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Pearl-Harbor décembre 1941 Jérusalem avril 2024
Pearl-Harbor décembre 1941 Jérusalem Avril 2024 Les similitudes Pearl-Harbor décembre 1941 Jérusalem Avril 2024, les attaques sont similaires. Attaques surprise sans déclaration de guerre. Les différences Pearl-Harbor décembre 1941 - L'aviation japonaise est arrivée sans être détectée, les moyens technique de détection d'alors n'ont rien à voir avec les actuels. - L'intégralité de la flotte pacifique fut coulée. Jérusalem avril 2024 - L'attaque massive et sans précédent, conjointe de 230 drones mettant 5 à 6 heures pour arriver sur leurs cibles, et d'une centaine de missiles hypersoniques se déplaçant dans la stratosphère, porteurs de 60 tonnes d'explosif est une première mondiale. Les satellites ont permis de détecter dès leur lancement les drones comme les missiles. - 50% des missiles sont retombés sur le territoire iranien. - 99% des drones et missiles ont été détruits. Analyse de l'attaque Moyens mis en œuvre et résultat Les 230 drones ont été détruits en Irak et en Jordanie, par les aviations américaine, britannique, et française cette dernière à la demande de la Jordanie, les aviations saoudienne, émiratie ont été de la partie se joignant à l'aviation israélienne dans cette action. En conséquence cette coalition s'est mobilisée en quelques heures, c'est aussi une première mondiale. C'est la preuve que l'Occident est un allié fiable d'Israël en dépit de certaines divergences. L'alliance de trois pays arabe avec Israël prouve la solidité des accords d'Abraham. Les 50 missiles hypersoniques ont quasiment tous été détruits par la Fronde de David. Trois missiles sont tombés près d'une base militaire faisant peu de dégâts. Une fillette bédouine de 7 ans grièvement blessée est décédé rapidement. En dépit de ses rodomontades l'Iran tigre de papier comme jadis l'Irak a perdu la face. Effusion de joie dans les rues de Naplouse suite à l'attaque iranienne de missiles Crédit Lph-Info-Israel Le ressenti d'Israël - Israël est très fier d'avoir mobilisé la coalition en quelques heures. - Israël est très fier du succès de sa Fronde de David qui a arrêté la quasi totalité des missiles comme lors de sa première mondiale contre un missile hypersonique tiré par les Houthis. Le ressenti de la communauté internationale - La communauté internationale s'est rangée comme un seul homme pour soutenir Israël dans cette épreuve. - Elle a aussitôt appelé à la retenue Amérique comprise. (S'est-elle retenue après Pearl-Harbor)? - Enfin elle est toute prête à acquérir la Fronde de David afin de se protéger des missiles hypersoniques. Conclusion Dès qu'il s'agit d'Israël, la communauté internationale se permet de délivrer des conseils, voire des injonctions à ne pas faire ceci ou cela. Nous pouvons conseiller à la France de s'occuper en priorité de la sécurité. Le Président de la République a t-il été élu pour protéger sa population, ou pour protéger les terroristes, et les États voyous qui veulent éradiquer un pays allié (Israël). Les Britanniques et les Américains ont rasé Dresde avec des dizaines de milliers de victimes civiles, comment peuvent-ils s'opposer aux actions d'Israël qui lutte pour sa survie et celle de l'Occident tout entier. Les États-Unis ont utilisé à 2 reprises l'arsenal nucléaire pour éviter la mort de centaines de milliers de soldats. Comment peut-elle nous freiner sur Rafah ou sur l'Iran? En effet, que pèsent les éventuelles victimes collatérales de Rafah dont beaucoup de supporter du 'Hamas lors de l'éradication de 'Hamas face à: - 9,5 millions d'Israéliens. - 447 millions d'Européens. - 341,4 millions d'Américains. Et si tous ceux là tombent, par le jeu des dominos ceux-ci suivront: - 111 millions d'Égyptiens. - 36.4 millions de Saoudiens. - 11.3 millions de Jordaniens. - 10 millions d'Émiratis. - 4.3 millions de Koweïtiens. - 1.5 millions de Bahreïnis Enfin pourquoi la Communauté internationale s'oppose t-elle à faire chuter un régime islamiste voyou grand fauteur de trouble sur tout le Proche-Orient? Israël est-il comme Hercule condamné par Eurysthée aux 12 travaux, dont le second fut de tuer l'hydre de Lerne. La Communauté internationale ne peut-elle prendre en charge par Otan interposé cette opération de salut public? Finalement, en dépit des manifestations de bras cassés, Benyamin Netanyahou sort conforté par cette attaque de l'Iran, tous lui reconnaissent ses énormes qualités de dirigeant. Read the full article
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pdj-france · 8 months
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DUBAÏ, Émirats arabes unis (AP) – Le ministre iranien des Affaires étrangères a rencontré vendredi le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane dans le cadre de sa visite dans le royaume, signe de la façon dont les deux pays tentent d'apaiser les tensions après des années de troubles. Des images du haut diplomate iranien, Hossein Amirabdollahian, assis avec le prince Mohammed auraient été impensables quelques mois plus tôt, car les rivaux de longue date se sont engagés dans ce que les responsables de Téhéran et de Riyad ont considéré comme un conflit par procuration à travers le Moyen-Orient élargi. Le prince est même allé jusqu'à comparer le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, à Adolf Hitler en temps venu en 2017. LIRE LA SUITE : Le ministre iranien des Affaires étrangères se rend en Arabie saoudite pour la première fois en 8 ans Mais depuis qu'ils sont parvenus à une détente sous médiation chinoise en mars, l'Iran et l'Arabie saoudite se sont dirigés vers la réouverture de missions diplomatiques dans les états de l'autre. Le roi saoudien Salman a même invité le président iranien Ebrahim Raisi, un protégé pur et dur de Khamenei, à visiter aussi le royaume. Des défis subsistent toutefois, en particulier a propos l'avancement du programme nucléaire de l'Iran, le conflit menée par l'Arabie saoudite au Yémen et la sécurité sur les voies navigables de la région. en attendant, les États-Unis tentent toujours de finaliser un accord avec l'Iran pour libérer les citoyens américains détenus en échange de la libération de milliards de dollars gelés en Corée du Sud, tout en renforçant leur présence militaire dans le golfe Persique. La télévision publique saoudienne a diffusé des images du prince Mohammed assis avec Amirabdollahian dans la ville portuaire de Djeddah sur la mer Rouge. Le média saoudienne, gérée par l'État, a fourni peu de détails substantiels sur leur conversation, disant simplement qu'ils avaient passé en revue les relations et les "opportunités futures de coopération". Dans un message sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, Amirabdollahian a annoncé que les deux hommes avaient parlé pendant 90 minutes lors duur rencontre à Djeddah. « Des négociations honnêtes, ouverts, utiles et fructueux établis sur la politique de voisinage », a rédigé le ministre des Affaires étrangères dans son message. « Grâce à la volonté des chefs des deux pays, des relations bilatérales durables dans tous les secteurs ont persisté. Nous sommes d'accord sur « la sécurité et le développement pour tous » dans la région. Amirabdollahian est arrivé jeudi à Riyad, la capitale saoudienne, pour des entretiens avec son homologue, le prince Faisal bin Farhan. Le royaume a rompu ses liens avec l'Iran en 2016 après que des manifestants ont envahi les postes diplomatiques saoudiens là-bas. L'Arabie saoudite avait exécuté un éminent religieux chiite avec 46 autres jours plus tôt, déclenchant les protestations. Le royaume a aussi initialement soutenu les rebelles qui tentaient de renverser le président syrien soutenu par l'Iran, Bashar Assad, tout en s'opposant aussi au groupe militant soutenu par l'Iran, le Hezbollah au Liban. LIRE LA SUITE: L'Iran place 5 prisonniers irano-américains en résidence surveillée, d'après un avocat basé aux États-Unis Depuis que les États-Unis se sont retirés unilatéralement de l'accord nucléaire de l'Iran avec les puissances mondiales en 2018, l'Iran a été blâmé pour une série d'attaques. Ces agressions incluent une ciblant le cœur de l'industrie pétrolière saoudienne en 2019, réduisant momentanément de moitié la production de brut du royaume. Mais après la pandémie de coronavirus et le retrait chaotique des États-Unis d'Afghanistan, les états arabes du Golfe, dont l'Arabie saoudite, ont commencé à réévaluer la manière de gérer les relations avec l'Iran. Le prince Mohammed veut aussi un Moyen-Orient pacifique avec des prix du pétrole stables pour alimenter ses propres grands plans de développement pour le royaume qui coûtent des milliards de dollars.
En mars, le royaume et l'Iran sont parvenus à un accord en Chine pour rouvrir les ambassades. Avant la visite d'Amirabdollahian, le dernier ministre iranien des Affaires étrangères à s'être rendu en Arabie saoudite lors d'un voyage public était Mohammad Javad Zarif, qui s'était rendu dans le royaume en 2015 pour présenter ses condoléances pour le décès du roi Abdallah. Cette visite intervient bien que l'Arabie saoudite lutte toujours pour se retirer de sa guerre de plusieurs années au Yémen contre les rebelles houthis soutenus par l'Iran qui détiennent la capitale, Sanaa. La visite d'Amirabdollahian coïncide avec une nouvelle visite de médiateurs omanais sur place pour tenter de parvenir à un accord de paix. L'écrivain de l'Associated Press Nasser Karimi à Téhéran, en Iran, a contribué à ce rapport.
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voxtrotteur · 8 months
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Les États-Unis annoncent que cinq ressortissants américains ont été libérés de prisons iraniennes et sont désormais assignés à résidence, suite à un accord présumé avec Téhéran. Selon les sources iraniennes, cet accord impliquerait le déblocage de 6 milliards de dollars de fonds iraniens en Corée du Sud et la libération de certains Iraniens détenus dans des prisons américaines. Des libérations confirmées par les États-Unis Le porte-parole du département d'État, Matt Miller, a déclaré que les autorités iraniennes avaient libéré cinq citoyens américains de la prison et les avaient assignés à résidence. Il a ajouté que bien que cette libération soit accueillie avec soulagement, ces individus n'auraient jamais dû être emprisonnés et devraient être autorisés à quitter l'Iran pour rejoindre leurs familles. Accord complexe et controversé La libération des cinq ressortissants américains est liée à un accord d'échange de prisonniers américano-iranien. Cet accord prévoit la libération de cinq Iraniens emprisonnés aux États-Unis et le déblocage des fonds gelés de l'Iran en Corée du Sud, qui seront ensuite transférés au Qatar. Cette situation a suscité des réactions contrastées, certains la considérant comme un pas vers l'apaisement des tensions, tandis que d'autres critiquent l'idée de payer une rançon indirecte. Réactions et implications Certains observateurs estiment que cet accord pourrait renforcer la perception que la prise d'otages est une stratégie lucrative pour l'Iran. Ils s'inquiètent également de l'utilisation potentielle des fonds pour des activités telles que le renforcement du programme nucléaire ou le soutien à des milices. Les autorités américaines soulignent que la libération des prisonniers américains reste une priorité, tout en continuant de surveiller les développements de près. Leçons tirées et mise en garde Les ressortissants américains d'origine iranienne sont invités à éviter de se rendre en Iran compte tenu des risques associés à ces situations de prise d'otages. L'accord actuel pourrait potentiellement contribuer à désamorcer les tensions entre les deux pays, mais il soulève également des interrogations quant à ses conséquences à long terme et à l'attitude des gardiens de la révolution iraniens. En fin de compte, cette libération suscite des débats sur la diplomatie et la sécurité internationale, avec des opinions variées quant à ses implications et à la manière dont elle pourrait façonner l'avenir des relations entre les États-Unis et l'Iran.
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infosisraelnews · 10 months
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L'Iran confirme la publication israélienne : « Nous avons eu des pourparlers indirects avec les États-Unis à Oman sur la levée des sanctions »
Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, a confirmé lors d’une conférence de presse que des messages avaient été échangés entre les pays par le biais de la médiation omanaise. Il a également ajouté que Téhéran ne négociait pas avec Washington sur un accord nucléaire partiel ou d’autres arrangements qui ne sont pas basés sur l’accord nucléaire de 2015. Dans la…
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blog59-world · 2 years
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Fatiha Tahar  · Une enquête sur l’existence de la Shoah, une proposition du président iranienLors d’une interview par CBSNews, le président iranien, Ebrahim Raïssi a émis un doute sur l’existence de la Shoah.Ebrahim Raïssi est considéré comme un “dur" du régime, qui n’a pas hésité à demandé une nouvelle étude des faits historiques relatés et une mise en lumière sur la légitimité de l'expulsion du peuple palestinien de leurs terres.La revue d'histoire initiée par la journaliste Lesley Stahl en ces termes : “ Croyez-vous que l’Holocauste s’est produit ?” Et “Que 6 millions de Juifs ont été massacrés ? ” a valu au président iranien de dire : “Regardez… Les événements historiques devraient être étudiés par des chercheurs et des historiens. Il y a des signes que cela s’est produit. Si tel est le cas, ils devraient pouvoir les étudier et enquêter ".Lesley Stahl renchérit sur le droit d’Israël à exister et Ebrahim Raïssi répond : “vous voyez, la réalité, c’est le peuple de Palestine. C’est le droit du peuple de Palestine, qui a été forcé de quitter ses maisons et sa patrie. Les Américains soutiennent ce faux régime là-bas pour s’y implanter”.Bien qu’il approuverait un “bon accord” et un “accord juste" sur le nucléaire. Ebrahim Raïssi a déclaré en parlant de cet accord : “il doit durer. Il faut des garanties". Car il ne fait pas confiance aux Américains à cause de leurs précédents dans des affaires similaires avec d’autres pays.De Serge Vonck
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bouxmounir · 2 years
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d'espoir diplomatique d'une nouvelle escalade
d’espoir diplomatique d’une nouvelle escalade
La décision de l’Iran jeudi de retirer 27 caméras de surveillance de ses activités nucléaires a fait voler en éclat l’enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). Paralysé du sommeil, le couple en vue d’un nouvel accord sur le nucléaire iranien semble sur le point de le conclure il y a quelques mois. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a annoncé jeudi 9 juin…
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rympresse · 2 years
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Nucléaire iranien : « Dans le contexte actuel, Moscou ne veut pas accélérer les négociations »
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Depuis le début de la guerre en Ukraine, les pourparlers entre l’Iran et les pays du P5+1 semblent au point mort. Entretien avec Azadeh Kian, professeure de sociologie et spécialiste de la région.
L’accord de Vienne, signé en 2015, concernait l’Iran et six puissances majeures de la communauté internationale (communément appelés les P5+1, ou encore EU 3+3) : la France, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, la Russie et la Chine et les États-Unis. Approuvé par le Congrès américain et le parlement iranien, ce projet prévoyait de limiter l’enrichissement d’uranium et la production de plutonium, de diminuer le nombre de centres nucléaires, de renforcer les inspections de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) et de maintenir l’embargo sur les armes offensives (comme les missiles balistiques).
En s’engageant à mettre en œuvre puis à ratifier le protocole additionnel permettant les inspections de l’AIEA, Téhéran espère une levée des sanctions. Pendant trois ans, ces concessions s’avèrent bénéfiques : la croissance reprend de l’élan et près de 135 milliards d’euros d’avoirs gelés à l’étranger sont débloqués. Toutefois, en mai 2018, le président Donald Trump annonce le retrait des États-Unis et le rétablissement des sanctions économiques « les plus élevées ». Motif : l’Iran ne respecterait pas ses engagements, même si les rapports de l’AIEA affirment le contraire. S’ensuivent pour Téhéran une dévalorisation brutale de la monnaie, une montée en flèche du chômage et une inflation historique.
L’approche européenne est différente, puisque la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont mis en place, en 2019, le mécanisme de troc Instex, censé garantir le maintien des échanges commerciaux avec l’Iran. L’échec de cette mesure — surtout symbolique — pousse l’Iran à relancer, deux ans plus tard, l’enrichissement de son uranium ainsi que la construction du réacteur à eau d’Arak. Avec l’arrivée à la Maison-Blanche du démocrate Joe Biden, les négociations entre les P5+1 et l’Iran reprennent, tant bien que mal, en avril 2021… Pour rencontrer une nouvelle impasse, un an plus tard. L’invasion russe en Ukraine pourrait également avoir rigidifié la position de certaines parties.
Pour Jeune Afrique, la spécialiste de la région et professeure de sociologie à l’université Paris Cité, Azadeh Kian explicite les implications, à la fois socio-économiques et géopolitiques de la concrétisation d’un tel accord.
Les négociations entre l’Iran et les autres signataires de l’accord nucléaire de 2015 semblent au point mort depuis plusieurs mois. Qu’est-ce qui bloque encore aujourd’hui ?
Azadeh Kian : Le maintien, par les États-Unis, des Gardiens de la révolution islamique [CGRI, appelés « pasdarans »] sur la liste noire américaine des « organisations terroristes » représente le principal point de blocage. Les Iraniens sont décidés à faire changer cela, mais il semble que les Américains refusent de fléchir sur ce point sensible des négociations.
Les pasdarans ne représentent pas seulement l’élite militaire de Téhéran : ils sont également un acteur majeur, voire l’acteur principal, de son économie. Et c’est sans compter leur légitimité, qui en fait la force principale du régime. Les considérer comme une force terroriste revient à déprécier le pouvoir iranien dans son ensemble.
Leur présence sur la liste noire implique que toutes les entreprises leur appartenant sont considérées à l’échelle internationale comme « infréquentables ». Or, ils sont impliqués dans de nombreux secteurs (télécoms, transports, automobile, construction), possèdent les plus grands centres commerciaux, et surtout supervisent une grande partie de l’industrie des hydrocarbures. Ce monopole économique s’exerce par ailleurs indirectement, par le biais d’un ensemble de fondations contrôlées par les pasdarans.
Comment le président iranien Ebrahim Raïssi, considéré comme ultra-conservateur, appréhende-t-il les négociations ?
Le président ne décide pas de l’issue de ces négociations. C’est le Guide suprême, Ali Khamenei, qui a la main sur ce dossier, avec l’ensemble de ses conseillers. Également à la tête de l’armée, il désigne, en interne, le chef des Gardiens de la révolution, mais aussi celui de la division externe, pour ce qui est de l’armée impliquée dans les conflits régionaux [la Force Al-Qods].
Initialement, il était inconcevable pour Téhéran d’avancer dans les discussions sans le retrait des Gardiens de la révolution de la liste noire. Mais récemment, un arrangement paraît de plus en plus probable, malgré l’intransigeance américaine à ce sujet. Les récentes déclarations du coordinateur de l’Union européenne [UE], Enrique Mora, vont dans ce sens : Téhéran a évoqué de nouveaux critères de négociations. Nous n’en savons pas davantage, mais ceux-ci pourraient couvrir le développement et la prolifération de missiles balistiques, ou encore l’implication militaire et politique de l’Iran dans la région.
La levée des sanctions impliquerait, de facto, l’entrée du gaz et du pétrole iraniens sur le marché international. Au moment où nous traversons une crise énergétique mondiale, comment imaginer qu’un tel accord reste dans l’intérêt de Moscou ? Plus globalement, quel a été l’impact de la guerre en Ukraine sur les négociations ?
Par moments, la Russie a joué le rôle de facilitateur dans l’aboutissement de cet accord. Mais depuis le début de la guerre en Ukraine, elle ne peut plus maintenir cette position. Les Iraniens ont pourtant confirmé que « rien ne viendrait fragiliser cette alliance » avec Moscou – leur coopération est à la fois économique et militaire. Mais, côté russe, il est clair que l’Ukraine représente un dossier hautement prioritaire.
Dans le contexte de la crise actuelle, si l’Iran recommençait à exploiter et à exporter son gaz, la position russe s’en retrouverait fragilisée. Moscou opte donc actuellement pour le statu quo, puisque les Russes ne souhaitent pas ruiner les négociations en cours – d’ailleurs, ils ne le peuvent pas. Mais il est évident qu’ils ne vont pas non plus tenter de les accélérer. Incidemment, avec ce nouveau paradigme, les Européens se trouvent être nettement plus favorables à l’atteinte d’un accord et à la levée des sanctions auxquelles est soumis, depuis 2018, le secteur iranien des hydrocarbures.
Entre le manque de confiance global vis-à-vis de Téhéran et le soutien de celui-ci à des milices chiites dans la région, les Israéliens, d’une part, et les monarchies sunnites, d’autre part, s’affichent fortement défavorables à la réinstauration d’un accord. Ces dissensions régionales pourraient-elles faire échouer les négociations ?
Le régime islamique pose de nombreux problèmes sécuritaires, à la fois pour les pays du Golfe persique, mais également pour Israël. Par ailleurs, nous en parlons peu, mais l’État hébreu bombarde constamment les positions iraniennes en Syrie, causant de nombreuses victimes parmi les Gardiens de la révolution présents sur place.
Par opposition, depuis plus d’un an, l’Irak modère un dialogue les délégations diplomatiques iranienne et saoudienne. En avril, le Premier ministre irakien Moustafa al-Kazimi, principal médiateur, s’est dit optimiste. L’amélioration des relations entre les deux pays est dans l’intérêt de tous les pays arabes de la région, notamment de l’Irak et du Liban.
Quelle est la situation actuelle en Iran, du point de vue socio-économique depuis le rétablissement des sanctions ?
Actuellement, l’Iran, où 43 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, connaît des manifestations quotidiennes contre la cherté de la vie et la hausse du chômage. Le gouvernement subit donc une pression importante, d’autant que les caisses de l’État sont vides malgré la reprise de la vente de pétrole. Les recettes n’ont rien à voir avec celles enregistrées avant le rétablissement des sanctions économiques par Trump. Le régime craint donc des émeutes populaires.
Les enseignants, mais aussi les chauffeurs de bus, par exemple, sont en grève. Raïssi ne respecte pas ses promesses électorales et son bilan déçoit la population dans sa globalité. Lors des manifestations populaires en cours, plusieurs personnes ont été blessées et emprisonnées par les forces de l’ordre. Cette situation révolte de plus en plus les Iraniens. Parallèlement, le nombre croissant d’otages binationaux alerte les défenseurs des droits humains et la communauté internationale.
Les revendications sont claires : les Iraniens ont faim. Dans la rue, des slogans ouvertement anti-système sont scandés, contre Raïssi mais aussi contre le Guide suprême. Pour le moment, de telles manifestations n’ont pas pris place à Téhéran. Néanmoins, les forces de l’ordre demeurent stationnées partout dans la ville, et la population reste strictement surveillée.Par moments, la russie a joué le rôle de facilitateur dans l’aboutissement de cet accord
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pmmsoto · 4 years
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Isolationisme ou unilateralisme?
L'isolationnisme aux États Unis, a toujours été une tendance de fond surtout depuis la doctrine Monroe .de1923 ce qui le les empêcha pas en Juin 1917 et et vingt-sept ans plus tard en juin1944, de venir nous donner un sacré coup de main  pour résoudre nos démêlées avec nos voisins  teutons. Aujourd'hui avec Trump c'est plutôt l'unilatéralisme qui prévaut.  Il rechigne à admettre les institutions internationales type ONU/OTAN au prétexte qu'elles(lui) coûte trop cher. Mais il reste présent dans l’OMC sans doute pour mieux contrôler ses concurrents économiques. Il se désengage d'accords dûment signés par ses prédécesseurs (accord sur le climat de Paris, accord sur les missiles à courte et moyenne portée, accord sur le nucléaire iranien ) Il se retire de Syrie, etc....tout ceci a et aura un impact important. Les USA, perdent de le leur crédibilité et de leur influence. 
Je comprends parfaitement que l’Amérique ne veuille plus jouer le gendarme du monde, d’ailleurs les »afgan papers » récemment sortis par le « Post » am(nen l’administration  et l’arméeaméricaine à un examen de conscience sur leurs actions passées en Irak et en Afgahnistan. Et ils découvrent les erreurs commises et les illusions entretenues sur la possibilité d’une victoire . Un officier supérieur a même avoué : »Nous ne savions pas ce que nous faisions !  En pratique, Isolationnisme et unilatéralisme ont un peu le même effet : l’éloignement du monde « vrai ». Mais vous remarquerez que même quand les Etats-Unis semblent  jouer en « solo », c’est leurs intérêts stratégiques qui, toujours, les guident ; Ainsi quand ils entre en guerre après Peral Harbor(7décembre1941) . Ce n’est pas tant pour laver leur honneur de cette cuisante défaite, mais pour contrer l’expansionnisme japonais qui menaçait leurs intérêts en Asie orientale comme le Philippines en particulier.
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/g7-macron-trump/
G7 : quand Macron se rêve en force d'équilibre entre les États-Unis et l'Est
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Lors du sommet organisé à Biarritz le week-end du 24 août, le Président français a endossé le costume d’arbitre entre Donald Trump et deux pays avec lesquels les tensions sont palpables : la Chine et l’Iran. Un rôle sur-mesure ?
Deux chefs d’État, deux manières, deux méthodes, mais une entente cordiale : voilà comment on pourrait résumer la conférence de presse organisée en clôture de l’édition 2019 du G7, organisée les samedi 24 et dimanche 25 août à Biarritz. Aux côtés du Japon, du Canada, de l’Allemagne, du Royaume-Uni et de l’Italie (avec la participation de Donald Tusk, Président de la Commission européenne), la France et les États-Unis étaient au centre de toutes les attentions, la première en tant que pays organisateur, les seconds sous les regards méfiants suscités par Donald Trump et son tempérament explosif, notamment sur le plan diplomatique.
Une conférence durant laquelle le Président américain et son homologue français se sont affichés soudés, fiers du travail accompli. « On serait bien restés une heure de plus. Personne ne voulait quitter la table » raconte Donald Trump, remerciant copieusement Emmanuel Macron et sa femme Brigitte pour la bonne tenue du sommet. Une conférence qui s’est avérée particulièrement instructive sur deux sujets internationaux brûlants : la Chine et l’Iran.
La France, le chaînon manquant ?
Si Donald Trump a su se montrer étonnamment ouvert concernant de potentiels nouveaux accords (« inévitables » selon lui en ce qui concerne la Chine), c’est le rôle d’Emmanuel Macron qui a pu surprendre. Lorsque les relations américano-iraniennes sont évoquées, le chef d’État français se défend de jouer un rôle de médiation, préférant les termes « d’initiative concertée, d’échanges« . Oui, Emmanuel Macron veut désamorcer la situation entre les deux pays, dans une impasse depuis mai 2018 suite à la sortie des États-Unis de l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien (ou JCPoA pour « Joint Comprehensive Plan of Action », mentionné tel quel durant la conférence), signé en 2015. Une sortie qui a eu pour conséquences de lourdes sanctions économiques – Donald Trump soupçonnant lourdement l’Iran d’utiliser les aides accordées dans le cadre de l’accord à « des fins malveillantes » (sic).
C’est d’ailleurs à ce titre que le Président français a invité Javad Zarif, ministre des Affaires étrangères iranien, la veille du sommet – une manœuvre qui pourrait être jugée délicate au vu de la situation, ce que ne manque pas de noter un des journalistes de la conférence, qui demande à M. Macron s’il a « demandé la permission » à son homologue américain – les mots ont un sens. « Il ne s’agit pas d’agir en lieu et place des pays concernés » répond-il, au départ un peu gêné. « J’ai informé le président Trump avant sa venue. (…) C’était mon idée, non pas d’impliquer les États-Unis, mais de faire venir un représentant iranien, afin de relancer les négociations indépendamment« , sans plus de précisions.
Un contexte diplomatique qui, à défaut d’être apaisé, semble avancer dans le bon sens pour la paix. Reste à savoir si l’état d’esprit dans lequel Donald Trump se trouvait à la fin du sommet sera conservé d’ici son retour à Washington, et si ce nouveau rôle affiché de la France, médiatrice (que M. Macron le veuille ou non) entre trois puissances que tout oppose, aura l’influence nécessaire aux enjeux.
REPLAY – Emmanuel Macron et Donald Trump s'expriment en clôture du G7
REPLAY – Emmanuel Macron et Donald Trump s'expriment en clôture du G7
Publiée par Brut sur Lundi 26 août 2019
Via Brut.
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reseau-actu · 6 years
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Le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique appelle les Européens à «regarder [leurs] propres intérêts» et à s'affranchir de la tutelle américaine.
LE FIGARO. - Qu'attendez-vous des propositions que la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne vont soumettre prochainement à l'Iran pour préserver l'accord nucléaire menacé par le retrait des États-Unis?
ALI AKBAR SALEHI. - Nous avons en face de nous une administration américaine qui a choqué le monde par ses décisions, dont celle sur le nucléaire. En homme d'affaires qu'il est resté, Donald Trump mêle business et politique. Mais en revenant sur l'engagement des États-Unis, il fait un pari. S'il gagne, il absorbera le monde, car pour lui l'Union européenne est une entité minuscule. Mais s'il perd, le monde lui demandera des comptes. Attendons un peu.
Mais avec l'Europe, la Russie et la Chine, nous devons ériger un mur pour nous immuniser face à ces chocs. Trump cherche des résultats immédiats. Il sanctionne les sociétés étrangères qui font du business avec nous, et menace les pays qui achètent notre pétrole. Il s'attend à des effets rapides. L'Union européenne, la Russie et la Chine ne s'attendaient pas à de si fortes pressions, inédites dans la politique américaine. L'Union européenne est encore sous le choc, tel un boxeur sur le ring qui a pris un uppercut. On doit lui laisser encore un peu de temps pour se ressaisir. Nous avons reçu des indications sur le «package» européen à travers les déclarations politiques des leaders de l'UE qui ont été bonnes, en particulier celle de Mme Moghérini. Ce sont seulement des déclarations, nous devons attendre de voir si elles se traduiront en décisions concrètes.
«Si une nouvelle crise éclate au Moyen-Orient, elle affectera votre sécurité»
Si le «package» n'est pas satisfaisant, quelle sera la réponse de l'Iran?
L'Iran a simulé différents scénarios correspondant aux différentes hypothèses: un package européen que nous jugeons satisfaisant, un autre que nous jugeons à moitié satisfaisant et un dernier pour répondre à des propositions que nous ne considérons pas satisfaisantes. Pour l'Europe, cet accord est très important. Le Moyen-Orient bout. L'Europe est submergée par la crise des migrants. Si une nouvelle crise éclate au Moyen-Orient, elle affectera votre sécurité. L'Iran comprend que l'Europe et les États-Unis sont des partenaires stratégiques, mais ce ne sont pas des amoureux qui partagent le même lit. L'Europe doit regarder ses propres intérêts en matière de fournitures énergétiques, car c'est une de ses faiblesses.
Si j'étais à la place des Européens, je regarderais l'Iran comme un fournisseur pour mon énergie, et je chercherais à préserver mes intérêts à moyen terme avec nous. Pour garder votre indépendance, vous devez parfois en payer le prix, et c'est le message que je veux transmettre aux Européens: je comprends la vision européenne basée sur les affaires, mais parfois, vous devez aussi penser aux valeurs. Quand la France était occupée, combien de martyrs a-t-elle donnés pour préserver son indépendance? Comment pouvez-vous fonder votre politique sur une approche mercantiliste? L'indépendance européenne vis-à-vis des USA est menacée. Aux yeux du monde entier, l'Europe est devenue le laquais des États-Unis.
L'Iran, comme le réclament les Européens, est-il prêt à ouvrir des négociations sur d'autres litiges, comme son influence régionale?
L'accord nucléaire est un accord totalement séparé du reste. Les Européens ne peuvent pas y injecter de nouvelles conditions ou le renégocier. Mais cela ne veut pas dire que l'Iran et l'Europe ne peuvent pas négocier sur d'autres sujets comme les questions économiques, commerciales, politiques et même les droits de l'Homme. Personne n'a dit qu'il y avait une zone interdite à de nouvelles discussions.
«Nous ne resterons pas dans l'accord à tout prix, notre direction réévalue en permanence la situation, et si elle arrive à la conclusion qu'assez c'est assez, une décision sera prise»
L'Iran est-il prêt à négocier sur la Syrie ou le Yémen par exemple?
Nous n'avons jamais dit que nous n'étions prêts à discuter que de l'accord nucléaire et rien d'autre. Ce n'est pas ainsi que nous faisons de la politique, c'est une question d'intérêts mutuels.
Où en sont vos préparatifs pour relancer votre programme nucléaire en cas d'échec de l'accord?
Notre unité de production de gaz UF6 à Natanz est opérationnelle, mais cela prendra du temps avant d'atteindre son maximum de production. Notre guide suprême a bien dit que dans le cadre de l'accord, l'Iran devait se tenir prêt à augmenter sa capacité de production de centrifugeuses. Si Trump n'avait pas rompu l'accord, nous ne nous serions pas pressés d'avancer vers cet objectif. Nous ne resterons pas dans l'accord à tout prix, notre direction réévalue en permanence la situation et la position de nos partenaires, et si elle arrive à la conclusion qu'assez c'est assez, une décision sera prise. Je vous le répète on se prépare à tous les scénarios.
«Si la Corée du Nord se soumet complètement comme la Libye, abandonne ses armes nucléaires et ses missiles balistiques, alors Trump sera en beaucoup plus forte position»
Si l'Iran décidait de reprendre l'enrichissement d'uranium au-delà de ce qui est autorisé dans l'accord, Israël menace de frapper une de vos installations…
Je ne pense pas que cette situation arrivera un jour. Israël n'est pas en position de prendre une aussi dangereuse décision. J'en suis certain. Les Israéliens connaissent notre réponse, et combien ils perdraient à attaquer l'Iran. Mais nous sommes prêts à faire face à une attaque israélienne.
Les États-Unis veulent-ils changer le régime iranien ou seulement son comportement au Moyen-Orient?
Depuis la révolution, ils répètent qu'ils veulent changer le régime. Ils veulent que l'Iran revienne dans leur orbite. Mais nous sommes là depuis 40 ans, et cette longévité nous donne une immunité.
Un scénario nord-coréen, c'est-à-dire des négociations directes entre l'Iran et les États-Unis, est-il envisageable pour sortir de la crise?
Le temps n'est pas mûr pour évoquer maintenant des pourparlers directs avec les États-Unis comme ceux que j'avais ouverts en 2013. Dans l'avenir, cela dépendra de la direction iranienne. Mais le scénario nord-coréen est très important. Il aura un grand impact sur la crise. Si la Corée du Nord se soumet complètement comme la Libye, abandonne ses armes nucléaires et ses missiles balistiques, alors Trump sera en beaucoup plus forte position, la Chine y perdra beaucoup. Et les pressions sur l'Iran seront encore plus pressantes.
Emmanuel Macron a retardé son voyage en Iran. Êtes-vous déçu par sa politique? Est-il toujours le bienvenu?
Nous avons des objections sur la position de la France, mais l'Iran comprend la France, et la France nous comprend. Je ne prononcerai pas le mot déception et M. Macron est toujours le bienvenu chez nous.
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jmdessinateur · 6 years
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Nouvelle rencontre Poutine Macron Poutine reçoit Macron à Saint-Pétersbourg dans un contexte international tendu… Le nouveau président français, Emmanuel Macron, effectue ces jeudi et vendredi sa première visite officielle en Russie où il rencontrera Vladimir Poutine pour essayer de trouver des « points d'accord » avec Vladimir Poutine sur les dossiers sensibles du nucléaire iranien et de la Syrie; notamment après le retrait tonitruant de Donald Trump de l'accord sur le nucléaire iranien…
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pdj-france · 8 months
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Dernière mise à jour : 16 août 2023, 12 h 42 ISTWashington DC, États-Unis d'Amérique (États-Unis)Une photo publiée le 27 septembre 2013 par le site officiel des Gardiens de la révolution iraniens montre un nouveau drone de fabrication iranienne, Shahed 129 (témoin 129) en train d'être montré à Téhéran. (AFP)Les États-Unis font pression sur l'Iran pour qu'il cesse de vendre des drones armés à la Russie, que Moscou utilise dans le conflit en UkraineLes États-Unis poussent l'Iran à cesser de vendre des drones armés à la Russie dans le cadre de discussions sur un accord non écrit plus large entre Washington et Téhéran pour désamorcer les tensions, a annoncé mercredi le Financial Times, citant des personnes informées à ce sujet.Les États-Unis font pression sur l'Iran pour qu'il cesse de vendre des drones armés à la Russie, que Moscou utilise dans le conflit en Ukraine, de même que des pièces de rechange pour les avions sans pilote, a rapporté le rapport, citant un responsable iranien et une autre personne proche des négociations.La Maison Blanche et le ministère iranien des Affaires étrangères n'ont pas tout de suite répondu à une demande de commentaires de Reuters.La nouvelle survient tandis que Washington et l'Iran tentent d'apaiser les tensions et de relancer des négociations plus larges sur le programme nucléaire iranien. Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a annoncé mardi qu'il accueillerait favorablement toute mesure iranienne visant à désamorcer sa "menace nucléaire croissante".Ces discussions ont eu lieu parallèlement aux négociations sur un accord d'échange de prisonniers quelques jours auparavant, a indiqué le journal. L'Iran a autorisé quatre citoyens américains détenus à être assignés à résidence depuis la prison d'Evine à Téhéran, tandis qu'un cinquième était déjà en détention à domicile.Quelques jours auparavant, des sources ont affirmé à Reuters que l'Iran pourrait libérer cinq citoyens américains détenus dans le cadre d'un accord visant à dégeler 6 milliards de dollars de fonds iraniens en Corée du Sud.(Cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de News18 et est publiée à partir d'un flux d'agence de presse syndiqué - Reuters) RohitRohit est un journaliste de News18.com avec une passion pour les affaires mondiales et un amour pour le football. Suivez-le sur Twitter à @heis_rohit...Read More
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ondequandos-blog · 3 years
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Naftali Bennett d'Israël soutient la ligne dure contre l'Iran, un ton plus doux avec les États-Unis
Naftali Bennett d’Israël soutient la ligne dure contre l’Iran, un ton plus doux avec les États-Unis
JÉRUSALEM — Premier ministre Naftali Bennett, parlant quelques jours avant sa première rencontre avec Président Biden en tant que nouveau dirigeant d’Israël, a déclaré qu’il s’opposerait aux tentatives menées par les États-Unis pour rétablir un accord nucléaire avec l’Iran et continuerait les attaques secrètes d’Israël contre le programme nucléaire iranien. Dans une interview accordée au New York…
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infosisraelnews · 10 months
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"Normalement, on ne fait pas la fête en public dans un restaurant" : la catastrophe en Italie et les doutes du monde du renseignement
Le désastre des agents de renseignement du lac Majeur continue de remuer le monde. Le “Times” britannique a rapporté que les personnes impliquées ont peut-être travaillé pour contrecarrer un accord iranien d’achat de composants liés au nucléaire, ou ont visité un centre de recherche traitant des techniques pour empêcher la propagation des armes nucléaires. Près de deux semaines se sont écoulées…
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traderschool-eti · 3 years
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Nucléaire iranien: Macron, Merkel et Xi appellent à conclure un accord | Ecole de Trading
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bouxmounir · 2 years
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Au Qatar, Macron face à la délicate question de la Coupe du monde 2022
Au Qatar, Macron face à la délicate question de la Coupe du monde 2022
HuffPostAu Qatar, Macron face à la délicate question de la Coupe du monde Politique – Au milieu d’une flopée de signatures de contrats commerciaux, nucléaire iranien et terrorisme, qu’en est-il Les droits des femmesM Travailleurs immigrés et personnes LGBTQI+? Le week-end et pendant deux jours, Emmanuel Macron Renvoyé à baie. être en retard Abou Dabi – où il venait de signer un accord pour la…
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