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#delfraissy
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Fraude sur les mots, fausse science et fascisme postmoderne… deux ou trois mots sur l’idéologie du point de vue de la psychanalyse
Lorsque Nicolás Gómez Dávila écrit: «La science nous trompe de trois manières: en transformant ses propositions en normes, en divulguant ses résultats plutôt que ses méthodes, en passant sous silence ses limitations épistémologiques», il parle de la science d’avant, une science "baconienne" certes trompeuse mais dont la réfutabilite était de structure (cf. Karl Popper: "il n’y a de science que réfutable"), mais une "science" non encore passée par la moulinette idéologique de "l’innovation technologique" postmoderne, qui en pervertit radicalement la structure, ce qui se traduit en termes de logique borroméenne par: passer du statut SIR (la science Symbolise ce qu’elle Imagine du Réel) au nœud RSI caractéristique de la religion (la religion Réalise le Symbolique qu’elle Imagine)…
Qu’est-ce que ça veut dire?
La "vraie" science revendique la rigueur de sa méthode qui s’appuie d’abord sur des faits consciencieusement répertoriés, ("table des présences" de Bacon, qui implique un primat du Réel sur le Symbolique dans l’observation et la collecte des données…), puis la logique consiste à rapporter les dits faits dans un ordre qui permet d’en tirer les conséquences mesurables donnant lieu à des anticipations. Le réel est a priori visé, cerné, décrit par le symbolique. Aujourd’hui, avec l’arrivée de la "fausse science" charriée par le discours dominant (Discours Capitaliste dans son acception stricte lacanienne) la plupart de ceux qui sont présentés comme des "scientifiques" s’appuient a priori sur des modélisations mathématiques, des calculs de probabilités qui leur confèrent une "imaginarisation du réel" auxquels ils croient et ils demandent "à tout le monde" de croire comme si c’était "la réalité"... à venir! Pour un véritable esprit scientifique, il n’y a rien de plus anti-scientifique que cette procédure invertie. Le réel est évacué, il reste seulement du symbolique détrempé d’imaginaire, autrement dit du fantasme, homologue au plan de la structure, à la mousse religieuse… Qui croit "les professeurs" Delfraissy ou Fauci comme à des prophètes? Réponse: les sujets pris dans le discours courant…
Rappelons ici que c’est suite à une note confidentielle du mathématicien universitaire modélisateur Neil Ferguson prévoyant un demi-million de morts en France, parvenue le 12 mars 2020 au président Macron, qu’un confinement généralisé fut décidé le soir même...
On sait depuis lors que c’est ce même Neil Ferguson (devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements) qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre britannique Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante). En 2002, l’expert Neil Ferguson calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eut en réalité 177. En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eut au total 457. (C’est ce même genre de "raisonnement" qui fait conclure à l’Intelligence Artificielle qu’il faut une infirmière pour quinze lits, ou qu’un résident en Ehpad doit manger pour 4,57€ par jour. )
Le sujet postmoderne, formaté par soixante-dix ans de l’idéologie qui a accouché du "numérique", devrait être averti qu’il n’existe aucun bouton "réinstaller les réglages d’origine" ou "restaurer le système" en cas de nécessité ultime.
Le système immunitaire naturel fonctionne selon le principe que toute récupération confère l’immunité et aura renforcé le sujet dans l’épreuve, ainsi en est-il de l'espèce qui devient plus forte. L’être peut s’enorgueillir d’un milliard d'années de perfectionnement biologique, et depuis le petit million et demi d’années que l’homme est arrivé sur Terre, c’est ce qu’il fait, les animaux ayant commencé avant lui.
Une politique réfléchie et responsable de santé publique aurait isolé les quelques uns qui risquaient de mourir suite à l’infection virale et aurait laissé l’immunité faire son travail, la récupération offrant toujours de loin la meilleure sécurité immunitaire, pareil pour toutes les mutations.
Ce n’est pas la médecine qui a inventé la santé, encore moins l’ascience. Quant aux politiques… faire confiance à un gouvernement pour "éradiquer un virus", a-t-on déjà entendu proposition plus délirante? Évacuez les intérêts de l’industrie pharmaceutique de l'équation, et vous verrez que les choses se présentent avec une certaine logique: ne pas se faire tester sauf en cas de symptômes précis, l’attraper quand on n’aura pas pu faire autrement (ce n’est pas dans le "moi" que ça se décide…) et le surmonter.
Voilà ce qu’un "président" sain aurait pu dire à un peuple sain. Les peuples ont le gouvernement qu’ils méritent…
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claudehenrion · 1 year
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Les vrais dangers qui nous menacent
  Perdus et éperdus entre les crises prétendues sanitaires, en réalité inventées, et celles, dites sociétales --tout aussi factices et fabriquées-- qui assassinent toute vie en société... entre la guerre russo-ukrainienne télécommandée et nos gouvernants dont le progressisme détruit (et pas pour du mieux) ce qui n'a pas besoin de l'être... entre une ‘’migration’’ jamais vue dans l'histoire et qui, pour la première fois, se revendique ''de substitution'' (ce qui est nié, contre toute évidence, par la ''bien-pensance’’ assassine)... et, donc, des idées maso-mortifères  --mais absurdes-- qui s'imposent partout et contre toute intelligence... nous imaginions avoir vu le pire... 
Que nenni ! je suis tombé, le week-end dernier, sur un article qui m'a ouvert les yeux –jusque là ''grand fermés'' : toute une catégorie d''experts'' sans nul doute compétents, en deux mots comme il se doit, s'agissant de cette confrérie (idem) si envahissante, a ou ont décrété, ''tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais'', l'arrivée d' ''un grand bouleversement astrologique qui va tous nous toucher''... Depuis, vous n'imaginez pas ''dans quel état j'erre'', entre panique, affolement, frayeur, effroi, inquiétude, voire... crainte et tremblements, pour faire croire que je lis Kierkegaard... C'est que, démontrait cet article avec une rigueur exactement scientifique (on croirait du Delfraissy ou du Fischer, c'est tout dire !) : ''En ces temps de mensonges et de crise, il est temps de prendre conscience que 2023 sera une année ponctuée de hauts et de bas'' (sic ! Ça, c’est une vraie bonne nouvelle !), même si certains astrologues/logistes illogiques ajoutent : ''...en fonction de la position des planètes'', sur laquelle notre influence, on peut le dire, est réduite ! (NB : la gravité du sujet justifie un texte un peu plus long. Pardon)
Chers Amis-lecteurs, je suis particulièrement fier de contribuer à votre salut, en vous informant illico sur les dangers épouvantables qui vous attendent, puisque ''Un homme ou une femme averti en vaut deux'' : à deux, il est plus facile de prendre la célèbre position ''de la tortue'' pratiquée dans les armées romaines et les livres d'Astérix... Car ce qui est certain, c'est que, comme le disait à peu près la Fontaine dans ''les Animaux malades de la peste'', ''nous ne mourrons pas tous, mais tous serons frappés'' : la racine du mal qui nous menace est d'une autre tessiture que nos habituels variants variés, flanqués d'une lettre grecque : ici, c'est du lourd,...
Après deux années dans le signe du Verseau (ce qui fait de lui le seul coupable du confinement ?), Saturne a rejoint, le mardi 7 mars 2023, le signe du --ou des-- Poissons dans lequel il va rester près de trois ans. Or les vrais ''Experts'' (dans le genre des ''médecins de plateau'' et les généraux 2R à la retraite qui empoisonnent nos soirées en charentaises devant la ''télé''), précisent bien que cette planète a une grande importance car, contrairement à la Lune par exemple, elle se déplace très lentement et son influence ne se limite donc (?) pas à l'humeur et aux actions des signes astrologiques : ''elle a une réelle influence sur les énergies globales du monde et sur la société dans son ensemble''. Je vais vous expliquer tout ça, ou plutôt je vais essayer de décrypter l'imbitable volapük des dits (et dix) ‘'experts'’.
Suivez-moi : ''pendant les 2 années où elle était encore en Verseau, Saturne avait pu réactiver certaines peurs et angoisses au niveau collectif.'' (NB : ça commence fort, et ça en rappelle, des souvenirs récents !). Les valeurs de sécurité –''que représente Saturne'', tout le monde sait ça-- et de liberté (''du registre du Verseau'', elle, cqfd) ont pu entrer en conflit. Mais voilà que Saturne entre en Poissons, ce qui pourrait être synonyme de "sobriété" (il n'y a plus d'essence ? plus rien dans les rayons des hypermarchés ? la viande est trop chère ? C'est la faute aux Poissons !) et de ''prises de conscience liées aux grandes questions actuelles : l'économie, les problèmes climatiques''.... Donc (?), précisent les ''experts'' (aussi garantis SGDG que ceux qui blatèrent n'importe quoi à propos du covid ou de l'Ukraine), ''Saturne, qui structure et encadre, pourrait permettre de concrétiser des rêves et utopies des Poissons''. (je vais derechef et d'heureux-chef demander à mon cher poisson rouge quels sont ses rêves !). Et ils nous rassurent (Ouf ! On n'en pouvait plus !) : ''Des grands voleurs et menteurs pourraient être démasqués'' et ''plus de clarté pourrait être apportée sur de grandes questions, des rumeurs ou des théories''... . (Tremblez, ô Ministres improbes... Craignez la justice astrale, ô accusateurs sans cause des ''complotistes'', ô suspendeurs en suspens des ''suspendus'' pendus, ô confineurs masqués de nos heures de grande solitude sans aucune sollicitude...).
 En français vernaculaire, ce galimatias devient : ''le confinement était inscrit dans les astres (?), et nombre de français ont cru que le drame covidique annoncé était vrai... On s'est foutu de leur gueule en les terrorisant et en leur mentant effrontément... Mais une prise de conscience est en cours (Macron, Véran, et autres coupables... ''traversez donc la rue'' et changez de job, avant qu'il ne soit trop tard !)... et l'impunité actuelle des menteurs sériels ne durera pas toujours... car on voit revenir en pleine lumière des vérités qui étaient dites ''complotistes'', au temps où Big Brother régnait. Quant aux pénuries, c'est la faute aux Poissons !)''.
Si on pense au mal que se sont donné nos gouvernants pour faire croire que tout français qui ne croit plus à leurs balivernes et à leurs énormités serait ou est un ''complotiste'' (dont le nombre total atteindrait donc 70 à 80 % de la population, puisque seul un tout petit 20 %  (les myopes, les aveugles, les têtus...) ose encore dire croire aux bobards que nous imposent les soi-disant ennemis du mot complot, qui sont en réalité ceux qui ont inventé le concept, et ils le pratiquent ''non-stop'').     Or, sans que personne ne nous ait prévenus et sans même s'auto-signer une ''Autorisation dérogatoire d'aller faire pipi'', Saturne entre en Poissons, en ce moment-même. L''heure est grave. Il faut le répéter avec l'accent du même nom : ce bouleversement astro et logique va tous nous toucher, de près ou de près...
Mais c'est là que ça se corse, comme disait Napoléon : si la planète Saturne a une influence sur le zodiaque, elle a également un impact sur chaque signe astrologique, donc sur le vôtre et sur le mien, aussi ! Tout dépend de sa position. ‘’Saturne, synonyme de sagesse et de rigueur, représente le travail, les contraintes, le cadre et la confiance en soi (donc : sagesse et rigueur = travail et contraintes ? Vive la folie et le n'importe quoi, alors !), et ''lorsqu'il était dans le signe du Verseau, il a donc permis aux Gémeaux, au Bélier et au Sagittaire de se débarrasser de ce qui ne leur convenait plus'' (je ne vois pas le rapport...sauf ‘’Ben voyons...’’ !). ''En revanche, il a pu être frustrant pour le Lion, le Taureau et le Scorpion, ces deux dernières années'' – trois bestioles qu'il est sage, pourtant, de ne pas trop ''titiller''.
Et voilà que tout-à-coup, ''en entrant dans les Poissons, il permet au Cancer, au Scorpion, au Taureau et au Capricorne de se structurer et de poser les fondations de leur futur''. Attention néanmoins aux Poissons (d'élevage et de pleine mer), à la Vierge (qui joue les Sainte Nitouche) et au Sagittaire, (ça, c'est moi, entre autres) qui risquent de  s'empêtrer dans des situations floues ou fausses (c'est déjà fait depuis longtemps, pour moi ! Et pour la ''révolte des retraites'' aussi). ''Pour les trois prochaines années il va falloir clarifier et concrétiser'' ! (NDLR : ça, c’est concret).
En 2023, précisent les horoscopes, ''les planètes vont offrir des opportunités à tous les signes du Zodiaque'' (je suis bien content, car personne ne s'y attendait !). ''En fonction de la position des astres, des influences positives toucheront les signes astrologiques, et des énergies plus difficiles à vivre pourront également impacter le quotidien des signes'', ce qui est clair comme de l'eau de roche, non ? Les mêmes ajoutent : ''Pas d'inquiétude : il s'agit simplement d'influences qui nous forcent à nous remettre en question et déterminer ce qui est réellement bon pour nous''... ce qui est encore plus limpide ! 2023 est donc une grande année –tout le monde l'avait compris, ''s'pa ?''-- qui inaugure un nouveau cycle de 22 ans (Chic ! J'aurai 110 ans, pile ! A moi, les petites anglaises !). Pourtant, cette nouvelle position (comme dit le Kama-Soutra), qui annonce un changement de vie pour le Verseau, suscite des inquiétudes pour les Poissons, du côté finances (Aïe ! Pauvres pêcheurs bretons !) et aussi –ce qui n'est pas sympa-- une  fatigue pour le Sagittaire (NB : Pourquoi lui ? J’ai pas envie ! c’ pas juste)
Mais ce n'est pas tout : ''La planète Pluton a passé près de deux décennies dans le signe du Capricorne qu'elle a enfin quitté le 23 mars 2022. Cet astre a rejoint le signe du Verseau dans lequel il va faire quelques allers-retours tout au long de l'année (si RER-B et SNCF ne sont pas en grève) et va s'y installer définitivement en 2024''. Les mois qui viennent vont donc être riches en bouleversements et en changements inattendus pour le Verseau. Sa vie sentimentale (du Verseau, pas de Pluton ! 'Faut suivre, quoi !) risque d'être secouée, surtout entre le printemps et l'automne à cause d'une opposition à Vénus. (dont je me demandais, justement, où elle était passée ! Ouf !). Devant ce déferlement de forces –chtoniennes à en être ‘’mélenchtoniennes’’-- autant se jeter dans le grand bain... et serrer les dents. 
Je vous avais prévenus : il s'agit là de l'un des bouleversements les plus importants dans nos vies.  Nous sommes devant le changement le plus iso-tellurique qui puisse frapper l'humanité, et il n'est pas dans notre pouvoir d'échapper à cette grande faux du destin... Et que tout ça soit... ‘’tout faux’, justement, n'est pas grave, mais ça valait bien de rigoler cinq minutes... on n'en a pas si souvent l'occasion, par les temps qui courent... pour éviter les grenades lacrymogènes et les coups de Tonfa ! Ste Soline, priez pour nous !
H-Cl
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memitodu29 · 4 months
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Révélations de Delfraissy • 49-3 • Israël - Gaza : NDA62 !
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mongolitofragola · 5 months
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Ça chauffe : le Pr Delfraissy balance Véran !
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jakez19 · 5 months
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th-steen · 5 months
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yespat49 · 5 months
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Delfraissy ouvre le parapluie : «Nous nous sommes trompés sur le vaccin en disant qu’il protégeait contre la transmission»
Il reconnait donc que les complotistes avaient raison, tout comme toutes les études scientifiques publiées au moment où Macron imposait l’injection à de nombreux français qui se voyaient en même temps gratifiés du virus cancérigène du singe vert sv 40. Continue reading Untitled
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zehub · 1 year
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Jean-François Delfraissy salue le "travail remarquable" de la Convention citoyenne sur la #findevie
Jean-François Delfraissy, président du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), est l'invité du Grand entretien de France Inter. Il revient sur la Convention citoyenne sur la fin de vie qui a rendu son avis dimanche et sur le discours d'Emmanuel Macron de lundi.
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blog59-world · 1 year
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Incroyable : le Pr Delfraissy balance tout ! (direct)
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kindafondawanda · 2 years
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Laurent Delfraissy
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«Est-ce que ces nouveaux vaccins mRNA ont des effets secondaires?
La réponse est oui.»
Pr Delfraissy
Président du Conseil scientifique opérationnel pendant la crise Covid (nexus.fr)
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claudehenrion · 2 years
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Progressisme ( II ) : les rejetons maudits d'une doctrine perverse
   Comme nombre des fausses avancées / vraies régressions qui désaxent notre temps, la faute initiale remonte à une croyance en la pérennité des idées ''des lumières'', certes remarquables en leur temps, mais que les progrès de la science ont toutes rendues caduques. On répète ''plus rien n'est comme avant'', mais on conserve leur cadre rigide qui paralyse l'esprit, interdisant ainsi au ''progrès'' de s'épanouir. ''Tout faux !''. Certes, la définition du progressisme a légèrement varié au fil du temps, mais depuis le début du xxe siècle, les idéologues progressistes croient que des politiques publiques peuvent conduire à un changement social positif (nous avons cité hier les plus catastrophiques), fut-ce contre la volonté des peuples, qui DOIVENT être guidés ''vers la lumière'' (sic !). Sans même nous en rendre compte, nous voici enfermés dans une ''maladie infantile du gauchisme''.
Le mot ''progressisme'' désigne un éventail de groupes de pression divers, pas toujours unis mais qui ont en commun de croire que les grands problèmes auxquels la société est ou serait confrontée (lutte des classes, cupidité, corruption, pauvreté, racisme ou violence), pourraient être supprimés par une action gouvernementale...  ce qui a été démontré faux, depuis : un gouvernement complique tout, rend tout insoluble, et dépense beaucoup d'argent pour des résultats asymptotes à zéro... Car il ne faut pas oublier les ravages qui ont été commis au seul nom du ''progressisme'', ciment des forces qui soutinrent l’URSS stalinienne après 1945. 
 Le camp dit ''progressiste'', à l’époque de la guerre froide, était le camp des communistes (par opposition au camp américain, par eux dit ''réactionnaire et colonialiste'').Et en 1949, pour le 70e anniversaire de Staline, Malenkov voyait en ce monstrueux dictateur ''le guide de l'humanité progressiste'', ce qui devrait en faire réfléchir certains : les communistes occidentaux et leurs salopard-issimes de ''compagnons de route'' se disaient ‘’le camp progressiste’’. Il y eut même une ''science progressiste'' (animée alors par Lissenko et ses sbires... et de nos jours par Véran, Delfraissy et les leurs !) et une ''culture progressiste--galerie d'horreurs’’.
Et puisque nous avons cité les énormités qui ont fait de la ''crise du covid'' un sujet de fou-rire pour les générations futures (s'il y en a... car ils semblent vouloir gérer la ''crise ukrainienne'' de manière tout aussi ''progressiste'', ce qui ne peut déboucher que sur des catastrophes...),on sait aussi que les domaines où nos progressistes au pouvoir vont pouvoir se déchaîner en malfaisance sont liés à ce que Hollande désignait par ''lois sociétales'' (traduction en français : ''qui ravagent tout, à jamais'') : les lois scélérates sur la filiation, le feu nourri des partisans de ''l'inclusion'', la volonté de la maîtrise par l'homme de l'heure et des circonstances de la mort de chacun, qui doivent ''impérativement'' (?) être repris en main sur des bases ''progressistes'' (Tout cela est terrifiant ! J'aimerais être mort, pour éviter ça !).
1- Commençons par la filiation : tout ou presque a été dit sur les raz-de-marée d'insanités que déversèrent la Agnès Buzyn et  leJean-Louis Touraine (si d'autres intervenants ont aussi proféré des monstruosités, aucun n'a atteint un degré de ''vis comica'' comparable à ces deux clowns !). Il faut psychanalyser leurs motivations, derrière leurs imbécillités. Par exemple, pour un progressiste, il n’y a pas le moindre déterminisme dans la procréation, puisque le sexe (garçon ou fille) ne serait, à ses yeux, que ''un genre'', que l'on peut décider, modifier, ou faire évoluer ad libitum. Et, disent-ils, ''la preuve que votre ''le naturel'' est le reflet d'une charge émotionnelle, morale et sociologique, c'est qu'aucune époque avant la nôtre ne s'était engagée dans la disqualification de tout lien naturel'' (comme aurait dit Madame Michu, ''Quand même... Faut oser'' !). Dans la ''logodiarrhée'' progressiste, ''une intention morale donne la naissance... que l'acte de procréation rend possible...'', ce qui explique (?) que, pour ces idiots dangereux pour l'humanité, ''Le Père peut être une femme, un oncle, une grand-mère''  ou une autre entité (sic !)'' , comme osait l'éructer la Buzyn. (Vous avez suivi ? Moi, j'ai compris que... ''Plus con qu'eux, tu meurs''!). Pourtant, notre Président-progressiste a récompensé cet assassinat de toute intelligence par une légion d'honneur sans majuscules : tout est permis, pour casser quelque chose qui marche vraiment bien, depuis... la nuit des temps !
2- Autre folie mortifère : l'inclusion. Les avatars du marxisme sont partout, dans notre monde en voie possible d'explosion terminale, protégés par des nécrophages nostalgiques de l'horreur, et le vocable ''inclusion'' est un synonyme (pour eux !) de ''Le Bien... mais en mieux’’ : ils disent qu'une chose est ''inclusive'' pour dire qu'elle est ''bonne''. Il n’est plus discuté que la destruction du sens des mots, comme le Novlangue dans ''1984'', est et reste le moyen d'action préféré des progressistes : l'inclusion, ce n'est plus tel ou tel élément isolé qui doit s'adapter au groupe, c'est tout groupe qui doit se fondre dans n'importe quel élément, sans autre raison que ''puisqu'on vous le dit'' ! Et si la multiplication de ces adaptations dites nécessaires rend l'exercice impossible, ''demerden Sie sich'' comme on ne dit pas en allemand !
L'inclusion est la mort de toute ''norme'', et elle précède en cela la mort de l'homme. ''Mort, où est ta victoire ?'', demandait Saint Paul (Cor. 2, 15). La réponse est  maintenant connue : la mort de toute civilisation, donc de l'Homme, se trouve dans le progressisme et l'inclusion... ce qui est déjà très grave, mais devient odieux si on réalise que toute pensée dite ''inclusive'' (c'est-à-dire : bonne pour les seuls progressistes, mais effroyable pour tous les autres humains) ne peut exister que sous-tendue par un besoin frénétique de condamner, d'ostraciser, d'assujettir : l'inclusion ne peut exister qu'à travers et dans l'exclusion de tous ses opposants, réels ou potentiels. Un exemple ? Le 5 janvier dernier, notre Président-progressiste (qui se pique d'être ''inclusif'') a rejeté en des termes orduriers tous les français (''ses ouailles'' !) qui ne se plient pas à ses désirs les plus fous (et qu'ils ont raison de refuser, dans ce cas précis !). On pourrait donc ajouter que l'inclusion, outre qu'elle est exclusive, limitative, anti-transgressive par ses excès de transgression, et sélective vers la non-sélection, est violente : En résumé : ''tout le monde, il est beau et il est gentil... mais ceux qui ne sont pas d'accord, je les emmerde !''. Encore une de ces idées chrétiennes que GK.Chesterton disait devenues folles en ressortant du Purgatoire où la Gauche les avait enfermées...  en les ayant fait passer de ''bonnes'' à ''mauvaises''. Comme... tout le reste !
3- Dernier sujet : l'euthanasie... sujet qui devient peu à peu inutile : de plus en plus souvent, les soins palliatifs permettent aux grands malades de mourir à peu près sans souffrances. Mais il refait surface. Pourquoi ? Ce n'est bien sûr pas un soulagement des malades dont il s’agit, mais le besoin pathologique d'établir que le droit de vie et de mort appartient à la ''Res Publica''. On fait croire qu'il sera entre les mains de médecins --dont on croyait qu'ils avaient vocation à guérir, pas à assassiner, même en conformité avec une loi scélérate de plus. Dans leur immense majorité, ils refusent l'éventualité d’être la main du suicide assisté (ou celle, tout aussi horrible, qui tue un bébé vivant et parfaitement viable dont la mère a un doute, soudain). Imaginez un monde où la ''blouse blanche'', respectée et souvent admirable, planterait la seringue de la mort... uniquement parce que le ''progressisme'' mortifère aura décidé que c'est un ''progrès'' (Sont-ils fous, idiots ou criminels ?), et qu'il faut donc imposer cette horreur à notre pauvre humanité.
A l’opposé, un Théodore Roosevelt, Président des Etats-Unis (1901 -1909)  disait qu'il avait "toujours cru que le progressisme sage et le conservatisme sage pourraient un jour aller de pair !''. Mais ''Teddy'' Roosevelt, ‘’ami du progrès’’, était républicain... et intelligent, lui ! O tempora, o mores (traduction libre : ''Avant, c'était tout de même mieux !''). En France, pour qui a vécu la passation de pouvoirs de Macron à soi-même, le progressisme consiste à se faire la bise et à se papouiller les bajoues, même entre hommes, sous les lambris dorés des palais nationaux...
Mais dites-donc, les mecs... la pandémie, la transmission, les gesticulations dites''barrière'' et tout l'attirail que vous brandissez pour nous terroriser, ils sont où ? Je vais vous le dire : c’est réservé aux ''pauvres cons'', ceux qui paient mais sont confinés dans leur 75 m². Dans les palais de la nouvelle aristocratie (vous savez, les ''de Gauche'', grande famille dont les titres de noblesse remontent à 1793 !). Comme le chantait si joliment Jacques Brel, ''Faut vous dire, Monsieur, Que chez ces gens-là, On n'vit pas, Monsieur, On n'vit pas, On triche ... et, ajoutait-il : on compte... mais on n's'en va pas !. Mais enfin... on est progressiste ou on n'est pas ! Et chez nous, ''être progressiste'', ça se résume un peu à autoriser l’avortement jusqu’au neuvième mois (une idée-force de la mandature ''Macron Ier'') et à son prolongement-antidote logique, la légalisation de l’euthanasie, beaucoup moins coûteuse que les soins palliatifs, pour mettre la totalité de l’existence humaine sous l'autorité de l'Etat-Léviathan et de ses sbires cooptés... En d'autres termes : tout et n'importe quoi, pourvu que ce soit en rupture avec ''avant'' ! On n'en est pas sortis !  
Sérieusement, et sans être méchant (ou alors... un tout petit peu...), imagine-t-on De Gaulle filer une pelle à  Malraux... ou à Couve de Murville ? Alors...  devant ce spectacle affligeant, il m'est revenu une autre pépite de la chanson française : le ''tube'' de Starmania chanté par la charmante Fabienne Thibault : ''On se caresse, on se cajole... On se comprend, on se console''. Et le vieil homme démodé que je suis a vite fait une petite prière pour que le reste des paroles, ''On dort les uns contre les autres, On vit les uns avec les autres'' me soit épargné un peu de temps encore ! Et dire qu'on trouve des français qui arrivent à se réjouir, à souscrire, et à espérer, encore ! Mais sur quels critères jugent-ils le ''méga bordel'' ambiant ? Le progressisme ? Ah ! Non, merci : on a déjà donné ! Trop. Et le Titanic s'enfonce...
H-Cl.
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memitodu29 · 4 months
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Di Vizio dépose plainte contre Delfraissy + élément contre Véran !
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mongolitofragola · 5 months
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Révélations Delfraissy: les non-vaccinés doivent-ils demander des excuse...
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ezechiel5172 · 2 years
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