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#couleur cubaine
fashionbooksmilano · 1 year
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Mémoires de Cuba
Olivier Beytout,  François Missen
Éditions Plume, Paris 1997, 141 pages, 24,5 x 17 cm, ISBN 9782841100637
euro 20,00
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" On a toujours célébré Cuba pour son sucre, son tabac, son rhum, son café. Ce livre rend justice à la richesse de l'île : les Cubains. Les pages que vous allez feuilleter, débordantes de lumière, ivres de couleurs, donnent de nous l'image de notre vie au quotidien... " Ainsi s'exprime Luis Adrian Betancourt dans la préface de Mémoires de Cuba. Olivier Beytout, photographe, et François Missen, écrivain, journaliste, parcourent l'île depuis plus de huit ans, de région en région, à la rencontre des Cubains qui nous livrent ici leur histoire, leurs espoirs, leurs rêves... Authentique et émouvant, ce parcours au cœur d'un pays en devenir tient lieu de mémoire.
04/01/23
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ekman · 2 years
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J’ai regardé de près toutes ces images du passé récent des deux blocs, tels que l’on se plaisait à nommer les États-Unis et l’Union Soviétique. Miracle d’Internet, les documents relatifs à ces empires sont pléthore et consultables à tout moment. Il suffit de prendre le temps et d’observer. Qu’en ressort-il comme aveuglante évidence ? Ces empires n’ont à peu près produit que de la laideur – et c’est bien normal, puisqu’ils s’adressaient à la multitude, que ce soit un plouc vendeur d’assurances, un moujik de kolkhoze, un vacher alcoolique et brutal ou un aparatchik prêt à faire déporter ses parents pour accéder au plaisir de goûter une banane cubaine. Ces deux empires qui avaient en tête l’obsession du productivisme se sont contentés de piller et saccager leur territoir – et celui de leurs affidés – pour produire téléviseurs et missiles, chaussures et pains de viande. Les uns avec le succès que l’on sait – ô vertu du libre échangisme à la Jacquie et Michel –, les autres pour un résultat désastreux et mortifère : qui n’a pas goûté à la joie de regarder ses dents tomber en attendant qu’on veuille bien produire du dentifrice n’a rien compris au marxisme-léninisme. Surtout derrière des barbelés. On se dit que la vision brutale de deux mondes envahis par une mocheté endémique aurait pu avoir secoué la conscience esthétique des peuples d’Europe. Il n’en est rien. Ces Européens, et à leur suite les peuples rescapés du communisme systémique, continuent pour beaucoup à produire du moche à tour de bras. C’est à croire qu’ils n’auront plus jamais l’ambition d’offrir à l’œil du profane l’expression polymorphe du génie humain. On produit ici, avec enthousiasme, ce que l’on sait faire de mieux et à moindre coût, à savoir des bouses. Je ne pense pas à des œuvres en particulier – certainement pas ; j’ai à l’esprit l’idée d’harmonie. Harmonie des paysages façonnés par le génie agricole et forestier, équilibre des villages construits aux meilleurs endroits possibles, l’emplacement de l’évidence étant laissé à la pierre sacrée, au temple, à l’église. Intelligence des villes bâties dans la nécessaire recherche d’une promiscuité vivable, croisement des routes, étapes, escales, refuges... Mais l’harmonie, qu’elle soit graphique, musicale, chromatique, architecturale ou que sais-je encore, a déserté ce monde de marchands. L’horreur sur 360 degrés : de la multitude des temples bureaucratiques en béton maquillés de carrés de céramique décollés – les satrapes socialistes des années 80 baptisèrent cela du nom très Ancien Régime d’Hôtel de Région – à l’insupportable anarchie visuelle des enseignes de ZAC où un Léon de Bruxelles en parpaings fissurés enfrite l’atmosphère d’une Halle aux Vêtements réservée aux RSA et aux loqueteux du tiers-monde agricole. Tout est laid, sale et nauséabond. C’est la règle du marketing libéral : produire de la richesse potemkine en saturant de couleurs vulgaires et de sons agressifs des magasins dégueulant leurs marchandises ignobles à la face de manants infoutus de se les payer. Et regardez-la, cette multitude d’esclaves abrutis rêvant au miracle de la Française des Jeux pour pouvoir se payer une Mégane électrique et un pavillon avec piscine. Regardez comme ils sont laids et mal fagotés, avec leurs sales gueules de frustrés engoncés dans leur doudoune en synthétique ou leur marcel décousu. Puent de la gueule. Sentent l’abandon, le renoncement, le déjà pourri. N’auront pas les couilles d’enfiler un gilet jaune, ou orange, ou bleu pour aller pendre un préfet. Jamais. Essaieront plutôt de se trouver une place dans un mouroir d’État où des négresses incultes et revanchardes leur nettoieront la gueule au gant de crin. Ils n’ont rien appris. Les uns sont passés de Marx au wokisme comme un seul (sous) homme. Les “happy few”, de l’ultra-capitalisme commercial à la finance mondialisée comme autant de Picsou surcocaïnés. Tiens, pour clore provisoirement ce si dense sujet : amusez-vous à comparer l’univers esthétique d’un Oscar Wilde ou d’un Jean Cocteau aux débordements brouillons et tapageurs des tarés bariolés de la ligue LGBTetc. Ce qu’ils ont gagné en prétendus “droits”, nous l’avons directement perdu en intelligence. Le monde d’aujourd’hui est majoritairement celui des minorités en appétit. Mais quelle horreur. J.-M. M.
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antoinegragnier · 4 days
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Voyage Virtuel : À la Découverte des Jeux Vidéo Inspirés de Lieux Réels
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Dans le monde des jeux vidéo, les limites de l'imagination sont constamment repoussées. Pourtant, certains titres ont trouvé leur source d'inspiration non pas dans des mondes fantastiques, mais bien dans notre réalité. Dans cet article, nous partirons à la découverte de ces jeux vidéo qui nous font voyager à travers des lieux réels, pour une immersion virtuelle sans pareille.
La Majestuosité de Paris dans Assassin's Creed Unity
Assassin's Creed Unity nous plonge en plein cœur de la Révolution Française, au sein de la vénérée ville de Paris. Grâce à des recherches historiques méticuleuses et une attention inouïe du détail, le Paris du XVIIIème siècle prend vie sous nos yeux. De Notre-Dame au quartier du Marais, l'ambiance et l'architecture de la capitale sont brillamment reconstituées, pour la plus grande joie des amateurs d'Histoire et de voyage.
Las Vegas en Lumière dans Fallout : New Vegas
Qui n'a jamais rêvé de visiter Las Vegas, la ville de tous les excès? Fallout : New Vegas nous offre une version post-apocalyptique fascinante de cette cité légendaire. Malgré l'ambiance sombre et désolée, l’esprit de Las Vegas survit à travers les néons, les casinos et même un Elvis Presley virtuel, pour un dépaysement garantit!
Le mystique Katmandou dans Uncharted 2 : Among Thieves
L'un des atouts majeurs de la série Uncharted réside dans sa capacité à nous faire découvrir des lieux exotiques. Dans Uncharted 2 : Among Thieves, le joueur est amené à parcourir une représentation éblouissante de Katmandou, la capitale népalaise. En dedans la ville labyrinthique embrouillée autour de temples et de stupas, jusqu'aux sommets enneigés de l'Himalaya, le jeu offre une escapade transcendante entre aventure et spiritualité.
L’exotisme de la Havane dans Far Cry 6
Far Cry 6, qui voit l'action se dérouler dans la fictive île caraïbe de Yara, rend minutieusement hommage à La Havane, avec son architecture coloniale, ses vieilles voitures américaines et son ambiance si particulière. L’hip hop cubain et Les couleurs chatoyantes qui se mélangent au milieu du chaos politique ajoute une profondeur palpable à ce paysage en pleine ébullition. Explorer le monde à travers les jeux vidéo est une expérience singulière, mêlant l'évasion du voyage à l'excitation du jeu. Que ce soit au gré des rues de Paris, du désert post-apocalyptique de Las Vegas, des sommets de l’Himalaya ou encore les ruelles de La Havane, ces titres nous font voir notre monde sous un angle nouveau, pour un véritable voyage virtuel.
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omagazineparis · 10 months
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Mojito, recette facile et rapide pour cet incontournable de l'été
Il nous transporte tout droit vers le soleil, les couleurs, les cocotiers… Cuba ! Ô Magazine vous livre sa recette du Mojito pour célébrer les beaux jours. Le mojito est une boisson cubaine populaire composée de cinq ingrédients : rhum blanc, jus de citron vert, sirop de sucre, club soda et menthe fraîche. Les mojitos sont rafraîchissants pour supporter la chaleur estivale car ils contiennent beaucoup d'ingrédients froids comme des glaçons et du soda. Ils ont également un soupçon de douceur du sirop de sucre qui les rend parfaits pour cette période de l'année où les gens cherchent à se rafraîchir par temps chaud. Préparation cubaine qui englobe bien des mystères, plusieurs histoires existent concernant l'apparition du Mojito. Il est communément admis que le cocktail se prépare à base de rhum cubain. Son origine remonterai à 1586, et pour certains le Mojito aurait été créé par des esclaves africains qui travaillaient dans les champs de canne à sucre à la fin du 19ème siècle. La préparation typique de la culture cubaine a commencé à s’exporter à partir de 1946 et a acquis une notoriété mondiale en très peu de temps. Le Mojito s’exporte de Cuba et devient la boisson que nous connaissons tous, servie dans le monde entier. Lisez également : Un délice fruité pour vos papilles : découvrez la recette facile et rapide du smoothie à la mangue et à l’orange Recette originale pour l'été venu de Cuba Recette de Mojito par Ernesto Rodriguez Pixabay La recette est simple pour un succès assuré, que le mélange soit avec ou sans alcool. Ô Magazine vous donnera toutes les astuces et étapes à respecter pour obtenir un Mojito digne de ce nom ! Il faut en premier lieu bien choisir les ingrédients à utiliser. La sélection du rhum est décisive. Nous vous en proposons plusieurs bien que le rhum cubain Havana Club soit l'option privilégiée. Isautier ou encore Charrette à l'île de la Réunion par exemple. Madagascar n’est pas en reste non plus avec le Dzama. Si vous choisissez de réaliser votre Mojito sans alcool, vous substituerez la quantité de rhum par du jus de fruits en fonction de vos goûts. Nous préconisons les saveurs exotiques comme la goyave, la mangue pour un dépaysement total. Concernant le choix du citron, ce sera selon votre convenance entre le citron vert, le citron jaune ou encore le combava. Une fois les ingrédients prêts, vous pouvez vous atteler à la préparation du cocktail. Pour la préparation d’un verre de Mojito Il vous faudra 6 centilitres de rhum, la moitié d'un citron vert, 7 feuilles de menthe, de l'eau gazeuse, du sirop de sucre de canne ou du sucre roux selon votre convenance. La préparation traditionnelle du Mojito se fait dans un verre, mais vous pouvez utiliser un shaker. Commencez par mettre les feuilles de menthe, le sirop de sucre de canne. Si vous utilisez du sucre roux ce sera 2 cuillères à café. Ajoutez ½ citron vert pressé dans le verre. Pliez les 6 feuilles de menthe  pour faire ressortir leur arôme tout en évitant d’écraser les feuilles. L’arôme de la menthe va se développer. Versez y 6 centilitres de rhum dans le verre. 3 ou 4 glaçon pilés au préalable. Ajoutez 6 centilitres d’eau gazeuse pour finaliser le cocktail. Enfin, mélangez délicatement. le tout. https://youtu.be/osUlI2DKRhM Au shaker, la préparation est plus simple. Il faut mettre tous les ingrédients dans l'ustensile : les feuilles de menthe, le jus de citron, le rhum, le sirop de sucre et les glaçons. Mélangez ensuite le tout en agitant fortement pour faire ressortir l'arôme de la menthe. Enfin, versez le mélange dans un verre puis rajoutez de l'eau gazeuse pour finaliser la préparation de votre boisson. Votre cocktail est prêt à être servi. Il ne vous reste plus qu’à déguster ! Un mojito doit être servi froid ou sur glace pour pouvoir en profiter le plus tôt possible. L'abus d'alcool étant dangereux pour la santé, consommez le Mojito avec modération. Read the full article
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Au Moloco d’Audincourt : Who’s The Cuban + Mimaa + Matanzas
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¿Who’s The Cuban? est un groupe de musique Latin Psychedelic Pop Rock formé en 2017 entre Nancy et Paris. Les musiciens partagent l’irrésistible envie de mêler l’essence des musiques cubaines et caribéennes au rock psychédélique. La scène Trap-latino peut désormais compter sur l’une de ses toutes premières représentantes, la chanteuse Mimaa. La jeune artiste française originaire d’Alès puise son inspiration dans ses origines espagnoles et italiennes, et dans les sonorités latines qui l’ont marqué au gré des rencontres. Matanzas est un collectif de musiciens pour la plupart d’origine Latino américaine. Formé en 2009 par les frères chiliens Ibarra/Hidalgo, ils interprètent avec passion le répertoire traditionnel latino américain comme le Son Cubano, la Rumba, la salsa et la Cumbia. Contrebasse, congas, guitares cubaines, piano, trompette et saxophone sont quelques-uns des instruments qui donnent à Matanzas couleur et authenticité pour transmettre au public cette musique naturellement dansante et chaleureuse. Au Moloco d’Audincourt : Who’s The Cuban + Mimaa + Matanzas, vendredi 24 mars 2023 à 21h00. infos > www.lemoloco.com Read the full article
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nouvellesdumaquis · 1 year
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Soy de Cuba à ne pas rater à Paris au 13ème Art du 14 au 26/03/2023
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La troupe de Soy de Cuba revient en France à Paris et en province pour une nouvelle tournée de son spectacle Viva La Vida. A Paris, on pourra les retrouver au 13ème Art du 14 au 26 Mars. Un spectacle de danse et de musique cubaine à voir en famille.
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Soy de Cuba sera à Paris du 14 au 26 mars 2023 pour nous présenter le spectacle Viva la Vida dans le 13ème au 13ème Art. N’attendez plus pour réservez vos places ! Emmenée par 14 danseurs cubains et un orchestre live composé de six musiciens et de deux chanteurs, Soy de Cuba signe son grand retour sur les planches parisiennes. De quoi ravir les amateurs de musique, de danse et de culture cubaines.
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Au fil des tableaux hauts en couleur et de danses fiévreuses, Viva la Vida ! offre un panorama de la musique cubaine et de ses danses mythiques : la rumba, la salsa, le mambo, le cha-cha-cha et le reggaeton. Chorégraphie endiablées, musiques sensuelles, rythmes déchaînés, mise en scène inventive… La troupe de 14 danseurs charismatiques et 6 musiciens chevronnés donne vie aux 18 tableaux créés grâce à des décors vidéo spectaculaire. Entre les cigares, mojitos et les voitures typiques de Cuba, vous serez immédiatement transportés dans les nuits de l’île des Caraïbes.
Théâtre Le 13eme art, 30 place d’Italie 75013 Paris. Métro Place d’Italie – Sortie 2 – Parking du centre commercial Italie 2 Billetterie et Informations
Voici la bande-annonce de Soy De Cuba à découvrir :
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shopises · 2 years
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Ensemble de bijoux pour hommes et femmes, couleur or Rose, Bracelet et collier, Double gourmette, tissage cubain, Bismark, chaîne, cadeau de mariage, 585, KCS04
Ensemble de bijoux pour hommes et femmes, couleur or Rose, Bracelet et collier, Double gourmette, tissage cubain, Bismark, chaîne, cadeau de mariage, 585, KCS04
Matériel: cuivre plaqué or Quantité: 1 collier et 1 bracelet
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pinojangany-38 · 2 years
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ISTITUTO COMPRENSIVO DI PINO TORINESE PRIMARIA DOMENICO FOLIS CLASSE VA
Pino Torinese, le 23 février 2022
Cher ami, chère amie de Jangany,
Salut! Comment vas-tu? J’espère bien.
Je m’appelle Laura et je t’écris pour mieux nous  connaître et renforcer notre amitié qui dure depuis 8 ans.
J’habite à Pino Torinese et je fréquente la classe 5A de l’école primaire “Domenico Folis”.
Toi, où vis-tu? Quelle classe fréquentes-tu?
Notre école, à l’extérieur est grise mais nos classes du premier étage sont vertes et blanches; celles des autres étages sont de couleurs différentes. Ton école, comment est-elle?
 Vos lettres sont très intéressantes, je les attends  très volontiers puisque avec ces lettres, je comprends comment vous vivez; notre maîtresse nous les lit une fois tous les 15 jours.
Et vous? Vous recevez nos lettres? Pour moi, les contacts que nous avons avec vous sont très importants: vous êtes nos amis lointains, vous êtes en train de nous enseigner la valeur des différences. J’espère que les nouvelles lettres arriveront bientôt. Les chocolats “Gianduiotti”, que nous achetons pour collecter des fonds  pour vous, sont très bons; mes parents et moi, nous en achetons 3 paquets toutes les années; j’espère qu’en achetant les “Gianduiotti” et les oeufs de Pâques, nous vous aidons à avoir une vie meilleure.
Comment ça s’est passé avec le cyclone? Il y a eu des blessés ou des morts?  Il pleut assez pour avoir suffisament de riz? Il y a assez de nourriture?
Je voudrais  venir cuisiner chez vous!
Prends soin de toi! Mes cherès salutations
Laura
Pino Torinese, le 23 février 2022
Cher ami, chère  amie de Jangany
salut! Comment vas-tu? J’espère bien.
Je m’appelle Martina et je t’écris pour mieux nous connaître et renforcer notre amitié qui dure depuis presque 4 ans, pour moi.
Toi, comment tu t’appelles?
Moi, j’habite à Pino Torinese et je fréquente la classe 5A de l’école primaire “Domenico Foles”. En classe, nous sommes 16 élèves, 9 filles et 7 garçons.
Les filles s’appellent: Kiki, Sofia, Michela, Laura, Anna, Sara, Arianna, Anita et moi; les garçons s’appellent Gianluca, Dylan, Stefano, Davide, Francesco, Matteo e Alberto. Nos maîtresses sont Cinzia, Roberta, Tina, Francesca, Flavia, Raffaella et Andrea; il y a aussi des éducateurs qui viennent en classe, ils s’appellent  Alessandro, Rosetta et Renata.
Et toi? Où est-ce que tu habites? Combien de copains as-tu? Comment s’appellent-ils? Tu les trouves sympathiques/antipathiques?
Nous allons à l’école du lundi au vendredi par contre le samedi et le dimanche nous restons à la maison. Le vendredi, on nous donne les devoirs à faire dans le fin de semaine. Notre emploi du temps   se déroule le matin et l’après-midi,  8 heures par jour mais nous avons un quart d’heure pour une petite pause le matin, une demi-heure pour le déjeuner  à la cantine suivi par une  pause d’une heure après le repas. Et vous? Quels jours vous allez à l’école? Quel est votre emploi du temps? Vous avez des pauses? L’année prochaine j’irai au collège: quelle émotion!
Je pratique de la gymnastique artistique, je l’aime beaucoup, lors de ma dernière compétition j’ai gagné le deuxième rang! Et toi? tu pratiques des sports?
Ma famille est composée de ma mère, mon père, ma petite soeur, moi et 2 chiennes. Ma mère s’appelle Eleonora, mon père Federico, ma soeur Matilde et mes chiennes Cecilia et Clotilde, nous les appelons “Cecy” et “Cloty”.
Et toi? Tu as des soeurs, des frères, des chiens, des chats?
Nous continuons à recevoir avec plaisir vos “newsletters”… nous avons appris de bonnes nouvelles mais aussi des mauvaises toutefois nous espérons que tout va bien se passer, continuons à bien espérer!!!
mes chères salutations,
Martina
 Cher amis, Toi, tu habites où?
En classe, nous sommes 16 élèves, 7 garçons et 9 filles. Mon meilleur ami s’appelle Davide De Macchi. Dans notre classe, il y a beaucoup d’étrangers; une copine s’appelle Kiki, elle est japonaise; une autre copine s’appelle Anna, elle a des origines serbes; un autre copain s’appelle Dylan,  il a des origines cubaines. Nous arrivons aussi de différentes régions italiennes: mon copain Alberto vient de la  région des Marche; ma copine Anita a de la famille en Calabria.
Pour moi, l’amitié entre Pino Torinese et Jangany est très importante,  très intéressante et passionnante parce que nous comprenons comment est la vie dans un autre pays, où il y a des ouragans, surtout maintenant qu’il y a le changement climatique. C’est aussi très passionnant car nous offrons de l’argent, en achetant les chocolats  “Gianduiotti” et les oeufs de Pâques, pour vous aider à construire une vie meilleure. Cette amitié me plaît beaucoup puisque nous aussi, nous recevons quelque chose…… l’humanité!
Je t’embrasse bien affectueusement
Matteo  
 En lisant vos newsletters, nous avons su qu’il y a eu un ouragan à Madagascar. Je voulais te demander s’il a apporté assez d’eau pour vos rizières ou si, par contre, il a provoqué des désastres.
Mon sport préféré est la natation, je l’aime beaucoup, je m’amuse beaucoup et ça me détend! Je participe aussi à des compétitions. Quel est ton sport préféré?
Par rapport au jumelage entre l’école de Pino Torinese et celle de Jangany, je pense qu’on peut bien communiquer  malgré la distance et la différence linguistique.  
On se voit la prochaine fois, salut!
P.S. raconte-moi tout
Gianluca
  Je sais que ces jours, à Madagascar, un cyclone est arrivé et il vous a apporté beaucoup d’eau, je sais aussi qu’un autre cyclone va arriver;  j’espère qu’il fera peu de dégâts et qu’il vous apportera assez d’eau pour vos plantations de riz.
Toi, comment vas-tu? Comment vas-tu à l’école? Parle-moi un peu de ta vie. Ecris-moi une lettre, je serai très content de lire de tes nouvelles.
Pour moi, l’amitié entre Pino Torinese et Jangany est très importante parce qu’un petit  geste, comme par exemple les chocolats gianduiotti ou l’échange de cadeaux qui sont des choses qui semblent inutiles, en réalité sont très utiles pour aider beaucoup de personnes qui en ont besoin!
Dylan
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vivacubalibre2022 · 2 years
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Dia 14 :
Réveil pronto pronto !!!
Surprise: pas d’électricité ce matin non plus… bon de toute façon petit déjeuner express, notre Chevrolet bel air 1954 (avec la Clim 😅) nous attends, on a prévu d’aller rendre visite a los Ingenios, une vallée chargée d’histoire à quelques kilomètres de trinidad. Elle fut créée durant le 17ème siècle, par les riches propriétaires de canne à sucre fuyant la révolution Jamaïquaine avec leurs précieuses plantes. C’est donc à Trinidad que la canne fût implantée, elle fera sa richesse durant plusieurs siècles avant de totalement disparaître. C’est aussi le lieu de la plus grosse traite d’esclaves travaillant dans ces champs et surveillés par les guetteurs dans la grande tour de Manaca. Aujourd’hui, avec la chute du cours du sucre, on y cultive surtout banane, mangue, goyave et manioc. Élise était perplexe à l’idée de cette visite et pourtant elle fut agréablement surprise. Et Thibaut ne résistera pas à y goûter un jus de canne frais. La visite ne fût pas tellement longue, après quelques arrêts aux différentes haciendas (Buena Vista, Manaca…) et à la maison de la céramique, on retourne faire un petit tour en ville. Un petit rafraîchissement dans le café de la fortuna (petit bar à cocktail rempli des différentes monnaies du monde et petit cours concernant le fonctionnement de la monnaie cubaine ! Il faut vraiment un bac+12 c’est à n’y rien comprendre !!) avant de faire une petite pause sous la Clim pour certaine. 😅😇🤣. Les petits groupes se préparent dans les différentes lieux de Trinidad, et on choisit une taverne pour prendre le repas du soir, et y écouter un groupe cubain reprenant les standards internationaux dans les couleurs locales ☀️🇨🇺 la bonne pioche fut une fois encore pour Thibaut pour le choix de son repas : brochettes de porc / ananas !! 😋🤪 c’est décidé Élise va commencer à suivre les mêmes choix culinaires 😜🤣🤩. Buena noche Francia!
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lamuchachadecuba · 3 years
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fashionbooksmilano · 1 year
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Mémoires de Cuba
Olivier Beytout, François Missen
préface de Luis Adrian Betancourt
Editions Plume, Paris 1998, 141 pages, 24,7 x 17,3 cm, ISBN  978-2841100699
euro 30,00
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" On a toujours célébré Cuba pour son sucre, son tabac, son rhum, son café. Ce livre rend justice à la richesse de l'île : les Cubains. Les pages que vous allez feuilleter, débordantes de lumière, ivres de couleurs, donnent de nous l'image de notre vie au quotidien... " Ainsi s'exprime Luis Adrian Betancourt dans la préface de Mémoires de Cuba. Olivier Beytout, photographe, et François Missen, écrivain, journaliste, parcourent l'île depuis plus de huit ans, de région en région, à la rencontre des Cubains qui nous livrent ici leur histoire, leurs espoirs, leurs rêves... Authentique et émouvant, ce parcours au cœur d'un pays en devenir tient lieu de mémoire.
Olivier Beytour, grand voyageur et photographe reconnu, nous montre le quotidien de cette île où le temps semble s'être arrêté. Une série de portaits et de paysage, comme autant d'empruntes de cette âme cubaine.  
15/11/22
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scribe-feliciter · 3 years
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12 Amitié / Miel-Abricot
L’amitié a le goût d’une glace citron-violette.
J’aime le citron, c’est acide et frais, ça a un goût qui devrait être désagréable. J’aime la violette, elle a le goût d’une fille aux pétales un peu froissées à chaque fois que j’entends ce mot, ça sonne comme j’ai dix-huit ans et je crois que la vie s’arrête à un cahier. L’autre jour j’ai mangé une glace citron-violette pour elle par procuration. Violette et réglisse. Art contemporain et vieilles pierres. Cols claudines et cols cubains. Soleil ardent et bise fraîche. Mer et rochers. Miel. Abricot. Abricot pour le printemps, les meilleures personnes à éclore. Miel, les abeilles qui travaillent dur. Se serrer les coudes pour devenir de meilleures versions de nous.
J’aimerais programmer une glace miel abricot, une glace couleur d’automne, a l'odeur d'une cabane, un peu sucrée, un peu trop douce. J’aimerais intercaler dans mes devoirs des brocantes et des road trips en Italie. M’éclipser dans un jardin clos entre des chats, accepter le refuge hors du monde qu’on m’offre, par amitié. J’aime manger des glaces au citron et à la violette et sentir le nœud qui vrille mes tripes et ma poitrine fondre le long du cône, j’aime m’entendre rire et réaliser que je suis présente, avec eux.
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affairesasuivre · 3 years
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"Agua", l'appel à la nature de Bomba Estéreo
Le combo colombien revient avec son electro-cumbia militante et dévoile trois titres de son nouvel album "Deja".
Né en 2005 au cœur de l'effervescence créative de la scène musicale de Bogota, Bomba Estéreo s'est vite imposé avec sa fusion extatique de pulsations électroniques et psychédéliques, de cumbia, de couleurs art-pop et de folklore de la côte caraïbe. Fondé par le bassiste et beatmaker Simón Mejía, le collectif a vite été rejoint par la charismatique chanteuse Liliana Saumet qui transmet ses messages écologiques et humanistes dans des shows époustouflants.
 Quatre ans après la sortie de son album Ayo, le duo a enregistré son nouveau projet, Deja, à Santa Marta pendant le confinement avec quelques complices comme le guitariste José Castillo, le percussionniste Efrain “Pacho” Cuadrado, la chanteuse Lido Pimienta ou le duo cubain Okan.
Ecrit pendant la tournée du groupe en 2018, Deja est un album conceptuel pensé autour des quatre éléments de la Terre. « Il s'agit de la façon dont nous sommes déconnectés, plus connectés aux appareils électroniques et aux objets virtuels qu'aux choses réelles » explique Li Saumet qui vient de dévoiler le clip magnifique du titre Agua filmé par Jhoy Suarez à côté de la maison de la chanteuse, où les montagnes rencontrent la mer. Une vidéo filmée comme un rituel imaginaire où chaque femme représente un élément différent de la nature.
Produit et mixé par Damian Taylor (Björk, Arcade Fire), l'album entremêle avec magie les ambiances et les rythmes. Un voyage imaginaire et intemporel qui transmet à la fois joie de vivre et tristesse. « Nous avons fait cet album pour que vous puissiez danser dessus dans un club, mais en même temps il a un sens profond » rajoute la chanteuse.
Publié le 3 février 2021 à 17:07 par Guillaume Schnee
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omagazineparis · 10 months
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Mojito, recette facile et rapide pour cet incontournable de l'été
Il nous transporte tout droit vers le soleil, les couleurs, les cocotiers… Cuba ! Ô Magazine vous livre sa recette du Mojito pour célébrer les beaux jours. Le mojito est une boisson cubaine populaire composée de cinq ingrédients : rhum blanc, jus de citron vert, sirop de sucre, club soda et menthe fraîche. Les mojitos sont rafraîchissants pour supporter la chaleur estivale car ils contiennent beaucoup d'ingrédients froids comme des glaçons et du soda. Ils ont également un soupçon de douceur du sirop de sucre qui les rend parfaits pour cette période de l'année où les gens cherchent à se rafraîchir par temps chaud. Préparation cubaine qui englobe bien des mystères, plusieurs histoires existent concernant l'apparition du Mojito. Il est communément admis que le cocktail se prépare à base de rhum cubain. Son origine remonterai à 1586, et pour certains le Mojito aurait été créé par des esclaves africains qui travaillaient dans les champs de canne à sucre à la fin du 19ème siècle. La préparation typique de la culture cubaine a commencé à s’exporter à partir de 1946 et a acquis une notoriété mondiale en très peu de temps. Le Mojito s’exporte de Cuba et devient la boisson que nous connaissons tous, servie dans le monde entier. Lisez également : Un délice fruité pour vos papilles : découvrez la recette facile et rapide du smoothie à la mangue et à l’orange Recette originale pour l'été venu de Cuba Recette de Mojito par Ernesto Rodriguez Pixabay La recette est simple pour un succès assuré, que le mélange soit avec ou sans alcool. Ô Magazine vous donnera toutes les astuces et étapes à respecter pour obtenir un Mojito digne de ce nom ! Il faut en premier lieu bien choisir les ingrédients à utiliser. La sélection du rhum est décisive. Nous vous en proposons plusieurs bien que le rhum cubain Havana Club soit l'option privilégiée. Isautier ou encore Charrette à l'île de la Réunion par exemple. Madagascar n’est pas en reste non plus avec le Dzama. Si vous choisissez de réaliser votre Mojito sans alcool, vous substituerez la quantité de rhum par du jus de fruits en fonction de vos goûts. Nous préconisons les saveurs exotiques comme la goyave, la mangue pour un dépaysement total. Concernant le choix du citron, ce sera selon votre convenance entre le citron vert, le citron jaune ou encore le combava. Une fois les ingrédients prêts, vous pouvez vous atteler à la préparation du cocktail. Pour la préparation d’un verre de Mojito Il vous faudra 6 centilitres de rhum, la moitié d'un citron vert, 7 feuilles de menthe, de l'eau gazeuse, du sirop de sucre de canne ou du sucre roux selon votre convenance. La préparation traditionnelle du Mojito se fait dans un verre, mais vous pouvez utiliser un shaker. Commencez par mettre les feuilles de menthe, le sirop de sucre de canne. Si vous utilisez du sucre roux ce sera 2 cuillères à café. Ajoutez ½ citron vert pressé dans le verre. Pliez les 6 feuilles de menthe  pour faire ressortir leur arôme tout en évitant d’écraser les feuilles. L’arôme de la menthe va se développer. Versez y 6 centilitres de rhum dans le verre. 3 ou 4 glaçon pilés au préalable. Ajoutez 6 centilitres d’eau gazeuse pour finaliser le cocktail. Enfin, mélangez délicatement. le tout. https://youtu.be/osUlI2DKRhM Au shaker, la préparation est plus simple. Il faut mettre tous les ingrédients dans l'ustensile : les feuilles de menthe, le jus de citron, le rhum, le sirop de sucre et les glaçons. Mélangez ensuite le tout en agitant fortement pour faire ressortir l'arôme de la menthe. Enfin, versez le mélange dans un verre puis rajoutez de l'eau gazeuse pour finaliser la préparation de votre boisson. Votre cocktail est prêt à être servi. Il ne vous reste plus qu’à déguster ! Un mojito doit être servi froid ou sur glace pour pouvoir en profiter le plus tôt possible. L'abus d'alcool étant dangereux pour la santé, consommez le Mojito avec modération. Read the full article
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Tout était calme ,abracadabrantesque et placide dans le royaume du Docteur Bierre Bourrer ,le magicien galactique .
Des dinosaures neptuniens se pavanaient dans le ciel multicolore et fumaient des cerveaux d'abeilles hallucinogènes qui heureusement en possédaient plus de 18 milles et les vendaient de bon cœur contre des glaces au sperme d'autruche.
Un homme avec un visage de mante religieuse violette ,10 tentacules arc en ciel et un pénis de cheval qui lui servait d'arrosoir pour les jardins vaginaux ,se la tripotait en sifflant les belles fleurs qu'il croisait. 
Monsieur Schizo Cha Cha,un des docteurs farfelus,
 accouru soudainement pendant la partouze décadente et s'écria 
J'ai découvert une nouvelle couleur qui sort du nombril d'une clef de sol .Il faut absolument la faire venir car le ciel vieillit et perd peut à peut de ses teintes flamboyantes .
Il lui en faut une de plus plus survivre !
C'est un jeune ciel multicolore et impétueux qui à besoin de connaitre une nouvelle compagnie .
Elle s'appelle " Extolsia-Déliriane ".
Son odeur rappelle l'anus d'un bateau aromatique et médicinal ,cuit dans de l'huile d'olive lesbienne .
Pour la faire apparaître,il faut jouer la partition magique .
C'est une partition mystico-délirogeno -spatial où les notes de musiques sont des arbres ,des poissons et des nuages qu'il faut additionner par nos sens cosmiques.
Quand elle apparaît ,elle rappele les losanges psychédéliques qui servent de visages aux hallucinations spatiales.
Elle ressemble également à un numéro de téléphone psychotique dont chaque chiffre possède plus de milles personnalités.
Pour la transférer dans notre ciel ,il faut rentrer dans l'anus d'une cuillère .
Il est caché par une fenêtre Carglass qu'il faudra démonter 
Nous ne savons pas ce qui nous attend.
Ni ce qui se cache dans le rectum de cet ustensile. 
Monsieur Schizo Cha cha si fier d'avoir découvert cette couleur invita Jojo Masturbevite le vilain garnement ,le Docteur Bierre Bourrer à rentrer dans les fesses du petit objet alimentaire aux couleurs métalliques .
Il fit également venir la Couleur Rouge .
Cette fameuse teinte était bipolaire et en crise maniaque.
Les créatures voyageaient donc avec un palmier dans les fesses , dans la fameuse baignoire galactique et rentrèrent dans l'anus en cassant les vitres d'une maison abandonné qui avait pousser il y a longtemps sur des poils qui le recouvrait .
Après avoir exécuter le carnage hystérique ,le petit groupe interstellaire débarqua dans une galaxie qui se trouvait dans le petit trou merdeux de la cuillère puis toutes et tous furent propulsés très soudainement dans la jungle spatio-amazonienne ,sur l'étoile Xelofartiose ,à des millions d'années-lumières de leur dimension et de l'au delà .
Monsieur Schizo Cha Cha Cha avait le plan pour trouver la couleur.
Il fallait traverser le paysage exotico-galactique et subir des piqûres d'insectes et des morsures de serpents roses.  
Heureusement,la troupe de détraqué était immunisée par leur pouvoir qui était une puanteur mélodieuse.
Il y avait également des pots de fleurs dans lesquels des dragons aussi minuscules que des escargots et possédant des yeux en spirales -losanges se masturbaient devant la musculature du ciel cuillèro-anale .
Soudain un des dragons se mit à grandir jusqu'a devenir géant et un ovni apparu en surfant sur un phallus , dans ce ciel costaud et moustachu .
C'etait Moïse qui s'était réincarner en alien fou et il écartela en double les cieux qui se transformèrent en tartines de pain au fromage relaxant sur lesquelles des singes puritains grimpaient et dansaient la valse en vomissant des églises. 
Le religieux puritain hurla : 
《 
Sacripans cosmiques 
Vous ne trouverez pas la fameuse couleur que vous chercher dans cette jungle anale bande d'hystéros du slip !
Je lui ai retirer le clitoris, car cette dévergondée est nymphomano-spatiale.
Je vais vous enfermer dans une huitre nationalisto-psychedelique pour vous punir d'être indécents et de voguer dans l'immoralité. 
Et toi Bierre Bourrer !Tu est tellement gros que tu ressemblera à un tonneau alcoolique avec une gueule de cirque qui étouffe comme une féminiazi sous les fesses d'un dindon patriote .
Tout le petit monde dinguo-galactique se retrouva donc prisonnier dans l'huître aux milieux de 300 gardiens-animaux,dans une plaine desséchée ,laide et aride ,sans arbre ni nourriture. 
Jojo Masturbevite eu une idée 
Il se mit à péter pour tenter de faire exploser l'huître mais cette dernière était militaire avec un mental d'acier et ne se laissa pas envahir .
Le chenapan avait flatuler une partition mutante et puante .
En plus d'être cloîtrés dans une fruit de mer ,toutes les créatures devaient subir la musique malodorante qui sortait du petit trou de Jojo .
Cela était insupportable .
Heureusement Monsieur Schizo Cha Cha avait un jouet fantasmagorique acheté chez l'épicier des voyous psycho-desaxé. .
C'etait une petite femelle -pétard bien plus puissante que toutes formes de pets ,même ceux des bassons. 
C'etait une pétard travesti et non binaire qui se transformait en homme-animal et éjaculait des grues de chantier hypersexuelles sur toutes créatures puritaines quand on la lançait pour la faire exploser.
Monsieur Schizo Cha Cha Cha balança le petit objet de vilain saligaud sur le ventre de l'huître,depuis l'intérieur.
La femelle pétard se mit brusquement à grandir et se transforma en coq avec un corps masculin et éjacula les 30 milles grues.
Les machines de chantiers firent effectivement éclater l'huître et les délivra de l'atrocité océanique mais celles ci ,se mirent à poursuivre d'excitation tout le clan des détraqués qui couraient sans pouvoir choisir leur directions.
Moïse réapparut cette fois en arrosoir avec un visage de truie aux milles yeux et un corps de bouldog anglais et pris la décision de punir bien plus sévèrement les excentriques de la galaxie. 
Les farfadingues allaient êtres pris au piège et s'attendaient à mourir quand soudain la Couleur Rouge se leva et se transforma en une immense fusée avec un visage en forme d'anus ,une deuxième tête en forme de flamant rose ,et des énormes pieuvres lui servant de chevelure.
Elle saisit Moïse de ses tentacules capillaires et lui demanda de les laisser en paix ,de redonner vie et sexualité à la Nouvelle couleur que les créatures voulaient et devaient rencontrer
,  sinon elle urinerait 400 litres de sang hors de son sexe ,jusqu'à noyer le pudibond.
Moïse accepta dans la contrainte et les énergumènes hystéro-magiques furent libérés. 
Ces derniers rencontrèrent la teinte inconnue en jouant la fameuse partition puis retournèrent avec elle sur leur planètes par téléportation.
Elle était flamboyante,délinquante ,mirobolante ,lesbienne ,féministe , libérée et pratiquait le coït avec les étoiles jusqu'à enfanter de nouveaux cieux féminins et sexy .
La Couleur Rouge la pénétrait également en se transformant toujours en fusée chimérique et cette dernière faisait couler son sang jusqu'à créer des océans quand Extolsia Deliriane jouissait des clefs de sol danseuses de cabarets cubains et des paillettes musicales et odorantes .
Il était temps d'être une femelle libre avec un vagin joueur de cornemuse .
De fumer des poils de chèvre en se masturbant la grotte .
D'assumer les litres de sang écarlate qui coulent hors nos vulves et peignent les plus beaux océans. 
Ces océans sont la vie qui naissent de la saleté mirobolante et pure quand nos poitrines et corps libres sont le reflets du soleil incandescent qui brûle le vide pour faire naître notre Mère qui est aux cieux.
Nébuleuse
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jbgravereaux · 5 years
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Zoé Valdés, LE NÉANT QUOTIDIEN                                                                                                                                                  Edouard WAINTROP, Libération, le 27 avril 1995 : ...La révolte contre le règne de l'absurdité et du mensonge peut engendrer des livres pesants. Rien de tel dans le Néant quotidien, petit roman acide et irrespectueux. Après le Sang bleu et un recueil de poèmes, Zoé Valdés y raconte l'histoire d'une jeune fille qui lui ressemble, butée, révoltée, une jeune Cubaine que ses parents, exaltés par la coïncidence de sa naissance et d'un 1er Mai du début de l'ère Castro, ont appelée Patria. Prénom pour le moins lourd, auquel notre héroïne préféra très tôt celui de Yocandra...                                                                                    Valdès, fidèle Cubaine. ""Le néant quotidien"".Roman. - Libération Next                                                                                                                                            Zoé Valdés, 39 ans, auteur de «la Douleur du dollar - Libération : par Philippe Lançon                                                                                                                                                                                                                                                L'être d'exil - Libération : Philippe Lançon, Libération, le 9 août 2007 :  Elle portait une petite robe de coton à fleurs qu’elle n’a plus jamais remise. La date, bien sûr, elle s’en souvient : 22 janvier 1995. L’écrivain Zoé Valdés a quitté Cuba ce jour-là. Son mari, le cinéaste Ricardo Vega, et leur fille d’un an et demi, Luna, l’accompagnaient. Zoé dirigeait une revue de cinéma et avait naturellement appartenu au monde des apparatchiks. Elle se souvient de s’être agenouillée devant un hiérarque pour obtenir l’autorisation d’emmener Luna. «Tu promets de rentrer, hein ?», ricana-t-il. Elle pâlit. «Mais non, c’est une blague…» Ils ont de l’humour, là-bas.                                                                                                                                                                                                                                Le roman qui fit sa gloire, le Néant quotidien, était écrit. Elle décrivait la grande dépression cubaine de ces années-là, ce sentiment profond que chacun avait de fuir de partout. En partant, elle laissait sa mère. Son père vivait à New York depuis 1983. Il y est mort vingt ans après. Zoé est montée dans l’avion en sachant qu’elle ne reviendrait pas. Inutile de lui demander les détails, ils viennent seuls : «Nous sommes partis tôt le matin. Il faisait très chaud à La Havane et très froid à Paris. Une valise était pleine de livres, dont la Recherche de Proust, moins Sodome et Gomorrhe,qui n’avait jamais été publié à Cuba. Je n’avais que 20 dollars en poche et je voulais pouvoir lire sans payer.» A l’aéroport, l’autorisation de sortie de Luna n’était pas arrivée. L’enfant se mit à danser parmi les touristes en chapeaux de paille, on rigola, le militaire les laissa passer.                                                                                                                                                                                                                                                  Aucun exilé n’oublie les conditions du départ : les détails permettent de survivre au chagrin et à l’angoisse qu’ils éternisent. Zoé emportait aussi, en pendentif, un saint sur chaque sein : la Vierge de la Charité du Cuivre d’un côté, saint Lazare de l’autre. Posés sur une applique, ils dominent maintenant l’exceptionnel bric-à-brac que tant de Cubains entassent où qu’ils soient, quels qu’ils soient, comme si l’espace devait être saturé par les signes de ce qui vient à manquer.                                                                                                                                                                                                                                        L’appartement parisien de Zoé est une grande île chaleureuse, occupée, à la dérive, la recréation parisienne d’un monde qui ne fut pas le paradis perdu. Il est couvert de tableaux cubains, de petits pots, de figurines, de bouquets de roses, de lettres encadrées, de statuettes. Sur la grande table du salon, des reflets de lumière de toutes couleurs éclatent comme si le soleil s’y projetait. Zoé les a peints «puisqu’ici, le soleil n’existe pas». Ce qui trompe l’œil, tranquillise le cœur. La petite robe de coton à fleurs est rangée dans un placard : «Je la remettrai le jour de mon retour, quand le castrisme sera tombé. Bien sûr, il faudra que je maigrisse ! Je pesais 43 kilos quand je suis sortie, et maintenant, je préfère ne pas le dire pour n’effrayer personne, que barbaridad…» Que barbaridad, «quelle horreur» : une expression du dedans. Un Cubain qui s’en va emporte le vocabulaire qui l’a formé. Une Cubaine qui s’en va abandonne souvent sa maigreur. Elle enfle et s’agite sous la pression d’une gourmandise enfin vivable et d’une colère qu’il faudrait apprivoiser. Zoé Valdés est un épineux poisson lanterne. Dès le palier, sa lumière violente indique quelque chose d’éclatant et de disparu.                                                                                                                                                                                             La littérature ne console de rien : «Elle est douleur, inquiétude, séparation… mais elle donne aussi le plaisir de ne pas oublier.» Il y a quelques jours, en réécrivant un vieux poème, une image lui est revenue : elle, enfant, poussée par son grand-père sur une balançoire du parque central de La Havane. Le poème a changé. Le parc est refait et les balançoires n’existent plus.                                                                                                                                                            La veille de son départ, les amis et la famille se sont réunis pour une fête. Ricardo a mis la soirée en images : «Je ne peux plus regarder ce film», dit-elle. Personne ne savait que Zoé partait sans retour - ou, plus probablement, chacun préférait l’ignorer. Sa mère, Gloria, était là. Zoé mettra plus de quatre ans à la faire sortir. Son arrivée est une autre date automatique : 7 juin 1999. Gloria portait un chemisier. Dans sa valise, il y avait quelques robes d’été, des vestes et des chaussures.                                                                                                                                                                                                                               En France, Zoé Valdés n’a jamais cessé d’écrire, même lorsqu’elle est tombée malade. C’était trois ans après sa sortie : le temps que mettent certains fantômes à se réveiller. Elle s’effondra, pouvait à peine bouger. Une inflammation du foie lui paralysa le côté gauche, «on appelle ça la maladie de l’exilé.» Sur son lit d’hôpital, elle écrivit avec la main droite. Le roman s’appelait Café Nostalgia, le premier qu’elle ait entièrement écrit en exil.                                                                                                                                                        L’arrivée de Gloria, soulagea sa fille : elle avait moins besoin de Cuba, puisque «Cuba, c’est ma mère». Les deux femmes parlaient des nuits entières de la famille, des souvenirs. Un bon roman en sortit, la Douleur du dollar : «C’est l’histoire de ma mère.» C’est donc aussi l’histoire de son île. Les premiers mois à Paris, Gloria «passait son temps à sentir le savon et prenait la machine à laver pour une télévision.» Elle parlait à tous les voisins et aux gens du quartier, avec joie et force, comme là-bas : «J’ai redécouvert Paris à travers elle.» Zoé aime Paris, les places des Vosges et Furstenberg et, plus que tout, «l’odeur du poulet grillé et des pâtisseries dans les rues». Elle a investi sa vie culturelle et mondaine avec plaisir et sans regret.                                                                                                                                                                                                      Elle avait déjà vécu ici, travaillant pour l’Unesco, de 1983 à 1988. «J’étais très parisienne à Cuba, je suis très cubaine à Paris, estime-t-elle. Là-bas, je mettais des chapeaux et me taisais dans les rues, ici, je marche au rythme havanais et chante dans les rues.»                                                                                                                                                                                                                            Un rêve revient souvent. Elle marche dans La Havane, salue les gens, profite de l’air chaud. Soudain, elle lève la tête pour voir dans quelle rue elle se trouve et la plaque lui indique qu’elle est à Paris. C’est alors qu’elle se réveille, en sueur. De Cuba, il lui manque l’odeur de la mer : «Moi, je suis un catalogue d’océans. Mais l’odeur de la mer à Cuba est unique. Il me manque aussi l’odeur de la campagne, un peu pourrie, et celle du jasmin, qui a là-bas quelque chose de plus piquant, comme si ça venait de brûler, mais fleuri.» La Vieille Havane et le Malecon - la promenade du bord de mer - lui manquent également, mais elle a «substitué les quais de Seine au Malecon, et le Marais à La Vieille Havane».                                                                                                                                        Si elle lit les blogs des exilés cubains, elle en voit peu à Paris : «Je n’aime pas me souvenir de Cuba comme Cubaine, ça me déprime. On commence par évoquer les bons souvenirs et on finit toujours par les mauvais. Cela me met dans une rage terrible. Je me suis fait beaucoup d’amis français.»                                                                                                                                                      Zoé Valdés voyage beaucoup, mais reste nerveuse en avion, comme si elle retrouvait sans cesse l’état mental du départ en exil. Elle a d’abord obtenu la nationalité espagnole. Son mari, sa fille et elle-même sont français depuis un an et demi.                                                                                                                                                                                                                                                  Sa mère avait obtenu un passeport d’apatride. Elle est morte, aucune hésitation sur la date, le 5 août 2001. Deux mois plus tôt, elle dansait la nuit entière pour la Fête de la Musique. Elle avait 71 ans. Sa stèle est au Père-Lachaise, près de Colette, de Proust et de Théophile Gautier : «C’est une bonne compagnie et puis elle m’avait dit Enterre-moi où tu veux, mais pas à Cuba, là-bas ils dépouillent les tombes .»                                                                                                                                                                                                                      Zoé Valdés
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