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#formation rocheuse
coolvieilledentelle · 2 months
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’île de Wight
Incontournables, les formations rocheuses connues sous le nom de The Needles constituent l’un des symboles historiques de l’extrême pointe ouest de l’île de Wight. Comme leur nom l’indique, ces stacks de craie caractéristiques émergent des flots tels une rangée d’aiguilles, créant un décor des plus photogéniques avec leur emblématique phare rouge et blanc rayé.
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the-spirit-of-yore · 2 months
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Formation rocheuse . . .
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presentslointains · 2 months
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Madagascar, un pays riche et contrasté
Situé dans l'océan Indien et surnommé la « grande île », « l’île rouge » ou « l’île continent », Madagascar est un pays qui ne cesse d'étonner et d'attirer les voyageurs. C'est la quatrième plus grande île du monde, avec une superficie de 587 041 km² et une population estimée à 28,92 millions d'habitants en 2021. Mais ce qui fait sa singularité, c'est sa diversité géographique, culturelle et historique. En effet, le pays présente des paysages variés, des religions multiples, des produits commerciaux de qualité et des personnages historiques marquants.
Un territoire aux reliefs variés
L’île rouge est située au large de l'Afrique, divisée en cinq régions géographiques aux caractéristiques et aux attraits touristiques différents :
La côte est est la plus montagneuse et la plus humide, avec le Maromokotro, le plus haut sommet de l'île, et le parc national de Masoala, le plus grand et le plus riche en biodiversité.
Le massif Tsaratanana qui est une chaîne montagneuse au nord, offrant des sources thermales, des cascades et des possibilités de randonnée.
Les hauts plateaux du centre, cœur historique et culturel du pays, abritant Antananarivo, la capitale, et les principales traditions et fêtes malgaches.
La côte ouest, bordée par le canal du Mozambique et présentant des paysages variés, comme les mangroves, les savanes et l'allée des baobabs.
Le sud-ouest est la région la plus aride, avec des déserts de sable, des formations rocheuses et la culture nomade des Antandroy.
L'île compte également de nombreux cours d'eau et lacs, ainsi que d'autres îles et archipels voisins favorisant son attrait. La suite ici :
https://presentslointains-madagascar.com/pages/madagascar
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alexisgeorge24 · 4 months
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3 décembre : Petit déjeuner même si on n'a pas faim et direction l'aéroport en taxi. On se dit au revoir avec un check et je reviens à Sucre (oui je sensure cette partie). De retour à l'hôtel je rédige 15 jours du journal de bord et m'occupe comme je peux jusqu'à mon bus de nuit pour Villazon, à la frontière argentine.
4 décembre : Au réveil à 06h00 à Villazon je traverse la frontière à pied puis enchaîne avec un autre bus jusqu'à Humahuaca, un village très charmant dans la Quebrada du même nom où je compte y passer quelques jours. La tente me manque et je choisi un camping pour dormir. Une fois installé je prends un tour vers le Mirador Serranía del Hornocal, a.k.a. Montagne aux 14 couleurs. Ca ressemble beaucoup à la montagne des 7 couleurs près de Cusco mais en beaucoup plus étendu et imposant. C'est impressionnant même avec le mauvais temps. Au bout de 1h le ciel commence à se dégager mais c'est l'heure de repartir et aucun autre des passagers ne veut attendre... bande de guignols, touristes Instagram sans patiente. Le pire c'est que sur le retour une co*****e ose dire "oh c'est dommage pour la météo, faudrait que je revienne en mars". Bref, demain s'il fait beau j'y retourne. En tout cas un des touristes m'informe sur l'existence du blue dollars. Le pesos argentin étant très volatile (c'était déjà le cas en 2019), les argentins ont pris l'habitude de sécuriser leurs pesos en l'échangeant contre du dollard ou de l'euro. Avec la crise économique et les récentes élections (source de déstabilisation politique), la demande de ces devises ne cessent d'augmenter, créant un véritable marché noir de l'échange de cette devise, appelé blue dollars (ou euro). Le taux officiel lui, n'a pas changé. 1€ = 390 pesos et 1 blue euro = 960 pesos, soit 2,5 x plus !!!. Pour "profiter" du blue euro, il faut payer par Visa et pour retirer de l'argent c'est via envoie d'euro à soit meme par Wester Union. Du coup tous les prix sont claqués au sol. Une bonne bière artisanale c'est 1€, un repas complet dans un bon restaurant c'est 7€, un bus de 4h c'est 2€. Bref, je vais passer 3 très bons mois hédonistes je sens ! Le soir je mange au resto un filet de lama saignant accompagné d'un malbec, qualité argentine, excellent ! Les frontières entre les pays ne sont pas fictives, elles existent vraiment; il y a un mur enorme qui separe l'Argentine de la Bolivie dont Trump serait jaloux! De plus, tout le village et ses environs sont impeccablement propres. Je me rends compte de la pauvreté de la Bolivie. Étonnant pour ce pays avec la plus grosse réserve de Lithium au monde.
5 décembre : Visite de la Inca Cueva au lever de soleil. Il s'agit de dessins vieux de 10 000 à 2000 ans dans une vallée de grés rouge. J'y parvient en bus publique qui me dépose au milieu de rien, puis je marche 4km sur un sentier. En attendant le guide qui est sensé habité dans le coin, je grimpe sur ces formations rocheuse rouges pour avoir une vue panoramique. Je sors le drone et le guide me repère tout de suite en me gueulant des trucs; j'imagine qu'il n'apprécie pas le drone... je ne l'avais pas vue mais au moins je sais que je peux visiter la "cueva" maintenant. Je le rejoins, il ne me dit rien sur le drone et il est très gentil avec moi. Il me montre des lamas dessinés sur la roche et autre hiéroglyphes mais honnêtement je suis bien plus impressionné par la nature environnante. Donc après avoir finis je me trouve une autre formation rocheuse à grimper et j'arrive à une fenêtre naturelle dans la roche. C'est bien fait. Je marche les 4km de retour vers la route et je tape un sprint Boltesque quand je vois le bus approcher au loin (il n'y en a que 1 par heure). J'arrive à temps avant son passage, il me voit, il me fait signe qu'il ne s'arrête pas, et exécute son geste... je constate qu'il y a pas mal d'écho dans cette vallée, et d'ailleurs elle n'est pas très polie. J'avais repéré un kiosque au milieu de rien 4km vers la ville, j'y marche. Juste avant d'arriver à l'arrêt de bus (bien physique cette fois), un autre bus passe sans s'arrêter... bref, 1 heure plus tard sous un soleil de plomb un autre bus passe et me dépose au village de Uquía, 10km après Humahuaca. J'ai faim mais je n'ai presque plus de pesos; avant de commander au restaurant je demande donc s'ils acceptent la CB. On me dit oui. Et après avoir mangé on me dit qu'on n"accepte pas la CB... (en réalité elle pensait que je pouvais lui faire un virement. Chose essayé sans succès). Je m'arrangerais avec la fille de la gérante qui habite à Humahuaca où je trouverai une solution pour avoir des pesos. Bwef, je suis ici pour visiter la Quebrada De Las Señoritas que je fais à l'aide d'un guide imposé. Il comprend vite mon agacement d'être dans un groupe d'escargots et me laisse aller de l'avant à mon rythme. Je passe alors par un canyon assez etroit de 500m de longueure, la roche est d'un rouge éclatant et s'y ballader est impressionnant. Puis j'enchaîne avec une autre vallée qui donne elle aussi sur des montagnes rocheuses, rouges et blanches. Je suis cuit de la journée. Je rentre, bière et risotto de quinoa puis dodo.
Bilan: 20km, 300m d+ (dans la canicule, jamais à l'ombre)
6 décembre : je retourne au Mirador Serranía del Hornocal pour l'apercevoir avec la lumière du soleil. Je suis parmis les premiers touristes et sur le sentier il y a plein de vicuñas, 3 d'entre elles font même une démonstration de lutte gréco-romain devant moi. Je n'essaie pas de les calmer au risque de générer un quiproquos. Retour à Humahuaca et bus pour Tilcara (en continuant vers le Sud) où je visite le site archéologique de Pucará de Tilcara. Il s'agit d'un site Inca reconstitué à une époque où importait peu l'authenticité architecturale. Au moins c'est assumé grâce aux explications écrites. Un monument a même été érigé en hommage aux archéologues du site, SUR des vestiges existants. Aucun respect et aucune humilité. C'est tout de même mieux que les "archéologues" de Chichen Itza (Mexique) qui avaient dynamité une pyramide pour mieux y voir. Le site est sur une colline qui domine une vallée de cactus entre des montagnes titanesques, toujours dans des nuances de rouge et marron. C'est très beau. Puis je continue ma route vers le sud jusqu'à Puramarca où j'y passerai la nuit. Avant de sortir manger, je fais le tour de la colline "los Colorados" (3 km). Toujours du rouge, jamais lassant. Le village est très pittoresque dans une vallée étroite qui mène au Chilie.
7 décembre : Réveil avant les 1ers rayons de soleils pour grimper une montagne qui domine la vallée. J'appréhende la monté qui est à 35° mais une pancarte interdisant le passage me fait rapidement changer d'avis; direction le plan B vers, un col. Avant de quitter le village, un chien m'aperçoit et devient mon meilleur ami le temp de la ballade. Il a l'air affamé et meurt de soif. Je lui passe de l'eau mais il recrache mes cookies. Plus tard il mangera littéralement de la bouse sèche... je ne sais pas comment le prendre. Arrivé(s) au col, nous sommes dans les nuages. Sébastien a l'aire de s'en foutre et je l'imitte. En redescendant j'aperçois sous une lumière différente la vallée et je suis comblé de beaux panoramas. J'enchaîne avec 2 bus pour rejoindre Salta, la grosse ville du nord de l'Argentine. C'est le paradis, j'ai un large choix de brasseries artisanales où la pinte ne coûte que 1,5eur et les 600gr d'olayau de bœuf 8eur.
8 décembre : Journée logistique et visite de Salta. Côté logistique je: fais une lessive, échange du blue euro (200eur = 2kg de pesos, étant donné que le billet max c'est 1000 pesos = 1 eur), trouve un adaptateur, trouve une loc de voiture pour les 3 prochains jours à explorer les environs. Concernant la recherche de voiture je passe d'abord par une agence qui m'interdit d'umprendre l'itinéraire que je lui montre (route non revêtu et passage de gués). Du coup je doute de mon itinéraire, qui est pourtant très connu. Mais l'agence suivante, tenue par Patrick, un français beauf expat qui porte un béret, dont je fais la connaissance, m'assure qu'il n'y a aucun problème. Si le loueur de voiture me dit ça, alors qu'il est sensé se situer du côté des alarmistes, c'est que ça passe. Même avec une WV up! me dit-il, que je loue du coup pour le lendemain. Côté visite rien de spectaculaire même si la ville me plaît; je retrouve des aires d'occident. A savoir AUCUN BATIMENT en brique apparente. Une 1ere depuis mon séjour en Amérique. Du coup j'avoue ne rien comprendre à l'économie. L'argentine traverse une crise économique sévère et la Bolivie et elle très stable. Pourtant j'ai l'impression de passer de la Corée de Nord à la Corée du Sud. Le soir c'est évidemment bière puis repas dans une "peña" (resto avec sorte de mariachi ambulant), sensée être la plus réputée de la ville. C'est blindé mais l'ambiance musicale est déserte.
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photoriadoc · 9 months
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La pointe de Carteret et le port de Barneville-Carteret - Février 2023
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La Pointe de Carteret est une destination côtière pittoresque située sur la côte ouest de la Normandie, en France. Nichée au cœur du département de la Manche, cette magnifique pointe est un véritable paradis pour les amoureux de la nature et les passionnés de paysages marins à couper le souffle. L'une des principales attractions de la Pointe de Carteret est sa plage de sable fin, qui s'étend sur des kilomètres et offre un cadre idéal pour se détendre, se baigner et profiter du soleil. Les eaux cristallines de la Manche attirent également les amateurs de sports nautiques tels que la planche à voile et le kayak, offrant des moments d'adrénaline et de plaisir pour les visiteurs actifs. Les promeneurs et les randonneurs trouveront également leur bonheur en explorant les sentiers côtiers qui serpentent le long de la pointe. Ces chemins offrent des vues imprenables sur les falaises majestueuses et les formations rocheuses sculptées par les éléments au fil des siècles. C'est l'occasion idéale de s'imprégner de la beauté naturelle et de profiter d'un contact privilégié avec la faune et la flore locales.       Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 4 Shoot: Au début d'après-midi, à la fin du mois de février 2023, par un beau temps avec un ciel et une lumière parfois assez violente mais tout de même presque parfaite! Partager :     Read the full article
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completementalest · 10 months
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Kazakhstan, chaud devant
Une petite heure de vol depuis Tbilissi et nous voilà arrivés à Aktau au Kazakhstan, sur le bord de la mer Caspienne. On aurait préféré traverser l’Azerbaïdjan à vélo puis la Caspienne en ferry mais le pays n’a pas encore ouvert ses frontières terrestres depuis la douce époque du Covid donc on s’adapte. On arrive avec un peu de retard dans le petit aéroport d’Aktau, autour d’une heure du matin. Le temps de remonter les vélos et pédaler dans la nuit noire la trentaine de kilomètres qui sépare l’aéroport du centre ville, on sonne à la porte de notre hôte vers cinq heures du matin (!). Bakhtiyar nous accueille sans broncher, nous présente le chat et nous montre où s’installer avant de retourner se coucher. On s’écroule sur le sol du salon et on sombre dans un sommeil-coma jusqu’à midi, à peine perturbés par les coups de truffe du chat sur nos visages. A notre réveil, on fait la connaissance du timide Bakhtiyar qui parle couramment le français et de sa douce sœur Aigerim.
Après une deuxième (vraie) nuit de repos, on prend la route vers l’est. On sent qu’on a changé de monde, on est bel et bien arrivés en Asie ! Les paysages sont désertiques et l’atmosphère étouffante de chaleur, rien à voir avec la Géorgie. Le temps de faire les courses, on commence à pédaler à la mi-journée (la bonne idée) sous 40 °C avec un vent de face tout sec qui nous donne l’impression d’avoir un sèche cheveux géant dirigé sur nous… On ne peut pas se contenter d’une étape courte car on est tributaires des points d’eau qui sont épars sur cette route : c’est 87 km ou rien ! Ce soir-là, c’est la première fois qu’on utilise de l’essence (plutôt que du gaz) pour notre réchaud et ça ne se passe pas comme prévu. On a beau avoir regardé des tutos, on n’arrive pas à passer la phase du préchauffage donc on finit par abandonner et se rabattre sur un menu pain + cacahuètes + haricots froids (régal). Le lendemain, on arrive rincés chez Baurzhan à Zhanaozhen, ville qui dépend en très grande partie de l’extraction de pétrole. Il vit dans un appartement en centre ville mais nous accueille dans sa maison en construction en bordure de ville. On a un canapé lit, une salle de bain et une cuisine à disposition : le luxe ! Il est cycliste lui aussi et connaît très bien la région, on a donc la chance de profiter de ses précieux conseils. On prévoit de traverser des zones désertiques où les ravitaillements sont rares ou absents, d’où l’importance d’être bien préparés. On se requinque en passant la journée et la soirée avec Baurzhan, sa femme Marzhan et leurs adorables enfants avant de repartir au petit matin vers le désert.
Sur les 280 kilomètres à venir, les seuls points où on pourra trouver de l’eau sont deux mosquées (de leurs petits noms Shopen Ata et Beket Ata) isolées au milieu de la steppe. Ce sont des lieux de pèlerinage pour les musulmans qui viennent parfois de loin pour prier dans ces lieux saints. Concrètement ça ressemble à un ensemble de salles de prières, d’ablution et de repas construit près des très anciennes mosquées creusées dans la roche (niveau date on est entre 1700 et 1800). Sur place, chacun ramène de quoi manger pour le partager avec les autres pèlerins, certains font la sieste ou passent la nuit, c’est très convivial. Personne ne s’étonne outre-mesure de notre présence, on nous accueille avec simplicité et naturel. Entre les deux mosquées, on fait un détour pour aller voir les impressionnantes formations rocheuses de Bozhira et leurs dégradés blancs et ocres. Ce qui nous inquiète le plus, c’est la portion de désert qui sépare la deuxième mosquée de la route principale, soit 100 km de piste en terre dans la steppe, sans aucune construction. Par peur de la chaleur, on se lève à 4h du matin et on commence à pédaler dans le noir avec nos vélos bien alourdis par les litres d’eau qu’on emporte avec nous. Hormis deux véhicules sur les dix premiers kilomètres, on ne croisera que des chameaux (ou dromadaires ou ne sait plus), des gangs de chevaux en liberté, des gros lézards et des araignées (très flippantes les araignées). La ligne d’horizon est courbe comme si on était en pleine mer, c’est dire l’isolement. Heureusement pour nous, le ciel reste couvert jusqu’à 13h, heure à laquelle on rejoint le bitume de la route principale.
Une fois de retour sur le saint asphalte, on n’est toujours pas au bout de nos peines car il nous reste à parcourir 180 km de ligne droite sous une chaleur écrasante (et bien sûr toujours le vent de face) avant d’arriver à Beyneu. On bénéficie encore de la solidarité des locaux qui s’arrêtent volontiers pour nous donner de l’eau ou des sodas (tout don liquide est vivement apprécié dans ce contexte). On arrive enfin à la ville, heureux, épuisés et tous secs. De là, on décide de prendre un train de nuit le soir même jusqu’à Nukus en Ouzbékistan pour éviter 500 km de désert supplémentaire. Sur le quai de la gare, on fait connaissance d’autres voyageurs, en vélo ou en sac à dos.
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Le bel accueil à Aktau.
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Ninja le chat qui ne respecte pas le sommeil des gens.
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Et une boite de viande de chameau offerte !
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Voiture volante.
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Avec la famille de Baurzhan.
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La pompe à pétrole.
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Famille de chameaux.
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L’angoisse.
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Toujours tout droit.
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Si vous restez assis à cette table, on vous portera de la nourriture sans discontinuer.
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Lumières du matin.
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Gang de chevaux.
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C’est Elsa sur l’horizon.
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Bienvenue sur la lune.
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4 m² d’ombre pour 5h de pause.
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Par ici l’aventure.
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Piste de qualité (en réalité c’est fort bosselé).
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Vue imprenable sur le caillou.
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20 litres d’autonomie en eau.
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On ne s’en lasse pas.
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Blanc sur blanc (tiens un virage !).
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Autour de Beket Ata.
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Départ matinal (5h05).
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C’est par où ?
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Pique nique dans le désert.
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Simon est très demandé pour les photos.
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La fatigue et le coca.
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Chameau en carton.
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Ils sont passés par ici.
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leventisikli · 11 months
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Les vols en montgolfière en cappadoce. les prix, comment réserver, les conditions de réservation
La Cappadoce, située au cœur de la Turquie, est célèbre pour ses paysages uniques et ses formations rocheuses extraordinaires. Parmi les nombreuses activités qui attirent les visiteurs dans cette région, les vols en montgolfière sont incontestablement l'une des expériences les plus spectaculaires. Voici tout ce que vous devez savoir sur les vols en montgolfière en Cappadoce, y compris les prix, comment réserver et les conditions de réservation.
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Les vols en montgolfière offrent une vue imprenable sur les vallées pittoresques, les cheminées de fées et les formations rocheuses caractéristiques de la Cappadoce. C'est une aventure magique qui permet de survoler ces paysages à couper le souffle, créant ainsi des souvenirs inoubliables.
Les prix du vol en Montgolfière en Cappadoce
En ce qui concerne les prix, ils varient en fonction de plusieurs facteurs tels que la durée du vol, la période de l'année et le prestataire de services. En général, les prix commencent autour de 150€ et partent jusqu'à 350€ d'après les saisons pour un vol d'une durée d'environ une heure. Pour réserver un vol en montgolfière en Cappadoce, vous avez plusieurs options mais il est conseillé de réserver plusieurs jours à l'avance, surtout pendant les périodes de forte affluence touristique, car les vols peuvent se remplir rapidement. Cependant, il est important de noter que les disponibilités peuvent être limitées, surtout pendant les saisons touristiques les plus chargées.
La réservation
En ce qui concerne les conditions de réservation, il est généralement demandé aux participants de confirmer leur réservation en fournissant leurs coordonnées personnelles, ainsi que de respecter les politiques de paiement établies par la compagnie aérienne. Les compagnies peuvent exiger un acompte au moment de la réservation et le paiement intégral à l'avance.
Il est également essentiel de prendre en compte les conditions météorologiques. Les vols en montgolfière sont tributaires des conditions atmosphériques, et ils peuvent être annulés ou reportés en cas de vent, de pluie ou de brouillard excessif. Les compagnies aériennes de montgolfières tiennent toujours compte de la sécurité des passagers et prennent les décisions appropriées en fonction des conditions météorologiques.
En conclusion, les vols en montgolfière en Cappadoce offrent une expérience extraordinaire pour découvrir les paysages enchanteurs de la région. Avec des prix variables en fonction de la saison, il est recommandé de réserver à l'avance en ligne.
Veillez à respecter les conditions de réservation spécifiées par la compagnie aérienne et gardez à l'esprit que les vols peuvent être soumis aux conditions météorologiques. En cas d'annulation du vol à cause des conditions météorologiques, les sociétés de vol en montgolfière rembourse l'intégralité du prix du vol. Profitez de cette expérience unique et laissez-vous émerveiller par la beauté de la Cappadoce depuis les airs.
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whencyclopedfr · 1 year
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Mont Sinaï
Le mont Sinaï (hébreu: Har Sinay, arabe: Jabal Musa, "montagne de Moïse") est un lieu saint pour les trois religions abrahamiques: le judaïsme, l'islam et le christianisme. Il est traditionnellement situé au centre de la péninsule du Sinaï, entre l'Afrique et le Moyen-Orient. Avec ses 2200 mètres d'altitude, il domine une région connue sous le nom de Bouclier arabo-nubien, composée de formations rocheuses cristallines et granitiques et d'éléments volcaniques.
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cicusa2022 · 2 years
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Jour 6 - après-midi
Après le pique-nique, direction le Parc National des Arches constitué d’étranges formations rocheuses ainsi que des falaises que l’érosion a modelées.
Encore des choses incroyables avec des belles couleurs ocre rouge.
Nous avons fait plusieurs haltes pour aller marcher et grimper dans ce dédale de roches (11 km) sous un soleil de plomb :
Park Avenue Trail
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Balanced Rock
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The Windows Section
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Turset Arch
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Delicate Arch
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Landscape Arch
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Il est 19h, nous repartons à Moab pour aller manger un burger, le premier du séjour, en espérant qu’il sera bon 😉
On se rattrapera quand on rentrera, ici tout est beau et grand mais pas forcément bon 😂
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domianick · 1 year
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De loin comme de près au Pac National du Bic de la SEPAQ, tout est beau. Des photos de pierres, de roc et de formations rocheuses de toutes sortes sont magnifiques dans ce parc. . #mineral #mineraly #mineralogy #earth #geologia #geologist #geologyrocks (à Parc national du Bic) https://www.instagram.com/p/CkOJeDYu4Rh/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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tazipa · 2 years
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17/07/2022 visite du parc de Mallasa
A environ 45 min du centre de La Paz, il est plus bas et bénéficie d'un climat plus agréable, 18° ! Il se vend davantage de lunette de soleil, de chapeaux et casquettes pour profiter de cet espace plus naturel et "calme". C'est le lieu idéal pour pique-niquer en famille ou bien visiter le zoo, dont la file était interminable ! (Du coup nous sommes allés dans le parc 👍)
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Une multitude de choix de terrasses restaurants.
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A l'entrée du parc, nous profitons de cette vue imprenable sur les les montagnes qui l'entourent.
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Oui aperçoit la Muela del diablo 😈
"La Muela del Diablo, 'Chris' ou 'Christopher' est une caractéristique emblématique du paysage de La Paz en Bolivie . La caractéristique est un col volcanique , qui est le noyau solidifié d'un volcan éteint, dont le reste s'est érodé ou emporté. "
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Nous sommes également passés devant la vallée de la lune.
"Un spectacle visuel incomparable. Ses formations rocheuses argileuses grisâtres se sont formées il y a 4,5 milliards d'années. Ils dessinent des formes capricieuses semblables à des cratères, des ravins et des systèmes de colonnes qui composent un paysage lunaire et une œuvre d'art naturel unique. C'est Neil Armstrong, le premier homme à visiter la lune, qui a donné son nom à cet endroit en 1969, lors d'une visite à La Paz. Cet événement a eu lieu la même année que son exploit à bord du vaisseau spatial Apollo 11."
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omagazineparis · 6 days
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Une plongée profonde dans le Grand Canyon aux États-Unis
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Le Grand Canyon, une merveille naturelle fascinante située au cœur des États-Unis, témoigne de la beauté et de la grandeur de notre planète. Avec ses dimensions impressionnantes et ses vues à couper le souffle, cette merveille géologique a captivé le cœur et l'esprit des voyageurs, des aventuriers et des amoureux de la nature depuis des générations. Dans cet article complet, nous embarquons pour un voyage à la découverte des profondeurs des Canyons, en nous concentrant particulièrement sur le majestueux Grand Canyon. Le magnifique Grand Canyon : un chef-d'œuvre de la nature Le Grand Canyon, souvent considéré comme un chef-d'œuvre géologique, s'étend sur environ 277 milles et possède des profondeurs qui plongent jusqu'à un mille dans la croûte terrestre. Sculpté pendant des millions d'années par le puissant fleuve Colorado, ce monument emblématique est un véritable témoignage de la puissance des processus naturels. Ses imposantes formations rocheuses, ses teintes vibrantes et ses couches complexes servent de toile qui raconte l'histoire de la Terre, s'étendant sur des milliards d'années. Un kaléidoscope de couleurs et de couches Alors que le soleil danse dans le ciel, le Grand Canyon se transforme en un chef-d'œuvre vivant de couleurs. Des rouges riches du calcaire de Redwall aux oranges chauds du groupe Supai, chaque couche de roche raconte une histoire unique de l'évolution de la Terre. Le jeu d'ombre et de lumière accentue encore la profondeur et le caractère du canyon, créant un spectacle visuel tout simplement impressionnant. A lire : Faut-il faire confiance à un forum de voyageurs ? L'expérience inoubliable de se tenir à la limite Imaginez-vous debout au bord du Grand Canyon, regardant l'abîme en contrebas. Le sentiment d’insignifiance et d’émerveillement qui vous envahit est indescriptible. À mesure que vous admirez l'immensité devant vous, l'immensité du canyon et ses détails complexes deviennent évidents, suscitant un sentiment de curiosité et d'humilité. Le frisson de l'exploration Pour les aventuriers et les randonneurs, le Grand Canyon offre un éventail de sentiers et de sentiers qui serpentent à travers son terrain accidenté. Que vous parcouriez le Bright Angel Trail, descendiez au cœur du canyon ou affrontiez le difficile South Kaibab Trail, chaque étape est une opportunité de vous connecter profondément avec la nature. Un aperçu du temps géologique Les couches de roches du Grand Canyon font office de livre d'histoire géologique, chaque page offrant un aperçu du passé de la Terre. Des millions d'années d'érosion, de sédimentation et d'activité tectonique sont préservées dans les parois du canyon. C'est comme si vous marchiez dans le temps et voyiez l'histoire de la Terre se dérouler sous vos yeux. L'importance culturelle des Canyons Au-delà de ses merveilles géologiques, le Grand Canyon revêt une immense importance culturelle pour les communautés autochtones et le grand public. C'est un lieu de respect, d'inspiration et de réflexion depuis d'innombrables générations. Patrimoine amérindien Les tribus autochtones, telles que les Havasupai, les Hopi et les Navajo, ont des liens profondément enracinés avec le Grand Canyon. Pour ces communautés, le canyon est plus qu’une merveille naturelle ; c'est un espace sacré étroitement lié à leur histoire, leur spiritualité et leurs traditions. L'art rupestre ancien et les artefacts trouvés dans les alcôves du canyon offrent un aperçu de la vie de ceux qui y ont élu domicile pendant des siècles. Un centre d'inspiration Des artistes, des écrivains et des explorateurs du monde entier ont été attirés par la majesté du Grand Canyon. Sa profonde beauté et son énergie brute ont inspiré d’innombrables œuvres d’art, littéraires et musicales. Debout sur le bord, on ne peut s'empêcher de contempler les mystères de l'univers et la place qu'il occupe au sein de celui-ci. Questions fréquentes des internautes sur les canyons Quel âge a le Grand Canyon ? La formation du Grand Canyon a commencé il y a plus de six millions d'années, alors que le fleuve Colorado commençait à se frayer un chemin à travers les couches rocheuses. Pouvez-vous faire du rafting à travers le Grand Canyon ? Oui, les aventuriers peuvent se lancer dans des excursions exaltantes en rafting sur le fleuve Colorado, offrant une perspective unique sur les imposantes parois du canyon. Y a-t-il des hébergements dans le Grand Canyon ? En effet, le Grand Canyon propose une gamme d'hébergements, depuis des lodges historiques perchés sur le bord jusqu'à des terrains de camping au sein même du canyon. Pouvez-vous faire de la randonnée d'un bord à l'autre ? Absolument, les randonneurs intrépides peuvent s'attaquer à la difficile randonnée d'un bord à l'autre, traversant les profondeurs du canyon et découvrant ses divers écosystèmes. Le Grand Canyon est-il ouvert toute l'année ? Oui, le Grand Canyon est ouvert toute l'année, chaque saison offrant une expérience différente, des panoramas enneigés en hiver aux fleurs sauvages vibrantes au printemps. Embrasser la grandeur des Canyons Au cœur des États-Unis se trouve un royaume d’émerveillement et de beauté qui défie l’entendement humain. Le Grand Canyon, avec ses falaises imposantes, ses couches complexes et sa profonde histoire, nous invite à nous lancer dans un voyage d'exploration, de réflexion et d'inspiration. Alors que nous nous tenons sur son bord, regardant dans les profondeurs, nous nous souvenons de la puissance de la nature et de notre place dans la grande tapisserie de l'existence. Alors, que vous soyez un aventurier intrépide, un voyageur curieux ou simplement quelqu'un en quête de beauté époustouflante, Les Canyons vous invitent, prêts à dévoiler leurs secrets et leurs histoires à ceux qui osent s'aventurer. Read the full article
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dixvinsblog · 29 days
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Les portes du passé oublié -Le sphinx du Pakistan par Carmen Montet
Le SPHINX DU BALUCHISTAN , plus qu’une simple formation rocheuse naturelle ? Cachée dans le paysage rocheux désolé du parc national de Hingol, près de la côte de Makran au Baloutchistan, au Pakistan, se trouve une structure massive qui est passée inaperçue et inexplorée depuis des siècles. L'énorme formation rocheuse anormale est connue sous le nom de « Sphinx du Baloutchistan ». C'est en 2004…
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traveltoarabia · 1 month
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Visitez Al Ula, Arabie Saoudite : un voyage à travers le temps et la beauté
Niché dans le vaste et dynamique paysage de l’Arabie Saoudite se trouve Al Ula, une oasis d’histoire, de culture et de beauté naturelle. Ce joyau caché, récemment ouvert au monde, offre un mélange unique de civilisation ancienne et de géographie époustouflante qui attire les voyageurs du monde entier. Alors que vous planifiez votre visite à Al Ula, préparez-vous à embarquer pour un voyage qui transcende le temps, offrant un aperçu de la vie ancienne et des vues impressionnantes qui promettent de captiver vos sens.
L'ancienne ville d'Hégra Le voyage à travers Al Ula est incomplet sans explorer Hegra (également connue sous le nom de Mada'in Saleh), le premier site d'Arabie saoudite inscrit au patrimoine mondial de. Autrefois ville prospère du royaume nabatéen, les tombeaux bien conservés d'Hégra, aux façades élaborées taillées directement dans les montagnes de grès, racontent des histoires d'une époque révolue. En vous promenant dans cette ville ancienne, vous rencontrerez plus de 100 tombeaux, chacun portant des inscriptions et des dessins uniques, offrant un témoignage silencieux du génie architectural et de la richesse culturelle des Nabatéens.
Vieille ville d'Al-Ula Une visite de la vieille ville d'Al Ula, un labyrinthe de maisons en briques crues datant du XIIe siècle, offre un aperçu de la vie traditionnelle de la région. Cette ville historique était autrefois un centre commercial et agricole animé, stratégiquement située sur la route de l'encens. Aujourd'hui, se promener dans ses rues désertes, au milieu d'anciennes maisons et mosquées, c'est comme entrer dans un musée vivant, où chaque recoin recèle une histoire à découvrir.
Paysages naturels spectaculaires Les paysages naturels d'Al Ula sont aussi fascinants que ses sites historiques. La région est réputée pour ses formations rocheuses extraordinaires, comme l'Elephant Rock, un rocher massif qui ressemble remarquablement à un éléphant avec sa trompe touchant le sol. Le paysage autour d'Al Ula est une toile spectaculaire de falaises imposantes, de canyons étroits et de vastes espaces ouverts, offrant d'innombrables possibilités d'aventure et d'exploration. Que vous fassiez une randonnée sur les sentiers accidentés, que vous profitiez d'un tour en montgolfière au lever du soleil ou que vous vous imprégniiez simplement des vues panoramiques, la beauté naturelle d'Al Ula laissera forcément une marque indélébile dans votre cœur.
Le musée vivant et les événements culturels Al Ula est souvent décrit comme un musée vivant, où l'histoire et la culture ne sont pas seulement préservées mais célébrées. La région accueille une variété d'événements culturels et de festivals tout au long de l'année, comme le festival Winter at Tantora. Ces événements mettent en valeur le riche patrimoine d'Al Ula à travers des expériences musicales, artistiques et culinaires, offrant aux visiteurs une chance de s'immerger dans la culture et les traditions locales.
Tourisme durable et efforts de conservation Alors qu'Al Ula ouvre ses portes au monde, l'accent est mis fortement sur le tourisme durable et la conservation. Des efforts sont en cours pour garantir que l’afflux de visiteurs ne perturbe pas l’équilibre délicat de cette terre ancienne. Les initiatives comprennent la limitation du nombre de visiteurs sur les sites archéologiques, la promotion de pratiques respectueuses de l'environnement et l'engagement de la communauté locale dans les efforts de préservation. En visitant Al Ula, vous n'êtes pas seulement témoin de l'histoire ; vous contribuez également à la sauvegarde de ce précieux patrimoine pour les générations futures.
Planifiez votre visite Al Ula est accessible par voie aérienne, l'aéroport international d'Al Ula proposant des vols directs depuis plusieurs grandes villes. La meilleure période pour visiter se situe entre octobre et avril, lorsque le temps est agréable, permettant l'exploration et les activités en plein air. Les hébergements à Al Ula vont des complexes hôteliers de luxe aux campings confortables, répondant à diverses préférences et budgets.
Pour plus d'informations:-
visiter al ula arabie saoudite
voyage arabie saoudite
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societelifemagazine · 1 month
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Formations rocheuses des Météores en Thessalie, Grèce
Les Météores sont de gigantesques piliers rocheux, dont certains sont couronnés d’anciens monastères construits à leurs sommets, qui forment un paysage à couper le souffle. Pendant des siècles, la seule façon d’entrer et de sortir des habitations qui surmontent ces colonnes de grès était d’emprunter des échelles ou de se faire monter ou descendre par des cordes et des filets. « Météores » signifie « milieu du ciel » ou « dans les cieux ». Les pèlerins qui venaient visiter le monastère de Roussánou étaient autrefois obligés de défier la mort en escaladant ces parois à pic. Aujourd’hui, on peut y accéder par un réseau de routes et de ponts. Cela n’empêche pas certains grimpeurs expérimentés d’aimer s’attaquer à ces doigts de pierre pour l’amour du sport plutôt que d’emprunter ces voies plus sûres.
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alexisgeorge24 · 2 months
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14 février :
Journée dédiée au transfert de El Calafate à Los Antiguos. Ca me bouffe la journée mais non sans émotions puisque Jessica m'apprend qu'on a été cambriolé. Je me sens encore plus inutile et impuissant à distance.
15 février :
Arrivé à Los Antiguos en pleine nuit je retrouve l'ambiance du mois dernier lorsque j'effectuais le même itinéraire pour aller au sud du Chilie (cette fois c'est pour aller au Nord). Je finis ma nuit dans la gare routière puis je refais les 15km à pied jusqu'à Chile Chico après avoir franchi la frontière. Je ne trouve aucun bus pour la journée même et donc je campe au camping que je connais déjà. Malheureusement je ne trouve pas de cerise, ma seule consolation tant espérée.
16 février :
Bus pour Puerto Río Tranquilo où j'enchaîne avec une excursion ultra-touristique à las Capillas de Marmol. En zodiac nous longeons donc ces formations en marbre erodées par le lac glaciaire General Carrera malgré le ciel gris. Je ne retrouve donc pas les photos Google idealisant le spot mais la ballade est tout de même agréable et les galléries de marbres entre terre et lac sont originales. Ca me fait penser à une forêt de mangrove figée en marbre. Camping dans ce hameau qui n'existe, on dirait, que grâce au tourisme.
17 févier :
J'enchaîne avec une 2e excursion de gros touriste, mais c'est bien vendu par le routard, un incontournable apparemment. Et je suis d'accord. 2h de route à travers la valle Exploradores entre glaciers, lacs, rivières et forêts avant d'embarquer sur un bateau qui longera un fjord pendant 2h également. J'ai enfin un aperçu des mythiques fjords chiliens, un vrai dédale entre deux océans, austère, inhabité et à moitié dans la brume. Je me pose à l'arrière et à l'extérieur pour profiter du paysage qui défile avec un café bien chaud servi par notre guide. Sur le chemin j'aperçois des dauphins, des lions de mers chassant et des fjords partant de touts côtés, un cauchemar pour les cartographes des siècles derniers. Arrivés à destination, on est émerveillés par la laguna San Rafael avec le glacier qui se jette dans l'eau. C'est la première fois que j'en vois au niveau de la mer. On s'en approche en traversant une soupe de glaçons plus au moins grands et notre guide en pêche quelques uns pour nous servir un whisky. Apparemment c'est classe... en tout cas la nouvelle haute classe débile Dubaïote paye très cher pour avoir le même verre. On reste 1 heure devant cet impressionnant paysage, qui plus est, est dynamique avec la glace qui s'en détache pour plonger dans l'eau et entamer une odyssée à travers les fjords qui finiront par le consomer en x semaines (je dois réviser mes cours de thermique pour trouver x).
18 février :
Après un bus pour le Cerro Castillo, j'entame (enfin) de nouveau une randonnée de 3 jours autour de cette magnifique formation de tours rocheuses ou siègent des glaciers à la moindre parois horizontal. Matinée passée dans les transports et après-midi à monter vers le 1er camping (faut vraiment que j'aprennne à mettre des verbes dans mes phrases, ne serait-ce que par respect envers mes prof de français). Pas de paysages méritant une photos sur le chemin mais je DEVINE les merveilles qui m'attendent le lendemain.
Bilan: 16km, 400m d+
19 février:
Il fait beau et le soleil me sourit. Je mets de ma crème solaire fps 50, je longe 3 vallées, traverse 2 cols, admire 2 lacs de glacier sans m'y baigner, contourne le Cerro Castillo et ses "chicos", et avant de descendre vers mon 2e campement j'ai une vue panoramique magistrale sur: tout, même le lac General Carrera. Je me rappel que depuis Los Antiguos je pouvais voir au loin d'impressionnants sommets, et bien j'y suis. J'ai presque envie de dire que l'endroit est aussi beau que le Fitz Roy, et contrairement à celui-ci je n'y croise que très peu de monde.
Bilan: 24km, 1500m d+
20 février :
Je laisse mon gros sac et je fais un AR à la Laguna Duff, au fond d'un cirque me permettant d'aller au bout du chemin contournant du Cerro Castillo. Le ciel est nuageux mais cela donne un air encore plus menaçant aux sommets noir et blanc qu'on appercoit à travers la brume. De retour sur la Caretera Austral je fais du stop mais déjà 2 personnes sont là avant moi. Je papote avec eux en français (ce sont des wallons) et me font part de leur frustration puisque cela fait 3 heures qu'ils font du pouce sans succès. Au moment où je leur dit que récemment j'ai plutôt de la chance en stop mais que visiblement cela risque de changer vu la situation, une voiture s'arrête avec 3 places, dont une pour moi. Cela faisait 15min que j'attendais. J'arrive super tôt à Coyhaique, la "capitale" de la région Aysen et retrouve un urbanisme faisant plus penser à une ville qu'un village. J'ai donc le temps de me poser dans une bonne brasserie qui sert de bonnes bières et ENFIN, FINALLY, FINALMENTE, de vraies pizzas. Après en avoir englouti une j'ai toujours faim mais désormais je sais détecter des crises de boulimie et je mange une glace pour calmer mon cerveau qui a perdu la communication avec mon appareil digestif. Après-midi très agréable donc dans cette ville au creux des montagnes où y vivre ne serait pas de refus.
Bilan: 23km, 700m d+
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