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#eric fottorino
les-toupies-h · 1 year
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Eric Fottorino
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Korsakov - Eric Fottorino
Korsakov – Eric Fottorino Auteur(s) : Eric Fottorino Prix Nice Baie des Anges 2005 Format: Beau livre Editeur : Editions Gallimard Collection : Blanche Parution : 20/08/2004 Nombre de pages : 474 Dimensions : 20.5 x 14 x 3 Résumé :Moi, François Signorelli, docteur à Palerme, je me souviens de tout. Du vrai et du faux. De plus de gens et d’histoires que je n’en ai connu. Mille ans…
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lisaalmeida · 3 months
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"Tu m'aimais tout bas, sans effusion, comme on murmure pour ne pas troubler l'ordre des choses.
Tu m'aimais tout bas, sans le dire, sans éprouver le besoin d'élever la voix."
Eric Fottorino
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satinea · 2 months
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Nous formons une galerie de masques. La fatigue est notre maquillage. La lassitude est notre habitude. Nous avançons dissimulés. Masques pour ne pas voir. Masques pour ne rien connaître de la misère des autres, de sa souffrance, de son désarroi silencieux. Masques craquelés par la sécheresse de nos sentiments. Surtout ne pas accrocher nos oreilles aux plaintes, ne pas accrocher nos yeux aux regards perdus. On porte nos masques comme on porte malheur. Masques de mauvais œil. Masques grimaçants. Masques de je-ne-veux-pas-le-savoir. Masques de je-n’ai-rien-à-vous-dire. Masques de morts-vivants. Mascarades.
Eric Fottorino
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thierrylidolff · 1 year
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HIÉRARCHISER L'INFORMATION, PLUS QUE LA CHERCHER ?
ÉMISSION “Longtemps l’effort c’était de chercher l’information, maintenant c’est de la hiérarchiser” Mercredi 29 mars 2023 FRANCE INTER Eric Fottorino, journaliste, co-fondateur du “1 Hebdo”, Hugo Travers, fondateur de HugoDécrypte, et Cécile Dunouhaud, professeure d’histoire-géographie au lycée Marguerite Yourcenar à Morangis sont les invités du Grand entretien de France Inter pour revenir…
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moufidadahlab · 2 years
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*Le silence du dimanche .. *Il ne ressemble pas à celui du samedi. Il est plus profond, enchâssé dans les replis du temps. *C'est un silence venu de loin. *Un silence d'un pain frais, de chemise blanche, de promenade à pas lents... *Eric Fottorino *Bon dimanche mes ami(e)s... https://www.instagram.com/p/CkDwm9sjMSq/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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twafordizzy · 2 years
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Breekbaar Lichaam gaat vooral over de mannelijke blik
Breekbaar Lichaam gaat vooral over de mannelijke blik
bron beeld: ozap.com Geen vrolijk boek: Breekbaar lichaam van de Franse schrijver Eric Fottorino (1960, Nice). De hoofdpersoon is een française, die geen liefde kende van haar moeder; trouwt met een Marokkaan die haar mishandelt uit jalouzie en vlucht naar het Noorse Bergen waar ze in de handen valt van een haptonomisch therapeut en een kunstschilder. Dat het niet goed afloopt, helpt ook niet. De…
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Et deviner ton sourire, à l'autre bout du soleil.
Eric Fottorino, Dix-sept ans.
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fidjiefidjie · 4 years
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"Le vélo est un jeu d'enfant qui dure longtemps" 🚴‍♀️🏃‍♂️
Eric Fottorino
Gif de Eran Mendel
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be-poles · 4 years
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Art direction & layout of Légende Magazine by Éric Fottorino
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whileiamdying · 3 years
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Le corps en alerte
Eric Fottorino » Performeuse mondialement connue, Marina Abramovic annonçait il y a 40 ans déjà la société actuelle du sans-contact. Elle hante le dernier roman du Français.
Florence, ses moments de grâce offerts par les jardins de Boboli, le Ponte Vecchio, le Duomo, les parfums du Mercato Centrale, les vitrines scintillantes de bijoux et de fringues, les rues peuplées de monde en ce Noël 2018, une année avant que le monde ne bascule dans l’enfer de la pandémie. Un temps heureux, mais nous ne le savions pas encore, notre insouciance ayant depuis longtemps pris le dessus sur notre vigilance. Nous sommes comme ces personnages de romans, vivant au gré d’un scénario dont nous ignorons les méandres.
Dans la ville somptueuse des Médicis, Paul Gachet, chirurgien parisien, passe donc ses vacances de Noël en compagnie de sa femme Maud et de Lisa, leur fille de 15 ans. Ce n’est pas un hasard si cet homme porte le nom du médecin que Van Gogh a peint car, comme le personnage du maître hollandais, il est l’expression désolée d’une époque, la nôtre. Cela, on le comprendra au fil des pages de Marina A, roman du Français Eric Fottorino. Paul Gachet en est le narrateur et, pour commencer, un vacancier ravi par l’époustouflante beauté florentine, avant qu’une femme ne le ravisse à sa vie confortable de bourgeois pour l’emmener vers une réalité douloureuse.
Humanité indifférente
Elle s’appelle Marina Abramovic. Elle ne deviendra pas son amante, non, mais pire: une obsession qui chamboulera son existence et sa vision actuelle de l’humanité victime d’une maladie planétaire. C’est par cette femme que passe l’interrogation lancinante, chargée de tourments, qui court tout le long de ce roman, brillant certes, mais cédant par moments à la monomanie.
Marina Abramovic est un uppercut que Paul Gachet reçoit en pleine figure lorsqu’il la découvre sur des affiches placardées contre les murs du Palazzo Strozzi. Le célèbre monument florentin proposait effectivement, en 2018, une «exhibition» sur Marina la nettoyeuse: The Cleaner, comme le disait l’une des affiches. Que peut-elle bien nettoyer, se demande le chirurgien qui n’a jamais entendu parler d’une Abramovic artiste et qui, poussé par la curiosité, va voir en compagnie de sa femme et de sa fille cette «exhibition» vantée à grand renfort de publicité. Le lecteur, lui, a de l’avance sur le narrateur. Il sait que Marina Abramovic, 74 ans, est une performeuse serbe de renommée mondiale; qu’avec son compagnon, le performeur allemand Ulay, elle a donné au body art son expression la plus extravagante et la plus violente, répondant ainsi à l’arrogance d’une humanité indifférente à la destruction et à la souffrance.
Si Marina nettoie c’est que le monde n’est pas clean, s’exclame la jeune Lisa, «et nous non plus, aucun de nous», ajoute son père. D’ici à penser qu’Abramovic est une hygiéniste, il n’y a qu’un pas que le narrateur franchit avec un humour mêlé d’une inquiétude profonde, traquant sur internet, dès son retour à Paris, tout commentaire lié à Marina. Cette «fille de Satan» le hante, puis son image s’estompe pour revenir en force quand surgit la pandémie. Alors là tout s’éclaire. En Marina A il voit une «lanceuse d’alertes»: elle est au body art ce que le roman d’anticipation est à la littérature. Pour comprendre son côté Cassandre, il faut voir ses performances qu’elle donne seule ou avec son compagnon Ulay. Remontant le fil du temps, le narrateur s’offre les spectacles des deux lovers, face à face, en 1977, dans Breathing In, Breathing Out, «bouches fougueusement collées, l’un n’aspirait plus que le contenu du poumon de l’autre jusqu’à épuisement». Les revoilà six ans plus tard dans Anima Mundi ou «l’impossible rapprochement», deux silhouettes séparées par un grand «escalier théâtral», bras désespérément tendus l’un vers l’autre.
Distanciation sociale
La respiration amoureuse a donc cédé la place à la distanciation sociale que le virus impose et que Marina, annonciatrice du pire, décelait il y a 40 ans déjà. Rencontre, séparation, retrouvailles, séparation… Le rythme d’une vie qui unit et désunit les deux amants/performeurs. Mais également les caprices d’une pandémie qui engloutit les envies de fusion et élève la distanciation – autrefois goujaterie – au rang de distinction. «L’écart […] entre les êtres» se creuse, écrit Fottorino, qui observe désenchanté notre «civilisation du sans-contact».
GHANIA ADAMO
Eric Fottorino, Marina A, Ed. Gallimard, 176 pp.
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cinnamonsparkbooks · 6 years
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Είμαστε φίλοι επειδή μοιραζόμαστε τις σιωπές.
Eric Fotttorino, Κόρσακοφ
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artdelivre · 7 years
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Il l’aime en silence car il ne sait pas le dire.
Éric Fottorino, L'homme qui m'aimait tout bas
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jkspl22 · 3 years
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Je suis né avec un chagrin d’enfant Un gros sanglot coincé au fond de la gorge « Pourquoi tu pleures ? » C’est la question que j’ai le plus entendue. « Parce que. » « Parce que quoi ? » « Parce que. » Je ne savais pas. Je ne sais toujours pas. J’ai oublié. Un chagrin muet, sans histoire et sans visage. Un chagrin qui ne prévient pas. Il a fait son lit à l’intérieur de moi, a troublé tant de mes nuits. Pas à cause du bruit mais du silence qu’il a creusé dans les galeries de mon être. Parfois, pourtant, j’entends un cri. Ce cri a plus de cinquante ans. Il traverse ma vie comme la balle d’un silencieux. Je suis le seul à l’entendre.
Dix-sept-ans, Eric Fottorino
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tomub · 4 years
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😷 L’AVENIR MASQUÉ
Le masque est désormais imposé dans notre espace public, ainsi que dans les entreprises à la rentrée. Mais il ne peut suffire à endiguer la pandémie, et le Covid-19 continue d’étendre son ombre sur un avenir qui demeure bien incertain.
✅La philosophe Corine Pelluchon nous parle du port du masque qui, à ses yeux, constitue un acte civique minimal qui sans nous faire renoncer à notre liberté de pensée, vient réaffirmer notre appartenance à un destin partagé.
❓Comme le montre l’enquête de Manon Paulic et Arthur Frayer-Laleix, la systématisation du port du masque soulève de lourdes et douloureuses difficultés dans les entreprises comme dans les clubs sportifs.
📍Le psychiatre Christophe ANDRÉ nous explique qu’il est sage de chercher à apprivoiser notre anxiété vis-à-vis du masque, la prudence nous incite cependant à le porter au vu des bénéfices collectifs escomptés.
💉 Pour l’épidémiologiste et biostaticienne Catherine Hill, la politique sanitaire du gouvernement comporte de graves déficiences, en particulier en matière de stratégie de dépistage.
🎨 Illustrations : Simon Bailly
💻 Disponible en kiosque et librairie, et sur : boutique.le1hebdo.fr
👀 Tous nos numéros sont également disponibles en version numérique pour nos abonnés.
https://le1hebdo.fr/journal/numeros/311/l-avenir-masqu.html
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Directeur de la publication Eric Fottorino, Laurent Greilsamer
Direction artistique Natalie Thiriez
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satinea · 5 years
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Nous formons une galerie de masques. La fatigue est notre maquillage. La lassitude est notre habitude. Nous avançons dissimulés. Masques pour ne pas voir. Masques pour ne rien connaître de la misère des autres, de sa souffrance, de son désarroi silencieux. Masques craquelés par la sécheresse de nos sentiments. Surtout ne pas accrocher nos oreilles aux plaintes, ne pas accrocher nos yeux aux regards perdus. On porte nos masques comme on porte malheur. Masques de mauvais œil. Masques grimaçants. Masques de je-ne-veux-pas-le-savoir. Masques de je-n’ai-rien-à-vous-dire. Masques de morts-vivants. Mascarades.
Eric Fottorino
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