Tumgik
#bibliothèque publique
ppwbm-blog · 5 months
Text
La bibliothèque publique de San Francisco lance un service de streaming pour la musique locale
La Bibliothèque publique de San Francisco (SFPL) a officiellement lancé sa nouvelle plateforme de streaming musical , Bay Beats, en partenariat avec le magasin de musique indépendant Amoeba . Faire l’actualité : le service gratuit présente les talents de la Bay Area, et la bibliothèque prévoit d’organiser des événements et des concerts en personne avec les artistes mis en avant. La plateforme a…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
garadinervi · 1 year
Photo
Tumblr media
Serge Gainsbourg, L'Anamour, (score), [ca. 1968] [© Maison Gainsbourg, Paris]. From: Serge Gainsbourg. Le mot exact, Bibliothèque publique d’information (Bpi), Centre Pompidou, January 25 – May 8, 2023
148 notes · View notes
the-bibrarian · 1 year
Text
Tumblr media
Je prépare le concours de bibliothécaire et je vais devenir siglophobe et acronymophobe
12 notes · View notes
exitsmiling · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
youtube
Exposition Chris Ware à la Bpi - Bibliothèque publique d’information - Pompidou, Paris
(photos : Etienne mineur - More on his FB page)
28 notes · View notes
bibliomancienne · 2 years
Text
La Maison de la littérature, un lieu pour écrirelirevivre
La Maison de la littérature, un lieu pour écrirelirevivre
La Maison de la littérature à Québec. La maison pour « écrire, lire, vivre » est un projet de Chevalier-Morales avec la Ville de Québec et l’Institut canadien. Inaugurée en 2015, cette bibliothèque est un jalon dans l’histoire des bibliothèques publiques québécoises. Elle recèle encore bien des leçons pour les fervents et les ferventes de médiation littéraire : son parti-pris sans compromis en…
View On WordPress
3 notes · View notes
downthetubes · 6 months
Text
Paris gets set to host major Posy Simmonds exhibition
A major, free exhibition of the work of cartoonist Posy Simmonds, co-curated by comics auteur Paul Gravett, will open at the Bpi - Bibliothèque publique d'information in the Centre Pompidou in Paris on Wednesday 22nd November, and run until 1st April 2024
A major, free exhibition of the work of cartoonist Posy Simmonds, co-curated by comics auteur Paul Gravett, will open at the Bpi – Bibliothèque publique d’information in the Centre Pompidou in Paris on Wednesday 22nd November, and run until 1st April 2024. Posy Simmonds at the Centre Pompidou in June 2023 © Hervé Véronèse The exhibition of the former Guardian cartoonist’s work, who has since…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
ruemorinpointcom · 8 months
Text
Société historique du Saguenay
16 fonds d’archives traités grâce au financement de Ville Saguenay! Continue reading Untitled
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
vinylespassion · 7 months
Photo
Tumblr media
Étudiants de l'université du Michigan utilisant les phonographes de la bibliothèque publique d'Ann Arbor, avril 1971. 
Photo d'Eck Stanger.
129 notes · View notes
nietp · 9 months
Text
«Pourquoi brûlent-ils des écoles ?» par Laurence de Cock
Les plus empathiques parlent d’autodestruction. Les jeunes se saboteraient eux-mêmes. Mais dans la droite la plus extrême et dans certains médias d’information continue, on profite de ces actes, cette « violence aveugle », pour tourner en boucle sur la sauvagerie des jeunes, ces « nuisibles », comme les qualifient les syndicats UNSA-Police et Alliance réunis dans un infâme et séditieux communiqué. On fustige leur absence de scrupules et on voit bien là la preuve du caractère apolitique de leur colère. Ils n’attendaient que ça, disent-ils, piller et mettre le feu.
Les écoles, lieux d’injustice sociale
Mais pourquoi brûlent-ils des écoles ? La question ne se pose pas pour la première fois. En novembre 2005, cela avait déjà interpelé car 255 établissements scolaires avaient été touchés. Pour Laurent Ott, éducateur et pédagogue social, dans les quartiers populaires, depuis longtemps, les écoles incarnent le lieu de l’injustice sociale, et beaucoup d’adolescents n’en gardent pas un si bon souvenir que cela. Présentées comme les lieux de « promesse républicaine » aussi bien par l’institution que par les enseignants, les jeunes ne peuvent que percevoir le décalage entre ces beaux discours et leur réalité. Dans les quartiers populaires, l’école produit beaucoup plus de relégation que d’intégration.
Les sociologues Didier Chabanet et Xavier Weppe notent à leur tour que « la rage [des émeutiers] porte contre le quartier lui-même, elle n’a rien à négocier ». Ils confirment la révolte des jeunes contre des institutions publiques qu’ils méprisent en retour et miroir du mépris qu’elles leur ont fait subir. L’école n’est pas une cible collatérale, elle est au cœur des institutions ciblées comme mensongère. Lors d’entretiens en 2016 et 2017, les jeunes critiquent les enseignants « blancs », qui n’habitent jamais le quartier, qui ne les respectent pas, ne les félicitent jamais. Le ressentiment est lourd. Les bibliothèques, elles, ne seraient fréquentées que par à peine 10% des habitants en moyenne. Les deux sociologues notent alors l’échec patent d’une politique de la ville qui n’a jamais réfléchi aux modalités d’association des habitantes et habitants aux choix de transformations de leur quartier. Dès lors, toutes les institutions publiques apparaissent comme des excroissances qui au pire les écrasent ou rejettent, au mieux ne les concernent pas. L’école ne fait pas forcément exception.
Nos lycées brûlent 
S’en tenir à ces explications ne suffit peut-être pas pour comprendre la place particulière occupée par les établissements scolaires dans cette démonstration de colère. Dans les années 1970, on assiste à une multiplication d’incendies criminels, par des élèves, touchant des écoles, collèges et lycées. C’est à l’occasion de l’incendie du collège Pailleron le 8 février 1973 que les médias commencent à interroger cela comme un phénomène de société. Pour les seuls mois de janvier et février, le journal Paris-Match en dénombre onze dans tout le pays …
Comme pour Pailleron, ce sont des incendies ou départs de feux faits par des élèves qui veulent se venger de situations ou propos humiliants. À Pailleron, le jeune Patrick 14 ans avait dit à la police qu’il ne voulait pas aller dans la classe surnommée « des déchets ». À Bobigny, ce sont les classes dites « pratiques » d’un CES qui brûlent, cinq baraquements en bois : « Mon prof nous a raconté que les autres profs lui disent sans arrêt : « tu as du courage de rester avec ces tarés » raconte un élève, ajoutant : « les portes n’ont même pas de poignées, elles nous restent dans les mains. Par moment il n’y a pas de carreaux, les extincteurs ils viennent les remettre pour l’enquête pour faire bien devant les inspecteurs, c’est parce qu’un mec a voulu mettre le feu ».
Deux ans plus tard, en 1975, on compte encore une quarantaine d’incendies criminels. Les conditions matérielles sont avancées comme principales causes à deux niveaux : d’abord parce que les constructions sont hautement inflammables et que tout départ de feu peut être fatal, comme à Pailleron ; ensuite parce que les établissements scolaires qui sont incendiés sont pour la plupart délabrés et renforcent le sentiment de honte des élèves qui y sont scolarisés.
23 notes · View notes
downhill-rp · 2 months
Text
Tumblr media
Vivre à Downhill
Petite ville américaine sans histoire de 35 000 habitants, Downhill ne fait pas vraiment parler d'elle en dehors de ses frontières. Tellement peu, à vrai dire, que beaucoup ignorent même son existence, tant il ne s'y passe rien d'intéressant.
Quelques détails 1 · À Downhill, tous les numéros de téléphone commencent par l'indicatif (745), au lieu de ceux qui sont généralement utilisés dans le reste de l'Indiana. Cet indicatif n'est utilisé nulle part ailleurs dans le reste du pays.
2 · En réglant sa radio sur la fréquence 28.9FM on peut y entendre être diffusé quasiment en continu la même chanson, I'm Waiting Just For You par Wanda Jackson, de 9 heures du matin à 9 heures du soir. Le reste du temps, on n'y entend que du bruit blanc, et, parfois, si on tend un peu l'oreille on peut entendre une voix mécanique répéter "Warwick. Gabriel. Kieran. Patrick." en boucle.
3 · S'il n'y a pas d'écrans plats à Downhill et que les gens préfèrent les télévisions à tube cathodique, ou même les téléphones à cadrans, ce n'est pas pour autant qu'on vit entièrement dans le passé. Internet est extrêmement rapide en ville et tout le monde utilise la fibre optique.
4 · Au sud de la ville, au-delà de Chester's Lake, une base aérienne abandonnée depuis plusieurs décennies a pris domicile dans les bois. Ses vieux hangars rouillés et ses bâtiments qui tombent en ruines ont tendance à attirer les squatteurs, les excentriques et les explorateurs urbains.
————
🗺️ Localisation À Downhill, on aime plaisanter que toutes les routes mènent en ville. Et c'est vrai. Situé au nord de toutes les direction dans l'Indiana, si on ne la cherche pas, Downhill est très facile à trouver. Just 100 miles away.
🌡️ Climat Le climat en ville est dans la moyenne de l'état, en plein été il peut en général faire jusqu'à 29°C et jusqu'à -6°C en hiver. De temps en temps, il arrive que la météo se dérègle et qu'il se mette à neiger en été, ou qu'il fasse plus de trente degrés en hiver, mais qu'est-ce qu'on y peut, c'est la faute au réchauffement climatique.
🧑‍🤝‍🧑 Démographie Downhill est une ville très diverse, même si selon ses propres nombres, on y compte 28% de la population avec des origines afro-américaines ; 21% avec des origines asiatiques ; 18,9% avec des origines latino ; 6% avec des origines natives-américaines ; contre 60% avec des origines blanches.
🚖 Transports La ville possède une gare ferroviaire, la même depuis sa fondation, qui a toujours été en activité et est le principal moyen de transport utilisé par les habitants pour aller et venir de la ville à une autre. On y trouve aussi quatre lignes de bus, la ligne 1, la ligne 3, la ligne 4 et la ligne 5 qui desservent tout Downhill en continu jour et nuit, sauf le mercredi. Un projet d'aéroport est en discussion depuis 1941.
🎓 Éducation Si la ville ne possède pas sa propre université, on y trouve néanmois trois collèges, deux écoles maternelles, un lycée et un community college. 67% de la population a fait des études supérieures après le lycée, et 99% des élèves de Downhill mènent leurs études jusqu'au bout. (Le lycée de Downhill ne permet plus à ses élèves d'abandonner leurs études depuis 2001.)
👮 Criminalité Avec un taux de criminalité extrêmement bas, voire parfois inexistant, Downhill a de quoi se vanter ! Les habitants de Parker's Lane, en particulier, s'y sentent tellement en sécurité qu'ils n'ont même pas besoin de verrouiller leurs portes d'entrées. Sauf le mercredi, quand les chauffeurs de bus ne travaillent pas.
🏛️ Culture Juste en face de l'hôtel de ville, on peut trouver la seule bibliothèque publique de Downhill, elle y sert aussi à conserver les archives de la ville. En centre-ville, les curieux peuvent visiter le musée de la ville et son exposition quasi-permanente sur l'Egypte Ancienne. Et, finalement, on peut aussi trouver l'observatoire astronomique sur les collines de Cove Road.
🛎️ Services Downhill est l'une des rares villes américaines à encore pleinement employer un service de livraison quotidienne de lait à domicile. Tous les jours, de 4:00 à 6:00, en même temps que les éboueurs, les livreurs de lait parcourent la ville à bord de leurs camionnettes blanches et bleues, le pistolet à la ceinture.
4 notes · View notes
alain-keler · 8 months
Text
Tumblr media
Journal d’un photographe / mercredi 9 août 2023 /le bal des oubliées*.
"Une si longue absence, journal d'Auvergne".
Comment choisir la Photo lorsque il en faut…dix sur des semaines de travail! Pour le photographe que je suis, c’est un énorme dilemme que j’ai toujours du mal à assumer.
Je parle du projet de la BNF « Radioscopie de la France » , projet pour lequel j’ai été choisi avec cent quatre vingt dix neuf autres photographes. On parle déjà chiffres, mais dix photos quand même, ce n’est pas beaucoup. Ou peut-être beaucoup en fonction de la manière de travailler des photographes.
Alors dans ce journal estival, je suis allé à la recherche de ces photos non choisies, oubliées, par erreur ou-et mauvais choix de ma part, perturbé par le temps et le manque de recul sur le travail accompli. Les photos aiment jouer avec nous. Elles se cachent souvent pour réapparaître des années plus tard, lors de nouvelles recherches et une vision enrichie par l’expérience acquise.
Ce sont des photos vues mais non choisies que je vais publier en ce mois d’Août 2023, avec aussi certaines images supplantées par une voisine, qui elle aura été choisie, mais qui auraient aussi bien pu faire l’affaire !
« Errare humanum est », l’erreur est humaine, avais-je appris en classe de latin, mais « perseverare diabolicum », persévérer (dans son erreur) est diabolique…Donc je leur redonne une âme !
Voici un extrait de mon texte sur la journée du 29 mai 2022. Je suis à Allanche, dans le Cantal, magnifique département.
« Dimanche 29 mai.
Aujourd’hui c’est la montée aux estives. À pied, pour faire des photos. Mais quand on dit « montée », c’est bien une montée. Elle fera dix kilomètres.
J’écris un peu en m’arrêtant pour reprendre mon souffle. 
Monter, monter, monter. J’ai l’impression que je n’y arriverais jamais. L’idée était de photographier les vaches, mais elles vont trop vite pour moi. Par moment je recolle au peloton, un peu comme au tour de France, puis ça repart. Une petite halte à Pradiers, à mi-parcours. Ravitaillement offert par des habitants, groupe de musique, danses, instruments de musique bizarres. Le maire chante « que la montagne est belle » de Jean Ferrat. J’en ai des frissons. La montagne est belle, la région est belle, les gens présents aujourd’hui sont beaux. C’est jour de fête.
Et ça repart. Retard à l’allumage, passé trop de temps à photographier les musiciens, les vaches ont déjà de l’avance sur moi.
Je suis, donc j’existe !
Un regroupement se fait avec un arrêt avant l’assaut final vers l’estive. Je rattrape, photographie, me fait à nouveau distancer. Pied dans une tourbe, une chaussure trempée.
C’est magnifique, on est au milieu de la nature, montagnes au loin, un autre monde !
La marche, ça fait du bien. Je suis bien. »
* Un clin d’œil au bal des rejetons !
Ce travail a fait l’objet du soutien du Ministère de la culture et piloté par la Bibliothèque nationale de France dans le cadre du premier appel à projet de la commande publique Radioscopie de la France.
9 notes · View notes
jefaiscequejepeux · 1 year
Note
Hello, quelques questions sur ton boulot... Je réfléchis à une potentielle reconversion et bosser dans une bibliothèque me tente bien. Peu importe si c'est une biblio normale ou au sein d'un établissement scolaire. Mais j'ai cru comprendre qu'il fallait forcément passer par des concours et avoir un niveau bac+ ? Donc il faudrait refaire une fac ? Est ce que tu connais un peu les différents moyens d'accéder à ces métiers ? Ensuite j'ai toujours cru que documentaliste et bibliothécaire c'était la même chose mais apparemment non... J'ai du mal à y voir clair dans tout ça, du coup dans ton cas c'est quoi l'intitulé de ton poste ? Mercii d'avance !! Ah et j'adore ton tumblr je te suis depuis longtemps je m'y reconnais -et des fois je me marre bien j'avoue !
Pfiou ça fait beaucoup de questions et j'ai pas toutes les réponses honnêtement mais je vais faire de mon mieux !
Alors non il faut pas forcément faire un concours tu peux être contractuel mais en effet c'est mieux d'avoir un concours même si c'est aussi très dur car il y a peu de places et peu de concours sont organisés. Je sais pas quels sont les concours les moins durs entre concours de la fonction territoriale et fonction de la publique d'état mais il me semble que les concours BIBAS (bibliothécaire assistant spécialisé) sont un tout petit peu plus accessibles. Concernant le niveau à avoir, ça dépend du concours mais il faut un niveau bac pour le concours d'assistant bibliothécaire et un niveau licence (donc bac+3) pour le concours de bibliothécaire.
La différence entre bibliothécaire et documentaliste même moi je sais pas exactement. Je sais que par exemple dans les CDI ce sont des prof-documentalistes qui ont généralement passé le CAPES pour ça (mais ça s'appelle plus le CAPES maintenant je crois mdr je suis complètement perdue mais bon en gros c'est la même formation que les profs mais avec une spécialité documentation)
Mais voilà ce qu'en dit l'ENSSIB lol
Tumblr media
Et sinon j'ai cherché l'intitulé de mon poste pour tes beaux yeux dans mon contrat et je suis apparemment bibliothécaire documentaliste, qui l'eut cru ? Pas moi. Mais bon je bosse dans une université privée c'est un peu particulier. Je pense que mes collègues (mdr) @clhook et @wonderbandersnatch seront peut-être plus à même de te renseigner car tu l'auras compris je suis une énorme fraude.
17 notes · View notes
wolfsnape · 2 years
Text
Quelle belle invention que les bibliothèques publiques 👏🏻👏🏻
54 notes · View notes
frenchcurious · 1 year
Photo
Tumblr media
La bibliothèque publique du premier bibliobus de Cincinnati, vers 1927. - source Another Vintage Point.
27 notes · View notes
lesenfantsdefaust · 1 year
Text
En 2023, une youtubeuse découvre les bibliothèques publiques: on peut emprunter pleins de livres en même temps, ça coûte presque rien et on peut même lire sur place!
Woaw!
(La bibliothécaire que je suis est désespérée, franchement ça me fatigue...)
8 notes · View notes
bibliomancienne · 1 year
Text
La bibliothèque de Perrine Leblanc entre Paris, Belfast et le Plateau
La bibliothèque de Perrine Leblanc entre Paris, Belfast et le Plateau
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note