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#du 8 mai 1945
federer7 · 1 year
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Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e, 8 mai 1945
Photo: Jean-Philippe Charbonnier
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filmap · 5 months
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Saint Omer Alice Diop. 2022
Station Place du 8 Mai 1945, 62500 Saint-Omer, France See in map
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dooareyastudy · 11 months
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Here are the books I read last month and this month!
April
Gérard de Nerval, Les filles du feu, 1854 | 5/10
Jacques Ellul, Le bluff technologique, 1988 | 7/10
Julien Gracq, Les eaux étroites, 1976 | 7/10
Hermann Broch, La mort de Virgile, 1945 | 5/10
Georg Luckás, L’antifascisme en littérature, 1938 - 1942 | 6/10
Albert Ollivier, Le Dix-huit Brumaire, 1959 | 3/10
May
André Gorz, Métamorphoses du travail, 1988 (not pictured) | 7/10
Grégoire Chamayou, Les chasses à l’homme, 2010 | 7/10
Patrick Süskind, Le parfum, 1985 | 6/10
Paul Gadenne, La plage de Scheveningen, 1952 | 8/10
Jaggernaut n° 1, 2019 | 7/10
Pour les utilisateurs éventuels de Senscritique, vous pouvez m’ajouter dessus (mon pseudo, c’est doriavcn) !
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fidjiefidjie · 1 year
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Bonjour ☕, bonne journée de célébration du 8 Mai 1945 🇨🇵
Place de l'Opéra🗼Paris 8 Mai 1945
Photo Ecpad
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claudehenrion · 1 year
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8 mai 1945 – 8 mai 2023... ( I ) : L'effondrement d'un monde...
  Quelle tristesse ! Quelle horreur ! Au lendemain du feu d'artifice de joie, d'union et de patriotisme des britanniques qui ont étalé la communion entre un peuple et ses dirigeants –ce dont nous avons oublié... jusqu'à la possibilité–  la contemplation morose de ce roitelet (officiellement en exercice, mais déchu dans le cœur de ses sujets… qui lui tournent le dos et le vouent aux gémonies) a été un moment de torture pour tous ceux qui aiment encore la France, ou plutôt le souvenir de ce qu'elle a été --et malgré ce qu'elle est devenue ou, pire encore, ce qu'elle risque de devenir : les Champs-Elysées sont, depuis hier, la plus sinistre avenue du monde.
La joyeuse ''casserolade'' prévue (NDLR : elles sont toutes méritées. Et même si elles déplaisent à celui qui en est le seul responsable, elles sont ''la vie'' –qui n'est pas que silence, policiers, et acceptation résignée de ce qui est intrinsèquement mauvais !)– même si elle était peut-être un peu ''hors sujet'' dans les conditions et la symbolique de cette date, a cédé la place au spectacle terrible d'une ville morte, qui rappelait ce qu'elle était en d'autres ''8 mai'' --en 1943 ou 1944, par exemple, sous la botte humiliante de la Wehrmacht et la férule cruelle des Waffen SS. Une image s'est imposée ou, plutôt, s'est opposée : le Général De Gaulle descendant les Champs dans une foule ivre de bonheur, le 8 mai 1945... Sic transit gloria mundi !
Ce 8 mai 2023, nous avons retrouvé, hélas, à quoi pouvait ressembler ''Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé !''... Devons-nous souhaiter, espérer et désirer de voir aussi, bientôt...''Paris libéré ! Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle’’, pour évoquer la mémoire du Général De Gaulle ? Le cœur dit ''Oui''... et le plus vite possible, mais la raison dit ''Non, à aucun prix : rien n'est jamais plus inutile, plus néfaste, plus coûteux... qu'une révolution''. Je crains que ''demain'' ne soit donc pas la veille de notre réveil en tant que ce que nous sommes, avons été, et voudrions être. Devant un tel désastre, organisé, fabriqué, artificiel, inutile, masochiste et pervers, le légalisme dit de baisser le front, dans la honte et la souffrance... en espérant que, le moment venu, il restera encore quelques petites choses à sauver de ce qui fut ''notre France''. Les plus anciens s’en souviennent.
En allant plus loin dans cette réflexion... on se dit que, pour en arriver à une telle hostilité et à de tels rejets réciproques, il en a fallu, des mensonges, des horreurs, des bobards par containers entiers, et des déceptions résultant d’effroyables jugements, d'analyses tordues ou de décisions prises à l'opposé de ce qu'il fallait ! On s'en doutait, et certains le disaient tout haut, dans l'indifférence générale et de légers sourires méprisants dans les insupportables ''dîners-en-ville''. Mais voilà : l'immensité de la rupture entre le peuple français et ceux qui auraient dû être ses représentants (qui passent leur temps à lui ''enfiler'' le contraire de ce qu'il veut, de ce qu'il faudrait, et de ce qui serait ''bon pour lui'') nous saute soudain au visage : il devient difficile de faire semblant de ne pas le voir, de disserter sur des sujets sans connexion, ou de continuer à réciter les mêmes mensonges... En fait, personne n'a fait le tour des griefs qui doivent leur être reprochés –et qui n'ont rien à voir avec la litanie des faux problèmes dans lesquels ils rêveraient de nous emberlificoter : Hannah Arendt expliquait que ''les régimes totalitaires prennent le pouvoir sur les peuples en les arrosant d'informations contradictoires jusqu'à ce qu'ils n'aient plus aucun moyen de savoir où est la vérité. Dans tous les régimes de Gauche, sous Hitler, Staline, Mao, Pol Pot, Tito, Hodja (et plus près, la dynastie nord-coréenne des Kim), le citoyen ne savait jamais où il pouvait aller et où il devait ne pas aller...''
Je vous propose donc de consacrer cet éditorial et celui de demain à visiter cette ''omertà land'' que les soi-disant ''élites'' (NB : qui voudraient bien sauver leur pouvoir et leurs prébendes) et une presse subventionnée, corrompue et pourrie par son idéologie ''gauchie'' –qui tente de faire passer pour autant de vérités dites intouchables ce qui est à l'opposé de la pensée majoritaire des français, excédés. La totalité de ces ''bobards par système'', rituellement faux et dits incontournables, que des chroniqueurs trop bien payés présentent comme les seules vérités... n'est ou ne sont qu'autant de mensonges démontrés, avérés, ''certifiés''... Un exemple ? La France a dépensé 400 milliards d'Euros en mesures liberticides, répressives et inutiles ... et elle serait incapable d'en trouver entre 13 et 17 pour les retraites ?
Dans le répertoire de ces mensonges qui, à force d'être répétés, ont acquis pour certains une réputation d'exactitude –totalement imméritée--, j'ai dû procéder à des arbitrages, tant ils sont nombreux et tous azimuts. J'ai gardé la crise du covid,  évidemment, mais aussi tout ce qui a trait à l'immigration (dont nous parlons souvent. Nous n'insisterons donc pas), les ravages (budgétaires et autres) faits par une fausse écologie qui n'est qu'un vrai écologisme, le carnaval de la culpabilité humaine promue dans, à cause de, par les fantasmes du Giec, et cet autre ''scandale du siècle'' qui est le passage au ''tout électrique'' pour les bagnoles et le transport terrestre, le mythe indémontrable d'une ''extrême Droite'' fantasmée par la Gauche, et, last but not least, ce nouveau scandale qu'est le troc de notre eau douce devenue si rare contre du pétrole, qui est sans doute la plus belle –traduire : la plus minable-- démonstration de l'irresponsabilité criminelle de notre caste politique, dont la courte vue annonce et prépare des catastrophes sans nom.
Pour conclure la lamentable commémoration de ce ''8 mai'' qui devait être un jour soit de liesse soit de recueillement –mais pas un nettoyage par le vide-- voici une information qui montre la différence entre de vrais leaders politiques et nos amateurs restés à l'âge ingrat : Madame le Ministre de la Justice de Slovénie, Madame Domenika Švarc Pipan, a annoncé hier que, après l'accord de la Cour Constitutionnelle, son Gouvernement allait rembourser la totalité des amendes indûment perçues à l'occasion des faux délits ''pour avoir enfreint les règles relatives au covid''. Ces politiciens  honnêtes ont droit à toutes les majuscules, car pendant ce temps, la France, seul pays du monde civilisé à se comporter comme un état-voyou, refuse de rembourser les soi-disant ''suspendus'' qui sont, en fait, des ''condamnés par la doxa, sans raison ni procès'').  Mais lorsqu'on se dit que des argousins nous ont volé 135 € pour nous être assis sur le sable d'une plage ou pour être 3 dans une boutique, il y a de quoi haïr les fauteurs de ces abus de pouvoir...
Demain, nous continuerons notre périple dans les asiles qui sont comme une définition de l'Absurdie macronienne dans laquelle nous sommes condamnés à survivre et à subir, sinistrement, sans espoir, en regardant de vieilles photos de nos Champs Elysées tels qu’ils étaient il y a peu... Avant le cauchemar... (a suivre).
H–Cl.
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beakyspecialpics · 1 year
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Place du Bourg-Tibourg, Paris 4e, 8 mai 1945
Photo: Jean-Philippe Charbonnier
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xydol-ktabet · 7 months
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Après « Entre l’Algérie et la France, il n’y a qu’une seule page », « Souvenez-vous de nos sœurs de la Soummam », « Aux portes de Cirta », le jeune écrivain algérien Mohamed Abdallah revient avec une autre œuvre littéraire où l'Histoire collective se mêle à l'histoire individuelle pour donner un mélange magnifique entre l’Historique et le Romanesque !
Le vent, cette fois-ci, nous emporte à la veille du déclenchement de la guerre de libération nationale. À Oran, nous suivons le parcours de multiples personnages appartenant à deux mondes différents, à deux bains linguistiques différents, aux multiples doctrines de pensées. Nonobstant, ils regardent tous dans la même direction.
Ils ont contribué à l’éveil de la conscience collective et à la guerre de libération nationale, qui pour M.A, avait été intellectuelle autant que militaire. Des écrivains, des artistes, des journalistes et des activistes politiques aspirent tous, chacun à sa manière, à la liberté de la terre algérienne.
M.A trace, dans les moindres détails, leurs débats respectifs. D’une conscience politique et intellectuelle remarquable, leurs rassemblements avaient été marqué par de multiples questions qu’ils posent pour avancer malgré le doute.
M.A se base spécialement, d’un côté, sur la figure de l’écrivain, sa création littéraire unique et universelle à la fois, son essence, la nécessité de son engagement à côté des siens. De l’autre côté, il se penche sur la figure du journaliste, sa volonté d’explorer de nouveaux horizons et dire la réalité telle qu’elle se présente.
D’autres personnages sont d’une valeur référentielle qui renvoient à des figures emblématiques de la guerre de libération nationale comme Larbi Ben M'hidi et Abane Ramdane et artistique comme Maurice El Medioni et Igor Bouchène.
Dans cette œuvre, M.A questionne le rapport de l’intellect à l'Histoire de sa patrie, à l'Autre. Cette altérité « imposée » a poussé chaque protagoniste à se construire, à réfléchir, à agir selon les moyens qu’il a.
Ce rapport à « l’Autre » que M.A évoque, concerne la langue française. Pour M.A, ce choix relève avant toute autre chose de la résistance. Autrement dit, bien qu’elle soit la langue de colonisateur, ces figures s’en servent pour défendre la cause Algérienne.
M.A n’exclut pas le rôle prépondérant des femmes dans cette révolution libératrice intellectuelle. De multiples personnages féminins, présents dans l’univers diégitique, ont accompagné les hommes dans l’accomplissement de leur engagement.
Si l’aïeule garantie la transmission de la culture ancestrale aux futures générations, la mère s’attache, en ces temps morose, à protéger ses enfants et veiller sur leur éducation. À l’absence du père, elle est la boussole de toute la famille.
La considération de cette œuvre essentiellement comme étant roman historique, c'est ignorer, à mon humble avis, sa complexité. Il est clair que la dimension historique est omniprésente dans "le vent a dit son nom". Il y a plusieurs indices qui renvoient le lecteur à des événements historiques comme les massacres du 8 Mai 1945.
En revanche, M.A ne s’est pas contenté de mettre l’Histoire au centre de son écriture. Différent de l’Historien, le romancier qu’il est, use des faits historiques, pour questionner une période historique précise. À travers un regard critique d’un observateur et une imagination féconde basée sur ses recherches et ses lectures, il exploite ses facettes non connues.
Selon la critique littéraire, un texte est en interconnexion perpétuelle avec d’autres. Ce phénomène textuel est le propre de chaque texte et constitue l’un de ses qualités. Dans ce roman, il réside dans l’appareil titulaire. La phrase du titre renvoie à l’un des vers du poème de Rimbaud sur l’Émir Abdelkader.
Elle est légèrement modifiée par l’emplacement de l’adjectif possessif « son ». Ce dialogue entre les deux textes, que M.A tisse, montre sa volonté de prendre possession du passé historique de son pays sur lequel, il a son mot à dire.
Si le dialogue est intertextuel dans le premier cas, il est, selon Michel Riffaterre, intratextuel dans le second cas. Autrement dit, la coprésence de l'écriture romanesque, l'écriture historique et l'écriture journalistique, dans le même texte, donne forme à cette intratextualité. Elle montre le talent stylistique de M.A. Malgré la différence des trois formes d’écritures, le texte garde cohésion et cohérence.
D’un point de vue stylistique, la plume de M.A est de qualité. Elle regroupe deux formes d’écritures différentes mais leur mélange, dans ce roman, est à saluer. Il s’agit, en premier lieu, de l’écriture classique par l’insertion des passages descriptifs contenant les états d’âmes des protagonistes, les lieux dans lesquels ils se rendent. En second lieu, il est question de l’écriture contemporaine. Malgré la complexité de la thématique abordée, la fluidité stylistique, rend la lecture agréable.
Cette forme d’écriture passe de la stylistique à la question du genre par la coprésence du roman, de la poésie et de la chanson populaire qui rend l'univers romanesque plus dense, présente aussi la diversité culturelle du peuple algérien s’opposant au discours colonial et son projet de civilisation d’un " peuple analphabète, barbare et primitif."
Cette hybridité littéraire que l’on aperçoit dans ce roman s’étale à une autre forme d’écriture « générique ». Il s’agit, en particulier, de l’essai, à travers les réflexions qu’expose M.A sur la critique littéraire, qui, en quelque sorte, une réinvention de toute l’œuvre.
Ce que nous trouvons intéressant, dans cette œuvre littéraire, est la place accordée à la trame spatiale. Elle est d’une importance capitale. Elle se multiplie entre des lieux fictifs et référentiels, ouverts ou fermés. Le monde de l’extérieur représente l’enfermement et l’oppression exercés par le colonisateur français sur la société algérienne.
Il y a, en revanche, le monde de l’intérieur. Malgré sa fermeture, la Mauresque et le café Medioni sont deux endroits dans lesquels les protagonistes se réfugient, se permettent une certaine liberté pour aborder tous les sujets épineux qui les tracassent à cette période décisive de l’Histoire algérienne.
D’une richesse littéraire inépuisable, les points que nous avons abordés dans cette œuvre n’est qu’une lecture parmi d’autres. Une chose dont nous sommes certains est que ce roman mérite toute l’attention des lecteurs pour une meilleure lecture parce qu’il y a toujours des aspects à dévoiler comme l’exprime l’écrivain lui-même :
"[...] Il y a, derrière chaque, chef-d’œuvre une histoire. Parfois, cette histoire se dévoile à nous entièrement, se donne à lire avec transparence. D’autres fois, nous nous retrouvons face à une énigme, un poème qui ne révèle pas ses rimes, une trame qui ne suggère plus qu’elle ne se montre."
Maissa Nadine Sidhoum,
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Fascinant ce contraste saisissant entre la célébration du 8 mai 1945, jour de LIBERATION, par un Président autoritaire qui défile au Champs Elysées sans le peuple français… Tu as raison, ces images font désormais parties d'une page honteuse de notre Histoire. Personne ne pourra nier dans 50 ans, ce que fut l'ère Macron. Dans une vraie démocratie, on démissionne.
Démissionner ? Non seulement cette caste de bourgeois gauchistes ne démissionne jamais, mais renforce sa volonté d'un parti unique. Tout ce qui n'est pas elle est "d'esstreme drouate".
La gauche mène chaque fois au totalitarisme. Partout. Systématiquement. Les nôtres de gauchistes ont une odeur de bolchéviks mélangée au wokism et racialisme des américains, qui n'a rien à voir avec nous ni avec notre Histoire ; pathétique preuve de leur allégeance, leur soumission et de notre vassalisation. A n'en pas douter, ces images seront utilisées et réutilisées.
Il faut bien réaliser que le 8 mai, sur les Champs Elysées, commémore le soldat inconnu, la chair à canon et donc le peuple. C'est le peuple qui était au front, pas l'élite. Macron a refusé aux gueux leur propre commémoration, financée par les impôts du gueux. Comme pour ajouter de l'injure à l'offense, l'armée et la police ont participé plutôt que de laver l'affront fait au peuple. Si il y a encore des français qui pensent vivre en démocratie, qu'ils aillent consulter ou se faire foutre.
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skepticalarrie · 2 years
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merce, trattdria otello, halal, avenue du 8 mai 1945 ? no clue about it?
Ah I was just talking to someone about this earlier… no idea of what those mean. It seems just like a bunch a random places around the world, probably in reference to the whole “I'd follow you to any place” theme of the song?!
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thesweetmisfit · 2 years
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Décembre 1945 Pub pour la Compagnie Douglas
La toute première couverture de magazine de Marilyn Monroe est celle du Douglas Airview (une compagnie d'avion) datée de janvier 1946, publié par Douglas Aircraft, Volume 13, No.1. et contenant 24 pages. Marilyn apparaît aussi à l'intérieur du magazine (où elle pose en combinaison de nuit pour promouvoir le nouvel avion DC-6 dans un article intitulé "Sky Luxury Showroom"), et d'autres clichés publicitaires seront publiés dans des numéros ultérieurs du magazine de la compagnie plus tard durant cette année là. Les prises de vues de ces clichés eurent lieu à Santa Monica en décembre 1945 par Larry Kronquist. Contrat publicitaire par l'intermédiaire de l'agence de mannequin Blue Book.
Certains clichés furent aussi publiés dans d'autres magazines, comme cette page publicitaire provenant du Time Magazine du 8 avril 1946. Et en moins d'un an, Norma Jean -future Marilyn Monroe- fera la couverture de 33 magazines nationaux américains.
D'après Clark Kidder, un collectionneur de Marilyn, qui publia le livre "Marilyn Memorabilia" - qui est une sorte de guide d'identification concernant tous les produits dérivés et autres objets de collection se rapportant à Marilyn Monroe avec leurs valeurs monétaires, publié chez Krause Publications, Iola, Wis.-: "…le (magazine) Playboy est plutôt facile à trouver, mais le premier magazine où Marilyn en fit la couverture était le premier numéro du Douglas Airview de janvier 1946, un journal interne pour la company industrielle d'aviation Douglas. Ici, Marilyn et trois autres modèles posent par deux couples, vieux et jeune, savourant l'intérieur spacieux du nouvel avion DC-6. (…) Bien que la photo déserve le modèle (Marilyn étant vêtue d'une manière très conservatrice et à moitié cachée dans son siège à côté de son partenaire en premier plan), le magazine fut vendu à une enchère en ligne (ebay pour pas le citer) pour 2100 $."
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satinea · 2 years
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Ce cœur qui haïssait la guerre
Ce cœur qui haïssait la guerre
voilà qu'il bat pour le combat et la bataille !
Ce cœur qui ne battait qu'au rythme des marées, à celui des saisons,
à celui des heures du jour et de la nuit,
Voilà qu'il se gonfle et qu'il envoie dans les veines
un sang brûlant de salpêtre et de haine.
Et qu'il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent
Et qu'il n'est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et la campagne
Comme le son d'une cloche appelant à l'émeute et au combat.
Écoutez, je l'entends qui me revient renvoyé par les échos.
Mais non, c'est le bruit d'autres cœurs, de millions d'autres cœurs
battant comme le mien à travers la France.
Ils battent au même rythme pour la même besogne tous ces cœurs,
Leur bruit est celui de la mer à l'assaut des falaises
Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d'ordre :
Révolte contre Hitler et mort à ses partisans !
Pourtant ce cœur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons,
Mais un seul mot : Liberté a suffi à réveiller les vieilles colères
Et des millions de Français se préparent dans l'ombre
à la besogne que l'aube proche leur imposera.
Car ces cœurs qui haïssaient la guerre battaient pour la liberté
au rythme même des saisons et des marées,
du jour et de la nuit.
Robert Desnos
L'Honneur des poètes - 1943
&
[8 mai 1945 ~ 8 mai 2022]
Ne jamais faillir à notre devoir de mémoire.
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Aujourd’hui, la Russie n’a pas été invitée à la célébration du 8 mai 1945.
Dans un des premiers sondages parus juste après guerre portant sur le rôle des nations dans la défaite du nazisme, en 1945, 58% des participants répondaient l’URSS et 20% les USA ... alors qu’en 2004 le même sondage donnait les résultats inverses: 57% USA, 20% URSS.
Personne aujourd’hui ne peut dire de quoi demain le passé sera fait.
C’est l’une des fonctions de l’idéologie.
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christophe76460 · 2 days
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*Ⓜ️ANNE QUOTIDIENNE* 🥐☕🌭
_Un guide de dévotion journalière_
*MARDI 2️⃣3️⃣ AVRIL 2️⃣0️⃣2️⃣4️⃣*
*📡COURAGE POUR LA DROITURE*
*📖TEXTE: 2CHRONIQUES 15:1-13*
*🔑VERSET CLÉ*
*_«Après avoir entendu ces paroles et la prophétie d'Obed le prophète, Asa se fortifia et fit disparaître les abominations de tout le pays de Juda et de Benjamin et des villes qu'il avait prises dans la montagne d'Éphraïm, et il restaura l'autel de l'Éternel qui était devant le portique de l'Éternel»_(2Chroniques 15:8).*
*✍🏼Martin Spoelstra raconte une partie de l'histoire inspirante et intrigante de la courageuse missionnaire en Afrique, Mary Slesser (1848-1945). “…Mary a senti que Dieu l'appelait à tendre la main à des gens qui n'étaient pas les siens. Elle a donc quitté sa maison en Ecosse pour aller servir les Africains. Au cours de ses voyages en Afrique, cette jeune femme courageuse a dû accepter le fait que même elle avait des craintes… Mary est devenue une avocate des femmes d'Afrique et s'est opposée à certaines pratiques cruelles des Okoyong. Par exemple, les coutumes locales exigeaient qu'une mère de jumeaux soit mise à mort avec ses enfants jumeaux. Mary a sauvé la vie de centaines de mères et de leurs jumeaux. Un soir, Mary a entendu les cris d'une femme Okoyong attachée à des piquets sur le sol. Un homme s'apprêtait à la brûler avec de l'huile bouillante parce que la femme avait donné de la nourriture à un esclave affamé pendant l'absence de son mari. Les lois Okoyong exigent que la femme soit punie pour son offense. Marie courut vers la femme qui criait et se mit entre la femme et l'homme qui tenait l'huile. L'homme a dansé autour de Mary, menaçant de verser l'huile. Malgré l'huile bouillante et la taille de l'homme, Mary a tenu bon. L'homme finit par reculer et la femme fut sauvée ! Mary a sauvé d'innombrables autres vies, et elle a œuvré pour mettre fin aux combats entre tribus et répandre le message du Christ dans toute l'Afrique. En ayant le courage d'affronter ses peurs, Mary a apporté un changement réel et durable à la société et à la spiritualité africaines. Quelle belle façon de vivre sa vie !*
*Asa venait de monter au trône de Juda. Il est monté à une époque où tout le pays semblait avoir été vendu à la corruption. Ils avaient oublié le vrai Dieu et depuis très longtemps, ils n'avaient plus de sacrificateur ou de prophète pour leur enseigner la Parole de Dieu. Mais Asa fut encouragé par les paroles et la prophétie d'Azaria à se tenir aux côtés de Dieu et à entreprendre les réformes nécessaires, car Dieu récompenserait sûrement ses efforts. Asa prit courage et supprima toutes les choses abominables dans son royaume (vs8), ramena le peuple à servir le vrai Dieu.*
*Nous devons comprendre qu'aucun progrès ou développement significatif ne peut avoir lieu nulle part, dans un domaine de notre vie ou dans un secteur de la société si nous ne nous décidons pas à changer l'ordre ancien et à instaurer un jour nouveau. Si nos familles, nos églises et nos sociétés doivent être transformées et jouir des bénédictions et de la faveur de Dieu, nous devons être prêts à faire preuve de courage comme Asa et à éradiquer toutes les pratiques pécheresses et abominables que nous trouvons autour de nous. Pour accomplir des exploits gratifiants comme Mary Slesser, nous devons être prêts à faire preuve d'un esprit de courage et à faire ce qui plaît au Seigneur. Il faut une personne convaincue et courageuse pour défendre la droiture, la justice et l'équité au milieu d'une corruption omniprésente.*
*🧠PENSÉE DU JOUR*
*Joindrez-vous à ceux qui défendent ce qui est droit ?*
*🗃️La Bible en UN AN*
*PSAUME 119:57-176.*
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lonesomemao · 2 months
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CHAMPS FERTILES
Au courrier
CCAS informations nécessaires
Sur mon aide-ménagère
Libelle mensuel de poésie
Avec des ciseaux coupé
Après réflexion je me dis
On découpe la poésie
Pas avec une tronçonneuse
Mais avec des ciseaux
Vengeance de patrons
Schizo Lautréamont
Eux requins bleus de vœux
Je les découpais
Livresques dans Modes et Travaux
Sauf que cette fois-ci en plus
Une grande enveloppe
Couleur Orange
Terre solidaire
Une cuiller de bois
Je quitte l'empire rouge
Moi le dernier sur Terre
Le premier au Paradis
Il est blanc OTAN Occident
Nous sommes toujours dans
Ordre de Malte Les Hospitaliers
Le catholique
8 mai 1945
Capitulation du nazisme
Rems
Mardi 13 février 2024
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lesfrancophiles · 4 months
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philosophes en France
René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français, né le 31 mars 1596 à La Haye-en-Touraine1 et mort le 11 février 1650 à Stockholm.
Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne. Il reste célèbre pour avoir exprimé dans son Discours de la méthode le cogiton 1 — « Je pense, donc je suis » — fondant ainsi le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme. En mathématiques, il est à l’origine de la géométrie analytique3. 
Blaise Pascal, né le 19 juin 1623 à Clermont (devenue Clermont-Ferrand) en Auvergne et mort le 19 août 1662 à Paris, est un polymathe : mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français.
Enfant précoce, il est éduqué par son père. Les premiers travaux de Pascal concernent les sciences naturelles et appliquées. Il contribue de manière importante à l’étude des fluides et clarifie les concepts de pression et de vide en étendant le travail de Torricelli. Il est l'auteur de textes importants sur la méthode scientifique.
Mathématicien de premier ordre, il crée deux nouveaux champs de recherche majeurs : 
À 16 ans, il publie un traité de géométrie projective ;
À 19 ans, il invente la première machine à calculer, la développe, puis présente à ses contemporains sa pascalineachevée ;
À 31 ans, il développe une méthode de résolution du « problème des partis » qui, donnant naissance au cours du xviiie siècle au calcul des probabilités, influencera fortement les théories économiques modernes et les sciences sociales.
Après une bouleversante expérience mystique, le 23 novembre 1654, il se consacre essentiellement à la réflexion philosophique et religieuse, sans toutefois renoncer aux travaux scientifiques. Il écrit pendant cette période Les Provinciales, et les Pensées, publiées seulement après sa mort qui survient deux mois après son 39e anniversaire, après une longue maladie. 
Sa pensée marque le point de conjonction entre le pessimisme de saint Augustin et le scepticisme de Montaigne, et présente une conception théologique de l’homme et de sa destinée, souvent jugée tragique ; la réflexion politique de Pascal, indissociable d’une interrogation métaphysique sur le tout de l’homme, révèle de nos jours son actualité. Le 8 juillet 2017, dans un entretien au quotidien italien La Repubblica, le pape François annonce que Blaise Pascal, chrétien plein d’ardeur pour la défense de l’Évangile, vivant dans la prière et la charité au service des pauvres, « mériterait la béatification » et qu'il envisage de lancer la procédure officielle.
’Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît point.’ ’L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant.’ ’La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent.’
Le Précepteur. Le coeur a ses raisons ...
Jean Paul Sartre
[ ʒɑ̃pol saχtχ]n 1 est un philosophe et écrivain français, né le 21 juin 1905 dans le 16e arrondissement de Paris et mort le 15 avril 1980 dans le 14e arrondissement. 
Représentant du courant existentialiste, il a marqué la vie intellectuelle et politique de la France de 1945 à la fin des années 1970.
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Sartre est considéré comme le père de l'existentialisme français et sa conférence de 1945, L'existentialisme est un humanisme, est considéré comme le manifeste de ce mouvement philosophique. Toutefois, la philosophie de Sartre, en 20 ans, a évolué entre existentialisme et marxisme. Ses œuvres philosophiques majeures sont L'Être et le Néant (1943) et la Critique de la raison dialectique (1960).
Être en-soi et être pour-soi (cf La-Philo) Dans L'Être et le Néant, Sartre s'interroge sur les modalités de l'être. Il en distingue trois : l'être en-soi, l'être pour-soi et l'être pour autrui. – l'être en-soi, c'est la manière d'être de ce qui « est ce qu'il est », par exemple l'objet inanimé « est » par nature de manière absolue, sans nuance, un ; – l'être pour-soi est l'être par lequel le néant vient au monde (de l'en soi). C'est l'être de la conscience, toujours ailleurs que là où on l'attend : c'est précisément cet ailleurs, ce qu'il n'est pas qui constitue son être, qui n'est d'ailleurs rien d'autre que ce non être ; – l'être pour-autrui est lié au regard d'autrui qui, pour le dire vite, transforme le pour soi en en soi, me chosifie.
L'homme se distingue de l'objet en ce qu'il a conscience d'être (qu'il a conscience de sa propre existence). Cette conscience crée une distance entre l'homme qui est et l'homme qui prend conscience d'être. Or toute conscience est conscience de quelque chose (idée d'intentionnalité reprise de Brentano). L'homme est donc fondamentalement ouvert sur le monde, « incomplet », « tourné vers », existant (projeté hors de soi) : il y a en lui un néant, un « trou dans l'être » susceptible de recevoir les objets du monde.
« Le pour soi est ce qu'il n'est pas et n'est pas ce qu'il est » L'Être et le Néant
« Il n'y a pour une conscience qu'une façon d'exister, c'est d'avoir conscience qu'elle existe »
« En fait, nous sommes une liberté qui choisit, mais nous ne choisissons pas d'être libres : nous sommes condamnés à la liberté. »
« Les objets sont ce qu'ils sont, l'homme n'est pas ce qu'il est, il est ce qu'il n'est pas. »
An-sich-sein - unbewußtes, sich seiner selbst nicht bewußtes Sein ?Für-sich-sein - bewußtes Sein, offen, mit ’Leerstellen’ ?Für-andere-sein - Meinung, Interpretation, Projektion, Beeinflussung ?
’L’existence précède l’essence.’
la mauvaise foi ’La mauvaise foi ... est l’envers de la liberté, comme le mensonge est l’envers de la vérité.’
’L’existence du monde comme celle de l’homme sont absurdes.’
L'histoire de Sartre Cyrus North
Simone de Beauvoir
Albert Camus
BHL Bernard Henry Levi
La nouvelle philosophie
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Michel Foucault
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claudehenrion · 4 months
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La grande muette : l’Eglise.
La France bruisse de rumeurs de ''ras-le-bol''. Elles sont partout et peuvent faire craindre le pire, toute révolution n'ayant jamais apporté que des pleurs et des grincements de dents. Un lecteur –dont je ne sais rien d'autre que le titre (prestigieux) et le nom-- me fait parvenir un texte qui devrait intéresser beaucoup d'entre vous, amis-lecteurs. Dans notre tradition d'ouverture, je suis heureux de l'accueillir. En ces temps où les crèches et les ''nativités'' sont pourchassées et interdites par les cons, et où les progressistes-au-pouvoir vont recommander le suicide comme solution aux problèmes qu'ils fabriquent, il faut appeler ''chat'' un chat ! Soyez le bienvenu, mon Général .
''Quand j’étais enfant, pendant la messe, mon curé montait en chaire pour son sermon qui comportait toujours un volet ''séculier''. Il évoquait la vie locale, quitte parfois à être un peu intrusif, et la vie nationale sur les grands sujets du moment. De sa position dominante, le prêtre appliquait ses leçons de morale chrétienne à la vie de ses paroissiens. Il n’y avait pas besoin d’avoir un esprit fin et délié pour tenter d’en traduire l’application à ce que le pécheur vivait. Le curé parlait ''cash'', comme on dirait maintenant... et même pendant l’occupation du pays par les Allemands, certains dimanches, il tenait des discours qui faisaient craindre pour sa sécurité. Il n’était pas un cas particulier, et il était courant, admis, attendu, que les prêtres se comportent ainsi. On attendait, parfois on appréhendait, le sermon du prêtre que certains trouvaient même un peu trop bavard et impliqué. Ce n’est plus le cas depuis longtemps et ce n'est pas un bon point ! En ces temps ''bénis par certains côtés'', le christianisme n’avait pas de concurrent sérieux sur le continent européen, sauf d'atroces doctrines en ''-isme'' dont tout le monde souhaitait la mort...
On a ensuite fait descendre les curés de leur chaire, et ils sont ipso facto devenus moins audibles, malgré des progrès techniques que leur offrait une sonorisation qui, croyait-on, ne rendait plus nécessaire de s’élever pour se faire entendre. C’était l’époque où l’église, acharnée de fausse humilité et en recherche de démonstrations de misérabilisme, avait déjà le désir de se fondre dans une masse qui, ayant changé de composition, lui était devenue étrangère. Mais des ''on'' avaient peur que la position dominante du prédicateur puisse faire croire que l’Eglise cherchait à manifester sa domination sur l’auditoire, ce qui semblait insupportable dans ces moments où commençait à être rejetée toute autorité, même morale. Le déni de soi a frappé nos curés, comme les instituteurs qu’on a descendu de leur estrade : devenus ''presque comme tout le monde'', ils n’impressionnaient plus grand monde.
Les curés sont donc descendus à hauteur des fidèles et depuis... ils n’ont plus rien à dire. Même lors de fêtes dites patriotiques, les allusions en rapport direct avec la commémoration de l’événement sont rares, et expédiées en quelques mots bien timides. J’ai entendu, il y a quelques années, lors de la cérémonie commémorative du 8 mai 1945, un prêtre déclarer que la violence ne règle jamais rien... alors qu’il rendait hommage aux victimes du nazisme qui ne put être abattu que par la violence. Seules les cérémonies d’obsèques ont, pendant un certain temps, échappé à la règle, qui veut des ''prestations'' désormais interchangeables : la même messe à Dieppe qu’à Carcassonne, une messe ''prête-à-porter'' , déconnectée du réel. rentrée dans le rang. C'est une mauvaise nouvelle de plus.
Bien sûr, la messe n’est pas une tribune politique, c est d’abord et avant tout un acte religieux dont la liturgie est le cœur. Les évangiles traitent certes de tous les aspects de la vie, mais leur sens restera obscur pour beaucoup s’il n’est pas explicité, traduit en termes clairs, appliqués au monde d’aujourd’hui, pour rendre accessible à tous les choses qui peuvent être dites des choses qui doivent être dites. Ce devrait être le rôle du prêtre, comme l'exerçait le célèbre Père Boulad, ce prêcheur enflammé, jésuite melkite égyptien connu pour ses prêches ''musclés'', bel exemple à imiter de toute urgence...
Pendant une période assez longue, cette déconnexion entre l’acte religieux et la vie terrestre a été sans grande importance. Mais depuis la constante progression de l’Islam en terres chrétiennes, ce mutisme de l’Eglise devient de plus en plus étonnant, à en être assourdissant, incompréhensible. Les imams n’ont pas ces pudeurs et n’hésitent pas à haranguer leur auditoire, exaltant, par exemple, la résistance à l’emprise sociétale du pays dans lequel ils ont pourtant choisi de vivre... quand ils ne font pas carrément appel au djihad, à la guerre contre les insoumis, c’est-à-dire contre tous les non-Musulmans, Juifs et Chrétiens en tête. Ils ont une grande chance, car les textes de l'islam sont essentiellement des appels au combat pour conquérir le monde par la conversion, la soumission ou la mort des infidèles. Et tout imam peut, comme récemment celui de Beaucaire, dire qu’il n’appelle pas personnellement au meurtre en citant des versets du Coran, puisque c’est Allah qui parle.
En face rien, ou presque. Des prêtres ''taiseux'', armés de textes humanistes ne prêchi-prêchent que l’amour de son ennemi. La partie n’est pas égale. Pourtant l’opposition aveuglante entre les textes religieux chrétiens, pétris d’amour de l’autre, et les textes islamiques, chargés de violence à toutes les pages dès qu’il s’agit des autres, autorisent des comparaisons (on dirait de nos jours : de la ''publicité comparée''). Une telle pratique serait utile à tous : à destination des musulmans si possible (même si son efficacité serait marginale, tant cette collectivité est déjà encadrée, soumise)... mais à destination des chrétiens, qui ne sont pas conscients de ce qu’ils vont perdre.
L'alternative est claire, et nous la voyons à l’œuvre, avec les dégâts qu'elle entraîne : faudra t-il se résigner, comme font les témoins de Jéhovah, qui refusent toute violence quelles que soient les circonstances car Dieu s’occupera de tout, à la fin des temps ? Faut-il s’en remettre à l'Etat, dont l’obsession laïcarde s’égare en discours vains, et qui est incapable d’endiguer l’invasion en cours ?
Toutes les civilisations n'ont pu naître que adossées à une religion. La nôtre est issue de 60 générations imprégnées de christianisme. Elle est menacée par une autre qui ne la vaut pas, à nos yeux en tout cas. L’Eglise ne peut pas se contenter de regarder passer le train. Elle doit parler. Elle dispose pour cela de milliers de bouches qui sans doute ne demandent qu’à être autorisées à le faire. Il nous faut une Eglise de combat. Mais est-ce un espoir raisonnable, avec le pape François ?
Signé : Général (2S) Roland Dubois
PCC, H-Cl.
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