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#curiosités
philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2012. Marseille à Noël. En alternance, une étrange boutique rue Edmond Rostand et le Marché des Santons
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biereetboutades · 7 months
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Voyage Espagne 2023 - Jour 5 : Montblanc et Cambril
Nous restons dans les vieilles pierres aujourd’hui encore avec le village de Montblanc. Rien à voir avec les Alpes, ni avec la crème au chocolat. C’est une ville fortifiée qui possède encore ses remparts tout autour de la ville. Au centre, c’est un mélange de bâtiments de toutes les époques.
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On fait déjà le tour de la ville en suivant les remparts puis nous déambulons dans les petites ruelles. Il y a plusieurs grandes places, des fontaines, des églises et des places fortes. Et puis il y a la légende du dragon. Et on dit merci Google lens trad parce que sinon je serai toujours à me demander c’est quoi le délire avec les dragons dans ce patelin. 
Depuis longtemps, un dragon terrorisait les environs de Montblanc. Il dévorait les animaux jusqu’au point de menacer un jour l’intégrité des habitants de la ville. Pour éviter que la bête n’attaque, on décida de lui livrer un habitant, tiré au sort parmi la population, et ce y compris la famille royale. Le destin voulut qu’un jour ce soit la princesse qui fut désignée. Alors que le dragon s’approchait d’elle pour la dévorer, un cavalier apparut et frappa le dragon à mort : c’était Saint-Georges. Un rosier de roses rouges poussa là où s’était répandu le sang du dragon. Depuis, la tradition catalane veut que les hommes offrent une rose rouge en cadeau à leur bien-aimée.
Voilà pour la version courte. J’ai vu le chevalier, par contre j’ai pas vu le dragon.
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Nous sommes ensuite montés au point de vue dominant la ville et les alentours. Puis nous sommes descendus par les petites ruelles.
Quand soudain, à 12h pétante, des coups de canons retentirent, puis des feux d’artifice. On s’est dépêchés d’aller vers l’origine de tout ce boucan : la place principale. Et là une procession se préparait avec une fanfare, un cheval doté de tambours sur lesquels sa cavalière tapait. Suivaient des enfants coiffés de têtes énormes et horribles, et, en queue de cortège, deux immenses effigies du roi et de la reine portés par deux hommes. J’ai rien compris, c’était flippant, on a été boire un coup dans un bar.
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Nous sommes ensuite allés à Cambrils pour manger au bord du port. J’ai pris une paella (pire paella que j’ai mangé de ma vie) et, en dessert, LA TARTA DE LA MUERTE CON CHOCOLATE. Non mais c’est le vrai nom de ce gâteau au chocolat. J’ai compris le nom quand j’ai voulu me lever de ma chaise à la fin du repas. Une envie de crever tellement j’avais le bide lourd. Je commence à me dire qu’il y a une thématique dans ce voyage : on est passés par le pont d’enfer à la frontière, j’ai marché le long du sentier du diable, maintenant le gâteau de la mort… 
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Et puis nous passons une tête au port pour aller chercher les informations pour une prochaine activité… mais pas de spoil !
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detournementsmineurs · 4 months
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“Tête de Martre” en cuivre doré, verre et os (XV-XVIe siècles) présentée dans les collections permanentes du Musée de Cluny récemment rénové, décembre 2023.
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elrohir001 · 7 months
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Alors si vous me possédiez pendant 24 heures que feriez vous de moi ?
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ciboulo · 2 months
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Une personne que j’ai ignoré tout au long de nos études communes vient de m’écrire pour me demander comment je vais. Je n’aimais pas cette personne et je crois que tout le monde pouvait le deviner
Je sais pas quoi en penser, la situation me dépasse
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melubi · 21 days
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CABINET DE CURIOSITÉ
Il y a quelques temps j'ai organisé une exposition nommée "Micropolis Vol.2".
L'exposition a beaucoup plu et j'ai fait des ventes (je suis ravie !!). Cependant il me restait des œuvres donc plutôt que de les laisser pourrir dans un coin, j'ai décidé de vous les présenter !
Voici donc pour quelques-unes de mes bestioles !
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eahostudiogallery · 3 months
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objet de curiosité
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Alexander Archipenko - Carrousel Pierrot [1913]
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Axel Salto - Vase
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Can Sun
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Saul Levine - Dark Light
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Arline Fisch - 18-carat glasses for people who wear contacts
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Harris Rosenblum - Relic of the Corrupted Blood
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Cy Twombly
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Hib Sabin
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Lea Whittington - Chicken Bone Chandelier
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On Kawara
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Yoko Ono - Grapefruit, 1964
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Judith Hopf
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David Patchen - Bloom
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Marcia Windebank - knitted bowl
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happywebdesign · 3 months
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Osorno
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lasaraconor · 1 year
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thecryptandtheincubus · 2 months
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{{VENDU}}
- Ƈօʟʟɛƈȶɨօռ Ֆɛʀքɛռȶɛֆ -
Ֆɛʀքɛռȶɨռǟ ɢʀǟռǟȶʊֆ
ʟǟքɨɖǟʀɨʊʍ : Grenat hessonite, Grenat indien
Ƈʊʀɨօֆɨȶǟֆ : mue de serpent
ʟɨɛʊ ɖɛ ȶʀօʊʋǟɨʟʟɛ : mon jardin
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loeilareaction · 11 months
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Sébastien Leclerc, “le Cabinet de Sébastien Leclerc”, 1711, bibliothèque municipale de Lyon
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philoursmars · 1 month
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Deuxième étape de mon périple dans l'Ouest pour retrouver des ami(e)s lointain(e)s , Brigitte et Sylviane à La Rochelle.
Le Muséum d'Histoire Naturelle. Ici, le beau cabinet de curiosités.
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coquelicoq · 2 years
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i complain a lot about how wordy dumas is but i must admit it was very funny when he took two pages to say that albert thought he was gonna get so many chicks during his tour of italy and it's been four months and he has gotten zero chicks.
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detournementsmineurs · 5 months
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"L'Allégorie de la Vue" de Jan Brueghel et Paul Rubens (circa 1617) présentée à la conférence sur “Les Cabinets de Curiosité ou l'Art de Collectionner Gemmes et Objets Précieux” par Caroline Benzaria - Historienne de l'Art et Professeur - et Paul Paradis - Historien de l'Art et Professeur - de L’École des Arts Joailliers, novembre 2023.
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ultrxviolencxe · 1 year
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"Cynthia" was a mannequin created in 1932 by Lester Gaba, a sculptor, retail display designer and later a teacher and writer. An unusually natural and human looking mannequin, Gaba used the attention Cynthia garnered to further anthropomorphize her. As a result, Gaba and Cynthia became famous, with Gaba becoming known for his mannequins, and with Cynthia appearing on a cover of Life Magazine, and being invited to the wedding of the former Edward VIII and Wallis Simpson in 1937.[1] Gaba's development of lighter weight mannequins, with more natural, human features, along with Cynthia's popularity impacted the use of mannequins in retail sales marketing.
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In 1932, artist Lester Gaba created Cynthia for Saks Fifth Avenue, a 100-pound (45 kg) plaster model who, unusually, had realistic human imperfections like freckles, pigeon toes, and even different sized feet. Gaba posed with Cynthia around New York City for a Life Magazine shoot, and Cynthia appeared on the cover of the magazine, humorously demonstrating how life-like mannequins had become. Gaba further anthropomorphized Cynthia, and she began to receive invitations, fan mail and gifts, and to attend events. Gaba insisted that Cynthia had laryngitis, to account for her lack of speech during personal appearances. Additionally, a whole host of "Gaba Girls" were to follow. The Gaba Girls were life-sized, carved-soap mannequins modeled after well-known New York debutantes for the windows of Best & Company. They were much lighter, at 30 pounds (14 kg), than the typical 200-pound (91 kg) New York store mannequin. With the Gaba Girls and their realistic successors’ appeal, mannequins became an important new tool used by sellers to attract their clientele.
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Cynthia herself soon became dazzlingly famous. Cartier and Tiffany sent her jewelry, Lilly Daché designed hats for her, and couturiers sent her their latest fashions, furrieries sent minks. Cynthia began to receive large quantities of fan mail, was photographed by Alfred Eisenstaedt. She was given a credit card from Saks Fifth Avenue, and had a box seat subscription to the Metropolitan Opera House. She had her own newspaper column, and a successful radio show. In 1938, she went to Hollywood to appear in the movie Artists and Models Abroad. In 1939, she was back in New York to see the notorious play Madame Bovary at the Broadhurst Theater. Cynthia met her demise when she slipped from a chair in a beauty salon and shattered.[1] The press reported her death, and Gaba appeared distraught, but eventually reconstructed her. In December 1942, however, Gaba was inducted into the army. Cynthia retired, and it wasn't until 1953 that she came back to the public in a TV show. But the magic was over, and Cynthia was soon to be stored in a cupboard for good.
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mmepastel · 1 month
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Pfffiou !
Quel drôle de livre !
Je ne suis pas certaine d’avoir tout compris. A vrai dire, j’aurais beaucoup de peine à dire quel en est le sujet. Le pérégrin, c’est celui qui voyage évidemment, et ce livre évoque les déplacements en tous genres et en tous sens, par delà mers et océans, de la narratrice, qui ressemble fort à l’autrice, d’autant qu’elle évoque son parcours personnel au début. Oui, certes, le livre parle d’espace, de lieux, de déplacements, mais aussi de temps, de la mort. Du corps également. Le livre ressemble un peu à un cabinet de curiosités, dont elle parle abondamment d’ailleurs, à travers les destins de certains personnages, dont certains ont réellement existé, et qui n’ont eu de cesse de progresser dans la science ou dans l’art de connaître le corps humain, et donc la façon de le conserver, puis de le montrer. (Ces pages, très nombreuses, sont effroyables et fascinantes.)
Oui, ce livre à ce désir d’être une somme, une œuvre totale qui embrasserait l’espace-temps, le passé, le présent, leur découpage probablement trompeur, comme si tout était cyclique, voire parallèle, simultané. Il se présente d’ailleurs comme une série de textes plus ou moins courts, comme des objets curieux et stimulants pour l’esprit, comme dans un fameux cabinet de curiosités. Des objets épars, mais qui se répondent, par échos, rebonds (remarquez par exemple comme les fleuves de la couverture française évoquent des veines et leurs ramifications…). Des anecdotes ou des récits mythiques, des considérations hasardeuses ou troublantes. Parfois, des histoires, voire des contes, à la portée symbolique puissante. On passe par des sentiments variés, allant de l’effroi à l’émotion ou au rire. Car le ton d’Olga Tokarczuk est toujours surprenant, faussement sobre, émaillé de malice discrète.
J’ai beaucoup aimé lire ce livre, malgré sa complexité, et l’absence apparente de fil conducteur. J’ai aimé me perdre dans les méandres de ce voyage intérieur érudit et fantasque. J’ai aimé retrouver, chaque soir, l’assurance de trouver de l’étonnement, des idées neuves et stimulantes, un art évident de conter les histoires les plus saugrenues tout autant que passionnantes. On est sans cesse sur le fil, entre la joie de comprendre quelque chose de neuf, et la sensation vertigineuse de chute dans le surnaturel, jamais bien loin.
Je retiens toutefois des éléments de la conclusion qui suggèrent qu’il est judicieux de comprendre qu’on n’est pas vraiment différent de quelqu’un d’autre, qu’on y gagne, et que l’intérêt pour autrui est toujours enrichissant, que nous appartenons à un tout dont l’harmonie secrète existe, même si tout semble chaotique. Il y a une forme d’apaisement dans ces assertions, la promesse d’une humanité puissante, englobante, consolatrice, qui nous fait tant défaut au quotidien, il faut quand même bien l’avouer. C’est une dimension que j’ai ressentie au fil du livre, même si je ne suis pas sûre d’en saisir toute la portée.
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