Tumgik
#avis lecture
le-horla · 3 months
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Mon avis :
C’est clairement un de mes livres préférés. J’ai découvert les réécritures mythologiques avec ce livre et depuis j’en ai lu pas mal.
Il m’était impossible de lâcher ce livre pendant la 1ère lecture et pendant la seconde également. Il se passe toujours quelque chose et en même temps c’est assez lent par moment. La plume de l’autrice rend le tout poétique et doux.
Et la fin.. Une véritable tragédie grecque. ⚔️
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oceanofbooks · 1 year
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(Retrouver tous mes avis lectures sur mon instagram @ocean.ofbooks)
• Titre : "Un palais de glace et de lumière"
• Auteur(e) : @therealsjmaas
• Couverture : @adrian_dadich
• Éditeur : @lamartiniere.jfiction
• Note : ⭐️⭐️⭐️⭐️/5
• Citation : 
" - Aux étoiles qui entendent les vœux, Feyre.
- Aux rêve exaucés, Rhys."
✨️
• Résumé : 
⚠️ATTENTION SPOIL TOME PRÉCÉDENTS ⚠️
La guerre est fini, le roi d'hybern est mort mais il est encore trop tôt pour se réjouir et parler véritablement de paix. 
Il faut reconstruire, réapprend à vivre et tenter de guérir les blessures. Feyre c'est donné pour mission d'aider au mieux les habitants de Velaris, et en particulier ceux qui ont perdu des êtres chers. 
Le solstice d'hiver approche, un jour de fête et de repos pour les habitants cependant Feyre a du mal à se réjouir, s'en voulant même de se laisser aller à ses réjouissances. Bien que son cœur guérisse peu à peu, ses amis mais également ses sœurs dissimulent des blessures encore profondes.
Elain pleure toujours son ancien amour quant à Nesta elle semble sombrer peu à peu dans l'alcool. De leur côté, Cassian, Az et Rhys essaient de maintenir la paix chez les Illyriens et les alliances dans tout Prythian. 
Oui la paix est encore loin mais tous œuvrent ensemble pour un jour l'amener en ce monde.
✨️
• Avis : Un agréable moment.
À travers ce tome très court on retrouve tous les personnages de cette saga qui, à mes yeux, est de plus en plus agréable à lire. On suit leurs reconstructions, leur pensaient, et pour certains leurs douleurs. On y voit aussi l'espoir renaître après une guerre qui a causé tant de malheur. J'aime de plus en plus chaque membre de cette joyeuse bande même si pour l'instant Nesta est celle que je comprends le moins. Je me plongerai dans le tome suivant avec plaisir.
✨️
Lecture pour le #coldwinterchallenge organisé par @enluminee , menu : Yule (sous-menu : Danse de la fée dragée)
#cwc #velaris #acotar #acofas #acourtoffrostandstarlight #rhysand #feyre #cassian #nesta #elain #azriel #mor #prythian #solstice #wintersolstice #solsticedhiver #hiver #winter #art #peinture #nuit #night #fete #amis #book #booksta #bookstagram #bookstagramfrance #saga
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lespolarsdallister · 1 year
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Yo tout le monde !
Pour la première chronique que je poste sur Tumblr, j'ai choisi un auteur connu. Je vais parler du dernier Maxime Chattam, La constance du prédateur.
Vous trouverez le résumé sur la 2nd image.
Après la déception qu'a été "L'illusion", Maxou retourne à ce qu'il sait faire de mieux. Nous retrouvons Ludivine Vanker dans une nouvelle enquête halletante. La psychologie est bien travaillé et cohérente et nous sommes de tout cœur avec Ludivine pour arrêter ce tordu. Malgré tout, même si le mode de fonctionnement du serial killer est assez original, cette psychologie ne casse pas 3 pattes à un canard. Classique.
Le fond de féminisme présent est parfois assez grossier (à mon avis) mais les intentions sont bonnes.
Le style d'écriture est toujours aussi bon, ça se lit tout seul. Pas trop de description, pas trop d'explication psychologique et de jargon de flic.
Si vous êtes habitué à des lectures choquante, ça vous laissera froid. Moi même, je n'ai pas été impressionné. Mais si vous êtes néophyte dans ce domaine, cela vous dégoûtera sûrement.
En bref, un bon cru grand public. Efficace dans l'écriture et la psychologie mais rien de bien original en soi. Ludivine Vanker reste tout de même un bon personnage.
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nilaread · 1 year
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Serpent & Dove
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Il y a deux ans, Louise a fui son clan et s'est réfugiée dans la ville de Césarine où les sorcières comme elle sont craintes, chassées et brûlées. La jeune femme a renoncé à la magie et vit désormais de petits larcins. Alors qu'elle prépare le vol d'une bague magique très rare, les évènements vont s'enchaîner pour tout faire basculer dans le chaos. De son côté, Reid, un Chasseur assermenté par l'Église, vit sa vie selon un seul principe : ne pas laisser une seule sorcière en vie. Son chemin n'aurait jamais dû croiser celui de Louise, mais un concours de circonstances va les rapprocher malgré eux et les contraindre à une union impossible et inattendue : le saint mariage. La guerre entre les sorcières et l'Église est ancienne et les dangereux ennemis de Louise représentent une terrible menace. Partagée entre ses sentiments croissants et sa nature, la jeune femme va devoir faire un choix entre le cœur et la raison.
Bonsoir mes étoiles, j'espère que vous allez bien !✬
Je viens vers vous pour vous parler de ma dernière lecture. J'ai mis environ 1 mois à lire ce livre pour être totalement honnête avec vous.
Les genres de livres que je préfère sont le fantasy ainsi que les romances. Serpent & Dove alliant les deux genres avait tout pour me faire fondre sur le papier.
Il faut aussi savoir que j'adore les histoires de sorcières et j'avais très envie de découvrir ce duo ennemies to lovers !
Et pourtant...mon avis final concernant ce livre est très mitigé. Je n'aime pas démonter un livre mais je préfère être honnête avec vous. J'ai tout d'abord trouvé l'histoire très plate, l'action commence à arriver qu'à partir de la page 400 sur 550 environ. Ensuite, je ne me suis pas attachée aux personnages du livre et pour couronner le tout je n'ai absolument pas accroché à la plume de l'autrice. Je ne comprends vraiment pas l'engouement qu'il y a eu autour de ce premier tome. Mais en toute franchise, je ne compte pas acheter et lire les tomes suivants surtout que j'ai entendu dire que le tome 2 de la trilogie était très lent.
Et vous , connaissez-vous ce livre ? L'avez-vous aimé ? Ou suis-je la seule à ne pas avoir aimé ce livre ?
Détails sur le produit
Éditeur ‏ : ‎ De Saxus (26 août 2021) Langue ‏ : ‎ Français Broché ‏ : ‎ 565 pages ISBN-10 ‏ : ‎ 2378761236 ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2378761233 Âge de lecture ‏ : ‎ 13 - 18 ans Poids de l'article ‏ : ‎ 640 g Dimensions ‏ : ‎ 14.7 x 4.2 x 21.2 cm
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simplementmarilyne · 16 days
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Plongée dans l'univers captivant de la saga Blackwater
La saga Blackwater, une œuvre en six tomes écrite par Michael McDowell, offre une immersion captivante dans une saga familiale sur plusieurs générations, teintée de fantastique et parfois même d’horreur. Continue reading Plongée dans l’univers captivant de la saga Blackwater
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xhyenada · 1 month
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bernieshoot · 2 months
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snliska · 3 months
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Coucou,
Nouvelle chronique pour SCE !
Encore un immense merci à Lily @la_bibli_de_lily pour sa lecture et ce service presse 🙏❤️
Quelle jolie photo également, nous sommes gâtés 😍
Vous pouvez aller lire la chronique en entier sur son compte 😊
« Soixante centimètres d’écart ! » est une romance cocooning où l’écoute, le respect et la tendresse sont la base 🥰
Ce SP a été réalisé via Bookfluencers.io 📚
⭐ Roman disponible en formats numériques : ebook + lecture gratuite avec l’abonnement Kindle. Vous pouvez aussi lire un extrait 📖 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska-ebook/dp/B0C5S4VGJS/
⭐ En versions papiers : broché et relié 📚 : https://www.amazon.fr/Soixante-centim%C3%A8tres-d%C3%A9cart-S-Liska/dp/B0C5YYNZ26/
Bonne journée 🍁
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ellauniverse-blog · 4 months
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Sous le soleil de Los Angeles 🩷
Un livre | une recette
Ici nous allons parler du roman de Rose Mia : Un léger malentendu.
Résumé : Le jour de son emménagement à Los Angeles, Mei a le coup de foudre. Tom, son voisin d’à côté, est sombre et sexy, et Mei ressent immédiatement pour lui une attirance irrésistible. Hélas, elle comprend vite que rien ne sera jamais possible entre eux.
Mei a l’habitude, sa vie sentimentale est un fiasco ! Pas étonnant qu’elle soit toujours vierge à 23 ans. Ceci dit, rien de ne les empêche d'être amis… Même si cela signifie étouffer soigneusement les sentiments qu’elle éprouve pour lui.
Tom est une star du surf. Célèbre pour avoir dompté les vagues mangeuses d’hommes les plus dangereuses du monde, il est cloué sur le sable depuis un grave accident de compétition. L’arrivée de sa jolie voisine, une petite tornade aussi déjantée qu’attachante, le pousse hors de sa zone de confort et fait naître chez lui un désir incandescent.
Entre eux, c’est une évidence. Un désir irrépressible auquel l’un et l’autre rêvent de succomber.
Sauf que quelque chose bloque.
Juste un petit détail… mais qui change tout.
Certains mensonges nous protègent.
Comment accepter la vérité lorsqu’ils volent en éclat ?
Avis et note : Une romance estival sous le soleil de Los Angeles, drôle et attachante. La plage, le surf, de l’adrénaline, j’ai beaucoup aimé ma lecture, c’est un 4,5⭐️/5 pour moi.
Pour accompagner cette lecture, je vous propose une bonne boisson rafraîchissante : Frappuccino fraise
Recette : (pour 1 portion)
63 g de fraises coupées en morceaux
12,5 g de sucre
1 boules de glace à la fraise
1 dl (dixième du litre) de lait froid
50 - 63 g de glaçons
Décoration:
0,25 - 0,4 dl de crème légèrement fouettée
Quelques fraises coupées en deux
1 cs de muesli aux fruits rouges
Préparation : (20min)
Frappuccino: réduire en purée les fraises et le sucre, réserver 3-4 cs de coulis de fraises pour décorer. Mixer le reste du coulis de fraises, la glace, le lait et les glaçons, verser dans les verres.
Décoration: répartir la crème sur le frappuccino, napper du coulis de fraises restant, décorer avec les fraises et le muesli aux fruits rouges. Servir avec une paille.
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⏱️ 4 min
J'ai eu le plaisir de lire l'ARC* de Nuit couleur larmes de Borja Gonzalez grâce à Netgalley. J'ai tout de suite accroché au ton et à la voix de ce roman graphique et j'ai adoré jusqu'au bout. Je suis totalement d'accord avec le consensus général que les illustrations sont merveilleuses ! L'usage des couleurs me rappelle Tillie Walden, c'est sublime. Mais la fin est mystérieuse et non expliquée. J'ai accouru en ligne pour chercher des avis et surtout des explications ou interprétation mais il existe peu d'avis et aucune explication. En fait, toutes les chroniques qui existent à ce jour expriment un sentiment négatif d'être resté sur sa faim. [résumé du livre]
Alors j'ai décidé d'enquêter. J'allai recueillir le plus d'indices possibles dans le texte pour pouvoir offrir aux futurs lecteurs ce que je n'avais pas pu trouver moi-même : une interprétation ou une tentative d'explication de la fin.
J'ai trouvé plein de pistes, jamais concluantes. Voici la théorie la plus solide que j'ai pu construire ! :
la théorie
l'origine des créatures (le fantôme etc.)
La ville est ennuyeuse, Teresa exprime le désir que les autres habitants de sa ville ne soient pas aussi désenchantés et acceptent que certaines choses ne s'expliquent pas, que tout ce que l'on voit n'est pas tout ce qui existe. Teresa est déprimée.
Je pense que ces créatures (l'oeil de la forêt, les branches épineuses, le fantôme, que l'on sait sortir de l'imagination de Teresa car à la fin on les voit sur les couvertures de son fanzine Night Cry) n'existent que dans sa tête. La démone est une vraie démone indépendante de l'imagination de Teresa. D'ailleurs c'est la seule créature qui n'est pas comme sur les couvertures des Night Cry (sur la couverture du numéro 38 qui s'appelle "The witch and the pink demon" qui rapelle Laura la démone et ses cheveux roses, le démon a l'air d'une grosse créature poilue).
Alors pourquoi le numéro 38 fait référence à la démone si ce n'est pas Teresa qui a imaginé l'idée d'un démon rose ?
J'y reviendrai.
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les disparitions
version soft
Un des premiers mystères est la disparition de dizaines de filles, puis leur oubli par les autres habitants. On dit à l'��cole qu'un fantôme les a emportées. Je pense que ces filles sont des fans de Night Cry (comme les deux avec les gants rouges qu'on croise à la moitié du livre) qui croient en ces histoires et veulent fuir leur ville ennuyeuse et qui donc appellent le fantôme. Elle ne disparaissent pas, on les oublie parce qu'elles quittent la ville.
Je pense aussi que c'est Mathilde qui a commencé cette histoire d’appeler le fantôme pour "trouver les réponses" (comme le disent les deux filles aux gants rouges) parce qu'elle voulait que les autres s'amusent et apprécient Night Cry comme elle. Et c'est de ça qu'elle parle dans la citation suivante où elle est toute apologétique.
" Tes histoires elles me plaisent. Moi... snif... je voulais juste que les autres...".
C'est à cause d'elle que les filles s'en vont, mais elles ne disparaissent pas, elles quittent juste la ville. À cette phrase, Laura répond
" Tu es ivre Doraemon. C'est le moment de parler de 'ça' ? "
À mon avis, là elle dit que ce n'est pas le moment de dire que c'est à cause des créations de Teresa que les filles disparaissent, parce que Teresa est déjà déprimée, si en plus elle se sent coupable c'est pas cool. Laura est au courant de cette histoire parce qu'elle a croisé quelques pages plus tôt les deux filles aux gants rouges qui lui ont parlé du fantôme en lui montrant un dessin de celui-ci dans une pose qui rappelle beaucoup les anime. Elle a du alors reconnaître la patte de Mathilde.
version dark (TW/ suicide)
Une autre version de cette théorie peut aussi être que ces filles qui disparaissent se suicident. Elles parlent d'être amenées au paradis, de partir, et elles ont des gants rouges... Ils peuvent rappeler les mains ensanglantées du fantôme ou bien des scarifications (on voit d'ailleurs sur quelques cases random une femme avec beaucoup de coupures sur les bras qui suit un oiseau bleu...).
Les deux filles qu'on croise seraient mortes mais ne le sauraient pas, tout comme le fantôme de l'histoire de Teresa, elles ne se rendent pas compte d'être mortes.
Il y a également plusieurs références au livre The door in the wall de H.G. Wells, qui parle de fuite du monde ennuyeux, de quelqu'un qui se laisse penser que ce qu'a produit son imagination est réel. Ce livre se termine mal, avec le personnage qui, croyant que ce qu'il imagine est réel (une porte verte derrière laquelle il y a un jardin paradisiaque), passe à travers une porte verte et tombe dans le vide.
le vœu de teresa
Teresa ne veut pas oublier Laura parce qu'elle l'aime, alors elle lui demande de laisser quelque chose de leur histoire derrière elle pour se souvenir d'elle. Comme elle n'a pas le droit de réellement se souvenir d'elle telle qu'elle est, Laura écrit leur histoire dans le dernier fanzine de Teresa (le 38) en se représentant comme un démon plus classique.
C'est tiré par les cheveux mais c'est amusant de théoriser. J'ai plusieurs autres théories qui contredisent la plupart des points que je viens d'évoquer. Mais le plus intéressant c'est d'en discuter, je suis hyper curieuse de savoir quelles sont vos théories (ou pistes de théories) ou si pour vous l'histoire est évidente ! J'aimerais beaucoup échanger nos points de vue !
Merci de m'avoir lue :)
Réseaux de l'auteur.ice : http://www.borjailustracion.com/ ~ https://twitter.com/borgonhoy
*= un ARC est la copie presse, soit le livre pas encore publié, encore possiblement soumis à modification
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anotherboooklover · 11 months
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Avis Lecture: Les Sentiers des Astres, tome 2: Shakti/ Stefan Platteau
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melusinechouraki · 2 years
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Merci à Lirette pour ce beau commentaire avec une note de 5 ⭐️ sur Amazon pour "L'Arbre maudit" ! 🌳
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oceanofbooks · 5 months
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Pousse pas Archimède, le 1er roman de Lydie Authier
Pousse pas Archimède, le 1er roman de Lydie Authier
Mon amie Lydie Authier a publié son premier roman Pousse pas Archimède! aux éditions MVO, il y a quelques semaines! C’est avec émotion qu’elle me le donna à lire pour que je vous en parle! Commande de café et limonade bien fraiche. Nous avons pris des forces pour discuter à bâtons rompus! Partagez ce moment d’échanges avec nous! Lydie Authier, présentation d’une auteure gardoise Ecrire, une…
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nilaread · 1 year
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Les carnets de Cerise, tome 1
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"Il était une fois... Quand j'étais petite, je me suis fait la promesse que si un jour, j'avais un journal intime, il commencerait comme ça. Il était une fois... ben moi, Cerise ! J'ai dix ans et demi et mon rêve, c'est de devenir romancière. Mon truc à moi pour raconter des histoires, c'est d'observer les gens, imaginer leur vie, leurs secrets. On a tous un secret enfoui que l'on ne dit pas, qui fait de nous ce que nous sommes... En ce moment, avec les copines, on observe quelqu'un de vraiment mystérieux..."
Bonjour mes étoiles, j'espère que vous allez bien !✬
Je vous retrouve aujourd'hui pour un avis lecture sur cette magnifique BD jeunesse ! Je l'ai trouvé dans le rayon BD jeunesse dans ma médiathèque et j'ai été rapidement intriguée par la couverture. Cette saga est composée de 5 BD en tout.
Dans cette histoire, on suit les aventures et mystères des personnes que rencontre Cerise et des lieux qu'elle visite. Cerise est toujours accompagnée de ses copines pour élucider tous les mystères qui se présentent sur son chemin. Pour le reste, il faudra découvrir le livre par vous-même...
C'est une BD très sympathique avec une petite intrigue toute mignonne, des jolies planches illustrées et un trio de copines trop choupi ! Seul bémol, le livre était trop court ! J'ai très envie de découvrir la suite !
Connaissez-vous ce livre ?
Détails sur le produit
Éditeur ‏ : ‎ Soleil (26 septembre 2012) Langue ‏ : ‎ Français Relié ‏ : ‎ 80 pages ISBN-10 ‏ : ‎ 230202009X ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2302020092 Âge de lecture ‏ : ‎ Dès 11 ans Poids de l'article ‏ : ‎ 599 g Dimensions ‏ : ‎ 22 x 1.4 x 29.4 cm
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theversesflow · 1 year
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Le Procès de Kafka (1925, posthume)
« Le récit le plus célèbre de Franz Kafka est une forme ouverte où s’entrelacent des contes étranges, sortes de variations sur le thème principal. » (Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent, préface de l’édition du Livre de poche)
Je dois dire que Le Procès n’a pas été une lecture facile, quand bien même j’aurai voulu qu’elle le soit. Il m’a fallu plus de trois mois pour en venir à bout (sachant que j’ai lu d’autres choses en parallèle). Mon avis reste très ambivalent et j’espère que l’élaboration de cet avis m’aidera à y voir plus clair.
Premièrement, je n’ai pas choisi la facilité puisque je l’ai lu dans sa langue originale, et cela aurait pu ne pas être un problème car je maîtrise plutôt bien l’allemand, mais je pense que la difficulté résidait dans la langue de Kafka et dans la nature du récit.
K. se retrouve arrêté du jour au lendemain, le jour de son trentième anniversaire, par deux mystérieux gardiens qui ne paient pas de mine. La faute censée justifier cette arrestation ne sera jamais élucidée, et le sujet est d’ailleurs bien vite mis sous le tapis. Constatant l’incompétence criante des petits-fonctionnaires apparemment chargés de son procès, K. réagit d’abord avec mépris et indifférence à cet évènement.
« Quelle sorte de gens était-ce donc là ? De quoi parlaient-ils ? à quelle administration appartenaient-ils ? K. vivait pourtant dans un état régi par le Droit, partout régnait la paix, toutes les lois étaient en vigueur, qui osait l’agresser chez lui ? Il avait toujours tendance à prendre les choses à la légère, autant que possible, à ne croire au pire que lorsque le pire arrivait, à ne prendre aucune précaution pour l’avenir, même lorsqu’il était entouré de menaces. Mais ici, cette attitude ne lui semblait pas être la bonne : certes, on pouvait considérer cette affaire comme une plaisanterie, une grossière plaisanterie que, pour des motifs inconnus, peut-être parce que c’était aujourd’hui son trentième anniversaire, ses collègues de la banque lui avaient faite, c’était possible, bien sûr : peut-être lui suffirait-il de rire d’une certaine manière au nez des gardes, et ils riraient avec lui, peut-être étaient-ce des commissionnaires du coin de la rue, ils en avaient un peu l’air – cependant, presque depuis l’instant où il avait aperçu le garde Franz, il était cette fois fermement résolu à ne pas lâcher le moindre avantage qu’il pouvait avoir sur ces gens. […] Si c’était une comédie, eh bien il y jouerait son rôle. » (p. 48-49)
Mais il finit, au fil des mois, par s’empêtrer dans les procédures censées l’aider à se frayer un chemin à travers la grande machinerie qui tire les fils de son procès – sur lesquels plane l’autorité lointaine et menaçante des fonctionnaires supérieurs, figures tout du long inaccessibles, dissimulées derrière les sinuosités hiérarchiques du système. Nombre des pages du roman consistent en des discours, en vérité plus proches de monologues, de personnages auprès desquels K. espère obtenir de l’aide. Ils exposent, en s’appuyant sur leur expérience, leurs théories sur le fonctionnement du système de justice et de son labyrinthe bureaucratique, dans des raisonnements tortueux et sans cesse contradictoires. D’où cette langue empesée, dense, sèche, qui se veut être l’expression de la logique et de la raison, mais qui dépeint une réalité tout sauf logique, un puzzle dont les pièces ne s’assemblent pas entre elles – faisant ressortir toute l’absurdité du système.
« […] la grande expérience [que l’avocat] avait acquise à travers tous ces procès allait bien sûr profiter à K. Bien sûr, il s’était aussitôt mis au travail et la première requête était déjà presque achevée. C’était très important, car la première impression produite par la défense déterminait souvent toute l’orientation de la procédure. Hélas ! il se voyait contraint de le signaler à K., il arrivait parfois que le tribunal ne lise pas les premières requêtes. On les versait simplement au dossier en indiquant que dans l’immédiat, l’audition et l’observation de l’accusé comptaient plus que tous les documents écrits. Si le justiciable insiste, on ajoute qu’avant le verdict, au moment où tous les matériaux seront réunis, toutes les pièces relatives à l’affaire seront bien sûr examinées, y compris donc cette première requête. Hélas ! cela aussi est faux dans la plupart des cas : la première requête est en général mal classée, voire bel et bien perdue ; et même lorsqu’elle est conservée jusqu’à la fin, – du moins selon la rumeur qui était parvenue aux oreilles de l’avocat –, on la lit à peine. » (p.147-148)
Chaque chapitre vient ainsi éclairer de nouveaux aspects de l’engrenage dans lequel le personnage est pris au piège, et plus on en apprend, moins les choses semblent avoir du sens. Je dois dire que ces discours sans fin ne m’ont pas passionnée, malgré l’humour noir qui en ressort. L’impression de lourdeur à la lecture du texte venait peut-être aussi d’une autre caractéristique du style de Kafka : sa tendance à la juxtaposition et aux phrases assez longues.
Le dernier chapitre m’a en revanche beaucoup plu. La fin détonne par son caractère très visuel, cinématographique, et la fatalité particulière qui plane sur le texte. J’aurais peut-être souhaité que cette composante visuelle soit plus présente dans le reste du texte – même si elle l’est, assurément ; je pense en particulier aux immeubles délabrés, aux cages d’escaliers étroites, aux couloirs privés d’air et de lumière que K. se voit obligé de parcourir – architecture étouffante et tortueuse bien à l’image du procès. Mais le dernier chapitre fait ressortir aussi, par son caractère saillant et sa chute, le « défaut » de l’œuvre : son inachèvement (évidemment involontaire), qui ne réside pas dans l’absence de point final à l’histoire, mais plutôt dans les trous laissés dans ses parties internes, dus en partie au procédé particulier d’écriture de Kafka pour ce roman… et qui laissent à la fin un goût d’inachevé.
Beaucoup d’efforts et de temps consacrés à cette lecture, pour finalement n’en ressortir qu’à moitié satisfaite… D’un côté, j’ai été sensible à la richesse que recèle cette œuvre, à sa manière d’articuler le rationnel et l’absurde, et à tout ce qu’elle offre de matière à penser et à interpréter. Mais de l’autre, je regrette que l’apparente sècheresse du texte ait représenté une barrière pour moi. Je crois qu’il s’agit du type d’œuvres littéraires qu’il faut lire deux fois – ou même soumettre à une analyse – pour pouvoir véritablement les apprécier et en saisir tous les enjeux. Je retenterais sûrement l’aventure un jour, mais ce sera probablement dans la version française, pour ne pas rester coincée au milieu d'un dédale de phrases.
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