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#Ancien Président
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pros of watching doctor who in french: getting to hear 13 refer to herself with he/him pronouns
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iweb-rdc001 · 6 months
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RDC : Deogratias Mutombo, Albert Yuma et Jacques Kamenga, sont interdits de quitter le territoire national !
Déogratias Mutombo ex-gouverneur de la banque centrale du Congo, Albert Yuma, président sortant de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), Jacques Kamenga ancien DG ai.i de la Gecamines, ainsi que deux directeurs de la BCC, et un cadre de la Rawbank, sont interdits de quitter le territoire national congolais suite à une décision de la Cour des Comptes. Dans un document rendu public ce lundi…
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kingonews · 1 year
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PRÉSIDENTIELLES NIGÉRIANES: L'ANCIEN PRÉSIDENT OLUSEGUN OBASANJO DEMANDE L'ANNULATION DES VOTES DANS LES ZONES DISPUTÉES ET REJETTE LE COMPTAGE MANUEL DES VOTES.
Le pays le plus peuplé de l’Afrique est en passe de vivre des lendemains après les élections générales de ce samediam 25 février 2023. La situation déjà tendue à cause de l’insécurité et les suspicions sous fond de réforme monétaire risque de s’embraser. Après les pasteurs et responsables politiques qualifiés à tort ou à raison de pyromanes, c’est l’ancien président du géant africain qui vient de…
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dcoglobalnews · 2 years
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L'OTAN AURAIT TROP PEUR DE RÉAGIR SI LA RUSSIE ABANDONNE LE NUCLÉAIRE EN PREMIER - ALLIÉ DE POUTINE
L’OTAN AURAIT TROP PEUR DE RÉAGIR SI LA RUSSIE ABANDONNE LE NUCLÉAIRE EN PREMIER – ALLIÉ DE POUTINE
L’ancien président russe Dmitri Medvedev a averti que Moscou utiliserait des armes nucléaires si nécessaire, suggérant que l’OTAN ne rendrait pas la pareille parce qu’elle avait trop peur. Medvedev a commencé son message sur son compte Telegram par un balayage vers l’Occident, qu’il a décrit comme « nos ennemis » en raison de leurs aspirations à « l’exclusivité » et au « droit de gouverner le…
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Les États-Unis concluent un accord avec le Nigéria pour rapatrier plus de 23 millions de dollars d'actifs volés par l'ancien président général nigérian Sani Abacha.
Les États-Unis concluent un accord avec le Nigéria pour rapatrier plus de 23 millions de dollars d’actifs volés par l’ancien président général nigérian Sani Abacha.
En 2014, le juge de district américain John D. Bates pour le district de Columbia a rendu un jugement ordonnant la confiscation d’environ 500 millions de dollars situés dans des comptes du monde entier. Les États-Unis, par l’intermédiaire du ministère de la Justice et du FBI, ont perdu environ 23 millions de dollars imputables à la corruption et au blanchiment d’argent de l’ancien dictateur…
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lisolo1973 · 2 years
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Christophe Mboso Nkodia Pwanga livre Jean-Marc Kabund-A-Kabund
Christophe Mboso Nkodia Pwanga livre Jean-Marc Kabund-A-Kabund
Image d’archive de Jean-Marc Kabund-A-Kabund ancien premier vice président de l’assemblée nationale. Le Bureau de l’assemblée nationale autorise le procureur général près la Cour de cassation d’ouvrir une instruction à charge de l’élu de Mont-Amba. Le procureur va vérifier les allégations commis par Jean-Marc Kabund-A-Kabund contre le pouvoir de Félix Tshisekedi. Ce lundi 25 juillet 2022, le…
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esidwaya · 2 years
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Situation nationale : l’appel des anciens chefs d’Etat et le président du Faso
Situation nationale : l’appel des anciens chefs d’Etat et le président du Faso
A travers ce communiqué, les anciens chefs d’Etat et le président du Faso à l’issue de la rencontre de concertation sur la situation nationale le vendredi 8 juillet 2022 à Ouagadougou, invite le peuple burkinabè au dépassement des clivages politiques, générationnels, ethniques, religieux et autres croyances traditionnelles afin de rebâtir ensemble les fondements du pays dans un sursaut…
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improvisateur777 · 5 months
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Merci Monsieur Brauman !
Même si Rony Brauman (humaniste et ancien président de Médecins sans Frontières) ) est très rarement invité par les télés françaises d'info en continu, ces dernières font tout pour le faire taire en essayant de le recadrer ou de lui imposer des réponses conformes à la pensée unique pro israélienne ânonnée par tous les journalistes. Mais le gars en a vu d'autres et ne s’en laisse pas conter avec beaucoup de panache. BRAVO pour son courage !
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alain-keler · 8 months
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Journal du jeudi 10 Août 2023 / France / Le bal des oubliées
"Une si longue absence, journal d'Auvergne".
Grande commande photographique - BNF - Bibliothèque nationale de France/ Ministère de la Culture.
Comment choisir la Photo lorsque il en faut…dix sur des semaines de travail! Pour le photographe que je suis, c’est un énorme dilemme que j’ai toujours du mal à assumer.
 On parle déjà chiffres, mais dix photos quand même, ce n’est pas beaucoup. Ou peut-être beaucoup en fonction de la manière de travailler des photographes.
Ce sont des photos vues mais non choisies que je vais publier en ce mois d’Août 2023, avec aussi certaines images supplantées par une voisine, qui elle aura été choisie, mais qui auraient aussi bien pu faire l’affaire !
Extrait de mon journal.
« Jeudi 14 juillet 2022. 
Matin.
Saint-Éloy-les-Mines pour la cérémonie de la fête nationale. Des anciens combattants, un démineur de la marine nationale à la retraite, un très jeune maire Mr Anthony Palermo déjà rencontré il y a 2-3 mois, qui fera le discours et qui déposera une gerbe. Pas trop de monde comme spectateurs mais suffisamment pour le photographe que je suis, une lumière épouvantable, presque au zénith, une courte cérémonie suivie d’un vin d’honneur dans un café de la rue principale de Saint-Eloy, la télé allumée transmettant la cérémonie des Champs-Élysées à Paris avec le Président comme acteur principal.
Toujours plongé dans mes souvenirs de jeunesse, je me dirige ensuite vers Saint-Pourcain sur Sioule. Une terrasse ombragée, une omelette bien baveuse aux champignons comme repas. »
BNF / Au final il y aura un rendu de dix photographies. Beaucoup de photos, que j’appellerais « intermédiaires », non choisies mais importantes dans le cadre de mon histoire paraitront dans ce journal. Elles seront le ciment de ce projet personnel qui dépassera la commande. 
Les modestes textes de mon journal de bord essayeront de raconter le déroulé et les raisons de ce travail. Ils sont écrits à partir de notes glanées pendant la journée et de souvenirs de route. 
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aurevoirmonty · 1 month
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Le faux récit sur l’Ukraine victorieuse
Le récit officiel sur l’Ukraine victorieuse se heurte au réel. Les experts et généraux des plateaux de télévision, qui annoncent l’effondrement de la Russie depuis deux ans, se sont trompés. Vladimir Poutine est probablement en passe de gagner la guerre. L’économie de son pays connait une croissance qu’envierait Bruno Le Maire. Mais ces constatations n’empêchent pas les commentateurs de s’accrocher à leurs convictions. Il est difficile pour un téléspectateur de se faire une idée équilibrée des forces en présence, tant le parti pris pro-ukrainien est la règle. Un semblable unanimisme s’était imposé lors de la « guerre » d’Emmanuel Macron contre le Covid : l’hystérie sanitaire avait pareillement déployé son armada de médecins pour annoncer l’apocalypse et récuser tout discours alternatif, présumé complotiste. Cette semaine, dans Marianne, une série de rapports « confidentiel défense » sont révélés. Ils alertent sur l’état de faiblesse de l’armée ukrainienne, qui rendrait sa victoire impensable. On peut y lire que « l’armée russe est aujourd’hui la référence tactique et technique pour penser et mettre en œuvre le modèle défensif ». Xavier Moreau, ancien Saint-Cyrien vivant désormais en Russie et ne cachant pas son soutien à Poutine, ne dit pas autre chose (1). Ses jugements, certes partiaux, se sont révélés néanmoins plus exacts que ceux des spécialistes dépêchés sur LCI. Rencontré hier à Paris, Moreau assure : « La défaite de l’Ukraine est acquise ». Il estime que les Russes pourraient même, à terme, s’emparer d’Odessa au sud et de Kharkiv à l’est. Mais lui n’est pas invité à s’expliquer.
Macron connaît mieux que personne cette situation favorable à la Russie. Son premier ministre a forcément ces éléments quand il déclare, hier devant les députés, avant de s’écrier « Slava Ukraini ! » (« Gloire à l’Ukraine ! ») : « Nous sommes à un moment de bascule (…)  Si l’Ukraine perd, nous perdrons aussi ». Or, en confirmant le choix de la guerre plutôt que la diplomatie, Gabriel Attal sait qu’il force la France à s’impliquer dans la folle escalade d’un conflit généralisé et nucléarisé. « Nous ne nous fixons pas de limite face à la Russie, qui elle n’en fixe aucune », a-t-il déclaré en écho au chef de l’Etat. La raison n’est donc plus ce qui guide le président de la République. Il est obnubilé par son combat manichéen contre Poutine, assimilé au RN qui pourtant ne le soutient pas. L’attitude belliqueuse du gouvernement, attisée par l’échéance des Européennes, relève d’une même l’irresponsabilité. « Face aux Russes, on est une armée de majorettes », confie un haut gradé, dans le dossier de Marianne. C’est pourquoi Macron devient inquiétant, diabolique (diabolus : celui qui divise), dans son désir d’apparaître en résistant churchillien tandis que son pays se disloque. Non content de diviser l’Europe, il fracture davantage son pays. Hier, si 372 députés (Renaissance, LR, PS, Verts) ont accepté son plan de soutien à l’Ukraine, 101 députés (RN) se sont abstenus et 99 (LFI, PC) ont voté contre. Macron mène sa guerre comme un enfant capricieux. Qui l’arrêtera ?
(1) Ukraine, pourquoi la Russie a gagné, Stratpol
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icariebzh · 3 months
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Voilà une semaine que le monde agricole exprime sa colère au grand jour et en acte : celui d'un métier devenu quasiment impraticable, croulant sous la brutalité des dérèglements écologiques qui s'annoncent et sous des contraintes économiques, normatives, administratives et technologiques asphyxiantes. 
Alors que les blocages se poursuivent un peu partout, nous soumettons quelques mises au point sur la situation depuis le mouvement des Soulèvements de la terre.
Nous sommes un mouvement, d'habitant·es des villes et des campagnes, d'écologistes et de paysan·nes, installé·es ou en installation. Nous refusons la polarisation que certains essaient de susciter entre ces mondes. Nous avons fait de la défense de la terre et de l'eau notre point d'entrée et d'ancrage. Ce sont les outils de travail des paysans et des milieux nourriciers. Nous nous mobilisons depuis des années contre les grands projets d'artificialisation qui les ravagent, les complexes industriels qui les empoisonnent et les accaparent. Soyons clair·es, le mouvement actuel dans son hétérogénéité même, a été cette fois initié et largement porté par d'autres forces que les notres. Avec des objectifs affichés parfois différents, et d'autres dans lesquels nous nous retrouvons absolument. Quoi qu'il en soit, lorsque que les premiers blocages ont commencé, nous avons, depuis différents comités locaux, rejoint certains barrages et certaines actions. Nous sommes allé·es à la rencontre de paysan.nes et d'agriculteurs.rices mobilisé·es. Nous avons échangé avec nos camarades de différentes organisations paysannes pour comprendre leurs analyses de la situation. Nous nous sommes retrouvé·es nous-mêmes dans la digne colère de celles et ceux qui refusent de se résigner à leur extinction.
    Nous ne pouvons que nous réjouir que la majorité des agriculteurs.rices bloquent le pays aujourd'hui. Qu'ils et elles soient représenté·es par la FNSEA et des patrons de l'agrobusiness dans les instances de négociation avec le gouvernement est consternant, à l'heure où les cadres du syndicat majoritaire sont copieusement sifflé·es sur certains blocages et où ce dernier ne peut plus retenir ses bases. De nombreuses personnes sur les barrages ne sont pas syndiquées et ne se sentent pas représentées par la FNSEA. 
"Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs" - Michel Debatisse, secrétaire général de la FNSEA, 1968
    Fondé après guerre, ce syndicat hégémonique a accompagné le développement du système agro-industriel depuis des décennies, en co-gestion avec l'État. C'est ce système qui met la corde au cou des paysan·nes, qui les exploitent pour nourrir ses profits et qui finalement les poussent à s'endetter pour s'agrandir afin de rester compétitif·ves ou disparaître. En 1968, Michel Debatisse, alors secrétaire général de la FNSEA avant d'en devenir le président, déclarait [1] : "Les deux tiers des entreprises agricoles n'ont pas, en termes économiques, de raison d'être. Nous sommes d'accord pour réduire le nombre d'agriculteurs". Mission plus que réussie : le nombre de paysan.nes et de salarié.es agricoles est passé de 6,3 millions en 1946, à 750 000 au dernier recensement de 2020. Tandis que le nombre de tracteurs dans nos campagnes augmentait d'environ 1000%, le nombre de fermes chutait lui de 70% et celui des actifs agricoles de 82% : autrement dit, ce sont plus de 4 actifs sur 5 qui ont quitté le travail agricole en seulement quatre décennies, entre 1954 et 1997. Et la lente hémorragie se poursuit aujourd'hui...
    Alors que la taille moyenne d'une exploitation en France en 2020 est de 69 hectares, celle d'Arnaud Rousseau, actuel dirigeant de la FNSEA, ancien courtier et négociant tout droit sorti d'une business school, s'élève à 700 hectares et il est à la tête d'une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes, président du conseil d'administration du groupe industriel et financier Avril (Isio4, Lesieur, Matines, Puget, etc.), directeur général de Biogaz du Multien, une entreprise de méthanisation, administrateur de Saipol, leader français de la transformation de graines en huile, président du conseil d'administration de Sofiprotéol... 
    Les cadres de la FNSEA tout comme les dirigeants des plus grosses coopératives agricoles - abondamment représentés par la "Fédé" et ses satellites - se gavent [1] : le revenu moyen mensuel des dix personnes les mieux payées en 2020 au sein de la coopérative Eureden est de 11 500 €. 
       Les revenus moyens des agriculteurs brandis sur les plateaux et le mythe de l'unité organique du monde agricole masquent une disparité de revenus effarante et de violentes inégalités socio-économiques qui ne passent plus : les marges des petits producteurs ne cessent de s'éroder tandis que les bénéfices du complexe agro-industriel explosent. 
    Dans le monde, le pourcentage du prix de vente qui revient aux agriculteurs est passé de 40 % en 1910 à 7 % en 1997, selon l’Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO). De 2001 à 2022, les distributeurs et les entreprises agroalimentaires de la filière lait ont vu leur marge brute s'envoler de respectivement 188% et 64%, alors même que celle des producteurs stagne quand elle n'est pas simplement négative. 
    Une des raisons qui poussent le monde agricole à bloquer les autoroutes, à ouvrir des bouteilles de lait à Carrefour (Epinal-Jeuxey) ou à bloquer les usines Lactalis (Domfront, Saint-Florent-le-Vieil, etc.), à labourer un parking (Clermont-l'Hérault), à bloquer le port de la Rochelle, à vider des camions venus de l'étranger, à asperger de lisier une préfecture (Agen), à retourner un Macdo (Agens), à osrtir c'est que les industriels  intermédiaires de l'amont (fournisseurs, vendeurs d'agroéquipements, semenciers industriels, vendeurs d'intrants et d'aliments) et de l'aval des filières (les coopératives de collecte-distribution comme Lactalis, les industriels de la grande distribution et de l'agroalimentaire comme Leclerc) qui structurent le complexe agroindustriel les dépossèdent des produits de leur travail.
    C'est ce pillage de la valeur ajoutée organisé par les filières qui explique, aujourd'hui, que sans les subventions qui jouent un rôle pervers de béquilles du système (en plus de profiter essentiellement aux plus gros) 50% des exploitant·es auraient un résultat courant avant impôts négatif : en bovins lait, la marge hors subvention qui était de 396€/ha en moyenne entre 1993 et 1997 est devenue négative à la fin des années 2010 (-16€/ha en moyenne), tandis que le nombre de paysans pris en compte par le Réseau d'information comptable agricole dans cette filière passe sur cette période de 134 000 à 74 000 [2]...  
    Les accords de libre échange internationaux (que dénoncent et la Confédération paysanne, et la Coordination rurale) mettent en concurrence les paysanneries du monde entier et ont accéléré ces déprédations économiques. Nous savons bien que, aujourd'hui, lorsque l'on parle de "libéralisation", de "gains de compétivité", de "modernisation" des structures, c'est que des fermes vont disparaître, que la polyculture élevage va régresser (elle ne représente plus que 11% des exploitations actuellement), ne laissant plus qu'un désert vert de monocultures industrielles menées par des exploitant-es à la tête de structures toujours plus endettées de moins en moins maîtres d'un outil de travail et d'un compte en banque qui finit par n'appartenir plus qu'à ses créanciers.
    Le constat est sans appel : moins il y a de paysan·nes, moins ils et elles peuvent gagner leur vie, sauf à agrandir toujours et encore leur surface d'exploitation, en dévorant au passage les voisin·es. Dans ces conditions, 'devenir chef d'entreprise' comme le promet la FNSEA, c'est en réalité se trouver dans la même situation qu'un chauffeur Uber qui s'est endetté jusqu'au cou pour acheter son véhicule alors qu'il dépend d'un donneur d'ordres unique pour réaliser son activité... Ajoutons à cela la brutalité du changement climatique (évènements climatiques extrêmes, sécheresses, incendies, inondations...) et les dérèglements écologiques entraînant dans leur sillage la multiplication de maladies émergentes et autres épizooties, et le métier devient presque impossible, invivable, tant l'instabilité est grande.
    Si nous nous soulevons, c'est en grande partie contre les ravages de ce complexe agro-industriel, avec le vif souvenir des fermes de nos familles que nous avons vu disparaître et la conscience aiguë des abîmes de difficultés que nous rencontrons dans nos propres parcours d'installation. Ce sont ces industries et les méga-sociétés cumulardes qui les accompagnent, avalant les terres et les fermes autour d'elles, accélérant le devenir firme de la production agricole, et qui ainsi tuent à bas bruit le monde paysan. Ce sont ces industries que nous ciblons dans nos actions depuis le début de notre mouvement - et non la classe paysanne. 
    Si nous clamons que la liquidation sociale et économique de la paysannerie et la destruction des milieux de vie sont étroitement corrélées - les fermes disparaissant au même rythme que les oiseaux des champs et le complexe agro-industriel resserrant son emprise tandis que le réchauffement climatique s'accélère - nous ne sommes pas dupes des effet délétères d'une certaine écologie industrielle, gestionnaire et technocratique. La gestion par les normes environnementales-sanitaires de l'agriculture est à ce titre absolument ambigüe. À défaut de réellement protéger la santé des populations et des milieux de vie, elle a, derrière de belles intentions, surtout constitué un nouveau vecteur d'industrialisation des exploitations. Les investissements colossaux exigés par les mises aux normes depuis des années ont accéléré, partout, la concentration des structures, leur bureaucratisation sous contrôles permanents et la perte du sens du métier.
    Nous refusons de séparer la question écologique de la question sociale, ou d'en faire une affaire de consom'acteurs citoyens responsables, de changement de pratiques individuelles ou de "transitions personnelles" : il est impossible de réclamer d'un éleveur piégé dans une filière hyperintégré qu'il bifurque et sorte d'un mode de production industriel, comme il est honteux d'exiger que des millions de personnes qui dépendent structurellement de l'aide alimentaire se mettent à "consommer bio et local". Pas plus que nous ne voulons réduire la nécessaire écologisation du travail de la terre à une question de "réglementations" ou de "jeu de normes" : le salut ne viendra pas en renforçant l'emprise des bureaucraties sur les pratiques paysannes. Aucun changement structurel n'adviendra tant que nous ne déserrerons pas l'étau des contraintes économiques et technocratiques qui pèsent sur nos vies : et nous ne pourrons nous en libérer que par la lutte. 
    Si nous n'avons pas de leçons à donner aux agriculteur·rices ni de fausses promesses à leur adresser, l'expérience de nos combats aux côtés des paysan·nes - que ce soit contre des grands projets inutiles et imposés, contre les méga-bassines, ou pour se réapproprier les fruits de l'accaparement des terres - nous a offert quelques certitudes, qui guident nos paris stratégiques. 
    L'écologie sera paysanne et populaire ou ne sera pas. La paysannerie disparaîtra en même temps que la sécurité alimentaire des populations et nos dernières marges d'autonomie face aux complexes industriels si ne se lève pas un vaste mouvement social de reprise des terres face à leur accaparement et leur destruction. Si nous ne faisons pas sauter les verrous (traités de libre-échange, dérégulation des prix, emprise monopolistique de l'agro-alimentaire et des hypermarchés sur la consommation des ménages) qui scellent l'emprise du marché sur nos vies et l'agriculture. Si n'est pas bloquée la fuite en avant techno-solutionniste (le tryptique biotechnologies génétiques - robotisation - numérisation). Si ne sont pas neutralisés les méga-projets clés de la restructuration du modèle agro-industriel. Si nous ne trouvons pas les leviers adéquats de socialisation de l'alimentation qui permettent de sécuriser les revenus des producteurs et de garantir le droit universel à l'alimentation.
    Nous croyons aussi à la fécondité et à la puissance des alliances impromptues. A l'heure où la FNSEA cherche à reprendre la main sur le mouvement - notamment en chassant de certains des points de blocage qu'elle contrôle tout ce qui ne ressemble pas à un agriculteur "syndiqué fédé" - nous croyons que le basculement peut venir de la rencontre entre les agriculteur·ices mobilisé·es et les autres franges du mouvement social et écologique qui se sont élevées ces dernières années contre les politiques économiques prédatrices du gouvernement. Le "corporatisme" a toujours fait le lit de l'impuissance paysanne. Comme la séparation d'avec les moyens de subsistance agricoles a souvent scellé la défaite des travailleur-ses.
Peut-être est-il temps de faire céder quelques murs. En continuant à renforcer certains points de blocage. En allant à la rencontre du mouvement pour celles et ceux qui n'y ont pas encore mis les pieds. En poursuivant ces prochains mois les combats communs entre habitant·es des territoires et travailleur·euses de la terre.
Les Soulèvements de la Terre  - le 30 janvier 2024  source
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i believe they lose it with the line "the doctor, vanquisher and sworn enemy of the sontarans, former president of gallifrey, is in the crimea" which as i heard it was: "le conquérant docteur, ennemi juré des sontariens, ancien président de gallifrey" (if theres a mistake in that sorry my french is not fluent still getting there) because, well i think because they already pick a side with ancien président but maybe thats used for female presidents too i dont know that. but they definitely pick a side when they end the line "il est ici en crimée"
unless the end of the line is "y est ici en crimée" but my french isnt good enough to know if thats a grammatically correct sentence; le conquérant docteur, ennemi juré des sontariens, y est ici en crimée. it seems to me like that doesnt make sense since youve got the en crimée so whats the y doing there. but you tell me!
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iweb-rdc001 · 6 months
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RDC : Deogratias Mutombo, Albert Yuma et Jacques Kamenga, sont interdits de quitter le territoire national !
Déogratias Mutombo ex-gouverneur de la banque centrale du Congo, Albert Yuma, président sortant de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC), Jacques Kamenga ancien DG ai.i de la Gecamines, ainsi que deux directeurs de la BCC, et un cadre de la Rawbank, sont interdits de quitter le territoire national congolais suite à une décision de la Cour des Comptes. Dans un document rendu public ce lundi…
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kingonews · 2 years
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CARNET NOIR: THÉOPHILE NATA, ANCIEN MINISTRE DU DÉVELOPPEMENT RURAL EST DÉCÉDÉ.
CARNET NOIR: THÉOPHILE NATA, ANCIEN MINISTRE DU DÉVELOPPEMENT RURAL EST DÉCÉDÉ.
L’ancien président de la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la communication, Théophile Nata n’est plus. Plusieurs fois ministre, il est passé de vie à trépas. Ce samedi 11 juin 2022, des sources ont annoncé la mort de l’ancien président de la Haute Autorité de l’audiovisuel et de la communication, Théophile Nata. Ancien ambassadeur et puiseurs fois ministre sous feu Général Mathieu Kérékou,…
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rotor25 · 4 months
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albad · 10 months
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À chaque jour une nouvelle idée catastrophique du macronisme.
Le président veut que les amendes pour «possession ou consommation de cannabis» puissent être payées directement par carte bancaire, à l'aide de 5000 terminaux de paiements distribués aux policiers dès cet été, ou en argent LIQUIDE !
Les contrôles de stupéfiants sont la principale modalité de répression dans les banlieues, et en particulier contre les populations non-blanches. En permettant le paiement immédiat sans traçabilité ni contrôle, c'est la porte ouverte à toutes les corruption et à tous les rackets.
Le 15 juin dernier, quatre anciens policiers de la Compagnie d'Intervention du 93 ont été reconnus coupables d'avoir rédigé un faux PV d'interpellation et d'avoir commis des violences à Sant-Ouen en 2019. À l'époque, ils avaient contrôlé Jonathan S. assis devant sa boutique, en train d'écouter de la musique. Un policier avait jeté un sachet derrière le jeune homme pendant le contrôle, avant de le frapper. Les agents avaient accusé le jeune homme de posséder de la drogue contenue dans le sachet. Pas de chance pour eux, la caméra de surveillance d'une épicerie avait tout filmé. Mais pour un cas prouvé, combien d'autres ont été commis ?
Avec la possibilité d'extorquer un paiement immédiat en liquide sans preuve ni suivi, cette affaire n'aurait tout simplement jamais été connue. Le montant de l’amende forfaitaire pour détention de stupéfiants est de 200 €, ramenée à 150 € si elle est payée dans les 15 jours. S'ils réalisent plusieurs contrôles fructueux par jour, les policiers pourraient théoriquement se promener avec des milliers d'euros en liquide en fin de patrouille.
Traduction de l'annonce de Macron en langage policier : «Tu me donnes 50 balles en liquide maintenant ou je dis que je t'ai choppé avec ce shit qui vient de ma poche».
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Une source : https://www.francebleu.fr/infos/politique/cannabis-les-amendes-pourront-etre-payees-immediatement-en-carte-bleue-ou-liquide-annonce-emmanuel-macron-7755853
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