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#c'est mimique peuvent me tuer
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les sillons autour de la bouche d'erica durance quand elle sourit peuvent me tuer
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plumedepoete · 4 years
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  Le guide vers les étoiles     J'ai le souvenir d'une rengaine que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître :  Je cherche fortune Tout au long du chemin Et au clair de la lune, À Montmartre, le soir.     Vous découvrez la profession de foi, les raisons d'être et d'espérer des restaurateurs du pays du bon goût : la FRANCE.      Que cherchent-ils ? Je vous le donne en mille Émile : ils cherchent à faire fortune !     Et vous que cherchez vous : à manger bien et bon.                                                   Incompatibilité d'humeurs.     Quel ingrédient pourrait bien manquer à la cuisine des Toqués, à ces chasseurs d' étoiles dans la galaxie  des guides « de bonnes adresses » de réputation universelle, à ces despotes en cuisine qui savent par leur « savoir être au fourneau »  se rendre imbuvables aux yeux du personnel et du public ?     Quel est ce secret de fabrication ?     Un petit tour de moulin à poivre de SECHUAN, un brin d'herbes de « Folle »,  un trait de génie ou d’Angustura, une maniaquerie de Diva qui, de par la recherche de la perfection dans les moindres détails, finit par tuer l'émotion  de trouver du plaisir dans cette noble destination :  Se nourrir du plaisir de manger et de voir les autres se régaler.     Me rappelant  le NUNC EST BIBEMDUM, formule équivoque pour un guide MICHELIN qui s'adresse à des conducteurs d’automobiles, je n'ai pas oublié de rajouter ce commandement........mais avec modération .      Les ingrédients qui manquent à beaucoup de ces chefs, et qui font qu'avec c'est  « plus mieux bon » .     Ces ingrédients c'est l'humour et la simplicité       Les régimes ''alimenteurs'' faisant rage dans les rangs des lecteurs, pas étonnant de constater la présence de chevaliers à la triste figure, lorsque le couvert est mis, ils vous flinguent l'ambiance, vous dégonflent le soufflet au fromage, vous délient la sauce sans vous délier la langue, et sont sujets au fait de mettre les pieds dans le plat.     Avec l'air grave d'un gendarme et les mimiques d'une jeune vierge effarouchée, ils toisent la table par vous dressée, touchant du bout de leur fourchette assassine, une viande dans son jus qui était destinée à bien les contenter.     Puis, se détournant de la basse besogne destinée à vous faire regretter de les avoir conviés, ils promènent un regard blasé, sur les autres invités, espérant, par leurs façons de procéder, démolir votre réputation de marmiton.     Blasés qu'ils sont, incapables d'émotions, ils traînent leur morne indolence comme si leur apathie était une référence. Tour leur est dû, le moindre en-cas, le plus petit casse-croûte, et voilà ces pique-assiette sur votre route.     Ils n'ont goût à rien et le dégoût de tout. Et c'est pourtant dans le sein de la famille qu'évoluent ces bordilles, ou comme disent les marseillais, « ces chiens des quais »     Ils veulent être des références, rien ne peut intelligemment se manger en dehors de leurs présence, et à la fin du repas, c'est à un « Jacques a dit » qu'il vous font participer.     Comment avez vous trouvé ces ''Panisses" ?      Tous les regards sont tournés vers lui : « Jacques a dit : frugales et banales ».      Vous, à bout de souffle, sentant la moutarde qui vous monte au nez, vous risquez afin de les étonner : « c'est chez un Romano que je les ai goûtées » espérant ainsi détourner la conversation et éviter la consternation.      Mais rien n' y fait, c'est son avis que les autres écoutent. Ces  « alimenteurs » font le tour des popotes et assassinent les cuisiniers qu’occasionnellement pour un soir, nous sommes.     Ce sont, vous en conviendrez, des empêcheurs de beurrer en rond, des casse « pieds de cochon », des enquiquineurs du « Quinquina », des « écumeurs de table » de véritables ténias.     Reconnaissez-le, vous en avez au moins un parmi vos invités.     Alors, comment l' éviter... Rien de plus simple, en prenant de la hauteur (vu le jeu de mots ?)       C'est sous vos yeux que ce trésor était caché, et de sa présence vous allez enfin pouvoir  profiter en toute aisance. Le dîner de con.... vous vous souvenez, se sera lui votre invité. . ©Philippe X - 27/01/2020
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fallenrazziel · 5 years
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Les Chroniques de Livaï #407 ~ ÊTRE POLI COÛTE PEU ET ACHETE TOUT (octobre 845) Livaï
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes.
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Putain, faut que je me barre d'ici !
Je passe devant le mec à la porte sans même récupérer ma veste et je descends les marches en courant pour me jeter littéralement dans la rue. Les lumières des réverbères me font mal aux yeux et je me retiens de hurler, on m'entendrait à l'intérieur. Ils peuvent toujours crever pour que je leur fasse ce plaisir !
Je repère un pot de fleurs en pierre et aussitôt, je sais que je dois passer mes nerfs dessus. Je flanque un coup de pied dedans et le pot vole en éclats qui vont s'éparpiller dans les plates-bandes. Bordel, ça fait du bien ! Mais c'est pas assez ! C'est le portrait de ce connard que je veux refaire !
J'en suis à chercher une autre cible à détruire quand Erwin débouche à la porte d'entrée, essoufflé et les cheveux en bataille. Ah non, je te jure, c'est pas le moment ! Si tu t'approches, c'est sur toi que ça risque de pleuvoir ! Reste loin de moi, ok ?! Il garde ses distances tout en me demandant de ne pas partir. Tu parles !... Je me casse ! Pas question que je retourne là-bas, supporter leurs faces de rat ! T'as entendu, non ?! J'suis qu'un bâtard sans nom de famille avec de la boue dans les veines ! Je m'en voudrais de leur imposer ma présence ! Merde !
Je défonce un autre pot de fleurs et Erwin a juste le temps de se mettre à couvert pour pas se prendre un projectile. Je l'entends me demander avec calme de pas détruire le trottoir de Zackley. Je m'en tape ! Je le plante là et je commence à descendre vers la place. Si tu veux continuer à les sucer, fais-le sans moi, j'ai assez donné ! Le bruit de ses pas suit les miens et je sais qu'il laissera pas tomber. Erwin, j'y retourne pas ! 'Sont tous des enfoirés ! Dis-leur que je les emmerde ! Tant pis pour leur étiquette à la con ! Et va au diable, arrête de me suivre !
Mais je l'entends encore, essayant de me parler pour m'apaiser. Je veux pas l'écouter. C'est de sa faute si j'ai dû supporter ça. J'aurai jamais dû venir ici, dans ce nid de serpents ! Et ce prince de mes couilles, si jamais je le revoie, je le réduis à ma taille ! Et comment il savait tout ça !? Le détail des oreilles... Ca vient pas des journaux, il a essayé de me passer un message ! Ce type est pas clair, où il est allé chercher ça ?! Où ?!
Erwin m'attrape par les épaules et m'empêche de faire un pas de plus. Laisse-moi me tirer ! De toute façon, si j'y retourne, je le démolit ! Et si je le fais, tous tes efforts auront été inutiles, ce sera un scandale ! Je l'aurai pas fait même si tu m'avais pas retenu, parce que je voulais pas tout foutre par terre ! Mais je pourrais plus me contenir si je revois sa gueule ! J'ai aucun moyen de répliquer, cette raclure a tous les droits ! Et moi, j'suis quoi ?! Hein, dis-moi !
Il me répond que je ne suis rien de ce qu'il a dit. Si ! Il a raison, je suis personne ! Tuer des titans, protéger les vies des gens, ça rime à rien ici ! Je me tourne pour lui faire face. J'ai besoin de déverser ma rage sur quelqu'un et il est le seul sur lequel je peux le faire. Pourquoi tu m'as amené ici ?! Pour que ces connards me crachent dessus en se marrant !? Pour que je sois une attraction ?! Bravo, t'as réussi !
Il rétorque que lui aussi en a pris dans la gueule, que ces insultes lui étaient adressées autant qu'à moi. C'est pas ta mère qu'on a insulté ! Pourquoi tu t'es pas défendu alors ? Tu lui a à peine répondu, à ce salopard ! Il m'explique que c'est à moi de me défendre face à lui, et qu'il existe d'autres moyens que la bagarre ou les insultes. Je les connais pas ! Tu me les as pas appris, ceux-là ! Comment tu ferais ? Comment ?...
Il me fait marcher en silence le long du trottoir, la main serrée sur mon épaule, et je sens un peu de ma colère s'évaporer. J'essaie d'avancer à son rythme mais j'arrive pas à calmer ma respiration. Il me parle à voix basse, mais avec fermeté, et affirme que je peux renverser la situation. Même si je ne suis pas bon avec les mots, il m'arrive de faire preuve d'esprit et d'avoir de bonnes réparties.
J'ai compris, il veut que j'y retourne ; s'il revient seul, cela voudra dire que les accusations de ce salaud sont vraies. Mais elles le sont ! C'est vrai ce qu'il a dit ! Erwin affirme que non, que c'est faux, qu'il n'y a rien de honteux dans ma vie, et que je dois le faire comprendre à tout le monde. T'es en train de me dire que je dois pas nier les faits, mais... les retourner à mon avantage, c'est ça ? Mais je vois pas comment faire ! Y a rien qui me vient.
Putain, Erwin, cassons-nous d'ici. Allons ailleurs, là où on nous jugera pas sur nos moindres faits et gestes ! Je veux retourner à Trost, retrouver les autres ! Je suis prêt à écouter la bigleuse me parler de titans toute la nuit plutôt que de revenir là-bas ! Erwin reste stoïque. Il me toise de toute sa hauteur et ajoute qu'il me pensait plus courageux. Il n'imaginait pas que je puisse me défiler aussi facilement. Je me défile pas ! Je...
Il met un doigt devant sa bouche comme s'il cherchait quelque chose, puis un léger sourire apparaît sur ses lèvres. Il me dit d'imaginer une cohorte de titans, de toutes les tailles, des normaux et des déviants. Ils foncent sur moi et j'ai que quelques secondes pour décider d'une stratégie. Comment je réagirais face à cette menace ? Ben... je m'attaquerai au plus agressif tout en essayant de faire chuter les autres. Ou alors je les ferais se rentrer dedans pour exposer leur nuque. Il me demande des détails : rentrer dans le tas ou y aller avec subtilité et précision ? Ok, je vois où tu veux en venir. Ca sert à rien d'y aller comme un bourrin, il faut viser juste. Retourner les armes de l'ennemi contre lui... J'ai compris mais ça me donne pas la solution !
Erwin essaie de me ramener vers la demeure de Zackley. Je traîne les pieds, je veux vraiment pas... mais... Je peux pas fuir ! Il conclue qu'on doit parfois se forcer à faire des choses qui ne nous plaisent pas pour un bien supérieur ; que lui aussi le fait et qu'il serait désemparé de devoir batailler seul. Tu l'es pas... Je suis là... Ok, je viens... mais je le fais vraiment pour t... le bataillon !
Je tente de ralentir l'allure. Pas trop vite, laisse-moi le temps de réfléchir ! Il comprend et me laisse un moment de répit avant que nous franchissions de nouveau ensemble le seuil. Je lui signale qu'il est décoiffé - il ne s'en était pas rendu compte - et comme il n'a pas de miroir, je lui arrange un peu ses mèches de travers. T'es plus présentable, et moi, ça va ? Il répond que j'ai juste l'air encore un peu choqué mais que ça passe.
Je me sens plus calme et assuré. Sa comparaison avec les titans était parfaite ; même si là tout de suite, je préférerais de très loin devoir me battre contre eux que me trouver en présence de ces richards. Mais j'ai pas le choix ; comme le dit Erwin, il faut savoir se forcer à faire les choses même quand on en a pas envie. Il faut accepter le sale boulot que personne d'autre ne peut faire.
Je suis pas un bâtard. J'ai peut-être vécu dans la crasse mais je suis plus propre que plus de la moitié des gens rassemblés ici. Ils ne sont au-dessus que parce qu'ils sont plus grands. Les titans aussi ; mais je les zigouille sans problème. Faut que je fasse comprendre à tout le monde ici qu'il faut pas me chier dans les bottes. Tout en respectant leur connerie d'étiquette. Erwin, t'éloigne pas, j'ai besoin que tu m'inspires, là !
Nous revenons lentement vers le fumoir. On croise Tabea qui a entendu le boucan de tout à l'heure et qui s'inquiétait de nous voir partir. Erwin répond poliment que je me sentais pas bien et que j'ai dû aller prendre l'air. Elle nous suit vers le salon des hommes, espérant sans doute que personne ne la remarquera grâce à l'agitation. Car la tension est pas retombée. Quand nous nous présentons de nouveau face aux invités, les chuchotements se sont changés en discussions animées, dont Erwin et moi devons être les principaux sujets. Je cherche immédiatement des yeux le salopard de Fritz et le voit accoudé au bar. Dork se déplace immédiatement et se dirige vers nous pour nous conseiller de ne pas aggraver la situation. Erwin lui dit qu'on ne va rien aggraver du tout et qu'on est juste là pour passer une bonne fin de soirée.
Ca y est, je crois que je l'ai, le truc. J'ai juste à attendre que l'autre connard me donne une occasion. Elle tarde pas. Le voilà qui se remet à parler fort en se plaignant d'une mauvaise odeur. Il me donne une ouverture, et je m'y engouffre, les yeux fixés sur ses jambes. Je me mets à marcher vers lui, m'accoude au bar et fais mine de me servir un verre. Il est à quelques centimètres de moi et se moque de ma petite taille avec des mimiques grotesques. Je me tourne vers lui et me lance.
Vous savez, les plus grands titans sont pas les plus intelligents ou les plus dangereux ; les petits sont les pires. Ils peuvent vous gober bien plus que vos oreilles en un rien de temps. Les moqueries cessent d'un coup. Le prince m'observe de haut en se pinçant le nez et affirme que je pue la mort. La mort, c'est mon quotidien depuis que je suis né, ne m'en veuillez pas. Ca ne doit pas être assez glamour pour vous, mais il faut bien que certains se sacrifient pour que vous puissiez continuer à manger vos petits fours. C'est une cause si importante ! Je m'en voudrais de vous priver de ça ! Il ricane et finit par me dire de retourner bouffer des oreilles en bas. Tcchh, ce que je peux vous dire, c'est qu'elles peuvent pousser sur des têtes nobles ou non, elles ont toutes le même goût. Ce n'est pas fameux, même si c'est mieux que mourir de faim. Mais si j'en juge par votre silhouette, cela ne risque pas de vous arriver, vous avez des réserves.
Je distingue le sourire béat d'un type juste derrière lui, et il n'est pas moqueur. Il attend la répartie du prince, mais je ne lui ai laissé aucune prise. J'ai tourné en dérision toutes ses attaques, sans dépasser les bornes, en restant dans les règles de la conversation, et je me sens très fort maintenant. J'ai repris le dessus et le contrôle. Il peut me balancer ce qu'il veut, ça me passe au-dessus. Je m'éloigne avec deux verres de vin à la main. Une fois au milieu de la pièce, je lui assène un dernier truc, bien fort, pour que tout le monde entende. Ma mère n'était pas une bâtarde. Il faut vraiment n'avoir aucune éducation pour s'attaquer à une femme sans défense. Un gentleman ne fait pas ces choses-là. Je m'abstiendrai donc de dire quoi que ce soit sur la vôtre même si je n'en pense pas moins. Au plaisir.
Je m'attarde pas sur sa réaction, je m'en cogne. Mais j'entends de discrets tapements de mains tout autour de moi, et aucune autre insulte ne fuse. Je me sens fier. Et Erwin doit l'être aussi, car il me fait un sourire plus large que d'habitude et hoche la tête. T'avais raison, ce type ne vaut pas plus qu'un titan débile. Il suffit de lui faucher les jambes et il s'écroule.
Je lui tends un verre et nous attendons la suite des évènements. Aussitôt, le parlementaire Karlmann revient vers nous et trépigne de joie en affirmant que ma rhétorique était parfaite et qu'il est bien content que Fritz en soit resté muet. Il en est si heureux qu'il affirme qu'il va nous faire une donation tout de suite, dès qu'il aura trouvé une plume. Je cache ma satisfaction, tandis qu'Erwin l'accompagne afin de signer le reçu. Je reste seul un moment mais je n'ai plus peur de personne ici. Je remarque qu'on me fixe avec une certaine admiration et Tabea me rejoint en tapant des mains de façon maniérée pour me féliciter de mon élégante audace.
D'autres invités se décident à venir me voir et je me sens d'attaque pour leur soutirer quelques dons bien mérités. Erwin en reviendra pas.
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