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#bonne gare
fidjiefidjie · 13 days
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Bon jour ☕️ 🥐 🍊, bon Week-end et bonnes vacances 🧳🎒
Gare Saint-Lazare🗼Paris 1956
Photo de Marcel Bovis
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philoursmars · 2 months
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Allez, une série de 5 posts : "Invader à Marseille" ! (si vous en connaissez d'autres, dites-le moi !)
rue des Lices, sur le chemin montant à Notre-Dame de la Garde ; c'est pourquoi la Bonne Mère tient ce petit alien dans ses bras !
entre la rue Moustier et la rue d'Aubagne
entre le Cours Belsunce et la rue du Tapis-Vert
Escaliers de la Gare Saint-Charles (mais ici aussi, j'ai un doute...)
Chemin du Roucas-Blanc
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homomenhommes · 11 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 142
Avec l'été un peu bousculé que j'ai passé, j'avais complètement oublié la commande de mon cockring en or (cf. épisode122). Le vendeur de la place Vendôme m'a appelé pour me dire qu'il était prêt depuis longtemps déjà. Je décide de monter à Paris. Sur l'autoroute j'ai du mal à respecter les limitations de vitesse. D'ailleurs je n'y arrive pas ! j'arrive à Paris sans m'être fait prendre au radar et comme la dernière fois gare le GSXR devant la " boutique ". Mon vendeur m'attendait et c'est lui même qui m'ouvre la porte. impatient le bougre !
Dans un salon particulier, il me présente ma commande. Je la prend en main. Lourd, l'anneau est parfaitement rond, la boule bien régulière me semble un peu plus grosse que sur le modèle. Je le fais remarquer et à l'aide d'un pieds à coulisse électronique, le vendeur en fait la constatation. 1mm de plus de diamètre, ça va me comprimer grave l'urètre. J'en discute avec le vendeur qui me propose aussitôt de faire rectifier le bijou. Mais cela va prendre une semaine et m'obligera à un nouvel aller et retour à Paris avec le risque de nouveau de me faire attraper pour vitesse inconsidérée.
Me voyant pas chaud pour cette dernière solution, il me dit que le mieux serait de le tester. Quelle bonne idée ! Aussitôt dit aussitôt fait, la combi sur les reins, je passe ma bite et mes couilles dans l'anneau en or blanc. Quand je ne bande pas, ça va, normal. Il est lourd et je dois bien le plaquer contre mon pubis. Pour voir en fonction normale, le vendeur s'est agenouillé devant moi et me suce. Il le fait bien et de le voir dans cette position en costume trois pièces me fait vite bander. Je sens bien la boule me comprimer le canal. Ce n'est pas désagréable pour autant. Maintenant il faudrait que je teste en fonction plus hard. Je relève le mec et le pousse sur la table de présentation. Il défait de lui même ceinture et boutons pour descendre pantalon et slip d'un seul mouvement. Je kpote ma bite et comme il s'écarte les fesses pour me dévoiler son trou, m'enfonce dans ce dernier. Il est chaud et je rentre comme dans du beurre. Ma queue gonfle encore. L'anneau est à la limite de la douleur et c'est très bon ! je vais le garder comme ça. Je m'active dans son cul et finis par décharger dans la kpote dans un furieux dernier coup de rein qui lui fait décoller les pieds du sol. Le giclées me semble plus laborieuses mais la pression est plus grande. Je pense que sans kpote je vais juter plus loin encore. Lui s'est sali la main.
Nous nous réajustons et je lui dis que je le prenais quand même en l'état à condition qu'il fasse un geste et de préciser financier. Nous discutons comme des marchands de tapis et j'arrive à lui extorquer 30% (sachant pertinemment qu'ils doublent ou triplent le prix de revient, je n'ai pas de scrupules). Je décide de le garder sur moi pour le retour. Le vendeur me demande, en passant sa main sur mon paquet, s'il y a quoi que ce soit qu'il puisse faire de plus pour moi. Je le remercie mais pour le moment, rien. Il insiste en me disant que si je suis seul sur Paris il se ferait un plaisir de me guider dans les lieux branchés de la capitale. Le retour se fait à la même vitesse que l'aller. Je sens bien l'anneau qui enserre ma tige à la base et quand je suis couché sur le réservoir, mes couilles s'écrasent dessus. Ça me fait bander et me compresse encore plus ! Je n'y tiens plus et m'arrête sur une aire de repos. Personne coté voiture. Je cale et verrouille ma moto puis, le casque à la main je descend coté camions. Là 1/2 douzaine de semis, les 3/4 rideaux tirés. Sur les restants, des chauffeurs assez âgés sauf 2 plus jeunes (25-35ans environ). Je retourne fixer mon casque sur la moto et vais pisser. Pas facile quand on bande ! j'essaye de penser à autre chose et, enfin, y réussi tout en restant raide. C'est à ce moment là qu'un des jeunes chauffeurs entre et s'installe à l'urinoir contigu (alors qu'il y en a 6 de front !).
Il sort un beau service trois pièces couilles rasées et poils taillés et jetant un regard vers le mien, me dit " joli matériel ". Quand je lui dis que je bande depuis Paris, il rigole. J'écarte plus ma combi qu'il voit le cockring et j'ajoute " ça plus le réservoir de ma moto... ". Là il comprend et me dit qu'il faut alors remédier à cela pour que le reste de ma route se fasse dans de bonnes conditions et de prendre ma bite dans sa main. Je le laisse faire. Il me pousse dans les WC pour handicapés et je pose mes fesses contre le lavabo. A genoux, il me suce la teub. Il n'est pas mauvais, mâchoire légèrement trop étroite mais ça passe quand même. Il est vorace à croire que ça fait une semaine qu'il n'a rien sucé ! Lentement il me mange plus et fini par écraser son nez dans mon pubis et son menton sur mes couilles. Il me dit qu'il veut mon jus. Ça me refroidit direct ! J'hésite même à le laisser continuer. Je réfléchis que si il me demande cela c'est qu'il le fait avec d'autre et d'un coup je débande. Le mec est étonné et tourne vers moi un regard interrogatif. Je lui dis que c'est ce qu'il vient de me dire. Il est surpris, habituellement, ça excite les mecs un maximum. Je m'excuse et remballe le matériel. Nous nous séparons sur une poignée de main et une dernière ironie " le résultat voulu (débander) a été obtenu ".
Retour calme jusqu'à la maison. J'arrive à temps pour emmener Jimmy à son rendez vous. C'est maintenant devenu une routine, client connu + opérateur souple et serviable = bon moment pour les deux et bonne rentrée d'argent pour l'opérateur et moi.
Je sais que j'avais presque décidé de raccrocher de ce coté là, mais j'ai du mal à laisser Jimmy et surtout Ed tout seuls. Mon coté sécuritaire ou mon coté voyeurisme ? surement un peu des deux. Je suis discret, avec des personnes consentantes dont je connais les noms et les adresses, je ne crains pas grand chose de ce coté là. d'autant plus que deux personnes dans la sécurité nationale sont parmi mes clients.
Soirée calme. Juste un coup de fil de Daniel (le vendeur de moto) qui stresse un peu pour son deuxième rendez vous. Je lui en demande la cause, sachant que pour sa première prestation, son client avait été ravi. Il me dit que la première fois j'étais à ses cotés. Ça me fait rire et il finit par rire aussi. Je lui dis de rester naturel, pas la peine de forcer sa nature et d'essayer de paraitre différent de ce que l'on est. Il me dit que c'est pas le coté sexe qui l'inquiète mais le reste, la culture générale. Je lui conseille quand il est chez lui de laisser sa télé branché sur les chaines de documentaires et d'infos en continu. Même quand il sera plongé dans une revue moto cela rentrera.
Je lui demande comment ça se passe dans la concession. De ce coté là, pas de changement de rythme, son boss l'encule une à deux fois par semaine et lui se vide dans le jeune apprenti au moins une fois par jour. Il me fait envie ce con ! Je lui dis que j'aimerai bien le rencontrer. Il me propose alors de me l'amener à domicile. Comme c'est un " fou " de belles mécaniques, il sera excité à l'idée de voir et de monter dans une Mercedes SLS AMG.
Marc étant encore en déplacement, je lui propose de ne pas reporter le coup et de me l'amener dès ce soir. C'est OK mais il me prévient qu'il n'est pas très " expérimenté " coté cul. ses pipes ne sont que passables mais son cul vaut le détour.
Ils arrivent vers 19h30. l'apprenti en passager de Daniel. Il descend, c'est un gabarit type Jimmy ou Ed, pas grand, pas gros, tête de voyou, en jeans slim et blouson cuir moto. Présentations, il s'appelle Cédric. Il me demande en sautillant où est la Mercedes. J'ouvre la porte du garage, il reste figé 1,2 minutes ;puis il entre. Il hésite entre la caisse et les motos mais fini par privilégier cette dernière. Il tourne autour une fois, deux fois et me demande timidement s'il peut voir le moteur. J'entre dans la voiture, il regarde la cinétique d'ouverture de la portière en aile mouette en fonctionnement puis lève le capot moteur que je viens de déverrouiller et plonge dedans. Je l'entend commenter ce qu'il voit à l'attention de Daniel car moi, coté mécanique, je ne sais que l'utiliser.
Alors qu'il est encore plié sur l'aile de la voiture, je lui mets la main au cul, mes doigts enfonçant le tissus du jeans entre ses fesses et je me couche sur lui pour lui glisser à l'oreille que la visite est payante. Sans se démonter, il me répond " normal pour une telle machine ". On est sur la même longueur d'onde.
Il décolle son bassin de la tôle pour que je puisse défaire sa ceinture et les boutons du jeans. Je tire pantalon et slip en même temps vers le bas dégageant ses fesses. Pendant ce temps là, il examine les différents organes du moteur. Je découvre un joli petit cul tout rond. Je bande à me faire mal (j'ai mis mon nouveau cockring avant qu'ils arrivent ! Je libère mon sexe et le kpote. Obligeamment, Daniel fait couler une pochette de gel entre les fesses de l'apprenti. Je le pousse sur l'aile et pose mon gland sur sa rondelle, je pousse. Il couine un peu à la pénétration bien qu'habitué aux 5,5 de Daniel. Son anneau serre bien ma teub gonflée à mort. Je m'enfonce sans tenir compte de ses gémissement et pose le cockring contre son trou écartelé.
Quand je me retire, il en profite pour se décoller de la tôle. Je pose une mains sur ses hanches et de l'autre vérifie l'état de son sexe. A tâtons, je devine une petite bite (13/14cm) raide, fine (<4cm), surmontant de petites couilles, le tout rasé de près. La situation excite Daniel qui pose ses fesses sur l'aile de la voiture et demande à Cédric de le sucer.
Il n'hésite pas et commence sa sucette. J'ai beau pousser sur son bassin en fin d'enculage, je n'arrive pas à l'enfoncer à fond sur la tige de Daniel. Et ce dernier de me commenter la médiocrité de la pipe. En effet à ce que je vois Cédric n'arrive à lui bouffer que la moitié de sa queue. Il me dit que c'est dommage car comme je peux le constater son cul est très agréable. Je demande à Daniel s'il veut qu'on essaye d'y remédier. Il secoue la tête verticalement. Cédric recrache la bite de Daniel et acquiesce à son tour, il aimerai bien sucer mieux mais n'y arrive pas. Je lui dis que ce n'est qu'une question de technique puisque la volonté il l'a.
Je décule et dékpote. Avec Daniel nous installons Cédric le dos sur un des établis du garage. La tête en dehors du plateau pend de façon à aligner sa bouche avec sa gorge. Je lui fais sniffer un peu de poppers, ça ne peut qu'améliorer sa motivation.
Ainsi préparé, je lui mets ma bite dans la bouche et m'enfonce. Je le laisse jouer un peu de sa langue avec elle. Il tète bien mais pas profond. Je lui dis que je vais maintenant m'enfoncer totalement et lui dit d'avaler quand il sentira mon gland dépasser sa glotte. Un coup de rein sec me fait passer l'entrée de sa gorge. Je le sens avaler et me retire aussitôt, pas la peine de lui provoquer un renvoi. Je le laisse respirer un peu et recommence. Le second passage est plus facile et je vais plus profond. Il me faut bien 1/4 heure pour réussir à tout lui mettre sans qu'il vomisse. Nous faisons une pause. Il s'assoit sur l'établi et me dit que c'est une sensation assez extraordinaire que de sentir un gland dans sa gorge, c'est une dimension autre que la simple pipe. Je lui confirme et lui dis que pour celui qui est sucé, c'est incomparablement meilleur, même si une langue agile qui tourne sur un gland surexcité c'est bon aussi.
Cédric se couche tout seul sur l'établi et attend que l'on remette cela. Un petit coup de poppers (pour lui) et je m'enfonce de nouveau dans sa bouche. il a bien pris le coup et je me sens aspiré vers sa gorge. Une fois, deux fois, puis je cède la place à Daniel impatient de tester les nouvelles capacités de son poulain. Je fais attention que dans sa précipitation il n'étouffe pas Cédric. A limer la gorge avec son gland, il gémit de plaisir. il me dit que c'est infiniment meilleur. Ses deux mains sur les oreilles de Cédric, il s'enfonce dans sa gorge avec la régularité d'un métronome. Cédric calme respire bien. N'ayant pour le moment rien à faire, son cul étant inaccessible de par sa position, je caresse son torse, t-shirt sous les aisselles. son petit gabarit ne l'empêche pas d'être musclé. Ma main courre sur ses abdos et ses pecs exempts naturellement de poils. Je descend plus bas et le branle. Il écarte les genoux (les chevilles entravées par son jeans), c'est un appel à un doigtage. Ma main glisse sous ses couilles et mon majeur suivit rapidement de mon index traversent sa rondelle encore souple du souvenir de ma queue.
Je fouille du regard le garage pour trouver un support adéquat qui nous permettrait à Daniel et moi de nous enfoncer ensemble dans Cédric. Je ne vois que la caisse rose qui emballait le GSXR d'Eric. Couché sur le coté avec un planche dessus ça devrait faire l'affaire. Je les laisse tous les deux le temps d'exécuter mon idée. Puis je reviens à eux et alors que j'attrape Cédric par les pieds, dis à Daniel de le prendre par les bras. Nous le transférons ainsi jusqu'à son nouveau lieu de plaisir. Pas trop mal. Daniel se met à genoux pour replacer sa bite dans la bouche et la gorge de Cédric et moi en face de lui, les chevilles de son suceur sur mes épaules, je m'enfonce à nouveau dans la chaleur de son boyau. Pris des deux coté, Cédric monte tout seul en pression et je jugule au moins deux fois ses montée de foutre avant de le laisser aller. Petite bite, petites couilles mais gros rendement ! il s'en met partout du nombril à sa bouche remplie de Daniel. Je compte au moins 6 à 7 giclées blanches. Je donne quelques coups de reins supplémentaires et sort vite pour lui juter dessus. Mon sperme laisse de longues trainées ;qui croisent celles précédemment dessinées par le sien. C'est alors au tour de Daniel d'y aller de sa contribution. Couvrant le bronzage de notre petit ami d'une nouvelle couche.
J'enlève le plus gros avec du Sopalin et comme il ne peu se rhabiller comme cela, décide que nous allions nous doucher à notre salle de sport qui à une entrée directe sur le coté de la maison. On remonte nos pantalons et ils me suivent au travers de la cour. Dans l'entrée, je fais déchausser avant de traverser notre salle de msucu et d'atteindre les douches communes. Yeux grands ouverts de mes deux acolytes que je pousse sous les douches. Vêtements vite retirés, et l'eau chaude vient nous mouiller. Avec Daniel, je savonne Cédric qui se tord sous les chatouillis que nos mains lui procurent. Sous les jets d'eau, ils n'ont pas vu arriver Ammed qui nous attend avec trois peignoirs sur les bras. Ce n'est que quand je coupe l'eau qu'ils le voient et ont un mouvement de recul. Ammed nous tends les peignoirs et me demande (façon grand style) si ces messieurs dinerons avec moi ce soir.
Il est tard et j'insiste pour qu'ils restent manger avant de partir. Nous montons à la maison par l'escalier intérieur. ;En attendant que le repas soit prêt, je m'alcoolise avec Cédric alors que Daniel se contente d'un jus de tomate retour moto oblige. Nous dinons calmement. Cédric me remercie de lui avoir fait découvrir ses capacités de gorge profonde, Daniel me donne des nouvelles des modifications du GSXR d'Eric...
ils me quittent après 23h.
JARDINIER
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Les paroles de la chanson gare aux cons. Tout à l’heure, j’roulais sur mon scooter dans Paris d’une voiture au feu rouge un mec me dis: eh madame il est quelle heure? J’lui répond midi. Ol me dit madame qu’est-ce que t’es bonne tu veux pas me faire une pepi. Ses potes rigolent sur le moment j’ai pas compris j’répond, mon grand c’est pas comme ça qu’on parle aux gens t’aimerais pas qu’on parle comme ça à ta maman. Le mec me regarde avec une tête de chien de garde il m’fait « vas-y parle pas d’ma mère ou ôte défonce » j’lui répond « du calme Alphonse. J’te connais pas-tu m’agresse, c’est quoi ce manque de délicatesse? On t’a pas dit de traiter les femmes comme des princesses? » il m’dit « ouais mais toi j’te baise ». J’lui dis bah non justement c’est ça le malaise
[Refrain :]
Tu sais que « garçon »
Si t’enlève la cédille ça fait « gars con »
Et gars au con ma fille
Gars aux cons, gars aux cons, gars aux cons
Qui perdent leurs cédilles
« garçon »
Si t’enlève la cédille ça fait « gars con »
Et gars au con ma fille
Gars aux cons, gars aux cons, gars aux cons
Qui perdent leurs cédilles
De Koxie
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chic-a-gigot · 7 months
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Le Petit écho de la mode, no. 40, vol. 18, 4 octobre 1896, Paris. Jaquette Salomé à 22 fr. Toque Tite à 5 fr. 95. Cravate écossaise de l'Oural à 20 fr. 95. Manchon assorti à 41 fr. 95. Vêtement Samson à 19 fr. 95. Canotier en feutre à 8 fr. 95. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Nous offrons en prime à nos charmantes lectrices deux vêtements qui, par leurs prix très avantageux, vont faire leurs délices.
We are offering as a bonus to our charming readers two items of clothing which, with their very advantageous prices, will delight them.
(1.) Jaquette Salomè dernière création, en drap anglais très chaud et très souple au prix de 22 fr. 95 non doublée et 28 fr 95 doublée, polonaise de couleur ou noire. Cette magnifique jaquette se fait en tabac, gris clair et gris ardoise.
(1.) Salomè jacket, the latest creation, in very warm and very soft English cloth at the price of 22 fr. 95 unlined and 28 fr 95 lined, colored or black polonaise. This magnificent dust jacket is made in tobacco, light gray and slate gray.
(2.) Collet Samson, façon tailleur en drap cuir, qualité supérieure, orné de baguettes piquées, au prix de 19 fr 95 non doublé, à 23 fr. 95 doublé polonaise de couleur ou noire. Ce collet se fait en noir et marine. Peur accompagner ces vêtements nous donnons: 1. Une gentille toque Tite en feutre orné de choux de velours en biais. Sur le côté gauche est posé un mignon petit oiseau noir. Les formes se font en noir, marine, tabac, beige et gris. Le velours est noir, marine, grenat, tabac, héliotrope, crème, rubis, vert d’eau, vert foncé et émeraude au choix. Prix: 5 fr. 95. — 2. Canotier en feutre, orné sur le côté d’un gros chou en beau ruban de satin soie et plumes couteaux. La calotte, entourée d’un biais de satin crème ou assorti au ruban, est bordée de velours noir en haut et en bas. Le ruban est, au choix, noir, marine, grenat, tabac, gris clair, héliotrope, vert foncé et crème. Les plumes sont assorties aux formes. Prix 8 fr. 95.
(2.) Samson cape, tailor-style in leather cloth, superior quality, decorated with stitched baguettes, priced at 19 fr 95 unlined, at 23 fr. 95 lined polonaise colored or black. This cape is done in black and navy. To accompany this item we give: 1. A nice felt Tite hat decorated with velvet puffs on the bias. On the left side is a cute little black bird. The shapes are in black, navy, tobacco, beige and gray. The velvet is black, navy, garnet, tobacco, heliotrope, cream, ruby, sea green, dark green and emerald to choose from. Price: 5 fr. 95. — 2. Felt boater, decorated on the side with a large cabbage in beautiful silk satin ribbon and knife feathers. The crown, surrounded by a bias of cream satin or matching the ribbon, is lined with black velvet at the top and bottom. The ribbon is available in black, navy, garnet, tobacco, light gray, heliotrope, dark green and cream. The feathers match the shapes. Price 8 fr. 95.
(3.) Magnifique cravate écossaise en martre de l'Oural avec tête et flot formé par 5 queues. Prix 20 fr. 95. Manchon assorti 41 fr. 95.
(3.) Magnificent Scottish tie in Ural marten with head and flow formed by 5 tails. Price 20 fr. 95. Matching sleeve 41 fr. 95.
Aucun envoi n’est fait contre remboursement; adresser mandat-poste à M. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris. Les frais d’envoi en gare française sont compris dans les prix désignés ci-dessus. Pour la différence de frais de port, ajouter 0 fr. 50 pouf la Corse, l’Algérie, la Tunisie, la Suisse, la Belgique et l’Allemagne, 1 franc pour l’Espagne, le Portugal, la Hollande, l’Autriche et l’Angleterre, 1 fr. 50 pour la Roumanie et l’Egypte. Un délai de huit jours nous est nécessaire pour la bonne exécution des commandes de chapeaux et douze jours pour les vêtements. Mesures à donner: Pour la jaquette, 1. largeur du dos; 2. longueur du dos, prise du pied du col à la taille; 3. largeur du devant; 4. contour sous les bras, pris au plus fort) de la poitrine; 5. contour des hanches; 6. épaule; 7. tour de taille. Pour le collet: 1. encolure sur le col de la robe; 2. contour de poitrine en passant par dessus les bras.
No shipment is made against reimbursement; send money order to Mr. Orsoni, 3, rue de la Sablière, Paris. Shipping costs to French stations are included in the prices designated above. For the difference in shipping costs, add 0 fr. 50 pouf Corsica, Algeria, Tunisia, Switzerland, Belgium and Germany, 1 franc for Spain, Portugal, Holland, Austria and England, 1 fr. 50 for Romania and Egypt. We need eight days for the proper execution of orders for hats and twelve days for clothing. Measurements to be given: For the jacket, 1. width of the spine; 2. back length, foot take from collar to waist; 3. front width; 4. contour under the arms, taken at the fullest) of the chest; 5. hip contour; 6. shoulder; 7. waistline. For the cape: 1. neckline on the dress collar; 2. chest contour going over the arms.
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cogito-ergo-absens · 2 months
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Pour finir cette journée, je vous partage ce passage que je trouve magnifique, de Gilles Farcet . ☀️🙏
« Ces jours-là, il habitait avec lui-même et en était positivement ravi.
Il habitait avec lui-même et cette cohabitation était pour l'essentiel heureuse, en dépit d'éphémères tensions encore susceptibles de survenir, comme une averse passagère dans un ciel dégagé.
Il avait appris à habiter avec lui-même.
Mais combien de ses semblables connaissaient-ils cette joie de demeurer en bonne intelligence avec soi?
Plus il rencontrait, écoutait, accueillait, être humain après être humain, plus il était saisi de cette absence, de cette étrangeté à eux-mêmes dont beaucoup agonisaient à petit feu.
Tant et tant ne faisaient pour ainsi dire que se croiser eux-mêmes sans se rencontrer. Tels des colocataires indifférents les uns aux autres ou, l'image est sans doute encore plus exacte, tels ces copropriétaires des immeubles d'aujourd'hui qui, quoique sous le même toit, vivent dans des intérieurs séparés et ne font que furtivement se frôler dans les escaliers, tant d'êtres humains ne savaient pas grand-chose d'eux-mêmes et de la multitude dont ils étaient peuplés.
Ils s'ignoraient, étrangers à leur personne hormis cette image brandie en étendard avec laquelle ils avançaient au dehors et à laquelle ils tenaient tant. Gare à quiconque aurait l'impudence de l'écorner, ou de simplement mettre en doute sa substance. »
Gilles Farcey - La réalité est un concept à géométrie variable
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perduedansmatete · 8 months
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mon meilleur moment de la journée c'est quand un vieux monsieur nous a laissé passer parce que je cite "vous marchez bien plus vite que moi !" puis qu'il nous a redépassé en rigolant parce qu'on s'était arrêtées devant un fleuriste et enfin qu'on l'a reredépassé en se disant mutuellement pour la troisième fois bonne soirée et "on verra qui arrivera en premier à gare de l'est" il a trop rigolé et nous aussi bref super interaction
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chifourmi · 4 months
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J'ai fêté le nouvel an avec Ju'! Je suis d'abord allée chez elle et on a soupé ensemble, la table était trop belle, on aurait dit qu'on était en date. On a mangé des petites verrines et une lasagne faite par sa mère, tout était trop bon.
Puis on s'est dit qu'on devait aller dans telle ville sauf que le temps de marcher jusqu'à la gare, on allait rater le train qui nous amenait à temps là-bas. On avait le seum donc on a pensé à faire du stop. Finalement j'ai fait un post sur Facebook pour voir si quelqu'un faisait le trajet. 1 minute après avoir fait mon post, une pote de Ju' a appelé et lui a demandé ce qu'elle faisait, etc. Elle n'a PAS vu le post!!! Et finalement elle a proposé de nous conduire et de venir avec nous, avec sa pote!! Donc on est parties toutes les 4 et on a fait le décompte sur une place où y avait pleins de gens, c'était très mims mais après l'ambiance est assez vite retombée donc on a fini la soirée dans un bar avec piste de danse. Y a un gars qui m'a bien serré et en a profité pour me toucher le cul évidemment puis il m'a demandé comment je m'appelais. J'ai direct dit que j'avais un copain parce que FLEMME. Puis là il me sort quoi?? "Mais est-ce que ton copain est plus grand que toi?" J'ai dit oui. Il me dit "bien plus grand ou juste la même taille?".
BREF le gars se sentait trop frais parce qu'il faisait une tête de plus que moi. En fait faut arrêter d'encenser les mecs grands, ils savent très bien que c'est un critère qu'on aime bien et après ils se croient irrésistibles puréeeee???
On a fini la soirée assez tôt parce qu'on est quand-même toutes les 4 en période de révision de nos exams. J'ai pas dormi chez Ju' finalement parce que je me suis dit que le réveil serait trop dur et qu'il faudrait trouver un moyen de rentrer et tout. Je suis rentrée vers 1h30 et ma famille fêtait toujours donc je les ai rejoints et on a joué à blanc manger coco. C'était trop bien, on a joué jusque 2h30. Puis j'ai parlé avec mon frère pendant loooongtemps. Je lui ai parlé de ma soirée et du fameux mec collant. Il est à chaque fois choqué parce que je reviens presque tout le temps avec ce genre d'histoire. C'est vraiment désespérant. Mais je suis contente d'être là pour lui expliquer la réalité des choses et qu'il en prenne conscience. Je l'ai vraiment bien éduqué et je suis contente parce que ça donnera la chance à une meuf de sortir avec un gars déconstruit!
Bon bref, BONNE ANNÉE LES GARS 🥳🎉🎊
(01/01/2024)
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fidjiefidjie · 2 months
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Bon jour, bon Week-end ☕️ 🥐 🍏 et bonnes vacances 🧳🎒
Gare du Nord🗼Paris 1949
Photo de René Groebli
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philoursmars · 1 year
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Ca y est : le départ de Marseille pour le Nord a lieu. Dans un grand désordre, la traversée Pointe-Rouge -Vieux-Port par la navette maritime qui m’éloigne du Massif de Marseilleveyre, le Métro Vieux-Port (Attention ! Une des bonnes sœurs n’a pas bien compris le dress-code ! Les oreilles de chat clignotantes ne sont pas recommandées !!) puis la Gare Saint-Charles.
Et la veille, le croissant de lune (dans la constellation des Gémeaux - on voit les étoiles Castor  et Pollux) au dessus de Montredon.
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eadun-duke · 1 year
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It must have been love but it’s over now || denton & eden
Personnages » Denton Cray & Eden Duke.
Où » Dans le manoir.
Quand » Tout récemment.
Notes » Nos coeurs saignent encore, on préfère vous prévenir.
Denton: Le chemin du retour se termine pour Denton qui arrive devant chez lui. Rien n’est remarquable à l’extérieur, mais il le sait : Eden est revenu. Le chasseur d’âme sent sa noirceur depuis l’allée du manoir. Il soupire. Le professeur gare son épaisse Mercedes dans l’espace qui lui est réservée, et remonte progressivement jusqu’à sa résidence. Il l’avait vu venir de loin, le coup que Eadun était en train de lui faire. Ce dernier était sans doute revenu pour tenter de convaincre Deandre de repartir. Le valet n’allait certainement pas lui faire ce plaisir. Chaque pas le rend plus solide dans sa décision de contrer son ancien amant comme il le peut. Le Duc repartirait et il repartirait seul. Il n’en serait pas autrement. Denton pense à Kaya et tient cette pensée. Elle serait non seulement son excuse pour rester mais aussi sa motivation. Pour de vrai et pour de faux. Le professeur passe la porte, sentant un regard se poser sur lui plus loin. Il ne prend même pas la peine de le regarder pour lui assener un « Bonjour, Eadun. » qui donne déjà le ton du reste de la conversation. La froideur et de nouveau, le désintérêt. « Si tu es venu me convaincre de te rejoindre, tu peux d’ores et déjà repartir. » Annonce Denton, se retournant finalement vers son bourreau, laissant imperceptible ce qu’il ressent, maintenant que celui qui était son compagnon est de nouveau devant lui.
Eden: Le regard du vampire balaie inlassablement l’allée de la propriété, à la recherche du véhicule de celui qui était il n’y a encore pas si longtemps son compagnon de route. Il est arrivé depuis seulement quelques heures, principalement passées à attendre Denton qui semble vouloir se faire désirer. Le concept du temps devient plus nuancé quand on a l’éternité devant soi, pour autant Eden considère qu’il en a déjà perdu suffisamment à attendre le démon dans sa nouvelle demeure new-yorkaise pour devoir continuer à le faire ici. Il n’aime pas le savoir sans lui. Qui sait ce que ces foutus humains ont pu lui rentrer dans le crâne lors de ces quelques semaines de séparation. Surement assez d’absurdités pour qu’il ignore tous ses appels, ce qui était déjà assez irritant pour le Duc. Il n’est pas le genre de personne qu’on ignore. Encore moins au profit de ces êtres-là. Eden prend une grande inspiration alors qu’il aperçoit enfin la Mercedes s’avancer au loin. Il lisse rapidement les manches de sa chemise alors que ses pas le mènent rapidement au salon du bas, prêt à accueillir son vieil amant. Un sourire de façade déforme ses lèvres, vide de chaleur, vide de vie. Seulement présent pour donner un élan agréable à une conversation qui risque de l’être beaucoup moins, compte tenu du ton glacial sur lequel Denton choisit de la commencer. Le vampire ne s’en formalise pas. Visiblement il n’a pas encore fini sa crise d’adolescence retardée. « Allons Deandre. » Il fait quelques pas en sa direction, l’invitant d’un geste du bras à le suivre dans la prochaine pièce, vers la table qu’il a fait dresser pour l’occasion. « Ne parlons pas tout de suite des sujets qui fâchent. Où sont passées tes bonnes manières ? » 
Denton: Tout est prévisible. Sa venue, sa posture, ses manières, jusqu’à son discours. Denton se doutait même que la table aurait pu être mise, comme si de rien n’était. Un tel niveau de déni ne devrait même pas être envisageable. « Si tu trouves que j’ai perdu ma politesse, attends de voir ce que cela pourrait donner si tu insistes. » Le ton du chasseur d’âme ne s’est pas réchauffé, loin de là. Il est vrai que ce n’est pas dans l’habitude de Denton d’oublier ses manières, encore moins lorsqu’il s’adresse à quelqu’un qui fut pendant des années son supérieur… Une supériorité qui a perdu de sa superbe avec les années. Appeler cet homme un Duc n’était qu’une farce bonne seulement à le replonger dans sa vanité. Les siècles ont passé, et aujourd’hui, ils sont égaux. Ou alors Denton n’a vraiment rien compris à l’abolition de l’esclavage. Le chasseur d’âme soupire, retirant sa veste de costume en regagnant le sofa, ignorant par le même temps la proposition d’Eadun de rejoindre l’étage. Si il a eu une vague à l’âme en le retrouvant il y a encore quelques minutes, celle-ci a d’ores et déjà cédé sa place au mépris face au comportement qu’adopte son compagnon. « Je préfère qu’on rentre directement dans le vif du sujet. De mon côté, je n’ai pas de temps à perdre. » Rajoute Denton comme en rappel à cette phrase qu’il avait entendu plusieurs fois de la bouche de son ex-amant. Avec un air décidé, le démon lève finalement le regard vers le vampire et ses grands yeux bleus, ne trouvant dans ceux-ci que l’immense vide qui est le sien depuis trop longtemps. Un vide que Denton a essayé de combler en vain. C’est dur de se dire qu’il n’y a probablement rien à faire pour lui. L’ancien valet ne peut pas s’empêcher de ressentir de la compassion pour l’ancien Eadun qu’il aimait tant. Celui qui a offert le monde à son serviteur… Mais sans jamais lui donner la liberté. Une liberté que Denton n’avait pas le choix que de prendre de force aujourd’hui. « Je ne partirai pas avec toi. »
Eden: Eden doit presque se retenir de ne pas rouler des yeux alors que son ancien partenaire décline sa proposition d’un ton assassin. Il est tout de même dommage de ne pas profiter d’une bouteille de vin si raffinée, tout ça pour cette histoire de rébellion. Le vampire ne dit pourtant mot, se contentant de rejoindre à son tour le sofa d’un pas lent. Si leur première dispute avait pu ébranler quelque chose en lui, cela n’est plus le cas aujourd’hui. Les réactions hostiles du démon étaient prévisibles, bien qu’encore incompréhensibles aux yeux d’Eden. Son regard se visse dans les iris clairs de son valet, comme il l’a si souvent fait. Quand il l’écoutait lui confesser son amour, par exemple. Fut un temps où il lui répondait par la réciproque. Mais petit à petit, le temps et la profonde détresse qu’il lui a apporté l’a rendu imperméable à ce genre de sentiments. Comme si sa mélancolie était venue gommer sa capacité à ressentir, sans qu’il ne puisse jamais trouver le moyen de la retrouver. À vrai dire, il n’avait même jamais cherché à la récupérer. Il était finalement plus simple de parcourir les siècles sans être affecté d’une manière ou d’une autre par les rencontres ou les événements. L’arrivée de François dans leur vie avait momentanément changé les choses, mais la situation était déjà bien différente désormais. Depuis que le français s’était fait rattraper par sa condition humaine, cela n’avait fait que renforcer la croyance déjà bien profonde d’Eden de s’éloigner des humains. De ces êtres fragiles, mortels, qui n’avaient comme destin que de mourir après une vie trop courte pour être signifiante. Au final, seul Denton et lui comptaient réellement. Attrapé dans le filet de ses pensées, le vampire se sent revenir au moment présent alors qu’il entend de nouveau la voix ferme de son compagnon remplir la pièce. « Oui, tu l’as déjà mentionné la dernière fois. » Balaie-t-il d’un geste de la main. Il prend place dans l’immense fauteuil pourpre non loin. « Je suis curieux, Deandre. Qu’est-ce qui peut être si important ici ? Nous avons fait rapidement le tour de la ville, je crois. »
Denton: « Je l’ai déjà dit, oui, alors je ne comprends pas pourquoi tu es encore là. » Denton réplique directement, d’un ton plat et neutre, ressemblant plus à sa manière de s’adresser à n’importe qui qu’à la chaleur de ses échanges passés avec Eden. Comme si le feu s’était éteint progressivement, et qu’ils vivaient désormais dans un éternel hiver qui avait enseveli leur amour sous la neige. À se demander même si c’est un sentiment qu’Eadun avait déjà ressenti. Ce vide à l’intérieur de lui prenait tellement de place qu’il commençait même à se faire tout autour. Le chasseur d’âme allait le laisser seul. Cette idée lui paraissait impensable pendant si longtemps qu’il cherchait encore à se débarrasser de l’espoir de voir son ex-amant changer un jour. Force était pourtant de constater que son optimisme n’était pas honoré. Eden prend place sur le canapé, Denton le toise en entier, comme si il essayait de trouver une parcelle de lui qui trahirait un tressaillement, ou une inquiétude… Rien. Finalement pourtant, Eden vient lui poser la question qu’il semblait attendre, et le professeur d’art a l’occasion de découvrir si la réponse qu’il fournit déclenche quelque chose. « Il y a quelqu’un. Une jeune humaine. » La précision est peut-être une attaque fatale. Le chasseur d’âme y met une sincérité remarquable. Kaya serait fière de lui. « Nous nous fréquentons. Je suis attaché à elle, et je veux rester ici. » Une légère crainte voit le jour à l’intérieur de Denton maintenant que la bombe est lancée. L’idée de mettre potentiellement en danger Kaya est ce qui l’effraie le plus. Il allait devoir faire en sorte de la protéger si ce plan devait vraiment continuer sur sa lancée. Il sent ses muscles se tendre alors qu’il se penche vers Eden, avec quelque chose de nouveau dans le regard. Une recherche de quelque chose qu’il n’obtiendra certainement pas: de l’approbation. « Je veux vivre pour moi, Eden, maintenant. » 
Eden: Eden sent le regard du démon le scruter de bas en haut et il ne peut pas dire que ça lui déplaît. Ce n’est pas encore le type d’attention qu’il attend de lui mais c’est un début, après des semaines entières à être ignoré comme un malpropre. Bien qu’il ait du mal à identifier exactement ce qui se joue à l’intérieur de l’esprit de Denton, il sait que sa présence doit tout de même avoir son impact. Cette idée vient nourrir son ego mis à mal par les derniers événements. Le vampire maintient le contact visuel alors qu’il reprend la parole d’une voix plus douce. « Je suis là pour toi, Deandre. Tu sais combien tu es important pour moi. » Son dos s’enfonce un peu plus dans le dossier du sofa, prenant peu à peu ses aises tout en veillant à ne pas venir froisser son costume fraîchement acquis. Il ne va quand même pas laisser cet discussion inconvenable abîmer cette si jolie veste importée d’Europe. Il est d’ailleurs toujours occupé à épousseter sa manche lorsque le démon lui répond finalement. Un fil se tend instantanément en lui. Eden se fige et lève de nouveau les yeux vers son ancien amant. Son regard planté dans le sien comme une flèche qui veut atteindre sa cible. Il garde le silence pendant quelques secondes, écoutant d’une oreille attentive les détails qui viennent se rajouter. Une jeune humaine. Attaché à elle. C’est d’un pathétique. Ce n’était pourtant pas la première fois qu’il apprenait que Denton fréquentait une humaine. Le démon avait pu faire ce drôle de choix par le passé. Eden avait déjà aperçu cette même brune sortir de la dépendance à plusieurs reprises - ce qui n’avait pas manqué de le faire rouler des yeux à chaque fois. Mais il n’avait jamais parlé d’attachement, pas plus pour une humaine que pour n’importe qui d’autre, depuis un long moment. Et pour cause, son attachement et son attention se devaient de lui être réservés. Et voici qu’il se mettait à défier ses décisions et ignorer ses appels parce qu’il s’était attaché à une jeune humaine ? La conversation devenait grotesque. Son regard ne flanche pas alors qu’il prend finalement la parole, la mâchoire serrée. « Je vois. C’est une nouvelle pour le moins insolite. » Son ton est froid et sec, comme prêt à clore immédiatement le sujet. Mais Denton n’a pas l’air de vouloir de s’arrêter là. Il se penche vers lui et le vampire le suit attentivement des yeux, tenté par l’idée de s’emparer violemment de ses lèvres pour les empêcher à jamais de prononcer ces mots ridicules. « Nous fonctionnons à deux, Deandre. Comme ça a toujours été le cas depuis notre plus tendre enfance. » Répond-il spontanément. Sa main s’aventure sur le genou du brun et il doit se retenir de ne pas s’y agripper plus fermement.
Denton: Les paroles d’Eden n’ont probablement pas l’effet escompté sur Denton. Elles ne font que rappeler au chasseur d’âme quel imposteur il est. Deandre n’est pas important comme une personne — il est nécessaire comme un valet, ou comme une compagnie pour que les vieux jours de son maître se fassent moins longs et tristes. Il n’est pas important, non, sinon il aurait eu ce qu’il voulait depuis longtemps. Le démon prend conscience en le regardant que tout chez Eden est superficiel : ses manières, ses paroles et ses actes… jusqu’à cette maison proprement décorée, vide de vie, et cette scène particulièrement triste sur laquelle se jouent leurs retrouvailles ratées. Tout n’est qu’une surface bien lissée pour cacher cet intérieur sans écho. Le chasseur d’âme ricane faiblement, laissant entendre à quel point les propos du vampire lui paraissaient critiquables. Il n’en rajoute rien. La suite de la discussion se contente de faire son travail. C’est presque comme si Denton pouvait entendre les pensées bien cachées de son ex-amant, qui se contente de serrer les dents pour cacher son désarroi. Sûrement plein de haine pour les humains, sûrement effaré d’entendre que l’affection du chasseur d’âme ne lui était plus réservée. « Je comprends que tu sois surpris. Mais j’aime cette fille et je ferai de cette relation ma priorité, tant que je resterai ici. » Denton rajoute alors qu’il voit les traits de Eadun se tirer encore plus. Plusieurs fois au cours des siècles, Eden avait tenté de reprendre son pouvoir sur son amant par des biais discutables. A chaque fois qu’il avait senti Denton s’éloigner, il avait toujours réussi à le remettre dans ses filets, que ce soit à coups de chantage affectif, avec du sexe, ou par des attentions. Il avait toujours réussi. Si ce n’était pas la culpabilité alors l’espoir faisait revenir Denton vers Eden. Aujourd’hui, il n’était plus nourri par ni l’un ni l’autre. L’amour s’était fané avec la passion : Eadun se contentait de faire ce qu’il fallait, de lui donner un semblant d’affection pour le faire rester. Comprendre cette manipulation était cruel, alors qu’en plus il le voyait précisément refaire la même chose à cet instant précis. Avec ses paroles tendres, une main sur son genoux qui aurait suffi à une époque à faire acquiescer Deandre tellement l’affection d’Eadun était discrète. Le chasseur d’âme soupire. Il ne peut pas dire que ce moment n’est pas douloureux. Il pose en retour sa main sur celle du vampire, la serrant avec la force qui était la sienne, se nourrissant un instant du contact de la peau froide d’Eden comme si il sentait que c’était la dernière fois qu’il pourrait en profiter. Ses yeux se vissent dans ceux du vampire, sans plus essayer de cacher la peine qui est la sienne. « Eadun, tu fonctionnes tout seul et moi je te suis. Ce n’est pas être un duo, selon moi. » Denton annonce, le calme étant revenu dans sa voix, maintenant que la colère laissait sa place à la mélancolie. Il sait pour autant que peu importe le ton qu’il emploie, ses paroles ne seraient sûrement pas entendues par son ex-amant. Denton penche son visage encore un peu vers Eden, comme si il essayait de mieux voir ce qu’il ressentait, toisant ses grands yeux bleus, s’arrêtant un instant en contemplation de ses lèvres auxquelles il aimerait dire au revoir avec la même passion qu’autre fois. « Je veux juste être heureux, Eadun. Pour ça, je dois reprendre ma liberté. » Le chasseur d’âme admet finalement avec sincérité.
Eden: Les mots que libère peu à peu le démon sont comme des gouttes d’huile jetées sur un feu déjà brûlant. Un feu qui se propage dans tout le corps d’Eden, venant réveiller des sensations qu’il aurait cru disparues depuis longtemps. Elles lui semblent si lointaines, si étrangères qu’il serait incapable de les lier à une émotion particulière. De la colère ? De la jalousie ? De la tristesse ? Il n’en a aucune idée. Il peut simplement ressentir la contraction de ses muscles qui s’intensifie jusqu’à en être douloureuse. Son interlocuteur serait déjà mort si ce n’était pas Denton. Le contact de sa main sur la sienne aurait pu venir calmer cette tempête, y remettre du sens, comme ça avait si souvent été le cas. Le vampire n’avait jamais compris ses émotions. Même lorsqu’il était encore humain, il n’arrivait pas à les reconnaître, ni à les gérer. Sa transformation était venue à la fois compliquer et faciliter ce travail. Mais cela lui importait peu - il avait Denton. Pour l’apaiser, pour le comprendre, pour le suivre quel que soit le chemin pris. Pour le sortir des ténèbres lorsqu’elles devenaient trop profondes et qu’elles venaient créer un fossé entre la réalité et son esprit. Pour l’aimer, au fil de ses longues années, et nourrir un ego aussi vide qu’immense. Qu’il puisse parler d’amour pour quelqu’un d’autre n’est pour le Duc qu’une trahison immonde à l’ordre des choses. Si une petite part de lui perçoit la peine dans le regard de son vieux compagnon, elle est trop faible pour être entendue. Balayée sous le désespoir de perdre la seule chose qui le maintient dans cette vie en réalité si pauvre de sens. Toutes ses fondations s’effondrent et éclaboussent tout ce qui l’entoure. Eden bondit brusquement sur ses pieds, envoyant valser la table basse qui se trouvait à côté. Il fait quelques pas avant de se retourner vers le responsable de ses maux. Celui qui l’abandonne. Sa voix remplit la pièce de sa violence. « Parce que tu penses que ce sera ça, la liberté ? Chérir une humaine dont la mortalité ne te rendra que prisonnier de cet amour ? » Son regard n’est que mépris alors qu’il laisse échapper un faible ricanement. « En un claquement de doigts tu n’auras plus que le loisir de la regarder se décrépir, et tout ton temps pour la pleurer une fois que tu l’auras enterrée. » Ses mots claquent sèchement dans le silence de la pièce. Eden se rapproche de nouveau de son ancien amant et vient encadrer son visage de ses mains, avec une tendresse si éloignée de ses actes précédents. Il reprend d’une voix douce, cherchant à s’infiltrer dans ses iris clairs. « Les êtres comme nous ne sont pas faits pour fonctionner avec eux. C’est pour ça que la vie m’a fait le cadeau de te mettre sur ma route. Toi seul peux m’accompagner. » Il laisse ses doigts glisser sur la peau de Denton. « Et moi seul peux te rester. »
Denton: De la sincérité. Précisément ce qu’attendait Denton depuis des siècles. La culpabilité revient pétrifier le coeur de Deandre. Pendant un court instant, il se met même à douter. Est-ce réellement la bonne chose à faire ? Est-ce que ce mensonge est nécessaire ? Sûrement, sinon sans lui il n’aurait jamais eu le courage de partir. Sans lui, non plus, il n’aurait jamais eu accès au Eden qu’il découvre de nouveau maintenant : celui qui ressent quelque chose. Aussi confus ses sentiments soient-ils, aussi violemment sont-ils exprimés — ils sont tangibles. Ils sont plus que Eadun n’avait montré pendant des siècles. Denton se lève à son tour. Les mots de son ex-amant glissent sur le chasseur d’âme comme des gouttes de pluie. Pour cause, il a déjà une réponse qu’il a tournée mille fois dans sa tête à lui offrir : « Il y aura sûrement de la douleur, mais au moins j’aurais ressenti quelque chose. J’aurais aimé et j’aurais été aimé en retour. Le jeu en vaut largement la chandelle. » Deandre impose la réalité de la situation à Eden avec ces quelques mots. Une humaine pourrait lui offrir mieux. C’est sûrement affligeant à entendre pour un vampire avec aussi peu de conviction en l’humanité. Humanité de laquelle il s’était déconnecté depuis longtemps, comme si le fil qui le rattachait à ses émotions avait été coupé. Il avait presque réussi à tailler celui de Deandre en l’enfermant dans cette cage hermétique avec lui, en lui faisant oublier tout le reste jusqu’à ce qu’il n’y ait plus que lui qui compte. « Toi seul peux m’accompagner » Le chasseur d’âme est replongé quatre-cents ans en arrière. Il se revoit fermer la porte à clé derrière sa femme et son fils en pleine nuit, pour éviter qu’ils le suivent lorsqu’il acceptait ce pacte et cette malédiction. Il sent de nouveau le sang couler sur ses mains, celui des meurtres et des manipulations. Tout ça par amour pour Eden. Est-ce que cela en valait vraiment la chandelle, justement ? « Moi seul peux te rester. » À côté de ça, il réentend le rire dont le son ne lui est plus parvenu aux oreilles depuis des années. Il repense à tous ses baisers échangés secrètement dans les couloirs… Au bonheur qui fut pendant un trop court instant le leur. Du fidèle serviteur il était devenu l’amant, le grand amour… pour redevenir l’amant, puis le serviteur. Il ne s’agissait pas d’amour, non. Il s’agissait de dévotion, il s’agissait de pouvoir. Jamais ils n’avaient été égaux. La douceur de la voix d’Eden arrête le temps pendant un moment. Deandre aurait envie de se laisser enivrer par ce toucher qui lui manque tant. Il ferme les yeux un instant, tentant de se rappeler qu’il renonce à tout ça pour les bonnes raisons. Quand il les réouvre, il se plonge dans le regard du vampire, qu’il sent respirer si près de lui. À cet instant, il sait qu’il n’a plus le choix. Denton comprend ce qu’il doit faire. « Je suis désolé, mon amour. » Il murmure avec tristesse, avant de briser l’écart qui le séparait de son ex-amant et de plaquer ses lèvres contre les siennes. Il lui offre un ultime baiser maudit, brutal et pourtant plein de tous les sentiments qui étaient ceux d’avant, avec la force de plusieurs siècles d’abnégation. Dans cette ultime étreinte, le chasseur d’âme rassemble ses pouvoirs pour offrir une vision à Eden. Ce qu’il aime appeler le ‘futur conditionnel’. Cet ‘et si’ qui pourrait tout changer. La même vision dans laquelle il plonge les âmes qu’il souhaite conquérir. Sauf que cette fois-ci, cette image arrive dans le sens inverse. Et si Eden avait de nouveau une âme, qu’est-ce qui se passerait ? Défilent devant les yeux des amants les images les plus idéalistes possible. Denton et Eden privés respectivement de leurs pouvoirs, les paysages pluvieux de l’Angleterre, le son du piano, et la joie sur leurs visages. Tout pourrait être à eux. Si seulement il en était ainsi. C’est sur ce ‘si’ que Denton s’extirpe des bras d’Eden, profitant des quelques instants que dure la vision pour s’évincer et passer la porte du manoir. A l’instant où ses pas l’ont guidé dehors, il ressent toute la douleur de cette séparation paralyser ses entrailles. Si il pouvait pleurer, probablement qu’il le ferait. Il descend rapidement jusqu’à sa voiture pour agrandir l’espace entre lui et Eden, le rendre aussi réel que l’était leur échange. Quand il démarre, il prend une large inspiration, sentant l’air de l’indépendance creuser ses poumons. « C’est fini. » Il lâche maintenant, comme pour s’en convaincre lui-même.
Eden: Un sentiment étrange s’installe brusquement dans tout le corps d’Eden alors que le regard de son compagnon lui est finalement interdit. Ce n’est pas la première fois qu’il peut observer que Denton lui file entre les doigts. Il avait toujours trouvé un moyen de le faire rester, sans s’embarrasser d’une quelconque morale concernant le moyen utilisé. Après tout, il faisait ça pour son bien, pour lui rappeler où était sa place. Mais à cet instant, il sent que quelque chose ne tourne pas rond. Que cette fois-ci est différente. Il n’obtient pas la réaction voulue et ça ne lui plaît pas. Le souffle du vampire s’accélère sans qu’il ne s’en rende compte, en proie à une vague d’une émotion qu’il n’était plus du genre à ressentir depuis longtemps. Une émotion indigne de l’être qu’il était devenu. De la panique. Oui, Eden est totalement paniqué de se rendre compte que Denton lui échappe. S’il avait fait en sorte de s’ériger depuis toutes ces années comme le centre du monde du démon, c’était bien parce que la réciproque était vraie, sans qu’il ne puisse même se l’admettre à lui-même. Le temps lui avait tout pris. Sa famille, son titre, ses sentiments, son insouciance. Et voilà qu’il lui prenait Denton. Ses doigts s’accrochent un peu plus à la mâchoire tranchante du démon alors que ce dernier lui offre finalement un regard. Mais il ne peut plus s’y accrocher. Il y voit une lueur de détermination qui le repousse, venant dérailler quelque chose au creux de son ventre. Le contact violent de ses lèvres sur les siennes ne lui offre qu’une réalité tout aussi brutale. Ce baiser n’a de goût que tout ce qu’il a perdu. Denton s’en va. Il le laisse. Cette idée n’a pas le temps de faire le tour de son cerveau qu’il est assailli d’images. Des images qu’il ne comprend pas, transpirantes d’un bonheur irréel qui lui semble si lointain. Ça en est insupportable. Il les voit allongés, leurs corps nus enveloppés sous les couvertures, le visage illuminé par la joie. Il voit les paysages d’un pays qui n’est pourtant plus le sien, théâtre d’un bonheur qui ne s’y est jamais joué. Cette vie n’a jamais été la sienne et ne le sera jamais. Les images s’estompent peu à peu et le vampire bat des paupières à plusieurs reprises, haletant. Il se sent si fragile qu’il doit se rattraper au buffet non loin. Son regard se perd dans tous les recoins de la pièce, de peur d’y entrevoir une nouvelle vision de ce futur qu’il nie en bloc. Comment cela pourrait être possible ? Comment pourrait-il accepter d’être de nouveau humain ? Les visions le hantent encore, l’effrayant par leur optimisme qu’il sait pertinemment faux. Denton se trompe. Avoir une âme est un problème de plus dans l’équation, pas la solution. Le vampire maudit dans un hurlement les foutus humains qui ont pu lui mettre ces idées dans le crâne. Il hurle ce qu’il ne reconnaît même pas être sa peine. Il crie l’absence cruelle de Denton à ses côtés, il crie tous les sentiments qui n’avaient pas fait surface depuis toutes ces années. Et maintenant qu’ils sont là, lui, est seul. Terriblement, affreusement seul.
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 126
J'émerge seul dans mon lit, il est 13h passée. Remise en mémoire de la touze de la veille, je jette un coup d'oeil à la piscine, pas de trio en vu. Je croise Manu qui me demande où j'étais la veille. En deux mots je lui dresse le tableau. Il me dit que j'aurais pu le brancher sur ce coup. Je lui dis que la prochaine touze je ne l'oublierais pas. Nonchalamment, j'étire mes muscles dans un crawl paresseux. A cette heure de la journée les beaufs déjeunent et j'ai la paix. Une heure plus tard je sors et tombe sur Bo-gosse et sa moitié en terrasse à me mater. Je m'assois à leur table et d'un regard interroge le plus vieux. Réponse aussi brève : le trio. OK ! Manu se ramène avec un croc et une bière fraîche. Sans un mot, je déjeune. Bo-gosse parle. Il me dit que nous pourrions aller à notre rendez vous sur la plage. J'aime cet humour !
Je monte chercher clef de voiture, huile et drap de bain. Ils sont dans le hall à m'attendre. Bo-gosse me montre sa caisse, une Audi A5 RS flambant neuve. Je montre la mienne, BM Z8 ! Il me fait un signe qu'il a compris et il démarre. Je le suis. Volontairement, il me laisse voir sa moitié se pencher sur lui et je n'ai pas besoin de beaucoup d'imagination pour savoir qu'il lui fait une pipe. ;Bo-gosse se gare, je place le Z8 à coté et kpote. Pas la peine de faciliter le travail des voleurs. Malgré ses efforts, Bo-gosse bande encore à moitié quand il me rejoint. Promenade jusqu'à la plage et direct à l'océan. Retour aux serviettes. Moitié se met nu et attaque la protection de Bo-gosse. Ce dernier me propose ses services. OK et le voilà qui me huile le corps. Ce n'est pas un étalement de crème, c'est un réel massage délassant.
Nous passons l'après midi avec au maximum 20 mots de chacun de nous. Quel calme ! Et nous prenons un ton de plus coté bronzage. Moitié nous quitte quelques instants pour aller voir qui traine dans les sous bois. A son retour, nous avons droit à un résumé : une bonne partie de vieux même pas beaux, quelques jeunes en manque de bites, il s'est fait sucer par trois mecs mais sans aller jusqu'au bout, et il est tombé deux fois sur de l'action mais rien de transcendant. Comme nous partions, Bo-gosse me propose de passer chez eux. OK. Je les suis jusqu'à une villa assez proche de celle de la veille. Portail automatique et nous rentrons les voitures. Grosse villa avec piscine. Plongeon direct dans cette dernière histoire de se dessaler. A notre sortie, Moitié nous sert un apéro et s'attaque à nos shortys de bain. Je laisse faire et bientôt ma bite disparait entre ses lèvres. Il me fait durcir avant de passer à son mec. Quand ce dernier est bien dur, il alterne entre nos deux queues. Il suce bien ce petit ! Penché sur nous, il arrive à avaler correctement mes 20 cm (normal puisqu'il arrive à bouffer les 24 de son mec !). C'est très bon et fait baisser la tension psychologique qui régnait entre nous.
Je confie à Bo-gosse qu'il a un expert dans Moitié. Il me répond qu'encore là ce n'est qu'un avant goût. Je n'ai pas encore finit mon verre que ce dernier m'enkpote et s'assoit sur ma bite. Avec juste le gel de la kpote, il arrive à s'assoir sur mes cuisses. Arrivé au plus bas, ma queue au plus profond de lui, il me fait un ballet avec son anus, succession de serrages et relâchements, un véritable massage de bite. Il se relève et part s'assoir sur son mec. Je regarde et les 24cm disparaissent avec la même facilité. Moitié va entretenir nos raideurs comme ça pendant un bon moment jusqu'à ce que Bo-gosse me demande de le rejoindre. Oui, j'ai bien compris, il veut que nous double sodomisions Moitié. Docile Moitié se couche sur son mec et j'enjambe la méridienne sur laquelle ils sont installés. Je pose mon gland à l'entrée de Moitié et attend que sn mec ressorte.
Il le fait ne laissant que le bout de son gland dedans. Je colle le mien enkpoté sous sa couronne et dans un même mouvement, nous pénétrons Moitié. Léger soubresaut de sa part, mais nous l'investissons relativement facilement. La présence de nos deux queues lui tire quelques gémissements incontrôlés. Mais vu le coeur qu'il met à se limer dessus, c'est du plaisir qu'il en tire. Ma bite reste bien collée contre celle de Bo-gosse. Comme je me souviens de ma propre saillie, la veille, je me couche sur Moitié et mord un de ses trapèzes. Son gémissement se transforme en cri de plaisir. Bo-gosse me fait un clin d'oeil. Je prends les choses en main si on peut dire et fixe Moitié sur le torse de son mec, ne prenant pas ses protestation de couilles écrasées en compte. Dans cette position, je peux limer activement le trou massant de mon gland la hampe qui l'occupe avec moi. Ça a l'air de bien leur plaire. Je glisse sur tous mes 20cm et monte en pression sous l'action massant de son sphincter. Bo-gosse me souffle qu'il ne va pas tarder. J'accélère et m'enfonce une dernière fois à fond et dans une dernière morsure, je me vide. Bo-gosse remplit le cul de Moitié en direct et ce dernier tapisse les abdos de son mec. Je me retire avant de débander. C'est amusant de sortir d'un cul Kpoté avec plein de sperme dessus, comme si la kpote avant craquée. Je vérifie quand même mais c'est bien le sperme de Bo-gosse qui est dessus et le mien dedans. Moitié se dégage et lèche son sperme. J'admire la maitrise de son anneau, quand il a déculé son mec, pas une goutte de sperme n'est sorti, beau travail.
Nous avons finit l'apéritif plus calmement. Comme la villa ne dispose que de quoi faire les petits déjeuners et les apéros, Bo-Gosse me propose un restau à Royan. OK. Je pars à l'appart m'habiller et ils passent me prendre. Quand j'arrive à la résidence le trio me saute dessus pour me demander où j'étais. Je n'ai pas de compte à leur rendre ! Ils m'énervent et je les éjecte un peu durement. Short long kaki, chemisette blanche et baskets de marque, je suis prêt. Je m'engouffre à l'avant de l'A5, et nous partons. Pas mal comme caisse, silencieuse, confortable... Moitié se détache pour venir m'enlacer avec le dossier et me faire des bisous dans le cou. Engueulade de Bo-gosse, non pour les bisous mais pour la ceinture de sécurité. Il était temps nous passons devant une paire de Motards. Le diner est parfait même si notre trio attire les regards. Parmi une majorité de quinquagénaires bedonnants avec mémère et parfois petit dernier aux basques, il est vrai que sortons du lot ! Les serveurs ne s'y sont pas trompés et nous sommes servis avec un zèle à rendre jalouses les autres tables. J'en apprends un peu plus sur le couple qui m'invite. Bo-gosse a une galerie d'art à Paris et Moitié est un de ses artistes. Ironiquement je demande s'il peint avec son sperme, ce dernier sans se démonter me dit que cela lui arrive d'en mélanger avec ses couleurs. Nous en rions tous les trois.
A la fin du dîner comme Bo-gosse tient à m'inviter, je laisse le pourboire. Comme ils étaient deux à nous servir, j'abandonne 2 x 50€, pas question de paraitre pingre, et puis c'est moins que le montant du dîner. Le jeune serveur me rattrape avant la porte pour me dire que la note avait déjà été payée. En souriant je lui dit que c'est leur pourboire. Il me remercie. J'offre à mes nouveaux amis un dernier verre à l'appart. Je commande les cocktails au restau du rez-de-chaussée. Bo-gosse trouve cela très pratique. Manu nous les apporte et comme il a terminé son service il a ajouté un quatrième verre et me demande s'il peut rester. Je n'ai pas le temps de répondre que Bo-gosse dit oui. Je fais les présentations et dis de se mettre à l'aise. Bo-gosse jaillit de ses vêtements pour nous apparaître en slip ES, Moitié de même et Manu en shorty Hom. Beau joueur je quitte mes habits pour rester en Aussiebum.
Comme nous sirotions nos cocktails, Manu et Moitié ont trouvé que cela manquait d'action et je me suis retrouvé avec Moitié entre les jambes qui s'attaquait à mon slip quand Manu faisait de même sur Bo-gosse. L'élastique sous les couilles, cote à cote, nous nous sommes fait bouffer la bite. Manu ne m'a pas fait honte et sans problème à pris les 24cm dans sa gorge. Moitié qui pensait surement être un des seuls à pouvoir le faire en a été un peu jaloux. En me penchant, j'ai mis ma main dans le slip de Moitié pour aller lui tâter la rondelle. Comme quelques heures auparavant, elle était souple et prête à s'ouvrir.
Manu étant dans le même état et comme je désirais de nouveau prendre les 24cm dans mon trou, je propose une brochette où Manu enculerai Moitié, tout en se faisant prendre par moi-même qui subirait la loi de Bo-gosse. Aussitôt proposé aussitôt mis en application. Sur le tapis, nous nous enfilons à la suite. C'est quand même très bon d'être en sandwich. Quelques instants pour trouver le rythme successif qui fait que nous en avons tous pour notre plaisir. J'apprécie fortement les 24cm de Bo-gosse qui me défoncent le cul. Les mouvements s'amplifient et nous nous séparons en deux couples. Je prends mon pied à me faire démonter l'anus et Manu lui apprécie d'être actif (position qu'il a rarement). Décollés, alors que je me fais prendre par derrière, je me rapproche de Manu qui baise Moitié de face. Ma bite prend place au dessus du visage de Moitié qui me bouffe les couilles pendant que Manu penché en avant me suce la queue. Là ça devient très très bon ! C'est dans cette position que nous jutons tous les uns après les autres. Je jute sur les épaules de Manu, je contracte mes muscles anaux et essore la bite de Bo-gosse. Manu se retire juste à temps pour gicler sur le ventre de Moitié qui y ajoute son propre sperme.
Remerciements réciproques pour la soirée et seul Manu reste avec moi. Je ne veux pas rester seul en ce moment.
Nous nous sommes revus plusieurs fois avant que la semaine ne se finisse et que je rentre à la maison. Nous serons amenés à nous revoir, j'ai pris l'adresse de la galerie de Bo-gosse. Le trio de copains m'ont fait la gueule de m'être réservé mes nouveaux amis. C'est leur problème, après tout, ce ne sont que des rencontres de vacances !!
Retour à la maison. Marc est en déplacement, je me pose et réfléchis un peu à mon avenir.
JARDINIER
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aurevoirmonty · 1 month
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Qu’est-ce que la France est censée faire exactement ? Enfin, cette armée multiraciale française dont la république dispose, avec ses généraux à têtes de cocus dont les seuls faits d'armes sont d'avoir géré la distribution de sacs de riz en Somalie ou des patrouilles dans les gares grands-remplacées d'île de France. Macron, ce roquet manièré qui n'a pas d'enfants a besoin d'une bonne leçon.
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chic-a-gigot · 7 months
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Le Petit écho de la mode, no. 40, vol. 17, 6 octobre 1895, Paris. Deux vêtements-prime. Collet à 23 fr. 90. Jaquette à 17 fr. 25. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Vêtements prime. — Pour répondre aux désirs exprimés par nos lectrices do voir paraître des vêtements pour dame à des prix modérés, nous leur offrons aujourd'hui deux modèles nouveaux et simples. Le 1 er est un collet garni de baguettes piquées et d’un col de velours. Nous l’établissons en trois prix: le 1er en foulé de laine noir bonne qualité, sans être doublé, à 23 fr. 90; doublé, à 25 fr. 95, Le 2., en même tissu qualité supérieure, sans être doublé, à 25 fr. 90; doublé, à 29 fr. 95. Le 3. en taupeline noire, sans être doublé, 28 fr. 90; doublé tricotine, 34 fr. 85. Le 2. modèle, jolie jaquette forme nouvelle, haute nouveauté, trois prix également: le 1er prix, diagonale noire bonne qualité, sans être doublée, à 17 fr. 25; doublée, 21 fr. 25. 2 e prix, même tissu qualité supérieure, sans être doublée, 18 fr. 95; doublée, 24 fr. 95. 3. prix, en cheviotte noire, sans être doublée. 23 fr. 95; doublée tricotine, 29 fr. 95.
Les doublures de ces vêtements se font noires ou de teintes foncées. Adresser mandat-poste à M. Orsoni, 67, rue de Grenelle, pour recevoir franco en gare ces vêtements prime. Mesures à envoyer pour le collet: 1. contour sur les bras; 2. encolure. Pour la jaquette: 1. largeur du dos; 2. longueur du dos, prise du pied du col a la taille; 3. largeur du devant; 4. contour sous les bras, pris au plus fort de la poitrine; 5. contour des hanches; 6. épaule; 7. tour de taille. Les vêtements sont expédiés dans les huit jours qui suivent la réception de la commande.
Premium outerwear. — To respond to the desires expressed by our readers to see women's clothing available at moderate prices, we are today offering them two new and simple models. The 1st is a collar garnished with stitched sticks and a velvet collar. We establish it in three prices: the 1st in good quality black wool, without being lined, at 23 fr. 90; doubled, at 25 fr. 95, the 2nd, in the same superior quality fabric, without being lined, at 25 fr. 90; doubled, at 29 fr. 95. The 3rd in black taupeline, without being lined, 28 fr. 90; lined tricotine, 34 fr. 85. The 2nd model, pretty jacket in the new shape, high novelty, three prices also: 1st price, good quality black diagonal, without being lined, at 17 fr. 25; doubled, 21 fr. 25. 2nd price, same superior quality fabric, without being lined, 18 fr. 95; doubled, 24 fr. 95. 3rd price, in black cheviotte, without being lined. 23 fr. 95; lined tricotine, 29 fr. 95.
The linings of these clothes are black or dark shades. Send money order to Mr. Orsoni, 67, rue de Grenelle, to receive these premium clothes free at the station. Measurements to send for the collar: 1. outline on the arms; 2. neckline. For the jacket: 1. back width; 2. back length, taken from the collar to the waist; 3. front width; 4. contour under the arms, taken at the fullest point of the chest; 5. hip contour; 6. shoulder; 7. waistline. Clothing is shipped within eight days of receipt of the order.
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kf2024london · 2 months
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💂🏻‍♂️ Quartier de Bethnal Green
On repart depuis la Gare de Saint Pancras pour récupérer nos sacs, et cette fois-ci, il fait beau 🌞 On passe devant l’entrée Plateform 9 3/4 d’Harry Potter mais l’attente était immense pour juste prendre une photo… j’ai donc fait ce que j’ai pu 😹
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Puis retour vers chez nous, à quelques mètres de l’ancien logement de Lou !
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D’ailleurs on ne savait pas Lou, que tu tagguais les murs 🥸
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Et on termine cette journée par un petit musée très instructif au dessus de chez nous 🩸 que je ne peux pas commenter et ai dû retirer des photos car mon premier post a été supprimé… 😹
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Voilà pour cette première journée !
On ne va pas trop veiller ce soir, demain matin on se lève tôt 🏃🏻‍♂️ 🏃🏻‍♀️
Bonne nuit la mif’ ❤️💙
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unesimplevie · 3 months
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J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.
Pour beaucoup, la vie se résume à essayer de monter dans le train,
À connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
Pour beaucoup, l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur...!!!
(Grand Corps Malade)
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