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#Contrôle de soi
sabbathsermon · 2 years
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Du fantasme à l'espérance
Du fantasme à l’espérance
audio, citations As-tu pris une habitude de bâtir des châteaux imaginaires dans tes pensées, pour pallier aux difficultés de cette vie et arriver à traverser une autre journée apparemment trop amère ? As-tu réfléchi que tu avais un rocher dans ton cœur vers lequel tu te réfugiais systématiquement ? Si telle est et a été ton expérience, alors tu as aussi besoin de passer du fantasme à…
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lafeedelaverite · 7 days
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Parfois, nous devons nous défaire de nos fardeaux pour trouver notre équilibre.
Plus nos fardeaux sont lourds, plus il peut être difficile de trouver un équilibre dans nos vies. Peut-être sommes-nous à la recherche d’un endroit où décharger ce poids, ou peut-être essayons-nous de le garder en nous-mêmes. Mais, dans tous les cas, nous pouvons éprouver un certain soulagement, en apprenant à garder notre équilibre, lorsque nous laissons aller nos problèmes. Pense à ton…
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soitamespieds · 9 months
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La gardienne de la clé de votre cage possède votre plus grand secret
Au cœur des dynamiques les plus profondes de l'âme humaine se cachent des désirs et des secrets qui défient souvent les conventions établies. La cage de chasteté, loin d'être un simple accessoire, devient une extension de cette dynamique, un symbole puissant de soumission et de contrôle. Mais plus que la cage elle-même, c'est la gardienne de sa clé qui joue un rôle central. Elle détient le secret le plus insaisissable, celui qui est tu même dans les murmures les plus discrets.
La cage est bien plus qu'un objet. Elle est une déclaration, un engagement, un choix délibéré d'entraver une partie de soi. Pour celui ou celle qui la porte, elle devient un rappel constant, une épreuve continuelle de dévotion, de confiance et d'abandon. Elle représente une promesse faite non seulement à soi-même mais surtout à la gardienne.
La gardienne, avec cette clé entre ses mains, se voit confier un pouvoir immense. C'est une responsabilité qui va bien au-delà de la simple possession d'un objet. Elle détient un secret, un pacte silencieux scellé entre elle et le porteur de la cage. Chaque interaction, chaque regard échangé, est empreint d'une signification profonde, d'une tension palpable.
Cette relation, teintée d'une dynamique unique de pouvoir, est complexe et multifacette. Pour le porteur de la cage, confier la clé à la gardienne c'est se rendre vulnérable, c'est une soumission totale à une autre personne. Pour la gardienne, c'est assumer une position dominante avec toutes les responsabilités que cela comporte. Elle doit être à la fois stricte et bienveillante, toujours à l'écoute et consciente des limites.
Il faut aussi reconnaître le courage que cela implique pour les deux parties. Dans une société souvent prompte à juger, choisir de porter une cage de chasteté ou d'en être la gardienne est audacieux. C'est un acte de rébellion contre les normes, une déclaration d'indépendance face aux jugements.
En définitive, la gardienne de la clé et la cage de chasteté incarnent une relation profonde et complexe, une danse éternelle entre pouvoir et soumission. Derrière cette dynamique se cache un monde d'émotions, de désirs inavoués, et surtout, un secret insaisissable qui, bien que caché, donne une essence unique à leur relation.
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L’enfumage idéologique à l’épreuve des enseignements de la psychanalyse
L’invention par Freud de la psychanalyse nous amène à découvrir que nous ne vivons pas, mais que nous sommes vécus, à savoir que la plus grande partie de notre expérience n'est pas consciente, mais construite en nous (et par nous) à notre insu, au moyen de forces inconnues de nous-mêmes.
Ces forces ne sont rien d’autre que celles du langage lui-même, son inertie fantasmatique, et c’est ce en quoi consiste l’inconscient.
L'Unbewusste freudien, l'inconscient de la psychanalyse, n’est cependant pas à entendre comme ce mécanisme objectif qui règle à mon insu mon expérience phénoménale, mais bien ce qui reste à jamais inaccessible, ne se faisant jour qu'à travers le langage, c’est un savoir, un savoir insu de lui-même.
Ce en quoi l'inconscient est réel, le Réel dont chacun est, qu’il le veuille ou non, affligé.
L'expérimentation subjective la plus intime de qui je suis, j'en suis forcément privé, mon fantasme fondamental (le cadre à travers lequel les choses m'apparaissent) constituant et garantissant le noyau de mon être, je ne peux jamais en faire l'expérience directement, il est primordialement refoulé.
C'est presque devenu un lieu commun dans l’idéologie d’aujourd'hui de (se) dire, pour présenter l'expérience vécue de sa propre subjectivité : "peu importe le mécanisme objectif inconnu qui gouverne mes perceptions, mes pensées et mes actes, ce que personne ne peut m'enlever c'est mon ressenti profond, ce que je vois et sens maintenant, mes émotions..."
C'est pourtant ce que fait Lacan, détruisant cette ultime illusion: pour lui, le sujet du signifiant n'émerge qu'à partir du moment où l'expérience subjective phénoménale de soi-même (son fantasme fondamental) devient inaccessible au sujet, il ne peut plus s'y fier, il n'y croit plus, et c'est cette inaccessibilité qui vide le sujet et en fait un sujet barré $, le sujet du signifiant, sujet de la psychanalyse, sujet de l'inconscient.
Ce qu’il y a de plus inconscient chez un sujet, c’est l’attitude consciente par laquelle il prétend se rapporter à lui-même.
L’apport décisif de Lacan fut donc de considérer le langage comme l’archétype du cheval de Troie, le cadeau empoisonné par excellence, il se présente comme un choix qui ne peut pas être refusé, puis, quelle que soit la manière dont tu l'auras considéré et quoi que tu en penses - puisque tu ne peux penser qu'à travers lui - il t'aura déjà colonisé et pris le contrôle de ta vie.
C'est l'aliénation au signifiant, qui fait que le sujet est toujours représenté par un signifiant pour un autre signifiant qui ne le représente pas.
La seule sortie possible de l'aliénation passe par une réconciliation avec l'aliénation elle-même.
Le sujet parlera alors plus de libération que de liberté, la liberté comme le désir se conjuguent seulement au futur antérieur, j’aurai été libre, j’aurai désiré.
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lounesdarbois · 18 days
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Deux suggestions. D'abord contester le terme "babtou" (ou "gouère"), qu'il soit justifié par de l'argot, par du wolof, par le nombre, par la pression. Ce terme, dans un cadre "amical" où la réciproque n* ou b* n'est pas permise, constitue un test de soumission et démasque le cadre comme hostile. L'équilibre c'est la réciprocité. Et puis ne pas parler comme des gens d'une culture exogène, ne pas s'acculturer, ne pas adopter leur accent, leur influence, leur hiérarchie, leur panthéon. Seule la Civilisation est civilisatrice et il n'y a qu'une seule civilisation, c'est facile à voir et tout le monde le sait. La Rue c'est la vérité des rapports de force oui, mais descendre à la Rue ne demande nul effort. Monter à la Civilisation depuis la Rue suppose effort, étude, exercice.
Tout le reste découle de ces deux préalables. Une fois que l'on s'y tient et que l'on organise sa vie sur ces fondamentaux et plus du tout sur les catégories du Pouvoir par contrôle horizontal f*cho/pas f*cho - ra***te/pas ra***te tout devient clair. Non pas facile, mais clair. La moindre concession sur les fondamentaux et c'est le déshonneur par ingénierie sociale qui attend comme une toile d'araignée: le rapport au territoire, aux femmes, la dette (et donc, qui doit quoi à qui), le récit admis, le roman national, toute une cosmogonie tournée contre soi-même attend celui qui transige.
Mieux vaut cent fois prendre le large, vivre seul un temps, emporter avec soi ses pénates, refaire souche ailleurs, et laisser entre eux les piranhas se dévorer... que rester pour s'imaginer qu'ils sont des potes et leur servir d'exutoire. Eux d'ailleurs ne sont pas dupes et suspectent toujours quelque servilité indigne derrière le masque égalitaire affiché par les "babtous de cité". Égalité à laquelle ne souscrivent ni les traditions ni le mode de vie moderne réel des uns comme des autres ...
Instructif. Au moins ils disent presque tout tel que ça se passe dehors. Merci camarade pour la découverte !
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raisongardee · 3 months
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"Grâce à la maîtrise qu’il aura des désirs procédant du cochon, et par sa capacité à maintenir celui-ci dans sa juste limite, il verra se répandre en son être ces nobles vertus que sont l’abstinence, le contentement, la sérénité, l’ascèse, le scrupule, la piété, la gaieté, la belle prestance, la pudeur, l’amabilité, la serviabilité, etc. Grâce à son contrôle et à sa domination de la colère, ainsi que par sa capacité à la maintenir dans la stricte limite du devoir, il se verra acquérir les vertus de courage, de générosité, d’héroïsme, de maîtrise de soi, de patience, de longanimité, d’endurance, d’indulgence, de constance, de noblesse, de magnanimité, de gravité, etc. Le cœur est dans la position d’un miroir entouré de toutes ces influences qui affluent vers lui de manière continue. Les influences positives que nous avons mentionnées participent à polir le cœur, et à lui rendre son lustre, son reflet et sa lumière, jusqu’à ce que l’évidente vérité s’y manifeste avec splendeur, et que les exigences véritables de la religion y deviennent perceptibles […] quant aux influences négatives, elles sont comme une fumée opacifiant le miroir du cœur. Cette fumée ne cesse de s’accumuler sur lui avec le temps, jusqu’à ce qu’il devienne extrêmement obscur, au point d’être complétement voilé à la contemplation de Très-haut."
Al-Ghazâlî, Les merveilles du cœur, trad. Idrîs De Vos, XIe siècle.
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lisaalmeida · 9 months
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Fais ce qu'il te plaît,
Sois folle, triste, heureuse,
Fais toi briser le cœur, retombe amoureuse,
Fais confiance à tes amis puis vois les disparaître de ta vie,
Danse, crie, hurle, change, ris, rage, pleure de joie, tombe et relève toi,
Laisse la vie te briser, les gens te briser, et recolle les morceaux pour leur montrer que tu contrôles la situation et que tout ira bien, que personne ne te mettra jamais à terre..
Tente tout ce que tu peux tenter, n'ai peur de rien..
Sois libre,
Ça t'évitera de mourir idiote, triste ou avec des regrets,
Profite, vis,
Pour qu'à la fin tu puisses te dire je suis la plus heureuse du monde..
Artisane
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a-room-of-my-own · 9 months
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Encore une fois la police ne sera pas réformée parce que toutes les voix modérées sur le sujet sont étouffées par l’extrême gauche, alors que la réforme est plus que nécessaire.
Et pas que de la police nationale, de la pénitentiaire aussi qui est recrutée n’importe comment avec les conséquences que l’on sait dans les prisons.
Bien sûr j’ai pas de solution magique mais j’imagine que si la gendarmerie est d’une manière générale mieux appréciée de la population, mieux contrôlée et mieux formée, la réponse c’est peut-être de mettre tout le monde sous commandement militaire, ou du moins de former tout le monde au même endroit avant que chaque force de sécurité parte sous le contrôle de son ministère de tutelle.
Il faut arrêter aussi de recruter des abrutis, disons-le clairement. J’ai porté plainte 3 fois dans ma vie et les 3 fois je me suis retrouvée devant des OPJ qui n’étaient clairement pas les couteaux les plus affûtés du tiroir - je n’ose imaginer ce que c’est de se retrouver devant eux quand on est victime de quelque chose de grave.
De la même façon, je connais des gens qui ont été tutoyés par des policiers et bousculés sans raison, j’ai aucune raison de penser que les personnes qui font remonter des incidents à connotation raciste mentent ou exagèrent, au contraire. Et c’est très grave dans une démocratie que les citoyens aient peur de leur police.
Pour les gens qui crient partout « soutenir les forces de l’ordre » sans appeler à une réforme nécessaire, ils ne soutiennent pas la police mais justement ses travers. Ils soutiennent la brutalité légitimée par l’uniforme, pas l’institution en soi, son utilité et sa respectabilité.

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selidren · 2 months
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
8/15
Il y a en plus la question de la consommation de tabac à l'hôpital. Selon Rose, les salles tapissées empestent le tabac froid alors que les patients n'ont en théorie pas le droit de fumer dans les chambres. Lors d'une fouille début juillet, les infirmières ont confisqué une montagne de cigarettes. Le problème, c'est que l'habitude de fumer est tenace chez les soldats, cela les détend, un peu comme vous avec votre hashish. Adelphe, qui a toujours juré par tous les saints que la fumée le faisait tousser et qu'il ne voulait pas s'encrasser les poumons, s'y est mis avant même la fin de l'année 1914. La même chose pour mon Constantin, à la différence que cela confine à l'addiction chez lui. Dès la fin de la guerre, il faudra que je sévisse. Vous avez du entendre tous ces petits surnoms qu'ils donnent au tabac de troupe, les "gris" ou le "perlot". M'est avis que cela va se répandre et deviendra hors de contrôle.
Transcription :
Gilles « Dis, tu n’aurais pas encore un peu de perlot pour la pipe ? »
John « … »
Gilles « Allez, sois pas radin ! Eh… »
Gilles « Ramasse ta mâchoire l’Engliche, elle traîne par terre. »
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ascle · 3 months
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La lettre C
Cabochon:
Personne stupide, incompétente.
Cadran:
Réveil-matin
Cailler:
Avoir très sommeil.
Calorifère/caille:
Radiateur
Calotte:
Casquette 🧢
Capoter:
-> s’énerver, perdre le contrôle de soi.
-> passionner, aimer comme un fou.
Carte soleil:
Carte d’assurance maladie permettant d’avoir accès aux services médicaux gratuitement.
Cassé (être):
Ne plus voir d’argent
Cave:
-> sous-sol
-> personne idiote, stupide
Chambranlant:
Vacillant, peu solide
Chaud (être):
Être ivre
Chauffer:
Conduire une voiture, un camion
Chialer:
Râler, se plaindre
Chicaner:
Disputer, réprimander, se quereller
Cossin:
Babiole, objet sans valeur
Courailleux:
Personne volage
Crasse:
Espiègle, rusé
Cruiser:
Draguer, flirter
Culotte:
Pantalon
Expressions
C’est pas les gros chars
C’est décevant, très ordinaire, ce n’est rien d’impressionnant, c’est beaucoup moins que ce à quoi on s’attendait.
C’est sur mon bras
C’est moi qui paie, c’est ma tournée.
Ça parle au diable
C’est incroyable, j’en reviens pas.
Ça va faire
C’est assez! Ça suffit
Changer quatre trente sous pour une piastre.
Faire des changements qui n’apportent rien, que l’action posée était inutile, qu’elle n’est qu’une perte de temps, sans profit ni perte.
Char de marde
Flot d’insultes, violents reproches
Cogner des clous
Dodeliner de la tête lorsqu’on combat le sommeil en position assise.
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 34
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le client n°2 de Jean (30 ans musclé monté 26 x 6,5) dont j'avais mis la femme à niveau (cf. soumission 11) m'avait demandé la dernière fois où je lui avais amené Jean de lui trouver un peu de temps pour lui et sa femme. Maintenant que tout se passait bien coté vagin, il aimerait tenter la sodomie. Il avait commencé par des annilingus en " dérapant " des cunnilingus mais qu'il n'avait pas été plus loin qu'un massage externe de son anus. L'idée m'amusait en plus de la rétribution de ma prestation, nous avons fixé un soir en semaine (mes WE sont trop chargés !!). ;Avec l'accord de Marc, j'arrivais vers 19h chez eux. La femme, en robe légère, m'accueillit d'un baisé sur le coin de la bouche et me glissa tout bas " merci, depuis notre rencontre, je jouis à chaque fois ! ". nous entrons au salon, son mari nous y attend, en jeans et polo. Je pose mon casque sur une commode et comme il me dit de me mettre à l'aise, je m'extirpe de ma combi moto et me retrouve en shorty moulant et T-shirt. Il me tend un verre et nous trinquons au sexe.
Comme je fini mon verre, sa femme se colle à moi, me roule une pelle et sa main sur ma bite, elle la masse pour la faire grossir. Son mari, lui, se plaque dans mon dos et je sens au travers du tissus sa grosse pine gonflée contre mes fesses. Je passe ma main en arrière et presse le barreau qui déforme sa braguette. Etant le moins vêtu (je le pensais avant de mettre ma main sous la robe), je me retrouve rapidement avec le shorty sur les chevilles et ma bite aspirée par la meuf.
Je remarque que de ce coté là, elle s'est bien amélioré et je le dis à son mari. Il me dit qu'avec une pratique matin et soir, c'est normal que ce soit mieux. Le jeans contre la peau nue de mes fesses me gratte un peu. Je défais le ceinturon et les boutons de la braguette pour faire tomber le fut à ses pieds. Il le jette sur le coté et se recolle à moi, sa batte de base ball droite entre mes fesses, le gland sur mes reins. Je tourne la tête et lui rappelle tout bas que c'est sa meuf qu'on va sodomiser et non moi ! Il bouge et se place derrière sa meuf qui continue à me piper à genoux devant moi. Il la relève à 4 pattes et retrousse sa robe. Comme elle ne portait pas de culotte, il lui met direct deux doigts dans la chatte et les ressort bien mouillés. Sous cette pratique, elle gémit tout en gardant ma queue dans sa bouche. il recommence et bientôt un 3ème doigt rejoint les deux autres.
Avant de la sauter lui même, il me propose gentiment de l'enfiler. J'accepte, ça va faire longtemps que j'ai mis ma bite dans un vagin ! Je m'enkpote et la pénètre. Elle est brûlante et mouillée. Je rentre sans problème mes 20cm. Le rodage quelle subit avec les 26cm de son mec lui a bien allongé le vagin. Je ne sens même pas le col de l'utérus comme la dernière fois ou j'avais été obligé de pousser pour faire entrer mes 3 derniers cm.
Par contre je suis bien serré entre les parois, et ne me sent pas " flottant " comme dans le vagin de la mère de Jean. Comme le mari me dit de rester au fond, il ordonne à sa meuf de " presser ". Je ne m'interroge pas longtemps sur la signification de ce terme. Rapidement je ressent sur toute la longueur de ma bite une compression puis un relâchement et cela recommence.
Elle me masse la bite avec son vagin ! j'en reviens pas c'est kiffant ! Son mari qui avait pris ma place dans la bouche de sa meuf, me regarde en souriant et me demande comment je trouve cela. Je lui répond que c'est bon ! il me dira plus tard, en aparté, que c'est Jean qui en contactant son anus sur sa bite lui a donné l'idée. Je reprend le contrôle en commençant à la limer. Je lui demande que lorsque je suis sorti, elle compresse son vagin pour que je sois obligé de forcer pour entrer.
Elle fait cela et ça devient bon de lui limer la chatte. Son mec me dit que pour cela elle se muscle sur un gode très fin(3cm de diamètre) qu'il a trouvé dans un sex shop. Je lui dis que c'est intéressant. Je lui cède ma place. Il entre alors dans sa femme qui souffle quand même à se prendre la grosse bite de son mari. Je me penche au dessus d'elle pour bien voir la bite entrer de toute sa longueur dans le vagin. Au deux tiers, il vrille un peu du bassin pour que le gland repousse le col de l'utérus et qu'il puisse entrer les derniers cm.
Arrivé au fond, il lui laisse le temps de s'habituer au nouveau volume puis ressort totalement avant d'y retourner sans finasser. Ses coups de reins soulève sa femme et me l'enfonce encore plus sur ma bite. Au 4ème coup, j'ai mon gland dans sa gorge. Elle s'étrangle car c'est sa première gorge profonde ! je lui pousse la tête en arrière pour que ça entre plus facile et elle finit par s'y faire. Comme son mec fait une pause, bien ancré au fond de son vagin, elle me repousse et se tourne vers lui pour l'engueuler. Que c'est une brute et qu'elle s'est défoncé la gorge sur ma bite ! Il rit et lui dit que finalement ça devait le faire puisque après elle a pas arrêté de me bouffer entier. Je confirme. Nous échangeons encore nos places et je me réimplante dans son vagin. Il lui faut quelques instants de contraction pour que je sente à nouveau un début de compression. Je ne fait que 5cm de diamètre par rapport aux 6,5 de son mari ;qui doivent bien faire 7cm à la base. Son mec lui bâillonne la bouche de sa pine essayant de faire entrer son gland derrière sa glotte. Je lui crache sur le trou du cul et lui masse l'oignon de mes deux pouces. Elle gémit, je continu et doucement je lui ouvre le trou. Nous nous coordonnons son mari et moi pour l'enfoncer en même temps, c'est amusant à faire. Je continu mon massage anal et mon pouce droit fini par entrer gentiment. J'alterne pouce droit pouce gauche rapidement. Je ramasse de sa lubrification vaginale sur ma bite quand elle ressort pour lubrifier plus efficacement son anus. Je continu malgré des gémissement n'exprimant pas forcement son accord. Le mari lui m'encourage tout en matant la progression.
Bientôt mes deux pouces sont ensemble dans son trou. J'ai forcé mais moins que pour certains mecs ! je sens sous mes doigts l'anus s'assouplir et accepter de mieux en mieux l'écartement. Les pouces bien enfoncés, je joue un peu de l'élasticité du sphincter. Je sens au travers des parois mes doigts le long de ma bite enfoui en elle. Son mari, impatient, me dit de l'enculer. Elle émet un non étouffé par le gland qui a fini par passer dans sa gorge. Il me dit de pas l ;"écouter, que si on l'avait laissé faire, il ne pourrait toujours pas la baiser correctement ! Je me range à son avis, modifie mon angle d'attaque et avec une bonne poussée, je lui perfore le cul avec ma bite.
Comme le mec lui a mis son gland au plus profond de sa gorge (il reste quand même bien 6/7 cm dehors), elle ne peut plus me dire non. J'investi son anus. Je me sens bien serré mais la progression reste assez facile et son sphincter s'ouvre sans beaucoup de difficulté. De mes doigts je récupère dans sa chatte son lubrifiant naturel et m'en badigeonne le sexe après l'avoir sorti totalement puis je le lui remet dans le cul. Son mari l'ayant laissé respirer, elle se redresse et nous traite d'obsédés sexuels ! C'est pas une insulte puisque c'est la vérité et que nous ne nous en cachons pas ! ;Je lui demande si elle a mal. Elle me dit que la première pénétration à été un peu dure mais que ça va.
Je lui propose alors de s'exciter sur son mec en même temps. Elle me demande comment. Je demande à son mari de se coucher sur le dos et à elle de le chevaucher. Quand ils sont en place, je la plaque sur le torse de son mec et agenouillé entre ses cuisses, je me replante dans son cul.
La double pénétration lui arrache des gémissements ce coup ci de plaisir ! ce n'est que lorsque je suis bien au fond que nous commençons à la faire coulisser sur nos sexes. Serré dans son boyau, je sens la bite de son mari et surtout son gland tout contre mon sexe. Le mec me dit que c'est une sensation phénoménale. Le frottement de nos deux glands lors des va et vient le fait triquer à fond.
La sensation est telle que nous jouissons tous les trois ensemble. Ses contractions vaginales et anales nous traient les couilles et quand son mari lui rempli la chatte je jute dans ma Kpote. ;Elle se relève, nos bites encore bandées claques sur nos abdos. Elle se jette sur son mari et lui pompe le dard englué de sperme. Il me dit en souriant que depuis mon premier passage elle avait pris goût à son sperme et qu'elle ne manquait pas d'en avaler le maximum. Je les félicite tous les deux d'être arrivés à ça. Comme je vois qu'elle arrive à maintenir son mari raide, je lui plante trois doigts dans l'oignon pour éviter qu'il se referme trop vite et du pouce je lui titille le clitoris. Elle gigote dans ma main. A l'occasion, je lui mets l'auriculaire en plus et commence à la travailler en largeur. Son mec ne débande pas, je lui propose d'essayer le nouveau passage. Elle s'affole, refuse, la taille imposante du sexe de son mari lui fait peur. Alors que tout allait bien , le grain de sable ! Nous essayons de la convaincre mais elle refuse prétextant l'impossibilité à un cul de se prendre une pareille bite. J'ai beau lui dire que certains mecs s'en prenne encore plus gros, elle ne me croit pas. Elle m'énerve la minette ! Je dis a son mari de se remettre sur le dos. Je vais chercher un tube de lubrifiant et du poppers dans ma combi et me prépare le cul. Rapidement je me détend et me place 3 doigts dans l'anus.
Elle ne dit plus rien et me regarde faire avec étonnement. ; Bien lubrifié du fion, j'enkpote son mec, ajoute une méga dose de gel dessus et je l'enjambe et me retrouve comme elle tout à l'heure. Je place son gland contre mon anus, je sniffe rapidement des deux narines et dans les secondes qui suivent, alors que je ressent une bouffée de chaleur, je m'enfonce d'un coup sec son gland. Elle pousse un cri se surprise. Je me remet une dose de poppers et bien parti, je m'assois lentement sur la bite de son mec. Elle est tellement absorbée par le fait que je réussisse à m'enfiler une bite de ce diamètre qu'elle a oublié que nous sommes dans un rapport sexuel homo ! Il est mieux monté qu'Eric, même si ce n'est pas de beaucoup, les cm à ce stade ça compte triple !!
Je me redose en poppers et commence à me limer. J'apostrophe la meuf en lui demandant si elle croit toujours que c'est impossible. Son mec, lui est ravi et apprécie mon anus. Je me relève et lui dis de prendre ma place. Excité par le spectacle elle se place. Je lui tartine le cul d'une bonne couche de gel et en lui enfonçant le tube, en vide une parti dans ses boyaux. Placé derrière eux, je tiens la bite verticale et place le gland à l'entrée du cul. Je pose mes mains sur ses hanches et appui dessus. L'anus déjà bien rodé par le passage de mon sexe et mes doigts s'ouvre et absorbe le gland. Jusque là tout va bien le gland n'es pas plus large que ma bite. Je lui dis qu'elle a pris le gland. Elle me dit le savoir, qu'elle est blonde mais pas idiote et qu'elle le sent bien dans son derrière. Je me venge aussitôt en appuyant un peu plus fort et lui fait prendre au moins 5cm d'un coup. Je lui fait sniffer du poppers et même si l'effet est moins probant sur les meufs, elle réagit et j'en profite pour ajouter encore 5 cm. Son mari a tendu ses bras et ses mains pétrissent ses seins, roulant les tétons entre ses doigts. Je passe une main devant elle et lui pince le clito. Elle sursaute, sort 3cm de son mec pour en reprendre 6 au retour ! Maintenant elle a pris au moins 50% de son mec dans le cul. Comme je rebande, je me déplace et enjambe à mon tour son mec, tout en restant debout pour lui mettre mon gland devant ses lèvres.
Elle me suce, je mets mes mains sur sa tête et la tirant vers moi, enfonce mon gland dans sa gorge. Ma poussée la fait s'asseoir un peu plus. Les mains de son mari ont glissées des seins aux hanches et c'est lui qui maintenant maîtrise l'intromission. Impatient, il appui une dernière fois un peu trop fort et si il entre presque totalement, la douleur lui fait me recracher en criant.
Je m'agenouille et glissant ma tête sur les abdos du mecs, réussis à prendre le clitoris entre mes lèvres et à le stimuler. Le souffle de la meuf s'accélère, le plaisir revient. Quand son mec la sent réceptive, il commence doucement à la relever. Je le stoppe quand il arrive au gland. Si il sort totalement il ne pourra y retourner. Je re graisse la hampe pour faciliter la réintroduction. Je me redresse et tête son sein droit alors que mes doigts remplacent ma bouche sur son clitoris.
Elle jouit soudain sans que nous nous y attendions. Elle sursaute sur la bite de son mec qui gueule tellement elle le serre. Un dernier sursaut et elle décule et s'écroule sur le torse de son mec. Ça l'achève et il jute dans son dos. Je me branle deux trois fois et mon sperme rejoint le sien.
Nous restons bien 20mn sur le dos cotes à cotes étendus sur le tapis à reprendre nos esprits. Son mari et moi émergeons les premiers, il la couvre d'un plaid et nous allons nous doucher. Douche simple, sereine où nous nous rendons service quand au savonnage mais pas plus. Il faut dire que la séance nous a bien vidé. Il me remercie d'avoir fait ce qu'il fallait pour décider sa meuf à franchir le pas. Je lui dis en plaisantant a moitié que mon anus risquait de s'en souvenir quelques temps.
Quand nous retournons au salon, nous trouvons sa meuf endormie roulée dans le plaid. Je me rhabille retrouvant difficilement mon shorty. J'enfile ma combi quand il me tend mon enveloppe. Il me dit avoir ajouté pour mon " sacrifice personnel ". je le remercie et la glisse dans une poche de poitrine, ne lui faisant pas l'injure de compter devant lui.
C'est arrivé à la maison que je compte. Il avait tout simplement doublé la somme prévue ! J'aime les gens qui savent la valeur des choses ! à qui on est pas obligé de tout dire. Je l'appelle dans la foulée pour le remercier et lui demander comment va sa femme. Il me dit que sa meuf l'a remercié pour cette soirée et qu'il se demande si cela ne valait pas plus encore que ce qu'il m'avait donné ! et il me dit qu'il ajustera cela la prochaine fois.
JARDINIER
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luma-az · 8 months
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Pour bien commencer, ma petite journée...
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 29 août 
Thème : café/dernières fois
. .
C’est fini, j’arrête le café.
C’est mauvais pour la santé, ça me stresse, ça gêne mon sommeil. Sans oublier que c’est dégueulasse. Je ne peux pas le boire sans rajouter du lait ou du sucre – ou encore mieux, les deux, voir même de la chantilly. Je ne l’aime même pas, le café. Ça va être très simple. Sevrage sec. De toutes manières, je n’en buvais pas tant que ça. Je ne suis même pas sûre que je verrai une différence.
.
J’ai envie de mourir.
Le mal de crâne est une horreur. Mes pensées ne sont plus qu’un petit tas de boue vaseuse mollement agitées par le bâton d’un gamin à moitié endormi. Et j’ai moins d’énergie qu’un combat de pokémon entre un coconfort et un chrysacier.
Pitié, que quelqu’un m’achève.
Tant pis, je vais reprendre un café. Il faut que je survive à cette journée, et que je sois opérationnelle pour la réunion. C’est important, c’est pour mon travail ! Et ce sera la dernière fois.
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Bon. Ça n’a pas été la dernière fois, mais je me contrôle maintenant. Pas plus d’une tasse par jour, le matin, histoire de dormir malgré tout. Oui, tant qu’à me limiter à une tasse, on est plutôt sur un mug, voir un bol, mais après tout c’est un classique, le bol de café le matin, et ça n’a jamais empêché personne de dormir, non ? Ça suffira bien.
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Ça n’a pas suffit. Ça n’a pas suffit du tout. Il faut vraiment que j’arrête. Il faut absolument, définitivement que j’arrête. Cette nuit, j’ai dormi trois heures. Celle d’avant, quatre. Celle d’encore avant, quatre et demi. Et la précédente, deux.
J’ai tenu un certain temps, et là je m’écroule.
Ce que je compense avec plus de café.
Donc maintenant c’est bon, j’ai compris ma leçon. C’est triste, il y a des milliards de gens qui vivent très bien sous caféine, ce n’est pas mon cas, il faut que je me fasse une raison. Cette fois, c’est la dernière fois. Promis, juré, craché, j’arrête.
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Je suis une loque essorée jusqu’à la moelle de la dernière goutte d’énergie qui lui restait.
Que quelqu’un m’achève.
Comment fonctionnait mon cerveau, avant ? Il y a bien eu une époque où ce cerveau marchait sans caféine. Je m’en souviens. A peu près.
Plus envie de rien. Tout s’accumule.  Et s’accumule. Et s’accumule…
. Ok, j’ai repris, mais j’étais très stressée ! Et puis une tasse ça ne va pas me tuer. Ce n’est pas de la cigarette non plus !
Cette fois, c’est dit, c’est décidé, c’est la dernière fois.
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lafeedelaverite · 8 months
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Un nouveau jour est un nouveau départ.
Un nouveau jour est un nouveau départ. Il est imprévisible, incertain et peut-être même un peu effrayant. Cette obscurité que tu redoutes pourrait être, peut-être, pleine de surprises, peut-être même de joie miraculeuse. Alors, pourrais-tu rester ouvert/ouverte à ce nouveau jour ? Un nouveau jour est une chance de laisser derrière nous les erreurs et les regrets. Nous pouvons choisir de ne pas…
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extrabeurre · 1 month
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ROAD HOUSE de Doug Liman: La Ballade de Dalton
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Ce remake plus ou moins fidèle du film culte de 1989 recycle certains éléments du scénario original dans un contexte assez différent. Mais les grandes lignes sont là : Dalton, un type ayant la réputation de savoir se servir de ses poings, est recruté pour venir faire le ménage dans un bar routier envahi par la racaille; il développe une relation avec une infirmière du coin; un malveillant homme riche contrôle presque tout dans les environs. Le Road House de 2024 diffère notamment de son inspiration par le fait que Elwood Dalton (plutôt que James Dalton) est un ancien combattant de UFC déchu, qui mène une existence de vagabond vivant dans sa voiture lorsqu’on le rencontre, et que le bar routier qui l’engage se trouve dans les Keys de Floride plutôt qu’au Missouri.
Là où le bât blesse, c’est que notre protagoniste est incarné par un Jake Gyllenhaal correct, mais loin d’être aussi iconique et badass que Patrick Swayze. De même, le méchant joué par Billy Magnussen n’arrive pas à la cheville du parfaitement détestable Ben Gazzara. Et les créateurs de cette nouvelle version n’ont même pas tenté de remplacer le vieux pote interprété par Sam Elliott! Mentionnons également qu’au lieu du Jeff Healey Band, on doit se contenter d’une succession de groupes anonymes jouant au bar alors que les bouteilles de bière volent de toute part.
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Bref, il s’agit indéniablement d’une pâle copie du long-métrage de Rowdy Herrington, qui n’est toutefois pas sans qualités. Malgré trop de longueurs, le remake inclut quand même plusieurs scènes d’action assez percutantes. Et à la mi-parcours, l’introduction du coloré psychopathe Knox, un rôle défendu avec enthousiasme par le véritable champion d’arts martiaux mixtes Conor McGregor, dynamise considérablement le récit. Il y a aussi une trame narrative intéressante impliquant une jeune fille (Hannah Love Lanier) travaillant dans une librairie qui compare la situation dans laquelle se retrouve Dalton à un roman western, ce qui n’est pas sans rappeler une certaine scène de Once Upon a Time… in Hollywood.
En janvier, le réalisateur Doug Liman a annoncé qu’il boycotterait la première de Road House (2024) à SXSW à cause de la décision d’Amazon MGM de lancer son film directement sur la plateforme Prime Video. Ironiquement, alors qu’il aurait été difficile de recommander d’aller le voir en salle, c’est le genre de vue qui mérite quand même qu’on lui jette un coup d’œil dans le confort de chez soi, sans trop d’attentes.
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Road House sera disponible sur Prime Video dès le jeudi 21 mars.
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mauvais--sang · 12 days
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« La mise au travail collective, exigée par l’agriculture et le commerce, impose à chaque être humain une redistribution de son espace et de son temps. C’en est fini du nomadisme et de la gratuité des jours et des nuits. Les heures consacrées aux activités de production refoulent la satisfaction des pulsions naturelles dans une sorte de parenthèse occupée par le repos réparateur et située dans une marge temporelle où la productivité ne domine pas : la nuit, la fête, les lieux secrets, l’imaginaire, le rêve. Telle est la séparation fondamentale: le travail nécessaire jette l’interdit sur les désirs, qui ne connaissent d’autre loi que leur jouissance, et les condamne à se satisfaire dans la honte de l’inutilité, dans l’occulte, à la sauvette et au revers de la vie qu’ils drainent initialement.
Avec l’intrusion du travail, le corps perd sa totalité sensuelle, il se scinde en deux principes: la tête, élément dirigeant, dont la pensée contrôle et réprime l’énergie libidinale, et le corps, élément dirigé, réduit à une musculature lucrative, à la main servile.
J’appelle “perspective inversée”, ou “perspective marchande”, l’état de choses où la jouissance est réprimée comme force hostile au travail et à sa civilisation, où la vie se racornit en survie, où les plaisirs, frappés par l’interdit, ne s’affirment jamais que déchirés en une blessure mortelle. Une civilisation où la gratuité de la vie, traitée comme un mal absolu, est refoulée dans la nuit du négatif, chargée d’angoisse et de culpabilité, et débusquée dans un défoulement où elle paie tribut à la mort. La nécessité de sacrifier la quête de la jouissance gratuite à l’obligation sociale de travailler a imprimé, il y a quelque dix mille ans, un mouvement d’inversion globale à l’évolution de la vie humaine telle qu’elle se dégageait lentement de la nature, à la façon de l’enfant se développant dans le ventre maternel. Nous le savons d’autant mieux qu’en chaque naissance se révèle aujourd’hui à la conscience la distorsion qui s’empare identiquement de l’enfant pour l’étirer jusqu’à la mort dans une existence qui est la négation de toute existence humaine.
Aucune illusion céleste ou terrestre ne peut désormais le dissimuler: la voie artificiellement tracée à l’humanité, c’est la vie séparée de soi, devenue étrangère à elle-même et condamnée – elle qui ne peut exister quelque part sans affirmer sa volonté d’être partout – à s’objectiver dans un monde de choses jusqu’à la perfection de l’objet inerte, jusqu’au cadavre, modèle social achevé de l’homme enfin confondu avec la marchandise qu’il produit.
Comment la malédiction où le désir se punit de n’être pas rentable n’aurait-elle pas tiré de l’étrangeté où chacun devient étranger à soi-même l’image d’un Dieu de terreur et de consolation, d’un Dieu qu’il faut payer et qui paie en retour? Il n’y a pas de Dieu dont le pouvoir ne soit assis sur la négociation de la vie, sur l’inversion des plaisirs, sur l’ignoble et épuisant travail du refoulement et du défoulement. »
— Raoul Vaneigem, Le Mouvement du Libre-Esprit : généralités et témoignages sur les affleurements de la vie à la surface du Moyen Âge, de la Renaissance et, incidemment, de notre époque, 2005
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raisongardee · 5 months
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"Déjà sous cette forme en effet, comme disciplina et stimulans, comme concentration d’un contrôle de soi spirituel et volontaire, l’ascèse serait dangereuse à vivre, et serait assurée de l’hostilité commune du capitalisme et du communisme, qui sont entièrement d’accord sur un point, la course au bien-être ou, pour s’exprimer de façon plus relevée, la hausse du niveau de vie. Dans la société actuelle, un ascète est un être utopique, sans feu ni lieu. Qu’il y ait là un point essentiel apparaît déjà en cela que, parmi presque tous les éléments de la religion chrétienne, c’est précisément celui-là qui n’a pas été sécularité. L’affaire est visiblement sérieuse. On peut comprendre la liberté, l’égalité, le progrès, l’humanité et bien d’autres catégories des temps modernes comme des contenus chrétiens sécularisés ; personne n'a encore jamais tenté d’interpréter ainsi l’ascèse. C’est quelque chose qui, visiblement, ne peut se traduire en phraséologie sans devenir absurde. L’anthropologie au contraire doit la compter au nombre des catégories tout à fait supérieures. On peut même, en partant de la réduction ou de l’exclusion active des instincts qu’elle contient, aller jusqu’à voir en elle un prolongement du processus d’humanisation."
Arnold Gehlen, Anthropologie et psychologie sociale, trad. Jean-Louis Bandet, 1952.
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