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#culture italienne
mdameninie · 6 months
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24H à Milan, en Italie
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fashionbooksmilano · 20 days
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Global Style Battles
Modes et Sud Cultures Urbaines
Daniele Tamagni
Préface de Rosario Dawson et Abrima Erwiah
Dominique Carré, Paris 2015, 292 pages, 17x24cm, ISBN 9782373680096
euro 28,00
email if you want to buy [email protected]
Ce livre est un mélange de situations spontanées. Son maître mot - identité - est illustré dans des contextes géographiques très différents, où est née une métaculture populaire, profondément enracinée, qui est à la fois un pied de nez à la culture coloniale ou occidentale et la source d'une grande créativité. Le fil rouge est tissé des nombreuses interviews réalisées au cours de ses différents voyages par Daniele Tamagni, interviews qui rendent compte de façon personnelle des modes de vie, des styles et des rêves d'une autre identité, de la part des sujets photographiés. En choisissant des pays ou des villes loin du contexte habituel de la mode, le livre donne un aperçu du phénomène de globalisation des styles, mais aussi de la résistance et de la préservation des traditions. Le livre détaille le quotidien de différentes populations dont le rapport à la mode est signe d'un activisme créatif et joyeux créatif. Les rockers du Botswana, les hipsters de Johannesburg, les dandys du Congo, les lutteuses de Bolivie, la jeunesse cubaine bling-bling, tous sont photographiés et se racontent dans la consciences de leur univers marginal dont ils veulent se démarquer. Etre à la mode, se déguiser, est un outil plantaire d'identité. Le livre vise à offrir un large éventail de pratiques urbaines, sans exclusion d'aucun aspect en termes de race, de sexe, d'âge ou de zones géographiques. Les gens sont dépeints dans différentes situations et contextes mais photographiés comme ils apparaissent naturellement dans un mélange des portraits posés, des portraits en mouvement et de détails. Les couleurs vives sont une des clés communes. Chaque chapitre est introduit par un écrivain (journaliste, chercheur) qui a été au contact de chacune des communautés. Tous racontent la multiplicité des relations et des contradictions à l'oeuvre : l'élégance vs kitsch, luxe / consumérisme vs pauvreté, tradition vs modernité, transformation vs uniformité, l'individuel / particularité vs généralité, originalité vs stéréotype.
Daniele Tamagni (1975-2017), de nationalité italienne, débute sa carrière comme historien de l'art avant de devenir photographe free-lance. Il se fait connaître en remportant en 2007 le Canon Young Photographer Award avec un reportage sur les dandys congolais. Il publie en 2009 Gentlemen of Bacongo avec une préface de Paul Smith, qui s'est inspiré de ses photographies pour sa collection printemps-été 2010. Il remporte en 2011 le World Press Photo in Arts & Entertainment avec son reportage sur les catcheuses de La Paz, en Bolivie.
05/04/24
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blossom farm;; ((thème song))
since 1978 -- cultivateurs, maraichers.
BERCEAU;; saupoudrés d'esquisses pourprées. nommés en bienséance à ne pas douter, (( jones )) s'invoque en calme olympien, toujours dans la docile amertume. cacophonie des splendeurs, lueurs incandescentes, s'érigent au sommet, les origines (( afro-américaines )) à n'en pas douter. linceul de bienséance, s'arme en dérisoire et la douceur s'exécute en rythme. rejoins dans les abysses par les (( ricci )) en feu. s'invoque l'hérésie (( italienne )), l'accent encore marqué et les ébullitions prenant toute la place, à n'en pas douter. LABEUR;; travail de la terre depuis qu'ils sont nés. deux entités en une seule pour un rendement plus valorisé. ils sont ces magnifiques (( cultivateurs )) avec quelques animaux à s'occuper et à vendre. ainsi ces (( maraichers )) proposant victuailles en abondance. marché à ciel ouvert où mère nature est le dieu. et depuis quelques années, ils ont mit en culture du (( cannabis médicinale )) réservé aux pharmaciens et labo à cachet. parfois, on se dit qu'ils en gardent assez pour se faire un peu d'argent malfamé. MORALE;; corne d'abondance, ils sont ces amoureux de la (( nature )) à qui ils se remettent sans concession. usant d'anciens remèdes pour panser les plaies, soigner maladies révoqués. parfois, on les prend pour les (( marginaux )) mais eux aiment à dire qu'ils se sont reconnectés. n'ont de dieu que ce qu'il est possible de toucher. CHRONIQUE;; entretiennent les bonnes relations car le sourire aux lèvres est de mise et les services, faciles à rendre. (( sea lion vineyard )) à qui ils prêtent coup de main facile lors de la période des vendanges et ils leur rendent bien quand récoltes s'abreuvent de leur côté. voisinages exemplaires même lorsque leur culture illicite tend à installer, parfois, des moments de colère. en collaboration avec le (( bush creek ranch )) pour la ventre de fruits et légumes. certains (( habitants )) s'émois cependant, trouvant leurs illicites petite affaire de drogue, loin de ce qu'ils auraient aimer pour les leurs et leurs enfants. LOCALISATION;; étendues de terres jusqu'à l'horizon, bordées d'une petite rivière à l'eau miraculeuse et aux croyances épistolaires, (( scrabster )) les a accueilli dans leur berceau et depuis, ils sont incapables de la quitter, comme hypnotiser par ce lieu qui leur fait du bien. ils ont un marché à ciel ouvert dans (( wild west row )) où ils revendent leurs fruits et légumes.
CHRONOLOGIE-
(1978) installation première, des jones sur ces terres. culture du malt dont ils connaissent secret. s'étoffent à être les premiers à la tenter. • (1980) arrivé des ricci de l'autre côté de la barrière, en voisin premiers qui eux s'érodent de ne rien faire car au début, ils ne voulaient qu'une ferme pour élever chérubin. • (1990) crise économique met à rude épreuve les finances de chacun. et pour ne pas perdre cette terre qu'ils ont mit des années à abreuver, ils se lient en coopérative assoiffée. étiolent les barrières les séparant, regroupent ce qu'ils ont de plus précieux. la culture du malt reste la seule option. • (2010) début, à grande échelle, de la culture du cannabis médicinale sous la houlette de haze afin d'apporter un peu d'eux dans cette ferme. les jones le voient d'abord d'un mauvais oeil avant de s'y faire, quand caisses se renflouent sans rechigner. • (2021) le bio s'amorce à vouloir les percuter et topaze engendre le maraichage de légumes, étoffant les mets divers et variés à proposer. s'alliant ainsi avec les entreprises et restaurants locales pour les fournir en victuailles. illicite émerge en même temps, avec lenteur cousue main, revendant cannabis de trop aux habitants concernés. • (2023) sécheresse vécue à milles pieds. et les récoltes sont bien pauvres cette année. perdant plus de la moitié de ce pourquoi ils avaient tant travaillés. la culture du cannabis est énergivore à souhait, n'allant plus avec le bio qu'ils ont à côté. les frictions s'engendrent à être palpable et l'on entend en murmure que les jones veulent se délier, redevenir la ferme seule qu'ils ont mit tant d'années à fonder.
(( JONES FAMILY )) égide des bienséances, ils sont l'avarice de jouissance. tablant principalement dans la culture du malt mais aussi maraichers. souriants et bien nés, ils ont toujours la politesse éclairée. ils sont tous d'origines afro-américaine.
♂ sardoine — 1 libre. +50 ans, patriarche, responsable de la ferme, cultivateur. la ferme est née grâce à lui. sous l'impulsion de son amour de la terre et des choses bien faites. il prend en main la ferme sous tous ses aspects et dirige d'une main conviviale la culture du malt qui n'a plus de secret pour lui.
♀ émeraude — 1 libre. +48 ans, épouse, comptable, vendeuse sur le marché. épouse de topaze, elle a un r��le important au sein de la ferme puisqu'elle s'occupe de toute la logistique. prépare les repas pour les employés et gère la comptabilité. elle est également en charge de la ventre, les jours de marché.
♀ topaze — 1 libre. 28-32 ans, ainée, responsable client, cultivatrice, maraichère. en liaison direct avec les clients, surtout la vosh distillery, elle s'occupe de vendre au bon prix les récoltes de l'année. cultivatrice hors pair qui n'a pas peur de se salir les mains, elle a tout apprit de son père. elle est également maraîchère dans le bio.
♂ japse — 1 libre. +21 ans, cadet, s'occupe du personnel, cultivateur. dernier de la famille qui a sous sa responsabilité les employés bossant dans les champs, il apprend doucement mais surement le métier de son père. suit sa soeur dans tous ses déplacements et s'enrichit de ce que la vie a à lui donner.
(( RICCI FAMILY )) l'accent roule sous le palet, les deuxièmes arrivés sont aussi ceux amenant avec eux la cultivation du cannabis. d'abord médicale, récolte uniquement réservée aux pharmaciens et groupes médicales. sauf que sous le manteau, ils en revendent un peu pour leurs beaux jours. ils sont tous d'origine italienne.
♀ haze — 1 libre. +50 ans, deuxième gérante de la ferme, cultivatrice. ayant tout apprit sur le tas au fil des années, elle est la deuxième gérante de la ferme. s'occupe principalement de la culture du cannabis et du porte feuille clients. elle a le bras long et les contacts faciles.
♀ kush — 1 libre. +21 ans, fille unique, vendeuse sur le marché, cultivatrice. suivant les traces de sa mère, elle a tout apprit d'elle. illicitement, elle revend le cannabis de trop sur le marché à des clients de passage. son réseau s'affine de jour en jour. aux portes de l'illégalité avec qui elle joue sans rechigner.
(( GOOD THINGS OF EARTH )) employés travaillant sur les terres, ils sont cultivateurs et/ou maraichers. ils ont l'amour de la nature et la connaissance du dur labeur. ils peuvent être de toutes origines.
♂/♀ shovels — 5/5 libres. +21 ans, cultivateurs de malt. ils sont principalement sur la culture du malt. travaillent la terre et font les récoltes lors de la bonne saison. ils travaillent pour les jones mais sont amenés aussi, parfois, à bosser pour les ricci.
♂/♀ picks — 3/3 libres. +21 ans, maraichers. depuis peu, la famille jones s'est mise à la culture des légumes. travaillant sous la houlette de topaze, ils excellent dans le maraichage et ont la fibre bio.
♂/♀ sprinklers — 5/5 libres. +21 ans, cultivateurs de cannabis. bossant principalement pour les ricci, même si leurs arrivent de donner un coup de main pour les jones, ils sont les cultivateurs de l'or vert et en connaissent tous les secrets.
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choses-dingen · 2 years
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«Le rêve européen s’éteint»
Moins de deux mois avant les élections générales italiennes, le philosophe français Marek Halter l'affirme : «J'ai peur de l'évolution vers une Europe sans âme, otage des prophètes de la peur.»
Nous nous sommes entretenus avec Marek Halter  par téléphone alors qu'il se trouve actuellement en Tunisie où il organise une marche européenne pour la paix, qui devrait partir de Bruxelles et Moscou en septembre. Destination : Kiev. Mais c'est avec angoisse que l'écrivain et philosophe français d'origine polonaise envisage un autre événement important de l'automne : les élections italiennes et la possible victoire de la droite. « Le souverainisme, c'est la peur de l'autre », affirme-t-il, ajoutant que « le rêve européen s'éteint ».
La perspective que Giorgia Meloni  devienne présidente du Conseil (cheffe du gouvernement, NDLR) vous inquiète-t-elle? J'ai peur de l'évolution vers une Europe sans âme, otage des prophètes de la peur. Une Europe qui ne fait plus rêver les gens, dans laquelle les partis n'existent plus et les idéologies de droite prévalent. Avec l'affaiblissement de la gauche, le rêve de Victor Hugo, qui aspirait à la création d'une Europe sans frontières, d'un continent qui unit les cultures et les valeurs, de Beethoven à Chopin, mais aussi Tchaïkovski, s'éloigne peu à peu. Derrière Alexandre le Grand, il y avait Aristote : dans cette Europe-ci, les intellectuels ont disparu et les sectes, groupes et idées réactionnaires prospèrent.
Comment interprétez-vous la montée des souverainismes ces dernières années ? Le souverainisme n'est rien d'autre que la peur de l'autre et le repli dans une dimension égoïste et nationaliste. Nous avons construit une Europe sans murs et sans droits de douane et, aujourd'hui, ces murs réapparaissent aux frontières pour faire barrage aux migrants, ou encore entre le Kosovo et la Serbie. Pourtant, la chute du Mur de Berlin, qui était la promesse d'une Europe nouvelle, ne semble pas si lointaine.
L'Europe et l'Otan ont toutefois uni leurs forces pour défendre l'Ukraine. L'Ukraine, pourtant, risque de devenir la tombe de l'Europe. Notre continent ne peut pas être qu'une alliance économique et militaire.
Mais il ne l'est pas : l'Etat de droit a aussi été défendu par le gel des fonds accordés à la Pologne et à la Hongrie. Et le président français Emmanuel Macron a souvent insisté sur l'Europe des valeurs. Nous devons nous demander pourquoi la majeure partie de l'Afrique et de nombreux pays asiatiques se sont rangés du côté de Poutine, pourquoi l'Europe est considérée comme si faible à leurs yeux. Giorgia Meloni est synonyme de repli dans la dimension nationale parce que le rêve européen s'éteint. En ce sens, elle rejoint Marine Le Pen. Ce sont des politiciens à la recherche de l'éternel bouc émissaire.
Notre continent ne peut pas être qu'une alliance économique et militaire Marek Halter Philosophe
Pourquoi êtes-vous aussi pessimiste quant à la possibilité que prévale l'idée d'une Europe unie ?
Parce que je crains que nous, les intellectuels, ayons perdu le monopole de la parole. La défense des plus fragiles ne compte plus. Lorsque je suis arrivé en France en 1950, les syndicats poussaient des millions de Français à descendre dans la rue. Il n'existe plus de sujet capable de rassembler les gens au nom des valeurs. Il existe un vide idéologique qui me fait très peur. Qu'opposons-nous à la Chine, qui est un régime, mais nous a dépassés dans la course technologique, ou encore à la Russie autocratique ? La réponse ne peut pas être uniquement l'Otan ou l'Europe économique.
la Repubblica Entretien de Tonia Mastrobuoni publié dans Le Soir
Et chez nous en Belgique ?
"Que va faire De Wever en 2024 ? Va-t-il négocier quand même avec le Vlaams Belang comme en 2019 ? Va-t-il s'associer à ce parti ? Personne ne le sait, en fait, nuance un fin observateur de la politique flamande. Quand il négociait avec Van Grieken, il n'y a pas eu de révolution au sein de la N-VA : les militants et les élus n'ont pas contesté. Tout dépendra des résultats des élections. Tout est possible en 2024."
Une majorité N-VA / Belang en 2024 ? Le spectre ressurgit.
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satruneetmoiencuisine · 8 months
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Coucou tous les amis , je suis nouvelle une blogueuse.
J'habite en France, je suis mariée, maman de 2 petits garçons ( bientôt 7 ans et 4 ans). A la maison, nous avons un chat qui s'appelle "Saturne", il a 1 ans 1/2. Notre famille a plusieurs nationalité: mon mari est Français Portugais et Italien, moi je suis Française Algérienne .
A travers ce blog, je vais vous partager: notre vie avec ses différentes culture, des recettes de cuisine orientale, portugaise, Italienne et française (que je trouve à droite et gauche), pleins d'astuces, décoration, et nos voyages.
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buz-muet · 2 years
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Gabriele D'Annunzio, L'Enfant de volupté
Si les raffinements de l'art imprègnent la vie fastueuse du comte Andrea Sperelli, l'Amour est aussi  la liqueur essentielle, le breuvage enivrant qui échauffe le sang et les sens de cet esthète à l'existence voluptueuse. Épris de la sensuelle Elena, s'abandonnant au rêve d'un amour spirituel avec la douce Maria, le jeune aristocrate, en quête de l'amante idéale, s'évertue à posséder les deux femmes, s'emmêlant ainsi dans les rets de son propre désir amoureux.
On décèle du Dorian Gray et du Des Esseintes chez ce dandy à la vie dissolue, toujours animé par la triple recherche de la beauté, de la haute culture et de l'absolu de l'Amour. Tentations toujours périlleuses aux revers pernicieux, causes de la corruption de l'esprit et de la destruction progressive de la force morale. 
Au fur et à mesure que se font et se défont les noeuds de l'intrigue, Sperelli, qui apparaît dès les premières pages du roman comme un calculateur accompli dans le jeu de l'amour sans  hasard, sera poussé inexorablement vers " un progressif rétrécissement de ses facultés, de ses espérances, de ses jouissances"jusqu'à devenir le gibier du doute et de la désillusion. La cruelle Elena lui échappera définitivement. Jamais elle ne sera sienne et c'est par défaut que le jeune décadent se tournera vers une Maria sans cesse écartelée entre le frisson de la passion et la crainte de Dieu.
Andrea ne trouvera donc ni la femme ni l'oeuvre "capables de conquérir son coeur et de devenir pour lui un but". La brutalité de la rupture avec Elena annoncera  la fin des espoirs de Sperelli mais aussi l'achèvement d'une oeuvre corrodée par un Amour qui porte le voile de la Mort, d'une mort insidieuse, rampante et douce : la fameuse morbidezza italienne. Au même titre qu' À Rebours, le chef-d'oeuvre de Huysmans ou que La Mort à Venise de Thomas Mann, L'Enfant de volupté ( Il Piacere ) se pose sans aucun doute comme l'un des manifestes de l'esprit décadent d'un dix-neuvième siècle finissant.
anagnoste.blogspot.com
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lamangasserie · 2 years
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Mangasserie Voyages: destination l’Italie !
L’été approche, les beaux jours et les grandes vacances avec lui. C’est le moment de l’année où nous commençons à entendre la fameuse questions: « Qu’est-ce que tu fais cet été ? ». Vous ne savez pas trop encore ? Moi non plus. Mais pourquoi ne pas se donner un avant-goût de vacances au soleil en découvrant l’Italie à travers divers mangas ? Montez à bord de l’Air Mangasserie et suivez le guide !
Pour bien commencer ce voyage, un peu de repos s’impose. Il faut être en forme pour la suite ! Direction, les thermes romains en l’an 128 en compagnie d’un architecte de thermes, avec Thermæ Romæ de Mari Yamazaki.
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Résumé de l’éditeur:
Rome, IIe siècle de notre ère, sous le règne d'Hadrien, Lucius Modestus, architecte en panne d'inspiration, découvre lors d'un bain aux thermes un passage à travers le temps et l'espace qui le fait émerger au XXIe siècle, dans des bains publics japonais ! ! !
Entre stupeur et émerveillement, Lucius parviendra-t-il à mettre à profit cette fantastique découverte pour relancer sa carrière ?
Quelques mots: 
Thermæ Romæ est toute évidence un manga avec beaucoup d’humour, à en juger par les couvertures des tomes. Cependant, c’est surtout un manga très intéressant. Son génie vient du parallèle que crée Mari Yamazaki entre deux cultures de thermes entièrement différentes mais qui se rejoignent sur certains points et, notamment sur le simple plaisir qu’apportent celles-ci. Si la mécanique principale du manga est en soi très simple et à tendance à se répéter, ça n’enlève rien au caractère intéressant, presque éducatif, du titre. Notre édition est aussi enrichie de nombreux textes autour des thermes, qu’elles soient romaines ou japonaises.
Thermæ Romæ de Mari Yamazaki est paru aux éditions Casterman en 6 tomes à 8,45€ l’unité ou bien en 3 gros tomes à 25€ l’unité.
Deuxième arrêt de ce voyage: la grande époque de la Renaissance italienne. Nous sommes en 1492, à Pise et pour nous accompagner, un certain Cesare Borgia sera notre guide. C’est parti pour la découverte de cette époque pleine de remous avec Cesare de Fuyumi Soryo.
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Résumé de l’éditeur:
Naïf et studieux, Angelo Da Canossa n’est guère armé pour la vie d’étudiant à l’université de Pise, lieu d’intrigues et de tensions dans l’Italie de la Renaissance. Son innocence résistera-t-elle à sa rencontre avec Cesare Borgia, rejeton d’une famille à la réputation sulfureuse, dont le père est sur le point d’accéder au Saint-Siège ?
Rivalités entre les différentes factions de l’université, machinations politiques et luttes fratricides, Angelo va partager les années de formation d’un jeune homme en passe de devenir l’un des personnages les plus fascinants de l’Histoire. À ses côtés, il croisera le chemin de certains de ses contemporains les plus célèbres, de Christophe Colomb à Machiavel en passant par Léonard de Vinci…
Quelques mots:
Cesare est un manga qui repose énormément sur le personnage de Cesare Borgia qui, malgré les apparences, n’est pas le personnage principal. Nous nous prenons rapidement de passion pour ce personnage, si énigmatique et au charisme insaisissable dont nous peinons à scruter les prochaines actions. Le manga se déroule quasiment entièrement sur l’année 1492 et nous nous retrouvons pris dans le tourbillon de cette année riche en péripéties: Christophe Colomb arrive en Amérique, Laurent le Magnifique meurt, un nouveau conclave se profile et le jeune Michel-ange achève sa première sculpture, entre autres. Avec ce titre, Fuyumi Soryo nous transmet avec beaucoup de force sa passion pour cette époque extrêmement faste. Les décors et les habits sont d’une minutie à en faire palir un chirurgien, les évènements retracés avec une grande précision (Cesare est d’ailleurs supervisé par l’historien Motoaki Hara, spécialiste de l’époque). Si cette grande fresque historique s’est récemment arrêtée de manière brusque au treizième tome, Cesare reste un grand manga. Comme pour Thermæ Romæ, notre édition est enrichie de textes donnant encore plus de précisions sur l’époque. Cesare est un manga passionnant, indispensable pour qui aime le manga historique. Pour en savoir plus sur Cesare et sur Fuyumi Soryo, un épisode de Manben, l’émission de Naoki Urasawa autour du manga, lui est dédié.
Cesare de Fuyumi Soryo est paru chez Ki-Oon avec 12 tomes sur 13 pour un prix de 7,90€ l’unité.
Pour la troisième étape de ce voyage, nous faisons un énorme bond dans le temps jusqu’en 2001, à Naples. Pour se mettre pleinement dans l’ambiance, nous rejoindrons le gang le plus stylé du coin, le gang de Buccellati ! Attention, ne pas reproduire durant vos vacances en Italie, ne rejoignez aucun gang, aucune mafia. C’est parti pour un périple dans notre périple avec JoJo’s Bizarre Adventure: Golden Wind de Hirohiko Araki.
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Résumé de manga-news:
2001, Rome en Italie. Hirosei Koïchi cherche le jeune Shiobana Haruno. Mais alors qu'il s'attend à trouver un jeune adolescent insouciant, il rencontre Giovana Giorno, un jeune voyou qui tente de percer dans la mafia...
Quelques mots:
JoJo’s Bizarre Adventure: Golden Wind était une étape incontournable de notre périple. Si partie précédente de JJBA, Diamond is Unbreakable, est déjà une folie en soi, nous pouvons dire que c’est à partir de celle-ci que Hirohiko Araki commence à pleinement exploité son univers créatif et son génie. Les stands des personnages commencent à avoir des capacités carrément bizarres, les combats et leurs mécaniques n’ont plus toujours de sens ou de logique. C’est aussi la première partie de JJBA a être autant marquée par la mode. Golden Wind débute en 1995 et la première partie des années 90 est notamment marqué par d’un côté, la folie des défilés de Mugler qui sont de véritables spectacles et d’un autre par la révolution ultra sobre mais aussi ultra sexy de Tom Ford chez une Gucci tombé en désuétude bien années auparavant. Les personnages de Golden Wind, tous extrêmement beaux, ne sont pas sans rappeler les mannequins masculins de cette époque. Leurs attitudes aussi, nous pensons particulièrement au moment où Buccellati lèche très ouvertement la joue de Giorno. Il est impossible de savoir à quel point Hirohiko Araki est inspiré par le monde de la mode mais ce ne serait pas idiot de faire un parallèle entre la folie de Golden Wind et la folie du monde de la mode à cette époque.
JoJo’s Bizarre Adventure: Golden Wind de Hirohiko Araki est paru aux éditions Delcourt/Tonkam avec 17 tomes pour un prix de 6,99€ l’unité. Un coffret avec l’intégrale est prévu pour octobre 2022.
Notre voyage arrive à sa fin et pour le terminer, quoi de mieux qu’un peu de repos après ces tumultueuses étapes. Direction Venise mais n’importe quelle Venise, direction Neo-Venezia sur la planète Aqua, au XXIVe siècle de notre ère. Nous aurons pour guide lors de cet ultime arrêt la jeune Akari Mizunashi. Bienvenue dans le monde d’Aria de Kozue Amano.
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Résumé de l’éditeur:
Au xxive siècle, la planète Mars a été terraformée sur le modèle de Venise. Elle abrite maintenant une magnifique cité bâtie sur les eaux, où les canaux jouent le rôle de routes et les bateliers celui de guides incontournables pour naviguer dans les méandres de cette ville au charme légendaire…
Akari, terrienne d’origine, réalise un rêve d’enfance quand elle débarque à Néo-Venise afin de commencer son apprentissage du métier d’ondine, qui fera d’elle une professionnelle de la gondole. Pour cela, elle entre chez ARIA, une société tenue par… un chat doué d’intelligence ! L’unique employée, la belle et douce Alicia, sera son mentor et sa protectrice dans ce monde dont Akari a tout à apprendre…
Quelques mots:
Aria est un manga qui est d’une fraîcheur toute particulière. Tout comme notre périple à nous ici, le personnage d’Akari nous guide dans cette Venise futuriste où chaque coin de rue regorge de petits secrets. Aria fait partie de ces mangas qui nous invitent à profiter de l’instant présent et de ce que la vie a à nous offrir, de ce que la nature a à nous offrir. Paradoxalement, Aria se situe dans un contexte où l’humanité a grandement progressé dans les sciences et la technologie, Neo-Venezia étant une version terraformé de notre Venise qui elle n’aurait pas résisté au réchauffement climatique et a l’hyperactivité humaine. Ce n’est pas sans faire écho aux problèmes actuels de nos sociétés, au désir de retrouver un sens dans les choses, de vivre de manière « slow », de se rapprocher de la nature, des autres et de soi-même alors que tout va toujours plus vite et que le sentiment d’aliénation est plus que prépondérant. En atteste les nombreux tik-tok et reel instagram de type « don’t be surprised if one day I just… » suivi des photos de campagne, de bord de mer ou de montagne, de Nokia 3310 et de comptes de réseaux sociaux supprimés. Aria se pose comme un petit havre de paix, à l’image de Venise, et de fraîcheur à la fin de notre périple mouvementé.
Aria de Kozue Amano est paru aux éditions Ki-Oon en 7 tomes à 15€ l’unité.
Notre périple à travers l’Italie s’achève ici, avez-vous fait bon voyage ? Bien sûr, il reste bien des contrées à explorer, comme Pline de Mari Yamazaki et Tori Miki, Arte de Kei Ohkubo, beaucoup de mangas de Natsume Ono ou encore Gunslinger Girl de Yu Aida, mais réservons-nous celles-ci pour un prochain voyage ! Si vous avez aimé ce guide de voyage qui fait aussi office de guide de lecture (ou bien est-ce l’inverse ?), n’hésitez pas à le partager autour de vous et à me faire vos retours sur mon compte Twitter. Ciao, ci sentiamo !
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omagazineparis · 4 days
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Les plus belles villes d'Italie à visiter lors de votre voyage
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Préparez-vous à vous émerveiller devant la beauté époustouflante des villes italiennes lors de votre prochain voyage ! L'Italie regorge de cités pleines de charme qui feront vibrer votre âme d'aventurier. Des monuments antiques aux ruelles pavées, chaque ville offre une expérience unique et magique. Que vous soyez passionné d'histoire, amateur de bonne cuisine ou amateur d'art, vous trouverez votre bonheur en explorant les trésors de l'Italie. Commencez votre périple par la pittoresque Venise, une ville flottante célèbre pour ses canaux romantiques et son architecture gothique. Ensuite, dirigez-vous vers Florence, berceau de la Renaissance et ville aux musées magnifiques et aux chefs-d'œuvre artistiques. Si vous recherchez un mélange de culture et de soleil, rendez-vous à Rome, avec ses vestiges de l'Empire romain et ses délices culinaires. Et n'oubliez pas de visiter la charmante ville de Sorrente, perchée sur une falaise, offrant des vues à couper le souffle sur la mer Méditerranée. Chaque ville en Italie a sa propre histoire captivante et des trésors à découvrir. Préparez-vous à une expérience inoubliable dans les plus belles cités italiennes lors de votre prochain voyage ! Rome - La ville éternelle Rome, la capitale de l'Italie, est une ville à couper le souffle avec une histoire riche et une architecture emblématique. Lorsque vous vous promenez dans les rues de Rome, vous êtes entouré de vestiges de l'Empire romain, tels que le Colisée et le Panthéon. Ces monuments impressionnants témoignent de la grandeur passée de la ville et vous transportent dans le temps. N'oubliez pas de visiter la Cité du Vatican, située en plein cœur de Rome, où vous trouverez la majestueuse basilique Saint-Pierre et les célèbres musées du Vatican. Mais Rome n'est pas seulement une ville d'histoire, c'est aussi un paradis pour les amateurs de gastronomie. Ne manquez pas de déguster des plats traditionnels italiens, tels que les pâtes carbonara, les pizzas margherita et les délicieuses glaces italiennes. Vous trouverez également de nombreux marchés animés où vous pourrez goûter des produits locaux frais. Rome est une ville qui éveille tous vos sens et vous laisse des souvenirs inoubliables. Florence - Le berceau de la Renaissance Située en Toscane, Florence est une ville qui a joué un rôle clé dans le mouvement artistique de la Renaissance. La ville regorge de chefs-d'œuvre artistiques, tels que la célèbre statue de David de Michel-Ange et les fresques de la chapelle Sixtine. Ne manquez pas de visiter la Galerie des Offices, qui abrite une collection impressionnante de peintures et de sculptures de maîtres italiens tels que Botticelli, Léonard de Vinci et Raphaël. En plus de son patrimoine artistique, Florence est également réputée pour sa cuisine délicieuse. Dégustez des plats traditionnels toscans, tels que la ribollita (une soupe de légumes) et la bistecca alla fiorentina (un steak de bœuf florentin). Promenez-vous dans les rues pavées de la ville et imprégnez-vous de l'atmosphère romantique et artistique qui règne à Florence. Venise - La ville des canaux Venise est une ville unique au monde, construite sur un archipel de 118 petites îles reliées par des ponts et des canaux. Lorsque vous explorez Venise, vous vous sentez transporté dans un conte de fées. Les canaux sinueux, les gondoles romantiques et les magnifiques palais gothiques créent une atmosphère magique et enchanteresse. Ne manquez pas de visiter la célèbre place Saint-Marc, avec sa basilique et son campanile emblématiques. Promenez-vous dans les ruelles étroites de la ville et découvrez des trésors cachés, tels que le pont du Rialto et le pont des Soupirs. Et bien sûr, lors de votre visite à Venise, ne manquez pas de faire une balade en gondole le long des canaux pour une expérience vraiment romantique. https://www.youtube.com/watch?v=ofm6WyEHcfg&pp=ygUGVmVuaXNl Commencez votre voyage dans la pittoresque Venise, une ville flottante célèbre pour ses canaux romantiques et son architecture gothique. Vous serez immédiatement séduit par l'atmosphère envoûtante qui règne dans cette ville unique en son genre. Flânez le long des canaux, admirez les palais vénitiens et prenez une gondole pour une expérience inoubliable. La place Saint-Marc, avec sa basilique et son campanile emblématiques, est un incontournable. Imprégnez-vous de la culture et de l'histoire de Venise en visitant le Palais des Doges ou en découvrant les œuvres d'art de la Galerie de l'Académie. Milan - La capitale de la mode italienne Milan est la capitale de la mode italienne et une ville dynamique où l'art, la culture et la modernité se rencontrent. La ville abrite certaines des marques de mode les plus célèbres au monde et est un paradis pour les amateurs de shopping. Promenez-vous le long de la Via Monte Napoleone et découvrez les dernières tendances de la mode italienne. Mais Milan ne se résume pas seulement à la mode. La ville regorge de trésors architecturaux, tels que la célèbre cathédrale de Milan, le Duomo, avec sa façade gothique impressionnante. Ne manquez pas non plus de visiter la célèbre fresque de La Cène de Léonard de Vinci, située dans l'église Santa Maria delle Grazie. Milan est une ville cosmopolite et vibrante qui vaut vraiment la peine d'être explorée. Naples - Le berceau de la pizza Naples, située dans le sud de l'Italie, est réputée comme étant le berceau de la pizza. Si vous êtes un amateur de cuisine italienne, vous ne pouvez pas manquer de déguster une délicieuse pizza traditionnelle napolitaine, cuite au feu de bois et garnie de tomates fraîches, de mozzarella de bufflonne et de basilic. Vous trouverez de nombreuses pizzerias authentiques dans les rues animées de Naples. En plus de sa renommée culinaire, Naples offre également une richesse historique et culturelle. Ne manquez pas de visiter les vestiges de la cité souterraine de Naples, où vous pourrez découvrir les anciennes rues et les habitations romaines. Explorez le quartier historique de Spaccanapoli et découvrez ses églises baroques et ses places animées. Naples est une ville pleine de vie et d'énergie, où vous pourrez vous immerger dans la culture italienne authentique. Vérone - La ville de l'amour Vérone est une ville romantique située dans le nord de l'Italie, célèbre pour avoir été le cadre de l'histoire d'amour de Roméo et Juliette de Shakespeare. Ne manquez pas de visiter la Casa di Giulietta, où vous pourrez voir le célèbre balcon de Juliette et écrire une lettre d'amour que vous pourrez laisser dans la cour. Vous pourrez également visiter l'amphithéâtre romain de Vérone, l'Arena, où des opéras et des concerts sont encore donnés de nos jours. Promenez-vous dans les ruelles de Vérone et découvrez l'atmosphère romantique de la ville. Ne manquez pas de déguster les délicieux vins de Vérone, notamment le célèbre Amarone. Vérone est une ville qui respire l'amour et qui vous transportera dans une ambiance romantique. Turin - Le berceau de l'automobile italienne Turin, située dans le nord-ouest de l'Italie, est la ville qui a vu naître l'industrie automobile italienne. Si vous êtes passionné par les voitures, ne manquez pas de visiter le musée de l'automobile de Turin, où vous pourrez découvrir l'histoire et l'évolution des voitures italiennes emblématiques, telles que la Fiat et la Lamborghini. En plus de son lien avec l'automobile, Turin est également réputée pour son architecture baroque et ses délicieuses spécialités culinaires. Ne manquez pas de déguster le bicerin, une boisson traditionnelle de Turin à base de café, de chocolat et de crème fouettée. Promenez-vous le long du Pô, le fleuve qui traverse la ville, et découvrez ses charmants ponts et ses bâtiments historiques. Turin est une ville qui allie histoire, culture et passion automobile. Bologne - La capitale gastronomique de l'Italie Bologne, située dans la région d'Émilie-Romagne, est réputée comme étant la capitale gastronomique de l'Italie. Si vous êtes un amateur de cuisine italienne, vous serez comblé à Bologne. Ne manquez pas de déguster les célèbres pâtes à la bolognaise, également connues sous le nom de spaghettis à la sauce ragù. Vous pourrez également déguster des charcuteries délicieuses, telles que le jambon de Parme et le mortadelle. https://www.youtube.com/watch?v=w7QKroopi84&pp=ygUHQm9sb2duZQ En plus de sa renommée gastronomique, Bologne est une ville riche en histoire et en culture. Ne manquez pas de visiter la Piazza Maggiore, la place principale de la ville, où vous trouverez la célèbre fontaine de Neptune et le palais communal. Montez également les tours médiévales de Bologne, les tours Asinelli et Garisenda, pour une vue panoramique sur la ville. Bologne est une ville animée et animée, où vous pourrez vous imprégner de l'atmosphère italienne authentique. A lire aussi : Comment choisir le bon hébergement pour vos vacances Conseils pour visiter les plus belles villes italiennes L'Italie regorge de villes magnifiques qui offrent une expérience unique à chaque visiteur. Que vous soyez passionné d'histoire, amateur d'art, gourmet ou simplement en quête de nouvelles expériences, les villes italiennes sauront vous séduire. Lors de votre visite, assurez-vous de prendre le temps de vous perdre dans les ruelles étroites, de goûter aux délices culinaires locaux et d'admirer les trésors architecturaux qui vous entourent. Voici quelques conseils pour explorer les villes italiennes : 1. Prévoyez suffisamment de temps : Chaque ville a tellement de choses à offrir, il est donc important de prévoir suffisamment de temps pour explorer pleinement chaque destination. 2. Marchez autant que possible : Les villes italiennes sont pleines de charme et de détails cachés, et la meilleure façon de les découvrir est de se promener à pied. 3. Goûtez la cuisine locale : L'Italie est réputée pour sa délicieuse cuisine, alors ne manquez pas l'occasion de goûter aux spécialités locales de chaque ville que vous visitez. 4. Visitez les musées et les monuments : Les villes italiennes regorgent de musées et de monuments qui témoignent de leur riche histoire. Ne manquez pas l'occasion de découvrir ces trésors culturels. 5. Interagissez avec les habitants : Les Italiens sont connus pour leur hospitalité chaleureuse et leur passion pour leur pays. N'hésitez pas à interagir avec les habitants et à découvrir leur culture et leurs traditions. Si cet article vous a plu, n"hésitez pas à nous laisser un commentaire ou à partager le contenu. Read the full article
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latribune · 10 days
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cripsnkoukie · 19 days
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Idée de la nuit #1
1969 
Les gens nés en 1940 donc pendant la guerre avait 30 ans au début des années 70 ceux née en 1950 en avait 20 et vivait pleinement cette époque “béni” de la libération. 
Je ne précise pas laquelle car elle n’a pas été que sexuelle tout aussi bien dans la peinture que dans le cinéma ou la politique tout s’est débridée affranchi des idées préconçues. 
Dans l’imaginaire collectif il y a eu les premières civilisations athéniennes avec la création de la démocratie, le moyen âge et la renaissance qui sont les fondements de notre société actuelle et les années 70 qui ont fini de nous inspirer. En tout cas c’est comme ça dans mon imaginaire collectif. En bref quelqu’un née en allemagne Nazi pouvait se retrouver à 30 ans en train de fumer des joints dans un concerts des stones. 
Le fait qu’il n’y ai que 15 ans qui s’épares la chute de l’empire Nazi de la formation des Beatles à Livepool m’obséde. 
Ça veut dire que moi qui ai 22 ans aujourd’hui si j’étais née en 1945 à 20 ans j’écouterais les beatles sans doutes tout en ayant un père qui ai fait la guerre, vivrait sur une terre qui était allemande quelque année aux par avant durant ma naissance ou à peine avant. Ce qui me choque c’est que je sois née en 2001 en pleins durant les attentats à New York. Je suis née 1 mois après les attentats du 11 septembre, une des seules dates historiques que je connaisse par cœur et que j’ai presque vécues. Dans le ventre de ma mère qui regardait ça derrière la télé. Quand j’avais 15 ans il y a eu les attentats de Charlie hebdo, le bataclan, Nice. 
Je suis dans une période de trouble, le trouble terroriste et je vis encore dedans actuellement bien que la tendance soit passé aux troubles sanitaires.
Si j’étais née il y a 70 ans sur la même durée de vie je serais passé d’un des pires drames de l’histoire de l’humanité, à l’une des périodes clés qui ai construit ma culture ainsi que mes goûts et que la société dans laquelle je vie. Drôle de siècle que j’ai raté. 
En 1970, tu pouvais rouler un cabriolet rouge à 100km sur les grandes routes des états unis, où traire des vaches dans une ambiance soviétique. 
Ma famille à toujours était retro, dans le mauvais sens du terme. Du genre famille italienne mais qui tient surtout de l’union soviétique. Quand je suis née j’avais même pas l’impression que les année 70 avait passé le pas de la porte ou encore moins que la guerre était finie. J’avais la phobie de ces classes maternelles primaires, avec un cadre de chirac affiché, alors que Nicolas Sarkozy devait déjà être élu à l’époque. J’ai l’impression d’être née dans le passé et que les années 70 c’est le futur. Un futur qu’on à tous raté ou alors qu’on a laissé partir. 
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jpbjazz · 1 month
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LÉGENDES DU JAZZ
GATO BARBIERI, LE CHAT AUX NEUF VIES
‘’When I play, I try to sing without words."
- Gato Barbieri
Né le 28 novembre 1932 à Rosario, en Argentine, Leandro ‘’Gato’’ Barbieri est né dans une famille de musiciens. Son oncle jouait du saxophone et son frère de la trompette.
Barbieri a commencé à jouer de la musique après avoir entendu l’enregistrement de ‘’Now’s the time’’ de Charlie Parker qui avait été sa première influence. Barbieri avait commencé à jouer de la clarinette à l’âge de douze ans. Barbieri s’était installé à Buenos Aires avec sa famille en 1947. Par la suite, Barbieri avait pris des cours privés de saxophone alto, de clarinette et de composition durant cinq ans avant de passer au saxophone ténor.
Barbieri s’était mérité le surnom de ‘’Gato’’ (qui signifie chat en espagnol) dans les années 1950 en raison de la facilité avec laquelle il passait d’un club à l’autre pour donner sa prochaine prestation.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Barbieri avait amorcé sa carrière musicale à la fin des années 1950. À l’époque, l’Argentine étant toujours placée sous la dictature de Juan Peron, Barbieri avait fait ses débuts en Bolivie en jouant du saxophone alto avec le pianiste et compositeur argentin Lalo Schifrin. Ce n’est que par la suite qu’il avait adopté le saxophone ténor sous l’influence de John Coltrane. Décrivant cette période comme une sorte de libération, Barbari avait expliqué: “During that time, Juan Peron was in power. We weren’t allowed to play all jazz; we had to include some traditional music, too. So we played tango and other things like carnavalito.” À Buenos Aires, Barbieri avait également eu l’occasion de jouer avec des musiciens en visite comme le roi du mambo cubain Perez Prado, ainsi que des grands noms du jazz comme Coleman Hawkins, Herbie Mann, Dizzy Gillespie et João Gilberto.
Après avoir quitté l’orchestre de Schifrin, Barbieri avait formé son propre groupe. Après avoir passé quelques années à jouer en Argentine, Barbieri avait décidé de déménager aux États-Unis, puis à Rome, en Italie où il s’était installé en 1962 avec sa femme Michelle, qui était elle-même d’origine italienne.
Mais même si Barbieri était rapidement devenu un incontournable des clubs italiens, le couple était loin d’être heureux dans son nouvel environnement. À l’époque, beaucoup de gens avaient encore la perception qu’un véritable musicien de jazz devait être nécessairement noir. Avec son nom à consonance italienne et sa peau blanche, Barbieri avait d’ailleurs été plutôt mal accueilli par plusieurs musiciens qui lui avaient clairement laissé entendre que sa carrière était vouée à l’échec.
En 1963, Barbieri se produisait à Rome lorsqu’il avait rencontré le trompettiste Don Cherry qui l’avait invité à faire partie de son groupe. Véritable groupe multiracial, l’ensemble de Cherry, qui se produisait à l’époque à Paris, en France, comprenait un Allemand, un Italien et un Français. À Paris, Barbieri avait rapidement trouvé sa place, comme l’avaient fait plusieurs musiciens américains en exil à une certaine époque. Avec Cherry comme mentor, Barbieri avait enregistré deux albums de free jazz pour les disques Blue Note au milieu des années 1960. Barbieri avait d’abord joué du saxophone ténor sur l’album de Cherry intitulé ‘’Symphony for Improvisers’’ aux côtés de Phaoah Sanders avant de collaborer à l’enregistrement de l’album de Cherry ‘’Complete Communion’’ (1965). Les deux albums sont aujourd’hui considérés comme des classiques du free jazz. Parallèlement à sa collaboration avec Cherry, Barbieri avait également enregistré avec Steve Lacy et Dollar Brand (Abdullah Ibrahim).
Barbieri avait finalement quitté le groupe de Cherry en 1965 pour s’installer à New York où il avait lancé sa carrière solo. Influencé par le mouvement des droits civiques qui avait contribué à revaloriser la culture afro-américaine à l’époque, Barberi avait commencé à revendiquer sa propre culture et à incorporer les sons de son Amérique du Sud natale dans sa propre musique. Comme Barbieri l’avait précisé au cours d’une entrevue accordée au magazine Down Beat, "So slowly, slowly, I changed. Many people are concerned about technique but I'm concerned about sound."
Sous l’influence des dernier albums de John Coltrane et des autres musiciens de free jazz comme Albert Ayler et Pharoah Sanders, Barbieri avait progressivement commencé à développer la sonorité chaude et intense qui l’avait caractérisé au cours de sa carrière. À la fin des années 1960, Barbieri avait continué  d’intégrer des éléments de musique sud-américaine dans son jeu tout en collaborant avec des projets d’envergure comme le Liberation Music Orchestra de Charlie Haden et l’opéra ‘’Escalator Over the Hill’’ de Carla Bley.
En mars 1967, Barbieri avait publié un premier album comme leader intitulé ‘’Search of Mystery’’ sur laquelle il avait poursuivi les expérimentations qu’il avait amorcées avec Cherry. Très influencé par le free jazz, l’album, qui avait été enregistré avec un groupe composé d’un violoncelle, d’une contrebasse et d’un batterie, avait été assez bien accueilli par la critique. À peine trois mois plus tard, Barbieri avait enchaîné avec ‘’Obsession’’, un album en trio. Après avoir collaboré avec le pianiste Dollar Brand (Abdullah Ibrahim) dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Confluence’’ (mars 1968), le Jazz Composer’s Orchestra de Micharl Mantler (1968) et le Liberation Music Orchestra de Charlie Haden (1969) et avoir signé un contrat avec les disques Flying Dutchman de Bob Thiele, Barbieri avait finalement trouvé son propre son sur l’album ‘’Third World’’ (novembre 1969) dans lequel il avait tenté de réaliser une fusion du free jazz avec la musique latino-américaine. Trois des quatre pièces de l’album rendaient d’ailleurs hommage à des compositeurs argentins. Enregistré avec des sommités du jazz comme Charlie Haden et Roswell Rudd, l’album est aujourd’hui considéré comme un des meilleurs de la carrière de Barbieri. Barbieri avait enregistré cinq albums avec les disques Flying Dutchman, ce qui lui avait permis de jouer avec de grands noms du jazz comme Roswell Rudd, Lonnie Liston Smith, Charlie Haden, Ron Carter, Naná Vasconcelos, John Abercrombie, Stanley Clarke, Roy Haynes et Airto Moreira. Durant cette période, Barbieri s’était également établi comme un des saxophonistes plus originaux du début des années 1970.
De plus en plus intéressé à fournir au public américain des versions ‘’jazzy’’ de classiques latino-américains, Barbieri était retourné en Argentine afin de se retremper dans la musique de sa terre natale. En avril 1971, Barbieri avait publié ‘’Carnavalito on Fenix’’, un album influencé par la musique du Brésil et des Caraïbes. L’album avait été enregistré avec un groupe composé de Pharoah Sanders au saxophone ténor, de Lonnie Liston Smith au piano, de Joe Beck à la guitare, de Ron Carter à la contrebasse, de Lenny White à la batterie et de Nana Vasconcellos aux percussions. Avaient suivi des albums comme ‘’El Pampero on the live El Pampero’’ (publié en juin 1971) et ‘’El Parana on Under Fire’’ (enregistré en 1971), qui mettait en vedette Smith au piano, John Abercrombie à la guitare, Stanley Clarke à la basse et Airto Moreira aux percussions. Chaque album comprenait au moins une composition de Barbieri, qui avait continué de manifester son intérêt pour la musique latino-américaine. Barbieri avait enchaîné en 1973 avec l’album ‘’Bolivia’’ qui comprenait le même personnel que ses albums précédents.
À partir de 1973, Barbieri avait commencé à publier une oeuvre beaucoup plus ambitieuse. Mettant en vedette de larges ensembles composés principalement de musiciens latino-américains, l’oeuvre qui prenait la forme d’une tétralogie comprenait les albums ‘’Latin America’’ (avril 1973), un des sommets artistiques de la carrière de Barbieri qui incluait notamment la suite en quatre parties ‘’La China Leoncia’’, ‘’Hasta Siempre’’ (avril 1973), ‘’Viva Emiliano Zapata’’ (juin 1974) et ‘’Alive In New York’’ (février 1975).
Par la suite, Barbieri était retourné en Europe, où il avait de nouveau connu un grand succès. Le succès remporté par Barbieri en Europe avait cependant eu l’effet pervers de diminuer son intérêt pour la musique de sa terre natale, transformant ainsi l’album ‘’Third World’’ en une sorte d’adieu aux rythmes traditionnels argentins.
Barbieri avait déjà composé quelques bandes sonores en Argentine et en Europe lorsqu’il avait été contacté par le réalisateur italien Bernardo Bertolucci qui lui avait offert d’écrire la musique du film ‘’Last Tango In Paris’’ en 1972. Barbieri avait accepté l’offre même si le fait de collaborer avec un réalisateur aussi prestigieux risquait de le le confiner à un genre musical en particulier. Décrivant sa collaboration avec Bertolucci, Barbieri avait commenté: “It was like a marriage between the film and the music. Bernardo told me, ‘I don’t want the music to be too much Hollywood or too much European, which is more intellectual. I want a median.’”
La trame sonore, qui combinait le tango traditionnel argentin à la musique européenne, avait remporté un grand succès et avait mérité à Barbieri un contrat avec les disques Impulse ainsi qu’un prix Grammy dans la catégorie de la meilleure musique de film originale. De fait, la bande sonore était devenue si populaire que des musiciens comme Herb Alpert et Willie Mitchell l’avaient bientôt ajoutée à leur répertoire. La version intégrale de la bande sonore n’avait cependant été publiée qu’en 1998.
Malheureusement, en raison des goûts pour le moins changeants du public et de la perte d’intérêt du public européen, la célébrité de Barbieri avait été plutôt éphémère.
En 1973, Barbieri était de nouveau rentré en Amérique du Sud, d’abord à Buenos Aires, puis à Rio de Janeiro, au Brésil. Barbieri avait alors enregistré une série de quatre albums intitulés ‘’Chapters’’ pour les disques Impulse qui mettaient en vedette des musiciens et des instruments latino-américains et témoignaient de l’atmosphère politique plutôt tendue qui prévalait en Amérique du Sud dans les années 1970. Un critique du magazine Down Beat avait écrit au sujet de cette période de la carrière de Barbieri: ‘’There was an almost overloaded thickness to the music, a texture of electric and acoustic, ancient, and modern instruments."
Malgré tout l’intérêt de ces albums, c’est surtout après avoir fait un virage vers un jazz plus accessible dans le cadre de l’album Caliente en 1976 que Barbieri avait recommencé à connaître un certain succès. Après la faillite de disques Flying Dutchman et Impulse, Barbieri avait été contacté par le fondateur des disques A & M, le saxophoniste Herb Alpert, qui lui avait fait enregistrer un album de jazz soul comprenant des succès de Santana et de Marvin Gaye. Dans une autre de ses nombreuses métamorphoses, Barbieri avait abandonné son style éclectique pour devenir un artiste très populaire à la radio. Vendu à 225 000 copies, l’album ‘’Caliente’’, publié en 1976, était devenu le disque le plus populaire de la carrière de Barbieri. L’album comprenait la pièce la plus connue de Barbieri, une version de la composition de Carlos Santana, ‘’Europa.’’ L’album, ainsi que le disque suivant de Barbieri, ‘’Ruby Ruby’’ (1977), était produit par le musicien et co-fondateur de la maison de disques, Herb Alpert. Dans le cadre de sa collaboration avec A & M, Barbieri avait aussi également avec des grands noms du jazz comme Randy Brecker, Bernard Purdie, Steve Gadd et Lee Ritenour. 
Durant le reste de sa carrière, Barbieri avait surtout joué des ballades pop.
Dans les années 1980, Barbieri avait aussi continué d’enregistrer et de composer des bandes sonores de film comme ‘’Firepower’’ (1979), et ‘’Strangers Kiss’’ (1983).
Barbieri avait été très affecté par la mort de son épouse Michelle qui était décédée en 1995 à la suite d’un long combat de dix ans contre le cancer. Le couple s’était marié en 1960. Très proche de son mari, Michelle était également sa gérante et sa conseillère musicale. Barbieri et Michelle avaient toujours été insérables, et vivaient une sorte d’existence d’ermite qu’ils avaient qualifiée d’auto-isolement insulaire.
Lorsque Michelle était tombée malade, Barbieri avait cessé de faire des tournées pour prendre soin de sa femme. Après la mort de Michelle, Barbieri avait fait la rencontre de sa seconde épouse Laura, avec qui il avait eu un fils en 1998, Christian.
DERNIÈRES ANNÉES
Il faut dire que déjà au début des années 1980, Barbieri avait commencé à se retirer de la scène du jazz afin de redéfinir son style et son identité musicales. Depuis son virage vers un jazz plus commercial, Barbieri avait perdu une grande partie de sa crédibilité auprès des critiques. La santé de Barbieri avait également commencé à se détériorer. Seulement quelques mois après le décès de son épouse Michelle, le saxophoniste avait été victime d’une crise cardiaque.
Après la mort de sa femme, Barbieri s’était replié sur la seule autre constante de sa vie: son saxophone. Barbieri avait fait un retour en 1997 en publiant l’album ‘’Que Pasa?’’ Enregistré avec une nouvelle génération d’artistes ‘’smooth jazz’’, l’album, selon les dires du critique Jim Macnie du magazine Billboard, "stresses the hallmark of Barbieri's work: a fervent attack and commitment to melody."
Barbieri avait recommencé à enregistrer et à donner des concerts à la fin des années 1990. Il avait également composé d’autres musiques de film, dont les trames sonores de ‘’Manhattan by Numbers’’ (1991) d’Amir Naderi et ‘’Seven Servants’’ (1996) de Daryush Shokof. Sur le plan musical, l’album ‘’Qué Pasa’’ (1997) l’avait encore accru ses liens avec le ‘’smooth jazz.’’ En 1999, Barbieri avait enchaîné avec l’album ‘’Che Corazon’’, qui avait été suivi en 2002 d’une oeuvre au titre passablement prophétique, ‘’The Shadow of the Cat.’’
Gato Barbieri est mort de pneumonie le 2 avril 2016 à New York à l’âge de quatre-vingt-trois ans. Saxophoniste apatride, Barbieri avait des résidences en Argentine, à New York et à Rome. Il laissait dans le deuil son épouse Laura, son fils Christian et une soeur, Raquel Barbieri.
Au moment de sa mort, Barbieri venait de terminer une période de résidence d’un mois au club Blue Note de New York. Barbieri était d’ailleurs un habitué du club, où il se produisait à tous les mois depuis plusieurs années. Barbieri avait joué pour la première fois au club Blue Note en 1985. Barbieri avait présenté un dernier concert au club le 23 novembre. Le gérant du club avait commenté : “He was a worldly free spirit, a really sweet man. He really was a pioneer.”
Même si les critiques l’avaient souvent comparé à John Coltrane et Pharoah Sanders, Barbieri se considérait plus proche du groupe rock Santana et du chanteur Marvin Gaye. Il expliquait: "When I play, I try to sing without words."
Si Barbieri avait adopté le surnom de Gato pour décrire son intensité comme saxophoniste, le surnom était progressivement devenu une référence aux nombreux changements de cap qu’il avait adoptées au cours de sa carrière. Tel un phoenix qui renaissait toujours de ses cendres, le penchant de Barbieri pour l’innovation reflétait ce perpétuel recommencement. Saxophoniste passionné, Barbieri avait un son d’une grande fraîcheur qui combinait les rythmes sud-américains au free jazz ou à des musiques plus ‘’mainstream’’ comme le Smooth jazz.
Doté d’une des sonorités les plus facilement identifiables du jazz, Barbieri a enregistré des dizaines d’albums tant comme leader qu’accompagnateur. Décrivant le son de Barbieri, le critique Jon Pareles du New York Times avait écrit en 1983 que le saxophoniste avait ‘’some of the most raucous sounds ever to emerge from a tenor saxophone.”. Pareles avait ajouté: “His horn screams, grunts, honks, bleats, groans. Even in ballads, he works up to a hefty, throbbing tone that sounds like it could burst at any moment.” 
Un an avant sa mort, Barbieri avait reçu un Lifetime Achievement Grammy Award de la Latin Recording Academy pour couronner l’ensemble de sa carrière. Lors de la remise du prix, l’Académie avait notamment reconnu le mérite à Barbieri d’avoir donné naissance ‘’à un style musical rebelle mais accessible qui combinait le jazz contemporain à la musique latino-américaine tout en incorporant des éléments de musique pop instrumentale.’’ Barbieri avait aussi servi de modèle au personnage de Zoot dans le groupe fictif Dr. Teeth and The Electric Mayhem qui faisait partie de la série pour enfants The Muppet Show.
La musique avait toujours été une expérience un peu spéciale pour Barbieri. Comme sa veuve Laura l’avait expliqué après son décès, ‘’Music was a mystery to Gato, and each time he played was a new experience for him, and he wanted it to be that way for his audience”. Faisant le bilan de sa carrière en 2006, Barbieri avait exprimé sa fierté d’avoir pu jouer dans différents styles musicaux. Il précisait: “In those days the jazz people they don’t consider me a jazz musician. If I am Latin, they don’t consider me Latin. So I am here in the middle. It’s a good thing,”You know why? Because they say, ‘What do you play?’ I say, ‘I play my music — Gato Barbieri.’”
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Gato Barbieri.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Gato Barbieri Biography.’’ Net Industries, 2023.
KEEPNEWS, Peter et Christopher Merle. ‘’Trailblazer With a Saxophone, Is Dead at 83.’’ New York Times, 2 avril 2016.
SCARUFFI, Piero. ‘’Gato Barbieri.’’ Piero Scaruffi, 2006.
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fashionbooksmilano · 27 days
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Global Style Battles
Modes et Sud Cultures Urbaines
Daniele Tamagni
Préface de Rosario Dawson et Abrina Erwiah
Dominique Carré éditeur / La Découverte, Paris 2015, 292 pages, 17x14cm, ISBN 9782373 680096
euro 45,00
email if you want to buy [email protected]
Ce livre est un mélange de situations spontanées. Son maître mot - identité - est illustré dans des contextes géographiques très différents, où est née une métaculture populaire, profondément enracinée, qui est à la fois un pied de nez à la culture coloniale ou occidentale et la source d'une grande créativité. Le fil rouge est tissé des nombreuses interviews réalisées au cours de ses différents voyages par Daniele Tamagni, interviews qui rendent compte de façon personnelle des modes de vie, des styles et des rêves d'une autre identité, de la part des sujets photographiés. En choisissant des pays ou des villes loin du contexte habituel de la mode, le livre donne un aperçu du phénomène de globalisation des styles, mais aussi de la résistance et de la préservation des traditions. Le livre détaille le quotidien de différentes populations dont le rapport à la mode est signe d'un activisme créatif et joyeux créatif. Les rockers du Botswana, les hipsters de Johannesburg, les dandys du Congo, les lutteuses de Bolivie, la jeunesse cubaine bling-bling, tous sont photographiés et se racontent dans la consciences de leur univers marginal dont ils veulent se démarquer. Etre à la mode, se déguiser, est un outil plantaire d'identité. Le livre vise à offrir un large éventail de pratiques urbaines, sans exclusion d'aucun aspect en termes de race, de sexe, d'âge ou de zones géographiques. Les gens sont dépeints dans différentes situations et contextes mais photographiés comme ils apparaissent naturellement dans un mélange des portraits posés, des portraits en mouvement et de détails. Les couleurs vives sont une des clés communes. Chaque chapitre est introduit par un écrivain (journaliste, chercheur) qui a été au contact de chacune des communautés. Tous racontent la multiplicité des relations et des contradictions à l'oeuvre : l'élégance vs kitsch, luxe / consumérisme vs pauvreté, tradition vs modernité, transformation vs uniformité, l'individuel / particularité vs généralité, originalité vs stéréotype.
Daniele Tamagni, de nationalité italienne, débute sa carrière comme historien de l’art avant de devenir photographe free-lance. Il se fait connaître en remportant en 2007 le Canon Young Photographer Award avec un reportage sur les dandys congolais. Il publie en 2009 Gentlemen of Bacongo avec une préface de Paul Smith, qui s’est inspiré de ses photographies pour sa collection printemps-été 2010. Il remporte en 2011 le World Press Photo in Arts & Entertainment avec son reportage sur les catcheuses de La Paz, en Bolivie. Depuis 2001, Tamagni centre son travail sur l’esthétique des différentes modes de la rue. Ses photographies ont été exposées dans les plus importants musées et galeries privées internationaux.
28/03/24
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xpoken · 1 month
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Halsey
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On parle de cette jeune chanteuse comme de la voix d'une nouvelle génération : c'est un phénomène unique qui combine le glamour de la pop culture et la contestation du street art. Mais Holzy elle-même dit qu'elle n'a rien fait d'exceptionnel jusqu'à présent, et le tatouage sur son bras en forme d'allumette ne "s'allumera" qu'après avoir écrit sa chanson principale.
Ashley Nicolette Frangipane est le vrai nom de la chanteuse. Le surnom de Halsey est un anagramme composé des lettres de son nom. Elle l'a inventé à l'âge de 14 ans, et depuis, elle préfère que tout le monde, même sa famille et ses amis, l'appelle ainsi.
Holsey est née le 29 septembre 1994 dans la petite ville d'Edison, New Jersey. La fille a des racines italiennes et afro-américaines. Elle est l'aînée de la famille de Christopher et Nicole Frangipani, et a deux frères plus jeunes, Dante et Sevian. Mon père était directeur d'un petit concessionnaire automobile et ma mère travaillait dans un hôpital local.
Selon une légende de fans, Holsey était sans abri parce que ses parents l'ont chassée de la maison et ont gagné leur vie en jouant de la musique dans les rues de Washington. Mais en réalité tout est différent.
Dès son plus jeune âge, la jeune fille aimait la musique, elle a appris à jouer du violon, aimait les sonnets de Shakespeare et rêvait de devenir chanteuse. Les parents ont soutenu la fille dans tout, et lorsqu'elle a reçu un diagnostic de trouble bipolaire, ils ont tout mis en œuvre pour l'aider à faire face à la maladie.
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rév¡S!On & damNat!ON
Du côté révisionniste, nous avons l’impression que Jabotinsky veut que les jeunes du Betar s’imprègnent d’un pays et d’une culture qu’il apprécie, et il se sent redevable au régime fasciste de les avoir accueillis. Cependant, il reste sur ses gardes, craignant une possible ingérence du régime dans l’endoctrinement de ces jeunes.
À Salonique le bateau reçoit un accueil triomphal et très chaleureux grâce à la propagande faite par la Ligue maritime juive94. En revanche, la dernière escale du bateau se déroule dans une ambiance houleuse. Le bateau Sara I fait escale à Tunis fin décembre et les autorités italiennes saluent favorablement son arrivée ; le consul d’Italie à Tunis rapporte avec enthousiasme les retombées…
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toutmontbeliard-com · 2 months
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Sortir ce week-end à Montbéliard
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Voici la sélection ToutMontbeliard.com d’idées sorties pour ce week-end : VENDREDI 16 FEVRIER 2024 - Karaoké à Audincourt, tubes italiens dans le cadre des Littératures Etrangères, à la Médiathèque, à 17h30 SAMEDI 17 FEVRIER 2024 - Axone Tattoo Show à l'Axone de Montbéliard > infos - Capitale française de la Culture : spectacle "Bateau" conté par Anne Lopez, à Valentigney, Maison des Contes en Est, à 10h00 et 16h00, par A la Lueur des Contes - Capitale française de la Culture : réouverture de la Damassine de Vandoncourt - Exposition "Ciao Italia, un siècle d’immigration et de culture italiennes 1860-1960" à Bethoncourt, Bibliothèque municipale Jean Macé, de 8h15 à 11h45 et de 13h45 à 16h15, dans le cadre des Littératures étrangères > infos - Atelier "On fait une partie ? Histoire contée et jeux de société" à Bethncourt, Bibliothèque municipale Jean Macé, de 14h00 à 16h00, à partir de 2 ans > infos - Projection du film d’animation "Leo Da Vinci : mission Mona Lisa" à Audincourt, dans le cadre des Littératures Etrangères, à la Médiathèque, à 14h00 - Théâtre à Audincourt : "Kapouchniks" par le Théâtre de l’Unité, au Studio des 3 Oranges, à 20h00 DIMANCHE 18 FEVRIER 2024 - Axone Tattoo Show à l'Axone de Montbéliard > infos - Capitale française de la Culture : réouverture de la Damassine de Vandoncourt - Bourse toute collection à Bethoncourt, Salle des Fêtes, de 8h30 à 14h00, organisée par l’Association de Philatélie Une idée sortie à proposer pour un prochain week-end ? Contactez-nous via www.toutmontbeliard.com/contact Read the full article
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blog-marisamarko · 2 months
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