#La voie à suivre pour Facebook | Explore Tumblr Posts and Blogs

societascriticus2 · 2 months

Text

Essai Facebook : Avant de rejeter nos démocraties...

For english version: https://www.tumblr.com/societascriticus2/742970975737593856/facebook-essay-before-rejecting-our-democracies

Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 26-01 : www.societascriticus.com

Michel Handfield, M.Sc. Sociologie, 2024-02-21 (d’après ma série de posts Facebook du 2024-02-18)

Avant de rejeter nos démocraties et de flirter avec le totalitarisme, il faudrait probablement les réformer au lieu de les dénigrer et d’envier la force de Poutine par exemple. C’est pareil pour l'ONU qui devrait avoir davantage de pouvoirs d'intervention dans le monde pour y jouer un rôle de gardien de la paix. Mais, difficile à faire avec le droit de véto de certaines grandes puissances qui siègent au Conseil de sécurité des Nations unies : Chine, France, Royaume-Uni, Russie et États-Unis.

Il nous faudrait aussi faire plus de place à la science et à l’éducation, mais on heurtera des valeurs et des croyances ce faisant. Et, ces valeurs et croyances sont souvent considérées comme des droits fondamentaux. Pensons seulement à l’éducation religieuse. Donc, sur les questions sociales, politiques et économiques l’on est souvent dans des points de vue. Ce qui fonctionne à un endroit, pour des raisons de culture, de croyances et d’éducation ne fonctionnera pas nécessairement ailleurs. C'est tout le problème auquel font face les pays qui veulent exporter et reproduire de force leur modèle ailleurs dans le monde : ça fonctionne rarement ! Les degrés de développement et les différences culturelles entre les peuples nécessitent des solutions différentes. Ça semble une loi universelle en sciences humaines et sociales. (1)

Sans en être conscient, à trop négliger science et démocratie on donne plus de pouvoirs aux dictatures et aux théocraties qui veulent gouverner sans partage. Eux ne s'empêtreront pas dans les règles du savoir ou du droit international pour agir selon leur bon vouloir ou leurs croyances. Attaquer une région ou un pays au nom d’une croyance, d’un droit divin ou pour lutter contre le « malin » selon leur conception de celui-ci ne les rebutera pas. Une large part du peuple pourra même les suivre sur cette voie, les croyances étant souvent plus fortes que la raison. Sataniniser l’autre en est une tactique. On le voit dans le conflit israélo-palestinien où la religion a sa part. La même chose est vraie en Russie où l’Église orthodoxe russe soutient Poutine dans son combat contre « les forces du mal » (2). Le trumpisme va aussi chercher une large part de ses votes du côté des groupes chrétiens fondamentalistes.

Quant à moi, je crois que l’on risque de le regretter si on ne revient pas à la raison. Mais, pour cela, il faudrait aller au-delà de l'éducation utile et donner des bases en sciences, sciences humaines et sciences sociales à l'école. Il faudrait aussi étendre l’enseignement séculier à l’échelle de la planète pour combattre une certaine forme d’ignorance, mais cela passerait très mal dans certains pays; même dans certains milieux religioconservateurs occidentaux pour qui le savoir séculier est idéologique. On n’est pas sorti de ce marasme.

En fait, on y plonge de plus en plus profondément, les sociétés et le monde étant de plus en plus clivés entre camps adverses qui se parlent de moins en moins. Certains ont même intérêt à faire taire l’autre côté. Le dialogue et les ponts sont donc de plus en plus fragilisés dans une large part de la population, voire rompus.

Depuis la montée des réseaux sociaux et des chambres d’écho (3), on remarque que chacun choisit de plus en plus son camp selon ses croyances et s’y isole. Même dans les familles, certains ne se parlent plus et sont bloqués par des membres de leur famille sur leurs réseaux sociaux. Le liant social s’amincit dangereusement et les espaces communs rétrécissent.

Polarisant et dangereux pour les démocraties, mais aussi pour les dictatures !

Le risque de violence étatique ou de conflits civils s’accroit alors considérablement, car le Pouvoir et les groupes sociaux acceptent de moins en moins le pluralisme et cherchent de plus en plus l’adhésion monolithique et à faire taire les opposants. Les risques de conflits entre ces groupes sont donc grands, surtout dans les régimes non démocratiques, car ils n’offrent pas un cadre de débats sécuritaires entre groupes opposés comme le font les élections démocratiques, le parlementarisme et toute une série d’institutions publiques et privées favorisant les débats. Les conflits peuvent donc se retrouver plus facilement dans la rue et dégénérer plutôt que dans les pages éditoriales et d’opinions des journaux par exemple.

Il n’est pas dit cependant que cela ne peut pas arriver dans un régime démocratique comme on l’a vu le 6 janvier 2020 avec l’assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump (4), mais il y a quand même des garde-fous démocratiques. Naturellement, si un ou des mouvements sociaux ne suivent plus les règles, les dérapages sont possibles.

En fait, plus le Pouvoir est fort, plus il usera de sa force pour faire taire cette opposition. On le voit d’ailleurs en Russie où les opposants au régime sont arrêtés et emprisonnés (5), voire éliminés dans certains cas. La journaliste Anna Politkovskaïa a d’ailleurs gouté cette médecine à Moscou le 7 octobre 2006 à ce qu’on en croit. (6, 7)

Le nouveau clivage

Cette dictature élective de Poutine est soutenue par les milieux les moins instruits et les régions par opposition aux villes. Mais, ce nouveau clivage n’est pas que russe.

On voit de plus en plus poindre un clivage entre libéraux et conservateurs; entre mondialisme et nationalisme; entre villes et régions dans le monde; entre le vrai monde contre les intellectuels et les universitaires; entre la religion et le savoir, la science et l'environnement - les changements climatiques n'existant pas, car c'est Dieu qui envoie des messages selon les plus conservateurs ! On revient à l'obscurantisme au nom de la liberté de croyance par exemple.

Ça me fait penser à la droite qui me parle du vrai monde. De l'idéologie de bas étage pour flatter les électeurs naïfs. En effet, si le faux monde n'existe pas, le vrai monde n’existe pas non plus. Ce n’est qu’une vue de l’esprit.

En fait, même si plusieurs veulent opposer la Russie et la Chine à l'Occident, ce conflit est plus profond que cela et traverse même le monde occidental. Suffit de voir Trump et Poutine s'autoallimenter avec leur droite religieuse et Xi Jinping avec l'orthodoxie communiste pour comprendre que la Russie, la Chine et la droite occidentale se rejoignent dans un antimondialisme, le repli sur soi et un retour du conservatisme (religieux et politique). Si les journalistes ne le voient pas, moi je trouve que ça ressemble pas mal à une révolution néoconservatrice et nationaliste. Certains voudraient revenir à deux blocs ou se refermer sur leur pays, ce que propose le trumpisme, qu’ils ne feraient pas autrement. (8)

Un nouvel utopisme

Cela m’apparait un nouvel utopisme, car il est difficile de vivre dans un repli national ou dans une mondialisation surassumée qui effacerait tout caractère national. En fait, on vit sur un continuum sur lequel le point d'équilibre bouge tout le temps pour nous maintenir en équilibre quelque part entre le monde et la nation, car nous ne pouvons faire partie de l’un sans faire partie de l’autre. D’ailleurs, les nations font partie du monde et le monde est constitué des nations. Telle est la réalité, on n’en sort pas.

Même si l'humain croit que les choses doivent être stables et immuables, c’est faux. Par exemple, si une année on a moins de miel, on en importe. Si une année on en a plus, on l'exporte. Le problème c’est que le capitalisme demande une hausse continue des rendements, ce qui devient intenable pour les peuples et la planète. Ça ne peut que créer des tensions. Les scientifiques et les intellectuels le comprennent, mais ne sont pas assez écoutés.

Pour se donner bonne conscience, on pourrait aussi croire que le capitalisme est un mal occidental. Mais, le capitalisme n’a pas de frontière « et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète. » (9)

Le monde global

Du capitalisme, qu'il soit financier ou étatique (Chine), comme de la politique, des idéologies et des relations internationales, tout cela fait partie du monde global. La Chine qui prend plus de place en Afrique, ou avec la Russie et le Brésil dans les BRICS+ (9), ce n’est pas désintéressé.

Pensez-vous qu’il n' y a pas d’objectifs de domination, d'exploitation et de contrôle des marchés et des richesses naturelles derrière ces alliances? Il ne faut pas être naïf : on vit dans le monde même si on s'isole !

En conclusion

Si on ne veut pas être écrasé dans ce monde, il faut favoriser la démocratie, car c’est encore le moins pire des systèmes. Cela ne signifie pas qu’on ne doit pas l’améliorer même si ce n’est pas facile à faire, les gens au Pouvoir préférant toujours l’immobilisme qui les laisse en place. Ce n’est pas pour rien que les partis d’oppositions qui revendiquent la proportionnelle sont beaucoup moins chaud à la faire une fois au pouvoir, car le système en place les a servis en leur donnant une majorité.

Notes

1. Mais attention ici. Du même souffle, cela signifie que l’on peut difficilement trouver des lois universelles en sciences humaines et sociales. Inversement les sciences pures le peuvent plus facilement, car leur objet d'étude est différent. Leurs méthodes le sont aussi. C'est ce qui explique que si les discussions sont possibles en sciences humaines, elles le sont beaucoup moins en santé ou en physique qui fonctionne sur des protocoles expérimentaux. Ne suffit pas de dire qu'un médicament fonctionne pour que ce soit possible. Il faut d’abord en faire l'expérimentation, en suivant des protocoles préétablis, en voir les limites et si les résultats sont reproductibles. Plusieurs ne comprennent pas cette méthode par manque de formation en science pour tous à l'école. Quand je dis qu’il faut améliorer l’éducation, en voilà un exemple.

2. Émilie Dubreuil, Un patriarche va-t-en-guerre divise l’Église orthodoxe, ici.radio-canada.ca/nouvelle, 18 mars 2022 :

3. https://fr.wikipedia.org/wiki/Chambre_d%27écho_(médias)

4. https://fr.wikipedia.org/wiki/Assaut_du_Capitole_par_des_partisans_de_Donald_Trump

5. Agence France-Presse, Hommage à Alexeï Navalny. Plus de 150 personnes condamnées à la prison, La Presse, 18 février 2024 :

6. Vincent Larin, Mort d’Alexeï Navalny. Une longue liste d’opposants pris pour cible, La Presse, 17 février 2024 : https://www.lapresse.ca/international/europe/2024-02-17/mort-d-alexei-navalny/une-longue-liste-d-opposants-pris-pour-cible.php

7. Poutine a fait taire les journaux indépendants en Russie et a sorti la plupart des médias occidentaux du pays au début du conflit avec l’Ukraine, créant ainsi un vide de l'information. Il ne peut donc pas s'en prendre aux médias occidentaux pour ne pas rapporter son point de vue maintenant. Remarquons que c'est peut-être mieux ainsi pour lui, s’il ne voulait pas répondre de ses actes. C’est du moins mon point de vue.

8. Autrefois on parlait du bloc communiste ou de l’Est et du bloc capitaliste ou occidental, conduits par l’URSS et les États-Unis. Ce serait maintenant les BRICS+ (10) versus le bloc des pays démocratiques ou de l’OTAN. Mais, vu la montée de la droite nationaliste dans certains de ces pays, ce dernier bloc est menacé, certains pays voulant se replier sur le nationalisme. On l’a vue avec la sortie de l’Angleterre de l’Union européenne par exemple et on le voit poindre avec Trump qui menace de sortir les États-Unis de l’OTAN s’il est élu. Il voudrait même faire des murs au nord (Canada) et au sud (Mexique) du pays.

9. https://fr.wikipedia.org/wiki/Capitalisme

10. https://fr.wikipedia.org/wiki/BRICS%2B

0 notes

omagazineparis · 8 months

Text

Les femmes entrepreneures qui bousculent les codes et changent le monde

Les femmes entrepreneures sont de plus en plus présentes dans le monde des affaires et elles n'hésitent pas à briser les barrières pour créer des entreprises innovantes et performantes. Dans cet article, nous allons vous présenter ces femmes audacieuses qui changent le monde à leur manière et vous donner quelques conseils pour suivre leurs traces. Les femmes entrepreneures, une force à ne pas sous-estimer Des femmes qui osent et innovent Les femmes entrepreneures ont souvent dû faire face à de nombreux obstacles pour se faire une place dans un univers encore dominé par les hommes. Malgré cela, elles ont réussi à s'imposer et à créer des entreprises innovantes, qui bousculent les codes établis. Parmi ces femmes, on peut citer par exemple Sheryl Sandberg, directrice des opérations de Facebook, qui a également fondé Lean In, une organisation dédiée à l'émancipation des femmes dans le monde professionnel. Ou encore Arianna Huffington, fondatrice du Huffington Post, qui a révolutionné la manière dont nous consommons l'information en ligne. Leur impact sur l'économie et la société Les femmes entrepreneures ne sont pas seulement des sources d'inspiration, elles contribuent également à la croissance économique et au développement social. En créant des emplois, elles permettent à d'autres femmes de s'épanouir professionnellement et d'accéder à des postes à responsabilité. Leur réussite est également un moteur pour lutter contre les inégalités entre les sexes et promouvoir la diversité dans le monde du travail. Comment suivre les traces de ces femmes entrepreneures Trouver sa voie et sa passion Pour devenir une femme entrepreneure qui change le monde, il est essentiel de trouver sa voie et de se passionner pour son projet. Il faut être capable de s'investir pleinement et de croire en ses idées, même si elles peuvent paraître audacieuses ou irréalisables au premier abord. S'entourer des bonnes personnes Un autre élément clé pour réussir en tant que femme entrepreneure est de s'entourer des bonnes personnes. Que ce soit pour obtenir des conseils, du soutien ou des compétences complémentaires, il est essentiel de construire un réseau solide et de collaborer avec des personnes qui partagent vos valeurs et votre vision. Apprendre de ses erreurs et persévérer Enfin, il est important de ne pas avoir peur de l'échec et d'apprendre de ses erreurs pour avancer. Les femmes entrepreneures qui réussissent sont celles qui ne se découragent pas face aux obstacles et qui sont prêtes à se remettre en question pour progresser. A lire aussi : Ces femmes politiques inspirantes qui façonnent la France Vous aussi, rejoignez le mouvement des femmes entrepreneures Les femmes entrepreneures ont prouvé qu'elles avaient le pouvoir de changer le monde et de créer des entreprises innovantes et performantes. Si vous aussi, vous souhaitez vous lancer dans l'aventure et suivre les traces de ces femmes inspirantes, n'hésitez pas à vous renseigner, à participer à des événements dédiés à l'entrepreneuriat féminin et à échanger avec d'autres femmes entrepreneures. Alors, qu'attendez-vous pour rejoindre le mouvement des femmes entrepreneures et changer le monde à votre manière ? Prenez votre destin en main et commencez dès maintenant à construire votre propre succès ! Read the full article

0 notes

christophe76460 · 1 year

Text

Notre Père Céleste ne fait rien sans nous avertir Bien-aimés.

Il nous a tout annoncé d'avance par ses prophètes.

Il nous a préparés pour ces temps particuliers.

En lui, nous avons été mis à part, afin que nous servions à célébrer sa gloire, nous qui d'avance avons espéré en Christ.

En lui, nous avons cru et nous avons été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis (Ephésiens 1:11-13).

Il chérit l'Esprit qu'Il a placé en nous.

C'est le temps de chercher sa face comme jamais, de marcher par la foi, dans l'amour et la pureté.

Il nous invite à nous rapprocher de lui, à nous aimer les uns les autres comme Il nous aime et à annoncer la bonne nouvelle de son royaume, du salut en Jésus-Christ à tous.

Ainsi parle l'Eternel, ton rédempteur, le Saint d'Israël:

Moi, l'Eternel, ton Dieu, je t'instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre (Ésaïe 48:17).

Il est avec nous à chaque étape du chemin pour nous guider vers ce qu'Il a de meilleur, vers les eaux paisibles de la restauration, pour réjouir notre cœur, élever notre âme et nous rassasier chaque jour de sa bonté.

Soyez tous bénis et fortifiés au nom de Jésus-Christ!

Bonne et belle semaine de victoires!🌹

Si le message vous a béni, partagez-le!

Facebook en a bloqué la diffusion et mes partages.

0 notes

idevart-blog · 2 years

Text

Créer sa boutique en ligne n'est pas le plus difficile, l'autre "paire de manche" va être de gérer celle-ci et maintenir le cap compliqué de la première année d'activité. Découvrez à présent 3 conseils intéressants qui peuvent vous aider à mieux orienter votre stratégie de communication afin de booster les ventes de votre boutique en ligne ! 1 - Tirez parti de la personnalisation en temps réel L'époque du marketing « bourrin » est révolue. Le client moderne exige une expérience d'achat sur mesure spécifique à ses besoins. Plus les offres dont vous faites la promotion sont pertinentes, plus les chances qu'ils achètent sont élevées. En fait, près des trois quarts (74 %) des consommateurs en ligne sont agacés par les sites Web dont le contenu (par exemple, les publicités, les offres, les promotions) semble sans rapport avec leurs intérêts. Utilisez l'historique de navigation, les centres d'intérêt et les préférences des clients pour leur envoyer des messages marketing personnalisés. De cette façon, vous pouvez vous assurer qu'ils sont correctement ciblés et qu'ils sont plus susceptibles de susciter une réponse. 2 - Utilisez les réseaux sociaux Les réseaux sociaux sont un excellent ajout à vos stratégies de marketing de commerce électronique. L'ajout de produits à vos publications Instagram ainsi que certains hashtags pertinents peuvent ouvrir une voie directe alternative vers l'achat. Une boutique Facebook est également une bonne option, offrant une plateforme alternative pour vendre vos produits. Ils sont assez simples à configurer et peuvent être intégrés à des systèmes existants tels que Shopify, il n'est donc pas nécessaire de suivre l'inventaire séparément. 3 - Promouvoir les avis clients et instaurer la confiance Le contenu généré par l'utilisateur ajoute une toute nouvelle perspective à la façon dont vous procédez à votre marketing de commerce électronique. Plutôt que d'avoir à faire confiance en ce que dit la marque, les clients de nos jours peuvent se tourner vers leurs collègues clients pour avoir une meilleure idée de ce qui est bon et à quoi s'attendre. Ce type de preuve sociale est un puissant outil de persuasion psychologique. Les avis positifs de clients satisfaits vous aident à gagner la confiance de clients potentiels. D'un autre côté, les avis négatifs fournissent des informations vitales sur les problèmes à résoudre au sein de votre entreprise. Ces types de témoignages de clients sont encore plus influents qu'une copie de vente parfaitement écrite. Assurez-vous donc d'encourager les clients à partager leur expérience avec votre marque, que ce soit sur votre site ou via d'autres sites d'avis et réseaux sociaux.

0 notes

olivierdemangeon · 4 years

Text

Dans une ancienne Corée fictive, un ancien chasseur de démon se retrouve dans l’entre-mondes, un lieu transitoire pour les esprits, afin de retrouver son ancien amour. Cette dernière l’a oublié et une rébellion démoniaque veut prendre le contrôle de ce monde parallèle afin d’envahir le monde des vivants…

“Jungcheon” (중천), ou “The Restless” pour la distribution internationale est un film fantastique historique sud-coréen datant de 2006, co-écrit et réalisé par Jo Dong-oh, à qui l’on doit également “Running Man” (2013). Les acteurs principaux sont Jung Woo-sung, qu’on a pu voir dans “Beasts Clawing at Straws” (2020), Kim Tae-hee, qu’on a pu voir dans “Venus and Mars” (2007), So Yi-hyun, qu’on a pu voir dans “Dark Forest” (2006), Heo Joon-ho, qu’on a pu voir dans “The Divine Weapon” (2008), Park Sang-wook, qu’on a pu voir dans “The Bad Guys: Reign of Chaos” (2019), et Jo Jae-yoon, qu’on a pu voir dans “House of the Disappeared” (2017). Ce métrage est paru le 20 décembre 2006 en Corée.

L’histoire proposée par “The Restless” nous invite à suivre Yi-gwak (Jung Woo-sung), le dernier d’une unité de chasseurs de démons qui a autrefois défendu l’Empire. Depuis, le pays a sombré dans le chaos et ce guerrier aguerri est désormais un chasseur de primes qui offre ses services aux villageois voulant se débarrasser des démons qui sévissent au milieu de leurs habitations. Toutefois, malgré sa maîtrise des arts martiaux Yi-gwak est finalement empoisonné et se réveille dans un endroit étrange et fantastique, l’entre-mondes. Chaque personne décédée doit y passer 49 jours afin d’y purifier son esprit. Cependant, Yi-gwak n’est pas mort et la situation va se compliquer lorsque ce chasseur de démons rencontre So-hwa (Kim Tae-hee), la dernière gardienne de ce monde du Milieu. Cette dernière n’est autre que l’ancien amour de Yi-gwak, mais sa mémoire a été effacée. Yi-gwak se retrouve plongé dans une bataille entre So-hwa et un groupe de guerriers redoutables, qui ne sont que les anciens camarades de Yi-gwak lorsqu’ils étaient tous dans la même unité de chasseurs de démons. À leur tête se trouve Ban-chu (Heo Joon-ho), l’ancien Maître de Yi-gwak. Ban-chu désire prendre le contrôle de cet univers parallèle afin de retourner dans le monde des vivants pour y semer le chaos. Une bataille s’engage alors dans cet univers entre le paradis et l’enfer….

“The Restless” est donc un film fantastique qui s’inspire de certaines croyances bouddhistes qui ont depuis également inspiré d’autres films tel que “Along with the Gods: The Two Worlds” (2017) ainsi que sa suite, tous deux réalisés par Kim Yong-hwa. On se retrouve lors du générique de fin avec un sentiment mitigé. D’un côté, on trouve un film formidable notamment au niveau de l’image avec de superbes décors, aussi bien naturels que surnaturels. De l’autre côté, nous avons un scénario plat avec des personnages dont malheureusement, on n’arrive jamais à s’accrocher, à s’identifier. On se retrouve donc avec une sensation de frustration, face à un film de qualité supérieure qui n’a que peu de contenance avec une intrigue stéréotypée autour du bien contre le mal.

À bien y regarder de plus près “The Restless” n’est rien d’autre qu’une histoire d’amour terriblement dramatique. Malheureusement là aussi, le scénario concocté par Jo Dong-oh, Choi Hee-dae, Choi Dong-hoon, Bang Ae-kyeong et Han Gwi-sook est d’une certaine faiblesse, notamment en raison de la pauvreté des dialogues qui s’avèrent être d’une grande banalité. Le personnage incarné par Jung Woo-sung se bat et se retrouve blessé à plusieurs reprise pour une femme qui n’a aucun souvenir de leur amour passé. À force de sacrifices, la belle va cependant finir par se poser des questions et s’engager également sur le chemin des sentiments. Le récit s’articule alors principalement autour de l’amour en prenant une coloration morale. On est alors bien loin des visionnages récents comme “Untold Scandal” (2003) ou “The Servant” (2010) où les sentiments amoureux sont exprimés par la voie du sexe.

Les valeurs de productions sont indéniablement le point fort de ce métrage. La photographie signée Kim Yeong-ho, appuyée par les directeurs artistiques Han Zhong et Wu Ming, est juste magnifique. Le film a été tourné en Chine et cela se voit de par la beauté de certains paysages présentés en arrière-plan. Ces plans sont tout simplement à couper le souffle et les décors sont élaborés avec un soin particulier apporté aux détails. Les effets spéciaux sont impressionnants et viennent grandement amplifier l’illusion d’évoluer dans un univers fantastique. On retrouve de la magie, des combats aux sabres, des démons et des fantômes. Les effets spéciaux sont excellents pour un métrage ayant plus d’une décennie au compteur. La note du métrage est donc, en majeure partie, due à la qualité de sa finesse visuelle. La bande musicale est proposée par Shirō Sagisu, compositeur japonais, déjà à l’œuvre sur “Musa” (2001). Enfin, l’édition orchestrée par Nam Na-yeong nous amène à un film de 105 minutes relativement denses.

En conclusion, “The Restless” est un film fantastique convenable disposant d’une histoire parfois absconse, une intrigue simple et d’un développement chatoyant. Le rythme est plutôt vif, le récit manque de fluidité et la narration fait appel à de nombreux flashbacks. La photographie est somptueuse, la bande originale est gracieuse, mais peut-être trop marquée nippone pour un métrage coréen et le montage est bien orchestré. Les chorégraphies de combat sont rondement menées et les effets spéciaux sont propres malgré le poids des années. La distribution offre de bonnes prestations, mais n’arrive pas à effacer la pauvreté du scénario. En outre, le duo formé par Jung Woo-sung et Kim Tae-hee, bien que séduisant, n’offre pas l’alchimie nécessaire à l’histoire d’amour présentée. L’ensemble reste cependant divertissant pour peu qu’on se contente d’une histoire plate dans un bel écrin…

youtube

Retrouvez-nous sur notre groupe de discussion Facebook !

THE RESTLESS (2006) ★★★☆☆ Dans une ancienne Corée fictive, un ancien chasseur de démon se retrouve dans l'entre-mondes, un lieu transitoire pour les esprits, afin de retrouver son ancien amour.

#Heo Joon-ho #Jo Dong-oh #Jo Jae-yoon #Jung Woo-sung #Kim Kwang-il #Kim Tae-hee #Park Jeong-hak #Park Sang-wook #So Yi-hyun #Yoo Ha-joon

2 notes · View notes

arigoldrules · 4 years

Text

Ari rules #1 : Pourquoi il avantageux de signer dans une agence plus modeste par rapport à l'agence la plus connue ?

Voici une question que la plupart des acteurs ne considèrent jamais lorsqu'ils recherchent une représentation : qu'est-ce qui est le plus important, l'agent ou l'agence?

Les talents surtout débutants ou peu connus ont tendance à se concentrer sur le nom de l'agence. Ils pensent que signer avec une comme très connu. relancera leur carrière. Eh bien, c'est peut-être vrai. Mais là encore, ce n'est peut-être pas le cas.

Je vous garantis que des noms comme CAA et WME aux USA, ou Adequat,UBBA pour la France vous ferons briller sur votre CV ! Non Sérieusement ! Vous pouvez même envoyer des copies à vos parents pour leur dire que vous avez eu enfin un diplôme. Vous pouvez même le crier sur Facebook. Tout le monde sera très impressionné. Mais qu'est-ce qu'il y a dans un nom ? Le bon nom sur votre CV est-il un raccourci vers la réussite ? Ou sont-ils juste une illusion fantaisiste ? Je dirais que c’est une erreur de se laisser prendre par la valeur superficielle de la représentation d’une des plus grandes agences de la ville. Votre seule et unique préoccupation devrait être de savoir si les agents en place travaillent pour ou contre vous.

Si l'agent qui vous a signé dans l'une de ces sociétés est vraiment en train de vous porter et vous bousculer, je suis certain que de bonnes choses vont vous arriver. Ces gens sont puissants et connectés et pourtant ils font de la merde ! Mais permettez-moi de souligner quelques points à leurs décharges : les frais généraux à ces agences sont énormes, et les agents qui y travaillent doivent faire aller aussi vite que possible. En d'autres termes, ils doivent signer suffisamment de contrat, pour couvrir leur salaire, le salaire de leur assistant, leurs dépenses et leur part de ces énormes frais généraux, donc leur priorité n ° 1 est de gagner de l'argent et de le faire rapidement. Cela pourrait signifier à la fois de bonnes et de mauvaises nouvelles pour les acteurs avec lesquels ils travaillent.

Écoutez, il n'y a rien de mal à ce que le signe de l’argent soit le résultat final. C'est le capitalisme et la cupidité est bonne, non ? Mais pourtant quand il s'agit de votre carrière, vous devez vous demander pourquoi le big agent de vos rêves vous a signé ! Signent-ils beaucoup de talents en développement comme vous en espérant simplement qu'un ou deux brillera ou l'agent travaille-t-il vraiment dur pour leurs clients ? Et s’ils travaillent dur, continueront-ils à le faire si ces clients ne décroche pas un contrat majeur au cours de leurs premiers mois avec l’agence ?

Pour être clair, je ne vomi pas ces agences. Je collabore tous les jours avec elles. Mais il y a aussi une autre voie à suivre. Vous pouvez choisir le bon agent au lieu du bon endroit, car les agences ne fonctionnent pas pour vous, ce sont les agents qui le font.

C'est pourquoi vous ne devez jamais négliger une demande de représentation d’un agent qui est vraiment enthousiasmé par votre avenir simplement parce que cette personne travaille dans une petite agence. Cet agent pourrait travailler deux fois plus dur que Ari Emanuel Ou Laurent Grégoire (pour les français) qui veulent des résultats rapides et n'ont aucune patience pour développer des talents moins connus ou peu. En clair Il pourrait être plus sage pour vous d'être un gros poisson dans un petit étang au lieu d'un petit dans un océan infesté de requins.

Plus que bien d'autres, une agence est une affaire de relation interne. C’est pourquoi vous devez avoir un vrai lien avec le ou les personnes chargées de vous aider à atteindre vos objectifs, et je dirais qu’il est difficile de les atteindre avec juste le nom magique d’une grosse agence si la coquille est vide pour vous. Mon meilleur conseil de signature se résume à ceci : Signez avec une personne, pas avec une agence

#Arigoldrules blog Talentagent talentagency Cinema advice management actors actresses Elevatenews Arigold Agency

1 note · View note

traver-sees · 5 years

Text

Etape #5 - Sri Lanka, croiser les chemins ( 3/4 )

Lieu #23 - Ela

Quand je descends, il y a une brûme matinale. Le quai est rempli de touristes qui attendent le train.

Le contrôleur me demande mon ticket pour sortir, je le lui tends. Il y a un problème. Je ne comprends pas. Ma tête aussi, elle est embrûmée. Le chef de gare m'explique que mon ticket était pour une gare à plus de cent kilomètres avant Ela. Je ne comprends pas. Je lui dis que c'est le billet qu'on m'a donné, que j'ai bien demandé Ela depuis Colombo. Je lui explique que je ne comprends ni ne lis ni le sinai, ni le tamoul en lui montrant le ticket. Il m'indique un tampon où est écrit un mot en alphabet latin. Je comprends que c'est la gare de destination du ticket.

Il me dit que normalement, ce serait 6000 roupies pour fraudes. J'ouvre les yeux en grands. Il me regarde.

"Ce qu'on va faire, c'est que je vais vous faire payer 360 roupies. Ca équivaut au billet entre la gare où vous auriez du vous arrêter et ici." Ne pas broncher. Je paye.

Je sors, enfin. Attrapper un tuk tuk pour monter à l'auberge de jeunesse. Je négocie un peu le prix. Il est tôt. Trois enfants montent avec moi à l'arrière. "Je les dépose juste à l'école". Je souris.

L'auberge est perchée en haut d'une petite montagne. Il y a une superbe vue.

Je suis épuisée. Il n'y a personne autour. Deux chaises sont installées dehors. J'essaie d'ouvrir la porte. Ca donne sur un petit espace de vie. J'enlève mes chaussures, j'entre. Il y a un petit canapé. Je m'endors.

Je sursaute quand quelqu'un rentre. C'est le propriétaire, je pense.

"Je suis désolée - je suis entrée... C'était ouvert... J'avais reservé une chambre pour cette nuit puis je suis arrivée tôt..."

Il me regarde avec un grand sourire "Je ne vous avais pas vu arriver." Il me demande si je veux me reposer et va me préparer un lit. "On verra pour le reste après, allez vous reposer.

Merci."

Quand je me réveille, il est midi passé. Il me demande si je veux petit déjeuner - il en reste encore de ce matin.

Connecter le téléphone, apercevoir l'heure d'Arrivée de Stl et son amoureux. Descendre à pied en ville, ce n'est pas si loin. Tout parait différent. Il y a du monde, de la musique dans chaque endroit. Je trouve un endroit où manger et écrire un peu, en attendant les amis.

Aller les retrouver à la sortie de la gare

Guetter, apercevoir Stl. Sourire, lui faire signe. C'est si chouette de les retrouver là, tous les deux.

Raconter le message reçu le matin, un peu trop tard pour répondre.

Leur Guest house est juste au-dessus de mon auberge. La propriétaire nous fait signe de monter et nous apporte de quoi grignoter. Comme l'heure du goûter. Elle nous dit "Mangez!" Puis me regarde "Mange Madame!". Ca me fait sourire. Ils ont un petit balcon, avec une petite table autour de laquelle on s'assied, vue sur la Montagne.

Perdre le fil du temps à se raconter. La fin de journée arrive. Je les laisse se poser un peu - on se retrouve plus tard pour descendre dîner en ville.

#36 - Le touriste du train et sa soeur

Le touriste croisé à la gare de Colombo est là, on se reconnait. Sa soeur, qu'il venait retrouver, me dit que quand il a vu que je dormais ce matin, il s'est dit que j'avais du passer une nuit blanche - la première classe du train n'était pas terrible, alors il s'est imaginé que la deuxième...

On échange quelques mots avant qu'ils ne sortent. Ils sont australiens, lui voyage depuis environ un an, elle le rejoint pour le voir ici, quelques semaines. Ils s'en vont, on se dit à plus tard.

Je retourne dans le dortoir pour écrire un peu.

Il y a une jeune femme dans le lit d'à côté.

#37 - La polonaise prof de yoga qui vivait en Inde

Quand je lui demande d'où elle vient, elle hésite. "De Pologne, mais ça fait bien longtemps que je n'y vis plus". Elle enseigne le yoga, est au Sri Lanka en attendant de régler les histoires de visas pour pouvoir retourner en Inde. Elle hésite à sortir dîner - trop fatiguée. Je lui décris les restaus pas trop loin aperçus plus tôt, quand je suis descendue en ville.

Finalement, elle se décide à rester là.

#37 - Les 3 australiens

Le lendemain matin, l'ambiance a une allure de petit déjeuner en famille. La table est grande et on est tous autour. Le touriste et sa soeur, la polonaise, un allemand que je ne croiserai qu'autour de ce petit déjeuner, trois australiens qui sont là et qui voyagent ensemble pour trois mois. Ils sont drôles. Ils rient. Parfois les accents australiens vont trop vite, alors je me concentre pour suivre. On se raconte un peu. Le petit déjeuner est complètement dingue. Notre hôte est là, aux petits soins. Dès que quelque chose est fini, il en rapporte. Prendre le temps.

Je retrouve Stl et son amoureux qui viennent me chercher - j'étais un peu hors temps et le téléphone loin. On part se balader en montagne. Un guide improvisé nous attrappe en route et nous emmène tout en haut.

On y reste un moment. C'est tranquille. C'est beau.

Sur le chemin, celui de la voie ferrée sur laquelle un train passe toutes les demies heures - alors il faut se mettre bien sur le côté - on rencontre un couple de français, ils vivent à Montreuil. On finit par déjeuner tous ensemble, dans ce petit endroit devant lequel j'étais déjà passé deux fois, et à chaque fois, il n'y avait pas encore à manger.

Le propriétaire me demande comment je connais - je lui dis que je ne connais pas mais que ça sentait bon quand je suis passée, les deux fois. Je crois qu'il donne des cours de cuisine. Il me remercie de lui avoir amené autant de monde. Je suis surprise. "De rien".

Le touriste du train m'avait parlé d'une chouette cascade, peu fréquentée, un peu hors de la ville. Alors on y va, tous ensemble. On monte dans un bus bien trop rempli, on demande où descendre, on marche un peu et on y arrive. Le temps est un peu couvert, il n'y a as beaucoup d'eau mais avec Stl, on enlève nos pantalons et on va se tremper les jambes.

On rentre en fin de journée et on se dit au revoir, avec le couple de français.

On continue nos bouts de chemins.

Lieu #24 - Udawalawe

On part tôt pour Udawalawe le lendemain matin. Je croise l'un des australiens et la polonaise qui font du yoga de bon matin

"Tu veux te joindre à nous ?

- J'aurais bien aimé mais mes amis m'attendent, on part pour Udawalawe"

On se dit au revoir et bon vent. Je retrouve les amis pour le petit déjeuner.

Ils avaient reservé un taxi pour la journée - pour aller à Udawalawe puis à Tangalle ensuite.

C'est incroyable comme c'est beau. À en avoir les larmes aux yeux. Dans la jeep qui nous fait traverser la réserve naturelle, on observe le calme alentour, les animaux, les arbres. Le lac immense auquel on finit par arriver donne sur une ligne de montagne. La justesse de cet équilibre découvert décline un poème de nuances - comme si tout tenait en suspend.

Savourer le silence.

Sur la route pour Tangalle, on s'arrête manger un Curry. On écoute Stromae et on se laisse aller.

Lieu #25 - Tangalle

Les amis avaient réservé une cabane dans un complexe hôtelier en bord de mer. On voit et on entend l'océan. Les accompagner et se connecter pour trouver un endroit où dormir.

Une fois que c'est reservé, on va se baigner et on joue dans les vagues avec Stl, en continuant de se raconter.

Je lui dis que c'est la première fois qu'on va à la mer ensemble. On sourit.

Aller trouver l'hôtel pour s'installer, on se retrouvera pour dîner.

L'hôtel est au bord d'une grande route. Un tuk tuk m'y emmène. Je n'ai pas envie de porter le sac qui me semble lourd après la journée. Quand j'arrive, c'est vide. Quelqu'un s'approche et me fait signe de monter.

Ca prend un peu de temps : alumer l'ordinateur, vérifier la réservation, trouver une fiche vierge pour que j'y écrive le nécessaire pour passer la nuit ici.

L'homme part chercher quelque chose et sa femme prend le relai. Elle parle très peu anglais mais je sens qu'elle essaie de me faire la conversation, le temps de patienter. Je souris, je lui pose des questions aussi. L'homme revient.

Il me fait signe de le suivre et m'emmène vers une chambre.

Les amis m'écrivent - on se donne rendez-vous dans un restaurant juste à côté de là où je dors. C'est délicieux. Ils passent des chansons pop reprises en rythme reggae. On rit fort ce soir là.

Le lendemain, on loue trois vélo à leur hôtel et on pédale le long des plages. On s'arrête pour se baigner, puis on repart. Et on s'arrête de nouveau. On passe la journée comme ça, entre terre et mer, sous le soleil.

J'avais apporté mon sac à dos à leur cabane, pour pouvoir repartir de là le soir. Ils m'accompagnent au bus, après qu'on ait demandé au réceptionniste comment aller à Matara.

A peine au bord de la route Stl me dit que ce bus va à Matara - je l'arrête. Les au revoirs sont trop rapides. Je monte dans le bus, direction Matara.

L'homme à côté de moi me fait la conversation. Je n'avais pas trop envie de parler - tant pis. Je réponds sans m'étendre, je souris poliment. Il continue. Bon. Allez. Il me demande si je veux bien l'ajouter sur Facebook, après m'avoir raconté son cousin à Amsterdam ou quelque part en Europe et son envie de voyager. Je dis oui mais je n'ai pas internet. Alors il m'écrit son prénom et son nom sur une note de mon téléphone.

Quand il descend, je reste un peu à écouter le bruyant du bus puis j'écris un message aux amis - rattrapper les au revoir trop rapides.

1 note · View note

blog-d-achats-blog · 5 years

Text

Comment acheter en gros et vendre au détail en ligne

Acheter des produits de gros et les vendre aux prix de détail peut être la base d'un modèle d'affaires solide. Le concept est simple-un produit est acheté à un prix bas et revendu à un prix plus élevé. Cependant, il y a beaucoup plus à devenir un détaillant réussi que juste achetant bas et vendant haut-principalement déterminant quoi vendre, où l'acheter, et comment le revendre à un bénéfice.

Décider quoi vendre au détail Choisir les bons produits à offrir est l'une des pièces les plus amusantes d'une entreprise de vente au détail. Plus important encore, le bon produit peut déterminer le succès de l'entreprise. Certains détaillants se concentrent sur des produits liés à des passions personnelles comme les sports ou les causes sociales. D'autres simplement suivre la tendance-ce qui est chaud aujourd'hui devient un produit à vendre demain. D'autres encore identifient un besoin de marché, tel que le matériel de bébé de coffre-fort de lave-vaisselle, et construisent un portefeuille basé sur la niche.

Avant de faire un investissement important, il est essentiel de déterminer que les produits peuvent être achetés à un coût faible, et qu'il ya une demande suffisante afin que les articles peuvent être vendus à un prix rentable.

Trouver la bonne source de gros Peu importe le produit, une clé de la vente au détail réussie est de choisir la meilleure source pour l'achat du produit à un faible coût avec des maux de tête minimes. Cette étape prend beaucoup de travail et de recherche, avec des milliers de distributeurs et d'opérations d'entrepôt en concurrence pour les entreprises.

Grossistes en ligne De loin, la manière la plus populaire que les nouveaux détaillants achètent des produits pour la revente est par les grossistes en ligne. La plus grande source globale de fournisseurs globaux ce sont les grossiste chinois , fournissant la grande quantité ou l'achat «en vrac» des vendeurs partout dans le monde. En outre, des milliers de fabricants sont répertoriés avec des répertoires qui donnent aux détaillants une gamme de choix dans les fournisseurs.

Avant de faire un investissement dans un répertoire, posez ces questions:

Y at-il des frais pour rejoindre le club de gros ou site Web?

Quelle quantité d'achat est nécessaire pour obtenir un bon prix?

Un détaillant peut-il facilement communiquer avec le fournisseur?

Y a-t-il des plaintes au sujet du grossiste?

La compagnie expédiera-t-elle directement à un client (livraison directe), ou devra-t-elle être disposée séparément?

Répondre à ces questions peut vous aider à choisir la bonne entreprise de gros.

Autres sources d'Articles de gros Les produits ne doivent pas être limités à ceux disponibles auprès des grossistes en ligne. Les endroits alternatifs pour trouver des marchandises peu coûteuses qui peuvent être vendues à un bénéfice incluent les articles faits par les artisans locaux ou les artisans, les produits vendus dans les magasins d'usine à côté d'une installation de fabrication, et les ventes de surstock ou de liquidation au magasin local de grande boîte. La clé est de s'assurer que le produit peut être vendu à un profit, même après la comptabilisation de l'expédition et la manutention.

Vente des produits Mix de vente réussie Une fois les produits et les sources ont été sélectionnés, il est temps de dire au monde à ce sujet, obtenir des produits dans les mains des clients, être payé, et de fournir un excellent service après la vente.

Marketing intelligent Le marketing de détail ouvre la voie que les clients prennent pour le produit.

De loin, les meilleures méthodes à bas prix pour le marketing d'aujourd'hui sont par le biais de nouveaux canaux médiatiques tels que les médias sociaux, bannières publicitaires sur les sites Web, et les annonces classées en ligne. Un détaillant avec un talent pour l'écriture et la photographie peut vouloir créer un blog et partager des informations sur les produits sur Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram. Certains fabricants ou grossistes offrent des matériaux de commercialisation pour l'utilisation au détail, souvent pour libre-être sûr de demander.

Le marketing doit s'adapter au produit et au client potentiel et être adapté pour mieux communiquer la valeur du produit.

Canaux de vente La plupart des détaillants comprennent l'importance d'obtenir le produit disponible à l'achat dans le monde entier en allant en ligne. De nombreux détaillants en ligne commencent par la vente à travers des tiers bien connus de confiance comme eBay et Amazon.com. Le client sélectionne le produit et soumet le paiement en ligne, et le site prend une Commission avant de passer l'argent sur le détaillant.

C'est pratique, mais les frais peuvent s'additionner. Avec plus d'expérience et des ventes plus élevées, la considération devrait être donnée à l'ouverture d'un magasin en ligne unique qui non seulement promeut le produit mais fournit également un moyen sûr pour que les clients achètent. Les ventes peuvent également être faites dans les magasins de brique-et-mortier, aux foires locales, par des annonces sur craigslist, ou via des sites de vente de Yard de Facebook.

Expéditions Une partie de la sélection du lieu de vente comprend le choix de la meilleure méthode de livraison pour les produits. Une des manières les plus populaires de vendre des produits de gros à un bénéfice est par l'expédition de baisse-le détaillant annonce et vend le produit, et un fabricant ou un distributeur expédie l'article directement à l'adresse du client. Cela permet au détaillant d'offrir une variété de marchandises sans avoir à entretenir un entrepôt.

Une autre façon populaire d'obtenir des produits dans les mains des clients est d'utiliser un service de traitement. Le détaillant achète en vrac et a le produit expédié au centre de réalisation, qui expédie le produit à des clients individuels. Le service à la croissance la plus rapide de ce type aujourd'hui est de Amazon.com.

Certains grossistes, artisans locaux ou artisans, ou magasins de briques et de mortier peuvent ne pas offrir de services d'expédition. Dans ces cas, le détaillant peut mettre en place une simple ligne d'expédition dans un Back-Office en utilisant des fournitures à faible coût et un compteur d'affranchissement. Si les ventes sont assez grandes, la fonction d'expédition peut être externalisée à un fournisseur de logistique de tiers. De toute façon, il est essentiel de s'assurer que les frais d'expédition et de manutention permettent au détaillant de faire un profit sur la vente.

Paiements Dans le monde d'aujourd'hui, la plupart des paiements sont effectués avec des cartes de crédit, de sorte que le détaillant aura besoin de mettre en place un compte marchand pour accepter les paiements. L'utilisation de PayPal ou d'autres passerelles sécurisées accessibles peut être un moyen facile d'accepter des paiements en ligne ou en personne. Les frais pour les comptes marchands varient grandement, et la négociation pour les frais réduits est courante.

Service avec un sourire Les acheteurs, qu'ils achètent en ligne ou dans un magasin, veulent être traités équitablement et ont leurs problèmes résolus rapidement. Le détaillant doit être prêt à traiter les problèmes des clients avec la qualité du produit, les problèmes d'expédition, le hoquet de facturation et plus encore. Les petits détaillants peuvent être en mesure de traiter les problèmes des clients personnellement par e-mail, texte et appels téléphoniques. Au fur et à mesure que l'entreprise grandit, le vendeur voudra peut-être engager un centre d'appels du service à la clientèle pour gérer rapidement et à moindre coût les problèmes de routine. Fournir un bon service à la clientèle est un moyen sûr d'obtenir des ventes répétées.

Les bases d'affaires d'abord Avant de faire la première vente, un nouveau détaillant devra avoir un certain nombre de mécanismes étatiques, fédéraux et juridiques en place. Un aperçu complet de la nouvelle entreprise peut être utile pour s'assurer que les éléments importants ne sont pas manqués. En particulier, la nouvelle entreprise devrait avoir une emprise ferme sur:

Déterminer comment l'entreprise sera créée ou incorporée La nécessité d'une licence d'entreprise ou de vente au détail La méthode de collecte et de paiement de la taxe de vente et l'obtention d'une identification fiscale fédérale; Et Assurance responsabilité civile professionnelle Une planification minutieuse peut éviter de nombreux pièges plus tard. Les propriétaires d'entreprise pourraient souhaiter engager un coach pour assurer la responsabilisation et aider à la réussite du ciment.

Avantages d'une entreprise de vente en gros au détail Acheter en gros et vendre au détail peut être une façon amusante mais difficile de faire de l'argent. La bonne planification, l'approvisionnement stratégique et le marketing intelligent sont essentiels au succès ou à l'échec de l'entreprise. Il ya beaucoup de ressources qui permettent à un entrepreneur fougueux le potentiel de succès, limitée seulement par le type et le nombre de produits à vendre combinée avec enthousiasme pour le marketing et de fournir un excellent service à la clientèle.

1 note · View note

fanny-mdc · 2 years

Text

#Séance 6 Les réseaux sociaux.. ou le théâtre de la vie quotidienne

L’ouverture d’un nouveau paysage numérique à des milliers d’utilisateurs est venu ébranler l’organisation de notre société, et de nos relations à l’autre. Étendre sa personnalité, à la façon dont l’entendrait McLuhan sur les réseaux sociaux semble être une condition inhérente au « bon profil ».

Aujourd’hui le paysage numérique, qui se trouve en parallèle de notre monde tangible, est une véritable extension de nos rapports à l’autre. Le terme de « paysage » représente de façon idéale l’idée que nous nous faisons des réseaux sociaux : Anne Coquelin, à travers son livre Le site et le paysage ( 2002 ) exprime parfaitement cette idée de construction, d’entités pliées que l’on va devoir venir déplier pour les comprendre… Nous entendons paysage numérique au sens d’un paysage contre nature. Si nous nous arrêtons quelques instants sur la présentation de soi, il est évident qu’elle a été complètement transformée. Nous pourrions parier que vous avez au moins une fois utiliser : des photos retouchées, avatars en guise de photo de profil, ou encore des noms d’utilisateurs ne laissant nullement apparaitre d’indice sur votre réel prénom ou nom de famille ! Mais ces détails viennent petit à petit nous détacher de notre « je » numérique. Chacun joue un rôle dans cet énorme théâtre international, en s’adonnant à une personnalité nouvelle. La présentation de soi à travers des profils stéréotypés ouvre la voie des possibles à l’infini, l’utilisateur peut alors se jouer des autres.

Mais finalement il peut être intéressant de se demander si les réseaux sociaux nous permettent une extension de notre « moi », ou au contraire nous infligent un enfermement. En effet, si l’impression de liberté survole les utilisateurs, les réseaux sociaux tels qu’Instagram ou Tweeter savent parfaitement gérer leur barque. Pour le comprendre il suffit d’avoir regarder le documentaire Netflix, sorti en 2020 : Derrière nos écrans de fumée ( https://www.youtube.com/watch?v=WclCmybPQmA ) . On y découvre les coulisses de ces machines : un utilisateur, joueur d’une partie déjà toute tracée. Les réseaux sociaux imposent des contraintes formelles, par exemple sur Tweeter vous avez le droit de vous exprimer, mais pas trop tout de même.. 140 caractères, pour le reste vous repasserez ! Les réseaux sociaux tendent à uniformiser chacun de ses utilisateurs, et à imposer une perception de chacun biaisée et schématisée. L’omniprésence des chiffres dévoilent aussi une présence matérialisée des individus : le nombre de likes, le nombre de followers ou d’amis sur Facebook… Notre profil, bien qu’intéressant, sera présenté sous le même angle que celui de notre voisin de droite.

Nous sommes les acteurs et à la fois les proies de ce théâtre quotidien. La présentation d’un soi autre pourrait alors être vue comme une simple règle du jeu à suivre, parmi tant d’autres.

1 note · View note

shalomelohim · 2 years

Text

Confusion : quand le mensonge domine

Notes : C’est vrai qu’il y a beaucoup de confusion un peu partout : dans les informations, sur les réseaux sociaux, etc... les esprits s’échauffent rapidement, redoublons notre vigilance.

Le système de La Bête est en train d’émerger sous nos yeux. Elle prend forme et commence à s’animer devant nous avec l’application de ses lois et les “agents” à son service, puis viendront les (faux) signes et miracles.

On sent que cette bête est un monstre tentaculaire, mais le Dieu que nous servons est bien plus fort, ne l’oublions pas !

Il y a ceux qui le voit et ceux qui ne le voit pas. Il y a ceux qui comprennent et ceux qui ne comprennent pas. Il y a ceux qui savent que les prophéties sont en train de se réaliser et ceux qui ne les connaissent pas.

Nous sommes bien dans un temps capital de démarcation qui déstabilise tout le monde puisque nous avons l’impression d’être entrés dans un tunnel où nous nous ne pouvons pas sortir et on se sent comprimés.

Si c’est le cas pour certains, ce n’est pas le destin pour d’autres.

La mise en place de l’ennemi correspond à la période de préparation de l’Epouse.

Préparation qui s’accompagne de choix individuels pour des raisons qui nous sont propres.

Au fur et à mesure que l’adversaire avance ses pions, nous nous positionnons et ajustons notre marche et nos actions.

*** Il s’agit également d’un entraînement pour fonctionner “en esprit” (remplir notre lampe), pour consolider notre ancrage en Yahshua, pour nous fortifier en esprit, sinon ce n’est pas tenable vu ce qui va arriver.

Car ne nous leurrons pas, “ ça va cogner “ (au sens propre comme au sens figuré - expression que j’ai eu en esprit à plusieurs reprises en méditant certains passages).

C’est une période où Elohim est un peu plus silencieux aussi, il nous observe et teste notre persévérance.

Beaucoup de bouleversements à tous les niveaux sont à prévoir.

Retenons qu’Elohim n’aime pas le désordre et que tout le monde n’est pas appelé au même moment, même si les temps nous paraissent courts, la préparation et la voie empruntée ne sont pas les mêmes pour chacun.

Sachons faire la différence entre notre réseau d’influence (charnel) et la sphère d’autorité (spirituel) qu’Elohim nous a donnés, ce n’est pas pareil !

D’où l’importance de connaître son appel, son identité dans le Seigneur que le Ruah Ha Kodesh nous a révélé et personne d’autre.

Notre attitude en découle.

Beaucoup de gens parlent, donnent leur avis, c’est souvent réactionnel, émotionnel, charnel entrecoupé de quelques versets.

On ne prend la parole que si Elohim nous mandate dans le cadre de notre appel pour un message QU’IL NOUS DONNE par son Ruah Ha Kodesh, sinon ça part dans tous les sens.

Le Ruah Ha Kodesh a demandé la création de ce blog en me communiquant le mot “Shalom”, je m’y tiens, c’est le canal par lequel Il a décidé que je répercuterai ses messages.

Elohim ne m’a jamais parlé de faire de vidéos, ni de prendre la parole dans les assemblées. Je suis silencieuse sur Facebook, ce n’est pas le terrain qu’Elohim a choisi pour moi. J’y lis les posts des autres, apprends des frères et soeurs tout en cherchant les personnes qui ont le même appel que moi. Twitter me sert à suivre les informations - et donc la réalisation des prophéties -et à les relayer.

Chaque support a une fonction différente et bien déterminée.

Les réseaux sociaux peuvent être une source de dispute et de chute, personne n’est à l’abri, aussi sachons les utiliser avec sagesse et que notre page ne soit pas un culte de la personnalité car c’est hors de propos et totalement mondain.

Cherchons des frères et soeurs qui font partie du même membre du corps que nous en esprit, c’est ce qui est primordial aujourd’hui.

Que nos billets, nos interventions, nos vidéos ne soient que pour la Gloire d’Elohim.

Soyez toutes et tous béni(e)s en Yahshua.

================

« Cette foi que tu as, garde-la pour toi devant Elohim. Heureux celui qui ne se condamne pas lui-même dans ce qu’il approuve ! Mais celui qui a des doutes au sujet de ce qu’il mange est condamné, parce qu’il n’agit pas par conviction (de la foi). Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas chercher ce qui nous plaît. Que chacun de nous plaise au prochain pour ce qui est bien en vue de l’édification. » (Romains 14:22-15:2)

Avant-propos

Ce témoignage de Paul a pour contexte la nourriture. Il traite des questions relatives aux viandes sacrifiées aux idoles et de la conduite à tenir à ce sujet.

Au-delà de ce thème, ce texte nous apprend à considérer ce qui est bon pour l’évolution de tous et à ne pas juger sans réflexion.

Par extension il nous apprend également à ne pas s’adonner au laxisme, au radicalisme ou à se livrer aux compromis lors d'un débat sur un sujet propice aux divergences d’opinion où sont émis des avis contradictoires.

Paul invite à l’intelligence et à la sagesse qui s’adossent à la miséricorde du Seigneur qui veut que tout homme soit sauvé et parvienne à la connaissance de la vérité.

C’est aussi à cela que nous sommes conviés : implorer la sagesse et l’intelligence qui viennent du Père.

« Si l’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Elohim qui donne à tous généreusement et sans faire de reproche, et elle lui sera donnée. Mais qu’il la demande avec foi, sans la moindre hésitation ; car celui qui hésite est semblable au flot de la mer que le vent agite et soulève. » (Jacques 1:5-6)

Dans ce genre de situation problématique où se débat la bonne conduite à tenir, il n’est pas aisé de départager entre les opinions des uns et celles des autres.

Le ressenti de ceux qui seraient « forts » se compare alors aux hésitations des indécis en butte à la diversité des avis sur la question.

A contrario d’autres ont une position tranchée, assurés de leur opinion, opinion peut être inadaptée ou excessive.

Souvenons-nous toujours de ce que nous enseigne la Parole et notamment :

« (Que) chacun ne regarde pas à ses propres intérêts (aux siens seulement), mais aussi à ceux des autres. Ayez donc en vous, ce même sentiment qui est en Mashiah Yéshoua » (Philippiens 2:4 et 5)

Le texte de Romains (14:22-15:2) nous rappelle que :

“ Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction (basée sur la foi) est péché. “

La suite de l’article se lit dans la pensée de cet avant-propos, y compris si quelques réflexions semblent s’en détacher.

2021 - Un monde en métamorphose

Des intellectuels de renom du 20e siècle annoncèrent que le 21e siècle serait celui de l’information – laissant comprendre que l’information serait le vecteur dominant dans la conduite du monde !

Ils annoncèrent également que le 21e siècle serait spirituel, car au-delà des religions mises à la marge par le « progressisme », l’athéisme lui-même deviendrait une spiritualité.

N’est-ce pas ce que nous constatons aujourd’hui où les idéologies matérialistes sont érigées telles des idoles que les hommes manipulent !

Ces proclamations, presque prophétiques mais somme toutes laconiques, ne précisaient pas pour autant ce que seraient le fond et la forme des « informations » devenues aujourd’hui la source principale de confusion et d’influence.

Elles ne précisaient pas non plus à quelles « spiritualités » subtiles en devenir nous serions confrontées.

Les années s’écoulent et du flou d’hier émerge de plus en plus clairement un sens, un principe partagé par les élites de la planète.

Principe qui s’organise et s’articule à l’image une colonne vertébrale gigantesque à vocation mondialiste que nous identifions comme un probable dispositif en devenir.

Dispositif sur lequel régnera la « Bête ».

Sans abonder dans des affirmations audacieuses, nous pressentons que les dernières décisions politiques relatives à la « crise sanitaire » participent, avec d’autres projets, à un processus de contrôle de l’humanité, en analogie à la fresque prophétique de Yohanan en Apocalypse qui stipule :

« Il lui fut donné d’animer l’image de la bête, pour que l’image de la bête parle et fasse tuer tous ceux qui ne se prosterneraient pas devant l’image de la bête. Elle fait qu’on impose à tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, une marque sur la main droite ou sur le front, et que personne ne puisse acheter ni vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom. » (Apocalypse 13:15-17)

Modération :

Nous n’en sommes pas encore à ce stade, mais la vision d’un régime mondialiste se précise.

C’est celui d’un « retour en Egypte » associé à la banalisation de mœurs de type « Sodome et Gomorrhe ».

Ce régime, partiellement mis en place aujourd’hui, bafoue la Torah, la vie et la famille, légalise les homicides de fœtus en grand nombre et générateurs d’un commerce abominable.

Remarquons que dans la même perspective, le problème de la démographie à croissance exponentielle ne laisse pas les élites de la planète sans option de solution déplorable. Une guerre larvée semble être déclarée contre l’humanité.

Le Seigneur ne verrait IL pas ces choses ?

« En effet, ce qu’ils font en secret, il est choquant même d’en parler. Mais tout cela, une fois dévoilé, est rendu manifeste par la lumière. » (Ephésiens 5:12-13)

Tout cela n’est plus une élucubration d’illuminés qualifiés de fous dont les visions semblaient chimériques. Jour après jour ces abominations s’affirment comme partie acquise du fonctionnement de ce monde. Ce qui hier, était encore défini de contraire à la déontologie devient nouvelle normalité, infiltrant une humanité déboussolée, consentante ou anesthésiée.

Hormis les essais d’intellectuels, films et romans de sciences fiction, pouvait-on imaginer une telle détérioration en seulement deux générations nées après la seconde guerre mondiale !

Le règne du satan se développe et il s’évertue à souiller les consciences pour préparer la venue de son champion, le « sans loi ».

Reprenons le discours :

2021 est marqué par la formulation mondiale « Great Reset ».

Pour les fidèles du Seigneur, un puissant désir de sanctification doit s’affirmer au risque de ne pas pouvoir résister et témoigner.

Le Seigneur ne nous a-t-il pas prévenus et préparés à cela ces dernières années ?

Ceux qui ont pris garde à la conduite du Souffle ne peuvent que rendre grâce et constater l’appel ainsi vécu.

*** Merci Adon Yéshoua pour ta patience à l’égard de tes disciples, nous te sommes toujours à charge et pas toujours prompts à obéir, puissions-nous être dorénavant pleinement rangés derrière Toi, Te suivre partout où Tu iras, et attentifs à tes directives.

Entendons-nous notre actualité ?

Ce bref état des lieux nous permet de rebondir sur l’actualité et la confusion savamment entretenue par les instances et les médias prépondérants du monde. Confusion née de l’utilisation de propagande délétère établie sur des discours trompeurs et en menant une guerre de censure à l’encontre de ses opposants.

Après plus d’un an et demi d’observation et de questionnement, nous pouvons mesurer l’ampleur et les résultats du tsunami de mensonges dans divers domaines, car rien ne semble échapper à cette lame de fond.

Si le monde accepte majoritairement le « projet sataniste» de l’oligarchie mondialiste, par facilité, par adhésion ou par peur, il existe néanmoins des populations qui s’insurgent et résistent au nom de valeurs qu’elles jugent non négociables.

Nous observons aujourd’hui une rupture sociale âpre basée sur la question de la « santé liée à la liberté » ; c’est inattendu.

Cet effet induit ne faisait guère partie des prédictions des décennies passées, excepté chez les initiateurs de l’évènement ou chez quelques analystes investigateurs, déjà désignés de conspirationnistes loufoques.

« La notion de santé » est une cause d’autant plus pernicieuse qu’elle affecte l’individu au plus profond de son être dans sa capacité de vie et d’action, ce qui implique donc crucialement chacun en particulier.

Personne ne peut se décharger de sa décision prise sur autrui ou sur un collectif ! Le piège est subtil, il est machiavélique.

Le sujet émergeant de la confusion est directement lié à l’actualité de la suite infernale : « Sras-cov2 – pandémie - dégradation économique – vaccins - libertés conditionnées– rupture sociale – etc. »…

Tout un ensemble d’éléments dont l’objet a pour seul but l’accroissement du contrôle des populations.

Contrôle en générant la peur d’une catastrophe sanitaire mondiale et en proposant un remède sauveur de l’humanité : un programme de vaccination de masse des populations.

Cette politique mondiale de « gestion de crise » a généré le doute et la prudence d’une minorité avisée ou non, voire la suspicion argumentée et la résistance d’éminents spécialistes.

Après plus d’un an et demi d’observation, d’information et de réflexion sur les faits gravitant autour de la pandémie du Sras-cov2, nous estimons avec prudence, que le scénario ressemble davantage à un plan orchestré qu’à des faits décousus en sans relation.

Etonnamment, et sans malice dans notre propos, le « Great Reset 2021 » est intervenu de concert avec les campagnes de vaccination.

Nous ne savons pas si les mesures que nous vivons aujourd’hui seront définitives et si le scénario pandémique s’établira pour longtemps sous forme de rebonds opportuns pour ses « utilisateurs ». Il est possible, au contraire, que cet évènement disparaisse tactiquement pour ressurgir plus tard à un moment plus propice, pérennisant certaines règles mises en place en modifiant ainsi durablement notre mode de vie. En écrivant ces lignes nous n’obligeons personne à admettre nos déductions qui ne sont que des possibilités.

*** L’actualité nous interroge. Elle nous saisit gravement. Elle nous secoue, nous met en garde. Elle sonne comme un coup de trompette, comme le shofar d’alerte ! ***

Dans la maison du Seigneur

Par ailleurs, nous constatons la dissonance des messages émis par des responsables religieux, et autres prédicateurs de réseaux sociaux, au sujet délicat du « vaccin », ce qui est regrettable.

De sorte que « les brebis ne savent pas à quel discours se fier » ni « quel berger suivre ». De fait, nous estimons que la confusion s’est également répandue dans la maison du Seigneur.

« Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction est péché. »

Les croyants sont placés face à eux-mêmes par une épreuve inopinée de nature insoupçonnée jusqu’alors. Epreuve qui se présente sous forme d’acceptation ou non d’un acte quasi imposé laissant chacun devant un choix cornélien.

La question qui se pose alors à eux est : dois-je me faire injecter ce produit pour diverses raisons ou dois-je m’y soustraire pour autant d’autres raisons ? Mais aussi quelle est la signification de ce marasme face auquel beaucoup d’enfants d’Elohim se sentent confondus, sans conviction de foi établie (référence au texte d’avant-propos).

Le processus vécu dernièrement par certains pays se révèle être un piège progressif, véritablement pensé en tant que tel. Il ne s’agit pas d’une séduction pouvant se rejeter d’un revers de main où par « bon sens », mais d’un piège à crescendo diabolique, dont voici un résumé :

- information choc de catastrophe planétaire - diffusion soutenue d’informations anxiogènes et contradictoires - propagande quotidienne - réduction des libertés - (pseudo) solution sanitaire exclusive quasi imposée - chantage - menace - sanction - reddition (!) des réticents.

Dilemme : au regard de ce scénario impitoyable.

Ou j’accepte l’injection pour des raisons recevables ou non, et je me satisfais d’un environnement fait de liberté contrôlée, d’une santé à pronostic incertain et peut-être de compromis avec ma conscience,

Ou je n’accepte pas les injections et je souffre des contraintes administratives, de la réprobation sociale mais aussi la menace de mesures coercitives… avec le sentiment diffus d’être peut-être obstiné.

D’évidence le questionnement, sans réponse affirmative, s’installe dans les consciences.

Les avis, acceptables ou réfutables ?

Le sujet est très vaste. Il passe par de nombreuses interrogations et réponses que nous n’aborderons pas dans l’article. Nous souhaitons nous concentrer sur ce que le Seigneur peut nous inspirer à ce propos et d’abord évoquer ce qui se dit dans le monde « de la maison d’Elohim au sens large ».

Une première affirmation, et non des moindres, nous dit : « Il faut vous faire vacciner, c’est un acte d’amour envers le prochain, ainsi vous serez protégés et vous protégerez les autres » !

Cette démarche du vaccin « sauveur » (!) semble éluder Elohim de l’acte… C’est un mot d’ordre qui n’évoque pas la prière adressée au Père qui serait : Seigneur que dois-je faire ? Suite à ce premier mot d’ordre, impliquant un collectif faisant fi de toute réflexion, les brebis de ces « Pasteurs » sont invitées à se faire injecter docilement et sans autre forme de retenue car il s’agirait d’un acte altruiste d’amour.

Plusieurs se permettent néanmoins d’émettre des avis de prudence au regard des effets à terme d’une « thérapie expérimentale », mais l’argument rétorqué du manque de foi interrompt la discussion : « si vous avez la foi vous n’avez rien à craindre… »

Car il est écrit :

“Il n’y a pas de crainte dans l’amour ; au contraire, le parfait amour bannit la crainte” (1 Jean 4:18)

…tout en extrayant ce verset de son contexte.

Nous regrettons que « l’amour d’Elohim » soit invariablement confondu à de l’humanisme, comme si la réponse humaniste venait d’Elohim !

L’humanisme, dont nous n’ignorons pas la doctrine et certains bienfaits, n’est qu’une idéologie d’homme parmi beaucoup d’autres qui ne résout en rien l’amour du Père.

« Et quand je distribuerais tout mon bien pour la nourriture des pauvres, et que je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour : cela ne me sert de rien. » (1 Corinthiens 13:3)

De sorte que des mots d’ordre « humanistes » travestis de versets bibliques ne sont pas pour autant « parole d’évangile ».

Une deuxième affirmation, fortement entendue sur les médias de prédication et dans des assemblées, s’élève en opposition à la précédente en expliquant que ces injections sont la marque de la bête et qu’il faut les refuser à tout prix par résistance.

Les références d’Apocalypse citées argumentent évidemment l’allégation.

« Et elle (l’autre bête) séduisait les habitants de la terre, (…) commandant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait reçu le coup {mortel} de l’épée, et qui était vivante. (…) et elle fît que tous ceux qui ne se seraient pas prosternés devant l’image de la bête, fussent mis à mort. Et elle faisait que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, prenaient une marque en leur main droite, ou en leurs fronts ; Et qu’aucun ne pouvait acheter, ni vendre, s’il n’avait la marque ou le nom de la bête, ou le nombre de son nom. Ici est la sagesse : que celui qui a de l’intelligence, compte le nombre de la bête ; car c’est un nombre d’homme, et son nombre {est} six cent soixante-six. » (Apocalypse 13:14-18)

L’analyse basique de ce texte isolé de notre actualité permet de penser qu’un dispositif sophistiqué de soumission à la bête sera mis en œuvre par l’autre bête, que nous assimilons à un ministre de la propagande.

La soumission sera actée par une marque sur la main ou sur le front. Cette marque permettra aux soumis de bénéficier de toutes les libertés conditionnelles de la société régit par la bête.

Peu importe la technologie qui supportera la « marque », elle sera certainement à réitération périodique et pratiquement infalsifiable.

Rendre allégeance ou se prosterner devant l’image de la bête sera la condition d’acquisition et de prolongation du sésame ouvrant toutes les portes du royaume de l’antimessie.

- Cela interpelle. Avons-nous affaire à de la provocation d’un farfelu multimilliardaire ou à la volonté diabolique d’un sataniste signant son forfait hallucinant.

Quel que soit le mobile, il n’en demeure pas moins que le 6.6.6. est désormais « marque déposée » pour recevoir l’identification et l’attestation personnalisée du programme de vaccination mondiale.

Mais en quoi une injection quelconque pourrait-elle être la marque de la bête, si elle n’est pas associée à un dispositif administratif.

Qu’est ce qui permettrait en somme de dire que l’injection fait partie intégrante de cette marque ?

« Le premier (ange) partit et répandit sa coupe sur la terre. Un ulcère malin et douloureux atteignit les humains qui avaient la marque de la bête et qui se prosternaient devant son image. » (Apocalypse 16:2)

La question induite par la lecture de ce second texte d’Apocalypse est : Quelle relation y aurait-il entre la marque de la bête sur la main ou sur le front et la cause directe ou indirecte des « ulcères malins et douloureux » qui ne touchent que ceux qui ont reçu la marque de la bête ?

Pour déclarer de tels ulcères exclusivement liés à la « marque » nous supposons qu’une prédisposition interne au corps humain est nécessaire et pourrait dans ce cas être le déclencheur des ulcères…

En prenant évidemment quelque raccourci, la conclusion de cet avis serait : l’injection répétée de produit génétique à ARNm serait la condition qui permettrait de recevoir en échange le droit de vendre et d’acheter et serait en conséquence la « marque de la bête ». C’est ce qui s’esquisse aujourd’hui dans quelques pays où les « pass sanitaires » sont délivrés aux personnes injectées.

Certes la logique est construite, mais rien ne permet d’affirmer que nous sommes de plein pied au règne effectif de l’antimessie.

Nous sommes manifestement en une période de structuration, de répétition, de test, pourrait-on se permettre d’avancer… mais pas davantage. Ne nous précipitons pas vers une conclusion hâtive parce qu’elle revêt une cohérence partielle avec les textes.

En effet, le livre d’Apocalypse nous parle : « d’image de la bête » « de son nom » « de son nombre », mais ces éléments ne paraissent pas être encore la réalité de ce que nous vivons aujourd’hui même si elle est sous-jacente.

Par ailleurs, la prosternation devant l’image de la bête ne semble pas non plus « activée ».

Une autre affirmation reprend le problème de la subtile tentation incluse dans la « volontaire » injection par similitude à la tentation que subit l’Adon Yéshoua au désert (voir Matthieu 4:1-11) :

« Le diable l’emmena dans la ville sainte, le plaça sur le haut du temple et lui dit : Si tu es Fils d’Elohim, jette-toi en bas, car il est écrit : Il donnera à ses anges des ordres à ton sujet, et ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. Yéshoua lui dit : Il est aussi écrit : Tu ne provoqueras pas YHWH, ton Elohim. » (Matthieu 4:5-7)

Dans cet épisode le diable ne pousse pas Yéshoua dans le vide, mais il Lui demande de se jeter lui-même, c’est-à-dire volontairement.

Auquel cas nous aurions affaire à un suicide et non à un meurtre.

Le diable se défausse de sa responsabilité et la fait endosser à sa victime.

C’est le scénario du « programme de vaccination » où l’incitation est insistante, mais le passage à l’acte est le fait du patient qui accepte l’injection et ses conséquences.

Ces deux images comparées permettent aux commentateurs de dire que ceux qui se font injecter un produit équivoque, invoquant une obligation ou une nécessité indiscutable, prennent des risques en toute conscience « éclairée ».

Ils succomberaient ainsi à la séduction d’une pensée implicite :

« ne crains rien tu ne risques rien, le Seigneur te protège ».

Dès lors, ils leur est possible de s’exonérer de leur décision en espérant que le Seigneur les protégera des effets fâcheux possibles de l’injection. L’argument prévalent dans ce cas est la parole de Yéshoua laissée à ses disciples avant son élévation :

« les disciples du Seigneur pourront boire des breuvages empoisonnés sans en être affecté ». (Voir Marc 16 :18)

De la même manière que Paul piqué par un serpent venimeux n’en ressentit aucun effet. (Voir Actes 28 :3-4)

Cette démonstration se conclut par : Si le Seigneur s’était jeté du haut du Temple il est probable qu’il se serait écrasé sur le sol et sa mission se serait achevée in situ !

Mais affirmer que le satan séduit ainsi les enfants d’Elohim qui décident d’accepter cette « injection » est un verdict peu miséricordieux envers les frères et les sœurs dont les motivations profondes ne sont pas secrètes pour le Seigneur.

L’acceptation est une épreuve de conscience qui nous ramène à notre texte d’avant-propos :

Tout ce qui n’est pas le produit d’une conviction (basée sur la foi) est péché.

Un dernier avis opte pour l’injection sous l’argument du « denier rendu à César » (voir Matthieu 22 :21).

De sorte que les aspects pratiques ou profanes de la vie seraient astreints aux « règles gouvernementales » et ce que les autorités demandent, il faudrait y satisfaire sans se poser de questions.

« Que chacun soit soumis aux autorités établies ; car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne d’Elohim, et celles qui existent ont été instituées par Elohim. C’est pourquoi celui qui résiste à l’autorité s’oppose à l’ordre d’Elohim ; ceux qui s’opposent attireront un jugement sur eux-mêmes. » (Ro.13:1-2)

Donc acceptez cette injection. Cette opinion est immédiatement contrecarrée par un avis opposé qui dit : notre corps est l’habitation en Souffle d’Elohim, nos corps ne nous appartiennent pas et encore moins au monde ! Nous avons à en prendre soin tout le temps qui nous est imparti.

Notre soumission aux autorités serait en somme acceptable tant que notre foi en Elohim et l’intégrité de notre corps ne sont pas mises en cause. Ce qui s’imposerait comme une ligne rouge non négociable !

Dans cet imbroglio, nous ne confondons pas la subordination aux autorités- alors que nous pouvons nous libérer de ses injonctions abusives- et la contrainte vitale qui s’impose par exemple de façon critique à l’exigence familiale.

Le Seigneur sait !

Quel enseignement en déduire

Cette année 2021 est un choc pour l’humanité et une épreuve pour les croyants de tout bord et pour la qéhiyllah de Yéshoua.

Les affirmations et avis illustratifs cités précédemment nous convainquent que la confusion n’est pas seulement active pour suborner le monde, mais qu’elle agit également parmi ceux qui se réclament du Seigneur.

Comment avons-nous abordé, en tant que croyants, ces évènements qui se présentent comme un avertissement de ce qui pourrait se réitérer bientôt en plus grande résonnance ?

Sommes-nous prêts à affronter une situation plus déchirante encore en termes de choix personnel ? Ces questions restent ouvertes

Quel comportement adopter excluant tout désaveu de principe de nos frères et sœurs qui selon leur conviction, basée sur la foi, ont opté pour des choix différents.

Choix qui malheureusement pourraient être un prétexte à séparation !

L’unité nécessaire au combat et la fraternité de notre nouvelle nature nous enjoignent l’empathie, la miséricorde, l’accueil et la bénédiction, sans pour autant délaisser la vérité et entrer par « tolérance » dans les compromis..

De fait l’épisode « covid » a révélé nos faiblesses, celles par lesquelles le satan pourraient nous atteindre.

Mais a aussi exposé la variété des motivations qui ont guidé les décisions.

- Il y a ceux de la première heure et de la première motivation qui donnèrent immédiatement du crédit au « vaccin », car ils crurent au message des instances sanitaires.

Il y a aussi ceux qui eurent peur pour différentes raisons et se précipitèrent aux vaccinodromes. Ces éléments forgèrent leur conviction. Qui qu’ils soient, ils ne sont pas blâmables.

- la deuxième population et sa motivation de deuxième vague est celle pour qui les vacances, les loisirs et le café en terrasse valent toutes les piqures ! Ce qui semble bien léger.

- la troisième population, la mort dans l'âme, certains en pleurs, se retrouve contrainte aux injections au risque de perdre un emploi indispensable.

De nouveau, ne jugeons pas. Chacun gardant toute latitude pour revoir sa position en toute transparence devant le Seigneur.

Rappelons-nous qu’un exercice, qu’une répétition, permet de réfléchir et de se corriger en toute humilité. Notre Père sait ce qui est bon pour ses enfants afin qu’ils Lui restent fidèles.

*** Indépendamment de leurs convictions ancrées sur la foi, si des frères et des sœurs, par maladresse, par précipitation, par une réflexion peu solide, par une carence de prière, par une exigence essentielle quelconque… étaient en confusion à ce sujet (ou sur d’autres), confusion qui les conduirait à une prise de décision détachée de la foi, le Seigneur les prendra en charge pour les relever et reconduire ceux qui lui appartiennent car ils Lui sont présentés chaque jour par son Corps : la qéhiyllah. ***

« Or tout cela leur est arrivé à titre d’exemple et a été écrit pour nous avertir, nous sur qui la fin des temps est arrivée. Ainsi donc, que celui qui pense être debout prenne garde de tomber ! Aucune épreuve ne vous est survenue qui n’ait été humaine ; or Elohim est digne de confiance : il ne permettra pas que vous soyez mis à l’épreuve au-delà de vos forces ; avec l’épreuve il ménagera aussi une issue, pour que vous puissiez la supporter. » (1 Corinthiens 10:11-13 )

Et encore à ceux qui se pensent par la grâce devenus inébranlables et qui jugent cependant les frères, enfants d’Elohim et frères de Yéshoua :

« Qui es-tu, toi, pour juger le serviteur d’autrui ? Qu’il tienne debout ou qu’il tombe, cela regarde son maître. Et il tiendra, car le Seigneur a le pouvoir de le faire tenir. » (Romains 14:4)

Si le « programme vaccinal » et le « pass sanitaire » ou « autre obligation vaccinale », sont les éléments d’un piège avéré jeté sur l’humanité, alors crions au Seigneur :

“ Seigneur délivre-nous du filet du chasseur, évite-nous d’y pénétrer et arrache-nous en si nous nous y sommes engagés. Si ce n’est pas un piège, fais-le nous savoir, ouvre ou ferme les portes devant nous et apprend-nous à reconnaitre ta main partout et en toutes circonstances. Apprends-nous à ne pas substituer notre propre volonté à la tienne. “

« Je dirai à YHWH : mon refuge et ma forteresse, mon Elohim je me sécuriserai en Lui. Car c’est Lui qui te délivrera du filet du chasseur de la maladie mortelle13 . » (Psaume 91:2-3)

Apprenons également à avancer, à vivre jour après jour, pas à pas avec le Seigneur. C’est une démarche d’adhérence et de pleine dépendance au Seigneur.

Aucune décision issue de l’intelligence humaine ne nous protégera ni ne nous permettra d’assumer le témoignage auquel nous sommes appelés.

Source : Blog de la Qehila

Version PDF téléchargeable

0 notes

omagazineparis · 8 months

Text

Les femmes entrepreneures qui bousculent les codes et changent le monde

0 notes

andrewrossiter1 · 3 years

Text

Desert, réjouis-toi

Prédication par Andrew Rossiter à Luneray le 5 septembre 2021 Esaïe 35.1-7, Marc 7.24-37

Vous pouvez aussi suivre le culte en direct sur la page Facebook. ATTENTION nous avons changer la page, il faut désormais se connecter via: https://www.facebook.com/Les-Temples-protestants-de-Luneray-et-Dieppe-109600971394860 et merci de penser vous abonner!

C’était en 2014 que nous avons organisé un voyage en Jordanie pour marcher dans le désert du Wadi Rum. Cinq jours de marche et de bivouac avec nos guides bédouins. Le sable rouge qui figure dans plusieurs films comme Star Wars et Laurence d’Arabie nous a séduit: sec, sans vie.

La première nuit il y eu quelques gouttes de pluie, et le lendemain matin des fleurs! Oui un petit tapis de fleurs a poussé pendant la nuit autour de nos sacs de couchage au milieu du désert.

Esaïe parle de la joie du désert, que la nature dansera quand l’eau jaillira et quand les fleuves couleront dans la terre sèche. C’est une vision de renouvellement et d’espoir. Nous n’avons pas besoin de parler de sécheresse cette année, surtout en Normandie!

Esaïe emploi l’image du désert pour parler de toute situation desséchée où l’avenir n’est pas certain et où la réalité actuelle ne donne pas de signes de vie, mais le prophète discerne l’activité de Dieu. Il s’adresse à celles et ceux «qui perdent courage» ou «qui s’affolent» nous disent nos Bibles. André Chouraqui traduit la phrase en disant à celles et à ceux qui ont les «cœurs pressés».Le message est dit pour la première fois aux gens qui se sentent menacés par la guerre et l’exile.

Pour beaucoup c’est la peur qui -est au centre de leurs préoccupations:

de ne pas vouloir sortir de chez eux, ou uniquement pour acheter de quoi manger

de ne pas pouvoir envisager une vie ‘normale’, comme avant

ou de ne plus pouvoir avoir des relations ordinaires. À chaque rencontre la question se pose: «Est-ce qu’on se sert la main, ou non? Est-ce qu’on fait de bises? »

Notre avenir est menacé par nos hesitations bien compréhensibles, notre distance respectueuse et notre méfiance omniprésente.

Esaïe parle pour ceux et celles qui ont les cœurs pressés, qui ont les cœurs qui se battent à la chamade. Ce qui est une réaction naturelle face à l’incertitude, le danger et la menace. L’hormone adrénaline (ou l’épinéphrine) cours dans le sang. Il stimule les muscles, dirige le flux sanguin et accélère le métabolisme de notre corps. En même temps nos sens sont accentués, notre champ de vision se rétrécit et le monde devient étrangement calme. L’adrenaline peut exciter le corps pour le combat ou la fuite, ou il peut ordonner une sort de paralysie.

Nous recevons l’image d’Esse d’un désert en fête comme un texte de poésie ou une simple métaphore, mais il parle de ce que nous ressentons au plus profond de nous-mêmes dans nos corps. Il nous invite d’écouter ce que nous disent nos corps. En ce moment de notre histoire qu’entendons-nous dans nos corps?

Il y en a pour qui il faut fuir, il faut se cacher dans la maison, ne pas sortir de peur d’attraper le covid, et bien entendu il ne faut pas prendre des risques insensés.

Il y en a qui se trouvent poussés au combat, qui refuse le dictat de la prévention, de la vaccination et de la distanciation. Ils militent, souvent en dépit de tout bon sens.

Il y en a qui refusent de prendre position, de ne rien faire ne sachant pas quel comportement adopter.

Mais Esaïe ne reste pas sur une vision d’échec ni d’une fuite en avance. Le cœur pressé contient une autre réaction qui est encore plus forte que toutes les autres. Un cœur se batte aussi dans l’attente de quelque chose de bon. Les cœurs se pressent dans l’espoir et dans l’amour.

Il reste néanmoins un mot que nous n’avons pas encore regardé - la vengeance. le mot est dans le texte, même si je préfère qu’il n’y soit pas. Je peux continuer la prédication sans le regarder, en faisant semblant que je ne l’ai pas vu, mais il est toujours là!

«Dieu vient vous venger» se trouve au milieu de la promesse qui prétend chasser les peurs. Le prophète appelle son peuple d’être les témoins de la présence de Dieu, un Dieu assez proche pour pouvoir le toucher presque. Et nous sommes héritiers d’une promesse d’un avenir radieux qui va se mettre en place par l’action de la vengeance. J’ai du mal a lier la vengeance avec l’annonce de la Bonne Nouvelle de l’Evangile.

Nous nous disons que heureusement Jésus est venu pour nous montrer un Dieu qui n’est pas un Dieu guerrier, qui pratique la vengeance et qui règne par la force. La venue de Jésus annonce un Dieu qui guéri et qui offre le salut et la paix. Mais pouvons-nous lire la Bible d’une manière aussi simpliste que ça?

Regardons de plus près les mots «venger» et «justicier». Le Bibliste Hendrick Peels montre que le mot en hébreu désigne le châtiment par une autorité légitime. Un châtiment qui apporte la libération aux opprimés et le rétablissement de la justice. Le sens de ce mot est plus proche à ce que nous appelons la «justice réparatrice». Et, nous déclare Esaïe, c’est ce que Dieu est en train de faire. Loin d’être un justicier arbitraire, Dieu rend la justice qui a le pouvoir de rétablir les relations et de remettre la justice au sein de la vie de la communauté.

Donc le message que le prophète nous demande à apporter est: Dites aux gens que la justice réparatrice de Dieu arrive. Attend le Seigner car Dieu vient pour rétablir l’espoir.

A la fin du système de l’Apartheid en Afrique du Sud les Eglises ont établi la commission «Vérité et Reconciliation». Desmond Tutu écrit:

«Au lieu de la fameuse injonction biblique «œil pour œil et dent pour dent» compris comme une vengeance, cette phrase limitait la punition au seul coupable et a évité que les proches d’un criminel soient punis aussi.

Nous avons choisi, par la voie de la commission Vérité et Reconciliation l’amnistie en échange de la vérité. Cette proposition est fondée sur le principe d’une justice réparatrice que nous nommons «Ubuntu» - un mot africain qui décrit une société réconciliée.

Bien sûr il fallait se souvenir que les actes commis des deux côtés étaient monstrueux, mais que leurs auteurs restaient, malgré tout, les enfants de Dieu. Un meurtrier restera toujours un meurtrier mais Ubuntu fonctionne parce nous étions prêts à croire que même les pire des racistes pouvait évoluer.»

Croire que Dieu est là, que Dieu agit dans nos cœurs et dans nos relations Proclamer que Dieu fait une différence dans nos vies et dans l’avenir de notre monde

est constater que les déserts peuvent devenir les champs de fleurs.

0 notes