Tumgik
#Mike Bullmore
"Eloquence may please; godliness convinces." – Mike Bullmore
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christophe76460 · 6 years
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Qu’est-ce que la prédication textuelle ? Une prédication est textuelle si son contenu et son intention sont contrôlés par le contenu et l’intention d’un passage particulier de l’Écriture. Le prédicateur dit ce que le passage dit. Il a l’intention que sa prédication accomplisse pour ses auditeurs exactement ce que Dieu cherche à accomplir par le biais du passage choisi de sa Parole. Prédicateur, imagine Dieu assis dans l’assemblée alors que vous prêchez. Quelle sera l’expression sur son visage ? Dira-t-elle, « Ce n’est pas du tout ce que je voulais dire avec ce passage. » Ou dira-t-elle, « Oui, c’est exactement ce que je voulais dire. » La défense biblique de la prédication textuelle commence avec le don que le Christ monté au ciel a donné à l’église en la personne des pasteurs-enseignants (Eph 4:11) et l’injonction biblique pour les pasteurs-enseignants de « prêcher la parole » (2 Tm 4:2). Ceux qui prêchent devraient prêcher leur Bible. Le meilleur endroit pour commencer à démontrer la légitimité du fait d’identifier la prédication avec la prédication de la parole se situe peut-être dans le livre des Actes. En Actes, la phrase « la parole de Dieu » est un raccourci habituel pour qualifier la substance de la prédication apostolique. En Actes 6:2, par exemple, les apôtres disent, « Il n’est pas convenable que nous laissions la parole de Dieu pour servir aux tables. » (cf. aussi Ac 12:24 ; 13:5, 46 ; 17:13 ; 18:11). La phrase apparaît fréquemment aussi en tant que « la parole du Seigneur » (8:25, 13:44; 15:35-36; et. al.) et est même parfois raccourcie en « la parole » (cf. 4:29; 8:4; 11:19). Dans le livre des Actes, il y a une identification claire et cohérente entre la prédication apostolique et la phrase « la parole de Dieu ». Bien que la substance de la prédication apostolique était la bonne nouvelle de la réconciliation avec Dieu en Jésus-Christ, ce message était transmis et expliqué presque toujours par le biais d’une exposition de textes de l’Écriture provenant de l’Ancien Testament. Dès lors, la prédication à l’époque du Nouveau Testament impliquait la prédication de « la parole de Dieu ». Un élément essentiel d’une telle prédication était l’exposition de l’Ancien Testament. Cela nous conduit à conclure que les Écritures de l’Ancien Testament doivent être incluses dans notre conception de « la parole » qui doit être prêchée, une conclusion confirmée à la fois par des affirmations directes (p.e. 2 Tm 3:16; Rm 3:2) et indirectes (p.e. Rm 15:4) du Nouveau Testament.   Donc cette « parole » est la parole à propos de Jésus, telle qu’anticipée dans l’Ancien Testament et maintenant expliquée dans la prédication apostolique. Telle est la parole qui est « annoncée » (Ac 4:29), « proclamée » (13:5), et à « recevoir » (17:11) comme « la parole de Dieu ». Cette même identification est maintenue au travers des épîtres de Paul. Sans hésitations, il appelle le message qu’il proclame « la parole de Dieu » (2 Co 2:17, 4:2; 1 Thess 2:13) ou simplement « la parole » (Ga 6:6). Même dans le contexte de la responsabilité que Paul donne à Timothée de « prêcher la parole », il y a une confirmation de cette identification entre la prédication et la prédication de la parole de Dieu. Timothée aurait su immédiatement de quelle « parole » Paul parlait. Comme la biographie de Timothée le montre bien, cela incluait certainement à la fois les « écritures saintes » et le message apostolique – « les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises » (2 Tm 3:10-17). La conclusion que nous nous devons de tirer de tout cela est que la « parole » que nous devons prêcher est l’ensemble de la vérité consistant des Écritures de l’Ancien Testament et de l’enseignement apostolique vis-à-vis de Christ – c’est-à-dire le Nouveau Testament. Ainsi, identifier la « parole » avec nos Bibles est approprié. C’est ce que ceux qui sont chargés d’être « pasteurs-enseignants » sont supposés enseigner.  Notre travail est de proclamer « la parole » que Dieu a annoncée, préservée dans l’Écriture, et nous a confiée. La vie spirituelle du peuple de Dieu dépend de cette parole (Dt 8:3). C’est la raison pour laquelle un jeune pasteur est chargé de s’appliquer « à la lecture, à l’exhortation, à l’enseignement » (1 Tm 4:13). Si cette charge a quelque revendication sur nous aujourd’hui, et c’est le cas, alors la source de notre prédication doit entièrement coïncider avec nos Bibles. À quoi cela ressemblera-t-il ? Dans notre préparation de prédication, cela ressemblera à prendre des passages précis de la Parole de Dieu et à les étudier attentivement afin que nous « dispensions droitement la parole de la vérité ». Derrière le pupitre, cela ressemblera à l’image que nous pouvons voir en Néhémie 8:8 : « Ils lisaient distinctement dans le livre … et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu’ils avaient lu. » Dieu avait à la fois désiré et promis d’utiliser ce genre de prédication afin d’accomplir l’un de ses plus grands objectifs – le rassemblement et l’édification de son peuple.   Cet article est une traduction de l’article anglais « A Biblical Case for Expositional Preaching » du ministère 9Marks par Timothée Davi
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ramialkarmi · 7 years
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UK advertising industry body unveils Adland's 47 'game changers' of the last century — the list is 100% white and includes 6 women
UK advertising agency trade body the IPA (the Institute of Practitioners in Advertising) is celebrating its centenary with a "Festival of British Advertising," which also includes the a homage to the British ad industry's "game changers" from the last 100 years.
The list of 47 people includes just six women. And everyone on the list is white.
In a press release, the IPA says it assembled a panel of industry experts to draw up a long list of candidates.
The IPA was responsible for picking out the final 47.
"Obviously it's disappointing when you do an exercise like this and look at the names, as you spotted, it's predominantly white men," IPA director general Paul Bainsfair told Business Insider. "The only thing I can say is to look at the context of what we are doing, which is a retrospective of the last 100 years, it's the process we went through. We assembled a big group of advertising practitioners to take a long view, who have been around a long time, to look through who had been the game changers who had made an outstanding contribution."
The IPA describes the winners in a statement as "the people whom it believes have been mainly responsible for changing the industry, either as a leader, a creative, a strategist, or as an innovator." They will be recognized at an exhibition held in the Old Truman Brewery in London from March 9 to March 12.
The expert panel that helped suggest entries for the "game changers" list comprised: IPA president Tom Knox; D&AD CEO Tim Lindsay; AMV.BBDO creative partner Rosie Arnold; Adam&Eve DDB founder and CEO James Murphy; Campaign global editor Claire Beale; BARB non-executive chairman Nigel Sharrocks; Thinkbox CEO Lindsey Clay; and IPA director general Bainsfair.
Some members of the the judging panel raised concerns that the list may be too male and white-heavy, Bainsfair said. He added the IPA had a "responsibility to reflect accurately, rather than using positive discrimination and rigging it."
"The honest fact of the matter is that it reflects how dominated by men the ad industry has been for the last 100 years," Bainsfair said.
That's not to say the IPA has any intention of it staying that way.
Bainsfair pointed out that the IPA is now "working very much in the forefront" when it comes to pushing for greater diversity within the ad industry.
"I would love the numbers to be different," Bainsfair said.
Since 2015, the IPA has encouraged its member agencies to contribute to a public league table listing the gender splits at their agencies by department and seniority, as well as the percentage of employees from non-white backgrounds. Last year, the IPA said that by 2020, it wants 40% of senior positions at UK ad agencies to be held by women and 15% of all people in leadership positions in the industry to be from "a non-white background."
The Festival of British Advertising itself also consists of a session about "changing the portrayal of gender on screen" and a panel about "the future of storytelling in an ever-changing diverse society."
The IPA's census figures show that there was a drop in the number of females holding executive management positions between 2015 and 2016 and only 12% of those employed by IPA member agencies were not white.
When asked whether it would have been a better idea to create a list that looks at the game-changers of tomorrow, rather than celebrating a group of people who have likely received many other accolades in their storied careers, Bainsfair responded that the list was deliberately nostalgic and not designed to show the way forward.
"People will be interested in names like David Ogilvy, and Dave Trott, and John Hegarty. We all know the names, but the main free flow in the exhibition and footfall will be lots of advertising students who are learning about the business," Bainsfair said.
Here's the IPA's full list of the advertising industry's "game changers" from the past 100 years (females in bold):
David Abbott
Paul Arden
John Bartle CBE
Trevor Beattie
Lord Bell
Martin Boase
Tony Brignull
Sir Nigel Bogle
Simon Broadbent
Frank Budgen
Jeremy Bullmore CBE
Ann Burdus CBE
Tim Delaney
James Garrett
Neil Godfrey
Paul Green
Sir John Hegarty
Steve Henry
Chris Ingram
Stephen King
Lord Leverhulme
Sir Frank Lowe
Marion Lyon
Patricia Mann OBE
Peter Marsh
Colin Millward
Ray Morgan
Jane Newman
David Ogilvy CBE
Brian Palmer
Sir Alan Parker CBE
John Pearce
Stanley Pollitt
Lord Puttnam
MT Rainey
Charles Saatchi
Lord Saatchi
John Salmon
Sir Ridley Scott
Jeremy Sinclair CBE
Sir Martin Sorrell
Dave Trott
Alan Waldie
Christine Walker
John Webster
Robin Wight
Mike Yershon
SEE ALSO: The 10 most popular advertising CEOs
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christophe76460 · 6 years
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Qu’est-ce que la prédication textuelle ? Une prédication est textuelle si son contenu et son intention sont contrôlés par le contenu et l’intention d’un passage particulier de l’Écriture. Le prédicateur dit ce que le passage dit. Il a l’intention que sa prédication accomplisse pour ses auditeurs exactement ce que Dieu cherche à accomplir par le biais du passage choisi de sa Parole. Prédicateur, imagine Dieu assis dans l’assemblée alors que vous prêchez. Quelle sera l’expression sur son visage ? Dira-t-elle, « Ce n’est pas du tout ce que je voulais dire avec ce passage. » Ou dira-t-elle, « Oui, c’est exactement ce que je voulais dire. » La défense biblique de la prédication textuelle commence avec le don que le Christ monté au ciel a donné à l’église en la personne des pasteurs-enseignants (Eph 4:11) et l’injonction biblique pour les pasteurs-enseignants de « prêcher la parole » (2 Tm 4:2).Ceux qui prêchent devraient prêcher leur Bible. Le meilleur endroit pour commencer à démontrer la légitimité du fait d’identifier la prédication avec la prédication de la parole se situe peut-être dans le livre des Actes. En Actes, la phrase « la parole de Dieu » est un raccourci habituel pour qualifier la substance de la prédication apostolique. En Actes 6:2, par exemple, les apôtres disent, « Il n’est pas convenable que nous laissions la parole de Dieu pour servir aux tables. » (cf. aussi Ac 12:24 ; 13:5, 46 ; 17:13 ; 18:11). La phrase apparaît fréquemment aussi en tant que « la parole du Seigneur » (8:25, 13:44; 15:35-36; et. al.) et est même parfois raccourcie en « la parole » (cf. 4:29; 8:4; 11:19). Dans le livre des Actes, il y a une identification claire et cohérente entre la prédication apostolique et la phrase « la parole de Dieu ». Bien que la substance de la prédication apostolique était la bonne nouvelle de la réconciliation avec Dieu en Jésus-Christ, ce message était transmis et expliqué presque toujours par le biais d’une exposition de textes de l’Écriture provenant de l’Ancien Testament. Dès lors, la prédication à l’époque du Nouveau Testament impliquait la prédication de « la parole de Dieu ». Un élément essentiel d’une telle prédication était l’exposition de l’Ancien Testament. Cela nous conduit à conclure que les Écritures de l’Ancien Testament doivent être incluses dans notre conception de « la parole » qui doit être prêchée, une conclusion confirmée à la fois par des affirmations directes (p.e. 2 Tm 3:16; Rm 3:2) et indirectes (p.e. Rm 15:4) du Nouveau Testament.   Donc cette « parole » est la parole à propos de Jésus, telle qu’anticipée dans l’Ancien Testament et maintenant expliquée dans la prédication apostolique. Telle est la parole qui est « annoncée » (Ac 4:29), « proclamée » (13:5), et à « recevoir » (17:11) comme « la parole de Dieu ». Cette même identification est maintenue au travers des épîtres de Paul. Sans hésitations, il appelle le message qu’il proclame « la parole de Dieu » (2 Co 2:17, 4:2; 1 Thess 2:13) ou simplement « la parole » (Ga 6:6). Même dans le contexte de la responsabilité que Paul donne à Timothée de « prêcher la parole », il y a une confirmation de cette identification entre la prédication et la prédication de la parole de Dieu. Timothée aurait su immédiatement de quelle « parole » Paul parlait. Comme la biographie de Timothée le montre bien, cela incluait certainement à la fois les « écritures saintes » et le message apostolique – « les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises » (2 Tm 3:10-17). La conclusion que nous nous devons de tirer de tout cela est que la « parole » que nous devons prêcher est l’ensemble de la vérité consistant des Écritures de l’Ancien Testament et de l’enseignement apostolique vis-à-vis de Christ – c’est-à-dire le Nouveau Testament. Ainsi, identifier la « parole » avec nos Bibles est approprié. C’est ce que ceux qui sont chargés d’être « pasteurs-enseignants » sont supposés enseigner.  Notre travail est de proclamer « la parole » que Dieu a annoncée, préservée dans l’Écriture, et nous a confiée. La vie spirituelle du peuple de Dieu dépend de cette parole (Dt 8:3). C’est la raison pour laquelle un jeune pasteur est chargé de s’appliquer « à la lecture, à l’exhortation, à l’enseignement » (1 Tm 4:13). Si cette charge a quelque revendication sur nous aujourd’hui, et c’est le cas, alors la source de notre prédication doit entièrement coïncider avec nos Bibles. À quoi cela ressemblera-t-il ?Dans notre préparation de prédication, cela ressemblera à prendre des passages précis de la Parole de Dieu et à les étudier attentivement afin que nous « dispensions droitement la parole de la vérité ». Derrière le pupitre, cela ressemblera à l’image que nous pouvons voir en Néhémie 8:8 : « Ils lisaient distinctement dans le livre … et ils en donnaient le sens pour faire comprendre ce qu’ils avaient lu. » Dieu avait à la fois désiré et promis d’utiliser ce genre de prédication afin d’accomplir l’un de ses plus grands objectifs – le rassemblement et l’édification de son peuple.   Cet article est une traduction de l’article anglais « A Biblical Case for Expositional Preaching » du ministère 9Marks par Timothée Davi.
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