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#culture anglaise
lounesdarbois · 7 months
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Bernhard Roetzel
Le luxe s'achète, le goût s'acquiert, l'élégance est innée. Bernhard Roetzel est l'auteur de manuels d'éducation du goût portant sur les détails de la culture occidentale. Ses livres illustrés Der Gentleman (1999) et Traditional Style (2000) sont des reportages photographiques de chaque aspect concret de la  Culture européenne: le vêtement, l'ameublement, les arts de la table, l'éducation des enfants, l'ordonnancement urbain, la classification des loisirs, jusqu'à l’entretien d’une pelouse, au cirage des chaussures ou à la préparation du pique-nique champêtre. Ce sont là des choses connues? Pourtant nous redécouvrons à neuf chacune d'entre elles, ressuscitées, à la lumière de photos et de commentaires dont l'efficacité sont sans concurrence dans ce domaine. M. Roetzel est un réenchanteur de tout ce que nous aimons dans le monde.
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Il y avait davantage de sagesse dans le concret des gestes quotidiens de nos grands-parents que dans la pseudo-philosophie du 20ème siècle. Vivre ainsi aujourd'hui, en Français traditionnel, est une voie ouverte à qui veut la prendre: la Culture Européenne détaillée par Roetzel est intemporelle ; la forme de cette Culture touche à une perfection qui ne souffre ni ajout ni retranchement.
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Nous vivons au milieu des pièces d'un fabuleux héritage et y sommes accoutumés au point de ne plus même le voir. Ce faisant nous perdons l'usage de ce legs, oublions d'où nous venons, qui nous sommes et ce que nous faisons.
Un homme annonce-t-il vouloir diriger une ferme, un village, une ville ou une région? Pour évaluer la confiance à lui accorder vous étiez jusqu'ici habitués à écouter ses discours. Vous examinerez désormais la manière dont cet homme a dirigé son propre domaine: son jardin, sa maison, son studio de 20 mètres carrés, sa toilette du jour. L'homme fidèle en peu de choses est capable de grandes choses dit l’Evangile.
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Notre monde du tertiaire, du débat, de l'abstrait, est rempli de directeurs de cabinet mais vide de chef de protocole. Aux "valeurs" il est bon de joindre les actes. C'est la stature, l'incarnation, l'exemple vivant qui nous donnera sans recours aux mots les clés de la vraie Culture. "Je n'ai point besoin de sermon mais de délivrance légère" disait Céline.
Der Gentleman est à la fois une encyclopédie du vêtement masculin, jalonnée d'encadrés, de bonnes astuces, et une notice d'utilisation, un vrai mode d'emploi de la vie pratique. Si Der Gentleman constitue le catalogue de l'Européen habillé, Traditional Style explore le cadre de vie de ce même homme. Ces deux titres complémentaires ont pour objet ce que les peuples occidentaux ont produit de plus beau, de plus intelligent, de plus pratique, bref d'objectif, au point d'y convertir le monde entier: porter un pantalon, manger avec des couverts dans une assiette, s'asseoir sur une chaise, dormir dans un lit. La fenêtre, le savon, la salle de bains et mille autres objets spécifiquement occidentaux sont eux aussi devenus objets universels.  Roetzel a expliqué, illustré chacun de ces éléments considérés dans leur finition la mieux aboutie.
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Est-ce en raison du fameux "esprit de système" germanique qu'il fallait que Bernhard Roetzel, allemand, fût le pédagogue le plus complet sur la culture anglaise, par exemple? L'Angleterre, l'Italie et la France sont des revendicateurs bruyants d'un certain art de vivre. Il existe en Allemagne une classe d'esthètes ignorée du reste du monde et peu soucieuse de s'en faire connaître. La bourgeoisie patrimoniale et industrieuse de Cologne, Munich, Hanovre, Brême, Hambourg, aux bourgeoisies très Heimat, connaît bien ses codes culturels : habitat, vêtement, sport, éducation, voiture, art et artisanat. Une bourgeoisie probablement plus raffinée, plus enracinée que la parisienne, que la londonienne, plus sérieuse, plus discrète.
M. Roetzel est un sujet qui s'efface pour ne montrer que l'objet, la chose en soi. En cela il rend davantage service à la cause qu'il sert que les "sartorialistes" montreurs de costume issus du youtubage. Seule doit demeurer la Culture, dont le vêtement et l'ameublement sont des catégories "superficielles par profondeur", parmi d'autres.
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La production d’une Culture est la preuve de la Conscience de Soi d’un peuple. Les primitifs ne produisent pas de culture. Plus un peuple a de Conscience de Soi et plus la Culture qu’il produit est codifiée. L'exaltation de l'intelligence individuelle est une marque de basse époque, source de divisions hélas durables. La Culture, elle, est une intelligence collective, un pacifique ensemble d'habitudes forgées par l'expérience concrète de la vie, un tissu de réticences du Je en faveur du Nous, une science de la sous-expression (understatement), un code de reconnaissance communautaire à usage interne pour l'exercice du Bien Commun. La Culture était très understatement jusqu'à la fin des années 1990, avant les années Eden Park, avant la vague tapageuse du faux preppy, du genre gala d'école de commerce, lorsque l'argent était encore une chose un peu honteuse et que les classes sociales d'avant internet vivaient dans un relatif cloisonnement. Charme discret de la petite bourgeoisie locale, où êtes-vous ?
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M. Roetzel écrit non en conseiller en mode mais en technicien de la culture attentif aux faits, aux actes et aux objets qui équipent celle-ci, il rédige un rapport d'enquête renseigné, neutre, qui démontre chaque argument par la photographie appropriée.
Le vrai style ne peut être sujet qu'à un ou deux changements mineurs par génération. Contrairement à la mode le style est stable, sa supériorité n'est pas dans le renouvellement cyclique de nouveautés mais dans le perfectionnement d'une Forme qui vise la plus pure exactitude fonctionnelle. L'ergonomie du vêtement bien pensé, l'importance de connaissances en anatomie pour former de bons modélistes, vastes sujets qui sont la voie royale du bel habillement.
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Deux principales tendances accaparent les hommes: ils sont plutôt exhibitionnistes ou bien plutôt voyeurs c'est ainsi. Les exhibitionnistes sont la majorité de ce monde qui gît au pouvoir du mauvais goût, individus à haute estime de soi et basse conscience de soi. Monsieur Roetzel appartient au tempérament exactement opposé, celui du voyeur, celui des hommes en retrait qui aiment voir et n'être pas vus, qui ont tout compris et que personne n'écoute, c'est pourquoi ils écrivent.
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nirindahouse · 1 year
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J’imagine que vous savez … Lewis Carroll, consommateur assumé de différentes drogues peupla son récit de références directes, du gâteau « Mange-moi » à la chenille qui fume en passant par l’expression « fall down the rabbit hole » (« tomber dans le terrier du lapin », en anglais, cette expression est aussi liée à la prise de drogues hallucinogènes). La version de Disney est aussi, complètement psychédélique avec ses visions étranges, ses métaphores de prise de drogue et ses personnages hallucinés et hallucinants. Alice est maintenant une figure pop culture et geek, ça fait un moment que je voulais moi aussi la « salire ». #art #artwork by @nirin_da_house2 #nirindahouse #nirin #popart #popculture #collage Pour ce tableau d’un format 80x60 j’ai utilisé à la fois le collage, pour le personnage, du plâtre pour faire les feuilles et une édition anglaise des 70´s de Alice. (à Montreuil, Ile-De-France, France) https://www.instagram.com/p/CqYaRrvorAJ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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claudehenrion · 1 year
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Les anglaises sont rousses...
  Grâce à nos élus qui se soucient sans cesse  de nous –et avec quelle attention vicelarde (C'est que... des contribuables qui acceptent de se faire plumer année après année, et qui se complaisent dans le rôle humiliant de champions du monde perpétuels de la ponction fiscale mal dépensée...  ça ne se cajole jamais assez !)-- nos télévisions-aux-ordres nous enquiquinent avec des conseils aussi inutiles que infantilisants (ou vice-versa). J'écrivais récemment que les français n'ont même plus le droit de regarder un reportage sur ''la vinification chez les gaulois'' sans qu’un ‘’garde rouge’’ de la morale bobo n'interrompe le film pour glisser un suave ''bien sûr... à consommer avec modération'' condescendant, déplacé, et inutile.
On pourrait en rire, si ce n'était pas si douloureux : le même pouvoir qui autorise l'assassinat légal des bébés dans le ventre de leur mère ''jusqu'au neuvième mois inclus'' ou des vieillards qui ne demandent qu'une mort sans trop de douleur (NDLR - car au contraire des faux intellos -vrais malfaisants, je les connais, moi : ce sont mes amis, mes ''copains de classe''. Je suis ''eux'' et ils sont ''moi'' !) a inventé de rebaptiser ''mort dans la dignité'' ce qui n’est qu’ ''une mort conforme à leurs critères administratifs à eux'' ! L’expression est passée dans les mœurs (Presse-aux-ordres commande), mais comme tout le reste, c'est un mensonge : une souffrance en phase terminale peut être décrite comme  bouleversante, terrible, insupportable, effrayante...  c’est-à-dire : tout, sauf ''indigne'' ! Il faut l'être soi-même (indigne) pour insulter les mourants en légalisant leur assassinat d’une simple pirouette verbale.
On connaît cette boutade qui affirme –avec raison-- qu'un homme de Droite qui est opposé à une chose l'évite pour lui-même et met en garde ses enfants... tandis qu'un homme de Gauche n'aura de cesse de faire voter une loi qui interdit ce que lui n'aime pas... à tout le monde. C'est le côté ''donneuses de leçons'' de toutes les Gauches, et on n'y peut rien : c'est ''de définition''... Et ladite Gauche, s'étant emparée des leviers de la culture –qui, à cause de ce ''Hold-up'', ne mérite plus le nom de ''culture'' mais doit être appelée ''endoctrinement'' (c'est peut-être pour ça que Macron croit ''qu'il n'existe pas de culture française'', le pauvre !)--  nous empoisonne la vie avec ses préjugés, ses interdits, ses fausses précautions, ses fausses pudeurs et ses vrais emmerdements --qui sont nos vraies contraintes.
Un exemple ? C'est l'apostrophe un peu démodée ''les anglaises sont rousses''. La langue française étant d'une clarté exemplaire, cette phrase n'a jamais voulu dire ''absolument toutes les anglaises sont rousses'', et pas, non plus ''il n'existe pas une seule anglaise qui ne soit pas rousse''. Pour dire cela, il eût fallu dire ou écrire : ''les anglaises sont toutes rousses'', la place du pronom précisant la volonté de généraliser cette opinion.  Sur ce modèle, nos ancêtres avaient forgé un florilège d'histoires dites ''drôles'' (et qui l'étaient, souvent) sur ''les suisses sont lents'' (avec le personnage de Ouin-ouin), ''les belges sont lourds (j'ai des noms !), les anglais sont snobs, les américains incultes, les italiens bruyants, les allemands brutaux, les chinois rusés, les juifs radins et les arabes pas top ''fute-fute'' et assez naîfs'' (Oh ! Pu...naise, comme disaient les pieds-noirs : qu'est-ce qu'ils ''zont'' changé !). Tout était clair, simple, bon enfant, pas agressif ni ''n'importe quoi-o--phobe'' pour deux sous, pour des gens qui parlaient français, eux. Du coup, tout le monde riait et était gai, sans avoir besoin d'un ''y'' militant et made in USA... pour ne plus l'être ! 
Car ces temps heureux sont hélas bien finis : une cuistrerie parfaite et une inculture absolue d'une part, et l'endoctrinement et la trouille de ne pas paraître assez soumis aux effroyables idées à la mode, d'autre part... ont autorisé les ânes multi-diplômés (mais bâtés quand même !) qui règnent sur nos chaînes nationales, à interdire toute phrase qui pourrait, peut-être-on-ne-sait-jamais, faire penser à une seule anglaise blonde, fausse blonde ou brune qu'elle est rousse, à Monsieur Roger Federer qu'on pourrait le trouver lent, ou aux belges, sympa, si drôles, et qui nous ont prêté tant de si talentueux chanteurs... qu'on les trouverait ‘’lourds’’...  
Dans le cas –''improbable, mais on ne sait jamais'' (sic !)--  où une seule personne, extrêmement mal embouchée et ''cherchant la petite bête'', risquerait (ou pourrait risquer, ce n'est pas impossible, etc...), de mal prendre une expression usuelle et dite sans la plus petite arrière-pensée de vexer ou de faire la moindre peine... l'habitude s'est imposée de sacrifier la belle langue française et de ne plus avoir le droit de raconter des histoires de Ouin-ouin ou du célèbre ''c'est un belge qui...'' de Coluche... (NDLR : à quand remonte la dernière histoire belge, ou suisse... ou marseillaise que vous avez entendue ?). Il est interdit aux 3 ou 400 millions de ''locuteurs'' de notre ex-si belle langue d'utiliser librement ce joli véhicule d'une pensée autrefois riche et féconde, et parfois gauloise ! La trouille du ''avoir l'air de ne pas...'' a pris le pouvoir. Descartes, réveille-toi, ils sont devenus fous !
Les profs de fausse morale à deux balles ont trouvé le poison qui rend tout dialogue impossible : essayez-donc de dire à des amis, même dans votre ''chez-vous'', une phrase assez descriptive de ce qu'est devenue la France, telle que : ''Un type a tué un prêtre (NDLR : Vous trouvez que ''un prêtre'', c'est trop marqué ? OK : on va dire... ''a tué une octogénaire... ou une jeune femme''... ça vous va ? C'est du ''vécu'', mais pas plus que le prêtre, statistiquement) à coups de couteau de boucherie, en criant ''Allahou akbar'' (ça aussi, c'est ''du vécu''), et il se trouvera obligatoirement un idiot-de-service pour couper votre phrase en s'écriant, avec l'air de ''Je me contrôle, mais je suis prêt à exploser'' : ''Mais tous les musulmans ne sont pas des assassins''... comme s'il existait la moindre possibilité d'un lien de cause à effet entre votre phrase et sa remarque déplacée ! Je vous demandais depuis quand on ne vous avait pas fait rire avec une ''histoire belge''… La question suivante est : ''combien de fois par jour/semaine/mois avez vous entendu cette ineptie :  ''les ''ceux-ci''... ne sont pas tous des... ''cela'' ?''. Sans doute entre 5 et 10 fois par ''unité de temps'' (et le double, sans doute, si vous n'avez pas pris la sage décision de ne plus jamais écouter BFM/TV ni les chaînes dites ''du Sévice public'' qui, comme les filles du même nom, ont vendu leur âme pour une subvention).
En outre, le ''No pasaràn'' des redresseurs-de-torts-non-commis est, comme tout ce qui se fait et se dit dans la France officielle, sélectif à en être faux : en fait, nous ne sommes plus en ''République'', mais dans un ''Royaume’’, celui du 2poids / 2mesures : la fausse précaution vétilleuse qui interrompt des phrases justes, vise à imposer l'idée absurde que tous les êtres humains sont, bien plus qu'égaux, interchangeables : hommes et femmes, papas et mamans, grands et petits, gros et maigres, noirs et arabes (mais pas blancs : ceux-là doivent être rejetés d'emblée, par système), jeunes et très jeunes (les vioques, c'est comme les blancs et les russes, même rouges : bons à jeter !)... Tout ce qui est du bon côté gauche de leur manche manchot est substituable... puisque ''tout se vaut'' !  Et je vous rassure, donc : vous pouvez vous balader librement dans les rues en criant, autant que vous voudrez : ''Les américains sont des salauds, les allemands des teutons, les italiens des fachos-mélonistes, les russes des criminels de guerre, le Rassemblement National des je-ne-sais-quoi (là, la liste est immense !), les hongrois des ennemis de l'humanité'', ''Zemmour un judéophobe'' (ils ont osé !)... sans problème. Pas la moindre réaction prévue, côté force publique ou magistrats (dés-) orientés du SM.
Et puisque on nous raconte que la France serait un ''pays de droit''  respectant la liberté de parole et de pensée (que ne fait-on dire aux mots !), vous êtes libre, aussi, de crier ''les ukrainiens sont parfaits'', ''les migrants sont chez eux, chez vous'' (chez moi aussi, en théorie, mais ça... ça ne me sort pas facilement !), ''tous les arabes ne sont pas des…'' (suit la liste des péchés capitaux chrétiens –qu'on brandit, pour l'occasion)...  Vous pourrez même crier ''les anglaises sont rousses''.. tant que Meghan Markle ne voit pas là un racisme contre elle... ou son Sussex.
Mais tout de même... si vous mettez un pied dans la géhenne de ces fausses libertés orientées à force d'être désorientées, faites gaffe ! Pas d'amalgame et pas de dérapage : Big Brother vous attend au coin du bois, si vous êtes blanc : on est en démocratie macronisée, ça change tout ! Les anglaises peuvent être rousses, mais, comme le ressassent les censeurs endoctrinés, aucune minorité ne saurait être gratifiée d'un qualificatif (même bien mérité) qui lui déplaît...  Une fois qu'on sait ça, les choses deviennent plus faciles (en théorie) : il suffit de ''parler correct'' !
H-Cl.
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jackybayili · 2 years
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world news lawyers miss bayili...
http://www.cultureetpartage.com/index.php/fr/culture/world-cuture-news-madame
http://www.cultureetpartage.com/index.php/fr/article
Jacky Bayili (auteur)
Cinéaste multimédia de formation j'ai obtenu mon doctorat en science de l'information en 2013. Rédacteur de films et expressions théâtrales, j'ai travaillé aux seins d'organismes culturels au Sénégal et au Burkina Faso. Je suis en finalisation d'une nouvelle collections d'écriture.
Sportif et aventure, histoire et cinéma, j'ai dans mon enfance participer à de nombreux films et documentaires. Né d'un père burkinabè et d'une mère sénégalaise, j'ai de nombreuses fois voyager et expérimenter l'art de l'aventure.
J'ai obtenu en 2001 mon baccalauréat professionnel en comptabilité et poursuivi une licence anglaise à Coventry University.
J'ai obtenu une maitrise en multimédia. J'ai enseigné les datacenters et les données médicales auprès du professeur d'université Luc Quoniam en thèse et base de données stratégiques.
J'ai pu coopérer avec des ONG et des structures étatiques au Burkina Faso. Je suis devenu écrivain auprès de l'harmattan en 2014 et continue mon avancée en tant que coopérant au Burkina Faso et en France…
Je vous informe d'un partenariat avec Amazon et un livre dédicace à la belle avocate, mon avocate, mon inspiratrice :
https://consultation.avocat.fr/avocat-cannes/sung-soon-egbertsen-44791
Mes livres amazon :
www.cultureetpartage.com
Renseignements
Titre(s), Diplôme(s) :
Docteur en Science de l'information
Fonction(s) actuelle(s) : Ecrivain(e), Conseillé politique
Né(e) le 24/09/1982 à Cannes
Pays d'origine : Burkina Faso, Sénégal, France
Résidence
LES PINS A2 48 ALLEE DES COUGOUSSOLLES
06110 LE CANNET ROCHEVILLE
France
tel. 0033782461515
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mmepastel · 2 years
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Voilà un livre délicieux. Je l’ai savouré en regrettant de ne pas avoir les thés évoqués sous la main pour pouvoir ajouter cette dimension à ma lecture. Mais après l’avoir fini j’ai passé commande pour essayer des crus inconnus de moi, car au fond, je n’y connais pas grand chose, même si j’en ai toujours bu, ou presque. Étudiante, je buvais du thé au jasmin, puis j’ai découvert à Istanbul le thé noir à la pomme dans ses petits verres évasés, que j’ai ramené en France, perdant à l’arrivée presque tout le plaisir tant celui-ci était associé au bazar dans lequel on les dégustait, les causeurs et leur narguilé, les joueurs de backgammon… il y a aussi eu une époque où j’ai pris le thé vert en grippe car j’avais trouvé qu’il me donnait de la tachycardie et m’asséchais la bouche. J’ai traversé une longue période d’infusions, mais j’ai fini par revenir au Grand Yunnan, que je trouve velouté et si beau.
Mais quand on lit Lucie Azema, on comprend que cette boisson est bien plus riche et passionnante que mon sachet de Yunnan ou d’Earl Grey même accompagné de son nuage de lait.
On part de la légende de la naissance de la boisson, une feuille de théier tombée dans une tasse d’eau chaude, en Chine, et on fait un voyage complet. Voyage géographique, historique et linguistique qui s’attache aux noms de la boisson, qui montre remarquablement comment le thé s’accommode et se modifie au contact des lieux et des cultures qui le découvrent progressivement, de l’Inde à la Russie en passant par l’Iran (comme je rêverais de visiter ce sublime pays s’il ne faisait pas si peur) ; au passage on comprend deux trois choses sur l’histoire géopolitique qui a secoué l’Asie. Et comment le monopole chinois du thé a été rompu par les aventures (dignes de Tintin) du britannique Robert Fortune, botaniste devenu espion de la Couronne, qui vole des plants, des graines, élucide le mystère des méthodes de séchage et d’oxydation de la feuille de thé, et les expédie en Inde pour y faire fleurir un commerce qui dépassera l’entendement et remplira les poches anglaise.
Voyage sensoriel également, qui explore les différentes couleurs des thés, montrant que leur perception change d’un pays à l’autre (on parle de thé sombre, le pu-erh, de thé rouge en Chine, pour le thé qu’on appelle thé noir ici), mais on découvre avec ravissement le thé bleu, jaune ou blanc. Et les sens qui sont aussi recensés et explorés (n’ayez pas la naïveté qu’il ne s’agit que de goût et d’odorat ! La vue, le toucher et l’ouïe comptent aussi : le battement du fouet qui prépare le matcha, la cuillère contre le samovar… pour ne citer que quelques exemples). A ces couleurs et sensations se mêlent les habitudes de convivialité, qui prolongent le voyage avec sa dimension émotionnelle ; j’ai adoré la coutume iranienne autour de l’offre d’une tasse de thé qui doit être déclinée plusieurs fois selon un rituel codifié.
Bref, vous l’aurez compris, ce petit livre érudit est merveilleux. Vous voyagez au fil de la prose délicate de Lucie Azema, qui raconte avec un vrai talent des choses très compliquées mais les rend accessibles, et n’oublie jamais les émotions dans son récit, les petites anecdotes et les grandes, le tout petit et le très grand du destin de la feuille de thé. Elle passe de l’intime à l’universel avec aisance ; et on a envie de partager avec elle une tasse de thé, et de s’ancrer dans l’instant et dans l’histoire, tout ensemble.
L’autrice n’oublie pas non plus d’évoquer les « petites mains » qui cueillent, la misère cachée derrière le ravissement du palais, les oubliés du luxe, les destins broyés par les exigences du commerce.
Bref c’est un livre qui paraît léger et qui semble effleurer le sujet (tant celui-ci est ample) mais qui dit énormément en peu de mots, et me parait au contraire très intelligent et astucieux pour avoir synthétisé aussi brillamment des thématiques aussi différentes et complexes. Cerise sur le gâteau, le livre donne envie de lire Pierre Loti (je me souviens de son café charmant sur la colline stambouliote) et bien d’autres auteurs de tous horizons.
NB : j’ai notamment commandé du thé vert japonais, le sencha, loué par l’autrice, et qui promet des arômes marins et iodés ! Comment résister à une telle promesse ? Je vous dirai mon ressenti.
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dinographs · 2 years
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The Middle Earth : Gastronomy ?
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Petite question, et vous pouvez bien sûr me répondre dans votre langue maternelle et non en français, qu'elles sont les cultures culinaires des peuples de la Terre du Mileu (peut-être hormis les hobbits) ? La gastronomie, les évolutions techniques de la cuisine et les déjeuners sur le pouce ?
Cela m'intrigue car Tolkien est si minutieux, si descriptif, l'établissement d'une histoire culinaire n'aurait pas pu être passée sous le tapis aussi facilement. Enfin je me le demande.
N'hésitez pas à me faire part de vos réflexions, vos théories et hypothèses, vos idées et vos références aussi. J'ai déjà ma petite idée en ce qui concerne la cuisine des hobbits ; une cuisine anglaise, rustique, mais je ne puis m'empêcher de penser aux autres traditions gastronomiques d'Europe. Je suis française, ma vision est biaisée, et je pense à cette fantastique scène dans La Gloire de mon père où l'oncle Jules ramène un dimanche un merveilleux Baba sertit de fruits confits. J'imagine très bien Bilbon en déguster un pour le déjeuner. (Accompagné d'une cuisine pleine de beurre, d'huile, de graisse et de saint-doux.)
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Ou les fameuses crêpes du chef Raymond Oliver à base de rhum, de pastis et de bière (et une trentaine de crêpes par personne. 🤭)
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Le bonheur se trouve dans les petites choses. La plus grande joie se trouve dans les petits plaisirs que nous confère la vie et la nourriture en est le plus important. « J'ai la peau du ventre bien tendue. Merci petit Jésus. »
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P.S. : J'ai dans l'idée, même s'il y a plus de chance que rien ne se concrétise jamais, d'éventuellement écrire une fanfiction sur les œuvres de Tolkien. J'aime beaucoup les longs textes et les longues descriptions, merci aux auteurs français du XIXème siècles, et la cuisine fait partie intégrante d'un point, ou de plusieurs, que je voudrais développer dans mon récit si récit il y a lieu.
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christophe76460 · 17 days
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DEVOIR ET HONNEUR
Il y a plusieurs années, je participais à une discussion avec des hommes d'affaires à Jackson, dans le Mississippi. Au cours de la conversation, l'un des hommes a fait référence à un homme qui n'était pas présent à la réunion. Il a dit : « C’est un homme honorable. » Lorsque j’ai entendu ce commentaire, mes oreilles se sont dressées et j’ai cru un instant entendre parler une langue étrangère. J'ai réalisé que j'étais au milieu du Sud profond où les coutumes d'antan n'avaient pas entièrement été éradiquées, et pourtant je n'arrivais toujours pas à comprendre que quelqu'un de nos jours utilise le mot honneur comme terme descriptif pour un être humain. Le terme honneur est devenu quelque peu archaïque. Nous pensons peut-être au célèbre discours prononcé par le général Douglas MacArthur à West Point intitulé « Devoir, honneur, pays », mais c'était il y a plus d'un demi-siècle. Aujourd’hui, le mot honneur a pratiquement disparu de la langue anglaise. Pratiquement, la seule fois où je vois le mot imprimé, c'est sur des autocollants de pare-chocs qui déclarent que le propriétaire de l'automobile a un enfant qui figure sur le « Tableau d'honneur », mais le « Tableau d'honneur » est peut-être le dernier vestige d'un concept oublié. .
Je parle d’honneur parce que le dictionnaire cite le terme honneur comme principal synonyme du mot intégrité. Ma préoccupation dans cet article est de demander : « Quelle est la signification de l’intégrité ? » Si nous utilisons les définitions piétonnières que nous donnent les lexicographes, telles que celles que l’on trouve dans le dictionnaire Webster, nous lisons plusieurs entrées. En premier lieu, l’intégrité est définie comme « l’adhésion sans compromis aux principes moraux et éthiques ». Deuxièmement, l’intégrité signifie « solidité de caractère ». Troisièmement, l’intégrité signifie « honnêteté ». Quatrièmement, l’intégrité fait référence au fait d’être « entier ou entier ». Cinquièmement et enfin, l’intégrité signifie être « intact dans son caractère ».
Or, ces définitions décrivent des personnes qui sont presque aussi rares que l'utilisation du terme honneur. Dans le premier cas, l’intégrité décrirait quelqu’un que nous pourrions appeler « une personne de principes ». La personne qui est une personne de principes est, comme le définit le dictionnaire, une personne intransigeante. La personne n'est pas intransigeante dans chaque négociation ou discussion sur des questions importantes, mais elle est intransigeante en ce qui concerne les principes moraux et éthiques. C'est une personne qui fait passer les principes avant le gain personnel. L’art du compromis est une vertu dans une culture politiquement correcte, dont le politiquement correct lui-même est modifié par le qualificatif adjectival politique. Être politique, c’est souvent être une personne qui fait des compromis sur tout, y compris sur les principes.
Nous voyons également que l’intégrité fait référence à la solidité de caractère et à l’honnêteté. Lorsque nous regardons le Nouveau Testament, par exemple, dans l'épître de Jacques, Jacques donne une liste de vertus qui doivent se manifester dans la vie chrétienne. Dans le cinquième chapitre de cette lettre, au verset 12, il écrit :
Mais surtout, mes frères, ne jurez ni par le ciel, ni par la terre, ni par tout autre serment, mais que votre « oui » soit oui, et votre « non » soit non, afin que vous ne tombiez pas sous la condamnation.
Ici, Jacques élève la fiabilité de la parole d’une personne, la simple déclaration oui ou non, comme une vertu « au-dessus de tout ». Ce que James veut dire, c'est que l'intégrité nécessite une sorte d'honnêteté qui indique que lorsque nous disons que nous ferons quelque chose, notre parole constitue notre lien. Nous ne devrions pas exiger des serments et des vœux sacrés pour avoir confiance. On peut faire confiance aux personnes intègres sur la base de ce qu’elles disent.
Dans notre culture, nous constatons sans cesse la distinction entre un homme politique et un homme d’État. Une personne que je connais a fait cette distinction en ces termes : un homme politique est une personne qui regarde vers les prochaines élections, tandis qu'un homme d'État est une personne qui regarde vers la prochaine génération.
Le chrétien doit refléter le caractère de Dieu. Le chrétien doit être intransigeant en ce qui concerne les principes éthiques.
Il y a, certes, une sorte de cynisme inhérent à une telle distinction, l’idée étant que les hommes politiques sont des gens qui vont compromettre la vertu ou les principes pour être élus ou pour rester en fonction. Un tel manque de vertu se retrouve non seulement chez les politiciens, mais aussi dans les églises de tous les jours, qui semblent parfois remplies de ministres tout à fait prêts à compromettre la vérité de l’Évangile pour le bien de leur popularité actuelle. C’est le même manque d’intégrité qui a détruit la nation d’Israël dans l’Ancien Testament, où les faux prophètes proclamaient ce qu’ils savaient que le peuple voulait entendre, plutôt que ce que Dieu leur avait ordonné de dire. C’est la quintessence du manque d’intégrité.
Lorsque nous abordons le Nouveau Testament, nous regardons l'exemple suprême de manque d'intégrité dans le jugement accordé à Jésus par le procureur romain Ponce Pilate. Après avoir examiné et interrogé Jésus, Pilate a déclaré à la foule bruyante : « Je ne trouve aucun défaut en Lui. » Pourtant, après cette déclaration, Pilate était prêt à livrer l’Homme irréprochable entre les mains de la foule en colère. Il s’agissait clairement d’un acte de compromis politique où les principes et l’éthique ont été jetés aux oubliettes afin d’apaiser une foule affamée.
Nous revenons à nouveau à l'Ancien Testament et à l'expérience du prophète Isaïe dans sa vision enregistrée au chapitre 6 de ce livre. Nous nous souvenons qu'Isaïe a vu le Seigneur haut et élevé ainsi que les séraphins chantant le Trisagion : « Saint, Saint, Saint ». En réponse à cette révélation, Isaïe s’écria : « Malheur à moi », annonçant une malédiction sur lui-même. Il a dit que la raison de sa malédiction était parce que « je suis défait » ou « ruiné ». Ce qu’Isaïe a vécu à ce moment-là, c’est la désintégration humaine. Avant cette vision, Isaïe était peut-être considéré comme l’homme le plus juste de la nation. Il était en sécurité et confiant dans sa propre intégrité. Tout était maintenu par sa vertu. Il se considérait comme une personne entière et intégrée, mais dès qu’il a vu le modèle et la norme ultimes d’intégrité et de vertu dans le caractère de Dieu, il a connu la désintégration. Il s’est effondré, réalisant que son sens de l’intégrité n’était au mieux qu’un prétexte.
Calvin a indiqué que c'est le lot commun des êtres humains qui, tant qu'ils gardent le regard fixé sur le niveau horizontal ou terrestre de l'expérience, sont capables de se féliciter et de se considérer avec toute la flatterie d'être légèrement inférieurs aux demi-dieux. Mais une fois qu’ils lèvent les yeux vers le ciel et réfléchissent ne serait-ce qu’un instant à quel genre d’être Dieu est, ils tremblent et tremblent, devenant complètement désavoués de toute autre illusion de leur intégrité.
Le chrétien doit refléter le caractère de Dieu. Le chrétien doit être intransigeant en ce qui concerne les principes éthiques. Le chrétien est appelé à être une personne d’honneur dont on peut se fier à la parole.
- R.C Sproul
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comdigitaleblog · 19 days
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ShareAmi : Quand les seniors transmettent le français aux jeunes apprenants
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Imaginez un monde où les personnes âgées, riches de leur expérience et de leur sagesse, partagent leur temps et leur passion pour la langue française avec de jeunes apprenants du monde entier. C'est précisément la mission que s'est donnée ShareAmi, un programme innovant né pendant la crise sanitaire pour rapprocher les générations et les cultures autour de la langue de Molière.
Un projet dans l'air du temps
Lancé en mai 2020 par l'association Oldyssey, ShareAmi a vu le jour dans un contexte particulier. Alors que les personnes âgées se retrouvaient isolées par le confinement, les étudiants et jeunes réfugiés voyaient aussi leurs cours de français et échanges linguistiques suspendus. ShareAmi a saisi cette opportunité pour connecter ces deux générations via des conversations en visioconférence. Le concept est simple mais redoutablement efficace. Des seniors vivant en France échangent chaque semaine avec des jeunes du monde entier souhaitant perfectionner leur français : étudiants apprenant le français à l'étranger, jeunes migrants ou réfugiés. Chacun y trouve son compte : Pour les seniors : - Sortir d'un isolement renforcé par la crise sanitaire - Renforcer le sentiment d'utilité sociale - Trouver un intérêt dans les outils informatiques Pour les apprenants : - Développer de nouvelles formes d'échanges linguistiques - Faciliter l'intégration des personnes réfugiées - Mieux comprendre une nouvelle culture
Ils ont construit de belles histoires
En plus de 2 ans d'existence, ShareAmi a déjà formé plus de 220 duos intergénérationnels entre des seniors de 26 pays et des apprenants de plus de 50 nationalités. De belles histoires et amitiés sont nées de ces échanges hebdomadaires. Amy, étudiante britannique apprenant le français, et Claire, senior vivant en EHPAD, ont partagé leur passion commune pour la cuisine, la musique et la politique. Ahmed, migrant apprenant le français, et Annick, retraitée française passionnée d'histoire, ont pu échanger sur la culture et l'actualité. Jess, jeune fille au pair péruvienne vivant en France, et Marie-Christine, senior parisienne, ont approfondi leur connaissance mutuelle de la langue et de la culture française. Isabel, autre étudiante britannique, témoigne : "Nous parlons chaque semaine depuis presque 12 mois maintenant et notre relation continue de s'épanouir. Je vais commencer mon année à l'étranger en août, pendant laquelle nous prévoyons de nous rencontrer en face à face à Marseille. En plus de cela, ayant eu une si merveilleuse expérience personnelle, je suis maintenant bénévole pour ShareAmi." Philippe, senior français, raconte son expérience avec Charlotte, étudiante anglaise : "Nous partageons de nombreux centres d'intérêts: la littérature, le journalisme qu'elle voudrait pratiquer, l'histoire… La Normandie et l'Angleterre ont une mer, des pans d'histoire et des milliers de mots en commun. Si je peux donner à Charlotte un peu de ce que j'ai reçu, alors je serais très heureux. Je le suis car Charlotte m'apprend beaucoup de sa vie d'étudiante, des cours qu'elle reçoit, du regard qu'elle porte sur notre culture."
Comment ça fonctionne ?
Le processus est bien rodé pour permettre à ces échanges intergénérationnels de s'épanouir : - Un facilitateur bénévole contacte séparément le senior et l'apprenant - Le facilitateur met en relation le senior et l'apprenant - Les participants s'engagent sur 3 mois d'échanges hebdomadaires en visio - Chaque mois, le facilitateur fait un point avec le duo - Au bout de 3 mois, les participants décident de poursuivre ou non Forts de leur succès en distanciel, ShareAmi expérimente désormais aussi les rencontres en présentiel, à l'échelle locale d'une ville comme Paris, la Seine-Saint-Denis ou Nantes. Deux possibilités : - Une rencontre directement organisée dans la résidence du senior - Une rencontre dans un espace d'échange type café ou médiathèque
Une équipe engagée
Derrière ShareAmi, on trouve une équipe de passionnés exploitant leurs compétences variées au service de ce projet intergénérationnel et interculturel. Les 3 fondateurs d'abord : - Julia Mourri, experte de l'intergénérationnel et de la création de contenus - Clément Bowebeld, expert en gestion de projet, qui pérennise le modèle - Juliette Neyran, spécialiste en stratégie qui pilote depuis Londres le développement des partenariats universitaires et la mesure d'impact L'équipe s'est étoffée avec : - Anne-Lou Villeminot, qui structure les process et outils - Guillaume de Talancé, expert en partenariats et levée de fonds - Keltoum Ouazari, responsable de l'expérience utilisateur et des relations partenariales en Île-de-France Sans oublier les bénévoles qui jouent un rôle clé : - Yolande Gounelle, trésorière - Vanille Granier, secrétaire et responsable des bénévoles - Hervé Guinard, secrétaire adjoint gérant les duos - Hélène Mourri, chargée des partenariats
Un projet reconnu
La pertinence et le potentiel de ShareAmi ont été rapidement reconnus. Dès juillet 2020, le projet a intégré la communauté MakeSense et bénéficie depuis de formations et mises en réseau. Fin 2020, ShareAmi a été l'un des 4 lauréats (sur 200 candidats) du programme Entrepreneur 21, l'accélérateur d'innovation sociale de la Croix Rouge. En échange d'un soutien financier et d'un accompagnement, l'association forme des duos avec des seniors et jeunes apprenants accompagnés par la Croix Rouge. De nombreux médias en France (France 2, Atlantico) et à l'étranger (Aleteia et CBS aux USA, Warwick en Angleterre) ont mis en lumière cette initiative inspirante qui crée du lien malgré les différences d'âge et de culture. ShareAmi prouve que la transmission intergénérationnelle et interculturelle, facilitée par la technologie, peut créer des ponts et de belles histoires humaines. Un exemple inspirant à l'heure où notre société a tant besoin de se rassembler et de valoriser tous ses talents, sans distinction d'âge. Pour en savoir plus et rejoindre l'aventure : www.shareami.org Read the full article
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hazelmclester · 22 days
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D’accord d’accord d’accord je sais cette image est bizarre, mais je vais pour expliquer. Hier une amie de moi a un question à propos de le différence entre un SCOBY et un pellicle. Un SCOBY est le acronyme dans anglaise pour un symbiotic culture de bactéries et levure. Un pellicle est la solide version de un SCOBY. En réalité, ce la signifie que un SCOBY et un pellicle sont pareils. Le disque dans le image est un SCOBY.
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mednum · 1 month
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Sériphilie et fansubbing
Le développement de la culture numérique autour des séries et feuilletons crée aussi des sous-titreurs amateurs appelés fansubbing. Le fansubber se charge de transformer la version anglaise sans sous-titrage d’une série par exemple, en version sous-titrée en la langue nationale de son pays.  
Les « fansubbers » sont très impliqués dans leur métier d’amateur, ce qui leur procure un sentiment de valorisation de leur estime de soi. Ainsi les fansubbers sont très suivis par les sériephiles qui désirent regarder une série sous-titrée à quelques heures de sortie de la version originale. Ce qui n’est pas sans causer des représailles de la part des studios, parce qu’officiellement dans certains pays, la version officielle ne fidélise pas totalement la version originale de la série (séances censurées, doublure des voix…). 
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azaleassgc · 1 month
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2017 _
FR / ENG
J’en ai longuement parlé dans mes dernières chroniques mais je ne lâcherai pas le morceau : Unity Through Sound le label de l’anglais Sound Unknown – aka Darren Underhill – est une putain de réussite. Et on en est qu’à deux sorties : la troisième arrive fin Juillet. J’ai encore du mal à me remettre des deux premières signées Headland et Chad Dubz, deux nouveaux talents plus que prometteurs pour la scène. J’ai donc commencé à me renseigner sur le label et les infos sont encore maigres sur le net à l’heure actuelle. Du coup, on a contacté directement Darren en lui proposant cette interview. Et quoi de mieux que lui pour nous parler de toute la culture du Dubplate qu’il s’évertue à respecter dans sa vision de la musique. Encore merci à lui pour sa rapidité et son efficacité. L’article est disponible en version Française et en version originale Anglaise, ci-dessous. Bonne lecture !
AZA : Alors première question : Comment as-tu découvert le Dubstep ?
DARREN : J’ai découvert le dubstep en 2007. Le premier truc que j’ai entendu fut le Fabric Live 37 de Caspa et Rusko. Je me suis mis à creuser le genre vu que je venais de la Drum & Bass et du Garage depuis tout petit. Tempa et Dub Police furent les premiers labels à vraiment capter mon attention avant de découvrir DMZ, Deep Medi et Tectonic. Tout est parti de là !
AZA : Tu peux nous en dire plus sur Dubstudio ? J’ai cru comprendre que tu y travaillais ? Comment t’as découvert ce studio ?
Non, je ne travaille pas à Dubstudio je suis juste un client. J’ai commencé à graver des dubplates avec Henry en 2012. J’ai découvert le studio par le biais d’un ami qui m’a assuré qu’ils pressaient de très bons vinyles. J’adore l’odeur de l’acétate frais d’un vinyle, j’adore le bruit que cela fait quand je le pose sur la platine et surtout le crépitement une fois le diamant calé. Partant de là, il y’a un rapport assez spécial avec l’objet qui se crée, surtout pour un dubplate qui est pour moi plus précieux qu’un vinyle. Même si tu ne presse pas ta propre musique sur des dubplates, il y’ a une certaine excitation à presser des dubs d’autres personnes et surtout de posséder des sons uniques et neufs.
AZA : Si tu devais expliquer à quelqu’un qui n’en a jamais entendu parler : c’est quoi un dubplate ? Quelle est la différence avec un vinyle normal ?
De base, un dubplate est un disque en acétate vernis. Ces disques sont ensuite envoyés aux personnes qui s’occupent du mastering pour le presser. Les dubplates vont servir de tests sons avant de presser le vinyle, et bien avant de commencer la production à plus grande échelle. Le processus commence avec toi qui envoie ton morceau à l’ingénieur son qui va lui apporter la touche finale avant qu’il ne passe à travers la machine qui va graver les vibrations sur le disque. Comme tu le sais surement déjà : sur certains vinyles, l’intro’ est très légère mais plus le morceau avance et plus le sillon devient large et profond car les basses fréquences prennent plus de place que les aigus. Le poids moyen d’un vinyle standard est d’environ 180 grammes mais un acétate pèse plus de 220 grammes ce qui peut faire un peu lourd dans ton sac quand il n’est rempli que de dubplates !
AZA : C’est quoi qui t’a motivé à faire ton propre label ? C’est quoi tes projets pour la suite ?
J’ai commencé à recevoir des dubs de beaucoup de producteurs dont certains où je sentais qu’il fallait les graver en dubplate. Les commandes à Dubstudio ont progressivement augmentées : passant de 2 à 3 au début à 10 parfois en un coup. Plus l’investissement financier augmentait et plus je me disais qu’il fallait trouver un nouveau destin à tous ces dubs. Après avoir réfléchi longuement j’ai décidé de lancer mon propre label, non pas dans le but de promouvoir ma musique, mais plus pour mettre en avant de nouveaux talents. J’aimerais beaucoup que mon label devienne un endroit où les producteurs obtiennent la reconnaissance qu’ils méritent et qu’ils puissent avoir accès à d’autres labels encore plus gros qui pourront leurs proposer des choses plus intéressantes. Chaque sortie de Unity Through Sounds est pressée à 300 exemplaires. Et toutes sont épuisées à l’heure actuelle. Pourquoi 300 ? Est-ce que la quantité changera un jour ? Effectivement le label presse 300 exemplaires à chaque sortie. J’en suis encore au début alors je n’ai pas envie d’augmenter la cadence à 500 ou 1000 copies d’un coup, ça ne serait pas logique. Si la demande augmente avec le temps, bien sur que j’augmenterai le nombre mais pour l’instant je suis satisfait de notre rythme.
AZA : C’est toi qui t’occupe de presser les vinyles de ton label ? Ca prends combien de temps de sortir un disque de UTS ?
Non je ne presse pas mes vinyles. Je travaille avec une société appellée Well Tempered qui s’occupe de tout ce qui est mastering et pressage. Quand à la distribution des vinyles elle se fait via Unearthed. Généralement une sortie (du mastering au pressing final) peut prendre jusqu’à 11 semaines, parfois moins, parfois plus. J’aime bien l’idée de sortir un vinyle tous les 3 mois, même si ça ne se déroule pas toujours comme prévu !
AZA : Tu reçois beaucoup de démos ? T’as des critères précis quand tu te décides à sortir un vinyle ?
Oui je reçois beaucoup de démos et j’encourage tous les producteurs à m’envoyer leur musique, quelque style que ce soit. J’essaye de repérer de nouveaux producteurs à travers Soundcloud ou les réseaux sociaux. Parfois je découvre des artistes et des morceaux dans des mixs, mais la plupart du temps je fouille moi-même. C’est très important pour moi de suivre l’actualité à travers ces médias. Les artistes peuvent m’envoyer leurs morceaux à [email protected] et les genres recherchés sont Dubstep, Reggae et Dub. N’importe quel son avec un bon beat et quelque chose qui fera chauffer l’ampli du Sound System. Tout ce qui va de 120 à 170bpm.
AZA : Verra t’on des sorties de ton alias Sound Unknown sur le label ?
Haha, On me pose souvent cette question. Bien sur, mais pour le moment j’essaye de me concentrer sur la promotion d’autres artistes. Je suis sincèrement reconnaissant du retour que mes sorties ont eu jusqu’à présent. À l’heure actuelle je préfère ne pas sortir ma propre musique sur le label mais je n’hésiterais pas quand je sentirai que ce sera le bon moment !
AZA : Tu as sorti un mix récemment avec Signal Fire sur la radio Anglaise. Et il est plutôt chouette, ça serait vraiment bien de voir une soirée à l’effigie de ton label et de tes artistes, non ?
Bien sur ! J’espère pouvoir organiser une soirée Unity Through Sounds d’ici la fin de l’année : de bons artistes, un bon soundsystem et jouer des dubplates toute la nuit. Je ne peux pas te donner une date précise mais ça ne devrait pas tarder.
AZA : Le seul moyen de se procurer ta musique c’est d’acheter les vinyles, tu ne proposes aucun format numérique pour les morceaux du label, pourquoi ?
C’est un choix volontaire de garder ma musique exclusivement sur vinyle, je suis un grand collectionneur depuis très longtemps. À chaque fois que je grave un dubplate c’est un 10 pouces (c’est pour ça que j’adore les vinyles de Box Clever, d’ailleurs.) Je veux faire en sorte que mon label transmette cet aspect de la culture du dubplate, dans le sens ou tu n’as pas de fichiers digitaux et le nombre d’exemplaire est limité.
AZA : C’est quoi que tu nous recommanderai comme artistes à surveiller en 2017 ?
Ah ! Difficile à répondre tellement la liste est longue, surtout en ce moment. Je commencerai par citer Akcept et Headland, deux bons copains à moi qui sont en train de tout casser en ce moment. Hebbe est en train de sérieusement se faire remarquer et c’est logique vu ses monstrueuses connaissances en production. Je suis également un grand fan du son de Causa depuis très longtemps. Quand à ceux qui méritent vraiment de s’y intéresser, je citerai Teffa, ses derniers beats sont mortels, Sibla également. J’ai découvert Mr K via son ep sur Version Collective récemment, et c’est vraiment lourd si vous voulez mon avis là dessus. Si vous êtes plus dans le délire Dub Techno, gardez un œil sur Another Channel. Il y’a aussi DE-TU, un duo de Bristol qui a récemment sorti un ep sur Green King Cuts, Dubdiggerz, Chad Dubz, Tetrad, Zygos … Je pourrais continuer pendant des jours à tout citer. Je respecte aussi énormément Otz, Dalek One et Aki qui font des beats d’enfers. Mes excuses à ceux que j’oublie de citer, mais il y’a trop de nouveaux talents qui produisent du dubstep en ce moment. C’est vraiment rafraichissant d’entendre tout ça et c’est très bénéfique au genre car ça le fait durer dans le temps.
AZA : T’aurais des conseils à ceux qui veulent lancer leur label ?
La Passion ! C’est le moteur d’un bon label : de la passion pour ce que tu fais et surtout pour le son que tu sors. La patience est un bon outil aussi car les choses peuvent vite devenir stressantes quand elles ne sont pas prévues. Le plus important est de s’accrocher à tes objectifs, tes rêves et à ce que tu veux accomplir avec le label. Ne pas se laisser abattre. Les artistes doivent toujours rester ta priorité étant donné que au bout du compte, c’est de leur musique qu’il s’agit. Même s’il ne faut pas se concentrer entièrement là dessus. Si tu le peux, donne leur régulièrement des conseils sur leurs productions et leurs mixs. Et dernier conseil : le label peut te prendre pas mal de temps libre, fais en sorte d’en avoir assez ! Après peut-être que c’est moi qui prend ça trop à cœur…
AZA : C’est tout pour nous, encore merci d’avoir accepté de répondre à nos questions, Si tu as quelque chose à rajouter c’est maintenant !
D : Avec plaisir ! J’aimerais juste remercier tout ceux et celles qui ont soutenus le label et le mouvement jusqu’à présent. Et surtout encore merci aux artistes qui m’ont fait confiance pour sortir leur musique sur mon label !
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ENG _
As I wrote it many times : we love Unity Through Sound, the Sound Unknown’s label – aka Darren Underhill. Music made with passion and influenced by the whole dubplate culture. Unity 001 (Headland) and 002 (Chad Dubz) are some serious pieces of contemporary quality dubstep music. It was time to write about it but it is impossible to know more about it online yet. I’ve decided to ask directly to the man behind this, and he said « Yes » ! And he has a lot of things to share ! Thanks again to him for his kindness and reactivity, big respect Darren ! Questions were asked by email at the end of June. This is the original version of the interview, have fun people and go support the label, totally worth it !
AZA: First of all : how did you discover the Dubstep culture ? The genre has evolved since the beginning. What do you think about the revival of the dub/roots influences in the sound?
DARREN: It was back in 2007 when I first discovered Dubstep. The ‘Caspa & Rusko Fabriclive 37’ album was the first thing I heard. I started researching into the genre more as I was a Garage and Drum & Bass kid. Tempa and Dub Police were among the first labels I took real interest in then I started discovering dmz, Deep Medi and Tectonic. From there I was officially hooked.
AZA: Can you tell us more about Dubstudio? I’m not sure but it seems that you’ve been working at Dubstudio with Henry, is this true ? How did you get in touch with this studio?
D: No no, I’m not working at Dubstudio, I began cutting dubplates with Henry in 2012. A friend pointed me in Henry’s direction telling me they cut great plates you shouldgive them a try. I loved the smell when you’d open a fresh acetate and the ‘Clunk’noise it made when dropping it on the deck and the crisp crackle after dropping the needle on the intro. From then on there was something about a dubplate that was alittle more special then something on vinyl, even if you’re not cutting your own music but cutting other peoples dubs, it’s that excitement of having fresh dubs I guess.
AZA: If you have to explain to someone who has never heard of it, what is a dubplate? Can you tell us a little bit more about the process of making a dubplate? What is the main difference between this and a normal plate?
D: Yeah, so basically a dubplate is a lacquered acetate master disc, these are sent to mastering engineers who will use them to cut your dubs. The lacquered discs intended use is for cutting the mastered track to for sound testing before sending off for production. Some discs can be rejects with an additional off centred hole drilled into the plate. Dubplate cutting process all begins with you sending your pre-master to the engineer which he will master the track then have the master play through the cutting head which is etching vibration grooves into the plate, as you may see on some plates the intro is really light but as the tune drops the grooves become wider and darker as the low end frequencies take up a lot of room. The average weight of a normal plate is 180g but an Acetate is 220g which is much more heavier and Imagen artists carting their fully loaded bag of dubplates around with them.
AZA: What inspired you to launch your own label? What is the goal of it? And what is the future of UTS?
D: I started receiving a lot of new dubs from a lot of producers in which some of them I felt I wanted to cut to dubplate, orders for dubplates at Dubstudio started going from small amounts of 2 or 3 to ordering 10 dubplates at a time and I felt I was investing so much money into these dubplates that I wanted to pursue a different path with these dubs. After thinking long and hard about it I decided to come with my own label as I felt more in the sense of achievement by promoting new or existing talent than I did my own music. I’d love to think that my label is giving a pathway to the producers who release through my label the recognition they deserve and also being picked up by bigger labels who can certainly push them onto bigger things.
AZA: Each release of Unity Through Sound are pressing 300 copies. Why 300 ? Will this number change one day?
D: Yeah course, the label is pressing 300 units at the moment as it’s only just the beginning and I certainly didn’t want to jump in over my head by pressing 500 – 1,000 copies straight away. Hopefully in the future if the label becomes widely recognised then I would certainly consider pushing for more units, for now I’m happy keeping things small and limited.
AZA: Is it you who’s pressing each release of Unity Through Sound? How long does it take you to release a vinyl?
D: No, so basically I work with a company called Well Tempered who I will approach for a release and they will sort out everything for me, for e.g. mastering and pressings and the distribution is done through the guys at Unearthed. Generally a release from mastering stage to final pressings can usually take up to 11 weeks maybe sooner if things are running smoother and turnaround times are quicker at MPO. I tend to like to get a release out each quarter so every 3 months but sometimes it may not work out like that.
AZA: Are you receiving a lot of music/demo? Is there any criteria for music you receive and you want to release?
D: Yeah the label does receive demo’s and producers are more than welcome to send music to the label as all music is heard of course. I do tend to headhunt producers though through links on social media or through Soundcloud. There has been occasions where I have come across tracks or artist’s in mixes. So It is majorly important for me to keep on top of what people are doing and posting online. If artist’s do wish to send music the link is [email protected] and the general taste is Dubstep, Roots, Reggae, Dub. Anything with a good catchy beat and something that’s certainly going to work the amplifier on the old sound system. Yeah I am genuinely open to all sounds between 120 to 170bpm really.
AZA: Can we expect some music from Sound Unknown on UTS?
D: Haha, I do get asked this quite a lot. Of course yeah, but for now I’m focusing a lot on other artists and pushing their sound on vinyl and I’m genuinely overwhelmed with the response to the release’s so far. When I feel the time is right to release my own music on my label I will but yeah this label is more about other artists than my own productions for now.
AZA: You’ve done a pretty good mix recently for the Signalfire takeover on BBC radio Bristol, can we expect to see some UTS nights in the future?
D: Yeah for sure, plans for a label night I am hoping to put into action at the end of the year. I couldn’t give an exact time frame as to when the night will be just yet but definitely soon. Get together some good artist’s and a good sound system and play some dubplates all night.
AZA: It’s impossible to find digital tunes of your label, why did you choose to release only physical format on UTS?
D: I wanted to keep things limited and exclusive as possible to vinyl, I’m a big record collector and have been for years. Each time I have a dubplate cut I always have a 10” plate cut, so I think my label kind of resembles that aspect of dubplate culture really as the digital files are not available and the release has only a limited amount. I used to love the Box Clever releases on 10” too.
AZA: Who are the brand new artists you would recommend for the last part of 2017?
D: Ah! This is a hard one cause there is so many artist’s doing it at the moment. For the artist’s id say are smashing it at the moment are certainly Akcept and Headland two good mates of mine, Hebbe is seriously climbing the ranks in terms of attention, his music production skills are unreal. I have been feeling Causa‘s music for a long time too. For those I’d really like to bring attention to are Teffa his beats are really coming together just lately, Sibla is also doing some real nice bits. Mr K who I only recently discovered a few months ago after his release on Version Collective which was pretty heavy if you ask me. Another Channel is one to keep on eye on with the more Dub Tech stuff. DE-TU for sure Bristol based duo recently released on GKC (Green King Cuts), Dubdiggerz, Chad Dubz, Tetrad, Zygos. My list could go on for days. Those I feel deserve a lot more recognition are Otz, Dalek One, Aki – he’s producing some killer beats. Apologies if I missed anyone out but yeah there are so many up coming talented producers coming into dubstep it’s so fresh to hear new ideas which empowers the sound to thrive.
AZA: Do you have any advice for the people who would like to launch their own label?
D: Passion!! A label is ran on passion, passion for what you’re doing and passion for the sound you’re releasing. Patience is another key thing, things can get pretty stressful if they’re not going according to plan. Main thing is to work at it stick to your goals and dreams and what you set out to achieve with the label. Push through the hard times. Artist’s should always be put first as it is their music you’re releasing at the end of the day, you should also believe in the artist’s you are trying to push and not only release his/her music but try and better them too, give them advice on their music or their mixes if so. Make sure you have plenty of time on your hands too as sometimes the label can eat up quite a bit of your free time, or that may just be me putting too much attention in haha.
AZA: That’s all for us, a huge thanks for taking time to answer these questions. We’re waiting each new release with great excitement here! Do you have anything to add or say?
D: You’re welcome, I’d just like to say a huge thank you to each and everyone that has supported the label and the movements right from the get go to now and to all the artist’s on the label for believing in me to push their music.
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aurevoirmonty · 1 month
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Au sein des milieux nationalistes, certains voient en Vladimir Poutine le sauveur de l’Europe, tandis que d’autres le considèrent comme le plus dangereux ennemi de l’Occident. Dans cet article, Vincent Reynouard explique pourquoi il considère cette querelle inutile.
Le lectorat de Rivarol se déchire à propos de Vladimir Poutine. À mon avis, ces disputes sont inutiles. J’en connais bien peu quant au président russe, à son régime et à la situation en Russie, mais j’en suis sûr: si rien ne change, ni Poutine ni personne ne sauvera l’Europe. Ma conviction se fonde sur les leçons de l’Histoire que j’ai étudiée.
Le salut de l’Europe offert aux Français sur un plateau d’argent
À partir de 1940, suite à l’entretien de Montoire, des Français et des Allemands pressentirent qu’une victoire militaire du Reich avec la collaboration de la France permettrait de sauver le Vieux Continent en construisant une Europe nouvelle.
Le 29 mars 1941, dans une étude très développée intitulée: « Construire avec l’Allemagne la nouvelle Europe », le Dr Karl Heinz Gerstner, de l’Institut allemand, expliqua:
Organiser la production européenne d’après un grand plan, la faire travailler le plus rationnellement pour les besoins des peuples européens, telle est la grande tâche des années à venir. Ce plan de production s’étendra à tous les domaines, aussi bien à celui de l’industrie qu’à celui de l’agriculture, qu’aux domaines de l’énergie et des transports. Les préparatifs sont, malgré la guerre, en plein essor. Les délégations économiques allemandes se rendent à Paris pour entrer en pourparlers avec leurs collègues français des différentes branches de l’industrie et y discuter leurs intérêts communs. La presse nous informe tous les jours de ces pourparlers et de leurs résultats positifs. Des pourparlers semblables ont lieu avec les pays balkaniques, l’Italie et l’Espagne. Plus tôt la guerre finira, plus vite la réalisation de ces plans se fera1.
Dans son message du 11 juin 1941 aux Français, l’amiral Darlan déclara:
La troisième tâche du Gouvernement est de préparer l’avenir de la France dans la nouvelle Europe […] La nouvelle Europe ne vivra pas sans la France, placée au rang que son passé, sa civilisation et sa culture lui donnent le droit d’occuper dans la hiérarchie européenne. Français, ayez le courage de dominer votre défaite. Soyez assurés que l’avenir du pays est intimement lié à celui de l’Europe. Si, pour vous engager dans la voie où le Maréchal et son gouvernement vous invitent à les suivre, il vous faut vaincre des illusions et consentir des sacrifices, puisez votre force dans la certitude que cette voie est, pour notre Patrie, la voie unique du salut2.
Fin novembre 1941, s’exprimant à Bruxelles, un Allemand ardent défense de la réconciliation des peuples, le professeur Grimm, expliqua:
Hitler construira un nouvel ordre européen, cette nouvelle Europe continentale qui s’opposera à la ploutocratie anglaise et au bolchevisme, basés tous deux sur la juiverie internationale. L’Angleterre et le bolchevisme sont définitivement exclus. Tous les pays et tous les peuples occuperont la place qui leur revient dans la nouvelle Europe, ils seront les membres de la grande famille européenne3.
Je pourrais multiplier les citations de ce genre et les initiatives qui les accompagnaient. Oui, vraiment, en marge de la guerre, une nouvelle Europe naissait, dans laquelle primerait le Bien commun.
Une alternative au communisme et au libéralisme
Pour ces apôtres de la nouvelle Europe, bolchevisme et libéralisme anglo-saxon représentaient deux dangers mortels. Il n’y avait donc pas à prendre parti pour l’un contre l’autre. En mai 1941, un organe profasciste rappela que depuis des lustres:
La civilisation européenne, quoique millénaire, était en grand danger. Elle était menacée dans ses bases par l’invasion de l’américanisme. Elle était suffoquée, au point de vue politique et économique, par l’hégémonie anglaise. La France, entre temps, avait perdu sensiblement sa puissance organique de résistance. L’américanisme avait déjà commencé à rendre barbare le goût des Européens, à démolir les traditions, à déformer la femme, à faire écrouler l’édifice de la famille, à insinuer l’esprit judaïque (esprit critique et antinational) dans la presse, à empoisonner les sources musicales de l’Europe, à modifier les sources poétiques, à brutaliser la littérature et avait pénétré en profondeur, grâce au cinéma, dans l’esprit et dans la mentalité des jeunes générations. L’architecture, l’amour, la science, sous prétexte de modernisme, étaient en train de s’américaniser, c’est-à-dire de cesser d’être européens. Le travail de jour en jour se transformait dangereusement dans une espèce de taylorisme […] Tous les essais européens pour échapper à cette américanisation se brisaient contre la volonté brutale d’hégémonie de l’Angleterre qui trouvait dans la décadence de l’Europe sa sécurité militaire, une source perpétuelle et abondante d’intérêts financiers et une facile primauté politique. Le continent était donc frappé dans ses bases. Le visage de l’Europe avait commencé à se modifier, la vieillesse incurable de l’Europe était devenue l’un des lieux communs de l’américanisme. L’Angleterre, à travers l’organisation de ses dominions, s’était détachée historiquement de la vie de l’Europe et était devenue le centre de l’Empire qui n’était plus européen et qui était substantiellement antieuropéen4.
S’y ajoutaient les avertissements très clairs donnés au peuple. En matière de démographie par exemple, depuis longtemps, la France se dépeuplait. Début juin 1942, un quotidien prévint que si le phénomène se poursuivait:
Les places manquantes, les vides creusés ainsi dans la population française seraient obligatoirement comblés par des immigrants et la France […] se dénationaliserait. C’est d’ailleurs bien en partie ce qui a commencé à se produire dans les années qui ont précédé la guerre5.
L’apathie d’un peuple hédoniste
Mais ces avertissements furent impuissants à réveiller les masses. Fin novembre 1942, un commentateur se désola:
La France reste amorphe. Rares sont les hommes qui lui parlent le langage viril propre à la réveiller […] Les révolutionnaires décidés reçoivent peu d’encouragements, bien heureux quand ils ne sont pas découragés6.
Pourquoi cette apathie? Parce que dans son immense majorité, le peuple était resté fidèle à ses convictions d’avant-guerre. Aussi refusait-il cette Révolution nationale prônée par le maréchal Pétain. Dès novembre 1940, un simple Français lança: « Oui, on est dégoûté d’être Français. On est dégoûté du peuple amorphe. On est dégoûté du climat réactionnaire7. »
Le 25 juillet 1942, un maréchaliste nota:
Je connais […] bien des Français qui admettent la Révolution à condition qu’elle ne trouble pas leurs habitudes, leurs mauvaises habitudes d’avant-guerre…8.
Quelques mois plus tard, un prisonnier rentré en France se désola:
la Révolution n’existe ici que dans les mots, je retrouve la France plus misérable qu’avant, plus abaissée, plus encroûtée dans les mœurs déplorables qui l’ont perdue9.
Ayant fait part de son désarroi à un journaliste, celui-ci lui expliqua:
Rien n’est changé, en effet, parce que ce sont les Français eux-mêmes qui ne l’ont pas voulu. Ils tiennent à leurs maux, à leurs erreurs, à leurs vices comme à de vieilles habitudes. Ils préfèrent mourir plutôt que de renoncer à leur démocratie, au bulletin de vote, à l’alcool, aux Juifs, aux parlementaires, aux maçons, au fonctionnarisme rongeur, à tout ce qui les a fait descendre où ils sont descendus. La Révolution? Une bousculade de leurs aises, de leurs manies, de leurs positions acquises? Pensez donc! Ils ne sont pas fous! Ils n’ont pas joui tout leur soûl, et les favorisés ne partageront pas avec le peuple travailleur ce que le hasard des naissances ou le résultat de spéculations éhontées leur a rapporté. Ils comptent profiter encore, et c’est bien pour cela qu’ils ne veulent entendre parler ni de révolution ni de national-socialisme. Alors, vive l’Amérique ou l’Angleterre, n’est-ce pas?10
Ce constat s’appliquait à bien d’autres pays, parce que, dans leur grande majorité, les peuples européens refusaient l’édification d’une nouvelle Europe fondée sur la primauté du Bien commun, le Travail, la Famille et la Patrie, alors la Providence favorisa les Alliés. Cependant, cette victoire sonnait le glas de l’Europe, et en premier lieu celle de la France.
En octobre 1947, l’ancien ministre et Vice-Président du parti radical-socialiste, René Besnard, se lamenta:
Il est naïf, en ce temps de perpétuel loisir, de donner à des hommes incapables de les comprendre, des conseils de morale civique. Nos gouvernants ne cessent de dire que la France se sauvera elle-même, ce qui est d’un bon naturel patriotique, mais les Français ne veulent pas se sauver, car ils ne veulent plus travailler11.
Rien n’a changé
Trois quarts de siècle plus tard, la situation a empiré. Dans les années 80 et 90, la Providence a donné aux Français Jean-Marie Le Pen. Le 5 mai 2002, ils lui ont préféré Jacques Chirac en arguant: « Plutôt escroc que facho ».
Aujourd’hui, le Front national s’est transformé en Rassemblement national dont on connaît la servilité. Pourquoi en serait-il autrement? La Providence ne jette pas des perles aux pourceaux; elle offre aux peuples ce qu’ils méritent.
Tant que les Européens voudront mourir, aucun homme providentiel ne surgira pour les sauver. Plutôt, donc, que de nous disputer sur Poutine, œuvrons pour nous bonifier et insuffler à nos concitoyens l’élan vital. Le salut viendra d’abord de nous-mêmes. Lorsque les peuples se seront réveillés, alors un sauveur se lèvera, d’où qu’il vienne.
Karl Heinz Gerstner, « Construire avec l’Allemagne la nouvelle Europe », Le Fait, 29.III.1941, p. 6. ↩︎
François Darlan, « “Seconder le gouvernement dans sa très lourde tâche” », La Dépêche du Berry, 12.VI.1941, p. 1. ↩︎
« “Le nouvel ordre européen ne connaîtra plus de haine” déclare à Bruxelles le professeur Grimm », La Gazette, le grand quotidien basque, 24.XI.1941, p. 3. ↩︎
Mario Appelius, « Le pacte d’acier », La Nouvelle Italie (La Nuova Italia), 29.V.1941, p. 6. ↩︎
G.-S. Savigny, « Le problème démographique », Le Progrès de la Somme, 7.VI.1942, p. 1. ↩︎
Jean Lagarigue, « France, réveille-toi », Le Cri du peuple de Paris, 25.XI.1942, p. 1. ↩︎
R. D., « On nous écrit », La France au travail, 6.XI.1940, p. 2. ↩︎
Jean Lagarigue, « Les défaitistes de la révolution », Le Cri du peuple de Paris, 25.VII.1942, p. 1. ↩︎
Courrier d’un prisonnier bénéficiaire de la Relève, cité dans « Réponse à un prisonnier libéré » de Jean Bosc, Paris-Soir, 25.I.1943, p. 1. ↩︎
Jean Bosc, « Réponse à un prisonnier libéré », Paris-Soir, 25.I.1943, p. 1. ↩︎
René Besnard, « Commentaire sur un discours », L’Événement, 18.X.1947, p. 1. ↩︎
Vincent Reynouard
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claudehenrion · 2 years
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Je change, tu changes, il change...
  On était, hier, à Londres ? Je propose qu’on y reste un instant, car Charles III à peine intronisé, pas encore couronné mais héritant d'un Royaume en grand danger de n'être bientôt plus très Uni, ne trouve à promettre que... le changement. C'est le truisme le plus répandu de notre temps : gouverner, ce ne serait plus ''prévoir'', ce serait ''changer'' ! Passe encore que nos petits ''monarques républicains'' se réfugient dans les cultes démodés de l'Homme nouveau ou du dieu-Progrès : ils ignorent que Voltaire et Rousseau sont morts depuis 250 ans. Mais qu'un vrai Souverain, et britannique de surcroît, souscrive à cette banalité, c'est choquant !
Si on met De Gaulle ''hors épure'' (ce qu'il a été), c'est Giscard, je crois, qui avait ''fauté'' le tout premier. Jusqu’à lui, un Roi couronné ou un Président élu se donnaient comme charge principale d'assurer au mieux le bonheur et la sécurité (c'est un peu la même chose, ou plutôt : l'un est dans l'autre) de leurs sujets ou de leurs mandants, de faire prospérer le pays, de l'enrichir au présent tout en le préparant au futur, et de protéger sa culture, son Histoire, son patrimoine, et les forces de ses populations. On n'imagine pas un Vincent Auriol ou un René Coty n'avoir en tête que de tout chambouler et d'inventer un pays et un peuple tout autres que ceux reçus en apanage, et de ''changer'' tout ce qui marchait... plutôt pas mal ! Les conneries de 1968 ont donné des ailes à ceux qui, ne se sentant pas la force de protéger et maintenir (en l'améliorant) le fantastique cadeau dont ils avaient la garde, se sont réfugiés dans une ''fuite en avant'' sans justification, sans raison d'être, et sans intérêt réel  ! Mais dans son chuintement inimitable, Giscard ''avait regardé la Franche au fond des jyeux et avait cru y voir un déjir de chongemont''. Où avait-il pu voir un truc comme ça ? Il ne l'a jamais dit !
On peut opposer à cette ineptie du changement pour le changement la sagesse de la devise des Princes d'Orange, ''Je maintiendrai'' (en français). C'est en 1565 que Guillaume 1er d'Orange-Nassau avait promis ''Je maintiendrai la vertu et la noblesse, de mon nom la haultesse, l'honneur, la foy, la loy de Dieu'' (NDLR : quel magnifique programme, pour un quinquennat ! Ça fait envie !). Pourquoi faut-il que le nouveau Roi Charles III croie ''dans le coup'' de se mettre en contradiction avec l'héritage de sa Mère, qui ne ''changeait'' les choses qu'avec des pincettes et lorsqu'il devenait nécessaire de le faire --d'où son immense popularité ? Et il n'est pas inutile de lui remettre en mémoire que cette belle devise néerlandaise est reprise, en français aussi, of course, sous les Armoiries de la monarchie anglaise...
Ah ! Bien sûr, rien n'est simple : entre les risques de sorties du Commonwealth et l'éclatement possible d’un royaume qui se retrouverait très désuni... le nouveau Roi piaffe : après 53 ans dans le rôle de ''Prince Héritier'', il a hâte de enfin montrer ce dont il croit être capable ! Et en plus, il est tenu par l'image tutélaire qui lui a fait tant d'ombre si longtemps, et obligé de se fondre dans un discours filial (et sincère, sans nul doute. Pour le moment)... sauf que le message que lui laisse sa chère ''Majesty, Mummy'', est sans ambiguïté : ''Tiens bon, accroche toi, laisse passer l'orage, et n'en tire, avec des pincettes, que les conséquences inévitables''. Si quelque chose est à l'opposé de toute démarche progressiste, c'est bien ''l'elisabethisme'' --d'où, peut-être, qu'elle soit tellement aimée de son peuple ! Résultat : il se ‘’coince’’ lui-même entre le succès posthume de sa défunte Mère et le nouveau poncif que le monde aurait changé au point que tout devrait s'aligner sur les idées à la mode (elles-mêmes si  changeantes !), rendant son règne pour le moins ''pas facile''.
Il existe une explication à cette dérive de la pensée qui incite les peuples à croire aux sornettes de dirigeants qui leur racontent que la mission d'un ''chef'' ou d'un ''leader'' serait de promouvoir cette chose qu'ils désignent, tous, dans tous les pays, par ce mot qui ne veut rien dire : 'le changement'' (à leur décharge, il est plus facile de tout chambouler sans dire ni pourquoi ni vers où que de ''gérer en bon père de famille'' et donc de laisser, à la fin de son mandat, plus et mieux que ce qu'on avait trouvé en arrivant !). Nombre des dirigeants actuels commettent (sciemment ? ''that is the question'' !) la faute énorme qu’est cette confusion entre progrès et changement, ces deux mots que tout oppose... mais que modernistes et progressistes voudraient faire croire synonymes, ce qui ne peut mener à rien.
Je m'explique : un changement consiste à passer d'un état ''A'' à un état ''B', sans aucune forme de jugement qualitatif sur le résultat, alors qu'un ''progrès'' est un changement qui a réussi, en apportant ''du mieux''... C'est une denrée rare. Par effet-miroir, un changement est le plus souvent un progrès qui a ''foiré'' à apporter quelque chose de bon, et c'est le cas général, qui explique pourquoi  proposer ''le changement'' comme seul programme est devenu une habitude chez la plupart des hommes politiques de tous les pays... qui laissent, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus –à tort, car ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement''. Ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls : ils ont été ‘’roulés dans la farine’' par ce mauvais usage systématique de deux concepts qu’on leur fait croire synonymes alors qu’ils sont, juste, antagonistes.
Un dernier point à prendre en considération : contrairement à tout ce qu'on nous fait croire à force de nous le répéter ''24 / 24'', les gens, à quelques exceptions près, n'aiment pas ''le changement'' : il fait peur, comme l'ont démontré les recherches récentes de nombreuses équipes de chercheurs (dont celle du Laboratoire de neuro sciences cognitives computationnelles de l'Ecole Normale Supérieure --cf le Figaro de ce12 septembre ), qui se sont récemment penchées sur les réactions de notre cerveau devant des situations de routine (perçues comme confortables et rassurantes, donc efficaces) et de changement (qui exigent des efforts cognitifs et d'adaptation, donc anxiogènes -une impression de mise en danger). Je doute que nos leaders, ''shootés au changement'', connaissent ces études fondamentales. Qui va oser le dire au  Roi Charles III avant qu'il ne soit trop tard ? God save Him !
Et tant qu'on y est, il serait de toute première urgence de réveiller tous nos génies malfaisants de l'ultra-modernisme, tous nos avant-gardistes ringards et tous nos progressistes démodés, qui se croient novateurs mais ne le sont que dans tout ce qu'il serait sage, prudent et intelligent d'éviter... C'est de vrais ‘’progrès’’, dont l'Humanité a besoin, pas de ''changement''. Ils ont tous tout faux, depuis des années.... et nous, ''les obscurs, les petits, les sans grades'' --comme disait Flambeau--, nous en mourons. ''Laissez les morts enterrer les morts''... et passez moins de temps sur l'euthanasie et les problèmes liés à la mort --sur lesquels vous ne connaissez rien !-- et plus sur le mieux-être des vivants, qui est de votre ressort ! Il est vrai que c'est plus difficile que de tout détruire !
H-Cl.
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societascriticus · 2 months
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Comment faire l'amour / How to have sex
The English version follows below
D.I., Delinkan Intellectuel, revue d'actualité et de culture, in Societas Criticus Vol. 26-01 : www.societascriticus.com
En salle au Québec le 9 février !
Le film sera présenté en version originale anglaise avec sous-titres français au Cinéma du Parc, à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma Le Clap St-Foy.
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Comme des centaines d'autres, trois adolescentes britanniques sont venues faire la fête dans la ville crétoise de Malia, baignée de soleil : « les meilleures vacances de tous les temps! » En effet, il s'agit d'un rite de passage supposé être le meilleur été de leur vie. En attendant les résultats de leurs examens, les filles sont prêtes à se lâcher, à vivre, à boire et à s'envoyer en l'air.
Contrairement à Skye (Lara Peake) et Em (Enva Lewis), Tara (l'envoûtante Mia McKenna-Bruce) est encore vierge. Les bikinis et le gloss sont à peine déballés que Tara aperçoit deux Britanniques un peu plus âgés qui habitent à côté. L'un d'eux est un sympathique imbécile (Shaun Thomas, qui a grandi depuis The Selfish Giant) qui partage l'humour ringard de Tara. L'autre est un bellâtre imbu de lui-même (Samuel Bottomley)... Vous voyez le genre… Au début, on s'amuse, on chante faux au karaoké… Puis les choses changent.
Alors que les adolescents naviguent dans les complexités du sexe, du consentement et de la découverte de soi, l'ambiance du film change également – on passe des couleurs au néon et de la musique électronique aux teintes plus discrètes et au silence. Même la relation entre les filles évolue, Skye s'en prend un moment à Tara et Em est obligée d’intervenir.
Le film est le premier long métrage de la scénariste et réalisatrice britannique Molly Manning Walker, qui s'est inspirée de ses propres vacances au lycée et de la pression exercée sur les jeunes pour qu'ils aient des relations sexuelles. Son premier court métrage Good Thanks, You? a été présenté dans le cadre de la Semaine de la critique à Cannes en 2020.
How to Have Sex (Comment faire l’amour) est distribué au Québec par Métropole Films Distribution.
Commentaires de Michel Handfield, M.Sc. sociologie (2024-02-08)
Ah, la jeunesse. Il y en a pour qui c’est de déconner. Mais, après? On oublie tout. Pas sûr, car cela peut laisser des marques et des conséquences psychologiques. Ça dépend des expériences de chacun, mais certaines peuvent être plus traumatisantes pour les unes que pour les autres. Et, que dire des conséquences physiques, car il me semble que je n’ai pas vu la promotion du condom dans ces fêtes.
En Europe, une des places pour ces folies est la ville crétoise de Malia. (1) On y fait probablement son pain et son beurre des fêtes de fin d’année scolaire. Tout y est organisé, avec des concours parfois dégradants, mais si les jeunes s’amusent et que ce côté « sex » de la fête rapporte, c’est sûr qu’on l’exploite. Comme le dit une des trois filles dans une scène de soir : « Du business. Tout est business, maintenant. Tout. Tout le temps. » (± 11 m 13s)
Les trois amies sont donc là pour fêter, mais aussi pour encourager, voire pousser, Tara à perdre sa virginité, car c’est le temps et la place pour le faire. Elle subit donc de la pression de ses deux amies, mais elle s’en met elle aussi.
Pour elles, plus vite cette étape sera passée, mieux sera la vie. Cependant, cela peut avoir des conséquences, surtout si on tombe sur la mauvaise personne. Ce n’est pas juste de déverrouiller une porte. Cette vision mécanique de la chose est une utopie, car ces choses que sont la virginité, la sexualité et l’acte de la perdre sont intimes et psychologiques tout à la fois pour la fille.
Dans une soirée bien arrosée comme les autres, Tara perdra de vue ses amies, mais verra un de ses deux voisins d’hôtel, Paddy. Elle voulait retourner à sa chambre, mais il lui proposera plutôt d’aller à la plage. (± 41 m 49 s) Pour lui, ce fut un coup comme un autre et tout s’est bien passé dans sa tête. Mais, ce n’est pas ce que la fille voulait. C’est encore moins ce dont elle rêvait pour sa première fois. Elle n’a pas besoin de parler, ça se voit. (2)
Mais, lui ne s’en rend même pas compte, car, pour lui et plusieurs jeunes hommes, leur vision de la chose est probablement plus sportive ou mécanique que pour les filles. Quant à la notion de consentement, pour lui comme pour certains autres, si elle reste là, c’est qu’elle doit bien le vouloir même si elle dit non une fois ou deux. Comme si c’était un jeu et que non veut parfois dire oui.
Le consentement n’est vraiment pas clair pour Paddy. C’est une notion à enseigner dans des cours de sexualité pour les jeunes à l’école. Mais, la droite s’y oppose souvent, trop souvent, pour des questions de morale. (3) Mais, quelle morale y-a-t-il à ainsi refuser d’éduquer les jeunes à la sexualité? Voilà la question.
Après, Tara retournera à la fête et rencontrera d’autres jeunes plus bienveillants que ses amies. Elle ne reviendra que le lendemain matin. Quand elle leur dit, l’important fut qu’elle a enfin couché. Elles ne voient pas la détresse qu’elle cache du mieux qu’elle peut. Pourtant c’est clair, mais elle parle trop peu et elles ne lui demandent même pas comment ça s’est passé; comment elle se sent ? C’est comme si c’était tout simplement un « check » de fait sur la liste des étapes initiatiques à passer dans la vie d’une fille.
Autre jour, autre nuit, c’est toujours la fête. Mais, Tara revient plus tôt que les autres avec Bagger qui l’a ramenée et couchée (± 1h10) de façon bienveillante.
Quand ses amies arrivent en faisant encore la fête au petit matin de leur départ, elle ne dit rien et continue à vouloir dormir. Mais, Paddy va alors la rejoindre au lit en disant « Je dors ici ». (± 1h12m30s) On voit qu’elle ne veut pas, mais il s’incruste. Et, quand Bagger, qui est plus bienveillant, va la voir (± 1h12m50s), Paddy lui dit « Je suis plus tout seul, tu vois? » (± 1h13m05s) et elle ne dit rien encore une fois. Il continuera donc son manège.
Elle aurait pu lui demander de sortir, se lever et s’en aller ou appeler ses amies juste à côté? Mais, elle ne le fait pas, alors, pour lui, elle est consentante. Puis, Skye et Bagger viennent les rejoindre au lit et elle lui dira « Je savais que tu le ferais. Je t’aime, meuf. » (± 1h15m25s)
Non consentante, endormie plus qu’éveillée, elle se sera laissé faire comme si c’était une étape obligée (un rite de passage) de son voyage de fin d’année scolaire. Em ne comprendra que sur le chemin du retour que les choses ne se sont pas si bien passées pour elle et en est désolée. Tara lui dira qu’elle aurait dû parler, mais elle ne l’a pas fait...
Ce film soulève donc des questions intéressantes comme la notion de consentement est-elle bien comprise? Et, la pression sociale dans tout ça? Le marketing des corps et du plaisir, quel rôle y joue-t-il? La femme est-elle une marchandise dans le marketing de ces fêtes de fin d’année scolaire? Ce sont des questions que soulève ce film sans en dire un mot, car les images parlent d’elles-mêmes.
Un film qui devrait être diffusé dans les écoles secondaires n’en déplaise aux conservateurs, car l’éducation doit passer avant les idéologies.
Notes
1. « It is mainly visited by young people from the United Kingdom and Northern Europe. The prominence of Malia as one of the leading spots for nightlife in Europe is cemented by the attraction of big name DJs and events. The Main Strip is home to many bars, clubs, taverns and restaurants. This is supported by the many close-by hotels and apartments in Malia and the immediate area. » (https://en.wikipedia.org/wiki/Malia,_Crete#Malia_resort)
2. C’est la première des deux scènes de sexualité du film, toutes les deux avec Tara et Paddy. Sobrement tournée et explicite même si on ne voit pas de nudité. Mais ici, comme dans la seconde scène de sexualité plus loin dans le film, il n’y a aucune référence à l’usage du condom. De quoi ajouter au traumatisme de la fille, car cela peut avoir des conséquences sur sa santé et sa vie future.
3. Justement, La Presse du 7 février nous apprend ceci :
« Une candidate républicaine au poste de secrétaire d’État du Missouri suscite la controverse après avoir brûlé au lance-flammes un livre québécois jeunesse traitant de questions reliées à la sexualité. »
Henri Ouellette-Vézina, Sexualité chez les jeunes. Une candidate républicaine brûle un livre québécois avec un lance-flammes, La Presse, 7 février 2024 :
How to Have Sex
THEATRICAL RELEASE DATE : Friday, February 09, 2024
Three British teenage girls go on a rites-of-passage holiday, drinking, clubbing and hooking up in what should be the best summer of their lives. As they dance their way across the sun-drenched streets of Malia, they find themselves navigating the complexities of sex, consent and self-discovery. Captured with luminous visuals and a pitch-perfect soundtrack, Manning Walker’s directorial debut paints a painfully familiar portrait of young adulthood, and how first sexual experiences should – or shouldn’t – play out.
CAST :
Mia McKenna Bruce
Lara Peake
Samuel Bottomley
Shaun Thomas
DIRECTED BY :
Molly Manning Walker
Comments by Michel Handfield, M.Sc. sociology (2024-02-08) - translated by Google translate
Ah, youth. There are some for whom it’s messing around. But after? We forget everything. Not sure, because it can leave marks and psychological consequences. It depends on each person's experiences, but some can be more traumatic for some than others. And, what can we say about the physical consequences, because it seems to me that I did not see the promotion of condoms at these parties.
In Europe, one of the places for these madnesses is the Cretan town of Malia. (1) We probably make our bread and butter for the end of the school year celebrations there. Everything is organized there, with sometimes degrading competitions, but if the young people have fun and this “sex” side of the party is profitable, it is sure to be exploited. As one of the three girls says in an evening scene: "Business. It's all business now. All. All the time." (± 11m 13s)
The three friends are therefore there to celebrate, but also to encourage, even push, Tara to lose her virginity, because this is the time and place to do so. She is therefore under pressure from her two friends, but she puts it on herself too.
For them, the sooner this stage is passed, the better life will be. However, this can have consequences, especially if you come across the wrong person. It's not fair to unlock a door. This mechanical vision of things is a utopia, because these things: virginity, sexuality and the act of losing it are intimate and psychological at the same time for the girl.
In a drunken evening like any other, Tara will lose sight of her friends, but will see one of her two hotel neighbors, Paddy. She wanted to go back to her room, but he suggested she go to the beach instead. (± 41 m 49 s) For him, it was a blow like any other and everything went well in his head. But, that's not what the girl wanted. It’s even less what she dreamed of for her first time. She doesn't need to talk, it shows. (2)
But he doesn't even realize it, because, for him and several young men, their vision of things is probably more sporting or mechanical than for girls. As for the notion of consent, for him as for certain others, if it remains there, it is because she must want it even if she says no once or twice. As if it were a game and sometimes no means yes.
Consent is really not clear to Paddy. This is a concept to be taught in sexuality classes for young people at school. But the right often opposes it, too often, for questions of morality. (3) But what morality is there in refusing to educate young people about sexuality? That's the question.
Afterwards, Tara will return to the party and meet other young people who are more caring than her friends. She won't come back until the next morning. When she told them, the important thing was that she finally had sex. They do not see the distress she hides as best she can. Yet it's clear, but she speaks too little and they don't even ask her how it went; how does she feel? It’s as if it was simply a “check” on the list of initiatory steps to take in a girl’s life.
Another day, another night, it’s always a party. But Tara returns earlier than the others with Bagger who brought her back and put her to bed (± 1h10) in a kind manner. When her friends arrive still partying in the early morning of their departure, she says nothing and continues to want to sleep. But, Paddy will then join her in bed saying “I’m sleeping here”. (± 1h12m30s) We see that she doesn't want to, but he gets in there. And, when Bagger, who is more benevolent, goes to see her (± 1h12m50s), Paddy says to him "I'm not alone anymore, you see?" (± 1h13m05s) and she says nothing again. He will therefore continue his merry-go-round. Could she have asked him out, gotten up and left, or called her friends nearby? But, she doesn't do it, so, for him, she is consenting. Then Skye and Bagger come to join them in bed and she tells him "I knew you would. I love you, girl." (± 1h15m25s)
Not consenting, asleep more than awake, she will have allowed herself to be done as if it were an obligatory step (a rite of passage) of her end-of-school-year trip. Em only realizes on the way home that things didn't go so well for her and is sorry for that. Tara will tell her that she should have spoken, but she didn't…
This film therefore raises interesting questions such as is the notion of consent well understood? And, the social pressure in all this? The marketing of bodies and pleasure, what role does it play? Are women a commodity in the marketing of these end-of-school year celebrations? These are questions that this film raises without saying a word, because the images speak for themselves.
A film that should be shown in secondary schools is no offense to conservatives, because education must come before ideologies.
Notes
1. « It is mainly visited by young people from the United Kingdom and Northern Europe. The prominence of Malia as one of the leading spots for nightlife in Europe is cemented by the attraction of big name DJs and events. The Main Strip is home to many bars, clubs, taverns and restaurants. This is supported by the many close-by hotels and apartments in Malia and the immediate area. » (https://en.wikipedia.org/wiki/Malia,_Crete#Malia_resort)
2. This is the first of two sexual scenes in the film, both with Tara and Paddy. Soberly shot and explicit even if we don't see any nudity. But here, as in the second sexual scene later in the film, there is no reference to condom use. This adds to the girl's trauma, because it can have consequences on her health and her future life.
3. Precisely, La Presse of February 7 tells us this :
"A Republican candidate for Secretary of State of Missouri is sparking controversy after burning a Quebec children's book dealing with issues related to sexuality with a flamethrower."
Une traduction de ce passage :
« Une candidate républicaine au poste de secrétaire d’État du Missouri suscite la controverse après avoir brûlé au lance-flammes un livre québécois jeunesse traitant de questions reliées à la sexualité. »
Henri Ouellette-Vézina, Sexualité chez les jeunes. Une candidate républicaine brûle un livre québécois avec un lance-flammes, La Presse, 7 février 2024 : https://www.lapresse.ca/arts/litterature/2024-02-07/sexualite-chez-les-jeunes/une-candidate-republicaine-brule-un-livre-quebecois-avec-un-lance-flammes.php
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Lafcadio Hearn - Youma roman martiniquais
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Lafcadio Hearn - Youma roman martiniquais : Ce livre nous parle de la vie de Youma, une esclave martiniquaise née dans une famille de planteurs paternalistes au sein de laquelle elle est appréciée. Elle est devenue une « da » (bonne d’enfant). Dans cette nature luxuriante et dangereuse, rodent aussi les légendes indigènes qu’elle raconte à la petite fille blanche dont elle a la charge. Elle va devoir faire face à un conflit de loyauté lorsque l’homme qui l’aime et qu’elle aime lui proposera de s’enfuir avec lui, pour devenir libres, quelques semaines avant l’annonce de l’abolition de l’esclavage. Lafcadio Hearn (1850-1904), d’ascendance irlando-grecque, journaliste aux États-Unis, découvre la culture créole aux Antilles où il sera correspondant. Il y rédige plusieurs livres inspirés des légendes locales ou de faits réels. Il s’installera ensuite au Japon. Marc Logé (1887-1949), pseudonyme de Mary Cécile Logé est une traductrice d’auteurs de langue anglaise. Téléchargements : ePUB - PDF - PDF (Petits Écrans) - Kindle-MOBI - HTML - DOC/ODT Read the full article
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