'aime elle-même. Ça aurait pu durer, elle croit. Ça aurait pu être beau. Ça aurait dû. Mais elle sait qu'avec le temps, ses cicatrices auraient fini par raturer cet amour aussi.
Alors, elle s'en va avant que leur histoire ne soit souillée, avant que leurs sentiments ne soient ternis.
Elle veut juste que Lena soit sa fin, comme elle a été sa sauveuse, puis sa vie, et le peu de beauté qui lui a été accordée.
Elle a été son premier baiser, elle veut qu'elle soit le dernier, et pouvoir encore sentir le goût de ses lèvres sur les siennes quand elle partira. Qu'elle soit la dernière à l'entendre parler. La dernière à lui tenir la main. La dernière à la toucher.
Elle espère juste que Lena pourra lui pardonner.
Et même si c'est moche, et terriblement égoïste -parce que ça va la détruire, Lena, même si Océane ne s'en rend pas compte. Mais elle ne veut pas que Lena l'oubli. Et elle veut qu'elle sache. A quel point elle était tout. A quel point elle l'a aimée. A quel point elle n'arrêtera jamais. Elle sait ça. Que s'il y a bien une chose qu'il restera d'elle dans ce monde, c'est son amour pour Lena. Il le faut.
Alors, dans une boîte à chaussure, elle a mis toutes les photos d'elles qu'elle a pu trouver. Elles ont l'air si heureuses, bordel. Et dans ces photos-là, Océane l'était pour de vrai, même si ça suffit plus. Si vivantes. Elle y a glissé son collier, une chaîne en argent avec un pendentif en forme de croissant de lune. Elle l'a depuis sa naissance, même si elle n'a jamais trop su qui lui a offert. Elle veut que Lena l'ait, même si ça doit être dans un coin de sa chambre, oublié. Son carnet. Des poèmes, des mots entremêlés. Ça aussi, ça va la briser, Lena, de feuilleter les pensées de sa bien aimé, mais elle l'ignore. Sinon, elle aurait probablement laissé ce carnet traîner sous son lit. La peluche à l'effigie d'un dragon bleu qu'elles avaient gagné à cette fête foraine, il y a un an. Des fleurs séchées qu'elles avaient cueillies à l'anniversaire de Lena. Et une lettre. Plusieurs pages recouvertes d'encre noire. Pardon, Lena. Une boîte à chaussure de souvenirs. Son héritage.
En début d'après-midi, elle va chez Lena, la boîte dans son sac à dos, sa tristesse entre deux photos, son fardeau entre les pages du carnet.
Elles sont posées sur le lit de Lena, de la musique comme bruit de fond, Lena adossé à son mur, Océane allongé de travers, la tête sur son ventre. Lena joue avec ses cheveux un long moment, ses doigts traçant des escargots imaginaires sur son cou, son torse. Océane se sent bien.
Pas assez pour rester.
A un moment, Lena se lève pour changer de vinyle, et pendant qu'elle fout le bordel dans ses cartons, à la recherche de son favori, Océane glisse la boîte à chaussure sous son lit. Un peu après, elle glisse un mot sous sa coque de téléphone. Elle sourit en y découvrant la photo d'elles que Lena y a glissé. Elles se sont engueulée, aussi. Pas très fort. Elle ne sait même plus de quoi c'est parti. Rien d'important, ça leur arrive parfois. Océane a pleuré, un peu. Des larmes d'adieu. Puis Océane embrasse Lena. Elle refuse de partir sans sentir ses lèvres contre les siennes une dernière fois. Elles s'embrassent, leurs lèvres se cherchent, pour se trouver rapidement. Elles se connaissent bien, leurs lèvres, mais continuent de se découvrir. Leurs mains se pressent contre la peau de l'autre. Elles s'aiment. Ça vibre entre elles, ça frémit, un truc omnipotent, immortel, qui les hante sans qu'elles ne cherchent à s'en débarrasser. Elles s'aiment à la vie. Elles s'aiment à la mort. Leurs corps se disent tout ce qu'elles sont incapables de dire.
Mais il est trop tard. Océane est trop fissurée, elle craint que sa peine ne s'échappe de son corps par ces fissures, et ne dégouline sur Lena.
Elles ont fini par s'endormir, tard dans la nuit, enlacées l'une à l'autre. Océane serre Lena contre elle comme on s'accroche une bouée de sauvetage. Océane murmure à Lena qu'elle l'aime, espérant qu'elle l'entende malgré ses yeux clos, puis elle part, avant que le soleil n'est eu le temps de se lever, laissant Lena seule avec ses rêves.
Elle rentre chez elle, éteins son téléphone et attends que le temps passe, sans distinction entre le jour et la nuit. Elle ne sait pas exactement combien de nuits.
Vide, tristesse, brise ment, blessure, brûlures, tous ces trucs qui grandissent en elle, l'empêchant de penser, de respirer, qui sont réapparue soudainement, avec plus force que jamais et qui la ronge de l'intérieur. Elle implose, doucement, en silence.
Deux jours après, elle sort de chez elle, un dessin que Lena a fait d'elles dans sa poche. Elle marche sans se presser, jusqu'au falaise qui entoure la mer, à vingt minutes de chez elle. Elle va près du grand chêne où elle jouait, gamine, quand elle savait encore vivre. C'était en juin, elle s'était avancée jusqu'au bord de la falaise, le dessin froissé entre ses doigts. Jusqu'au bord de son âme érodé. Jusqu'au bord de son cœur altéré. Il faisait doux. L'air était léger. C'était une belle journée pour mourir.
Elle ne pleure pas. Elle se sent étrangement légère. Elle respire, enfin Je t'aime, Lena. Pardonne-moi.
Elle saute.
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damnamour · 3 months
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Une Histoire d'Amour ― 2022
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vhscorp · 8 months
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Il y a des histoires d’amour passionnelles qui semblent, depuis toujours, écrites pour un adieu, mais cet adieu n’a jamais lieu…
V. H . SCORP
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fidjiefidjie · 9 months
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youtube
Bon Soir ❤️👌🎤 ❤️
Carla Bruni et Barbara Pravi 🎶 Ma plus belle histoire d’amour
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submissivegayfrenchboy · 10 months
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25 / 06 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
Hey! Pour une fois je voulais écrire sur un personnage qui a un handicap. J'espère que vous apprécierais cette histoire interraciale.
C'est moi qui ai créé la première illustration.
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE
LE TOUTOU D'UN HOMME NOIR AVEUGLE
Darnell est un homme noir grand et musclé, fort, beau et très attirant. Il adorait faire du sport dans un parc et n'avait aucun complexe à exhiber son corps de rêve devant d'autres. La sueur coulait sur ses muscles sans qu'il ne voit que, depuis plusieurs heures, quelqu'un le surveillait. Oui, Darnell était espionné par un petit garçon blanc qui se trouvait moche. Il n'avait aucun ami et aucune confiance en lui.
Un jour il avait vu Darnell courir torse nu avec un short ne parvenant pas à contenir son immeuble bite noire. Depuis, le petit garçon blanc moche, nommé, Gaspard, n'avait qu'une seule passion : admirer Darnell. Il passait des heures à admirer ce grand homme noir sauter, courir, étendre ses bras... Lorsqu'il commençait à regarder Darnell, il lui était physiquement impossible de s'arrêter. Quand il voyait partir Darnell, il pleurait car il pensait que jamais un grand homme noir sublime et physiquement impressionnant tel que lui voudrait passer du temps avec un petit garçon blanc moche, et encore moins l'aimer. Du moins le croyait il.
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Un jour où comme d'habitude Gaspard admirait Darnell, celui-ci, vêtu d'un simple short bleu coordonné à son chapeau, entendit Gaspard faire un bruit en marchant près de lui.
DARNELL : "Hey il fait chaud ici ! Ramène moi ma boisson, garçon blanc !"
Gaspard se demanda comment il avait su qu'il était un garçon blanc, mais il préféra saisir l'occasion de plaire à l'homme dont il est amoureux. Il vit le sac de sport de Darnell contre un arbre et lui ramena sa boisson énergisante. Darnell l'a bu et posa ses mains sur les épaules de Gaspard.
DARNELL : "Tu t'es montré un gentil garçon blanc. Maintenant sèche moi."
Gaspard chercha dans le sac une serviette mais remarqua qu'il n'y en avait pas.
DARNELL : "Comment ça il n'y en a pas ?"
GASPARD : "Regardez ! Vous ne voyez pas ?"
DARNELL : "Non, justement, imbécile de garçon blanc ! Je suis aveugle !"
Aveugle ? Si cet homme noir arrivait à être si fort en faisant son sport, comment pouvait il avoir oublier sa serviette pour essuyer sa sueur? Gaspard eu l'envie d'être à son service.
GASPARD : "Je sincèrement désolé, monsieur, je ne voulais pas vous offenser."
DARNELL : "Okay c'est pas grave. Bon alors je vais devoir me sécher quand même. Lèche ma sueur !"
Le garçon blanc n'hésita pas et lécha la sueur du torse de Darnell avec joie et désir. Il lécha la sueur si goûteuse et Darnell apprecia la soumission du garçon blanc. Il lui proposa de venir chez lui. Gaspard a porté le sac de Darnell et se sentait fier de servir un homme noir si masculin.
Arrivés chez Darnell, celui-ci pris le garçon blanc dans ses bras et l'embrassa avant de lui faire sucer son énorme mais délicieuse bite noire.
Depuis cette rencontre, le grand homme noir aveugle passa du temps avec Gaspard le garçon blanc pas très beau. Darnell apprecia davantage ce garçon si attentionné mais Gaspard craignait qu'il ne l'aime pas assez pour avoir le désir de se mettre en couple avec lui.
Gaspard voulait prouver à Darnell sa soumission. Un jour où Darnell devait recevoir un chien guide d'aveugle, il fut prévenu par message téléphonique d'un retard de l'arrivée du chien.
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Gaspard le lu avant lui et eu l'idée de se faire passer pour le chien. Il conduisit son ami noir à quatre pattes en aboyant. Il fut si convaincant en chien pour aveugle que Darnell ne s'en était pas rendu compte. Cela se passa à plusieurs reprises. Gaspard avait été si souvent moqué pour son physique qu'il ne craignait plus le regard des autres. Il voulait plaire à Darnell et être son chien blanc.
Au bout de plusieurs fois à se faire passer pour son chien guide d'aveugle, Gaspard finit, en larmes, par expliquer à Darnell qu'il n'avait jamais reçu le chien guide d'aveugle et que c'était lui qu'il avait promené. Darnell comprit que le garçon blanc inférieur avait menti par amour et lui pardonna.
Gaspard resta le chien de compagnie de son maître noir aveugle mais ils étaient enfin en couple comme l'avait toujours rêvé le garçon blanc qui vénérait son amoureux noir.
Darnell et lui formaient un couple interracial gay uni et solide, prouvant que l'handicap et la laideur ne sont pas des freins à l'amour.
FIN DE L'HISTOIRE
La deuxième illustration est de cet artiste.
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🇺🇸🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇸
Hey! For once i wanted to write a story including a character who have a disability. I hope you'll like this interracial gay story. 😁
I am the one who made the first illustration.
PERSONAL FICTIONAL STORY
A LIVING DOG FOR A BLIND BLACK MAN
Darnell is a tall, muscular, strong, handsome, and very attractive black man. He loved to play sports in a park and had no complex showing off his dream body in front of others. Sweat ran down his muscles without his noticing that, for several hours, someone had been watching him. Yes, Darnell was being spied on by a little white boy who thought he was ugly. He had no friends and no self-confidence.
One day he had seen Darnell running around shirtless with shorts failing to contain his immovable black cock. Since then, the ugly little white boy, named Gaspard, had only one passion: to admire Darnell. He spent hours admiring this tall black man jumping, running, stretching his arms... When he started looking at Darnell, it was physically impossible for him to stop.
When he saw Darnell leave, he cried because he thought that a tall, gorgeous, physically impressive black man like him would ever want to spend time with an ugly little white boy, let alone love him.
At least he believed so.
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One day when as usual Gaspard admired Darnell, the latter, dressed in simple blue shorts that matched his hat, heard Gaspard make a noise while walking near him.
DARNELL: "Hey it's hot in here! Get me my drink, white boy!"
Gaspard wondered how he knew he was a white boy, but he preferred to seize the opportunity to please the man he is in love with. He saw Darnell's gym bag against a tree and brought back his energy drink. Darnell drank it and put his hands on Gaspard's shoulders.
DARNELL: "You showed yourself a nice white boy. Now clean me off."
Gaspard looked in the bag for a towel but noticed that there was none.
DARNELL: "How come there isn't?"
GASPARD: "Look! Can't you see?"
DARNELL: "No, that's right, you stupid white boy! I'm blind!"
Blind ? If this black man managed to be so strong doing his sport, how could he have forgotten his towel to wipe his sweat? Gaspard wanted to be at his service.
GASPARD: "I sincerely apologize, sir, I did not mean to offend you."
DARNELL: "Okay it's okay. Well then I will have to dry myself anyway. Lick my sweat!"
The white boy didn't hesitate and licked the sweat from Darnell's chest with joy and desire. He licked the sweat so tasty and Darnell appreciated the submission of the white boy. He suggested that he come to his house. Gaspard carried Darnell's bag and felt proud to serve such a masculine black man.
Arrived at Darnell's, he took the white boy in his arms and kissed him before making him suck his huge but delicious black cock.
Since that meeting, the tall, blind black man has been spending time with Gaspard, the not-so-handsome white boy. Darnell appreciated this caring boy more, but Gaspard feared that he didn't love him enough to have the desire to be in a relationship with him. Gaspard wanted to prove to Darnell his submission.
One day when Darnell was to receive a guide dog for the blind, he was notified by telephone message of a delay in the dog's arrival.
Gaspard read it before him and had the idea of ​​pretending to be the dog.
He led his four-legged black friend barking. He was so convincing as a dog for the blind that Darnell hadn't noticed.
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This happened several times. Gaspard had been so often mocked for his appearance that he no longer feared the gaze of others. He wanted to please Darnell and be his white dog.
After several times pretending to be his guide dog for the blind, Gaspard ends up, in tears, by explaining to Darnell that he had never received the guide dog for the blind and that it was him that he had walked. Darnell understood that the inferior white boy had lied for love and forgave him.
Gaspard remained the companion dog of his blind black master, but they were finally a couple, as the white boy who venerated his black lover had always dreamed of.
He and Darnell were a united and solid gay interracial couple, proving that disability and ugliness are not barriers to love.
END OF THE STORY
The second illustration is from this artist.
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juliendorcellove-blog · 6 months
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Le commissaire FOURCHAUME pensait passer de bonnes vacances cet année-là. Mais son séjour en Corse va s'avérer plein d'imprévus. Tout d'abord, l'agression d'un enfant va troubler sa tranquillité et son ancien fiancé, disparu depuis des années, resurgit mystérieusement. Enfin, un laboratoire de produits pharmaceutiques semble avoir quelque chose à se reprocher. Il n'en faut pas plus pour que le flic parisien reprenne du service, épaulant des gendarmes rapidement dépassés par la situation. Vacances Corsées : un polar fantastique, mélangeant habilement le réel à la fiction, pour la plus grande satisfaction des lecteurs ...
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chifourmi · 9 months
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Ptdr sur tiktok j'ai mis un com par rapport à ma taille et je me suis fait taillée (oh le jeu de mot de daron). On m'a dit, je cite "t'as la taille d'un homme", "t'es un CRS", "t'es une géante, c'est chaud". En vrai, c'est la première fois qu'on me fait ce genre de remarques et du coup un mythe s'est levé : il existe bel et bien des gens qui se foutent de toi quand t'es "trop" grande. Je trouve ça ouf? Après je l'ai pas du tout mal pris car c'est un peu un flex pour moi (même si parfois je ne dirais pas non à 7cm de moins). Ce qui me saoule le plus dans le fait d'être grande c'est quand mes potes sont tous petits, ça me met mal à l'aise, je sais pas trop pourquoi.
(24/07/2023)
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whileiamdying · 3 months
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Review: ‘A Tale of Love and Desire’ a rich, if jumbled, look at a young Algerian in Paris
BY CARLOS AGUILAR MARCH 10, 2022 7 AM PT
Erotic verses from ancient Arab poetry enrapture a painfully inhibited young man in the sensual coming-of-age drama “A Tale of Love and Desire” from Tunisian director Leyla Bouzid. Insecurity plagues Ahmed (Sami Outalbali), the 18-year-old son of Algerian refugees studying literature at the famed Sorbonne in Paris. There, he falls for Farah (Zbeida Belhajamor), an open-minded girl from Tunis who challenges his sexist hypocrisy.
In touch with her own carnal desires, Farah repeatedly tries to free Ahmed from the emotional blockage imposed by patriarchal norms. Bouzid makes the case that before religious restrictions maligned hedonism, Arab art and philosophy advocated for physical pleasure.
But despite having connected with words that exalt romantic lust, Ahmed still sees sex as an impure act that taints love and not as a manifestation of it. In the disenfranchisement he feels from his heritage, there’s something lost about himself that‘s replaced with an opaqueness of spirit and a defeated demeanor.
Ahmed’s personal struggles mimic the oppression in Algeria and throughout the Arab world. While scenes at home broaden this context, showing his uprooted father’s influence on him, the intermingling of all these ideas lacks strong cohesion. There are lyrical touches in the form of dance and magical realist inserts that act as a visual escape valve for the pressure that builds from the protagonist’s overwhelming uneasiness.
Throughout, we share in Farah’s frustration, as Ahmed’s behavior suffocates the film, exponentially raising the necessity for a narrative catharsis. And in that regard, the director’s intent is effective, given that she waits until the very end to provide this release. Outalbali’s apprehensively quiet portrayal of this repressed individual, out of touch with his Algerian identity, feels deliberately one-noted until a liberating turning point.
Intellectually rich even if jumbled, “Tale” plays like a spiritual continuation of Bouzid’s 2015 debut, “As I Open My Eyes,” in the prominence of Arab music, its political undertones related to the Arab Spring, and because it also focuses on a defiant young woman named Farah with vaguely similar characteristics. Both pieces convey a yearning for an individual and collective freedom that begins with control over one’s own body as a means of expression.
‘A Tale of Love and Desire ’ In French and Arabic with English subtitles Not Rated Running time: 1 hour, 42 minutes
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Mireille Mathieu. Une histoire d'amour 1971
Francis Lai pour l'adaptation française de la musique du film Love Story adaptée en anglais par Andy Williams sous le titre "Where Do I Begin?"...
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atlxolotl · 1 year
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Une histoire d'amour et de désir (2021)
dir. Leyla Bouzid
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