Tumgik
#Pars 4x4
a-room-of-my-own · 1 year
Note
Tu sais ce que j'apprendrai aux gens si je remontais le temps ? Je forcerais le lavage des mains avant manger et après passage aux toilettes, je leur apprendrais des motifs et des techniques de tricots pour qu'on ait des textiles originaux et qu'on puisse revendre plus cher et je ferais la scribe et la calculette pour eux. Simple et efficace.
Oui quand j'avais rêvé que je remontais le temps je piquais des crises toutes les 5 minutes à cause de l'hygiène
Tumblr media
Aussi à un moment j'étais malade et je voulais pas qu'un médecin m'approche. Et j'avais peur de la variole.
Purée quand je me suis réveillée dans mon lit je te raconte pas le soulagement 😆
0 notes
Text
On approche du moment où nous allons enfin reprendre la route. La dernière pièce manquante pour la voiture arrive aujourd'hui et, si tout se passe bien, nous allons repartir demain matin avec le DoudiCuatro (c'est son nom pour l'instant, une référence au surnom qu'on se donne avec Charles et au fait que c'est un 4x4 chilien).
En attendant tout cela, Charles a fini la construction de son pont. Il avait promis à Gregorio de lui fabriquer un pont en bois autoporté pour remplacer l'ancienne passerelle qui permettait d'accéder aux oliviers. Celle-ci a malheureusement été détruite par une tempête, survenue il y a quelques années, qui a causé une inondation emportant tout sur son chemin. Après presque une semaine de travail intense les plans et la structure étaient finis et nous l'avons aidé à monter le pont. Gregorio et ses voisins ont même annoncé que c'était la nouvelle attraction de la vallée !
Tumblr media Tumblr media
Hier soir, nous sommes aussi partis en exploration dans la vallée des artistes. Nous avons marché 3h, faisant tout le tour du domaine par les collines pour découvrir son immensité et ses paysages crépusculaires.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
En fin de promenade, nous sommes passés devant la maison que l'on préfère dans la vallée (après celle de Gregorio et Patricia évidemment).
Sa clôture étonnante est faite de skis et la structure de la maison fait penser à celle d'un Hobbit.
Nous sommes en adoration devant cette habitation, on rêverait d'avoir la même.
Tumblr media Tumblr media
On reprend bientôt la route, je vous tiens vite au courant de nos aventures !
Besitos,
Luna
4 notes · View notes
mimisanrio · 1 month
Text
Tumblr media
2 notes · View notes
alexisgeorge24 · 3 months
Text
15 janvier:
Arrivé à 03h00 à Los Antiguos, je finis ma nuit en posant mon matelas dans la gare routière. À 07h00 je repars à pied vers le poste frontière argentin à 3 km. 3km plus loin je traverse le poste chilien et 9km plus tard, toujours à pied, j'arrive au village de Chile Chico. 15km sur de la route avec aucune voiture voulant me dépanner, super. Si je suis ici c'est pour aller à El Chalten de manière un peu original, à savoir en traversant le Parque Nacional Patagonia (100km, 3 jours) pour rejoindre Cochrane, puis bus jusqu'à Villa O'Higgins (la toute fin de la Caretera Austral, prolongation de la Panamerica qui commence en Alaska), puis bateau, puis 60km à pied jusqu'à destination. La partie la plus incertaine étant d'aller au parc depuis là où je me trouve. Pas de navette et personne pour partager un taxi 4x4 avec moi, je décide de camper au village et de tenter ma chance en stop le lendemain. Étant à la capitale de la cerise du pays, j'y challenge mon appareil digestif avec 1/2 kg. Explosion de saveur dans la bouche, ça faisait depuis le Pérou que je n'avais pas manger d'excellent fruit.
Bilan: 15km
16 janvier:
Je me positionne après la bifurcation vers le parc et lève le pouce aux quelques 30 voitures (surtout des pick-up) qui passeront en 3 heures. Tous me font signe qu'ils ne vont pas très loin; ce dont je ne doute pas du tout... Tant pis, ça me laisse l'occasion de méditer sur la lenteur du temps qui s'écoule, notre place dans le cosmos, la polarisation de nos sociétés, observer les fourmis, piafs, nuages, feuilles... bref, je me fais très profondement chier. Je ne sais plus quel philosophe a dit que tous les malheurs du monde viennent du fait qu'on est pas foutut de rester assis dans une piece sans rien faire. Dans ce cas je vais probablement provoquer une 3e guerre mondiale. J'abandonne le stop et achète, vaincu, un billet de bus vers Cochrane pour le lendemain, le village que je devais rejoindre en 3 jours de marche. L'après midi je me balade sur les bords du Lac General Carrera (2 fois la taille du lac Leman) et monte quelques collines de roche. Le soir je me reprends 1/2 kg de cerises, plus un ananas. Mon bide ne sera pas content le lendemain.
17 janvier:
Le trajet en bus durera 6 heures pour faire 180km, mais la Caretera Austral qui slalome dans les Andes patagoniennes me fait apprécier chaque virage. Je me dis que je peux envisager revenir ici lors de ma remontée vers Lima pour repartir vers le Nord en empruntant cette voie. Arrivé à Cochrane je prends mon billets de bus pour Villa O'Higgins, le prochain étant dans 3 jours. Très bien, je pars direct pour faire une boucle qui s'étalera sur 3 jours précisément dans le Parc Nacional Patagonia. Je ferai la partie sud de ce que je comptais initialement faire. J'entre dans le parc en contournant l'entrée et au sautant une barrière pour ne pas payer (oui j'en suis fière) et je monte vers mon 1er bivouac au bord de la Laguna El Cangrejo. Je suis absolument tout seul, il fait gris mais les rayons du soleil transpersent au loin les nuages, il pleut un peu, les oiseaux se parlent (sans se comprendre j'imagine) et je me sens bien.
Bilan: 12km, 900m d+
18 janvier:
Nuit glaciale, tout est gelé dehors et la tente est en carton. Le lac entier fume et avec le soleil qui vient tout juste de se montrer en contre jour derrière les sommets, le réveil est magique. Je monte à un col à travers une forêt, longe un plateau et me retrouve en haut de la vallée Chacabuco. Avec la hauteur je peux apercevoir plusieurs lacs verts, bleus, turquoises, noirs en terrasse sur le flanc de la montagne, je croise un groupe de guanacos (les 1ers de mon séjour), les sommets au loin sont enneigés, les nuages permettent un jeu de lumière, et je passe pas mal de temps à filmer et photographier les paysages. La marche est longue et j'arrive en fin d'après-midi à mon bivouac au bord du lac Cochrane. Il fait très beau, l'eau est cristalline turquoise, des plages bordent le lac, et je m'y baigne avec plaisir. L'eau n'est pas glaciale, peut-être 12°. En m'appretant à faire à manger je constate que la hance de ma popote est cassée et que ma bonbonne de gaz ne se vis pas au réchaud... par chance il y a un foyer pour faire du feu à 20m de mon bivouac. Je fais donc mon tout 1er feu de bois, et c'est un succès ! Par contre je dois jongler avec 2 branches pour manipuler ma popote qui n'a pas de hance.
Bilan: 31km, 600m d+
19 janvier:
La dernière partie de la boucle consiste à longer le lac Cochrane puis la rivière du même nom. Le sentier enchaîne montés et descentes avec autant de points de vue sur ces eaux parfois bleu claire, parfois turquoise, le tout dans une foret de pin dense. S'il n'y avait pas les sommets blancs au loin on pourrait oublier qu'on est en Patagonie. Arrivé au bout du sentier je fais les derniers 4km à bord d'une voiture qui s'arrête en me doublant sans que j'aie besoin de bouger un doigt, ni même le pouce. L'argentine me manque puisque je ne peux toujours pas me faire un restaurant arrivé au camping du village.
Bilan: 10km, 600m d+
20 janvier:
Le réveil est assez terrible puisque mes batteries de drone qui chargeaint dans les WC ont disparues. Sûrement volées étant donné que le chargeur lui est toujours là. Affolé je demande à qui je croise des informations, notamment au propriétaire, et je réalise que je dois y faire le deuil. Plus de souvenir aérien jusqu'à la fin du séjour. C'est dur émotionnellement mais je m'étais préparé à cette éventualité... Pour me consoler je me dis que je vais penetrer une zone avec beaucoup de vent où dans tous les cas je n'aurai pas sortie le drone. En plus je n'ai pas le temps de jouer à l'inspecteur Colombo; déjà je n'ai pas encore de "femme" pour alimenter ma réflexion mais surtout j'ai mon bus qui part pour Villa O'Higgins. La route sur la Caretera Austral est toujours sinueuse dans les vallées des Andes, on prend même un bateau pour traverser un lac et diversifier les panoramas. Arrivé à destination, soleil éclatant qui m'empêche de me reposer. Je grimpe alors au Mirador de la Bandera qui domine ce village marquant la fin de la Caretera Austral, mais aussi des lacs, sommets, glaciers, condors, etc etc, je commence à fatiguer à devoir décrire ces paysages qui sont tous uniques comme ils sont incroyables. Le soir, coucher de soleil au ciel sanglant et apero avec le couple de français que j'ai connu à Cochrane.
Bilan: 8km, 500m d+
21 janvier
La prochaine étape pour rejoindre El Chalten étant un bateau à travers le Lac O'Higgins pour le lendemain, j'ai donc le bonheur de me ballader dans cette région une journée de plus. Je vais donc jusqu'au Mirador Laguna El Toro et, OH MON DIEU, quelle surprise, un panoramas impressionnant... Sans m'en lasser, j'ai une vue sur le Lago Ciervo d'un côté et des glaciers de l'autre. De retour au village, c'est encore apero dans cet environnement au milieu des glaciers, des montagnes et de la forêt. S'ils devaient avoir un drapeau tricolore, il serait blanc, noir, vert.
Bilan: 19km, 500m d+
22 janvier:
La traversé du lac O'Higgins s'effectue dans un petit bateau pour 16 personnes. Le lac a plusieurs longues branches définissant les vallées entre les montagnes, ce qui fait penser à des fjords. Il fait beau mais si on reste à l'extérieur on se prend pas mal de flotte des vagues qui font danser le bateau comme dans un festival de techno. Arrivé à l'embarcadère du lieu-dit Candelario Mancilla, on sort administrativement du Chili en passant les frontières via la gendarmerie. 5km plus loin je laisse le groupe du bateau qui se dirige directement vers le poste frontière argentin, à 15km de marche. Moi je décide de faire une grosse boucle en passant par un autre bras du Lac O'Higgins d'où se jettent des glaciers. Arrivé au col donnant sur le point de vue attendu, j'ai une des plus belles de vue de mon séjour sur Terre. Lac bleu laiteux, mer de glace s'y jettant, chaîne de sommets couverts de gros glaciers en "rivière", ciel bleu, des condors. Je ne sais pas pourquoi les mots que je prononce en voyant tout ça ce sont des insultes. En longeant le lac, je me perds plusieurs fois à cause des sentiers faits par les vaches et des cartes sur les applications qui sont erronées. Mais la végétation n'est pas dense et lorsque je constate que j'ai totalement perdu le sentier, je fonce en ligne droite vers le bivouac que j'ai repéré sur la carte sans trop de difficultés. J'arrive à 21h15, le temps de poser la tente et de manger, il fait nuit.
Bilan: 31km, 1100m d+
23 janvier:
Dernière étape avant d'atteindre la destination tant attendue d'El Chalten. Je passe un col et me voilà en territoire géographique argentin. Points de vue incroyables sur la mer de glace mentionnée précédemment. Je longe une longue vallée à travers forêts, gués, cascades, lacs et me voilà au poste frontière argentin au bord du lac Disierto. Je longe ce lac qui borde le glacier du Cerro Vespignani et qui offre des vues inédites pour moi du fameux Fitz Roy. J'avais oublié à quel point il était impressionnant. Arrivé au bout du lac je prends une navette qui m'amène vers ce qui était dans ma mémoire le paradis, El Chalten. Vite je pose ma tente au camping et je fonce pour une bière avant de dîner au restaurant Ahonikenk, notre adresse préférée avec Jessica lorsque nous avions séjourné ici en 2020. Eh bien j'en suis très déçus... C'est cher, petite quantité (pour une référence argentine), et pas très savoureux... Je ne sais pas si c'est moi qui avait trop idéalisé le lieux, si ça s'est dégradé ou si je me suis habitué à bien mieux à travers l'Argentine. Il y a aussi énormément de monde, dont je m'étais complètement déshabitué.
Bilan: 28km, 800m d+
24 janvier:
Après une nuit partiellement réparatrice pour mes pieds, je me dis que ça serait pas mal de ne pas trop forcer les 2 prochains jours. Grasse matinée et chill au camping avant d'aller au Mirador del Condor qui offre une très belle vue sur le village, le Fitz Roy, le Cerro Torre et bien entendu, les condors qui font de la voltige au dessus de nos têtes. Le soir apero à la brasserie locale du coin (excellentes bières) et 2e tentative de restaurant, cette fois en suivant les conseils du Routard. Prix et quantité très correct mais la qualité n'est toujours pas là. Je pense qu'El Chalten est victime de son succès malheureusement. L'après midi le vent se lève et me fait craindre pour ma tente qui se tord dans tous les sens. Je la fixe et la tend comme je ne l'ai jamais fait, et elle tiendra la nuit.
25 janvier:
Repos forcé à cause de la météo. Je glande. Le camping est plein à craquer avec cette pluie et j'ai hâte de retrouver les sentiers. Pendant ma sieste, et après avoir (trop) regonflé mon matelas, celui-ci craque et 2 des 6 tubes fusionnent pour former un gros cylindre. Super, plus que 2 mois à dormir de travers sur cette bosse.
Bilan: 9km, 200m d+
26 janvier:
Je m'apprête à faire une chose pour la 1ere fois de ma vie: faire une rando pour la 2e fois de ma vie! Fitz Roy et Laguna del Torro sur 2 jours, presque le même itinéraire que celui fait avec Jessica en 2020. Je monte jusqu'au camping au pied du Fitz Roy pour y monter la tente et je continue jusqu'à la laguna de los tres. Je vois enfin de près cette aiguille gigantesque sans aucun nuage (pour la 1ere fois). En 2020 je pense que je ne réalisais pas assez à quel point ce sommet était impressionnant par sa forme et son manteau de glace. Pour rendre original cette balade j'essaie de monter au Cerro Madsen, à 600m d+ depuis le lac. Évidement je suis tout seul, pas de sentier visible hormis quelques cairns, c'est casse gueule, je dois monter par la crête, les rafales de vent avoisinent les 100km/h me forcant à me coucher tous les 100m, certaines portions doivent être escaladées, je me marie dans 6 mois, je n'ai toujours pas trouvé de photographe, je fais demi tour à 3/4 du sommet.
Sieste de retour à la tente et je fais une ballade au Mirador de Piedras Blancas, un glacier de pure glace (sans la moindre poussière) au milieu de la roche noir.
Bilan: 23km, 1400m d+
27 janvier:
Je rejoins la Laguna Torre par la Laguna Capri, toujours pour changer par rapport à 2020 où c'était via Laguna Madre et Hija. A part ce bonus c'est la même ballade. Même apothéose lorsqu'on appercoit ce glacier éclaté en icebergs à la rencontre avec le lac. Le vent me fait marcher de façon pas normal (au sens géométrique de terme, à savoir pas perpendiculaire au sol) et je me croirais dans un clip de Michael Jackson. De retour à El Chalten je passe une soirée confort.
Bilan: 25km, 400m d+
2 notes · View notes
le-van-de-noces · 7 months
Text
Changement de carrosse !
Tumblr media
A la sortie de la mairie, nous attendait ce splendide petit 4x4 personnalisé pour l’occasion par notre copain Matheus. Mais aujourd’hui, changement de véhicule : en ce jeudi 7 septembre à Nantes, nous récupérons (enfin!) le van de nos rêves !
Tumblr media
Notre mission des prochains jours : aménagement express chez les parents de Victoire, pour pouvoir entamer les vacances au plus vite. Après deux jours de nettoyage et de bricolage, on prend la route direction Lavardin (Loir-et-Cher) pour une première escale chez Constance, Olivier et Céleste.
Nous y passons notre première nuit dans le van : on est super contents ! Encore une petite journée de rangements et de fignolages en famille, et nous voilà fins prêts.
Tumblr media
2 notes · View notes
Text
Il y a une dérive technique de l’aventure.  Les balises de détresse, les moyens de navigation par satellite, les véhicules 4x4, ont gommé la part humaine demandée à l’aventurier:  la prise de risques, le dépassement de soi, le courage individuel.
Patrice Franceschi
4 notes · View notes
rusticpotatoes · 1 year
Text
dimanche soir on a été coller. vraiment aucune de nous ne devait y être (genre moi j'étais censée être chez mon frère).
j'y vais, mais je dis que moi je guette, je colle pas.
3e collage, on voit un mec en face à sa fenêtre + sur son téléphone et une camionnette passer. on se disperse mais moi j'avais le reflex de T. donc je la cherchais et on finit par se retrouver toustes sur la même place et là bim.
camionnette banalisée avec les gros chiens + 4x4 de la nationale + voiture de police + la bac qui nous interpelle. c'était lunaire, 9 flics pour 7 pauvres colleureuses.
askip iels ont été appelés pour des tags sur le Beffroi (aka un monument historique donc on n'y touche archi pas). en temps normal j'aurais eu grave peur mais ptdrr ces meufs sont insupportables, trop insolentes et téméraires, du coup j'étais juste mdr.
10 notes · View notes
Text
Journal d'un survivant : jour 2
Tumblr media
Ce qui devait arriver arriva, une nouvelle victime est à déplorer... et contre tout attente, il ne sagit pas de Touille, dont le systeme digestif a survécu à l'Asie et à l'Amérique du Sud sans incident, et ne sera donc pas vaincu par deux misérables bananes, mais de ... Dr X.
Tumblr media Tumblr media
En effet, si Dr Rathatton s'est réveillée en pleine forme, remise de sa gastro aussi fulgurante que passagère, Dr X est victime d'une douleur lancinante à l'estomac qui l'inquiète. Cela fait quelques jours que ca traine, ça empire, il décide donc de ne pas prendre de risque et de retourner en ville faire des examens, plutôt que de risquer une péritonite au milieu d'un trek de 4 jours... Ce sont donc une Touille et un Dr Rathatton endeuillées qui se mettent en route, après avoir pillé allègrement l'équipement de Dr X (sacrément plus optimal que le notre concernant confort et poids), espérant toutefois le revoir rapidement.
Tumblr media
La journée sera donc consacrée de notre côté à suivre un lac absolument magnifique, d'une couleur turquoise que j'avais rarement vue (en tout cas pas sur cette superficie).
Tumblr media
La météo s'amuse un peu avec nous : entre les moments avec soleil et sans vent, et ceux avec vent et nuages, on perd 15°. On (surtout Dr Rathatton) passe donc la journée à s'effeuiller comme des jeunes oignons de printemps.
Apres un doigt frileux trempé dans le lac et des regrets instantanés, on décide finalement de faire une sieste sur la plage de galets, na.
Tumblr media
Pendant ce temps, Dr X se fait palper et papouiller par un médecin étrange et guimauve (?) à l'hôpital Puerto Natales, et on obtient de ses nouvelles le soir (après avoir payé 10 balles pour 1h de wifi, quelle honte) : il nous rejoint demain soir via le ferry ! A priori, c'est le reste de la gastro qui l'a un peu mis ko une journée pendant notre traversée du desert Argentin.
Tumblr media
De notre côté, c'est rassurées sur son sort et le dos endolori (c'est louuuuuuuurd une tente et plein de manger, où elles sont les mules ?) que nous partons nous endormir au doux son des 4x4 qui transportent des tentes immenses, et des radios de touristes qui s'occupent comme ils peuvent sans internet.
Tumblr media
1 note · View note
alessandrotsl · 1 year
Text
A casa de vila na Chácara Tatuapé abriu as portas para uma “venda de garagem”, no melhor estilo caçadores de relíquias, porém relíquias contemporâneas.
Tumblr media
Brastemp inverse - 1500,00
Tumblr media
Sofá 3 lugares grande - vira uma cama de casal - 700,00
Tumblr media
Fogão com 2 fornos Electrolux inox - 4 bocas - 550,00
Tumblr media
Lava louça Brastemp Ative 8 serviços inox - 1450,00
Tumblr media
Máquina de lavar Electrolux 8,5 kg - 500,00
Tumblr media
Depurador de ar - 200,00
Tumblr media
Microondas Electrolux - 300,00
Tumblr media
Poltronas par - 200,00
Tumblr media
Escada articulada 4x4 - 400,00
Tumblr media
Bicicleta Rockrider - 500,00
2 notes · View notes
claudehenrion · 1 year
Text
Le mythe-tueur du ''monde nouveau''
  ''La mauvaise monnaie chasse la bonne'', dit la Loi de Gresham (1558). Je pensais à ça, il y a quelques jours, devant l'étalage sans limite de choses laides, de mauvais goût, de spectacles soi-disant artistiques qui sont seulement ridicules et repoussants... et j'avais envie de ré-écrire le texte de cette ''loi'' empirique : ''Le laid chasse toujours le beau''... ou, encore : ''Le compliqué chasse le simple''. Et ce ne sont pas les dérives inesthétiques de ce qu'il est convenu de désigner par ''l'Art contemporain'' qui vont infirmer cette affirmation. Mais il paraît qu'on nous prépare ''un monde nouveau''... et le seul fait d'écrire cette horreur ‘’me fout les boules’’ !
Pour le vieux ''schnoque'' que je revendique d'être, il n'existe pas une seule activité humaine où cette Loi de Gresham retoquée pour les besoins de ce ''billet'', ne s'applique pas :  le monde est de moins en moins beau, et –ce qui est pire : de plus en plus laid ! Je compte sur un seul doigt les ''gens'' qui ne trouvent pas que tout s'enlaidit, partout, dans tous les domaines. Des billets en Euros –qui vont bientôt disparaître, mais ils sont tellement laids qu'on ne les regrettera même pas--  jusqu'aux maisons individuelles et aux immeubles, en passant par les  monstrueux ''4x4'' inutiles ou par la disparition de toute ''élégance''  vestimentaire, masculine et féminine, dans nos villes... et de ces villes elles-mêmes : leur ''mobilier urbain'' a déteint sur le mobilier d'intérieur. Autre domaine, la musique, où tant les chansons (d'ailleurs, on ne chante plus... et les airs que les jeunes fredonnent et dansent... sont ceux de ma jeunesse, à moi !) que la musique dite ''classique'', enlaidie par la recherche exclusive de virtuosité, au détriment de l'harmonie, de la musicalité, de la simple beauté : la vitesse d'exécution (c'est le mot qui convient !) est le seul critère : il faut éblouir par son doigté, etc...  Si c'est ça, leur ''monde nouveau''... Non merci !
Mais peu de choses équivalent en ''déchéance'', au passage des fêtes religieuses à l'état (qui n'en est pas un) de festivité civile... Comme ''record de laideur'', j'hésite entre Noël –dont nous parlons chaque année-- et la ''Toussaint'', ce moment tout en profondeur, en introspection, en souvenirs et en respect pour les chers disparus, devenu un étalage de sinistres horreurs sans le moindre sens, ce Halloween qui apprend à nos enfants que la laideur est une ''valeur républicaine'' ou quelque chose comme ça ! Ne faut-il pas chercher là, aussi, l'explication d'un sondage récent du CSA : 69% des français considèrent que notre pays est en décadence... opinion qui a gagné sept points depuis le 16 septembre dernier, précédente édition de ce même sondage. ''Un monde nouveau ? ''… Mais ils peuvent se le garder !
Il y a peu de temps encore, on discutait librement ''de'' et ''sur'' Dieu, et on était pour ou contre. Aujourd'hui, l'affaire est entendue : ce n'est même plus un sujet,  en Macronie (mais pas ailleurs, heureusement !), mais la déchristianisation ou la perte des belles valeurs chrétiennes, nécessaires et suffisantes, sont un fait acquis : elles ont été remplacées par un discours-qui-n'en-est-pas-un sur des ''vertus’’ douteuses, dites républicaines.. qu'apporterait la laïcité dans sa version en ''--isme''... devenue seule référence officielle dans deux pays, au monde : la Corée du Nord... et la France, hélas, pour notre plus grand malheur ! On a le droit d'évoquer l'islam (mais pas le sort que, sous sa forme en ''--isme'' ou pas, il réserve à ceux qui, persistant à croire qu'ils ont ''tué Dieu'', ouvrent grand la porte à Allah...  qui commencera son règne en les supprimant, tous, sans hésiter : il n'y a pas de place, en islam, pour l'athéisme ou le relativisme !). Qui en veut, en réalité, de leur monde nouveau ?
Je ne serai plus là... et je regrette (un peu : je ne suis pas méchant !) de ne pas voir leur binette lorsqu'ils se rendront compte que c'est à cause de leurs seules erreurs... que leurs têtes seront tranchées... En attendant ce jour terrible (NB : si un virage à 180° n'est pas pris rapidement, la seule question est ''Quand'' ?), ils ont inventé un nouvel ‘’iso- panthéisme’’ : les ''dieux du stade'' –auxquels, dans leur cuistrerie sans limite, ils vont jusqu'à mettre une majuscule. Les nouvelles idoles sont M'bappé, Giroud  et Lloris (très sympathiques, mais insuffisants, quand on gratte un peu...). Face à cette fuite en arrière, les chrétiens ''ancien modèle'' ont un début de réponse : rien ne s'oppose réellement à ce que l'homme moderne croie encore en un Dieu qui croirait à l'homme ! C'est peut-être insuffisant, mais c'est mieux que rien, d'autant plus que ça, au moins, ça marche depuis deux bons millénaires ! Et si on ré-essayait, pour voir ? Quelle belle alternative à leur '' monde nouveau'' qui ne rend, sondage après élection, pratiquement personne heureux !
Le vrai sujet, aujourd'hui, c'est que depuis que l'Eglise a déserté son unique domaine de vraie compétence, la vie après la vie, pour se contenter de s'essouffler à courir après la vie tout court et la société, nous avons remplacé Foi de nos Pères par un retour soit au grand néant initial, soit au polythéisme (poétique, lui) qui a suivi l'obscurantisme total... et qui est présenté par nos cuistres-au-pouvoir comme un ''Progrès de plus'' (NDLR : voir un ''progrès'' dans une régression absolue et tous azimuts... ''il faut l'faire'' !). La religion n'est plus associée à l'idée de ''sauver ce qui doit l'être'' (= notre âme, et notre éternité), mais elle serait là pour répondre à un besoin soi-disant croissant de consolation, de compréhension, de protection, de ''cellules psychologiques'', de bizounours et de marches blanches... qui ne servent à rien. Et certains s'étonnent que ça grippe, quelque part ! Si c'est ça, leur ''monde nouveau''... retournons vite nous réfugier dans l'ancien : on le regrette déjà !
Cette hypothèse d'un retour en force d'un néo-paganisme, en ''version 2, 0'' s'impose, devant la multiplication de phénomènes qui vont de l'animisme à la divination, des craintes pluri-millénaires du paléo-cortex à des croyances en des phénomènes inexplicables à résonances polythéistes (Nous citions il y a peu ''la terre est plate'' et ''les martiens sont parmi nous'' !), et de sorciers (l'absurde ''être marabouté(e)'' connaît un beau succès, chez les bobos). Les monstruosités de Halloween sont en bonne place dans cette galaxie de ''progrès rétrogrades''.
 Contrairement à ce que veut faire croire une conception évolutionniste de l'Histoire, la chrétienté n'a pas mis fin aux croyances antiques : le nombre de sorcières, d'illuminés, de faux-prophètes et de dingos ''inspirés'' en est la preuve... et les superstitions sont partout, autour de nous. On se rend bien compte qu'un ''Dieu'' qui ne serait là que pour nous rassurer (''No souçaille'' (sic !),''ça va aller !''), ça ne marche pas, ''ça va pas le faire''. Ce non-rôle-là, le paganisme ou le charlatanisme sont mieux armés pour y répondre (ou pas), qu'une religion sérieuse : le Dieu chrétien n'a pas pour rôle principal d'éviter les douleurs et les chagrins, ni de faire de ce monde un lieu de ''fête'' permanente, à l'abri du mal : il prépare à une félicité éternelle, mais qui est, si j’ose, ''par répartition'', pour rester dans l’actualité : ''tu recevras ce que tu as économisé'' ! Mais ça, c'est très loin du nouveau monde
Le monde actuel croit avoir besoin de mythes, de thaumaturges, de magiciens, ou de politiciens-prestidigitateurs qui résoudraient tous les défis et leur contraire, qui éviteraient le covid en enfermant les gens chez eux (quelle honte. Avoir osé ça !), qui trouveraient de l'argent ''quel qu'en soit le prix'', etc... Bref ''tout ce qu'il faut fuir à tout prix ''. La justification de notre présence sur terre ne saurait être dans la recherche de divinités faussement bienveillantes qui ré-enchanteraient nos jours, avec le frisson de retrouver une Nature majuscule avec laquelle nous serions à nouveau amis (sic ! Comme si nous l'avions jamais été !), dans un néo-culte pour les arbres, les étangs naturels (mais pas les ''méga-bassines'' !), les animaux (cf. l'anti-spécisme, l'animalisme, les végans), etc... : une écologie-religion sectaire.
Les croisements entre la nouvelle religion prétendue ''écologiste'' et le rejet du monothéisme sont infiniment plus imbriqués, plus mélangés et plus confondus que leurs thuriféraires ne peuvent le penser... d'autant qu'ils n'y ont certainement jamais réfléchi –sauf exception qui doit se compter sur... un seul doigt d'une seule main : se poser les vraies questions et essayer de trouver des vraies réponses ne fait pas pas partie de leur ''cahier des charges''. Ils arrêtent leur processus intellectuel à la supposition d'une divinité ''Arbre'', d'une divinité ''Pluie'', d'une divinité ''CO²'', ou de divinités ''Animal'', ''Nature'', ''Climat'' etc,  comme ils croient qu'était le monde avant que le message christique ne désenchante tout, selon leur vérité mensongère...
H-Cl.
PS : c'est sur ce ''sujet de fond'' que je vais arrêter, pour quelques jours, de remplir votre écran. Je vous propose de nous retrouver le Mercredi 8 Mars, si Dieu le veut... (''date à reporter sur vos agendas'', selon la formule consacrée). Je vous souhaite de très bonnes vacances, chers amis-lecteurs. Je vais avoir quinze jours pour trouver des idées qui, je l'espère, vous feront rire... ou à tout le moins, sourire... ou réfléchir, dans la grisaille et l'atonie ambiantes, un peu moroses.
4 notes · View notes
abkingdom · 1 year
Text
Lucie au gîte fétichiste
     Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux      célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont      ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.    
         Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que      jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.        
     ...............    
     Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais      ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys      pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.    
     Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses      cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de      s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses      petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?    
     Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires,      cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....    
     Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60      évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».    
     Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant      rencontré    
     Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des      évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.    
     Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte      fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !    
             Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout        sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être        aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous        donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En        clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.      
         Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle      se jetait à la mer.    
     Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport      qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les      discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.    
     Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les      discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme      l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !    
             Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue        du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.      
         Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui      fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.    
                                                                                             Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer          le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche          dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule          qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?        
         Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?        
         Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors          vous libérer, c’est aussi simple que ça.        
         Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.        
     A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait      mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la      douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très      demandeur, surtout celui de devant...    
     Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet      droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance      10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.    
     Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en      pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer,      s’envoler et jouir.    
     En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions,      cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien      aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son      plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..    
     « Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot,      disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur      contractions.    
     Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre      fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort      qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à      faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle      découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.    
     Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un      tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.    
         Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.        
         Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !        
         Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !        
         Il vous l’a fait aussi ?        
         Oh, il m’a fait bien pire !        
     La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit.      Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...    
     N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du      soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas      l’avouer.    
     TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait      faire du tourisme ou des courses !               
         Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu          gênée.        
         Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela          fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et          nous parler librement de tout.        
     Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui      signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa      que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un      fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.         
         Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du  bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je          sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.        
Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à  Malicia si elle aime l’ABDL.        
J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.        
         Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.        
         Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.        
         Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.        
         Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit          Malicia.        
         Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir          l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une          grosse culotte. Cela vous va ?        
     Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été      invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.    
             Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce        que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?      
         Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.    
         Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand          tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?        
         J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?        
     TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit.      A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.    
         Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?        
         Comment ça me libérer ?        
         Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !        
         Est-ce obligé ?        
         - Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !        
     Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton      d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la      perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de      quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.    
     Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait      protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se      soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.    
     Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans      sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un      fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable      que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.    
     C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou      dans les bras et en suçant son pouce.    
         Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous          laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en          plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit,          vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !        
         Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.        
     Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien      qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi      heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a      cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.    
     Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café      d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne      serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.    
     Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes      puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques      brasses.    
             Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit        TSM passant devant la piscine.      
     Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.                 
         Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous  inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.        
         Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.        
         Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les  légumes du repas du midi dans son potager.        
         Dans cette tenue ?        
         Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !        
     A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée      de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer,      que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec      Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.    
         C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?        
         Heu....        
         Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.        
     Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.    
     « Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus      jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur      le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être      menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.    
     Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle,      elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa      sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon      !    
     Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste.  Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.               
         J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je  pense que le simple serait bien pour vous !        
         Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.        
     La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car      à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.    
         J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.        
         Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.        
         J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.        
         Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?        
         Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous  faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas.          Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le  tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit          équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?        
         Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se  dévoiler encore une fois.        
         OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.        
         Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !        
     Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par      des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa      progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.    
     Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle      est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle      arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.    
     Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées      tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le      biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est      préférable qu’il n’entende pas.    
     Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses  jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés      avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de      la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.    
         Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».        
         Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une  laisse au collier de Lucie.        
         Et, ça va pas la tête !        
         Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je  vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !        
         Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !        
         Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !        
         Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !        
     Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui      allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.                
         La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?         
         Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.        
         Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !        
         Heu.... je n’ai pas dit oui !        
     .......................    
     Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21      heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des      aubergines et des poivrons grillées du jardin.       
         Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.        
         Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a   voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.        
         Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de  reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?        
         Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.        
         Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse !  Indique alors TSM en reculant sa chaise.        
     Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un      ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser      quelques instants plus tard.    
         Aie, qu’est-ce que vous faites ?        
         Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?        
         Absolument !        
     Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien  volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule      expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle      prend place sur sa chaise.    
     Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la      vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En      leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.    
         Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.        
         La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?        
         J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?        
         Avec une couche ?        
         Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.        
         Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.        
         Ouiii !        
     Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche      et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il      pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.    
     Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de      programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.    
     TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première  minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton,      sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.    
     Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On      juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit      Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )    
     Lorsque la      serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle      trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.    
     « Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec      ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son      sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».    
     Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé      comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est      presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.    
         Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?        
         Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !        
         Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.         
     Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.     
             Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !      
         EPILOGUE    
     Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très      confortables, allez savoir pourquoi ?    
     FIN    
         Note de l’auteur :
le gîte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez      ICI pour en savoir plus
3 notes · View notes
alexisgeorge24 · 5 months
Text
16 novembre :00h00 c'est une bonne heure pour débuter une journée si on a l'intention de profiter du lever de soleil au sommet d'un volcan. 2 heures de 4x4 pour se rapprocher au maximum du Parinacota à la frontière du Chili à 5100m. On est 4 en comptant notre guide. On passe rapidement de 0 à -10° en quelques 100aines de mètre d+. J'ai les mains congelée mais c'est le seul problème technique. Le cardio et le morale sont au top, et en 4h30 on atteind le sommet qui est à 6300m (!!!). Les derniers 300m étant particulièrement éprouvants puisqu'on avait l'impression que le sommet tout proche était inatteignable. Arrivé en haut évidement la vue est à couper le souffle, surtout à 06h30 aux aurores et avec le volcan jumeau du Paniracota juste en face, le Pomerape. On redescend en 1h30 puis s'enchaînent:
Retour à l'hébergement, taxi jusqu'à la frontière, bus jusqu'à Patacamaya, bus jusqu'à Oruro, pizza et visite express de la ville, bus de nuit jusqu'à Sucre.
Bilan: 7km, 1200m d+
En parallèle, Jessica fait mieux que moi avec une ascension à 9000m en 30min depuis l'aéroport CDG. Arrivée à Zurich escale de 6h avant de prendre le vol de nuit vers Sao Paulo et être sur le même continent que moi.
17 novembre : Arrivé de bonne heure dans le logement qu'on s'est réservé avec Jessica, j'en profite pour faire une lessive et prendre 5 douches. 4000km à l'est, Jessica termine un vol pénible car "peu d'espace pour mes jambes, à côté d'une personne un peu imposante et derrière une personne qui s'est littéralement allongée sur moi. Je retiendrai un mauvais souvenir de ce vol. Puis escale de 3h à Sao Paulo avant d'embarquer vers Santa Cruz. Arrivée en Bolivie, je passe la police aux frontières puis en voulant me diriger vers les couloirs de correspondance, j'aperçois mon sac de rando par terre avec d'autres bagages. Heureusement que je l'ai aperçu car j'ai du de nouveau m'enregistrer pour le dernier vol vers Sucre. Ensuite j'atteins enfin la ville pour retrouver mon Alexis qui est venu me chercher à l'aéroport vendredi vers 17h30".
Arrivés à la chambre, sieste méritée pour Jessica puis bar où elle découvre, à sa bonne surprise, les prix des cocktails en Bolivie.
18 novembre: Journée dediée à la visite de Sucre. Pour briller en société, il s'agit de la capitale constitutionnelle du pays, qu'est-ce que cela veut dire ? Que dans la constitution il est indiqué que la capitale c'est Sucre, voilà. La capitale de facto c'est La Paz (où siègent le gouvernement et autres institutions gouvernementales) et la capitale économique Santa Cruz. Bref, la ville est à 2800m, je suis donc au club med mais Jessica sent les montés. On commence la journée en prenant des churros AU DULCE DE LECHE. Ensuite on se dirige vers le museo del Tresoro où sont exposés des bijoux et pierres précieuses qu'on peut trouver dans le pays comme l'Ametrine Bolivienne (j'espère pouvoir caler cette information un jour lors dun diner). A défaut de trouver toutes les églises et cathédrales ouvertes au public, nous faisons un tour au marché ou je me pète le bide aux salades de fruits. On termine la visite par la Ricoleta, qui pour le plus grand plaisir de Jessica est à 100m d+. Belle vue sur la ville, visite d'un couvent et des musées sur les techniques de tissages indigènes. Bières/cocktails au même bar que la veille puis direction la gare routière pour notre bus de nuit vers Uyuni.
19 novembre: Arrivé à 5h30, ça nous donne le temps de prendre un petit déjeuner, trouver une agence pour un tour de 3 jours et organiser la suite de notre voyage au Chili. A 10h30 on charge le 4x4 et on commence par un "cimetière" de trains et locomotives. Nous n'avons aucune explication de notre "guide" Alex qui s'avérera tout aussi inutile que les locomotives. J'imagine qu'il s'agit d'anciens moyens de transports pour les mines du coins. En tout cas dommage pour le manque totale de conservation mais ça reste divertissant de grimper sur et dans les loco toute rouillées. Après ça, direction le Salar d'Uyuni, un désert de sel à perte de vue tout blanc avec un ciel bleu magnifique et quelques volcans au loin. Le desert est tellement impressionnant que de loin on voit le reflet des montagnes sur le sol. Il n'y a pas de mots pour décrire ce que l'on voit c'est sublime. Puis on s'enfonce un peu plus dans le désert, on déjeune dans un batiment en sel, puis de nouveau dans le désert mais cette fois éloigné des autres touristes pour pouvoir faire des photos. Ensuite on s'arrête sur une "île" de cactus géants. Jessica commence à en chier avec l'altitude (3600m). On termine la journée en admirant le coucher de soleil sur les montagnes en plein milieu du désert, spectacle incroyable. Nuitée dans un hôtel familiale de San Juan sans eau chaude. De toute façon les douches c'est pour les fragiles. Jessica n'est pas étonnée des vacances que je lui ai préparées.
20 novembre : On quitte le Salar pour s'enfoncer dans un désert qui me rappel le parc de Sajama. On roule au pied du Volcán Ollagüe que je capture avec mon drone à bord du 4x4, on s'arrête à des lagunes où habitent des flamands rose, on se promène dans une "forêt" de rochers, observe ves vigognes sauvages et des lapins andins. Le mal de tête de Jessica s'accentue lorsque qu'on remarque qu'on est à 4400m. On termine la journée avec la laguna colorada dans un paysage dessiné par Van Gogh puis par une région avec des fumerolles qui doivent se transformer en geysers tôt le matin (quand il fait très froid). A l'auberge, après le dîner, je laisse comater Jessica pour aller me baigner dans des thermes d'eau chaude sous un ciel chargé d'étoiles. Je traîne pas trop et je rentre tenir compagnie à Jessica qui passera l'une des pires nuits de sa vie.
21 novembre : Jessica se réveil avec du plomb dans la tête et c'est partie pour continuer notre visite, youhou. On ne visitera qu'un lac puis direction la frontière chilienne. On frôle la prison à cause de Jessica qui avait oublié dans sa poche un citron vert au moment de passer la douane. Je nous esquive un interrogatoire musclé en le balançant dans la poubelle en prétextant vouloir aller aux WC. Une fois sortie de mon personnage d'agent 007 je m'aperçoit qu'on pouvait le déclarer en 2 min sans être embêté. La douane passée, au plus grand plaisir de Jessica nous passons de 4700m à 2400m en arrivant à San Pedro. Le mal d'altitude disparaît progressivement et elle peut à nouveau se considérer en vacances. Puis s'ensuit une séquence d'événements peu intéressante mais agréable par son efficacité : check-in, douches, bus de 1h pour Calama, déjeuner, achat carte SD (oui Jessica s'est ramenée avec l'appareil photo sans vérifier s'il y en avait une dedans), location de voiture, route jusqu'à San Pedro, contemplation couché de soleil sur la valle de la luna, apero/dîner. On découvre alors que ce village touristique est très charmant et offre plusieurs choix de restos et bars, ce qui n'est PAS DU TOUT la norme depuis le début de mon séjour dans les Andes.
22 novembre : 2h de route pour atteindre Piedras Rojas, une énorme lagune peu profonde donnant à l'eau une couleur turquoise, entourée de sable blanc (ou de sel ou les 2) et ponctuée de roche volcanique rouge. 2e étape sur le chemin du retour aux lagunes Miscanti et Miñiques plus haute en altitudes (= Jessica pas bien). Magnifique avec quelques vicuñas qui s'y baladent mais on est un peu saoulés par les règles bizarres imposées. Il faut préciser que contrairement à tous les autres pays d'Amérique latine, le Chili capitaliste ne croit pas aux biens publiques et tout terrain est privé (ou communale), à savoir donc les endroits touristiques, ne serait-ce qu'une flaque d'eau (je ne déconne même pas, on a du payer pour en voir une) et est soumis à un droit payant à la communauté du coin. On en fera constamment l'expérience frustrante, comme avec ce canyon où lon decide de se poser pour déjeuner mais qui ne paye aucune mine et qu'on devra payer. Après ce petit pique nique on se dirige vers le Salar de Atacama au bord de la Laguna Chaxa remplie de flamands roses qui tapent la pose devant les objectifs. Le Salar n'a rien à voir avec celui de Uyuni, le sel étant mélangé à de la boue, mais les paysages sont tout de même beaux dans ce milieu à perte de vue et chaotique. Le soir on admirera le coucher de soleil depuis un point de vue qui donne sur San Pedro et la chaîne de volcans de la frontière Bolivienne. Dans ce désert, voir les couleurs virer du jaune à l'orange puis au rouge nous fait oublier qu'on est sur Terre.
23 novembre : On continue la visite du désert avec la Laguna Tebenquiche; à travers le sentier qui le longe nous avons différents points de vue sur la chaînes de volcans qui se reflète sur l'eau de la lagune qui est un miroir parfais grâce à l'eau qui n'est que superficielle. Puis direction la star du coin, la Valle de la Luna. En voiture et à pied nous nous promenons dans ces formations de terre, de roche et de sable et on a l'impression que Kubrik va crier "action" à tout moment (oui je fais de mon mieux pour varier les références à des paysages extra-terrestres). C'est tellement beau que je n'hésite pas à braver le sentier pour prendre une photo panoramique. Plus tard une touriste me fera remarquer qu'elle "apprécierait si je restais sur le sentier". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, creuser une tombe dans le sable n'est pas chose facile. Le soir on se couche à 00h00 car:
24 novembre : Réveil à 3h30 pour profiter des températures glaciales qui provoquent des geysers au site de El Tatio, à 2h de route de San Pedro. Sur le chemin on fera des haltes pour admirer la voie lactée. Ce n'est pas pour rien que plusieurs observatoires se situent dans ce désert. Arrivés à El Tatio aux aurores, nous faisons le tour du site en admirant une 20aine de geysers plus ou moins importants. Avec le soleil qui se lève derrière les montagnes, le spectacle évolue constamment avec la lumière et les fumerolles comme protagonistes principaux. De retour à San Pedro, on check-out et direction Calama pour prendre notre bus pour la Bolivie le lendemain. Sur le chemin on s'arrête à la Rainbow Valley (valle Arcoiris) qui porte bien son nom. La aussi de la roche volcanique en plein milieu du désert chargée de différents minéraux et métaux qui donnent cet aspect d'arc-en-ciel. Dernière étape avant notre hébergement, le village de Chiu Chiu et son église entièrement à la chaux sortie tout droit d'un western.
25 novembre : Journée dédiée au transfert à Tupiza en Bolivie avec escale à Uyuni après le passage de la frontière. Arrivés à destination on fait le seul bar de la ville qui est une "vinoteca". Je dois visiblement revoir mon espagnol parce que je pensais que "vino" signifiait "vin" et non "vinaigre". On a préféré la pizza.
26 novembre : Le rythme du voyage ralentit mais ce n'est pas plus mal. Visite à pied de la quebrada (vallée) Palala ou nous regrettons presque les entrées payantes du Chili mais qui sont propres... on rentre à l'hôtel pour éviter la pluie puis nous ressortons pour admirer le coucher de soleil depuis le Cerro Cruz.
27 novembre : Visite des environs en tour privé en 4x4. Au programme:
Cañon del Inca, Cañon del Duende, El Silar avec une pause déjeuner à Toroyo en dégustant des tamales prévus par notre chauffeur. Des paysages aux couleurs balayant plusieurs nuances du rouge au marrons. Au cañon del Inca le passage devient de plus en plus étroit et on s'enfonce à pied jusqu'à ne plus pouvoir avancer. Nous sommes tout seul et je peux enfin sortir mon drone sans déranger personne. De retour à Tupiza nous enchaînons direct avec un "rapidito" (taxi, sensé être plus rapide qu'un bus) pour Tarija. L'attente et longue pour trouver un 3e passager pour partager la course, mais ça me donne l'occasion de me couper les cheveux et rendre un peu plus heureuse Jessica. Apres 3h de belle route à travers la montagne pendant la "golden hour" (coucher de soleil), nous arrivons à notre hébergement. Fast food et dodo.
28 novembre : La "capitale" Bolivienne du vin se situe à 1900m et je retrouve enfin un climat méditerranéen après 1 mois dans les Andes arides, ça fait plaisir. Nous visitons la ville avec la jolie place principale, la "casa dorada" qui était la maison d'un noble commerçant bien entretenu et le Mirador de la Loma de San Juan. Nous sommes un peu déçus de la ville car aucune église ne se visite. On apprendra plus tard que c'est commun en Bolivie à cause de vols qui ont eu lieu; les églises n'ouvrent que pour la messe. On arrive tout de même à passer une bonne soirée dans l'un des rares bars de la ville.
29 novembre : tour organisé emblématique de la ville: la visite des bodegas avec dégustations de vin. On commence par une maison qui est sensé faire du vin de haute gamme, et c'est franchement pas bon. On continue avec une autre Bodega qui nous sert du vin mais clairement sa sent la triche tellement ça a un goût de Kir. Les 2 prochaines nous servent des vins passables et à la dernière c'est la fête, on nous sert des vins sans aucune explications. On aura chacun dans les 10 verres au total, la quantité compensant largement la qualité. En plus on passe pour des experts juste parce qu'on est français et les vignerons espèrent nous satisfaire. On dit poliment que c'est pas mauvais. Un des vignerons (le haut de gamme) veut nous impressionner et nous sort et de ses "grand" vin juste pour nous. En effet c'est mieux mais pas extraordinaire non plus. Par contre les dégustations se font au bord des vignes et les paysages rappellent la France du Sud, c'est donc beau. J'aurai aussi gouté un singani (pisco bolivien, eau de vie de vin) excellent, ça ils savent faire. Le soir on prend un bus de nuit pour Potosí.
30 novembre : Arrivés à notre hôtel à 07h00, on prend sûrement ce qui est notre meilleur petit déjeuner tout hôtel, tout pays, confondu ! Une oasis dans ce désert culinaire. Après avoir visité la très jolie cathédrale, on visite la casa de la moneda qui fabriquait et frappait toute la monnaie de l'empire espagnole. Il faut rappeler que la mine d'argent de Potosí est la plus grande jamais exploitée et est toujours en activité. Bizarrement aujourd'hui les pièces viennent du Canada et les billets de France. La raison donnée par le guide c'est le prix de l'électricité (mwe...). Le bâtiment coloniale est en tout cas très joli et on y aperçoit plusieurs engins de frappe du XVIe aux XXe siècle. On embarque ensuite vers un tour organisé pour visiter la mine, ou l'on n'exploite plus l'argent mais d'autres minéraux (zinc, fer, plomb, je ne sais plus). On aprehende un peu car on ne veut pas tomber dans du voyeurisme de misère comme indiqué par certains avis lus en ligne. Finalement on trouve la visite très intéressante; on se ballade avec notre guide (UNE ex mineur, fait rare) dans les galléries du cerro Rico (la roche volcanique permet aucun support de structure pour que ça tienne), on observe sans déranger les mineurs extraire la roches, notre guide les connaît et nous laisse leur donner des boissons et feuilles de coca achetés préalablement au marché (apparemment c'est mal vu de rien apporter). Ils sont tous en train de mâcher des feuilles de coca, ce qui leur donne une grosse boule au niveau de la joue. On monte sur une gallérie supérieure à l'aide d'échelle à travers des trous assez étroits et Jessica n'est pas très à l'aise. On ne visitera pas les galléries inférieures chargées en "j'ai oublié quel gaz issue du volcan" qui provoque systématiquement la mort des mineurs après 15 ans d'activité s'ils ne prennent pas leur retraite. Selon la guide c'est un bon travail, payé largement au dessus du salaire moyen bolivien, mais dont on reconnaît les conditions de travail difficile. Avant de sortir on passe donner des offrandes (cigarettes, coca) à Tio, la divinité de la mine. On le retrouve dans toutes les mines des Andes et c'est un mixe de Dieu, Satan, Pachamama (j'ai pas bien compris), mais qui ressemble surtout à Satan avec un gros zizi.
1 décembre : On n'attendait que ça depuis la veille: le petit déjeuner. Puis fin de visite de cette très jolie ville, qui fut dit-on à un moment la plus grande au monde (mwe, en vérifiant il s'agit du "nouveau monde". A l'apogée de Potosí, Pékin faisait 10 fois sa taille). Avant de partir pour Sucre, nous visitons le très joli Convento de Santa Teresa. A Sucre je découvre une mini brasserie artisanale et enfin, après 2 mois, je déguste une bonne bière. Même Jessica boit 2 pintes.
2 décembre : Dernière journée avec Jessica, on sent la fin approcher et on est un peu tristes. On finit tout de même la visite de la ville entamée il y a 2 semaines avec la casa de la libertad où la déclaration d'indépendance de la Bolivie a été signée (Haut Pérou à l'époque), le Couvant de Santa Clara où notre "guide" nous présente les tableaux en lisant leur pancarte (titre, peintre, date) et la Iglesia de San Felipe Neri où l'on peut monter sur le toit en forme de terasse pour y admirer la ville. Mention spéciale pour les rellenas et empanadas de la pause déjeuner tout aussi bons que pas chères. Le soir on laisse une dernière chance à la cuisine bolivienne dans un restaurant bien critiqué pour ses plats locaux, c'est sans surprise un échec, mais les cocktails sont vraiment pas chers. On n'en profite pas trop car on n'est pas d'humeur à faire la fête, snif.
2 notes · View notes
p-ads · 2 years
Text
El ascenso del chachani
Le 3 septembre 2022
1h30 du matin ⏰
Le réveil sonne! Je saute du lit et j'enfile la tenue du jour c'est à dire: une brassière, un tee shirt de sport, un haut thermique, un pull en laine et un manteau coup vent. Pour le bas ce sera des chaussettes de montagne, un bas thermique, un legging, un pantalon de trek. Je n'oublie surtout pas le tour cou, le bonnet et les gants. Puis direction la cuisine, je range mes 3 litres d'eau, mes fruits secs et mes pommes dans mon sac et en route pour ......
le CHACHANI !
Pour cette excursion nous sommes 5, quatre français et un péruviens. Deux français ne sont autres que mes collègues/ colocs et le péruvien c'est Abel! Le responsable de la salle d'escalade. Bref on se connait tous, ou presque, le 4 ème français est ici pour les vacances, c'est un ami d'Abel.
2 heures du matin, nous sommes en route direction la merveille qui surplombe Arequipa et qui nous fait de l'oeil depuis qu'on est arrivés. Bien sûr qu'on allait te grimper petit volcan, comment résister à ta beauté !
La route, enfin si on peut la prénommer comme cela, ne fut pas la plus agréable. Notre chauffeur était doté d'un bon 4x4 et heureusement ! Pendant 2h nous roulons sur un chemin de terre semé de trou.
4h45, arrivée au point de départ. Nous abandonnons la voiture et commençons l'excursion à la lampe frontale.
Tumblr media
A oui je ne vous ai pas dit, nous sommes montés jusqu'à 5100 mètres avec notre bolide. Je vous laisse imaginer à combien d'altitude nous serons à notre arrivée!
6h du matin, le soleil montre ses premiers rayons de soleil. Il est l'heure pour nous de faire notre première pause et d'avaler quelques fruits avant de commencer la véritable et interminable montée.
Le souffle, le corps, la lourdeur des pas, le mental.... tout doit s'habituer à cette altitude.
Alors j'ai adopté une démarche assez rigolote mais plutôt efficace : la marche du pingouin. "El pingüino" comme ils aimaient m'appeler. Des petits pas qui m'ont permis d'économiser la force de mes jambes.
Les minis pauses régulières m'ont également aidé à tenir le rythme et surtout à arriver jusqu'en haut.
Nous étions 5 et chacun avait ses propres besoins. Ma coloc par exemple, se sentait obliger de faire des micros siestes régulièrement.
Notre corps n'est pas forcément ami avec l'altitude. Sur les 5, seulement 2 n'ont pas supporté cette hauteur. Mal de ventre, mal de tête était de leur partie. Mais ils ont tenu bon jusqu'au sommet, force à eux!
Personnellement, je n'ai eu qu'un mal de tête, assez léger mais présent. Particulièrement après les longs arrêts, le temps que le corps rallume la mécanique et retrouve son rythme.
Arrivés à 5600m une sieste de 40 minutes s'impose pour tous. C'est la première randonnée que je fais, où je dors presque autant que je marche ( bon j'exagère peut être un peu, mais le sommeil était de la partie)
Tumblr media
La reprise était motivante! Plus que 400 mètres de dénivelé et on y était. Ça voulait dire encore 3 heures! Nous avions fait la moitié !! Le paysage durant toute l'ascension n'était pas très diversifié, mais donnait sur le volcan voisin qui était plutôt agréable à regarder. Mais nous pouvions également contempler la cordillère d'Arequipa.
Tumblr media Tumblr media
A 5900 mètres , nous surplombons la ville blanche. Nous pouvons également apercevoir la neige et la toucher! El pingüino avait retrouvé sa banquise!!
Tumblr media
Lors des 100 derniers mètres, notre ami Jean nous a laissé continuer, son mal de ventre a eu raison de lui, et les derniers efforts lui étaient insurmontables. Nous passons à côté du cratère du volcan qui nous a accueilli durant cette formidable journée. Puis nous arrivons, enfin, au sommet du sommet.
La joie, la fatigue, la fierté, le bonheur, la satisfaction, le plaisir.... toutes ces émotions se confondent à ce moment : 6057 mètres d'altitude bb, ON L' A FAIT!!!!!
Tumblr media
Nous avons le privilège de contempler son voisin le Misti et Arequipa. Sur la terrasse de mon toit je peux contempler le Chachani. A ce moment là, sur le sommet de Chachani je peux contempler la ville blanche. C'est une sensation incroyable et indescriptible.
Tumblr media
Il est l'heure pour nous de redescendre. Cette dernière est assez atypique. Descendre une montagne comme un skieur mais sans les skis et sans la neige, vous avez déjà fait ? Lors des premiers mètres c'est plutôt amusant. Mais ça l'est un peu moins quand je compris qu'il me restait encore 900 mètres de dénivelé à snowboarder sur des cailloux avec des chaussures de randonnées. Mais cela reste une expérience unique en son genre.
15h, Nous voilà enfin en bas du Chachani. L'excursion touche à sa fin. Nous retournons dans notre 4x4 direction notre demeure et surtout notre lit: des cailloux plein les chaussures, un mal de crâne plein la tête mais surtout des étoiles plein les yeux! ✨
4 notes · View notes
nataventures · 2 years
Text
[ SUMATRA - Entre Binjai et Gunung Leuser ]
Mercredi 31 août : Welcome to the jungle
Je rencontre Maria, Martin et leurs filles Enintha (4 ans) et Fania (8 mois) qui m'accueillent pour 11 jours dans leur ferme agricole au milieu de la jungle entre Binjai et Gunung Leuser. Martin est allemand et est tombé amoureux de Maria en même que que de Sumatra.
Maria me dit qu'ils viennent me chercher à Binjai et elle m'indique quel bus prendre. Dans ce bus, nous sommes deux touristes par hasard installés l'un a côté de l'autre. Le trajet dure environ 2h et nous parlons de voyages. Vers la fin du trajet, je lui demande quand même son nom et ce qu'il fait dans la vie pour voyager autant... Il est acteur aux Etats Unis, pour des séries sur Netflix notamment ! Trop fou!
Sur la route, il y a une succession de petits magasins, des maisons vétustes et aussi des fast food! Burger King, McDo, KFC, Pizza Hut... Un sacré contraste !
Ici, il faut dire que les arrêts de bus n'existent pas. Le chauffeur est aussi l'ouvreur de porte pas automatique. Donc quand quelqu'un crie pour s'arrêter, il arrête le bus et ouvre la porte arrière.
En milieu de chemin il demande notre arrêt et ce sont les dames devant qui l'avertissent que je dois descendre. A la hâte, je descends devant une épicerie. Je cherche Maria... Personne. J'attends 5 min... Toujours personne. N'ayant pas de forfait téléphone ni internet, je demande aux gens autour de téléphoner Maria. Merci Google translate car personne ne parle anglais ici... Finalement, 5min plus tard, Martin vient à ma rencontre ! Heureusement le chauffeur est parti aux toilettes et en sortant Martin l'a croisé et a demandé où j'étais! Il ne m'avait pas déposé a l'endroit habituel.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
On profite pour faire les courses en ville car leur ferme est reculée. Le village le plus proche est à 5 km en bas de la colline mais la route est si accidentée qu'on met plus de 30min en 4x4 pour monter chez eux.
Ils ont une plantation de café et ont quatre ouvriers qui travaillent pour eux. Leur maison est encore en travaux, il n'y a aucune fenêtre donc toute la maison est ouverte sur la plantation avec une vue à couper le souffle. Martin gère les employés et avance sur la maison, tandis que Maria gère la cuisine, les filles et les chiens. Ici, la vie est simple : pas d'électricité, seau d'eau pour les toilettes turques et eau pompée de la rivière.
Leur maison est au milieu de la jungle et ma chambre cette super tente!
2 notes · View notes
militaryleak · 11 days
Text
FNSS Introduces PARS III 8X8 Armoured Fighting Vehicle with Teber-35 RCT Remotely Operated Turret
FNSS is proud to introduce the global unveiling of the PARS III 8X8 Armoured Fighting Vehicle with with Teber-35 TEBER-30/35 RCT Remotely Operated Turret (UKK Uzaktan Komutali Kule). The PARS (Turkish for Anatolian leopard) is an amphibious armoured combat vehicle family with 4x4, 6×6 and 8×8 versions, produced by FNSS Defence Systems of Turkey. The PARS III 8x8 has been developed with special emphasis on mobility, protection, payload, and growth potential. The PARS III 8x8 combat weight is 30,000 kg, and the vehicle is powered by a diesel engine. The power pack consists of a water-cooled diesel engine, coupled to a fully automatic transmission, allowing a maximum road speed up to 100 km/h. The PARS III 8x8 can overcome a 60% vertical and a 30% side slope, climb 0.7 meters-high obstacles and cross 2 meters-wide trenches. #military #defense #defence #militaryleak #turkey #fnss
FNSS is proud to introduce the global unveiling of the PARS III 8X8 Armoured Fighting Vehicle with with Teber-35 TEBER-30/35 RCT Remotely Operated Turret (UKK Uzaktan Komutali Kule). The PARS (Turkish for Anatolian leopard) is an amphibious armoured combat vehicle family with 4×4, 6×6 and 8×8 versions, produced by FNSS Defence Systems of Turkey. The PARS III 8×8 has been developed with special…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes