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#calle y poche
lgbtpopcult · 4 months
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Best WLW TV of 2023 Part 2
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Robyn Hood
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Monarch legacy of monsters
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FROM
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Yuri is my Job
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Paper Dolls
The Lazarus Project
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The Magical Revolution of the Reincarnated Princess and the Genius Young Lady
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Saas, Bahu Aur Flamingo
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Urban La Vida es Nuestra
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I'm in Love with the Villainess
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Invasion, apple tv
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Beacon 23
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Calle y Poche: Sin Etiquetas
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The Afterparty
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Love Allways
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charlielunicornio · 4 months
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aviles27 · 11 months
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Florecer exige pasar por todas las estaciones.
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yami-peace7 · 8 months
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Daniela Calle - Dime (Official Video)
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mein-traum11 · 8 months
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Mi parte favorita:
“Si volviste quédate con tus manos en mi piel, fijame donde tus ojos no se vuelvan a perder…”
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luisarcigar · 7 months
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“Una nostalgia tan profunda para la que no existen expresiones, pero que no es del todo triste, sino que tiene un poco de felicidad y de calidez”.
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mellifiedfemme · 6 months
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there was two types of hispanic baby gays in the 2010: calle y poche gays and divaza gays. and bc i go online calling myself a girlfag im clearly a divaza gay
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marupoketsblog · 1 year
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Quiero un amor como el de calle y poche ❤😘
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laplumedemaureen · 2 years
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Thanks for tagging me @talesofsorrowandofruin :)
Words: shell, chaos, balcony and feather. (These are extremely specific ahaha). I'm gonna pick my previous WIP "Paya's destiny" and translate it so you get both english and french.
Shell : I actually can't find any ???
Chaos :
Il faisait toujours sombre, mais tellement de monde s’activait autour d’eux que ça aurait tout aussi bien pu être le jour. Après le chaos de la bataille, des renforts avaient été appelés pour guérir et reconstruire ce qui devait l’être. Des humains continuaient d’arriver également par floppée, déposés en hélicoptères modernes. It was still dark, but there were so many busy people around them that it might as well have been daytime. After the battle's chaos, reinforcements had been called to heal and reconstruct what needed to be. Humans kept arriving in heaps, dropped by modern helicopters.
Balcony :
Scott monta la volée d’escaliers à sa droite, et longea la balustrade jusqu’à l’endroit le plus éloigné de l’entrée. Un second bar se tenait derrière lui, pour assouvir la soif pendant le concert. Depuis ce petit balcon, il surplombait toute la salle. Scott went up the flight of stairs to his right, and went along the railing until the furthest away from the entry. A second bar stood behind him, to quench one's thirst. From this little balcony, he overhung the whole room.
Feather :
Victoria la fusilla du regard et sortit un flacon et une plume de sa poche. Elle plongea celle-ci dans le contenant et la ressortit pleine d’encre. Elle saisit le bras d’Abby et y traça un symbole en prononçant des termes incompréhensibles. Victoria glared at her and got a bottle and a feather out of her pocket. She dove the latter in the former and brought it out full of ink. She took Abby's arm and traced a symbol on it, mumbling incomprehensible words.
Tagging : @pluttskutt @asher-orion-writes @aye-write @writingamongther0ses @captastra
New words : water, body, art, and entertain.
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lgbtpopcult · 4 months
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Best Music by WLW in 2023
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Young Miko, Lisa
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Renee Rapp & Megan thee Stallion, Not my Fault
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Fletcher, Better Version
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Ashnikko, Cheerleader
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Calle, Dime
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Victoria Monet, On my Mama
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Kany García, Te lo Agradezco
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Zolita, Ashley
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Girli, Nothing hurts like a girl
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Carol Biazin, Real Valor
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godzilla-reads · 2 years
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happy birthday
will just list books i would recomend to anyone and everyone just because [note that some of these are in spanish since idk if/which is the translationin english, sorry bout that]:
the one memory of flora banks by emily barr
si, si es contigo by calle y poche
un amigo gratis by inma rubiales
Thank you and gracias!
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jpbjazz · 3 months
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LÉGENDES DU JAZZ
VIC VOGEL, ''LET'S PLAY IT AGAIN, VIC !''
“He was what you could call a character. He was not self-centred, which you might expect from someone who led a big band for most of his career. It was not about his ego. He loved the musicians. He loved the music. He could make people feel like this was the most important thing in the world. For me, in that respect, he was a role model for sure.”
- André Ménard
Né le 3 août 1935 à Montréal, Victor Stefan Vogel (de son véritable nom Viktor Istvan) était d’origine à la fois hongroise et autrichienne. Vogel a appris à jouer du piano à l’âge de cinq ans en regardant jouer son frère aîné Frank. Ce dernier a éventuellement abandonné ses cours pour laisser le champ libre à Vic.
À partir de l’âge de dix-neuf ans, Vogel a appris à jouer du trombone, du tuba et du vibraphone en autodidacte. À l’âge de quatorze ans, Vogel a commencé à se produire à l’occasion dans les clubs de Montréal. Il avait aussi participé à une émission de radio sur le réseau CBC. Pour se faire un peu d’argent de poche, Vogel réparait aussi des automobiles.
Vogel a grandi sur la rue Bullion, dans un quartier majoritairement peuplé par des immigrants. Décrivant la réalité des deux ‘’solitudes’’, Vogel avait raconté plus tard que lorsqu’il étudiait dans une école francophone, il avait été souvent battu par des Anglais, et que lorsqu’il avait étudié dans une école anglaise, il avait été battu par des francophones...
En 1951, Vogel avait réussi à s’acheter son propre piano Steinway pour la somme de 1800 $, ce qui était considéré comme une fortune à l’époque. On raconte que Vogel avait pu faire l’acquisition du piano en empruntant de l’argent au chef de la mafia Vic Cotroni et à quelques-uns de ses amis. À l’époque, Vogel travaillait au Vic’s café, sur le futur emplacement des futures Foufounes électriques. Sa biographe Marie Desjardins expliquait: ‘’Quand un désir tenaillait Vic, il y pensait jusqu’à l’obsession.’’ Un autre pianiste montréalais, Oliver Jones, qui avait connu Vogel à l’âge de quinze ans dans le cadre de concours amateurs, confirmait: ‘’On jouait au YMCA. Je jouais pour des membres de ma communauté de Petite-Bourgogne et lui jouait pour des gens de la Petite-Italie. Il adorait la musique et il n’y avait pas de doute sur le fait qu’il allait faire ce qu’il voulait.’’ Reconnaissant le côté rebelle de la personnalité de Vogel, Jones avait ajouté: ‘’Il avait un style bien à lui et il voulait faire les choses à sa façon. Il était audacieux. On ne savait jamais à quoi s’attendre, et c’était toujours excitant de jouer avec lui.’’
D’abord exposé à la musique classique, Vogel avait étudié la composition avec Paul de Marky et Michel Michel Hirvyen, un pianiste et professeur d’origine polonaise Michel Hirvyen. À l’origine, Vogel devait étudier avec le professeur d’Oscar Peterson, mais celui-ci étant indisposé, il avait été référé à Michel Hirvyen.
Mais contrairement à ce que certains avaient prétendu, Vogel n’avait jamais pris de leçons avec le pianiste et compositeur Lennie Tristano à New York.
Vogel a abandonné l’école à l’âge de douze ans après avoir dit à ses parents que son seul intérêt était la musique. Vogel s’est alors trouvé un emploi de livreur pour la bijouterie Birks de la rue Sainte-Catherine. À la fin de sa journée de travail, Vogel passait souvent par la porte arrière des clubs pour aller écouter des pianistes de jazz locaux comme Oscar Peterson.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Vogel était toujours adolescent au début des années 1950 lorsqu’il avait commencé à jouer régulièrement du piano avec différents orchestres de danse dans les clubs. Devenu musicien professionnel à temps plein à la fin des années 1950, Vogel s’était également produit avec les big bands de Hugh et George Sealey, Paul «Boogie» Gaudet et Steve Garrick. Vogel a aussi travaillé comme accompagnateur et chef d’orchestre dans les clubs au cours des années 1960. Vogel, qui avait toujours rêvé de former son propre groupe, a dirigé son premier big band en 1960 au cabaret Chez Parée. Plus tard, Vogel avait également collaboré avec un nonette dirigé par Steve Garrick, tout en perfectionnant ses talents d’arrangeur avec différentes formations, dont celles de Garrick et d’Al Nichols.
Après avoir joué du piano avec le groupe Double Six à Paris en 1961, Vogel avait dirigé un groupe de musiciens montréalais dirigé par Lee Gagnon dans le cadre d’une tournée en Europe organisée par la Société Radio-Canada. En 1968, Vogel avait formé son propre big band. Le groupe avait enregistré et s’était produit en concert jusqu’à la mort de Vogel en 2019.
Vogel avait aussi écrit les arrangements et dirigé la musique dans le cadre d’événements spéciaux comme l’Expo 67, les Jeux Olympiques de Montréal en 1976, les festivités de la coupe Grey de 1981 et 1985 et les Jeux d’été du Canada à St. John, au Nouveau-Brunswick. C’est d’ailleurs dans le cadre des Jeux Olympiques de 1976 que Vogel avait fait découvrir au public la musique du compositeur classique André Mathieu. Parmi les compositions de Vogel, on remarquait également plusieurs comédies musicales pour le Théâtre des Variétés, dont La Course au mariage qui a été enregistrée en 1973 par les disques Trans Canada. Vogel a aussi signé des arrangements pour le trompettiste Woody Shaw et l’Orchestre symphonique de Québec en 1978. Il a également collaboré à une émission du réseau CBC mettant en vedette le guitariste Nelson Symonds en 1985, ainsi qu’à des productions mettant en vedette le pianiste Oliver Jones et l’Orchestre symphonique de Halifax en 1988. Vogel a aussu participé à un concert de l’Orchestre symphonique de Montréal présenté dans le cadre du Festival international de jazz de Montréal en 1989.
Après avoir fondé son propre big band en 1968, Vogel avait commencé à composer de la musique pour le cinéma et la télévision. Après avoir enregistré une émission pour le réseau CBC en 1972, le big band de Vogel s’était produit au Forum de Montréal avec le groupe rock Offenbach. Évoquant sa collaboration avec le groupe, Vogel avait commenté: “My first experience wasn’t good. At the first concert with Offenbach in 1979 at Théâtre St-Denis, I was supposed to play the solo on Georgia {of my mind}. I was really nervous, it was a packed house and it was the biggest gig I had ever done to that point.”
Vogel avait également été directeur musical de plusieurs émissions de variétés de Radio-Canada (Music Hall, Les Couche-tard, Vedettes en direct) et de CBC (Jazz en liberté, Jazz Canadiana, Jazz sur le vif et Jazz Beat). Vogel avait aussi composé la musique d’émissions d’affaires publiques du réseau, tout en écrivant des bandes sonores pour des documentaires de l’Office National du Film (National Film Board) ainsi que pour d’autres productions cinématographiques. En 1982, le big band de Vogel s’était même permis de faire une tournée en France, tout en se produisant dans plusieurs festivals de jazz, dont celui d’Ottawa en 1985. Un sextuor composé de membres du big band a également participé à une tournée provinciale en plus de se produire au festival du Maurier Downtown Jazz de Toronto en 1989.
Le groupe de Vogel était aussi un incontournable du Grand Café de la rue Saint-Denis à Montréal, où il se produisait parfois jusqu’à dix soirs d’affilée. Le big band de Vogel jouait aussi fréquemment dans un club du centre-ville appelé le Jazz Bar, qui était la propriété du guitariste Nelson Symonds.
DERNIÈRES ANNÉES
Véritable école, le big band de Vic Vogel a favorisé l’émergence de plusieurs musiciens locaux, dont Dave Turner, Jean Fréchette, Janis Stephrans, Michel Donato et Ron Di Lauro. Saxophoniste alto, Turner jouait également du saxophone baryton. Turner s’est joint au big band de Vogel à la fin des années 1970 et avait rapidement été reconnu comme un excellent soliste et arrangeur. En réalité, les débuts de Turner avec le groupe ne s’étaient pas très bien déroulés. Un jour, Turner s’était levé pour exécuter un solo lorsque Vogel lui avait crié de se rasseoir avant de demander à un autre musicien d’interpréter le solo. Turner avait alors répliqué à Vogel: ‘’What? You’ve just embarrassed me.’’ Lorsque Vogel avait répété le même manège le lendemain, Turner avait rétorqué: ‘’I’m never going to play with that guy again.’”
Même si Turner était résolu à ne plus jamais jouer avec Vogel, il n’avait pu s’empêcher de tenter à nouveau sa chance. Lorsque le groupe avait de nouveau pratiqué, Turner était arrivé tôt déterminé à se reprendre. Racontant l’événement plus tard, Turner avait commenté: “I got there and Vic was sitting at the piano. He said, ‘Hey Turner, come here. I wrote this tune for you. It’s called Ballad for Duke. It’s from me to you and nobody else is ever going to play it.” Un peu comme Ellington, la grande force de Vogel était de laisser les membres de son groupe exprimer leur personnalité musicale. Turner confirmait: “Everybody played together, but you could also hear each individual. He was a lot like Duke Ellington in that way.” Reconnaissant la grande efficacité de Vogel, Turner avait ajouté que le chef d’orchestre pouvait écrire un arrangement en moins d’une heure. Turner avait précisé: ‘’He was amazing like that — really, really fast.”
Le big band de Vic Vogel a fait paraître trois albums. Le premier, enregistré dans le cadre de la troisième édition du Festival international de jazz de Montréal en 1982, a été réédité sous le titre de ‘’Vic Vogel and the Awesome Big Band’’ par les disques Pinnacle en 1987. L’album avait fait son entrée sur le palmarès Billboard la même année. Un second album, intitulé simplement ‘’Le Big Band’’, a été publié en 1990, et comprend des extraits de concerts enregistrés au Festival de jazz de Montréal ainsi qu’un session en studio remontant à 1988. Un troisième et dernier album a été publié aux États-Unis en 1990 et documente la collaboration du groupe avec Phil Woods et Zoot Sims dans le cadre du Festival de jazz de Montréal en 1984. Des arrangements de Vogel ont également été enregistrés par le big band de Vernon Isaac.
Les co-fondateurs du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard et André Ménard, connaissaient Vogel depuis 1978. À l’époque, Simard et Ménard opéraient un club appelé le El Casino, qui était devenu l’embryon du futur Spectrum. Le groupe de Vogel, le Jazz Big Band, avait tenu ses jam sessions au El Casino à tous les lundis soirs durant plusieurs années. Dans le cadre de cette collaboration, Ménard avait développé une grande affection pour Vogel, et respectait énormément son intégrité. Décrivant la personnalité de Vogel, Ménard avait expliqué:
“He was what you could call a character. He was not self-centred, which you might expect from someone who led a big band for most of his career. It was not about his ego. He loved the musicians. He loved the music. He could make people feel like this was the most important thing in the world. For me, in that respect, he was a role model for sure.”
Vogel avait participé à chaque édition du festival depuis sa fondation en 1980 jusqu’en 2014, que ce soit avec son big band, comme pianiste soliste, en trio ou en sextet. En tout et pour tout, Vogel avait participé à trente-cinq éditions du festival, soit plus que n’importe quel autre artiste. Malade, Vogel n’avait pu participer au concert d’adieu qui devait avoir lieu dans le cadre festival en 2015.
Saluant la remarquable loyauté de Vogel, Ménard avait précisé: “Whatever we wanted to try, he was there.’’ Le gouvernement du Québec a rendu hommage à Vogel en lui décernant la médaille de l’Assemblée nationale du Québec. Vogel étant trop malade pour voyager, la ministre de la Culture, Nathalie Roy, lui avait remis sa médaille à l’hôpital Notre-Dame de Montréal. La ministre avait également lu à Vogel un message du premier ministre François Legault. Vogel s’était alors tourné vers la ministre en disant sur un ton badin: ‘Well it’s about time!'” Commentant la réaction de Vogel, Ménard avait déclaré: “That was Vic, dead-pan humour, and always in the moment. He could still joke around, even if he was very diminished, he was still Vic Vogel.” Jusqu’à la fin, les amis de Vogel étaient accourus au chevet du chef d’orchestre afin de lui jouer la musique qu’il adorait. Racontant les derniers moments de Vogel, le président du Festival de jazz, Alain Simard, avait déclaré: ‘’André Ménard et moi, on est allés lui remettre le prix hommage Miles Davis chez lui. C’était un gars attachant.’’
Bon vivant, Vogel avait attribué sa longévité à sa détermination de ‘’briser toutes les règles.’’ Grand buveur, Vogel était debout au chant du coq à une heure où la plupart des autres musiciens étaient encore au lit. En plus d’aimer prendre un verre, Vogel fumait la cigarette et adorait manger des smoke meats et du chocolat. Très fier de son éthique de travail, Vogel avait déclaré: “Believe me, the industry would like to get rid of me. Why? I’m too efficient. We record a six-minute song in six minutes at the studio. We don’t trip out. We don’t need a bowl of cocaine. A couple of shots of rum will do fine.” Bref, Vic Vogel n’avait absolument rien à envier à Winston Churchill !
En 1993, Vogel a enregistré son premier album solo. Intitulé simplement "Piano solo", l’album a été enregistré en concert au Vieux Clocher de Magog. Comprenant un répertoire diversifié, l’album incluait des relectures de chansons populaires québécoises comme "J'ai pour toi un lac" de Gilles Vigneault et "Bozo" de Félix Leclerc, ainsi que des classiques de la chanson française comme l’’’Hymne à l’amour’’ d’Édith Piaf. L’album comprenait aussi des compositions de Vogel à saveur multi-culturelle comme ‘’Habanos", "Expresso Brazilien" et "Touch Me Magyar" ainsi que son classique "Ballad For Duke". Particulièrement proche de la culture cubaine, Vogel s’était lié d’amitié avec le pianiste Chucho Valdez et le chanteur Alfredo Morales Chiquitin, surnommé le Bing Crosby de Cuba, avec qui il a présenté plusieurs concerts et avec qui il a enregistré deux CD en 2004 et 2005.
Toujours en 2005, par l’entremise de Radio-Canada, Vogel a été choisi par l'Union européenne de radiodiffusion (UER) pour diriger la formation Swinging Europe, un groupe de seize musiciens formé dans le cadre d’un projet étudiant réunissant des musiciens de quarante-cinq pays. Le groupe avait éventuellement fait une tournée en Europe. Le passage du groupe à Gatineau, le 7 mai 2005, a été enregistré et a donné lieu à la publication de l’album "Hommage à Oscar Peterson" ainsi qu'à la production d’un documentaire pour la télévision. À l'automne 2007, Vogel avait également été invité à participer à l'ouverture du Festival des musiques sacrées de Québec.
À la fin de sa carrière, afin de se donner une plus grande liberté artistique, Vogel avait fondé la maison de disques V.V. Records qui lui a permis de publier non seulement ses propres albums, mais aussi de mettre en marché des compilations comme "Montréal Jazz & Blues", ainsi que les dernières productions de ses amis musiciens.
En 2013, l’écrivaine Marie Desjardins a publié une biographie de Vogel intitulée ‘’Vic Vogel: Histoires de Jazz’’. En 2007, Vogel a aussi été l’objet d’un documentaire de Rénald Bellemare intitulé ‘’The Brass Man’’ (L’homme de cuivre).
Le 1er novembre 2010, l’Université Concordia de Montréal a décerné à Vogel un doctorat honorifique en musique. En septembre 2013, Vic Vogel est aussi devenu le premier lauréat du prix d’excellence décerné par le Festi Jazz international de Rimouski. Le prix a depuis été rebaptisé en son honneur. Vogel avait également remporté le prix Oscar Peterson. En 2015, le Festival international de jazz de Montréal lui avait aussi décerné le prix Miles Davis pour couronner l’ensemble de sa carrière. Vogel est également le seul étranger à s’être mérité le prix “El Angelote” décerné par le ministre de la Culture de Cuba.
Vogel, qui adorait la ville de Montréal, avait déclaré au sujet de sa ville natale: “Deep down in my heart, I’m really first and foremost a Montrealer, because without Montreal there is no Quebec. And without Quebec there is no Canada. This is my town. Has always been. We are the Manhattan of Canada.”
Reconnu pour son sens de l’humour, Vogel était aussi un intarissable joueur de tours. À une occasion, il aurait même caché la gaine dont le compositeur français Michel Legrand se servait pour paraître plus mince ! Toujours très humble, Vogel ne s’était jamais enflé la tête avec ses accomplissements. Comme il l’avait déclaré avec humour dans le cadre d’une entrevue qu’il avait accordée au réseau d’information RDI à l’automne 1993, ‘’Je suis un grand cuisinier, comprends-tu? Je fais la popote musicale.’’
Vic Vogel est décédé le 16 septembre 2019 à la suite d’une longue maladie. Il était âgé de quatre-vingt-quatre ans. Le disparu laissait dans le deuil son épouse Tandy, sa fille Vanessa, son fils Sébastien, ses petits-fils Mikkel et Viktor, sa petite-fille Alicia ainsi que plusieurs amis et collaborateurs.
Commentant le décès de Vogel, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, la présidente du conseil municipal, Cathy Wong, et le président du Conseil des arts de Montréal, Jan-Fryderyk Pleszczynski, avaient émis un communiqué conjoint dans lequel ils affirmaient: ‘’C’est un grand Montréalais que nous venons de perdre. Le nom de Vic Vogel est associé à l’image d’un musicien qui réussissait à chacune de ses apparitions à nous faire partager sa passion pour la musique, et en particulier pour le jazz.’’ Andrew Homzy, un ancien professeur de jazz de l’Université Concordia qui avait joué du tuba avec le big band de Vogel durant 14 ans, l’avait qualifié de ‘’patriarche du jazz à Montréal.’’ Homzy avait ajouté: “When I first met Vic, I said to myself that this is the most talented musician I’ve ever met in my life. He impressed me on so many levels.” Reconnaissant la contribution de Vogel au développement des musiciens de jazz montréalais, le contrebassiste Michel Donato avait commenté: ‘’Jusqu’à la fin, il y a eu plein de jeunes qui allaient chez lui le lundi pour pratiquer dans le big band.’’ Qualifiant le big band de Vogel de véritable institution, le président du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard, avait ajouté: ‘’Tous les grands musiciens d’instruments à vent ont fait partie de son groupe. Il y a maintenant des milliers de musiciens qui sont un peu tributaires de l’œuvre de pionnier de Vic Vogel.’’ De son côté, Sabrina Marandola, l’animatrice de l’émission de radio ‘’Let's Go’’ diffusée sur le réseau CBC, avait déclaré: ‘’He had some training, but most of everything he figured out on his own. It's not easy in the jazz world." Décrivant sa longue amitié avec Vogel, le pianiste Oliver Jones avait commenté: "From that point on we were close friends for many many years. I just thought the world of him as one of our greatest musicians." Jones avait ajouté: "Vic was the person that would change things and end up doing something completely new for the first time. He was very very unique as far as writing." L’Université Concordia, qui a décerné un doctorat honorique en musique à Vogel en 2010, avait qualifié le chef d’orchestre de musicien de premier plan qui avait joué un grand rôle en établissant Montréal comme une des grandes capitales mondiales du jazz.
Le décès de Vic Vogel avait été annoncé dans le cadre d’un bref communiqué publié sur sa page Facebook dans lequel on pouvait lire que le chef d’orchestre ‘’s’est éteint ce lundi matin du 16 septembre 2019 à 9 h 35 dans sa demeure de Montréal aux côtés de sa maîtresse, son piano Steinway sur lequel il a joué depuis l’âge de 16 ans.’’
Une semaine après sa mort, Vogel avait fait l’objet d’une cérémonie devant le pavillon administratif du cimetière Notre-Dame-des-Neiges. L’urne contenant les cendres du disparu avait été portée par son agent et ami, Bob Pover, avant d’être déposée sur un socle.
Au cours de sa longue carrière s’étendant sur une période de soixante-dix ans, Vic Vogel a partagé la scène avec les plus grands noms du jazz, de Dizzy Gillespie à Maynard Ferguson, en passant par Phil Woods, Zoot Sims, Gerry Mulligan, Slide Hampton, Cannonball Adderley, Chucho Valdés, Tony Bennett, Michel Legrand, Ella Fitzgerald, Oscar Peterson et Mel Tormé. Vogel a aussi accompagné des vedettes de la musique populaire comme Paul Anka, Sammy Davis Jr., Edith Piaf, Céline Dion, les Jérolas, Alys Robi, Johanne Blouin, Martin Deschamps, Jerry Lewis, Shirley MacLaine, Tennessee Ernie Ford, Ann-Margret, Eartha Kitt et Andy Williams, pour n’en mentionner que quelques-uns. Souvent mis en nomination pour les prix Juno, Vogel a remporté plusieurs prix pour son album ‘’En Fusion’’ avec le groupe rock québécois Offenbach, dont un prix Félix accordé à l’album de l’année en 1980. L’album s’était également mérité un disque d’or avec 80 000 copies vendues.
En plein milieu du débat sur la langue française, Vogel se rappelait toujours de l’époque où il avait interprété en rappel le ‘’O Canada’’ le jour de la fête du Canada au théâtre Saint-Denis durant le Festival international de jazz. Il expliquait: “We had finished a set, and they wanted an encore. It was Canada Day, so I decided to leave them with O Canada. Hell, why not? It was composed by a Canadian for the St-Jean-Baptiste Society.”
Commentant sa passion pour le jazz, Vic Vogel avait déclaré au cours d’une entrevue qu’il avait accordée en 1960: "Jazz is the thing I love. It's powerful; it's alive. It's so much fun; it's interesting — ah!" Auteur de plus de 2000 compositions, Vogel a collaboré à plus de soixante albums au cours de sa carrière. Il avait aussi présenté plus de 10 000 concerts. Vogel s’était également produit avec plusieurs groupes de musique classique dont l’Orchestre symphonique de Québec (1978), l’Orchestre symphonique de Montréal (1989), le Symphonic Nova Scotia Orchestra (1988) et le Shanghai Broadcasting Symphonic Orchestra (2001), contribuant ainsi à assurer la crédibilité du jazz comme genre musical.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
HADEKEL, Peter. ‘’Obituary: Vic Vogel, ‘the patriarch of jazz in Montreal’, dies at 84.’’ Montreal Gazette, 17 septembre 2019.
McINTOSH, Andrew. ‘’Vic Vogel.’’ http://xn--qubecinfomusique-cqb.com/, 2023.
‘’’The person that would change things’: Montreal jazz icon Vic Vogel died at 84.’’ CBC NEWS, 16 septembre 2019.
‘’Vic Vogel.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Vic Vogel s’éteint à 84 ans.’’ Le Droit, 16 septembre 2019.
‘’Vogel, Vic.’’ Encyclopédie canadienne, 17 septembre 2019.
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joex92 · 5 months
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lamilanomagazine · 9 months
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ARIA - Antrodoco residenza internazionale per Artisti: il via alla prima edizione del Festival Performing Art, tra danza, circo e performance multidisciplinari
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ARIA - Antrodoco residenza internazionale per Artisti: il via alla prima edizione del Festival Performing Art, tra danza, circo e performance multidisciplinari. Dal 13 al 16 luglio si tiene, in provincia di Rieti, il progetto ARIA - Antrodoco residenza internazionale per Artisti, con spettacoli dedicati alle arti performative contemporanee, tra danza, circo e teatro. Gli eventi sono gratuiti. Il 1 giugno si è conclusa l’open call di selezione del “Progetto Aria - Antrodoco residenza internazionale per Artisti”, sia per le residenze artistiche sia per la prima edizione del Festival. Oltre 300 le candidature ricevute per un festival dedicato alle arti performative contemporanee, che fa della contaminazione dei generi il proprio nucleo, con l'obiettivo di rappresentare un collante per ricostruire la vicinanza tra le persone e lo scambio di emozioni all’interno delle comunità. Le proposte selezionate mirano a soddisfare i gusti di un pubblico eterogeneo, con l'obiettivo di cambiare la direzione attuale in cui la nostra società sta dirigendosi, facendo leva sulla capacità umana di aspirare a un futuro differente e sulla possibilità di farlo insieme. Citando l'antropologo Arjun Appadurai che sostiene che “le aspirazioni non sono mai semplicemente individuali, pertanto la relazione con il futuro è frutto anche della partecipazione a capacità collettive di immaginazione di orizzonti condivisi, orizzonti che contribuiscono a influenzare gli orientamenti delle collettività in termini di valori e diritti.” Un Festival che vuole, dunque, generare nuovi spazi per creare nuove comunità, per sognare insieme. Un programma che racchiude questi valori e riunisce insieme l’eccellenza della danza e del circo contemporaneo, passando per il teatro e la performance multidisciplinare. L’arte non solo nelle grandi metropoli, ma anche nei piccoli centri, i luoghi di nuovi percorsi condivisi. Si comincia il 13 luglio alle ore 19:00 in Piazza del Popolo ad Antrodoco (RI) con “Gramophone Live Set” di e con “Emanuela Belmonte – Le Radiose”. Un'installazione musicale dedicata ad una o poche persone per volta. Con l’aiuto di Guendalina, coloro che si avvicineranno potranno scegliere uno dei dischi a disposizione, cambiare la puntina e girare la manovella, per apprezzare appieno la magia di un grammofono acustico. Alle ore 21:15, in Santa Maria Extra Moenia, la performance di circo contemporaneo “Di Pezza” di e con “Red One Duo”, con Chiara Serges e Gabriele Gonzo. Due giocattoli, una bambola ed un soldatino, si ritrovano in una vecchia casa. Nella bambola sembra esserci qualcosa di rotto ed il soldatino farà di tutto per farla funzionare. Per i due protagonisti inizierà così un’avventura tragicomica, nel tentativo di creare insieme una dimensione quotidiana come solo due giocattoli potrebbero intenderla. “Tessuto aereo”, “trapezio in coppia”, “mano a mano”, sono solo alcune delle tecniche di questo spettacolo di teatro circo. Il secondo giorno di Festival, il 14 luglio, tre spettacoli in programma. Presso il Chiostro di Santa Chiara alle ore 19:00, “Crangon Cgrangon +” di e con Daria Greco – Chiasma. Una pratica performativa guidata in cuffia (per un massimo di 20 persone). L'intento è quello di trasmettere a chi partecipa (ma anche a chi guarda) il moto opposto a quello di chi avanza. Il tema è quello del corpo e dell'ignoto. Un’ indagine rivolta a corpi di qualsiasi età, genere e provenienza per la cui adesione è richiesto un abbigliamento comodo. La scoperta dello spazio “dietro” secondo un check anatomico fatto di visualizzazioni e minuziose attivazioni. Alle 21:15 Santa Maria Extra Moenia si animerà con la performance di danza “NO Y AU” di e con Daria Greco – Chiasma. Lo spettacolo indaga la scelta di mantenere un segreto dentro e si allontana dalla condizione del dimostrare: una mise en scéne dell'intimo. "Quando voglio immensamente bene a qualcuno non ne dico mai il nome a chicchessia. È come cederne una parte" (O.Wilde, Il ritratto di Dorian Gray) La giornata si concluderà alle 21:40, sempre in Santa Maria Extra Moenia, co “Donne e mafia” di e con “CREA teatro” a cura di Simonetta De Nichilo, con Eleonora Belcamino, Simonetta De Nichilo, Anna Rita Gullaci, Matilde Piana, Tiziana Santercole, Roberta Sciortino e la musica dal vivo di Vittoria Agliozzo. Voci di donne che cercano uno spazio di legalità nella loro vita e nel loro Paese, donne che lottano e raccontano storie che ci trasportano in un viaggio nel tempo e nei luoghi che hanno visto la nascita e lo sviluppo del fenomeno mafioso. Donne che osano opporsi non solo all’organizzazione mafiosa ma alla stessa cultura di cui si è sempre circondata. Sette donne che hanno avuto a che fare con la mafia, che hanno rotto il silenzio: madri, sorelle, figlie. Il 15 luglio alle ore 19:00 a Largo Santa Chiara “On Air!”, una performance di clown teatrale e canto a cappella di e con “Le Radiose”: Emanuela Belmonte, Genea Manenti, Valentina Musolino. Radio Radiose - solo musica dagli anni '30 (e '40) - è una radio da teatro, ma soprattutto è una radio che trasmette solo ed esclusivamente in direa. “Le Radiose” accompagnano i loro radioascoltatori tra sincopatissime e frizzanti melodie della “Swing Era”. Ma cosa succede se la frequenza diventa instabile e capricciosa? Una coinvolgente follia di modulazione di frequenza che tra ronzii, fruscii, rubriche e telefonate trascina il pubblico in una montagna russa radiofonica di epoche e stili. Alle 21:15 in Santa Maria Extra Moenia, lo spettacolo di danza “Trust” di Spellbound Contemporary Ballet, per la coreografia e regia di Mauro Astolfi, con Maria Cossu e Giuliana Mele. Un racconto breve di due donne che non sanno come comportarsi l’una nei confronti dell’altra. Un tentativo di accordo momentaneo che si basa sull’idea della reciproca fiducia. Un gioco intrecciato da caratteri diversi, ma con una sottile necessità di capire cosa pensa l’altro, “come potrebbe stare vicino a te, come tu potresti vivere vicino a lei”. Un duetto infantile e al contempo maturo, adolescenziale ma consapevole, una suggestione su decisioni che vanno prese in fretta… “andando avanti si diventa amici e alla fine si scopre che ci si può fidare”. Sempre in Santa Maria Extra Moenia, alle 21:45 “Unknown Woman” di Spellbound Contemporary Ballet. Una performance di danza con Maria Cossu per la coreografia di Mauro Astolfi. Un racconto serio e immaginario allo stesso tempo, un raccoglitore di memorie e di pensieri di quello che è accaduto. Una storia intima e personale. Io e lei abituati in questi 20 anni a raccontarci alcune cose segrete attraverso dei movimenti, una rubrica disordinata dove leggere e rileggere appunti per capire la donna e l’artista. Forse ci siamo capiti solo sul palcoscenico di un teatro. Ma come si fa a capire un’artista? Inseguirla è stato possibile solo con gli occhi e con il cuore, ogni altro modo ti confonde ancora di più e ogni volta devi quasi ricominciare dall’inizio, come “se ci ripresentassimo e ci chiedessimo per la prima volta il nome”. Gran finale, alle ore 22:00 con il concerto teatro “Personal Margò” di e con Margò / ONDADURTO TEATRO. Un concerto spettacolo nel quale Margó, artista e performer internazionale, attraverso la musica e le canzoni, racconta un momento speciale della sua vita. Le canzoni apriranno spazi narrativi dove, in un continuo dialogo con il pubblico, l’artista si metterà a nudo, condividendo con gli spettatori immagini e ricordi ma anche sogni e visioni. Ultima giornata del festival il 16 luglio. Si comincia alle ore 19:00 presso il Chiostro di Santa Chiara con il circo contemporaneo: “My Heart is on the table” di e con Pigreco Company, con Laura Colonna e Doreen Grossmann. Uno spettacolo dall’ambientazione casalinga, familiare, che vuole provocare delle riflessioni su come ci rapportiamo con ciò che ci manca e con ciò che desideriamo. Le due interpreti esplorano il mondo delle tentazioni, dei sensi di colpa, del menefreghismo, dell'attrazione proibita e dei nostri modi di apprezzare o meno le ricchezze messe sul tavolo della nostra vita. Una performance intensa, poetica e delicata, in cui la tecnica, mai fine a se stessa, diventa un linguaggio per arrivare al cuore dello spettatore. Alle 21:15 in Santa Maria Extra Moenia ancora circo contemporaneo con “Fili Invisibili” di e con “COLLETTIVO 6TU”, con Alessandro Campion, Emmanuel Caro, Sara Frediani, Rachele Grassi, Carlos Rodrigo Parra Zavala, con il sostegno di Fondazione Cirko Vertigo, Progetto Boarding Pass Plus. Una delle eccellenze tra le compagnie di circo contemporaneo in Italia che in questo spettacolo esplora e investiga la visione del mondo di Italo Calvino nel centenario della sua nascita. “Fili Invisibili” vuole creare una rete di relazioni e una connessione di sguardi che si incrociano e poi si sfuggono. Il linguaggio e la grammatica circense, con un codice corporeo che trasporta lo spettatore in diversi mondi, fili invisibili che creano un legame di ricordi in cui ogni storia è legata alla precedente e alla successiva. Il Festival si concluderà alle ore 22:00, sempre in Santa Maria Extra Moenia con la performance di danza “If not now, never” di e con “HUNT Compagnia Danza Contemporanea”, con Leonardo Carletti, Camilla Perugini, Giorgia Perugini, Elisa Ricagni, Giosy Sampaolo, per la coreografia e regia di Loris Petrillo. Nel bicentenario de “L’Infinito” di Giacomo Leopardi, Loris Petrillo concepisce un omaggio al poeta e all’immensa eredità artistica e umana che ci ha lasciato. Un tributo fondato sulla sua insaziabile sete di vita, impossibile da soddisfare a causa dell’angoscia insita nel suo animo. La continua tensione al piacere e alla bellezza, di cui pure l’uomo e il mondo sono un segno, va infrangendosi nella finitezza della vita mortale. Unica via di fuga rimane l’immaginazione, che “L’Infinito” esalta: la creazione di una realtà infinita che sappia placare, seppur per poco, il desiderio altrettanto infinito dell’uomo. Con il progetto “ARIA – Antrodoco residenza internazionale per Artisti “- il Comune di Antrodoco ha vinto un milione e 600 mila Euro su un bando PNRR del Ministero della Cultura, con l'obiettivo principale di rendere Antrodoco una residenza per artisti di diverse tipologie di arti (Teatro, Danza, Musica, Circo Contemporaneo, Arti figurative) con un respiro internazionale. INGRESSO GRATUITO. Si consiglia la prenotazione +39.351.6521328.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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mein-traum11 · 10 months
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Este es mi espacio seguro y mi manera de sacar tantas cosas.
Puedo mencionar que amo mucho a Calle y Poche son YouTubers creadoras de contenido, artistas empresarias y muchas cosas más.
Sin duda alguna muchos las juzgarían por su orientación sexual, en mi caso no ha sido problema pienso que todos podemos amar a quien queramos al final del día pues cada quien vive su vida a su manera.
Ellas son unos seres extraordinarios, aún no las conozco en persona espero algún día no muy lejano…
Pero en fin puedo decirles que son seres que a pesar de no saber de mi existencia, pues me ayudan mucho, el contenido que crean enfoca full en la salud mental y no crean que es aburrido para nada en verdad tienen un gran talento y un gran don sobre el ARTE que ellas construyen, es increíble como en simples cosas nos enseñan mucho de lo que ellas mismas van aprendiendo.
Gracias a ellas me he dado cuenta la importancia de aprender a conocer mis emociones acciones y que tipo de apego contengo y como es en realidad mi manera de ser.
#CalleyPoche #Loveislove
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diarioelpepazo · 1 year
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Santander registra 9 imparables, 1 bambinazo de vuelta completa, 5 carreras remolcadas, 5 boletos negociados y 20 ponches recibidos en 51 visitas al plato, dejando un average de .176. Suárez mandó la esférica por encima de la pared entre los bosques central-derecho, en cuenta de 1 bola sin strikes, descifra un envío en slider. Arráez, por su parte, sigue dando palos y guió la victoria de los Marlins  y de esta manera subió su promedio de bateo a .511, el más alto en todas las Grandes Ligas, con 58 puntos de ventaja sobre Matt Chapman, su más cercano seguidor. Gabriel Moreno (.231) terminó de 4-1, impulsada y 2 poches. Avisaíl García (.171) concluyó de 2-2, doble (1) y anotada.     Manuel Gil/Harold Capote El toletero de los Orioles de Baltimore y ahora nuevo jugador de los Tiburones de La Guaira en la Liga Venezolana de Beisbol Profesional, Anthony Santander, consiguió su primer cuadrangular de la temporada 2023 en la Gran Carpa. En la jornada sabatina, los Orioles se encontraban abajo en la pizarra (1-2) ante los Medias Blancas de Chicago, cuando le tocó el turno al venezolano y logró batear con fuerza para igualar el compromiso (2-2). Un envío del serpentinero Michael Kopech a 94 mph se quedó en la zona de poder para que el margariteño pudiera llevar la pelota a las gradas del jardín derecho. Con 28 años de edad, está disputando su séptima temporada en Las Mayores, todas con la indumentaria de Baltimore. Actualmente está registrando 9 imparables, 1 bambinazo de vuelta completa, 5 carreras remolcadas, 5 boletos negociados y 20 ponches recibidos en 51 visitas al plato, dejando un average de .176 en el inicio de temporada. Anthony Santander / Foto: Getty Images Eugenio Suárez también para la calle [caption id="attachment_70943" align="aligncenter" width="675"] Eugenio Suárez Foto: Twitter @LosMarineros[/caption] En este comienzo de la temporada 2023, el ritmo jonronero de Eugenio Suárez es lento, al menos esa es la impresión que a muchos puede dar, después de todo, desde 2018 a la fecha es el segundo hombre con mayor cantidad de este tipo de batazos en todas las Grandes Ligas. Pero, para no perder la costumbre, en la jornada de este sábado el de Puerto Ordaz suena su segundo cuadrangular del año, esto ocurre en el duelo contra Rockies de Colorado, durante la 4ta entrada. Ante las serpentinas del iniciador rocalloso, Ryan Feltner, el toletero criollo manda la esférica por encima de la pared entre los bosques central-derecho, en cuenta de 1 bola sin strikes, descifra un envío en slider. Su conexión iguala el marcador a 1 y es el preludio de un gran rally de 5 rayitas de los Marineros de Seattle, donde Eugenio es golpeado con las bases llenas, remolcando otra anotación. En su puerto, los nautas luego anotan 4 más en el sexto, con lo que dan amplio respaldo al abridor George Kirby, en tremenda labor de 6.1 entradas permitiendo esa única rayita. Luis Arráez da el triunfo a los Marlins [caption id="attachment_70944" align="aligncenter" width="675"] Luis Arráez sigue imparable. Foto: Instagram marlins[/caption] Incluso con molestias físicas que le tienen en situación de Día a Día, Luis Arráez no para de batear para los Marlins de Miami; “La Regadera” no estuvo en la alineación abridora, pero salió como emergente en la baja del séptimo de la suerte y puso cifras definitivas en el duelo contra los D-backs de Arizona. El de San Felipé entró por Garrett Hampson con la pizarra igualada a 2 carreras, Nick Fortes en la inicial y Jean Segura en la antesala; el turno fue ante el relevista Andrew Chafin, y al primer envío despachó sencillo al jardín central para remolcar el 3x2 que posteriormente cerraría el juego. Así subió su promedio de bateo a .511, el más alto en todas las Grandes Ligas, con 58 puntos de ventaja sobre Matt Chapman, su más cercano seguidor. En esta partida fueron las serpientes quienes abrieron el marcador; en su primer chance, Ketel Marte. primero en el orden recibió pelotazo, se movió a la antesala tras doble de Lourdes G
urriel Jr., luego anotó con elevado de sacrificio de Christian Walker. Pero un bonito duelo de pitcheo se vivió entre los abridores Ryne Nelson por Arizona, y Braxton Garrett por Miami, lanzan 6 y 5.2 innings respectivamente, permitiendo 1 carrera que fue limpia; la anotada por los Marlins llegó en el 5to con jonrón de Hampson. Los D-backs retomaron el control con 1 en la 7ma; Gabriel Moreno con sencillo remolcó a Corbin Carroll, pero se quedaron cortos para lo que luego hizo Luis Arráez. El triunfo se dirigió al balance de Andrew Nardi (1-1, 6.00), cedió 2 boletos y ponchó a 1; salvó Tanner Scott (1, 6.35) en un 9no perfecto con 1 abanicado. Perdió Scott McGough (0-2, 9.64), castigado con 3 imparables y 2 rayitas merecidas en 0.1 de labor. Para Arizona, Gabriel Moreno (.231) terminó de 4-1, impulsada y 2 poches. En la acera de Miami, Avisaíl García (.171) concluyó de 2-2, doble (1) y anotada. Para recibir en tu celular esta y otras informaciones, únete a nuestras redes sociales, síguenos en Instagram, Twitter y Facebook como @DiarioElPepazo El Pepazo/Meridiano
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