Napoleon hallucinates Josephine a week before his death in 1821
From the timeline based on the St Helena notebooks of General Henri Gatien Bertrand, Cahiers de Sainte-Hélène. Les 500 derniers jours (1820-1821)
28 April 1821:
Napoleon was no longer himself, was becoming anaemic because of internal bleeding, was becoming less and less lucid, indeed occasionally delirious. During the night he said that he had seen Josephine and spoken to her, he thought he had been walking in the garden at Longwood, he kept requesting oranges. The doctors began to fear the worst. The Grand Marshal Bertrand exclaimed: “I kept thinking about how great the change was! Tears kept coming to my eyes as I looked at that man, so awe-inspiring, who had commanded so proudly, so absolutely, beg for a coffee spoon, asking permission, obedient like a child… “Voilà le grand Napoléon”: to be pitied, brought low!”
El amor tiene necesidad de realidad. ¿Habrá algo más atroz que descubrir un día que se ama a través de una apariencia corporal a un ser imaginario? Mucho más atroz que la muerte, porque la muerte no impide que el amado haya sido.
Es el castigo por el crimen de haber alimentado el amor con la imaginación.
Tratar de amar sin imaginar. Amar la apariencia desnuda y sin interpretación. Lo que amamos entonces es verdaderamente Dios.
—Simone Weil, El amor. Selección de los Cuadernos realizada por Mónica Mesa Fernández, traducción de José Luis Piquero.
HISTOIRE | La France en 1789 d’après les Cahiers de Doléances ➽ http://bit.ly/Cahiers-Doleances Travail destiné à brosser le portrait sans fard de la France à la veille de la Révolution, « La France d’après les Cahiers de 1789 », publié en 1897, révèle que le Tiers-Etat, qui supplie alors « le roi de défendre la foi contre les atteintes de la nouvelle philosophie », ne réclame pas l’ « égalité », ne songeant à l’abolition ni de la noblesse ni du clergé ; ne suggère jamais l’idée d’une guerre des classes, qui lui est étrangère ; que le désir de « liberté » n’a à l’époque jamais été assimilé au souhait d’instauration d’un système parlementaire
Simone Weil, notebook cover, Cahier 3 (1941). Bibliothèque nationale de France, Paris
Simone Weil (1909-1943) a lu les Upanishads en même temps que la Bhagavadgîtâ et avec la même intensité que les écrits de Platon. Elle a également appris le sanskrit et le grec ancien afin de pouvoir traduire elle-même certaines parties de ces textes en français. Ses Cahiers (18 carnets, comprenant environ 2000 pages) ne témoignent pas seulement du travail de traduction, mais surtout des tentatives de Weil pour trouver des liens plus profonds entre le christianisme, l’hindouisme et les écrits de Platon – qu’elle comprend comme le fondateur du christianisme primitif et comme un mystique – après ses propres expériences mystiques multiples. Les pensées de Weil, le plus souvent organisées en listes, tournent constamment autour de la question de la lecture correcte, de la recherche de la vraie lecture. Cet article est consacré à la « non-lecture » de Weil comme état actif-passif d’attention complète (entre autres « atman », « om » et « dharma »). En partant des concepts centraux des Upanishads, on montrera comment dans les Cahiers, par la tension et la superposition des figures de pensée et des concepts religieux les plus divers, l’âme est écrite comme un espace relationnel qui se trouve derrière, mais surtout entre ce qui semblait séparé – un espace qui ne peut être représenté et pourtant est là.
I own several cahiers/notebooks with no specific use or purpose. Maybe I bought them because they seemed cute, pretty or whatever. Most of them don't have an even medium quality paper.
The thing is- I've thought about to write and ¿"illustrate"? my few original characters & what's related to them.
(i. e. : birthplace-> its language, dialects, folklore, History, gastronomy, traditions; profession-> its world, some History, how it worked at the time... those things, the mostly accurate possible having in mind that creative freedom/artistic license would be present since it's just fiction & I'll write it just for me, for myself. But anyway, it would imply tons of research; even if it's fantasy, nowadays I don't feel right, comfortable, creating out of the blue. And needless to say, my suspension of disbelief has been waning over the years. Well- the "speech" is way too long. Not thick, but long)
Should I use these cahiers with crappy paper... or bought anoter one where I could use glue, washi tape and those things...?
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Un bossu est Dieu. J’aime les bossus. J’aime les laids. Je suis un laid qui a du sentiment. Je danse les bossus et les droits. Je suis un artiste qui aime toutes les formes et toutes les beautés. La beauté n’est pas une chose relative. La beauté est dieu. Dieu est la beauté avec du sentiment. La beauté dans le sentiment. J’aime la beauté, parce que je la ressens, c’est pourquoi je la comprends. Les hommes qui pensent écrivent des bêtises sur la beauté. La beauté ne se discute pas. La beauté ne se critique pas. La beauté n’est pas la critique. Je ne suis pas la critique. Critiquer c’est jouer à l’intelligent. Je ne joue pas à l’intelligent. Je fais le beau. Je sens de l’amour pour la beauté. Je ne recherche pas les nez droits. J’aime les nez droits. J’aime le nez de ma femme, car il a du sentiment.