Victoire !...
đ«đ· đŹđ§ 8 Mai 1945 đșđČ đ·đș
Le Monde illustrĂ© ,numĂ©ro spĂ©cial, N° 4307 ,pour fĂȘter la victoire.
Bel aprĂšs-midi đ
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Enfants anglais agitant leurs drapeaux dans les décombres d'une maison de la banlieue sud de Londres à Battersea pour célébrer la victoire en Europe - 8 mai 1945.
Photographe américain anonyme
©Imperial War Museums - HU 49414
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Limiter la richesse individuelle
Les frĂšres Gracchus, Gaius et TibĂ©rius, Ă©taient tribuns, l'Ă©quivalent de nos dĂ©putĂ©s et ils ont voulu s'attaquer aux problĂšmes de l'Ă©poque. Les riches Ă©taient peu nombreux mais possĂ©daient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les cĂ©rĂ©ales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix Ă©levĂ© et faisaient venir des Ă©trangers pour travailler Ă des salaires trĂšs bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome Ă©tait plongĂ©e dans une pauvretĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e qui tourmentait Rome. Les frĂšres Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriĂ©tĂ© et elle affirmait que la propriĂ©tĂ© avait une limite en quantitĂ© au-delĂ de laquelle elle Ă©tait toxique pour la sociĂ©tĂ© et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est Ă moi que je peux en faire ce que je veux. Les frĂšres Gracchus ont Ă©tĂ© saisis par les riches et leurs hommes de main et jetĂ©s dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plĂšbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frĂšres Gracchus profitant de l'Ă©moi causĂ© par la mort de Jules CĂ©sar. Quatre cent ans de paix et de prospĂ©ritĂ© ont suivi.Â
En 1930, en France, des juges ont crĂ©e le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montrĂ© que la propriĂ©tĂ© privĂ©e n'est pas sacrĂ©e. Ils ont expropriĂ© les propriĂ©taires, et c'Ă©tait normal. LĂ©on Blum a Ă©tĂ© harcelĂ© et a quittĂ© sa fonction.Â
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont trÚs heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaßnes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'Ă©lection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes dĂ©cisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas Ă©tĂ© Ă©lu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanitĂ© Ă©mettent 100 fois plus de gaz Ă effet de serre que ceux qui Ă©mettent les 99% autres, c'est trop.Â
Ces gens mĂ©ritent d'ĂȘtre riches mais pas Ă ce point. Ils n'ont jamais rendu Ă la sociĂ©tĂ© ce que la sociĂ©tĂ© leur avait donnĂ© en premier lieu. La sociĂ©tĂ© a formĂ© leurs employĂ©s avec des Ă©coles et des universitĂ©s; ceux-ci sont en bonne santĂ© grĂące aux hĂŽpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aĂ©roports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armĂ©e pour les protĂ©ger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour ĂȘtre toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth:Â https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
âThe world has enough for everyoneâs need, but not enough for everyoneâs greedâ: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You canât get enough⊠Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derriĂšre le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow â Chap 4: La dĂ©mocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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La France, la Russie et les traĂźtres (suite2)
Câest lĂ un concept foireux. Aux AmĂ©riques, par exemple, les Anglais sâĂ©taient alliĂ©s avec les Cherokees : trahison civilisationnelle. Les Français sâĂ©taient alliĂ©s avec les Sioux : trahison civilisationnelle. En 1914, les Allemands se sont alliĂ©s aux Ottomans : trahison civilisationnelle. En 1895, les Anglais arment les Ethiopiens contre les Italiens : trahison civilisationnelle. Les AmĂ©ricains avaient des Noirs dans leur armĂ©e en 1944 : trahison civilisationnelle. Pour faire Ă©chec aux ambitions de Charles-Quint, François Ier sâĂ©tait alliĂ© au Grand Turc : trahison civilisationnelle. Les Russes acceptent que des tchĂ©tchĂšnes se battent Ă leurs cĂŽtĂ©s : trahison civilisationnelle. Les Ukrainiens acceptent des jihadistes dans leurs rangs pour cartonner des Russes : trahison civilisationnelle. En rĂ©alitĂ©, il nây pas de " trahison civilisationnelle". DĂšs lors que lâennemi principal est dĂ©fini, un Ătat noue des alliances pour tenter dâanĂ©antir la menace. Cela sâappelle la diplomatie ; tout simplement. Un nationaliste français qui soutient aujourdâhui lâUkraine de Zelensky pour dĂ©fendre une "petite nation injustement attaquĂ©e" obĂ©it trĂšs exactement au mĂȘme rĂ©flexe que ces patriotes français qui en 1939 Ă©taient prĂȘts Ă aller en dĂ©coudre avec les Boches pour sauver la Pologne, et lâannĂ©e suivante pour sauver la rĂ©publique française qui Ă©tait pourtant dĂ©jĂ bien vermoulue. Une partie dâentre eux est ensuite allĂ©e Ă Londres rejoindre le gĂ©nĂ©ral de Gaulle. Câest le rĂ©flexe de la « petite patrie », qui nourrit les querelles et les haines entre EuropĂ©ens et qui nous a fait tant de mal. Quatre-vingt annĂ©es aprĂšs la victoire des alliĂ©s de mai 1945, on voit le rĂ©sultat. Dans lâentre-deux guerres, les nationalistes français avaient dĂ©jĂ parfaitement conscience de la dĂ©gĂ©nĂ©rescence raciale imposĂ©e par le rĂ©gime rĂ©publicain : Drieu La Rochelle, Brasillach, CĂ©line, Pierre-Antoine Cousteau, Henri BĂ©raud, Lucien Rebatet et quelques autres sâĂ©taient Ă©levĂ©s contre cet envahissement des Ă©trangers encouragĂ© par le rĂ©gime. Il sâagissait Ă lâĂ©poque des juifs, des Italiens, des ArmĂ©niens, des Noirs, des AlgĂ©riens et des Annamites. CâĂ©tait le dĂ©but de la grande invasion que nous connaissons. Les intellectuels français avaient fait leur travail en nous mettant en garde contre ce qui se prĂ©parait. Les forces en prĂ©sence aujourdâhui sont exactement les mĂȘmes quâen 1940. Les projets sont les mĂȘmes. Câest une guerre Ă mort qui ne peut se solder que par lâanĂ©antissement dâun des deux camps. Et il ne faut pas se tromper de camp. HervĂ© Ryssen
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Qui nâa pas vu la route, Ă lâaube entre deux rangĂ©es dâarbres, toute fraĂźche, toute vivante, ne sait pas ce que câest que lâespĂ©rance. LâespĂ©rance est une dĂ©termination hĂ©roĂŻque de lâĂąme, et sa plus haute forme est le dĂ©sespoir surmontĂ©.
On croit quâil est facile dâespĂ©rer. Mais nâespĂšrent que ceux qui ont eu le courage de dĂ©sespĂ©rer des illusions et des mensonges oĂč ils trouvaient une sĂ©curitĂ© quâils prennent faussement pour de lâespĂ©rance. LâespĂ©rance est un risque Ă courir, câest mĂȘme le risque des risques. LâespĂ©rance est la plus grande et la plus difficile victoire quâun homme puisse remporter sur son ĂąmeâŠ
On ne va jusquâĂ lâespĂ©rance quâĂ travers la vĂ©ritĂ©, au prix de grands efforts. Pour rencontrer lâespĂ©rance, il faut ĂȘtre allĂ© au-delĂ du dĂ©sespoir. Quand on va jusquâau bout de la nuit, on rencontre une autre aurore.
Georges Bernanos, 1945
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Public Art, Vancouver (No. 2)
The Angel of Victory (French: L'Ange de la Victoire) is a statue crafted by London-born sculptor Coeur de Lion McCarthy (1881â1979), installed in Montreal's Windsor Station, in Quebec, Canada.
It was commissioned in 1922 in memory of the 1,116 Canadian Pacific Railway (CPR) employees who died in World War I. Copies of the statue were also installed at CPR stations in Vancouver and Winnipeg, Canada. The Winnipeg copy has since been moved from the station, and is now located outside the Deer Lodge Hospital.
The bronze, seven foot tall statue shows a fallen soldier being carried up to heaven by a female angel. It is on a pedestal inscribed:
To Commemorate Those in the Service of the Canadian Pacific Railway Company Who at the Call of King and Country, Left All That Was Dear to Them, Endured Hardship, Faced Danger and Finally Passed Out of Sight of Men by the Path of Duty and Self Sacrifice, Giving Up Their Own Lives That Others May Live in Freedom. Let Those Who Come After See to It That Their Names Are Not Forgotten. / 1914â1918
After World War II, the years 1939â1945 were added to the inscription.
The Vancouver copy of the statue was used in a piece by Canadian street artist Richard Hambleton, who had instructed that it be released only after his death, in 2017. Created in 1974, the piece depicts the young artist in place of the fallen soldier, his body pierced by paintbrushes.
Source: Wikipedia
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La prise de la ville dâArtiomovsk (Bakhmout) par lâarmĂ©e russe aprĂšs des combats de 10 mois peut ĂȘtre qualifiĂ©e de "plus grande bataille depuis la Seconde guerre mondiale", selon Richard Black, ex-sĂ©nateur des Ătats-Unis.
Ă Artiomovsk, « lâarmĂ©e russe a remportĂ© une victoire dans la bataille la plus importante depuis 1945 », a dĂ©clarĂ© Ă Sputnik lâancien sĂ©nateur amĂ©ricain, Richard Black. Ce dernier suppose que la perte de cette ville qui Ă©tait aux mains de Kiev devrait pousser lâUkraine Ă prĂ©parer une contre-offensive massive dont tout le monde parle depuis longtemps.
prequel : Commentaire d'un jeune Zelenskyy avant d'avoir été acheté corps et ùme par la cabale
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LA "3.G." ???Dans le Carnet de Nice RendezVous 2022 Semaine 18 - Le 8 Mai 1945, Victoire des AlliĂ©s sur l'Allemagne nazie et Fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe!Mais peut-ĂȘtre le dĂ©but de la 3 Ăšme G ?
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Bonjour, bon Dimanche âïž đ„ đ et bonne cĂ©lĂ©bration du 8 Mai 1945 đ«đ·
Foule sur les Champs-ĂlysĂ©esđŒParis 8 Mai 1945
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Le GĂ©nĂ©ral George S. Patton et le MarĂ©chal Gueorgui Joukov assistent Ă une parade des forces alliĂ©es pour cĂ©lĂ©brer la victoire sur le Japon â Berlin â Allemagne â 7 septembre 1945
©National Archives and Records Administration
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Ukraine : le général Lecointre recadre les va-t-en-guerre
« La guerre par procuration, qui est une chose Ă laquelle nous nous sommes habituĂ©s depuis si longtemps, me paraĂźt ĂȘtre une illusion. »
Nous sommes le 20 mars 2024, lâex-CEMA (chef dâĂ©tat-major des armĂ©es) rĂ©pond aux questions de la commission de la DĂ©fense nationale. Pour le gĂ©nĂ©ral Lecointre, nous avons basculĂ© dans une Ăšre nouvelle, rien que par le dĂ©sĂ©quilibre des arsenaux entre la Russie et nous (France, UE). Nous parlons de guerre, les Ă©lites europĂ©istes parlent de guerre, mais nâont pas dĂ©clenchĂ© de production suffisante pour soutenir une guerre longue, que beaucoup dâinconscients appellent de leurs vĆux.
Ce fossĂ© entre ce qui est profĂ©rĂ© par les va-t-en-guerre de Bruxelles â le triumvirat Leyen-Michel-Borrel â et la rĂ©alitĂ© nous mĂšnera, selon Lecointre, Ă une « faiblesse » et Ă une « soumission » inĂ©vitables, câest-Ă -dire la dĂ©faite.
« Nous sommes en train de connaĂźtre un basculement dâĂšre stratĂ©gique absolument fondamental dont nous ne mesurons Ă mon avis pas complĂštement la portĂ©e, et qui est mĂȘme au-delĂ du basculement dâĂšre stratĂ©gique que nous identifions bien, qui sâest ouverte avec la fin de la guerre froide, lâeffondrement du mur de Berlin, et qui sâest refermĂ©e avec lâinvasion dâUkraine, qui ne faisait que consacrer un dĂ©sĂ©quilibre des rapports de force des constitutions des arsenaux que nous sentions venir depuis une dizaine dâannĂ©es. »
La thĂ©orie de Lecointre, câest la loi des diffĂ©rentiels entre les arsenaux, qui conduisent Ă de nouveaux rapports de force. Ce quâillustre la nouvelle puissance russe face aux arsenaux de lâEurope de lâOuest, en rade depuis des annĂ©es. LĂ oĂč on a un peu plus de mal Ă suivre Lecointre, câest quand il explique que lâĂšre prĂ©cĂ©dente, commencĂ©e en 1945 avec la victoire des AlliĂ©s, Ă©tait un ordre mondial fondĂ© sur le droit. Autrement dit : la Russie aurait ouvert un nouveau champ de possibles en faisant primer la force sur le droit. Ceux qui connaissent lâhistoire amĂ©ricaine depuis 1945 et lâhistoire israĂ©lienne depuis 1948 rigoleront sous cape.
Les propos du gĂ©nĂ©ral, quand ils restent cantonnĂ©s dans le registre militaire, sont intĂ©ressants ; câest quand il franchit la ligne qui sĂ©pare le militaire du politique quâon bifurque dans lâanalyse bien-pensante, et les erreurs qui vont avec...
« Je pense que cette Ăšre stratĂ©gique dans laquelle nous entrons, elle est un bouleversement qui remonte mĂȘme Ă plus loin. Je pense quâon peut considĂ©rer que lâordre du monde sur laquelle nous avons vĂ©cu jusquâĂ prĂ©sent et qui est en train de disparaĂźtre, est un ordre du monde fondĂ©, aprĂšs la victoire des AlliĂ©s et du monde occidental Ă la fin de la DeuxiĂšme Guerre mondiale, est un ordre du monde fondĂ© sur le droit.
Et aujourdâhui câest ça qui est remis en question et ça me paraĂźt extrĂȘmement grave. Et ça sâaccompagne Ă©videmment dâune remise en cause dâun monde qui a Ă©tĂ© globalement occidentalisĂ©, et câest une remise en cause de lâoccidentalisation du monde qui est en train de se faire sous nos yeux avec un affaiblissement sans doute de ce monde occidental qui a considĂ©rĂ© que le droit qui Ă©tait le sien devait sâimposer parce quâil Ă©tait bon pour la planĂšte et lâensemble des nations au monde entier, et quâil nâavait plus besoin dâĂȘtre soutenu par la force parce que il Ă©tait soutenu par la supĂ©rioritĂ© technologique. Et on redĂ©couvre aujourdâhui malheureusement la brutalitĂ© du monde et la barbarie des choses. »
Un droit international violĂ© en permanence par lâaxe israĂ©lo-amĂ©ricain... No comment ! Lecointre a attendu la guerre russo-ukrainienne de 2022 mais a oubliĂ© la guerre ukraino-russe de 2014, et toutes les guerres anglo-amĂ©ricaines depuis 1990, date Ă laquelle lâURSS, en effondrement total, ne peut plus rĂ©agir devant les appĂ©tits de lâEmpire.
On a un peu honte dâinfliger cette leçon de relativitĂ© gĂ©opolitique Ă un militaire de ce calibre, mais câest la dure rĂ©alitĂ©. Le monde occidental est mal placĂ© pour donner des leçons de droit au monde entier. Et nous ne sommes pas des Occidentaux atteints de haine de soi, bien au contraire !
Revenons au conflit actuel entre lâOTAN et la Russie, avec le bellicisme incomprĂ©hensible des Ă©lites europĂ©istes, qui nâont objectivement pas les moyens de leur politique dâagression.
Alors que cherchent ces élites européistes ?
Câest ce que Lecointre ne dit pas, et qui fait partie de la mĂ©ta-explication, Ă savoir que le combo anglo-amĂ©ricain pousse lâEurope au suicide, et conjointement Ă lâaffaiblissement des deux blocs russe et europĂ©en. Sans eux, la Chine ne tiendra pas longtemps seule face la prĂ©dation de lâEmpire. Câest notre analyse, mais les contradictions de la politique extĂ©rieures de lâUE nâont pas dâautre issue.
Ce que disaient les généraux Lecointre et Delawarde en 2018 et 2019
Dominique Delawarde  : « Les troupes envoyĂ©es en OPEX en particulier au Sahel nâont plus le niveau dâentraĂźnement suffisant depuis le dĂ©but des annĂ©es 2000, ce qui augmente considĂ©rablement le risque de mortalitĂ© en opĂ©ration. En outre, les matĂ©riels majeurs utilisĂ©s en opĂ©ration nâont plus un niveau de DTO (DisponibilitĂ© technique opĂ©rationnelle) suffisant. Le rapport dâinformation (non classifiĂ©) de la commission parlementaire de la dĂ©fense et des forces ArmĂ©es du 9 dĂ©cembre 2015 est dĂ©jĂ effarant quant aux consĂ©quences liĂ©es au rythme soutenu des opĂ©rations extĂ©rieures (OPEX) et au maintien en condition opĂ©rationnelle des dits matĂ©riels. Il confirmait lâĂ©tat de dĂ©liquescence des matĂ©riels majeurs des armĂ©es françaises. Le parc hĂ©lico Ă©tait particuliĂšrement visĂ© par ce rapport. »
Le Cema François Lecointre, le 17 juillet 2018, devant la Commission de la DĂ©fense de lâAssemblĂ©e nationale : « LâarmĂ©e française est Ă©reintĂ©e, sous-Ă©quipĂ©e, sous-dotĂ©e, sous-entraĂźnĂ©e. »
Lâaudition complĂšte de Lecointre du 20 mars 2024
Le remplacement de Lecointre en 2021 inaugurait-il une entrée en guerre ?
E&R
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Dans l'URSS de l'époque, la sculpture monumentale était souvent conçue comme un élément intégré à l'architecture des bùtiments et des espaces publics. Les artistes ont travaillé en étroite collaboration avec les architectes pour créer des sculptures qui étaient en harmonie avec leur environnement. Dans cet article, nous allons explorer la relation entre la sculpture monumentale et l'architecture soviétique de l'époque.
L'un des exemples les plus frappants de cette collaboration entre sculpture et architecture est le Palais des Soviets Ă Moscou. Ce bĂątiment colossal, qui devait ĂȘtre le plus grand du monde Ă l'Ă©poque, devait ĂȘtre couronnĂ© par une statue monumentale de LĂ©nine. La sculpture de LĂ©nine, conçue par Boris MikhaĂŻlovitch Iofan et Vera Mukhina, aurait mesurĂ© plus de 100 mĂštres de haut. Cependant, la construction du palais a Ă©tĂ© interrompue en raison de la Seconde Guerre mondiale, et la statue n'a jamais Ă©tĂ© construite.
Un autre exemple est le bùtiment de l'Université d'Etat de Moscou, conçu par Lev Rudnev et achevé en 1953. Le bùtiment est couronné par une sculpture en acier inoxydable de 240 tonnes représentant un groupe de travailleurs et d'étudiants portant un globe terrestre. Cette sculpture monumentale de Zurab Tsereteli est l'une des plus grandes sculptures en acier inoxydable au monde.
Les sculptures monumentales étaient également utilisées pour décorer les façades des bùtiments. Par exemple, sur la façade du bùtiment du ministÚre de l'agriculture à Moscou, on trouve des sculptures en relief représentant des scÚnes de la vie rurale. Ces sculptures, créées par les artistes soviétiques Ivan Shadr et Vladimir Favorsky, reflÚtent l'importance que l'URSS accordait à l'agriculture à l'époque.
Dans les espaces publics, les sculptures monumentales étaient souvent utilisées pour célébrer les héros de l'histoire soviétique. Le Monument de la Patrie à Kiev, par exemple, est un complexe de sculptures monumentales dédié à la mémoire des héros de la guerre patriotique de 1941-1945. Les sculptures représentent des soldats, des travailleurs et des paysans qui ont lutté pour défendre l'URSS contre l'Allemagne nazie.
Les sculptures étaient également utilisées pour commémorer des événements historiques. Le Monument de la Victoire à Saint-Pétersbourg, par exemple, commémore la victoire de l'Armée rouge sur l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Le monument, qui a été construit en 1975, comprend une grande statue en bronze d'une femme ailée tenant une épée et une banniÚre.
L'intĂ©gration de la sculpture monumentale dans l'architecture soviĂ©tique Ă©tait une pratique courante de l'Ă©poque, et les sculptures Ă©taient souvent conçues en mĂȘme temps que les bĂątiments et les espaces publics. Les artistes travaillaient en Ă©troite collaboration avec les architectes pour s'assurer que les sculptures s'intĂ©graient harmonieusement dans l'environnement bĂąti et que leur style correspondait aux conceptions architecturales de l'Ă©poque.
Les sculptures étaient souvent placées sur des bùtiments publics, tels que des écoles, des hÎpitaux et des centres de loisirs, ainsi que sur des monuments commémoratifs et des places publiques. Les sculptures étaient souvent de grande taille, ce qui leur permettait de dominer les espaces publics et de servir de point focal pour les visiteurs.
Les sculpteurs soviĂ©tiques Ă©taient souvent appelĂ©s Ă crĂ©er des Ćuvres qui reflĂ©taient les valeurs socialistes de l'Ă©poque. Ces valeurs Ă©taient souvent exprimĂ©es par le biais de symboles et d'allĂ©gories, qui Ă©taient souvent intĂ©grĂ©s dans les sculptures monumentales. Par exemple, les sculptures de travailleurs ou de paysans Ă©taient souvent utilisĂ©es pour symboliser la force et la puissance de la classe ouvriĂšre, tandis que les sculptures de jeunes pionniers ou de membres de l'armĂ©e symbolisaient la loyautĂ© et le dĂ©vouement envers l'Ătat.
Les sculptures monumentales étaient également souvent utilisées pour commémorer des événements historiques importants ou des héros de l'Union soviétique.
Ces sculptures étaient souvent placées dans des lieux publics pour rappeler aux gens l'importance de ces événements ou de ces personnages historiques et pour renforcer leur fierté envers leur pays et leur histoire.
L'utilisation de la sculpture monumentale dans l'architecture soviétique a également permis de créer des espaces publics intéressants et dynamiques. Les sculptures ont ajouté de la texture et de la profondeur aux bùtiments et aux espaces publics, créant ainsi des paysages urbains qui étaient à la fois fonctionnels et esthétiques.
En résumé, la sculpture monumentale a joué un rÎle important dans l'architecture soviétique de l'époque. Les artistes ont travaillé en étroite collaboration avec les architectes pour s'assurer que les sculptures s'intégraient harmonieusement dans les bùtiments et les espaces publics, et les sculptures étaient souvent utilisées pour symboliser les valeurs socialistes de l'Union soviétique. Les sculptures monumentales étaient également souvent utilisées pour commémorer des événements historiques importants ou des héros de l'Union soviétique. La sculpture monumentale a ajouté de la texture et de la profondeur aux bùtiments et aux espaces publics, créant ainsi des paysages urbains intéressants et dynamiques.
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"Un nationaliste français qui soutient aujourdâhui lâUkraine de Zelensky pour dĂ©fendre une "petite nation injustement attaquĂ©e" obĂ©it trĂšs exactement au mĂȘme rĂ©flexe que ces patriotes français qui en 1939 Ă©taient prĂȘts Ă aller en dĂ©coudre avec les Boches pour sauver la Pologne, et lâannĂ©e suivante pour sauver la rĂ©publique française qui Ă©tait pourtant dĂ©jĂ bien vermoulue. Une partie dâentre eux est ensuite allĂ©e Ă Londres rejoindre le gĂ©nĂ©ral de Gaulle. Câest le rĂ©flexe de la « petite patrie », qui nourrit les querelles et les haines entre EuropĂ©ens et qui nous a fait tant de mal. Quatre-vingt annĂ©es aprĂšs la victoire des alliĂ©s de mai 1945, on voit le rĂ©sultat."
Hervé Ryssen, X (anciennement Twitter), 22 février 2024.
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Qui nâa pas vu la route, Ă lâaube entre deux rangĂ©es dâarbres, toute fraĂźche, toute vivante, ne sait pas ce que câest que lâespĂ©rance. LâespĂ©rance est une dĂ©termination hĂ©roĂŻque de lâĂąme, et sa plus haute forme est le dĂ©sespoir surmontĂ©.
On croit quâil est facile dâespĂ©rer. Mais nâespĂšrent que ceux qui ont eu le courage de dĂ©sespĂ©rer des illusions et des mensonges oĂč ils trouvaient une sĂ©curitĂ© quâils prennent faussement pour de lâespĂ©rance. LâespĂ©rance est un risque Ă courir, câest mĂȘme le risque des risques. LâespĂ©rance est la plus grande et la plus difficile victoire quâun homme puisse remporter sur son ĂąmeâŠ
On ne va jusquâĂ lâespĂ©rance quâĂ travers la vĂ©ritĂ©, au prix de grands efforts. Pour rencontrer lâespĂ©rance, il faut ĂȘtre allĂ© au-delĂ du dĂ©sespoir. Quand on va jusquâau bout de la nuit, on rencontre une autre aurore.
Georges Bernanos, 1945
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Le passĂ© antisĂ©mite de Marcel Regamey gĂȘne toujours
Le fondateur de la Ligue vaudoise a écrit des articles contre les juifs dans «La Nation». Quarante ans aprÚs sa mort, cet héritage trouble pÚse encore.
Jusquâen 1945, lâantisĂ©mitisme nâest pas un Ă©lĂ©ment marginal dans la doctrine de la Ligue [vaudoise] qui prend comme modĂšle la rĂ©volution nationale du marĂ©chal PĂ©tain. Au lendemain de la victoire des AlliĂ©s, Marcel Regamey met sa judĂ©ophobie en sourdine. Alain Clavien [UniversitĂ© de Fribourg] Ă©crit que le fondateur Ă©carte les Ă©lĂ©ments les plus choquants de sa pensĂ©e, sans renier pour autant ses convictions, pour privilĂ©gier le fĂ©dĂ©ralisme, la dĂ©fense de lâĂąme et la culture vaudoises. Cette reconversion culturelle est un succĂšs. Câest le dĂ©but de lâomerta qui permet aux notables de continuer Ă frĂ©quenter lâorganisation jusquâĂ aujourdâhui. «Le maĂźtre est toutefois restĂ© antisĂ©mite, malgrĂ© une certaine repentance», affirme lâancien conseiller dâĂtat Jean Jacques Schwaab qui lâa croisĂ© par hasard en 1975.
[https://www.24heures.ch/le-passe-antisemite-de-marcel-regamey-gene-toujours-538947211317]
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