Tumgik
#corée
carbone14 · 26 days
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Un F4U-4 Corsair du Marine Fighter Attack Squadron VMFA-212 est sur la catapulte, prêt pour un lancement depuis le porte-avions d'escorte USS Badoeng Strait (CVE-116) pour une frappe en Corée – Guerre de Corée – 1952
Photographe : Gerald Haddock
©US Navy National Museum of Naval Aviation - 1996.253.7154.010
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frenchcurious · 5 months
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Kazuo Shiraga (1924-2008) Passionate Winner, from Official Arts Portfolio of the XXIVth Olympiad, Seoul, Korea, 1988. - source Heritage Auctions.
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faetae2014 · 8 months
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🇰🇷
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whencyclopedfr · 1 month
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Balhae
Le royaume du Balhae (ou Parhae) en Mandchourie (698-926) était une puissance régionale importante qui entretenait des relations, plus ou moins pacifiques, avec ses voisins, le royaume unifié de Silla en Corée et la Chine des Tang. Cette dernière exerçait une forte influence culturelle, et le Japon était lui aussi un allié fidèle. Le royaume affirmait être le successeur culturel de l'ancien royaume de Goguryeo (Koguryo), dans le nord de la Corée, et le Balhae prospéra pendant deux siècles grâce à ses riches terres agricoles et à ses relations commerciales florissantes. Le royaume s'effondra au début du 10e siècle lorsqu'il fut attaqué et conquis par la tribu mongole des Khitan.
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mmepastel · 8 months
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Je viens de finir ce bijou. Immense livre, d’une immense beauté et d’une tristesse incommensurable.
Il y a une intrigue qui lie deux amies, dont la narratrice, mais les événements racontés sont mêlés au flux et reflux du souvenir (longtemps refoulé dans le pays et néanmoins transmis aux personnages) du massacre de 30 000 coréens identifiés comme communistes en 1948, sur l’île de Jeju, au sud de la Corée, lors d’une rébellion. Il m’a fallu faire quelques recherches pour avoir connaissance de ce fait, et comprendre qu’avant la division en 1948 précisément du pays en deux, puis la guerre de Corée qui démarra en 1950, le pays uni était colonisé par le Japon. A l’issue de la guerre mondiale, le Japon est écarté par les États-Unis et les soviétiques. Mais avec la guerre froide, les deux puissances se partagèrent le pays, malgré la rébellion des coréens, le nord aux russes et le sud aux américains, suscitant un climat de violence qui conduisit aux faits évoqués dans le livre.
Ce sont ces morts oubliés, ceux de l’île de Jeju qui sont ici rappelés, presque convoqués. Le pays avait jeté un voile (blanc ?) sur cet épisode sanglant, d’une violence inouïe. La prose poétique de Han Kang réveille ces souvenirs et mélange comme dans un rêve douloureux le témoignage de son amie (dont les parents ont vécu, enfants, l’horreur), bloquée à Séoul par une hospitalisation inattendue, et le voyage de la narratrice de Séoul jusqu’à l’île de Jeju pour aller sauver l’oiseau de son amie, laissé brusquement seul suite à son accident.
En lisant, on se sent dans une nuit quasi totale, dans le noir donc, et pourtant l’omniprésence de la neige qui tombe abondamment apporte un contrepoint blanc. On navigue dans ce clair-obscur quasi sensuel, entre « toucher », et « vue(s) » parfois de l’ordre de l’hallucination. La narratrice marche dans la neige, confond étendue neigeuse et mer, rêve et réalité, voix de son amie, voix de la mère de son amie. Tout se lie dans un réseau subtil et délicat, pourtant très puissant émotionnellement, car cohérent. Elle se dépêche pour sauver le perroquet, avance dans la nuit, manque de mourir de froid.
La nature même de la neige est évoquée, à la fois scientifiquement et poétiquement, comme un assemblage de cristaux et de poussière, comme si la neige symbolisait la permanence des choses : chaque flocon porte un bout du passé qui n’en finit pas de se mêler au ciel. Elle symbolise cet impossible adieu aux êtres disparus, leur éternel retour dans les pensées ou au cœur même de la nature de l’île. La neige symbolise aussi la mort, car, la mère de l’amie, petite, a retrouvé son village et une partie de sa famille tuée, ensevelies sous la neige, et celle-ci ne fondait pas sur les visages, car ils étaient froids, sans vie.
Voici deux des nombreuses images marquantes de ce livre terrifiant et superbe. Un livre qui est comme un tombeau impossible, lorsque la douleur vous pousse au bord du fantastique.
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gregoirehuret · 1 month
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Seund Ja Rhee 's house, Tourrettes-sur-Loups, 2024
© https://www.instagram.com/gregoire.huret/
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havaforever · 4 months
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PAST LIVES - Il y a des œuvres dont on sait qu’elles vont nous plaire dès les premiers instants. Past lives, nos vies d’avant est clairement de cette catégorie. Mieux, elle nous cueille dès le départ pour ne plus jamais nous lâcher. Et il faut souligner que c’est un premier film, ce qui rend cet essai poétique et parfaitement maîtrisé encore plus louable, et plus touchant.
La réalisatrice et scénariste Céline Song a bien sûr mis beaucoup de son expérience dans cette histoire presque autobiographique, ce qui est souvent l’apanage des premières œuvres. Cette immigrée nord-américaine (ou émigrée sud-coréenne selon d’où on se situe) a donc réalisé un film qui lui ressemble. Elle y fait un parallèle fort avec sa propre histoire, nous la fait presque partager, et nous gratifie d’une passionnante et sublime histoire d’amour pas comme les autres. Elle se caractérise par un amour d’enfance qui se transforme en une sorte de relation manquée qui s’étire sur près de trois décennies. Et que c’est beau, que c’est juste, sensible et intelligent, tout en nuances et en délicatesse.
On sort du film plein de baume au cœur. On n’a pas vu le temps passer (hormis quelques minuscules petites longueurs au milieu du film) et on a assisté à quelque chose de presque magique. Quelque chose qui nous fait encore croire à l’amour sous toutes ses formes même quand il n’est pas consommé.
Le titre fait référence à une sorte de légende bouddhiste prônant les âmes liées à travers la réincarnation mais n’a pour autant rien de surnaturel, de spirituel ou de métaphysique. Ce qui est impressionnant, c'est que cette histoire nous fait rêver, mais justement parce qu'il n’y a pas plus terre à terre. C’est juste l’hypothèse invoquée par les personnages, comme une sorte d’espoir ou la promesse de se retrouver dans une autre vie qui suffit à faire décoller le récit, à sublimer la relation inaboutie.
Song déjoue tous les clichés propres aux films sentimentaux en choisissant le réalisme et la justesse de ton et de point de vue. C’est doux comme une caresse, tendre comme une étreinte et souvent beau à se damner. Elle parvient même à rendre les échanges virtuels de la seconde partie intéressants et cinégéniques. Le trio de de comédiens qui incarne ce film sublime est dans la même harmonie. Sans leur précision de jeu, le long-métrage n’aurait pas le même impact...
Mais au-delà de la puissance des sentiments qu’elle convoque, à travers de simples discussions et la dissection d’un amour qui ne dit pas son nom et ne se réalisera pas, Song nous met une claque de mise en scène encore plus impressionnante puisqu’il s’agit d’un coup d’essai. Sans jamais être prétentieuse ou ostentatoire, sa réalisation est dans la même lignée que le fond de son film : belle, pudique, sobre tout en étant parfois majestueuse.
Un plan sur une flaque de pluie à la magie éthérée, un autre d’une pureté aseptisée où on voit le personnage principal assoupi tandis qu’en second plan flouté arrive un homme qui deviendra son mari ou encore celui qui voit deux enfants prendre deux ruelles différentes, symbole d’une séparation qui les marquera à vie. Même sa façon de filmer New York est pleine de goût.
La séquence initiale est aussi fûtée et originale que le film est bon. On y voit nos trois personnages principaux dans un bar tandis que la discussion de deux personnes qu’on ne verra pas tente de savoir quelles sont leurs liens, ce qui amorce un petit suspense en plus bien vu en plus d’être une idée judicieuse.
Et, enfin, cette fin déchirante de simplicité, bouleversante de tristesse et flirtant avec la nostalgie et la mélancolie des plus grands films romantiques achève de nous convaincre. «
NOTE 16/20 - Past lives, nos vies d’avant est un grand film d’amour du même niveau que N’oublie jamais ou In the Mood for love. Un moment privilégié, où quelque chose de fort et de profondément sensible parvient à se dire et à se faire entendre en chacun de nous.
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philoursmars · 4 months
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : “Animaux Fantastiques”. Une très belle expo ! Ici des phénix et un basilic :
applique en forme de phénix - Chine, dynastie des Han de l’Est, 25-220
chapiteau, basilic et 2 rosaces - élise abbatiale Notre-Dame-et-Saint-Jean, Moutiers Saint-Jean, 1120
jarre en porcelaine, "bongwang" = phénix hermaphrodite - Corée, 1800
La suite (et fin) dans quelques jours !
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travellers-wiki · 5 months
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South Korea so beautiful 😍
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Après les montres, Samsung voudrait lancer une bague connectée.
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July 17 2023
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misterdust · 10 months
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01/08/2019 Séoul et son fleuve Han par Dust... Via Flickr : dans le bus qui fait le tour de la capitale de la corée pour les touristes avec en vedette la tour 63 (fr.wikipedia.org/wiki/DLI_63_Building) qui domine le feuve et que l'on peut visister 
 en el autobús que recorre la capital de Corea para turistas con la torre 63 que da al río y que se puede visitar 
 in the bus that goes around the capital of Korea for tourists with the 63 tower dominating the river and that you can visit 
 la première entrave aux libertés, chez moi en france en tout cas, c'est la maison ou l'appartement. pour la bonne raison que son acquisition dans un premier temps et son entretien ensuite coute un bras. La plus part du temps les gens sont obligés de faire un crédit ce qui coupe de la première liberté, celle de parler et dire ce qui ne va pas notamment au travail. mais aussi dans le couple... le crédit est un mariage avec une banque et impose de tout accepter... rassurez vous, le pouvoir, vos gouvernements le savent et en profitent tous les jours 
 The first obstacle to freedom, in my country in any case, is the house or the flat. for the good reason that its acquisition in the first place and its maintenance afterwards are extremely expensive. Most of the time people are obliged to take out a loan, which cuts off the first freedom, that of speaking up and saying what's wrong, especially at work, but also in a relationship... credit is a marriage with a bank and requires accepting everything... rest assured, the power, your governments know it and take advantage of it every day 
 El primer obstáculo a la libertad, en mi país en cualquier caso, es la casa o el piso. por la buena razón de que su adquisición en primer lugar y su mantenimiento después son extremadamente caros. La mayoría de las veces la gente se ve obligada a pedir un crédito, lo que corta la primera libertad, la de hablar y decir lo que va mal, sobre todo en el trabajo, pero también en una relación... el crédito es un matrimonio con un banco y exige aceptarlo todo... tranquilos, el poder, sus gobiernos lo saben y lo aprovechan cada día 
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carbone14 · 10 months
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F-51 Mustang – Corée – Septembre 1951
©United States Air Force - 070316-F-1234S-004
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mathildablink · 1 year
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busanienne · 11 months
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[Korea/Busan] Samgwangsa Temple - Lantern festival
삼광사, Samgwangsa Temple Coucou tout le monde ! 🙂 Hier, c’était l’anniversaire de Bouddha.Chaque année, à cette période, on peut facilement voir des lanternes dans tout le pays ! ─── ୨୧ ─── Yesterday was Buddha’s birthday. In Korea, you can easily see lanterns all over the country during this time of year. 삼광사, Samgwangsa Temple Comme je vous ai dit autre fois (dans ce post), il n’y a pas de…
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whencyclopedfr · 11 months
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Le Bouddhisme Zen dans la Corée Ancienne
Le bouddhisme fut introduit par la Chine dans la Corée ancienne au 4e siècle av. J.-C. et il fut adopté en tant que religion d'État officielle par les royaumes de Baekje, Goguryeo et Silla. La foi se divisa en plusieurs branches à travers l'Asie, l'une des plus importantes étant le Seon (ou Son), également appelé bouddhisme chan, mais mieux connu dans le monde occidental par sa prononciation japonaise, le bouddhisme zen. Le bouddhisme zen met l'accent sur la nécessité de la contemplation méditative (son) pour atteindre la pleine illumination et affirme que les écritures ne peuvent pas exprimer pleinement les principes qui doivent être saisis par l'esprit individuel seul. Au fil du temps, cette branche s'est divisée en de nombreuses sous-branches, certaines rejetant les écritures et d'autres admettant au moins une certaine nécessité d'études intellectuelles.
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mmepastel · 11 months
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Pour une raison qui m’échappe, je n’arrive pas à mettre ici la BA de cette série. Peu importe, elle n’est pas terrible. La série vaut bien mieux que ce conglomérat d’images chocs qui donne le tournis.
L’argument est connu, car cette série a fait grand bruit outre-Atlantique, et on en parle ici aussi maintenant : une obsession haineuse va naître entre Amy (artiste chic et riche, mère de famille) et Danny (type déprimé qui vit chichement avec son frère en essayant de faire tourner sa boîte de construction) suite à une altercation automobile qui n’est même pas un accident, mais une dispute où tous les deux semblent BEAUCOUP TROP ÉNERVÉS au vu des faits.
A partir de là tout s’emballe, l’un et l’autre sont emplis de ressentiments, de frustration, de culpabilité, et ils se sont trouvés une façon d’extérioriser ces sentiments parasites en se détestant et en essayant de ruiner la vie de l’autre.
Les événements s’enchaînent dans une logique de type « catastrophe », et le spectateur est surpris tout le temps devant cette hystérie et cette surenchère de moments gênants voire franchement apocalyptiques.
N’empêche, au cours des épisodes qui s’enfilent comme des bonbons acides, on a un portrait de l’Amérique d’aujourd’hui, à travers un prisme inhabituel : la plupart des personnages sont asiatiques, et d’un côté ça compte, de l’autre non. Ils sont par moments victimes d’un racisme léger mais irritant, et eux-mêmes sont passablement racistes aussi, méprisant les blancs qui semblent toujours hors de portée, mais on remarquera que George, le mari japonais d’Amy est lui aussi détesté parce qu’il est japonais, donc il n’y a pas de « clan asiatique ». Il y a aussi une fausse communauté autour de Danny avec son frère et son oncle un peu « Joe l’embrouille » (super drôle et effrayant), où il est question de famille et de solidarité mais où chacun se savonne la planche dès que possible. Bref, rien n’est simple ni caricatural. C’est même très subtil. Grâce à l’outrance du scénario, à ses excès, le réalisateur met les pieds dans le plat, provoquant horreur, gêne et fous rires. C’est extrêmement culotté.
Et pourtant ça touche juste. Cette série nous tend un drôle de miroir dans lequel on mentirait si on n’avouait pas se reconnaître par moments. Ce fameux sentiment qu’on ne peut mesurer sa réussite sans la comparer à autrui, qu’on sent tout le temps qu’on est trop ceci et pas assez cela, que l’argent compte, terriblement, douloureusement. Qu’on passe beaucoup de temps à essayer d’avoir l’air de quelque chose alors qu’à l’intérieur de nous tout s’écroule pour des raisons idiotes, inavouables. Qu’on se sent tous un peu tarés, perdus, et qu’Amy et Danny, qui nous paraissaient si fous au début de l’histoire, ne sont que des versions exagérées de nos névroses et de nos blessures.
Une série beaucoup plus profonde qu’elle n’en a l’air, servie par deux acteurs extraordinaires (gros crush sur Steven Yeun pour ma part, avec sa tête lunaire toujours au bout du rouleau).
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