Tumgik
#alors chut
drackarys · 3 months
Text
Tumblr media
Les semaines s'enchaînent et monsieur est un peu délaissé... Alors surprise pour ce soir .... Chut....
109 notes · View notes
alexar60 · 9 months
Text
Le musicien fantôme
Tumblr media
L’averse me réveilla subitement. Karen ne semblait pas dormir non plus. Ses yeux mi-clos laissèrent plutôt à penser qu’elle somnolait. Soudain, je réalisai une chose importante. Elle leva la tête en même temps que moi.
Merde, le coffre !
Aussitôt, je me levai et sortis de la tente suivi par ma compagne. Effectivement, j’avais oublié la bâche de la petite carriole attachée à mon vélo. Elle servait pour mettre nos affaires pendant notre voyage. C’était l’idée de Karen que de faire un road-trip entre Prague et Paris…à bicyclette. C’était aussi son idée du camping sauvage. Surtout que nous étions perdus en pleine campagne autrichienne.
Bien qu’elle fut déjà rempli et nos affaires trempées, je m’acharnai à recouvrir la carriole. Karen récupéra son sac fourre-tout pour en sortir une lampe qui m’aida à y voir mieux. Tout-à-coup un éclair illumina le ciel. Je vis la foudre tomber sur un arbre qui prit feu instantanément. En dessous, notre tente n’échappa à l’incendie, s’enflammant aussi rapidement que l’éclair suivant, qui était déjà à plusieurs kilomètres.
Pétrifiés par cet accident naturel, trempés, fatigués, nous restâmes à regarder la tente se réduire en cendre. Cependant, la pluie continuait de tomber. Ma copine regarda son téléphone, il n’y avait pas de réseau. Le mien était resté à côté de mon sac de couchage…dans la tente, avec mes papiers, mon portefeuille… Bref, je me retrouvai perdu dans un pays étranger sans papier.
Il y avait un mur ! Je me souviens qu’il y avait un mur plus loin quand nous sommes arrivés, dit Karen.
Hé ?
Qui dit mur, dit maison. Ajouta-t-elle en haussant les épaules. C’est évident !
Nous partîmes éclairés par les lampes de nos vélos. La charrette que je tirai parut lourde à cause de l’eau. Aussi, je me retrouvai à aller moins vite que mon amie. Après quelques kilomètres, nous aperçûmes le fameux mur. Il nous a suffi de le longer pour trouver son entrée. La chance fut de notre côté car la grille n’était pas fermée.
Dès lors, nous pénétrâmes dans l’enceinte. Curieusement, des lampadaires éclairaient la route amenant à un grand manoir. Avec ses tours sur le côté, il aurait eu sa place parmi les châteaux de la Loire. Nous descendîmes et posâmes nos vélos contre un muret, avant de grimper un escalier. La porte principale était grande ouverte. Le hall éclairé par un lustre semblait vide si ce n’est cet étrange personnage habillé d’un costume de domestique. Il restait debout, les jambes raides, le dos droit tel un mannequin de devanture.
Karen expliqua nos déboires dans un allemand imparfait. Mais, l’homme sourit et répondit en français. Je trouvais que sa barbiche n’allait pas avec sa tenue de maitre d’hôtel.
Soyez les bienvenus, le concert va bientôt commencer.
Il nous pria de le suivre. Aussitôt nous entrâmes dans une grande salle aux plafonds profonds. Une vingtaine de personnes attendaient silencieusement, assis sur des chaises aux pieds de fer. Nous étions en plein contraste avec eux. Nous étions trempés, les cheveux dégoulinant d’eau. Je portais un bermuda et un sweet-shirt à capuche, Karen était habillée d’un short et d’un pull marin. Tandis que les vêtements des spectateurs semblaient sortir des plus grands magasins de vêtements de luxe de Paris ou de Vienne.
Je me retournai pour demander une serviette, mais notre hôte était déjà parti. Alors, nous avançâmes sous les regards curieux. Ils semblaient blafards, le teint d’une pâleur extrême. Tout leur corps parut voilé. De même, un léger bourdonnement agaça mon esprit. Nous marchâmes dans un silence glacial. Hélas, les deux seules places disponibles étaient devant. Elles n’attendaient que nous.
A ton avis, c’est quel genre de spectacle, murmura ma chérie.
Le bal des vampires, répondis-je.
Elle pouffa de rire, mais fut réprimandée par un « chut » qui imposa de nouveau le silence. C’est à ce moment qu’une porte, au fond de la salle, s’ouvrit. Un homme de taille moyenne, le visage jeune, les cheveux bruns coiffés en arrière, le regard d’un bleu profond, entra. Il avait aussi le visage blanc, et une sorte de voile se déplaça en même temps que lui. Je remarquai la présence d’un piano.
Cependant, le musicien tenait un violon. Il posa son instrument sur son épaule, et à l’aide son archet, il commença à jouer. Dès les premières notes, je fus subjugué par la musique. Elle m’envahissait, me prenait les tripes. Il jouait merveilleusement bien. Il impressionnait si bien que je ne pus retenir une larme, je sentis un frisson parcourir les poils de mes bras. J’écoutais dieu qui jouait du violon.
Il joua de tout, Chopin, Haendel, Brahms, Vivaldi, Tchaïkovski…Chaque mouvement était juste et touchait le cœur. Chaque note reflétait sur le mur, se transformait en personnage et dansait au rythme de la musique. Elle racontait une histoire. Mon amie posa sa tête sur mon épaule tout en serrant mon bras. Elle était fascinée par cette harmonie. Jamais nous n’aurions pensé écouter pareil concerto et jamais, nous n’aurions pensé ressentir autant d’émotion en écoutant un artiste jouer. Etonnamment, peut-être par respect, personne n’applaudissait entre les morceaux.
Je ne peux dire combien de temps cela dura exactement. Il finit son concert par le canon de Pachelbel. Encore une fois, sa musique toucha les âmes. Il glissait avec son archet sur les cordes de son violon. Je ne réalisai pas que personne ne jouait au piano. Il était seul et pourtant, j’entendais aussi le piano jouer.
Puis, il s’arrêta subitement. Il écarta les bras en croix avant de baisser la tête en signe de remerciement et de salut. Je me mis à applaudir, accompagné par Karen. Surpris de ne pas entendre les autres, faire de même, je tournai la tête et fus stupéfait de ne voir personne. Il ne restait que des chaises vides.
Où sont-ils passés ? demanda ma compagne.
Et lui ? demandai-je aussi en pointant le doigt vers la petite estrade.
Le violoniste avait aussi disparu. Je ne m’étais pas non plus rendu compte que les bourdonnements venaient de cesser. Nous restâmes abasourdis et seuls dans la salle qui devint  tout-à-coup immense.
Soudain, trois gros coups résonnèrent, puis un rire…un rire glacial…un rire qu’on n’oublie pas. Karen se colla à moi. Nous regardâmes les portes mais personne n’entra. Nous restâmes un long moment dans le silence à attendre sans savoir quoi faire. Nous entendîmes un oiseau piailler. Dès lors, nous comprîmes que le jour se levait. Nous profitâmes de cet instant pour quitter la salle. Mon amie constata les énormes toiles d’araignées un peu partout dans la salle et le hall. Je découvris la porte à moitié abimée, Nous quittâmes le lieu qui paraissait abandonnée. D’ailleurs la majeure partie des fenêtres n’avait plus de carreau intact. Cependant, j’aperçus un rideau s’écarter mais aucune silhouette visible.
La pluie ayant cessé, nous pûmes regagner un village proche. On nous dirigea vers un poste de police, car j’avais besoin de déclarer la perte de mes papiers suite à l’incendie de la tente. Je racontai en anglais notre nuit. Le policier demanda à mon amie, ensuite à un traducteur leur version. Il semblait horriblement embêté. Il se leva discuta avec un collègue, prit ma déposition, au moins pour l’assurance, et nous conseilla un bon hôtel restaurant.
Après une douche, un peu de repos, nous descendîmes nous restaurer. La patronne, qui parlait français, nous interpela tout en nous installant à une table.
Donc, vous avez passé la nuit au Rotes Herrenhaus? Tout le monde a peur d’aller là-bas. Il parait qu’il est hanté.
Mais, il est bien habité ? Questionna mon amie.
Ah non ! Plus depuis au moins la guerre.
Nous restâmes muets tout en la dévisageant. Nous ne savions pas si elle se moquait de nous, si elle avait discuté avec les policiers, les seuls qui étaient au courant de notre nuit. Mais elle interrompit notre silence :
Il parait que le dernier propriétaire était si bon musicien qu’un jour, le diable serait venu lui proposer un défi musical. S’il gagnait, il obtiendrait ce qu’il voudrait. Mais s’il perdait, son âme et son don appartiendrait au diable. Il aurait gagné, mais le diable, mauvais perdant, lui vola tout, le poussant au suicide. Ce qui l’envoya en enfer. Le diable, se sentant coupable d’avoir obtenu une âme aussi facilement, accepta qu’il revienne dans son château chaque nuit d’orage pour jouer.
Et il y a eu un orage cette nuit. Ajouta-t-elle avec un petit sourire.
Je remerciais la dame pour ses explications, ajoutant que c’était une belle histoire. Je préférais laisser cette histoire aux légendes du coin. D’ailleurs, Karen était d’accord : Confirmer une histoire de fantôme pouvait nous être nuisible ainsi qu’au fantôme. Dès lors, je pris le menu et commandai une escalope viennoise. Elle était succulente.
Alex@r60 – août 2023
33 notes · View notes
perduedansmatete · 2 months
Text
hihi @chifourmi m’a tagué pour un jeu!! (merci <3)
are you named after someone? alors techniquement non mais en fait si quand même car mes parents m’ont donné le deuxième prénom de ma sœur mdr aucune personnalité j’ai jamais vu ça nulle part, et j’ai appris il y a quelques mois qu’ils ont failli m’appeler par un de mes prénoms préféré, une idée de ma mère et certainement celui qu’aurait mon enfant si j’en voulais à savoir louison
what sports have you played? j’ai fait environ dix ans d’athlétisme que j’ai dû arrêter à cause de mon corps pourri et quelques mois de kick-boxing ce que j’aime bien raconter même si c’était très court aussi à cause de mon corps pourri ahaha
do you use sarcasm? je suis le sarcasme c’est important quand tu estimes que ta vie c’est de la merde ça la rend plus drôle de prendre les choses de manière sarcastique
what is the first thing you notice about people? si nos énergies vont correspondre je dirais, je ressens très vite si je vais être à l'aise avec quelqu'un ou pas comme c'est assez rare et j’ai pas d’autre idée là comme ça
what’s your eyes color? marron profond (oui maintenant j’arrête de juste dire marron tout court)
scary movies or happy endings? je vais être chiante mais je crois que je suis fan ni de l’un ni de l’autre j’aime les fins tristes et frustrantes et pas plus que ça les films d’horreur ou du moins j’en ai pas vu assez pour pouvoir me prononcer
any talent? je suis souvent la personne ressource, les gens me disent que je suis à l’écoute et qu’on peut compter sur moi
what are your hobbies? rot in bed mdr mais sinon lire, écrire, aller au cinéma quand j’y arrive, pareil pour les choses manuelles comme la couture quand j’ai la motivation, j’aime d’ailleurs bien faire des choses de mes mains pour les gens que j’aime et enfin me prendre la tête pour tout et rien
do you have any pets? non :( mais j’ai quand même ceux de ma sœur et de ma cousine que je garde régulièrement et que j’aime de tout mon cœur, ça compte?
how tall are you? officiellement 1m70 mais en vrai 1m68 (chut)
dream job? ne pas travailler du tout ^^ (j’en ai déjà marre)
et maintenant à vous si vous avez envie: @luc3 @jefaiscequejepeux @wonderbandersnatch @unjournalasoi @batteriefaible
10 notes · View notes
marie-swriting · 10 months
Text
Je Ne Peux Pas Me Permettre De Te Perdre - Bucky Barnes
Tumblr media
Marvel Masterlist
Résumé : Tu te fais tirer dessus pendant une mission, ce qui fait que tu meurs presque dans les bras de Bucky.
Warnings : coup de feu, blessure par balle, reader qui est presque morte, un peu d'angst, John Walker, Bucky est protecteur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
NdA : Ce one shot est basé sur cette request faite par @tieddown-withbattleshipchains , en espérant que ça te plaira ! Personnellement, j'ai adoré l'écrire, ton idée était très inspirante.
Tu entres doucement dans une pièce sombre, tes sens en alerte, à l'affût d’une potentielle menace avec tes matraques en mains. Tu regardes de tous les côtés quand tu vois une ombre venir vers toi. Juste à temps, tu arrives à bloquer le coup d’une Flag Smasher avec ton arme. S’ensuit alors un combat enchainé entre toi et la femme masquée. Malgré le sérum de Supersoldat coulant dans ses veines, tu arrives à t’en sortir plutôt bien. Grâce à tes entraînements avec Bucky, tu arrives à t’adapter facilement à un combat avec une personne ayant une force décuplée. Tu arrives à donner plusieurs coups, mais pas assez pour la mettre K.O. Tu as juste réussi à lui faire perdre son masque, découvrant que ton adversaire est une femme d’environ une vingtaine d’année. Vous continuez à vous battre quand un coup de feu retentit. Les yeux grands ouverts, vous arrêtez de vous battre. En baissant les yeux sur ton ventre, tu vois du sang. La Flag Smasher te pousse avant de fuir pendant que tu tombes au sol. Tu portes ta main sur ta blessure et essayes d’y mettre de la pression, malgré la douleur.
-Y/N ? C’était quoi ça ? Tu vas bien ? demande la voix inquiète de Bucky dans ton oreillette. Y/N ! s’écrie-t-il en ne t’entendant pas répondre.
-J’ai perdu la cible, arrives-tu à articuler après quelques secondes.
-Je vais m’en occuper, informe Sam. Tout va bien de ton côté ? 
Tu n’as pas la force de lui répondre, trop concentrée à ne pas te vider de ton sang. Tu balayes la pièce de tes yeux, espérant trouver le tireur, mais ne vois personne. Tu continues à regarder aux alentours à la recherche de quelque chose pour t’aider, en vain. Ta respiration se fait de plus en plus saccadée quand Bucky apparaît. Une expression inquiète prend place sur son visage alors qu’il accourt vers toi. Avant de t’atteindre, tu l’entends ordonner à Sam d’appeler les secours. Bucky s’agenouille à tes côtés, enlève tes mains et fait pression sur ta blessure. Doucement, tes paupières se font de plus en plus lourdes, mais Bucky te secoue d’une main pour te garder éveiller.
-Je t’interdis de t’endormir, tu m’entends ? Reste concentrée, Sam a appelé de l’aide, ils vont bientôt arriver. 
-J’ai sommeil, balbuties-tu en le regardant avec difficulté.
-Je sais, mais tu ne peux pas fermer les yeux, d’accord ? Tu vas t’en sortir alors reste éveillée. 
-Bucky, je…, commences-tu en posant ta main sur les siennes.
-Non, chut, t’interrompt Bucky avec douceur. Concentre-toi pour ne pas fermer les yeux. Tu me diras ce que t’as à me dire plus tard. Tiens bon, Y/N, tu vas t’en sortir, répète-t-il alors que ses mains se tachent un peu plus de ton sang. 
Tu essayes d’écouter Bucky et fais tout pour ne pas sombrer dans le sommeil, mais plus le temps passe et plus c’est compliqué. Tu commences doucement à abandonner quand les secours arrivent vers vous. Au loin, tu entends juste Bucky hurler ton prénom pendant que tu sombres.
Tumblr media
Quand tu ouvres les yeux, tu te sens attaquée par la lumière du lieu. Tu les refermes pendant une seconde avant de les rouvrir plus lentement. Quand tu t’habitues enfin à la luminosité, tu analyses ton environnement et réalises que tu es dans une chambre d’hôpital. Tes yeux se posent sur Bucky qui est assis à tes côtés, ses mains tenant ta main droite alors qu’il est perdu dans tes pensées. Tu bouges légèrement tes doigts pour attirer son attention. En sentant le mouvement, la tête de Bucky tourne instantanément sur sa gauche. Quand il te voit éveillée, il soupire de soulagement avant de se rapprocher de toi. De sa main gauche, il caresse doucement ta joue.
-Hey, comment tu te sens ? chuchote-t-il.
-Comme si je venais de me faire tirer dessus, dis-tu en essayant de sourire.
-Au moins, on est sûrs de pas l’avoir perdue, intervient Sam, faisant rouler des yeux Bucky.
-Tu as mal quelque part ? Tu veux que j’appelle une infirmière ? Je devrais appeler une infirmière pour la prévenir que t’es réveillée.
-Pas besoin. La perfusion fait encore effet. 
-Ça serait plus sûr et peut-être qu’elles ont besoin de vérifier certaines choses comme tu es réveillée, insiste ton petit ami en appuyant sur le bouton pour appeler une infirmière. 
-Pire qu’une mère poule.
-La ferme, Sam.
-Me faites pas rire, ordonnes-tu en sentant une douleur dans ton ventre alors que tu as à peine rigolé à cause de leur chamaillerie.
-Désolé, s’excuse Sam.
Bucky continue de te regarder comme s’il avait peur qu’en détachant ses yeux de ton visage, tu disparaisses. Tu le regardes avec tendresse, espérant le rassurer en lui confirmant qu’il ne t’a pas perdu. Pendant ce temps, Sam se sent un peu laissé de côté, mais il ne peut s’empêcher de regarder la scène affectueusement, sachant très bien tout ce que tu représentes pour Bucky. 
En effet, depuis ta rencontre avec l’ancien Soldat de L’hiver, tu as toujours fait attention à ce qu’il ne manque de rien. Tu l’as aidé, et l’aides encore parfois, à s’adapter au monde actuel et tu es une des rares épaules sur laquelle il arrive à pleurer, sans honte. Vos sentiments l’un pour l’autre se sont développés doucement et votre relation a changé au même rythme. Votre lien est fort et indescriptible. Tout ce que vous savez c’est que vous ne pouvez pas vivre sans l’autre. Bucky ne peut surtout pas te perdre, pas seulement parce qu’il t’aime, mais aussi car tu es l’une des rares constantes de sa vie depuis qu’il a retrouvé la mémoire. 
Quelqu’un frappant à la porte de ta chambre vous sort de votre bulle. Tu t’apprêtes à saluer une infirmière quand tu découvres John Walker, dans sa tenue de Captain America avec son casque en main. Tu fronces les sourcils, ne t’attendant pas à le voir. 
-John, quel plaisir ! commence Bucky sarcastiquement. Tu es là pour rendre le Bouclier ?
-Buck ! le réprimandes-tu et il te fait un faux air innocent. 
-Je voulais savoir comment vous alliez, Y/N, te demande John en évitant ton regard pendant une seconde.
-Ça peut aller, considérant que j’ai failli mourir. 
-A propos de ça, je voulais m’excuser.
-De quoi vous parlez ? questionnes-tu, les sourcils froncés.
Même si tu n’as pas vu qui t’a tiré dessus, tu supposes que c’était un Flag Smasher, car ta blessure a permis à ton ennemi de s’échapper, enfin jusqu’à ce que Sam la rattrape, alors tu ne comprends pas les excuses de John. 
-Je… J’essayais de viser la Flag Smasher, explique John en jouant avec son casque, mais quand vous étiez en train de vous battre, vous avez changé de place et je vous ai tiré dessus sans faire exprès.
En entendant la fin de la phrase John, Bucky voit rouge et lâche ta main avant d’essayer de se jeter sur John. Sam le retient de justesse, empêchant Bucky de briser la règle numéro deux de sa thérapeute. John recule jusqu’à la porte au cas où Sam n’arriverait plus à retenir Bucky. Ton petit ami se force à ne pas utiliser toute sa force contre Sam, il sait qu’il pourrait se défaire de son emprise facilement, mais il sait que ce n’est pas la chose à faire. Bucky a réussi à obtenir son pardon, il ne peut pas tout ruiner maintenant. Cependant, ça n’empêche pas que John a failli ruiner la relation la plus chère à ses yeux. Déjà que Bucky n’arrivait pas apprécier le nouveau Captain America, maintenant, il n’a qu’une envie : le défigurer ou retourner dans le passé et forcer Sam à garder ce maudit Bouclier ainsi, tu ne serais pas dans ce lit d’hôpital.
-C’était un accident, je le promets, assure John. Je suis vraiment désolé.
-Ils apprennent plus à viser à l’armée ou comment ça se passe ? crache Bucky alors que Sam resserre un peu plus son emprise. Enfin, si tu n’as pas le champ libre, tu tires pas, c’est de la logique ! A cause de toi, Y/N a failli y passer et on a presque pas arrêté la Flag Smasher. C’est pas possible d’avoir aussi peu de réflexion ! 
-Bucky, il a pas fait exprès, interviens-tu, espérant détendre l’atmosphère.
Même si tu détestes John autant que Bucky, tu ne veux pas que ton petit ami lui refasse le portrait. Tu ne peux pas avoir Bucky comme ennemi numéro un du gouvernement américain à nouveau. 
-Je m’en fiche de ça, te rétorque Bucky. T’as failli mourir dans mes bras à cause de son incompétence, continue-t-il en pointant John du menton. Tu parles d’un Captain America ! Rien que pour ça, tu devrais rendre le Bouclier.
-C’était une erreur. Et puis, je viens tout juste d’être Captain America, j’ai encore beaucoup à apprendre, tente de se défendre John, énervant un peu plus Bucky.
-Ne pas tirer sur les innocents ne devrait pas en faire partie ! Ça, t’es censé l’avoir appris au début de ton entraînement à l’armée. C’était bien plus qu’une erreur. T’as intérêt à partir maintenant avant que je fasse de toi un résident permanent dans cet hôpital. 
-Vous devriez partir, John, confirmes-tu, sachant très bien que la colère de Bucky ne va pas redescendre tout de suite. Merci de m’avoir dit la vérité.
-C’était le moins que je puisse faire. Encore désolé, Y/N.
Quand John quitte enfin la pièce, Sam relâche doucement Bucky, mais reste prêt à tenir de nouveau Bucky au cas où. Ton petit ami prend une profonde inspiration avant de poser son attention sur toi à nouveau. Même s’il a l’air plus calme, tu vois à ses yeux que la colère est toujours présente. Il se rassoit à tes côtés alors que Sam s’installe au bord de ton lit.
-Tout ça aurait pu être évité si tu n’avais pas donné le Bouclier, s’exclame Bucky, faisant rouler tes yeux et ceux de Sam.
-Encore avec ça.
-Comment tu peux ne pas être énervée contre lui alors qu’il t’a presque tué ? te questionne-t-il, perdu.
-Ecoute, tu sais très bien ce que je pense de lui comme Captain America et aujourd’hui nous prouve un peu plus que ça ne devrait pas être lui, mais le fait est qu’il ne m’a pas blessé intentionnellement. 
-Intentionnellement ou pas, j’aurais pu te perdre.
-Et ce n’est pas le cas. Je suis toujours là, lui assures-tu en caressant sa joue. 
Bucky est sur le point d’ajouter quelque chose quand l’infirmière qu’il a appelée entre dans ta chambre. Elle vérifie tes constantes, te pose quelques questions et t’informe que ton médecin passera plus tard avant de te laisser te reposer. Grâce à son intervention, Bucky laisse enfin le sujet “John” de côté, même s’il fulmine encore. Pour détendre l’atmosphère, Sam change de sujet en évoquant sa maison en Louisiane. Il parle des températures, de son bateau familial et des différentes activités que sa ville natale a à offrir jusqu’à ce que ton médecin l’interrompe. Elle t’explique qu’ils ont réussi à te sauver pile à temps et que tu auras une cicatrice sur ton ventre. Enfin, elle t’informe que tu vas devoir te ménager pendant un moment, t’interdisant formellement de retourner sur le terrain jusqu’à nouvel ordre. Tu ne peux t’empêcher de pousser un soupir de frustration à sa dernière information. La dernière chose dont tu avais besoin c’était de rester clouée au lit. Quand elle quitte ta chambre, Bucky essaye de te faire voir le bon côté des choses, sachant très bien que tu es agacée par ta situation actuelle. Cependant, peu importe ce qu’il dit, ça ne semble pas être suffisant pour faire disparaître la moue sur ton visage. Sam te propose alors de venir faire ta convalescence chez lui en Louisiane, loin de la ville. Tu pèses le pour et le contre avant d’accepter, non sans faire lever les yeux de Bucky au ciel. 
Tumblr media
Quand tu es enfin autorisée à partir de l’hôpital, tu découvres l'État où vit Sam. Ce dernier vous a laissé, à toi et Bucky, la chambre d’amis. Tu l’as remercié un nombre incalculable de fois pour sa gentillesse alors que Bucky lui a seulement lâché un petit sourire pour montrer sa gratitude. 
Pendant ta convalescence, les deux hommes sont aux petits soins pour toi. Sam te fait découvrir les plats typiques de la région ou encore ses recettes de famille. Tu dois avouer que Sam est doué en cuisine, ce que tu n’aurais pas cru au premier abord. Sam t’apporte également des choses à faire pour t’occuper depuis le lit, comme des jeux de société ou des activités manuelles. Tu te considères maintenant pro dans la création de bracelets avec des perles en plastique. Tu en as fait pour Sam, sa sœur Sarah et ses fils AJ et Cass, mais également pour Bucky. À part AJ et Cass, Bucky est celui qui en a le plus avec des mots mignons ou ridicules allant de “mon amour” à “grincheux”. Certains de tes bracelets sont en parfait contraste avec son bras en Vibranium. 
Bucky, quant à lui, est toujours à tes côtés et s’inquiète même quand tu affirmes que tu n’as pas de douleur. Il t’aide à nettoyer ta blessure, changer ton pansement et s’assure que tu es toujours dans une bonne position pour dormir. Enfin, le soir quand tu es dans les bras de Morphée, Bucky te colle - tout en faisant attention à ta blessure - en posant délicatement sa tête sur ta poitrine pour écouter les battements réguliers de ton cœur. En les entendant, Bucky arrive à respirer et à s’endormir paisiblement tout en se répétant que tu es encore en vie, tu es encore à ses côtés, il ne t’a pas perdu. 
Après plusieurs semaines allongée, tu peux marcher une plus longue distance que celle de ta chambre à la salle de bain. Assise sur le lit, tu enfiles tes chaussures quand un Bucky avec des yeux grands ouverts vient vers toi.
-Je peux savoir ce que tu fais ? Tu dois te reposer, te rappelle-t-il, t’empêchant de finir de lacer ta chaussure gauche.
-Le docteur m’a dit que je devais marcher pour aider la guérison, expliques-tu en jouant avec les perles de son bracelet formant le mot “vieillard”.
-C’est quel genre de conseil idiot, ça ? Tu dois rester au lit.
-Bucky, si je reste une seconde de plus sur ce maudit lit, je vais le cramer, informes-tu avec un air sérieux. Et puis, je ne vais pas courir un marathon, je vais juste marcher très lentement aux alentours de la maison. Viens avec moi, si ça peut te rassurer.
-Et si tu te faisais mal en marchant ? s’enquiert-il et tu te retiens de lever les yeux au ciel.
-Alors heureusement que mon merveilleux et fort petit ami sera à mes côtés pour m’aider. Bucky, je vais bien, assures-tu en le regardant dans les yeux. Je n’ai pas mal et j’ai besoin de bouger. Je n’en peux plus de faire la plante verte dans cette maison. Je connais tous les recoins de cette chambre, j’ai besoin de sortir.
Bucky semble considérer la situation, pesant mentalement le pour et le contre avant de soupirer et de hocher la tête. 
-Bon, d’accord, mais si tu ressens ne serait-ce qu’une petite douleur, tu as intérêt à me le dire et on rentre, ordonne-t-il en défaisant ton lacet gauche pour le refaire, et on ne marche pas plus de cinq minutes, finit-il.
-Quinze, négocies-tu.
-Dix. 
-Vendu, acceptes-tu avec un regard enfantin.
Bucky termine de lacer ta basket droite avant de te donner sa main pour t’aider à te lever tout en examinant ton visage pour le moindre signe de douleur. Pour lui prouver que tout va bien, tu lui souris avant d’embrasser ses lèvres chastement. Il prend ton bras droit et le place sur le sien pour te soutenir alors que vous quittez doucement votre chambre provisoire. En sortant - enfin - de la maison, tu prends le temps d’apprécier la chaleur du soleil sur ton visage. Vous marchez alors que tu partages à Bucky toutes tes observations sur le paysage s’offrant à vous. Depuis ton arrivée, tu n’as pas eu le temps d’admirer la beauté extérieur de la maison de Sam donc, tu regardes chaque arbre, fleur et vague, profitant de la nature que tu n’as pas à Brooklyn. 
Après quelques minutes de marche, tu demandes à Bucky de vous arrêter. Tout de suite, il te questionne, inquiet que tu risques de tomber dans les pommes à n’importe quel moment.
-Je vais bien, le rassures-tu, mais son expression inquiète ne quitte pas son visage.
-Désolé d’être autant sur ton dos, mais je veux juste m’assurer que tu ailles bien.
-Je sais. 
-Tu penses que je suis lourd ? questionne-t-il en touchant le bracelet avec l’inscription “mon ange”.
-Non, je trouve ça mignon la façon dont tu t'inquiètes, dis-tu en relevant son visage de ta main. Tu es une vraie mère poule et j’adore ça, ajoutes-tu, le faisant légèrement rire.
-Est-ce qu’on peut réellement m’en vouloir, j’ai bien cru que j’allais te perdre, dit-il en se remémorant le moment où il t’a rejoint pendant que tu te vidais de ton sang. Quand tu as commencé à fermer les yeux, j’étais persuadé que c’était fini. Et je ne peux pas te perdre, affirme Bucky d’une voix tremblante. Je sais que je ne te le dis pas souvent, mais ma thérapeute me dit que je dois apprendre à mieux communiquer ce que je ressens alors, je te le dis : Tu es importante pour moi, j’ai besoin de toi pour continuer à avancer. Ça peut paraître égoïste, mais je ne peux pas me permettre de te perdre et si ça devait arriver… je ne sais pas ce que je deviendrais, continue-t-il avec les larmes aux yeux. J’ai besoin de toi auprès de moi. Je t’aime tellement.
En voyant une larme couler sur sa joue, tu le prends dans tes bras et caresses son dos. Il cache son visage dans le creux de ta nuque et inspire ton odeur. Une partie de Bucky se sent mal d’être celui qui reçoit le réconfort alors que tu es celle qui a été blessée, mais il en a besoin. Te perdre est sa plus grande peur et depuis que John t’a tiré dessus, il a pris conscience que se peur pouvait se réaliser en une seconde. Tu continues à le serrer contre toi, lui prouvant que ça ne te dérange pas de le réconforter, car tu le comprends. 
-Je t’aime aussi, Bucky, murmures-tu dans son oreille. Tellement. 
Vous restez enlacés pendant quelques minutes jusqu’à ce que votre anxiété s’évanouisse. Quand vous vous séparez, une de tes mains se pose sur la joue de Bucky alors que la deuxième caresse le bracelet avec les perles “pour toujours” avant de prendre sa main gauche. 
-Je ne peux pas te promettre que je serai toujours en sécurité à cause de notre métier, mais je peux te promettre une chose : je ferai toujours tout ce que je peux pour rester à tes côtés et je veux que tu me promettes la même chose car j’ai besoin de toi autant que tu as besoin de moi. 
-Promis.
Comme pour sceller votre promesse, vous vous embrassez délicatement avec le soleil se couchant comme témoin. Bucky ne pose pas ses mains sur tes hanches, craignant de te faire mal involontairement donc ses mains trouvent leur chemin sur tes joues alors que les tiennent se perdent dans ses cheveux.
Marvel Mastelist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
10 notes · View notes
ldngwkshsbnd · 4 months
Text
alors j’ai une question, est-ce que ça vous dirai que je refasse les commentaires des épisodes 1,2,3 et 4? parce que j’ai commencé ici à partir du 5 et que je vais me retaper la série. du coup à voir avec mon temps. ça va être fait sur une longue durée, faut pas croire, mais je voulais savoir si ca vous plairait. ça me stress un peu que quand c’est ranger ça commence au 5. et oui je vais avancer aussi sur les commentaires de l’épisode 12 j’ai bientôt fini, donc chut.
2 notes · View notes
spottys-rathole · 1 year
Note
Pour l'ask game : 18, 19, 25 ? (Soit les trois, soit ton préféré des trois)
Refering to this Ask Game [ENGLISH UNDER THE CUT] 18. Il y a-t-il des projets que tu souhaiterais mettre en œuvre ? Comme des bandes dessinées, un court-métrage, une série, etc ? Oh et comment
Tumblr media
OngakuK sur Twitter
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Marcello qui chiale, ma muse
Tumblr media
[alt : Vidéo capturée dans mon logiciel de montage de l'animatique en question qui dure plus de 3min. La vidéo ne montre que l'intro, à savoir les couloirs vides d'un commissariat la nuit, à l'exception d'un chien (Le Iench) qui reste assis dans l'entre d'une porte menant à une pièce dont la lumière est allumée. Le chien se retourne prenant un air humain plutôt dérangeant et souris vicieusement en posant un doigt devant ses babines comme pour dire "chut". alt fin]
Tumblr media
(Je m'attendais pas à parler autant désoooo, je me rend compte que c'est très long alors je répondrai aux autres questions sur des postes séparés)
18. Do you have any larger projects you’d like to pursue ? Like comics, shortfilm, a series, etc ? Oh you bet
Tumblr media
OngakuK on Twitter
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
(see above for video, only one per post oops Tumblr !) [alt : Video recorded on editing program of the said animatic, it's longer than 3min. The video only shows the intro, an empty police station corridor at night, except for a dog sitting in front of an open door from which light comes out. The dog turns around taking a more disturbing human-like attitude and smirks straight into the camera, holding a finger to its lips in a "shush" motion. alt end]
Tumblr media
(Did not expect to blabber that much I'm sooooorry, I'm noticing how long it is so I'll answer the rest in different posts )
10 notes · View notes
uniqueivresse · 1 year
Text
J'aurais voulu éviter croiser ton regard si doux et tes paroles enivrantes. Pouvoir laisser partir au loin cette rencontre indescante au point de rencontre.
Je suis tombée petit à petit dans tes bras, plongée dans les nuages, je rêvais d'amour sans problèmes, doutes & trahisons. Je pensais que j'avais trouvé celui qui m'avait sortie de l'ombre, celui qui me montrait le chemin du vrai amour. Celui où, tu sacrifiais tout, pour voir la personne heureuse.
Je me perdais dans ton emprise, dans ton empire qui n'était qu'un château de sable. Bercée d'illusions, je t'ai donné mon cœur et mon âme. Ce sont ces mots qui m'ont attiré, toujours des mots, qui m'ont séduite et détruite.
Pour m'en sortir, j'ai du sortir mon arme. J'ai assimilée que l'enfer le plus meurtrier est celui de l'amour. Il s'imice dans les parties les plus intimes, jusque dans le lit. De l'état de "princesse" je suis devenue qu'une "allumeuse, bonne qu'à baiser". Des mots. Toujours des mots.
Mon sourire, mon rire se sont effacés au prix de mon silence. Au prix de l'isolement et de l'anéantissement d'une vie de famille et d'amis. Je me suis engouffrée et ai satisfait tous tes plaisirs au détriment de mon ressenti. J'ai oublié qui j'étais en te donnant la pureté de mon innocence.
Tu as laissé une empreinte indelibile, celle où la violence économique, psychologique, physique rythme avec amour. Moi qui suit la femme de ta vie.
La main tendue, j'ai essayé de t'aider car je t'aimais mais tu n'étais pas d'humeur, alors... Mais chut, tiens : un peu de douceur, de mots et de cadeaux, ce n'était qu'un leurre.
Tu as basculé ma vie dans le gouffre infernal du noir. Plus rien ne pétillait, je voulais que tu m'oublies. Je voulais ne plus exister pour que tu arrêtes toutes ces choses inavouables. Alors j'ai arrêté de vivre, méritais je autant que tu me punisses ? Toi qui m'a pris bien plus qu'un amour mais une vie.
Tu as basculée Ma vie. Sache que je t'ai souvent cherché des années après en me disant "Reviens. Je n'ai pas fini de t'aimer". Pour me protéger j'ai du partir, avec juste ce qu'il me restait.
Une part de moi même avec un petit bout de nous. Mais chut, le silence est la clé de tout ce prestige.
7 notes · View notes
minashiro-mcl-etc · 1 year
Text
Armin Épisode 5 - 100 Continue (solution)
ILLUSTRATION PROPOSITION
Armin n°1
De ce que je veux qu’on fasse de notre week-end, plutôt: c’est un jeu co-op!
A. (Je me suis forcée à sourire. Ce n’est pas vraiment ce que j’avais imaginé...) B. ( J’ai souris largement. Passer le week-end sur un jeu ne peut que me faire du bien!) Illustration
Armin n°2
Je vois, direct dans le vif du sujet! Parfait! Illustration Il n’y a pas d’écran titre? Pas de menu, rien...?
Choix de la tenue: AFK 195G (Lance / Épée 65G, Gants 20G, Robe 70G, Bottes 40G)
Armin n°3 (neutre, sans conséquence)
Non non, prends celui que tu préfères, je prendrai l’autre!
A. Ok! Alors je prends le chevalier, si ça te va. (tenue rouge) B. Très bien, alors je prends le mage, si c’est bon pour toi. (tenue bleu)
Armin n°4
C’est quand même une grosse responsabilité...
A. C’est long surtout. On joue bientôt, tu penses? B. Chut! On est les seuls à pouvoir le faire! Illustration
Le maire Deraim n°1
Aventuriers! Acceptez-vous cette noble et dangereuse quête?
A. Tu crois qu’on peut dire non? Ça a l’air compliqué. B. Allez, Armin, il faut dire oui! Tu vois bien qu’on est leur seule chance! Illustration
Le maire Deraim n°2
Après quoi je vous délivrerai la CLÉ du TOMBEAU DES VOIES PERDUES.
A. Il est sérieux?! Le monde est en danger, on a dit! B. Parfait! Ça nous mettra en jambes pour sauver le monde! Illustration
Armin n°5
Alors, comment tu veux faire? Tu prends ceux des tomates, je prends ceux des citrouilles?
A. Je ne sais pas... Ils son mignons, non? J’ai pas envie de les tuer... B. Hahaha! Comme si j’allais t’en laisser la moitié! Illustration
Armin n°6
Le maire va pouvoir faire de bonne soupe grâce à nous!
A. Je trouve qu’on démarre très fort! Illustration B. Allons le voir justement, on a pas toute la nuit.
Objectif N°1 - Rends-toi au tombeau des voie perdues.
Armin n°7
Bon. Tu es prête à affronter un labyrinthe “truffé de monstres et de Piège”?
A. Je suis plus que prête, je suis impatiente! Illustration B. Je ferais bien une pause, avant de nous lancer.
Objectif N°2 - Entre dans le labyrinthe.
TATA
Condition: Avant d’entrée. Lieu: Village Cadeau: Fauteuil gaming Coût: 18 PA
Armin n°8 (neutre)
On peut essayer... Qu’est-ce que t’en penses?
A. Franchement, comme tu veux. Vas-y on essaie de foncer, on sera plus vite fixés. B. Je trouve ça tiré par les cheveux. Restons prudents.
Armin n°9
Qu’est-ce que tu penses qu’il faut faire?
A. On devrait rester ensemble. Nous séparer ne peut pas être une bonne idée. B. Allons au plus simple: chacun prend sa couleur. C. Chacun prend la couleur de l’autre? Complémentarité, tout ça...? Illustration
Armin n°10
A. On est vraiment des aventuriers hors pair! Illustration B. C’est trop facile, c’est même pas drôle!
Armin n°11
Le pauvre Nath a perdu un pari... Encore...
A. Moi aussi, je peux parier? On pourrait avoir le double de burgers! Illustration B. Tu lui a Vraiment fait traverser toute la ville?! C. J’espère que ce n’est pas le même genre de paris que tu fais avec moi...?
Nathaniel
A. Tu peux nous regarder jouer un peu, si tu veux. B. Aller, tu me fais de la peine. Prends ma place un moment, si tu veux. C. Pas de chantage affectif avec moi, il faudra attendre ton tour! Illustration
Armin n°12
A. Tu diras à ton pote que son labyrinthe est décourageant B. Tu pourras dire à ton pote que son labyrinthe est très réussi! Illustration
Ephraim Dred
Pourquoi n’ai-je pas écouté la mise en garde de L’ORACLE AVEUGLE?!
A. Oui, bon, on a compris, c’est bon, meurs! B. Ahahah! C’est tellement too much! Illustration
Armin n°13
À mon avis on a fini, il n’y a plus de danger.
A. Si il n’y a plus de danger, J’ai bien une autre idée, pour... célébrer notre victoire...
B. Magnifique,! Je m’en vais l’ouvrir de ce pas! Illustration
Tumblr media
C. Bon, très bien, finissons-en!
Tumblr media
Coût de l’épisode 706PA (avec Tata)
---------------------------------------------------------------------
ILLUSTRATION HOT
Armin n°1
De ce que je veux qu’on fasse de notre week-end, plutôt: c’est un jeu co-op!
A. (Je me suis forcée à sourire. Ce n’est pas vraiment ce que j’avais imaginé...) B. ( J’ai souris largement. Passer le week-end sur un jeu ne peut que me faire du bien!) Illustration
Armin n°2
Je vois, direct dans le vif du sujet! Parfait! Illustration Il n’y a pas d’écran titre? Pas de menu, rien...?
Choix de la tenue: AFK 195G (Lance / Épée 65G, Gants 20G, Robe 70G, Bottes 40G)
Armin n°3 (neutre, sans conséquence)
Non non, prends celui que tu préfères, je prendrai l’autre!
A. Ok! Alors je prends le chevalier, si ça te va. (tenue rouge) B. Très bien, alors je prends le mage, si c’est bon pour toi. (tenue bleu)
Armin n°4
C’est quand même une grosse responsabilité...
A. C’est long surtout. On joue bientôt, tu penses? B. Chut! On est les seuls à pouvoir le faire! Illustration
Le maire Deraim n°1
Aventuriers! Acceptez-vous cette noble et dangereuse quête?
A. Tu crois qu’on peut dire non? Ça a l’air compliqué. B. Allez, Armin, il faut dire oui! Tu vois bien qu’on est leur seule chance! Illustration
Le maire Deraim n°2
Après quoi je vous délivrerai la CLÉ du TOMBEAU DES VOIES PERDUES.
A. Il est sérieux?! Le monde est en danger, on a dit! B. Parfait! Ça nous mettra en jambes pour sauver le monde! Illustration
Armin n°5
Alors, comment tu veux faire? Tu prends ceux des tomates, je prends ceux des citrouilles?
A. Je ne sais pas... Ils son mignons, non? J’ai pas envie de les tuer... Illustration B. Hahaha! Comme si j’allais t’en laisser la moitié!
Armin n°6
Le maire va pouvoir faire de bonne soupe grâce à nous!
A. Aller, Allons-y! Hauts les cœurs! Illustration B. J’ai le temps de finir mon macchiato?
Objectif N°1 - Rends-toi au tombeau des voie perdues.
Armin n°7
Bon. Tu es prête à affronter un labyrinthe “truffé de monstres et de Piège”?
A. Je suis plus que prête, je suis impatiente! B. Je ferais bien une pause, avant de nous lancer. Illustration
Objectif N°2 - Entre dans le labyrinthe.
TATA
Condition: Avant d’entrée. Lieu: Village Cadeau: Fauteuil gaming Coût: 18 PA
Armin n°8 (neutre)
On peut essayer... Qu’est-ce que t’en penses?
A. Franchement, comme tu veux. Vas-y on essaie de foncer, on sera plus vite fixés. B. Je trouve ça tiré par les cheveux. Restons prudents.
Armin n°9
Qu’est-ce que tu penses qu’il faut faire?
A. On devrait rester ensemble. Nous séparer ne peut pas être une bonne idée. B. Allons au plus simple: chacun prend sa couleur. C. Chacun prend la couleur de l’autre? Complémentarité, tout ça...? Illustration
Armin n°10
A. On est vraiment des aventuriers hors pair! Illustration B. C’est trop facile, c’est même pas drôle!
Armin n°11
Le pauvre Nath a perdu un pari... Encore...
A. Moi aussi, je peux parier? On pourrait avoir le double de burgers! B. Tu lui a Vraiment fait traverser toute la ville?! C. J’espère que ce n’est pas le même genre de paris que tu fais avec moi...? Illustration
Nathaniel
A. Tu peux nous regarder jouer un peu, si tu veux. B. Aller, tu me fais de la peine. Prends ma place un moment, si tu veux. C. Pas de chantage affectif avec moi, il faudra attendre ton tour! Illustration
Armin n°12
A. Tu diras à ton pote que son labyrinthe est décourageant B. Tu pourras dire à ton pote que son labyrinthe est très réussi! Illustration
Ephraim Dred
Pourquoi n’ai-je pas écouté la mise en garde de L’ORACLE AVEUGLE?!
A. Oui, bon, on a compris, c’est bon, meurs! B. Ahahah! C’est tellement too much! Illustration
Armin n°13
À mon avis on a fini, il n’y a plus de danger.
A. Si il n’y a plus de danger, J’ai bien une autre idée, pour... célébrer notre victoire... Illustration B. Magnifique,! Je m’en vais l’ouvrir de ce pas! Illustration C. Bon, très bien, finissons-en!
Armin n°13
Il reste plus qu’à ouvrir le coffre...
A. Tu as raison, on doit finir de sauver le monde!
B. Tu as dit qu’il n’y avait plus de danger, on a tout notre temps. Illustration
Tumblr media
C. Bon, d’accord. Je vais ouvrir le coffre. Et après...
Coût de l’épisode 748PA (avec tata)
5 notes · View notes
rewindthetimee · 1 year
Text
ENSEMBUKUBU STARS !! CRY WOLF—Bienvenue au WOLFes !!!!! Partie B
Lieu : Parc Pattoune ☆ Ouaf Ouaf
Tumblr media
Hinata: Ouah~ J’ai jamais vu autant de toutous de toute ma vie !
Yuuta: Ce WOLFes a vraiment tout d’un évènement qui ne se déroule qu’une fois par siècle !
Koga: Oh, je vois un distributeur automatique qui vend des friandises pour chien à seulement une balle !!
Mao: Et tu as l’intention d’en manger ?
Rei: Chut ! Ça commence.
Roi Loup: Loups et louves, soyez les bienvenus. Ce soir, nous levons le rideau sur le tant attendu WOLFes !
Roi Loup: Alors soyez prêts ! Ensemble, hurlons nos vœux à la pleine lune…!
Loups: AOUUUUUUUH !
AOUUUUUUUH !
OUAF OUAF OUAF ♪
Yuuta: Aaaah, un chihuahua ! Comme c’est mignon~♪
Loup 1: Attendez…! Il y a des humains parmi nous ! [1]
Loup 2: Des humains !?
Loup 3: Des humains tu dis…!?
(Bruits d’agitation)
Hinata: Hé, je… Je crois que ça sent mauvais pour nous.
Loups:(Bruits de grognements)
Mao: Ouah, on est encerclés !
Koga: Quoi [2] !? J’ai rien vu venir !?
Rei: Pourtant je n’ai fait que suivre ce qui était écrit sur le site internet officiel de l’évènement… Comme c’est étrange.
Tumblr media
Roi Loup: Attendez. C’est moi qui les ai convoqués ici.
Loups: V-votre majesté !?
P-pourquoi voudriez-vous convoquer des humains ici…? S’il vous plaît, prouvez-nous qu’ils sont dignes d’être des loups solitaires !
Rei: Ça me semble assez raisonnable…
Koga: H-hé, t’es sûr de ton coup, Sakuma !?
Mao: On dirait qu’il a une idée en tête ?
Rei: Bien évidemment. Faites-moi confiance.
Premièrement, laissez-moi chercher la définition du mot “solitaire” dans un dictionnaire.
Le mot “solitaire” sert à décrire des personnes fières qui ont un raisonnement différent du courant de pensée dominant, n’ont aucun intérêt pour les banalités et gardent leurs adversités pour eux-mêmes.
Ici, c’est la section “personnes” qui nous intéresse.
Après tout, le mot “solitaire” est aussi utilisé afin de décrire les êtres humains. Alors quand vous parlez d’un “loup solitaire”, vous voulez dire “un loup qui est aussi solitaire qu’un humain”.
Et comme c’est écrit dans le dictionnaire, je pense pouvoir affirmer que ce fait est difficilement contestable… Bref, je présume que vous comprenez ce que je veux dire par là. Ou ai-je tort ?
Mao: Oh… Il essaie de s’en sortir en chipotant sur des détails…!
Loups: Mais d’abord, vous n’êtes même pas des loups !?
Rei: N’avez-vous pas écouté ce que je viens de dire ?
L’essence du mot “solitaire” demeure dans son usage destiné à décrire les humains. Aussi longtemps qu’être humain servira de pré-requis pour définir un état solitaire, alors l’expression “un loup solitaire” servira toujours à nous décrire nous…
De ce fait, si vous nous demandez en quoi nous sommes des “loups solitaires”... Hé bien je partirai du postulat que vous faites référence à un humain, voilà tout.
Donc, dès l’instant où vous prononcez le mot “solitaire”, vous admettez déjà que les humains sont égaux aux loups.
Loups: Mais qu’est-ce que vous racontez !?
Rei: Très bien, très bien~ Vous ne saviez pas que les humains sont les créateurs du mot “solitaire”? Qui êtes-vous, alors, pour questionner si nous sommes solitaires ou non~?
Vous faut-il plus d’explications ? Ça ne me dérange pas ! Levez la patte si vous n’avez pas compris~! Je peux continuer comme ça jusqu’au lever du soleil, vous savez.♪
Loups: D’accord, d’accord, si vous le dites… Bon Dieu…
Rei: Bien, alors c’est l’heure du concert, les garçons.☆
Tumblr media
Mao: Je me sens si mal à l’idée de donner un concert avec une ambiance aussi tendue…
Roi Loup: Rei Sakuma… Je ne m’attendais pas à ce que tu viennes accompagné de Koga.
Rei: Ça faisait longtemps, Roi Loup… Je ne pouvais pas me contenter de rester en simple spectateur après avoir vu ton nom sur l’affiche, l’ami. Sans compter qu’il s’agit du légendaire WOLFes…
Hinata: N’essaie pas de donner de la profondeur à ton personnage durant un Poisson d’Avril, d’accord ?
Yuuta: Pour ta gouverne, cet épisode n’a strictement rien à voir avec l’histoire officielle~!
Koga: Hé, c’est l’heure de l’annonce du vainqueur !
Loup: Maintenant que tous les loups solitaires ont terminé leur performance, j’aimerais vous annoncer le nom du grand gagnant de ce concert !
Tumblr media
Koga: Si je gagne, je deviendrai un vrai loup solitaire, ce qui veut pas dire que je me sens seul ou quoi que ce soit, c’est juste ma façon de vivre !
Y a aussi des moments où nous autres, les mecs solitaires, se regroupons pour faire de grandes choses ensemble !
Ouais, j’veux dire… Tous ces gars, chacun d’entre eux… Ils sont tous sans l’ombre d’un doute des loups solitaires !!
Rei: … (pose une main sur la tête de Koga.)
Koga: Sakuma… M-me caresse pas comme si j’étais un chien.
… Pense même pas à me faire cracher des remerciements.
Rei: … (rayonne)
Loup: Et le grand gagnant est… L’extraordinaire groupe de Daichiki et Leon : “D'z” [3]!!!!!!!!!!!!!!!
AMOGUS ඞ
Feur
Nuts. À part ça, Daichiki est le chien de Subaru et Leon est le chien de Koga (comment c'est possible ? J'en sais rien)
5 notes · View notes
dooareyastudy · 1 year
Note
Coucou, question un peu bizarre: est-ce que tu as fréquenté / ou fréquentes Mcdo ? C'est quoi tes trucs préférés chez eux ? et sinon tu connais une alternative pas trop chère ?
Oh, qu'est-ce qu'une petite question bizarre de temps en temps après tout !
Je viens d'un endroit où il fallait faire environ 2h de route pour tomber sur le premier fast-food (qui était un Quick je crois) donc quand j'ai déménagé en ville à l'adolescence, avoir un McDo à 10 minutes en bus de chez moi, ça a été une révolution. J'y allais dès que possible, et pour manger tout et n'importe quoi.
Ça m'est rapidement passé (lire : mes parents ont arrêté de me filer de l'argent de poche). Et je ne me souviens même plus de la dernière fois que j'ai mis les pieds dans un McDo (j'ai dû aller manger dans un Quick récemment contre mon gré, c'est une expérience qui a laissé un certain traumatisme chez moi donc chut). Même les frites de McDo me semblent hyper décevantes (alors que bon, des frites quoi..... c'est pas censé être le truc le plus satisfaisant ?).
Une alternative pas trop chère ? A part les autres chaînes de fast food dont je ne t'apprendrais pas l'existence, je ne vois pas trop quoi te dire ! Dans ma ville, il y a quelques restos de burgers qui ont un rapport qualité (et quantité) / prix bien supérieurs à McDo donc je me tourne vers ça quand j'ai envie d'un burger ! Peut-être qu'il y a ce genre de choses vers chez toi aussi ?
Et sinon, tu as toujours l'option burger maison (si si, je te jure, si tu trouves une boulangerie qui fait des pains burgers, il te reste qu'à coller un steak de ton choix dedans, une tranche de fromage, la salade et les tomates pour faire joli et la dose de sauce et McDo pourra mettre la clé sous la porte, liquidation judiciaire immédiate si tu rajoutes des petits oignons caramélisés qui prennent 10 minutes à faire).
1 note · View note
emeritus-moon · 1 year
Text
{FRENCH} Swiss x Gn!Reader
Tumblr media
Demande : Non
Genre : Neutre
Qui : Swiss
N/A : J'ai vu une vidéo sur Tiktok. (par cedricdiggoryhasmyheart, je vous invite à aller voir son contenu) Cette vidéo parlait de nous avec notre Comfort Character au lit. C'était assez triste, mais beau à la fois. Ca m'a alors donné l'idée de : "Et si je refaisais ce scénario avec une des Ghouls?" J'ai alors sélectionné Swiss pour ce One Shot. C'est court mais, s'il vous plaît mes petites chauves-souris, profitez. <3
- - - : Timeskip
~ ~ ~ : Flashback
- - - 
Avec Swiss, vous êtes tranquillement installés dans ton lit. La Ghoul te tient contre son corps, ses bras enroulés autour du tien.
Tu somnole un peu pendant que Swiss dépose un baiser sur ton front. Tu rouvres doucement les yeux alors qu'ils se fermaient et un sourire se dessine sur tes lèvres.
Tu te tournes vers Swiss et lui chuchote :
"- Je t'aime..."
La Ghoul te sourit mais avant qu'il ne puisse te répondre, tes sourcils se froncent et ton regard se rempli de peine alors que tu continues :
"- Mais tu viens d'un Lore, tu n'es pas-"
Tu n'as pas le temps de finir ta phrase que ta Ghoul favorite presse un doigt contre tes lèvres en murmurant un simple "chut...".
"- Je suis là, mon amour. Tout va bien. Je te tiendrai quand tu t'endormiras et j'attendrai pour toi toute la nuit jusqu'à ce que les premiers rayons de soleil touche ta peau."
En parlant, Swiss caresse tes cheveux avant de prendre ton visage en coupe et de l'embrasser de partout.
Tu lui offres un faible sourire et alors que tu fermes les yeux, tu sent une larme tomber sur ton front. Cela te fait resserrer ton emprise sur le mâle, le serrant un peu plus dans tes bras.
En ressentant la chaleur et le confort qu'offre son étreinte, tu commences à t'endormir. Seulement, tu l'entends alors murmurer à nouveau, mais avec une voix brisée :
"- Pour l'éternité, mon coeur, et l'au-delà..."
Sur ces derniers mots, tu t'endors paisiblement sur sa poitrine pendant qu'il te garde dans ses bras, prenant soin de toi chaque seconde qui vient.
6 notes · View notes
jules-and-company · 9 days
Text
bon allez hop le liveblog très en retard du documentaire sur les liaisons dangereuses avec les deux pétasses en chef merteuil-elsa lepoivre et valmont-génovèse
- ouais alors là les gars it’s called breaking character ça se voit beaucoup trop que vous êtes en copinage
Tumblr media
- he. he is on this bed kicking his feet like a schoolgirl (tout en lisant une lettre putesque au possible)
Tumblr media
- grmrmmrmrmbr le FACE À FACE
Tumblr media Tumblr media
- éric tu stoppes de suite avec ce regard j’ai des réminiscences d’aschenbach là
Tumblr media
- GRMRMGMRLMRMRR EUX
Tumblr media Tumblr media
- éric passion être en travers de la porte de manière dramatique
Tumblr media
- jfjfjdjdjdjdjdjs CHUT. ferme mieux ta gueule. LACLOS POURQUOI PAS L’AVOIR MISE CELLE-LÀ
0 notes
ditesdonc · 5 months
Text
L'Histoire sans nom
Court roman écrit par Apolline KUBUCK, 2023.
Nous avions publié le chapitre 1 dans le premier numéro de la revue. Et maintenant la suite! Manon, onze ans, orpheline rusée, est devenue voleuse pour survivre. A la fin du chapitre précédent, elle s'apprêtait à cambrioler une banque...
Chapitre 2 "La rencontre"
Je voulus entrer, mais je vis, stupéfaite, que la porte était déjà ouverte. Je sentis alors quelqu’un me prendre et m’emmener dans un coin de la banque. Je voulus crier mais une main m’en empêchait. J’avais des frissons partout, je n’arrivais même pas à regarder la personne. Je sentis les larmes me monter aux yeux.
« Que fais-tu ici ? me demanda cet inconnu.
- Je, je …
- Tu voulais braquer cette banque n’est-ce pas ?
- … Oui, mais s’il vous plaît ne me dénoncez pas à la police, je vous donnerai tout ce que vous voulez en échange. »
Après avoir dit ça, je regardai la personne et vis que c’était une petite fille, exactement comme moi. Quand elle aperçut mon visage, elle eut l’air étonnée. Moi aussi j’étais plutôt surprise.
« Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te dénoncer à la police. », me dit-elle.
Et quand elle me dit ça, je fus encore plus étonnée.
« Ah bon ?
- Oui ne t’inquiète pas. Moi aussi, je comptais voler cette banque.
- Quoi ? Toi aussi tu voulais braquer cette banque ?
- Oui. »
J'étais tellement surprise qu’une autre petite fille fasse la même chose que moi. C'était incroyable.
« Ce n’est pas possible, je ne te crois pas, tu vas me dénoncer à la police, c’est sûr.
- Alors pourquoi penses-tu que je t’ai emmenée dans un coin de la banque et t’ai empêchée de parler ? »
Là, j’avoue qu’elle n’avait pas tort, mais j’étais quand même toujours un peu méfiante.
« Alors, c’est bon, tu me crois maintenant ? me demanda la fille.
- Oui
- Euh, tu t’appelles comment ? me demanda-t-elle.
- Je… je m’appelle Manon et j’ai onze ans.
- Tu as onze ans ?!!
- Oui, qu’est-ce qu’il y a ?
- C’est juste que ça m’étonne un peu car moi aussi j’ai onze ans, me répondit la fille.
- Quoi, mais ce n’est pas possible ! criai-je.
- Chut, parle moins fort, je te rappelle qu’on est censé cambrioler cette banque.
- Ah oui, c’est vrai. »
Nous étions tellement sous le choc que deux fillettes de onze ans se retrouvent face à face pour cambrioler une banque. Nous nous tînmes debout dix minutes sans dire un mot. Et c’est moi qui mis fin à ce grand silence.
« Et, comment t’appelles-tu ? demandai-je.
- Je m’appelle Emma.
- Et, tu vis toute seule ?
- Non, j’ai mon frère avec moi mais c’est tout. Il s’appelle Théo et est très intelligent.
- Ah, d’accord. »
J’avais l’impression de me voir dans un miroir. Elle était pareille que moi, elle avait les yeux bleus avec de longs cheveux bruns et elle n’avait plus de parents. Exactement comme moi.
« Et, vous habitez où ? demandai-je.
- On n’a pas de maison, on se déplace et nous nous cachons. Même si on aimerait bien en avoir une, nous n’avons pas les moyens de nous la payer.
- Mais vous ne pouvez pas aller dans un orphelinat ?
- Non, mon frère a dix-huit ans, il est trop grand pour aller dans un orphelinat. Et… je ne veux pas être séparée de lui. Du coup, on a pris la fuite.
- Je comprends.
- Et toi, tu as quelqu’un avec toi ? me demanda Emma.
- Non, je ne connais aucun membre de ma famille à part mon père et ma mère qui sont malheureusement morts alors que je n’avais que sept ans. »
À ce moment, mon coeur battit de plus en plus fort. Je n’avais pas réalisé que je dévoilais toute ma vie à une inconnue. Mais quand je lui parlais, j’avais l’impression que ça me vidait de tout mon stress, du coup je laissai tomber et lui racontai toute mon histoire.
« Ah, je suis désolée pour tes parents. Ça ne doit pas être facile… Si tu veux pour qu’on se sente un peu moins seule on pourrait peut-être voler ensemble ?
- Quoi, tu es sérieuse ?!
- Oui, complètement sérieuse. En plus, ça sera plus facile que de voler toute seule.
- Moi j’adorerais faire ça, mais tu es sûre que ton frère sera d’accord ?
- Mais oui t’inquiète pas, Théo est très gentil. On finit de cambrioler cette banque et je vais te le présenter, ça te va ?
- Oui d’accord. »
Nous finîmes beaucoup plus vite à deux. J’étais hyper heureuse.
**************************
Et pour la suite... c'est juste ici!
Tumblr media
0 notes
verver · 5 months
Text
TUMEURS URBAINES
Épisode 17
Le lendemain Ava devait se rendre à l'université pour déposer son travail.
Traversant le campus en souriant au soleil et en humant l'air frais se dirigeant doucement vers l'entrée, elle aperçut au loin crin blanc adossé contre un pilier guettant les étudiants qui entraient dans le hall.
- mais qu'est-ce qu'il fout là ce con !
La voyant arriver, Éric fit un signe la main, Ava répondit par de petits signes de la tête avec une grimace en guise de sourire.
- merde ! c'est quoi son prénom ?
- bonjour Ava ! content de te voir ! enfin !
- Salut !
- qu'est-ce que tu fais là ?
- je t'attendais dit Éric tout émoustillé
- j'ai un cours maintenant ! protesta Ava
- On boit un café ?
- vite fait ! dit-elle tout bas
Crin blanc l'entraina vers la cafétéria, assis devant un café, il lui dit :
- je voulais te revoir
- peut-être, mais pas moi ! je te l'avais dit
- Oui, mais c'est plus fort que moi
- faut pas ! dit Ava
- écoute Ava...
- j'écoute rien !
- tu es la seule femme qui compte murmura l'homme en s'emparant de sa main
Ava retira brusquement sa main.
- soit gentille
- c'est pas le sujet
- mais si ! je t'aime !
Ava ricana :
- Tu doutes de rien !
- je tiens à toi Ava !
- Non ! non ! ce n'est pas utile...
- mais si Ava !
Voyant qu'elle ne s'en débarrasserait pas , elle céda avec une idée derrière la tête.
- bon d'accord pour un rendez-vous
- je m'en doutais nous deux c'est du sérieux
Elle pensa :
- parle toujours connard c'est la dernière fois...
Éric :
- je retiens une chambre au même endroit ?
- Tu me prend pour une pute ? demanda Ava en élevant la voix suffisamment pour que les tables voisines sortent de leurs discussions et regardent dans leur direction.
- chut ! chut ! on nous regarde
- et alors ! tu me prends pour quoi ?
Éric lui dit tout bas :
- Alors chez moi !
- et ta femme ?
- Elle est absente pour deux semaines
- bon d'accord ! chez toi !
Il répartit tout guilleret. Ava se promit de lui faire mille supplices et autres réjouissances.
Ava était à l'heure. Comme elle le prévoyait Éric était tout exité , son truc était déjà au garde à vous , allongé sur le lit crin blanc piaffait d'impatience, sa chevelure à l'allure d'une crinière s'agitait à chaque fois qu'il bougeait la tête.
Ava l'enjamba avec la ferme intention de rester maître de la situation.
Elle s'assit sur son pieu et entreprit une folle chevauchée. Il était agréablement surpris par Ava .
- vas-y ! vas-y ! hurla Éric
Ava se mit à hurler à son tour :
- hue ! Hue !
Elle éclata de rire.
Crin blanc le prit très mal.
- mais qu'est-ce que t'as à la fin ?
Pour toute réponse elle se pencha sur lui pour coller sa poitrine sur son visage.
Ava en profita pour plonger une main dans son sac posé en bas du lit et en sortir une de ses feuilles de boucher.
Elle releva son buste et frappa Éric à la tête, un cri, de la stupeur dans son regard , il gargouilla quelques syllabes inaudibles puis s'affaissa définitivement. L'homme encore prit de soubresauts était mort.
Ava entreprit de le découper en morceaux. Le matelas était imbibé de sang , mais elle s'était revêtue d'une combinaison de protection.
Ava se recula un peu pour admirer la scène. Elle était envoûtée.
Assise devant une bière, elle s'était changée et attendait la fin d'une machine à laver où elle avait déposé ses affaires de travail.
Ses vêtements propres elle sortit de l'appartement et entreprit de descendre les deux étages. Une fois dans la rue , elle balança les clés dans une bouche d'égout puis se dirigea en direction de la gare. Elle consulta sa montre , elle avait encore le temps pour monter dans son train.
1 note · View note
gedjub · 5 months
Text
311023 Force et usage de force
011123 Mue du cœur
+ Corona, "the rhythm of the night": en changeant le rythme, on raconte une autre histoire! En faire un blues doux.
021123 1 You lost my mind
2 Are you trying to make this work?
3 shadow with the tongue out
4 pale blue eyes
5 Damon
6 tentacles
7 I draw something for you
8 Blitz
9 yes
+ Je est un pronom difficile à porter
+ gésir
+ L'histoire est très simple: un animal construit des croûtes entre les poils. La planète en réfère à l'univers qui opère, retire et les croûtes et l'animal.
+ être anti-goudron
041123 Je ne remarque qu'aujourd'hui les mouvements de la vannerie posée sur le meuble de l'entrée. J'ai d'abord vécu l'entrelacement de sa fabrication, et puis les vagues très courtes et dynamiques qui en résultent, la surface.
061123 Un jour il me quittera parce que je le chasserai. Alors je serai sans lui et ne pourrai plus le toucher, le regarder, comme je le fais maintenant. Je vais donc passer le plus clair de mon temps auprès de mon arbre, mon figuier bébé. Je l'ai planté, l'ai vu pousser, l'ai reconnu, l'ai vu grandir au soleil d'été, l'ai rentré pour le protéger de l'hiver, il dort avec moi, il a remonté ses feuilles, il va bien, je vais bien, nous sommes un foyer heureux.
071123 Oh, comme ma poésie sera belle, quand mes mains seront vieilles!
081123 souffle
dans ton cou
dans ton dos
ça n'est pas l'amour
c'est l'erreur
qui te lance
vers le ciel
tu n'as pas d'ailes
Pour le vol de ta vie
chut
dans ton dos
sans ton nom
où est cet endroit
de mon cœur sur Terre
où l'on préfère faire
silence
+ tout est beau et ça m'accable. Je ne sais plus quoi montrer ou faire.
091123 1. écho de la piste
2. Reverb trail
3. Moist aber
4. West Germany 2nite
5. Fleischimitat
6. Cool I guess
7. Sverige mit Dir
+ "Anfänger! - (zeigt Mittelfinger) Dat is an Fänger!
101123 Vrac
+ a man-made machine
0 notes