Tumgik
#Verrouillé
nobyr · 1 year
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Teki Latex b2b Saku Sahara - 11 Novembre 2021 Since the creation of his label Sound Pellegrino in 2009, multi-faceted pop culture overlord @teki-latex has been focusing on becoming the best DJ he can. His sets showcase a profound respect for the slow-burning grooves of Techno and House, as well as a fascination for IDM, Grime, the UK Garage and the many incarnations of American club music. Uploaded by Rinse France https://ift.tt/AuB6d1s via SoundCloud https://ift.tt/yxqJhSN November 11, 2021 at 09:29PM
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zou-pa · 2 years
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(Rinse France)
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glamorousgenius · 2 years
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Ancestral avec Ivan Diaz, BURUNTUMA & Hey Bony - 30 Octobre 2021 by Rinse France
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taquaone · 2 years
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(Rinse France)
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buildanddestroy · 2 years
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Slam Jam feat. Rezzett (Rinse France)
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pbrodukt · 2 years
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(Rinse France)
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febediqogugu · 2 years
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Telephone aastra 5380 mode d'emploi
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prosedumonde · 19 days
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Elle est corsetée de rage, hébétée. C’est donc ça, être hors de soi. Ne plus s’appartenir. Il faudrait qu’elle pleure. Mais tous les mécanismes sont verrouillés. Elle s’est prise au piège. C’est l’histoire de sa vie, ça. 
Gabrielle Tuloup, Sauf que c'étaient des enfants
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peutetreplusblog · 6 months
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Quand j’ai ouvert cette porte
Je ne m’y attendais pas
Le souffle coupé
J’ai fait demi-tour
Et je suis ressorti
Après réflexion, pourquoi cette porte n’était-elle pas verrouillée…
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homomenhommes · 20 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 139
Le samedi matin, je descends de mon R1 flambant neuf devant la concession SUZUKI.
Je suis en avance et la porte est encore verrouillée. Je lis sur la porte qu'en fait ils ne vont ouvrir que dans trois quarts d'heure. Je quitte mon casque et mate la vitrine. bientôt un jeune (mon âge environ) vient vers moi et me fait signe de retourner à la porte. il m'ouvre, on se salut et il me demande (en me tutoyant) ce que je cherche chez eux vu le matos que j'avais entre les cuisses en arrivant et de me mater l'entrejambe.
Je ne sais pas pourquoi mais les vendeurs en concession moto sont toujours jeunes ! Moi ça ne me dérange pas, qu'ils soient jeunes ! Mais niveau allusions, faudrait qu'ils soient plus discrets ! Je l'observe de plus près : jeans moulant un cul étroit et un paquet conséquent, polo siglé de la marque couvrant des épaules larges et chaussure sport/ville Adidas et au dessus de tout ça une tête sympathique couronnée de cheveux blonds en bataille. Mon inspection était nettement visible et quand mes yeux ont rencontrés les siens, il m'a demandé s'il me convenait ou s'il faudrait qu'il se fasse remplacer par un collègue. Je le rassure en lui disant qu'à ce que j'ai pu voir jusque là, il me convenait (je pense que cela lui aurait couté de me lâcher, après tout ils sont payé en grande partie à la commission) mais que ma machine n'était que la partie émergée de l'iceberg. Un grand sourire accompagné du passage de sa langue sur ses lèvres m'ont indiqué que nous n'en resterions probablement pas là.
Les choses étant calées, nous avons abordés le sujet de ma présence, en l'occurrence l'achat d'un GSXR 1000. Devant la moto, il commence le panégyrique. Je le laisse faire 5mn puis je le coupe en lui disant que quoiqu'il me dise je lui en achèterais un. Il me regarde sans comprendre. Je lui dis alors que c'est un cadeau pour un ami qui ne roule qu'en GSXR 1000 depuis qu'il a eu son permis. il me regarde droit dans les yeux pour me dire que j'ai des amis qui ont beaucoup de chance. Je soutiens son regard, beaux yeux bleus, je souris et lui glisse que j'attends quand même qu'il donne de sa personne. Je suis compris, et très naturellement il m'indique les toilettes et pousse la courtoisie à m'y accompagner.
Dès la porte refermée, il me plaque dessus et me roule une pelle d'enfer. Chaud le jeune vendeur alors qu'il sait déjà qu'il a vendu la machine ! collé contre moi, je sens sa queue gonfler sous le jeans et la mienne en faire autant sous le cuir. Le premier il se baisse et ouvre ma combi pour sortir ma bite. Sans la laisser à l'air plus que nécessaire, il la recouvre de sa bouche. L'impression de rentrer dans une étuve. Chaud, humide avec une langue qui voltige autour de mon gland, du grand art ! Je le relève avant qu'il ne me fasse jouir. Je lui dis qu'il n'est pas obligé d'en faire autant, il l'a déjà vendu son GSXR. Il me répond qu'il avait flashé dès qu'il m'avait vu de l'autre coté de la vitre et redescend me sucer. Avec un effort supplémentaire, il me prend en entier. Dieu que c'est bon d'avoir le gland serré dans une gorge ! Mais il va me faire jouir ce con ! je le relève une deuxième fois. Il me roule un patin où je retrouve le goût de ma bite.
Mes mains sont sur ses jeans. La bosse s'est transformée en une barre horizontale conséquente. J'ai du mal à déboutonner la braguette en tension. Quand j'y arrive enfin, une belle matraque tombe entre mes mains. J'y jette un oeil, bien rose, gland découvert, j'ai l'impression qu'elle est plus longue et plus grosse que la mienne. Comme nous sommes face à face, je superpose nos deux sexes. Finalement je dois faire quelques mm de plus en longueur mais il les rattrape en largeur. C'est son étroitesse de bassin qui m'avait trompé. Je lui glisse un interrogatif, actif ou passif ? Il me souffle que c'est comme je veux qu'on a encore 1/2 heure avant que ça s'agite dans la concession.
Je me baisse à mon tour et lui avale sa bite, direct du premier coup derrière mes amygdales. Histoire de montrer que je suis pas novice non plus. Il apprécie l'attention en me prenant la tête et en me pilonnant la gorge, le tout agrémenté d'un " putain, c'est rare ! ". Mes mains libres sont parvenues à faire glisser le jeans de ses fesses et mes doigts ont pris le chemin de son trou, petit mais bien chaud. Je tends mes doigts vers le haut et il me les suce, les enduits de salive. Je peux alors lui préparer la rondelle. Un puis deux doigts entrent assez facilement. Il ne bande que plus dur. Après avoir pu lui mettre un troisième, je me redresse, le tourne vers les lavabos. Il s'y accroche et le temps de me kpoter, je me présente à sa porte arrière. J'ouvre quand même un sachet de gel au dessus de mon gland et pousse fermement. Mon gland entre accompagné d'un gémissement de plaisir. Je pousse jusqu'à disparaître complètement en lui. D'une main je vérifie qu'il bande toujours. Je l'encule une bonne dizaine de minute puis me retire, j'ai envie de sa bite en moi. La combi une pièce ne facilite pas la chose ! je fini par la virer complètement avec son aide. Et je prend sa place après lui avoir donné gel et Kpote.
Il commence par s'accroupir derrière moi et me préparer l'oignon avec sa langue. Déjà dans ma bouche je l'avais trouvé très longue (sa langue), il allait me le prouver une nouvelle fois, réussissant à pénétrer mon trou de bien deux à trois cm. Aussi bien préparé et surtout excité par la situation, je me suis ouvert rapidement et tout aussi vite il me l'a mise. Pas de délicatesse, rapport viril et fort, je me suis fait sauter en beauté. Jeune mais déjà bien expérimenté, il à joué de sa bite comme un virtuose de son archet sur son violon. J'ai éclaboussé la faïence, utilisant mes muscles annaux pour lui bloquer la queue. Il a été très surpris de ne plus pouvoir bouger. En deux à trois contractions de la sorte je lui ai fait remplir sa kpote. Quand il a déculé, il m'a dit que c'était la première fois qu'on lui faisait ce coup. Et qu'il avait super aimé. Je me suis rhabillé avec son aide et une fois vérifiés mutuellement nous sommes retournés au magasin. Seul son boss nous a vu sortir des toilettes. Nous sommes retournés devant le GSXR et il a fait semblant de me convaincre. 1/4 d'heure plus tard (pour être crédible), il m'emmenait à son boss pour conclure l'affaire.
J'achetais donc un GSXR 1000 de base, couleurs blanc et bleu classiques à livrer à la maison et au nom de Eric X. Je dis au boss que son vendeur étant tellement bon, je ne discutais en rien le prix catalogue afin de lui assurer la meilleur commission possible. Il me répondit que parfois il avait cet effet là. je lui conseillais alors vivement de le garder. Il me dit qu'il n'avait aucunement l'envie de le laisser partir que c'était son meilleur élément. Je lui dis que je lui faisais confiance sur ce point n'ayant pas " testé " les autres. Comme le vendeur en question était encore à nos cotés, j'ai eu le plaisir de le voir rougir jusqu'aux cheveux. J'ajoutais à l'achat qu'Eric X (le futur propriétaire) avait crédit ouvert pour modifier sa machine (freins, pot d'échappement, durites, bracelets...). Et pour le garantir, je laissais un chèque de caution de 4 000 € à charge pour eux de me fournir les factures signées d'Eric.
En dernier point je demandais à ce que la livraison soit effectué par son vendeur qui avait su si bien me convaincre. Point accepté de suite, et de fixer le jour de livraison. Et dernier détail j'exigeais un paquet cadeau rose vif avec un gros noeud rouge.
Quelques jours plus tard j'attendais impatiemment ma livraison. 18h la camionnette arrive. J'avais décidé de mettre la moto dans le garage à la place de la berline de Marc. Je le fais reculer jusqu'aux portes et le vendeur sort me saluer. Je suis en jeans polo. Il s'approche et comme je vais pour lui serrer la main, il me prend le poignet et la colle à son sexe. De son autre main, il tâte le mien et collés me roule un patin que j'accepte volontiers. Je me décolle et lui dis " d'abord les choses sérieuses ". Il est d'accord et j'ouvre le garage pour qu'il descende la moto. Il la place au milieu de l'espace vacant et retourne chercher la boite cadeau qu'ils ont réalisés. Il m'a dit qu'avec un de ses collègue, ils s'étaient bien amusés à la faire. Résultat : un grand paralépipède rectangle rose fuscia avec son noeud rouge dessus qui couvre parfaitement la moto. Choses faites, il regarde un peu autour et voit notre alignement de motos, VFR, X11, Ducat 1100 S et le R1 et devant ma SLS toute neuve. Il se retourne vers moi et me dit que je ne m'ennui pas ! J'acquiesce et lui donne un billet de 100€ plié pour la livraison et le colisage. Il me remercie sans regarder la valeur. Il n'a pas débandé depuis son arrivée et m'avait mis dans le même état que lui.
Camion garé et portes du garage fermées, nous avons repris notre salutation. Il a vraiment une langue plus longue que la normale ! Mais c'est très bon. Nos jeans respectifs déjà trop étroits, le sont devenus encore plus et ça a été une véritable libération que de les ouvrir. A même le sol (béton propre) nous avons entamé un 69 torride. A qui avalera le plus loin la bite de l'autre. Sur ce point je l'ai battu de vitesse. Son gland obstruait mes voies digestives et respiratoires avant que le mien n'en fasse autant.
Pendant tout un moment ça n'a été que Slurp, Slurp. Puis ses doigts comme les miens sont entrés en jeu et nous avons alternés pipe / doigtage et anilingus. Cette fois c'est lui qui a enculé en premier. J'ai retrouvé toute la fougue qu'il avait mis à notre première rencontre. A 4 pattes, je me faisait monter comme une chienne. Deux fois je l'ai calmé car sinon il aurait juté. Puis ça été mon tour, je l'ai enculé debout, plaqué contre mon SLS. Alors que par les cheveux je lui tournais la tête pour profiter de sa langue, j'ai entendu les portes s'ouvrir automatiquement et perçu les phares de la berline de Marc éclairer le paquet cadeaux. Mon vendeur s'est aperçu alors que nous n'étions plus tout seuls. Il se serait je crois bien retiré mais je le coinçais contre la carrosserie et il n'avait pas la carrure pour me repousser. Marc est venu à notre hauteur et m'a rouler un patin sans que je ne me désaccouple. ;
Le vendeur hallucinait de la situation. J'ai fait les présentation le temps que Marc baisse son pantalon et se Kpote puis, je me suis retiré et il a pris ma place. Ses 2cm de long et son cm de diamètre de plus ont propulsé notre jeune ami vers les cimes du plaisir. Comme il n'avait pas débandé, je me suis intercalé et je me suis planté sur sa bite. Sous le rythme imposé par Marc, nous sommes doucement monté en pression. Je sentais la queue de Daniel prendre encore du volume, il était en train de remplir sa kpote. Sa main qui me branlait depuis un moment a reçu mon sperme. Avant qu'il ne jette ma production au sol ou qu'il ne s'essuie sur son pantalon, je lui ai pris la main et l'ai nettoyée avec ma langue (miam). Un " quelle salope " est venu commenter le fait. Nous avons terminé Marc tous les deux avec une pipe à deux bouches jusqu'à ce qu'il couvre nos visages de sperme.
Vu l'heure, Marc a proposé au jeune vendeur de rester diner. Après un coup de fil à son boss pour lui dire qu'il ne ramènerait le camion que le lendemain matin, il a accepté l'invitation.
JARDINIER
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les putes sont déjà au bois
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Ces interdictions, partout, à chaque coin de rue, chaque recoin de vie ! Elles te sautent aux yeux, te piquent la rétine. Partout ces foutus panneaux, dressés tels des guerriers en pleine parade, hurlant le « non », le « pas par ici », le « t'approche pas » ! Et puis cette barricade imaginaire, ce mur invisible qu'ils dressent, te repoussant, te tenant à distance, toi et ta curiosité déplacée. « Propriété Privée », qu'ils clament haut et fort, avec une arrogance presque palpable. Pas une, mais deux fois, comme un écho, comme une insistance, pour que tu comprennes bien, que tu saches à quoi t'en tenir. Et voilà, tout est dit, tout est verrouillé, et l'on se trouve là, tous.tes, prisonnier.e.s de ce labyrinthe de défenses et du « c’est interdit » ! La liberté de l'errance, elle, va se terrer dans l'ombre de ces signaux d'autorité. On nous tire par la manche vers un ordre préétabli, tentant de nous sculpter en citoyen.ne.s obéissant.e.s et dociles, nous incitant à rester bien sagement sur les rails, là où l'on nous veut, là où l'on nous espère. Et dans cet espace confiné, qui tangue entre le confort de l’ordre pour certain.e.s et le malaise de l’enfermement pour d'autres, l'homme navigue, oscille, se débat parfois. Oui, parfois, se faufiler hors des sentiers battus se révèle être plus qu'une tentation, c'est une nécessité, une brèche où l'air semble un peu moins vicié, où le ciel, en dépit de tout, semble encore capable de s'étirer indéfiniment. Ainsi, le refus de ces « non » omniprésents devient un acte de résistance, une petite révolte nécessaire, une manière de rappeler que l'humain, dans sa précieuse et impétueuse volonté de vivre, se rit bien des barrières, qu'elles soient de métal, de bois ou d'airain. Et de là, dans cet infime sursaut d'insubordination, peut-être y trouve-t-on, l'espace d'un instant, l'ébauche d'un souffle de liberté.
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sous-le-saule · 8 months
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Je suis en vie
Dans les fictions, les flics disent toujours que les 48 premières heures après une disparition sont cruciales. Cela faisait 50 heures que j’avais signalé la disparition d’Alice.
Je restais là, planté devant le lavabo, avec l’eau chaude qui coulait depuis je ne savais combien de temps, incapable d’une tâche aussi simple que me débarbouiller le visage.
Une partie de moi, lointaine, s’étonnait de ne pas être en état d’arrestation. La femme et, 15 ans plus tard, la fille ? Qui pouvait croire une coïncidence pareille ?
Mais, au fond, cela importait peu. Je voulais juste savoir si Alice était encore en vie. Sa mère aurait-elle eu ce légendaire instinct maternel qui lui aurait fait dire : « Elle est en vie, je le sens » ? Moi, je ne sentais rien, et j’en avais honte.
Je ne savais qu’une chose : Alice ne m’aurait pas fait ça.
La police pensait le contraire, évidemment. Une ado avec des problèmes à l’école, une dispute récente avec son père, et aucun indice ne laissant supposer un enlèvement ? Ca sentait la fugue à plein nez. Ils m’avaient demandé si des affaires manquaient dans sa chambre, et j’avais avoué, mortifié, que j’étais incapable de leur répondre. Son sac à dos, oui, mais ça ne voulait rien dire. Comment pouvais-je savoir s’il manquait de l’argent ou quelques vêtements dans cette chambre d’adolescente en désordre permanent et dans lequel j’avais gentiment été prié de ne plus mettre les pieds depuis ses treize ans (« mon intimité, papa, tu comprends ? »).
Ils m’avaient posé des questions pleines de suspicion sur notre relation mais je ne savais pas si c’était le traitement normal réservé au père ou si c’était à cause de la disparition de sa mère.
Elle aussi, sans une trace. Pour autant que je sache, elle était à la maison avec Alice. Quand j’étais rentré du travail, la petite pleurait dans son berceau, seule. Le désordre qui régnait dans la maison depuis sa naissance n’était pas pire que d’habitude. La porte était verrouillée. Aucune valise ne manquait, le passeport de Joanne était toujours là, et il n’y avait de mot nulle part.
Je l’avais cherchée. Pendant des années, je l’avais cherchée. Dans les hôpitaux, chez les membres de sa famille et tous les amis que je lui connaissais, dans la ville et puis dans d’autres, collant des affichettes avec sa photo, sur internet… J’avais longtemps été suspecté. Le mari, évidemment. La thèse du suicide avait fini par prévaloir. Dépression post-partum. Elle s’était probablement jetée dans le fleuve. On retrouverait le corps un jour, ou pas. Mais dans le regard de certains, je voyais bien que le doute subsistait.
Et voilà que je refaisais exactement les mêmes recherches, les mêmes démarches, et je ne comprenais pas comment il était possible que ça m’arrive une fois de plus, ni comment j’allais surmonter l’épuisement sans nom qui me gagnait.
Je me mis à pleurer, devant ce fichu robinet que je ne parvenais même pas à fermer. A pleurer comme un gosse, avec la morve et les gros sanglots qui déchirent la poitrine. Parce qu’Alice devait être morte. Parce qu’elle ne m’aurait pas infligé ce doute en sachant par quoi j’étais passé avec sa mère. Elle n’était pas cruelle. On s’entendait bien. Même si on avait nos désaccords. Principalement sur le fait qu’Alice continuait les recherches alors que je trouvais qu’elle, qu’on, devait aller de l’avant maintenant. C’était ça, notre dispute. La dernière fois qu’on s’était parlé.
Je poussai un cri animal et frappai du poing sur le lavabo. Ca ne pouvait pas être les derniers mots que ma fille avait entendus de ma bouche. Je relevai la tête, prêt à fracasser le miroir embué quand quelque chose arrêta net mon geste.
Il y avait une lettre écrite dans la buée. Un J. Puis un E, à l’envers. Des lettres maladroites s’ajoutèrent laborieusement, comme si les écrire demandait un effort considérable. Longtemps, je restai figé face au miroir, partagé entre la certitude que j’avais fini par perdre l’esprit et la crainte que le moindre mouvement ne fasse disparaitre le message.
« Je suis en vie »
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csashton · 1 year
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I Love You, But I Need To Love Me More - PG x Reader
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Summary: reader and Pierre's anniversary, oh and Charles is there
Pairing: Pierre Gasly / Reader
Warnings: angst, sad, breakup, drinking/drunk Pierre & google translate French (yes I took French in school, I also used google then)
Word count: 1328
A/N: hi it's me again, sorry I promise I love Pierre. sorry for any mistakes - it's just me and my google docs and the brain capacity of a goldfish
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Dinner had long gone cold as you silently thanked yourself for putting the leftovers away immediately. Maybe you’d actually be able to enjoy the meal tomorrow, a thought to yourself with a wry smile. Rolling your eyes you blew out the candles on the table, the beautiful spread from Pierre’s favorite restaurant had gone to waste. You had waited for the last four hours with no word from him and he had promised to be home by eight for your anniversary dinner - yet here you were, alone. 
As you stood up from the dining chair you kicked your heels off, leaning down to grab them so you could put them back in the closet. “What a waste,” you muttered, looking at the table and then at the beautiful silk emerald green dress you had purchased just for this dinner. You made your way to the bedroom, putting your heels back on the shelf and then carefully taking your dress off to hang it on the back of the door. “I promise mon amour, I’ll be home at eight and then we can spend the night together.” you mocked under your breath as you grabbed your robe to slip on as you made your way into the bathroom. Flicking on the light you saw the gorgeous black lingerie set you had ordered, he’d been eyeing it up for a while so you decided to surprise him. 
You hadn’t heard from him since mid-day when he texted to say he couldn’t wait for dinner, and that he was excited to see you. But this wasn’t the first, and was now certainly going to be the last time you were left waiting and forgotten. As you washed off your makeup and changed into your pajamas you thought about the last few dates, how you’d either ended up alone in the restaurant or he showed up over an hour late. Shaking your head as you shut the bedroom door, clicking the lock so he couldn’t get it. “Not dealing with it.” you sigh, climbing into bed. Once you plugged your phone in and turned out the light, you turned to hug your pillow to your chest. When did this become your life? When did your relationship fall apart? 
A few hours later you hear stifled giggling from the hallway outside your bedroom and then a thunk at the bedroom door. “Merde, c'est verrouillé? Shit it’s locked!” you hear in a fit of giggles, Pierre’s voice carrying through the door. From further down the hall you hear another voice say, “Mate? What’s all this food for? The candles? Did you miss something?” you sigh again, rolling onto your back as you look at the clock. 3:58am blinked back at you. Another drunken night with Pierre and Charles. “Maaaate.” you hear Pierre breathe out, “Fuck, I think it was my anniversary?” he laughs, you hear him slide down the door onto the floor with a thump. 
After another twenty or so minutes you finally get up, opening the door causing him to fall back into the room. “Mon amour!” he cheers, “la porte ne s'ouvrait pas. the door wouldn’t open.” he giggles with his eyes closed, drunk Pierre tends to switch between French and English without realizing. ”Pierre, get up and go get ready for bed.” you mutter, stepping over him to get some blankets and a pillow for the guest room. “Charles,” you call for the other man, though slightly less drunk when he comes into view, he looks very sheepish.  “Come on, guest room - I’ll get you a change of clothes and some water.” you explain, ushering him down the hall and into the room. While in there you grab him a glass of water from the bathroom, pulling some extra clothes from one of the drawers before handing it to him. 
“I didn’t know.” you hear him say quietly as you’re puttering sleepily around the room, getting painkillers to put on the nightstand with his water. “Didn’t know what?” you ask, turning to grab the blankets and pillows to make the bed. “I didn’t know it was your anniversary,” he explained, “he didn’t even mention it. I wouldn’t have invited him out if I knew. I’m so sorry.” he apologized, eyes wide as he looked at you. You gave him a sad smile, patting his arm as you moved to leave the room. “Not your fault, not your problem and not your relationship. Get changed, drink some water and sleep as long as you need.” you pressed your lips together for a moment, “Goodnight, Charles. Thank you for getting him home safely.” 
Making your way back to your bedroom, you notice that Pierre is no longer on the floor, that makes you sigh in relief that you don’t have to drag him to bed. Once in the room you notice he’s face down on the bed, still in his clothes but fast asleep. “Good lord,” you groan, walking over to take his shoes off and pull the covers over him. “You’re a mess.” you grumble at his sleeping form. When you’re sure he’s good to go, you grab your blanket and pillow - shutting off the light and closing the door as you head out to the couch to finish your night's sleep. 
In the morning you’re in the kitchen, making breakfast for yourself and the two sleeping men when you hear one of the doors open. You don’t bother looking up as you plate your food. “Morning mon amour,” you hear him say as he tries to come kiss your cheek. You step away quickly, moving to the refrigerator to grab yourself a drink. “You’re just going to ignore me?” he asks, scrunching his face up as you stare at him blankly. “Depends.” you say as you walk over to the table that still had the old and cold food from the night before, shoving it aside to make room for you to eat your breakfast. 
“Oh chérie,” he breathed out, his eyes falling to the candles and cold food. “Oh no.” he continued as he walked toward where you were sitting. You pointed your fork at him as if to tell him to stop coming closer to you, “Don’t even, Pierre.” you hiss out at him, eyes flaming. “Five year anniversary and you don’t show up until four in the morning, wasted with your best friend.” you laugh incredulously. “I don’t know why I even try anymore.” you murmur, eyes flicking back over to him. “Chérie don’t say that, we just lost track of time! I’m sorry I missed it.” he tried, his hands awkwardly falling to his sides. “We went out for some drinks and the next thing I know, I’m here in our bed.” You shake your head again, taking a sip of your drink. 
“Your bed, Pierre.” You watched as his face fell and his eyes went wide. “What do you mean by my bed?” he asked, his voice coming out with a nervous edge. You shrug without breaking eye contact, “I’m moving out.” you state as you take another sip and then set the glass down to hide the tremble in your hands. “I think it’s quite obvious that we have different priorities in life. It was a very good five years together and I’m very thankful for everything we’ve had together. But I think it’s time for it to end, Pierre.” You watch as his shoulders fall, your eyes growing wet. “Chérie please,” he pleads. “I’ll be better, I promise. I’ll stop going out, I’ll stop drinking. We’ll spend more time together.” he sounds like he’s begging as he moves to kneel in front of where you’re seated. You rest your hand on his cheek, brushing your thumb under his eye to catch his tears. Your tears fell as you spoke, “Pierre, please don’t. I’ve made up my mind. I can’t and won’t do this anymore. I love you, but I need to love me more.” 
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lisaalmeida · 11 months
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La souffrance d'autrui, même lorsqu'on connaît la cause, est une porte verrouillée de l'intérieur contre laquelle on ne peut que frapper discrètement pour que l'autre sache qu'il n'est pas seul.
Yvon Rivard
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kistels · 6 months
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recapqsmp · 8 months
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Vendredi 18/08 - Le retour du roi
Mike et Fit ont continué leur quête pour retrouver Walter et Pac. Ils ont trouvé une nouvelle photo dans le backpack ressemblant à l'horloge de la gare. Dans l'horloge, il y avait un coffre, contenant la photo du cimetière, ainsi qu'un livre disant "Combien de temps reste t-il ? J'ai compté depuis si longtemps". Arrivé là bas, ils ont remarqué qu'une bougie manquait comparé à la photo. En creusant à l'endroit où devait se trouver cette bougie, ils sont tombés sur une salle remplie d'horloges et de sabliers. En revenant vérifier le sac, ils ont reçu une image indiquant "55551" (21). Ils en ont conclus que la suite de l'énigme arriverait lundi.
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Etoiles est revenu sur le serveur. Il était toujours dans le nether, mais une sharestone l'attendait. En la prenant, il est arrivé dans un donjon. En avançant dedans, il est tombé sur une base de la fédération, bloquée par une porte verrouillée. En fouillant très rapidement (non), il a fini par trouver la carte d'accès. Dedans, il a pu trouver une shulker box contenant la description du bouclier, ainsi qu'une photo. En creusant sous la box, il a trouvé le bouclier, nommé "CPV2". En sortant du nether, le code l'attendait, avec son épée. Il l'a combattu, et a pu apercevoir à quel point son bouclier est extrêmement fort : il n'a pris aucun dégât. Il a ensuite expliqué aux autres joueurs ce qu'il lui était arrivé.
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Maximus et Aypierre ont invité tous les joueurs à participer à l'invocation du Night Wolf. Ils se sont transformés dans leur fursona (McFurry et PawPatrol), et ont effectué un rituel pour faire apparaître le Night Wolf (joué par Vegetta). Mike a aussi révélé sa tenue de furry : MikeFurry.
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Des oranges sont apparues devant Foolish, l'emmenant pendant un très long voyage jusqu'à chez lui. Dedans, il a trouvé un livre, nommé "Mémoires n°1", écrit par Mr.Mustard.
Maximus a reçu la visite de Cucurucho, lui demandant de le suivre. Il l'a emmené à la table de chirurgie, lui a appliqué un sédatif, et l'a opéré. Néanmoins, Maximus est tombé dans le coma.
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ElQuackity s'est connecté en annonçant que ça serait le dernier jour de son personnage. Il a rejoint BadBoy et les oeufs à l'école, et a plaisanté en disant qu'il fallait commencer à harceler un peu les oeufs pour qu'ils s'endurcissent. Il a tenté de bully Pomme, mais BadBoy et elle sont rentrés à la maison. ElQuackity et Roier ont détruit une grosse partie de l'école, brûlant les dessins décorant le bâtiment. BadBoy, en revenant, s'est apperçu de ce qu'ils avaient fait. Il a donc décidé de détruire une partie de la pyramide de Quackity en retour, pour lui montrer ce que ça fait.
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ElQuackity, après avoir chanté une chanson avec eux et Cellbit, est parti en disant que c'était la dernière fois qu'ils pourraient se réunir de cette manière. Il s'est rendu en bâteau dans le restaurant bob l'éponge de la murder party, où une plaque de téléportation l'attendait. Celle-ci l'a emmenné dans une salle d'entrainement secrète, où un oeuf, nommé "Egg A1" l'attendait. Il lui a ouvert la porte, et lui a demandé d'effectuer un parcours au dessus de la lave. Malheureusement, il a échoué son dernier saut, et est mort dans la lave. ElQuackity a ensuite pris une autre plaque de téléportation, l'emmenant dans les bureaux de la fédération. Il a pu faire apparaître une entrée secrète derrière le logo A0, le menant vers le bureau "AB", contenant des super-ordinateurs, dont un affichant ce qui semble être des résultats d'analyse effectué sur des candidats de l'élection (etoiles quackity foolish felps et baghera), dont 50% serait effectué, ainsi qu'une image d'un désert.
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