Tumgik
#État profond
le-journal-catalan · 6 days
Text
Liberté d'expression : le groupe RN conteste le délit d'outrage en ligne devant le Conseil Constitutionnel
Le 10 avril 2024, avec les voix de la majorité présidentielle et de LR, le projet de loi « Sécuriser et réguler l’espace numérique » était adopté dans sa version définitive, et avec lui la création d’un nouveau « délit d’outrage en ligne » sanctionné par une amende forfaitaire délictuelle. Avec cet article, le Gouvernement veut donc confier à un agent de police le soin de déterminer si tel ou…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
mmepastel · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media
Joie ! Bonheur ! Félicité !
Une nouvelle écrivaine qui m’a séduite de A à Z avec son roman mené tambour battant !
Vous pouvez lire ci-dessus la 4e de couverture qui vous renseignera sur le sujet du livre. Mais ce qui a compté pour moi, au-delà de la quête (parfois qui frôle l’enquête) qui se résoudra avec brio d’ailleurs, c’est le souffle romanesque qui emporte tout dès le début. On éprouve vraiment les lieux où se déroulent l’histoire (de la chaleur moite du Mississippi à la mangrove inquiétante des Everglades), et on se passionne pour les personnages. En premier lieu, Bert et son frère, tout jeunes quand l’histoire démarre. Leur lien est fort, assez bouleversant ; ils font face à leur culpabilité (ils s’estiment responsables de la disparition de leur sœur) et au naufrage progressif de leur mère (dévorée de chagrin) avec gravité. Ils mûrissent en accéléré, forcés par les circonstances. Ils se retrouvent livrés à eux-mêmes, et ils s’en tirent bien, grâce à leur solidarité et à leur courage. Pas de misérabilisme dans le récit. Les dialogues sont souvent drôles et bien sentis car ils traduisent un mélange de bon sens pétri de superstitions et que les personnages sont hauts en couleurs. Tante Clem et ses pouvoirs ses herbes, Earl l’énigme, Chester le fou blessé, et une foule de gens bien campés, qui proposent un éventail assez truculent de l’humanité de ce sud des États-Unis, celui des laissés pour compte, des gens qui se bricolent une vie et une histoire.
Bert va parcourir un long chemin, tortueux et dangereux, pour connaître la vérité sur sa famille. Mais elle est têtue, tenace et sa quête de réponses est obsessionnelle, identitaire mais quasi métaphysique aussi.
Qui sommes-nous ? Le produit d’un lieu ? Le fruit de deux êtres ? D’une lignée ? Une famille peut-elle être maudite ? Peut-on décider de sa vie, de sa famille ? Les malheurs de nos ancêtres se transmettent-ils ?
Parallèlement à la trajectoire de Bert, on découvre le passé des lieux, et le parcours tragique d’une famille, violentée par le racisme, qui fait partie intégrante du Sud des États-Unis. On comprend alors la psychologie malade d’un père, malmené par la vie, construit de blessures et de déchirements qui font de lui un paradoxe : escroc, père aimant, illuminé, superstitieux.
A la fin de sa quête, Bert en sortira bouleversée mais éclairée, plus que jamais désireuse de dire la vérité et de rompre avec la tradition familiale des mensonges et des secrets. Au fond, le roman raconte la nécessité de la mémoire, de la transmission, des histoires qu’on se fait passer pour ne rien oublier.
Et le lecteur, lui, aura à nouveau envie de lire une histoire aussi puissante, écrite par Tiffany Quay Tyson.
4 notes · View notes
energiologue · 8 months
Text
Votre ciel, par moments, sera constellé de nos vaisseaux.
Frères des Etoiles, Enfants de Lumière, c’est avec un immense plaisir que je reviens vers vous. Je suis votre frère Korton. J’ai des explications à vous donner par rapport à notre présence, et surtout par rapport à la libération de l’information nous concernant. Jusqu’à maintenant il nous était très difficile de nous manifester physiquement sur votre monde, et je vais vous en donner les…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
jacquesdor-poesie · 2 months
Text
Quelle joie profonde, en longeant les vitrines du monde, de m'apercevoir que rien ne me fait plus envie. Plus aucune tentation, plus aucun besoin de désirer des choses : je n'ai besoin de rien de matériel, j'ai déjà l'essentiel. Qu'est-ce qui me ferait plaisir, qu'aurais-je envie d'avoir, d'acquérir, de rapporter chez moi ? Rien, sincèrement, profondément, absolument rien, désolé je ne suis plus client. Besoin d'autres choses, besoin de paysages, besoin de voir la mer ou un beau visage, oui, ça oui. Besoin de profiter du silence ou d'une belle voix, oui, ça oui. Besoin du mouvement de la rivière et de l'odeur des sous-bois, oui, ça oui. Besoin de voir l'ocre d'une belle façade sous le soleil, la profondeur d'une ruelle déserte baignée de nuit, oui ça, oui. Besoin de laisser naître en moi une belle idée et peut-être d'en faire trois lignes qui se perdront elles aussi : oui, ça oui, cent fois oui. Pire encore ou mieux encore —c'est au choix : depuis peu je n'attends plus rien, ni personne. Et pourtant... si "plus rien, ni personne"  frappaient à ma porte, j'irais ouvrir et je serais heureux de ce qui suivrait. Je les accueillerais avec plaisir "rien, ni personne", même si à nouveau ils venaient à disparaître. J'en suis arrivé là, je suis capable de ça. Capable de laisser arriver ce qui arrive. Et si cet état devait disparaître avec les acteurs responsables de cet état, ce ne serait pas un drame. Je ne regarde plus dans les vitrines, j'oublie, c'est comme si je gardais les yeux fermés en marchant. Je ne fabrique plus aucune attente, ni aucun de ses produits dérivés : le manque, les frustrations, les désirs incomblés et tout cet inassouvi ravageur qui en découle. Je prends ce qui veut bien venir à moi et me reconnaître. Et sans jamais l'attendre je sais qu'elle existe la minuscule tribu de ceux qui finissent un jour par arriver, s'ils arrivent. L'âge offre ça, ce cadeau, quel cadeau, quelle paix, quel pied (de randonneur) ;  ça doit s'appeler finalement le détachement, ça doit s'appeler finalement la Liberté.
jacques dor
56 notes · View notes
coolvieilledentelle · 5 months
Text
Tumblr media
Lorsque nous cultivons un sentiment profond et bienveillant envers les autres, nous entrons automatiquement dans un état de sérénité. C’est la principale source de bonheur. ... que ce lundi soit plein de passion pour alimenter cette nouvelle semaine... Belle journée à Tous
28 notes · View notes
les-larmes-d-eros · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
- Woman Walking In A Forest, Childhood Memory #1
- Bound 03
Série Metamorphosis, par Elizabeth Heyert
Heyert emmène le spectateur dans un voyage fascinant dans les mondes transcendants de ses sujets qui, après avoir été hypnotisés dans son studio par un hypnothérapeute qualifié, sont ensuite photographiés nus, mettant en scène des souvenirs d’enfance ou se transformant émotionnellement en animaux, oiseaux ou autres créatures uniques de leur fantasmes subconscients.
Dans sa conversation avec la journaliste et historienne Lesley M. M. Blume, Heyert explique pourquoi il était important de photographier ses sujets sans vêtements. «J’avais l’impression que c’était déjà assez difficile de voir quelqu’un dans un état de transe sans se laisser distraire par les vêtements… Je voulais que ce soit primal, et jusqu’aux os. C’était beaucoup demander à quelqu’un, mais j’avais un nombre surprenant de sujets volontaires. Elle a choisi d’imprimer les photos utilisant la techniques du cyanotype, estimant que les bleus riches et profonds créeraient un environnement non spécifique mais évocateur.
Puis, en contrepoint époustouflant et extrême, Heyert a également photographié des personnes qui atteignent la transcendance en se laissant momifier et immobilisés. Contrairement aux sujets sous hypnose, qui sont nus dans tous les sens du terme, les corps enveloppés sont intentionnellement cachés afin que la personne à l’intérieur reste un mystère, ses profondes expériences intérieures étant laissées à l’imagination du spectateur. De spectaculaires photographies analogiques en noir et blanc, rendues dans le livre en trichrome, ainsi que des couleurs de photogravures rarement vues, invitent notre compréhension de l’humanité.
11 notes · View notes
aurevoirmonty · 1 month
Text
Tumblr media
"L'appel à l'aventure signifie que le destin a convoqué le héros et a transféré son centre de gravité spirituelle de l'intérieur de cette société vers une zone inconnue. Cette région fatidique de trésors et de dangers peut être représentée de diverses manières : comme une terre lointaine, une forêt, un royaume souterrain, sous les vagues ou au-dessus du ciel, une île secrète, le sommet d'une haute montagne ou un profond état de rêve ; mais c'est toujours un lieu d'êtres étrangement fluides et polymorphes, de tourments inimaginables, d'actes surhumains et de plaisirs impossibles."
Joseph Campbell, Le Héros aux Mille Visages
10 notes · View notes
perduedansmatete · 2 months
Text
dernièrement j’ai un peu délaissé ma machine à coudre (dernièrement sous-entendant de longs mois) ainsi que les projets que j’avais commencé donc tout à l’heure dans un état d’ennui profond et morbide je me dis bon je vais receintrer ce genre de corset qui est trop grand pour moi et bim ma machine ne fait que s’allumer et s’éteindre c’est insupportable, le fil se bourre et je m’en rends compte trop tard quand j’ai un énorme paquet de fil coincé dans mon corset puis une fois ce bordel réparé je finis tout bien comme il faut sauf qu’en le mettant pour voir ce que ça donne je me rends compte que le problème c’était pas tant qu’il était trop grand mais surtout que j’ai pas de seins et que j’aurais beau rétrécir encore le truc mes seins soutiendront jamais le bordel qui continuera de bâiller en me laissant l’impression d’être victime d’une vengeance divine pour cause d’abandon de machine à coudre
11 notes · View notes
lisaalmeida · 8 months
Text
L’intimité affective implique une certaine ouverture à l’autre un « échange des cœurs » grâce auquel sont partagé les états d’âmes, les sentiments les plus profonds, les fragilités émotionnelles. Ce dévoilement, cette mise à nu émotionnelle est possible à le condition d’avoir confiance en l’autre, d’être profondément convaincu de l’authenticité des sentiments de l’autre. Dans l’état amoureux, on retrouve une disponibilité quasi total à l’autre, ce qui est propice d’embrasser les émotions. Il faut se connaître soi, mais aussi connaître l’autre...
Tumblr media
Le fait d’avoir conscience de nos vulnérabilités émotionnelles ne nous permet pas de les voir disparaître, mais en tout cas, avec une conception plus approfondie de ces dernières implique qu’à chaque fois qu’elles font irruption dans notre vie, on est capable de les identifier et de les contrôler, les empêchant ainsi de noyer nos connexions émotionnelles...
Notre héritage émotionnel, ou la clé pour se connecter :
Notre héritage émotionnel exerce un fort impact sur notre capacité à nous connecter émotionnellement aux autres, et à savoir à quelle occasion le faire...
Il n’est pas facile de s’exposer à nos souvenirs et à ces sensations pouvant nous être désagréables, mais bien souvent, ce n’est pas bien utile non plus.
Cependant, pour de nombreuses raisons, il est préférable d’ôter ses vêtements et de se mettre à nu :
Si on veut avoir des relations plus significatives, il est important de prendre le temps de se tourner vers le passé et de soigner les blessures émotionnelles de notre enfance.
Le conduit qui transporte nos messages émotionnels doit être découvert afin que nos réactions ne prennent pas le dessus sur nous. Par exemple, lorsque l’on dit que «mon frère me met hors de moi», on a en fait la sensation qu’il sait exactement quoi faire pour nous énerver.
Connaître ces règles de réaction émotionnelle et les communiquer, cela nous permet de régénérer nos pensées et notre état de bien-être général.
Ainsi, quand on mène un travail de connaissance de soi, notre dialogue interne peut réussir à transformer un «Ces personnes représentent un danger pour moi» en un «La façon dont elles m’ont traité m’a fait du mal, mais dorénavant j’en suis conscient, et je fais tout pour que cela n’ait pas d’influence sur moi».
Quand on accède à notre héritage émotionnel et que l’on comprend de quelle façon les sentiments du passé teintent les expériences du présent, on peut alors être plus habile au moment de tisser des liens solides et sains avec ceux qui nous entourent.
Etre conscient des filtres émotionnels et des carapaces qu’on se construit contribue à faire de nous un habile lecteur et interprète, aussi bien des tentatives de connexion des autres que des nôtres.
Il n’est pas facile de mettre à nu une personne blessée...
Mettre émotionnellement à nu les personnes très marquées par leur passé peut se révéler difficile, puisqu’il faut lutter contre les carapaces, les vêtements qui les rendent inaccessibles, les désillusions qui enveloppent la personne, les peurs du rejet, de l’abandon, de la solitude…
Pour ce faire, il faut être intelligent, aimer la personne et ouvrir ses oreilles, ses yeux et sa peau en en bannissant les préjugés et le jugement. Autrement dit, ce qu’il nous faut, c’est une écoute active émotionnelle au travers de tous nos sens sans «mais» ni virgules.
On doit alors savoir qu’une mise à nu émotionnelle ne se crée pas dans n’importe quel type d’environnement, mais que les conditions idéales doivent être réunies pour générer des émotions, les ressentir, les manipuler, les examiner et les utiliser...
Les scénarios émotionnels idéaux pour la mise à nu sont ceux où prime l’écoute depuis l’intérieur, l’empathie et l’intelligence émotionnelle ; les scénarios où sont favorisées la communication et la compréhension basées sur le respect et la tolérance.
Il n’y a qu’ainsi que l’on peut réussir à créer une ambiance émotionnellement décontractée pouvant nous permettre de nous adonner à la relation intime, à la mise à nu des peurs, des manques d’assurance et de la vérité émotionnelle. Il n’y a qu’ainsi que l’on peut atteindre ces câlins qui rompent les peurs, qui nous font fermer les yeux et qui livrent à 200% notre corps et notre âme à l’autre...
Via "nos pensées"
27 notes · View notes
Text
Comment le monde du travail évoluera-t-il en 2024 ? Alors que des changements soudains, par exemple à la suite d'une pandémie ou d'une innovation technologique, captent notre attention, les changements profonds se produisent généralement en arrière-plan au fil du temps.
L'évolution démographique se poursuit en 2024 et devient de plus en plus l'un des principaux moteurs de la pénurie de main-d'œuvre. La répartition du travail entre l'homme et la machine est renégociée. Dans de nombreuses professions où le travail de connaissance est au premier plan, l'intelligence artificielle met de plus en plus les travailleurs en difficulté. Les bureaux comme lieu de rencontre, une bonne culture d'entreprise constitue la base de la satisfaction au travail et de la fidélisation des collaborateurs. Les approches de gestion intergénérationnelles deviennent un facteur de réussite. Les changements démographiques sur le marché du travail se traduisent également par des attentes et des projets de vie différents selon les groupes d'âge. Le "leadership générationnel" devient un facteur de réussite important et construit des ponts entre les différents groupes d'âge grâce à une politique du personnel flexible. Le changement devient une habitude, mais font continuellement avancer le développement du monde du travail. Cela implique également de corriger le tir si l'on s'est trompé de direction. Grâce à une culture ouverte de l'erreur, il est possible de tirer des enseignements de telles situations et de considérer de plus en plus le changement comme un état normal. En effet, les changements, qu'ils soient le fruit de notre propre initiative ou qu'ils soient imposés de l'extérieur, auront toujours lieu en 2024 et chaque année qui suivra. Les entreprises deviendront de plus en plus aptes à utiliser la force de ces changements à leur profit
11 notes · View notes
swedesinstockholm · 1 month
Text
23 février
j'ai entendu une humoriste sur france inter qui disait qu'elle se sentait tellement seule qu'elle allait se faire faire des manucures pour que quelqu'un la touche et les gens dans le studio ont poussé des exclamations de dégoût choqué, les gens ne sont clairement pas prêts pour mon livre. et puis ce matin, toujours sur france inter, j'ai entendu un écrivain que je connaissais pas qui parlait de son travail d'homme à tout faire et de sa situation d'ultra précarité et que parfois c'est dur mais bon c'est lui qui l'a choisi (avant il était photographe et il portait des costumes dior). il est publié chez gallimard mais il est quand même homme de ménage et archi pauvre, il peut pas chauffer plus d'une pièce de son appartement que j'imaginais tout pourri à la bordure d'un paris imaginaire avec de la tôle rouillée et des murs qui suintent. il faut que j'arrête de voir la publication comme une finalité. je veux de l'argent, tant pis pour la liberté, ça veut rien dire la liberté. il me faut un plan de carrière.
25 février
encore en train d'écouter le nouvel album d'mgmt, je crois que je commence à l'adorer. j'étais un peu partagée au début. j'ai regardé des interviews et ça m'a replongée en 2008 dans mes jours de groupie en chef d'andrew vanwyngarden. ils sont inextricablement liés à mon adolescence de bloggueuse insupportable mais touchante (quelqu'un m'avait dit ça un jour dans les commentaires et je trouve que c'est une bonne description). dans une interview on leur demande pourquoi ils sont pas sur les réseaux sociaux et andrew dit qu'à leur époque c'était pas cool de s'auto-promouvoir et que faire un selfie c'était le truc le plus embarrassant du monde et ça m'a fait réaliser que beaucoup de temps avait passé depuis... je sais pas, que je suis née? aussi j'ai toujours honte de faire un selfie en public.
andrew a 41 ans. il est verseau, comme r. et comme a. j'ai réécouté leurs deux premiers albums hier, après m'être promenée sur le campus du lycée pour me rouler dans la nostalgie. la nostalgie de quoi, je sais pas trop parce que j'étais aussi déprimée à 17 ans qu'aujourd'hui, le seul truc bien c'était la musique les concerts et ma double vie de bloggueuse populaire où les gens me disaient que je leur manquais quand je partais en vacances. la première fois que j'ai écouté mgmt c'était un dimanche matin sur youtube, c'était le printemps et j'avais 17 ans et j'étais assise au pc dans la pièce de l'ordi et il faisait probablement soleil. le soleil et le printemps sont des composantes importantes de ma relation à mgmt. leur musique me rend nostalgique de plein de choses que j'ai connues et pas connues. comme wildflower des avalanches. 
les choses pas connues: les époques avant les années 90; les états-unis. les choses connues: un truc doux et joyeux de l'enfance, une piscine chaude où il fait bon vivre; les sapins, la forêt de manière générale; le soleil (PLEDGE ALLEGIANCE TO THE SUN); le jardin de la maison quand j'étais petite, les fleurs de ma grand-mère, les habits que j'aimais quand j'étais petite (le tshirt avec les papillons, du rose barbie et du vert fluo, du jaune bordé de rouge, des pois, des fleurs); du bois (meubles).
6 mars
je me force à écrire. je suis en crise. j'ai envie d'exploser et d'imploser en même temps. j'ai envie de manger du sucre mais j'en ai pas envie, j'ai juste besoin de combler un vide, HA, à chaque fois je crois avoir trouvé un truc profond mais après je me rappelle que ça existe déjà et que c'est archi commun. j'essaie d'écrire un texte sur les mythes pour un appel à textes mais je me sens submergée par l'ampleur du thème et par les choses que j'ai à dire mais en même temps j'ai rien à dire. j'ai trop pris goût à avoir mes textes publiés dans des revues, c'est en train de devenir addictif, comme mon addiction aux annonces de location immobilières bruxelloises sur fb. je suis accro aux photos d'apparts dans lesquels me projeter et je suis accro à voir mon nom imprimé sur du papier.
mon texte sur a. tiré de bluettes que j'ai été assez naïve d'envoyer à deux revues différentes a été sélectionné par les deux revues et j'ai du choisir entre les deux et ça m'a stressée toute la journée lundi. j'en avais mal au ventre, comme à chaque fois que je dois faire un choix, ça a pris des proportions de vie ou de mort, j'avais peur de faire le mauvais choix et de le regretter toute ma vie. j'arrive pas à accepter l'idée selon laquelle y a pas de mauvais choix. dans ma vision des choses, y en a toujours un qui est forcément mieux que l'autre. j'arrive pas à voir les choses à égalité, tout est en compétition. alors j'ai demandé conseil à j. de paris, vu qu'elle a fait des meilleurs choix de vie que moi, je me suis dit que son intuition fonctionnait mieux que la mienne, et je l'ai suivie.
j'ai écrit aux deux revues en rentrant de la chorale et j'avais l'impression d'être dans the voice quand les candidats doivent choisir un coach et qu'ils s'excusent auprès des autres de pas les avoir choisis, sauf que ça aurait été mille fois plus facile de choisir un coach de the voice (mika). j'arrivais pas à croire que j'étais en train d'écrire un mail à une revue pour leur dire qu'elles pouvaient pas publier mon texte, j'avais l'impression de me tirer une balle dans le pied. en plus elles m'ont dit que ça leur faisait rien à elles que mon texte soit publié ailleurs. j'arrive pas à m'en remettre. l'autre revue m'a dit que c'était un beau luxe de pouvoir choisir mais entre la peur de faire le mauvais choix et la déception de pas être publiée dans mouche j'arrivais à peine à savourer le goût du succès.
7 notes · View notes
cellobis · 9 months
Text
Pq Gay?
Sur la question du genre, il est svt dit qu’il est déterminé à la naissance, qu’il s’affirme à la puberté. Les choses ne sont pas si simplistes. Dans son fameux rapport, Kinsey est clair, considérant qu’une grande part de la population même « normalement » hétérosexuelle est en fait sinon homo, au moins bisexuelle, et si pas dans son comportement, certainement dans ses fantasmes les plus profonds. Faut pas non plus oublier que l’emprise judéo-chrétienne a été castratrice concernant la sexualité au point de la diaboliser, ne lui donnant que deux solutions compatibles avec le sacro-saint salut : soit l’abstinence absolue (pour les célibataires cléricaux ou laïcs), soit le contrôle régulé par le mariage ne permettant à l’acte sexuel de n’avoir lieu rien que dans un but procréatif. Tout le reste ne pouvait qu’être voué aux gémonies, et à l'enfer éternel. Cette hypocrisie a permis pendant des siècles aux religieux de s’acoquiner avec la puissance des États pour contrôler tous les individus au sein des familles, ce afin de légiférer le monde. Attitude pernicieusement mensongère, car il ne faut pas être médecin pour savoir que les corps ont cet impérieux besoin d’exulter par le sexe, très régulièrement tout comme ils ont besoin de respirer, pour vivre et de faire pulser le sang par un cœur battant. L’abstinence n’est pas possible sur toute une vie et provoque toutes les déviances, abus et vices que les autorités ecclésiastiques ont caché sous cape pendant des siècles, enterrant des fœtus sous le sol des basiliques et des couvents, sacrifiant des foultitudes de nones et d’enfants de coeur. Pour s’évader des carcans sociétaux et familiaux, il y avait depuis que le monde existe des maisons des bordels, avec des filles et des garçons, des marins et des poètes, mais comme les Américains aux temps de la prohibition, nos sociétés ont prohibé ces échappatoires, notamment au prétexte du respect hypocrite de la condition féminine qu’il ne fallait plus ni exploiter. Il n’y aura donc plus de « P. respectueuse », J.P. Sartre n’est plus là pour le contredire. Alors le porno a pu s’épanouir sur les sites internet, ouvrant un marché juteux (sans jeu de mots) en enrichissant une maffia sans scrupule, en avilissant bien souvent les corps féminins devenus marchandise. La condition féminine y est avilie, soumise, infériorisée par des tas de mâles dominants qui la pénètrent par tous les orifices, la sodomisant pas que dans le cul , car en plus du sens propre, celui du figuré, l’aspergeant de façon systématiquement dégradante. C’est souvent  à vomir. De façon paradoxale, les sites lesbiens ou gay sont eux beaucoup plus esthétiques. Il y a là aussi des schémas dominants dominés, mais en cherchant un peu, beaucoup de séquences parmi les gays sont bien davantage érotiques que pornos, mettant en valeur de véritables éphèbes et dieux grecs, avec de surcroit beaucoup de respect égalitaire. C’est beau un 69 bien filmé de deux gays qui s’aiment passionnément. Leurs yeux sont égaux, toutes les parts de leurs corps sont égales, sexes, pieds, mains, bras, épaules, jusqu’à leurs âmes. Quand, sans autre possibilité de choix malgré nos hésitations adolescentes, on a été formaté hétéro au XXème siècle où il a fallu attendre 1982 pour être dépénalisé de ses propres penchants jusqu’alors considérés comme pervers alors qu’ils représentent entre 10 et 15 % de tout le monde vivant, et que l’on vienne à s’évader quelques soirs de solitude sur de tels sites, il arrive qu’on découvre de la beauté, de l’esthétique du réconfort, jusqu’à se rassurer sur ce que l’on est vraiment, en communiquant avec des complices. Et donc le dégueulasse n'est pas là où certains le croient. Et donc, il arrive que l’on vire sa cuti, malgré la révolue et vieille éducation des curés, des mères folcoches, des instituteurs armés de règles pour écraser les doigts des gauchers. Ainsi, on finit par se découvrir tel qu’on est, au propre et au figuré, redevenu pur comme notre peau quelle que soit sa couleur ou son odeur
merci de vous
Cell
21 notes · View notes
Text
« Il y a une idée totalement fausse sur les bourgeois ( démocrates, c'est la même chose ), celle d'une éternelle mollesse liés à leur horreur de l'idée du risque physique et intellectuel de leur appareil. En réalité, quand ils se sentent vraiment en danger ils passent à un état de férocité sans limites et se déchaînent dans les pires excès avec une bonne conscience absolue qui repose sur le sentiment profond qu'ils sont du coté de la raison et du coeur, ou du moins de la morale [...] »
Dominique Venner
6 notes · View notes
homomenhommes · 4 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 66
La vie a repris son rythme habituel. Les mercredis, j'emmène Jean à ses rendez vous. Ses " clients " sont très chauds. Avec les vacances, ils ont tous sauté leur tour !
Les samedis matins je reprend le chemin de la boite du père de Jean pour le coacher. Si je ne crache pas sur un deuxième salaire officiel, la partie sexuelle de notre contrat me laisse de plus en plus indifférent. Après le sport, je dois le sauter dans la salle d'eau de son bureau, le plus souvent en levrette ou plié sur le lavabo. Pas d'imprévus, de situations excitantes, je dois imaginer de quoi bander suffisamment pour pouvoir l'enculer. Lui se satisfait de cette situation, c'est le principal. Heureusement que de temps à autres je peux faire une halte plus intéressante au poste de garde ! le jeune garde est toujours aussi chaud et quand nous pouvons, j'arrive même à l'enculer derrière les vitres sans tain. Il adore, même si il reste un bi convaincu.
Avec Emma, j'ai attendu le jeudi matin pour lui téléphoner. Elle semblait heureuse que je la re contacte et me demanda si je passais la voir dans l'après midi. Je dis Ok.
Vers 16h je garais ma moto dans son jardin. J'ai eu juste le temps d'ôter mon casque et mes gants qu'elle écrasait sa bouche sur la mienne. Je la serrais dans mes bras et on s'est rouler un patin bien profond. J'en bandais grave dans mon cuir. Une mains partie vérifier son état d'excitation m'appris qu'elle ne portait pas de culotte sous sa robe. J'ouvrais alors ma combi jusqu'à pouvoir sortir ma bite et vite kpoté, debout, ses jambes autour de mes reins, plaquée contre le premier mur venu, je l'ai prise. Elle était bouillante, ma queue s'est retrouvée plongée dans son vagin brûlant. Sensation intéressante mais surtout très excitante. Elle m'aidait dans mes va et vient en prenant appuis sur mes épaules. Est ce le manque, le frottement avec le cuir de ma combi, la situation ou peut être moi, mais elle s'est mise à jouir rapidement, contractant son vagin. J'étouffais ses cris par un baiser, nous étions dehors et elle risquait d'être entendue de la rue ! Je restais en elle le temps quelle se calme puis nous avons émigré vers sa chambre. nos vêtements indiquant le chemin comme les cailloux du petit poucet. Je lui fis la remarque que j'avais l'impression de lui avoir manqué. Elle me donna un claque avant de m'embrasser de nouveau ! avec un peu de chance ça voulait dire oui. Comme j'avais pas joui et que je bandais toujours, à genoux devant moi, elle m'a taillé une pipe. Correcte même si la position ne me permettais pas d'enfoncer ma bite au plus profond de sa gorge. Je la couchais sur le lit et lui plaçais la tête hors du matelas pour pouvoir la pousser (la tête) vers le bas. A genoux je lui mis mon gland dans sa bouche puis tout le reste. La tête bien en arrière, j'ai pu m'enfiler dans sa gorge. J'adore sentir mon gland compressé par un larynx. En faisant attention à lui laisser assez d'air, les mains en appuis de chaque coté de ses hanches, en position de pompes, je lui ai limé la gorge. Quand le mouvement me faisait reculer et que mon gland se retrouvait dans sa bouche, elle aspirait et faisait tourner sa langue d'une façon telle que ça m'envoyait des décharges dans tout le corps. Je m'arrachais d'elle avant de juter dans sa bouche. A mon tour, j'utilisais ma bouche pour l'exciter. Couché sur elle, après un baiser appuyé, je suis descendu m'occuper de ses seins, aspirant, léchant et mordillant les tétons. Puis j'ai laissé courir ma langue par son nombril jusqu'aux lèvres du bas. Tenant ses jambes écartées, j'ai fait gonfler ses grandes lèvres puis je me suis attaqué à son clito. Ma façon de faire a du lui plaire car malgré mes bras en travers de ses cuisses, j'ai eu du mal à la maintenir au contact du matelas. Vite je me suis redressé et me suis de nouveau enfilé en elle. Pas besoin de précautions particulières vu comme elle mouillait. Nous nous sommes déchaînés. Elle répondait à mes assauts, accrochée à mes épaules, elle donnait des coups de reins pour m'enfoncer encore plus en elle. Comme je la prenais en levrette, elle profita d'un mouvement m'ayant fait sortir de sa chatte pour placer mon gland sur son anus et que je l'encule. Emporté par l ;"élan, je l'ai sodomisé brutalement. Elle a accusé le coup mais d'elle même a initié les va et vient. Je fouillais dans sa table de nuit pour y trouver le gode et lui en remplissais le vagin. Sous la double stimulations, elle ne fut pas longue à jouir, entraînant ma propre éjaculation par les nombreux spasmes qui ont agité ses muscles anaux et vaginaux. Il nous a bien fallut 1/2heure avant que l'on reviennent à la réalité. Je sautais sous la douche et vu l'heure ne m'attardais pas.
Ce n'est qu'arrivé à la maison que je trouvais l'enveloppe dans une des poches de ma combi. J'avais complètement oublier ce détail !
Le temps de sortir de ma combi et en shorty et Tshirt je rejoignais Marc au salon. Une petite pelle et il me poussait la tête vers son entrejambe. Je déboutonnais son jeans et ses 22cm m'ont sautés au visage, bien gonflés. Je les enfonçais aussitôt dans ma bouche. dans un premier temps je m'occupais du gland seul. Tournant ma langue autour de la couronne, agaçant le frein, râpant sa surface comme sur une glace. C'est Marc qui a cessé en appuyant fortement sur ma tête pour s'enfoncer jusqu'aux couilles. Son gland surexcité m'étouffait complètement. A la limite, il ressorti pour me laisser respirer puis recommença. Je sais qu'à chaque fois que je vois Emma, il est un peu plus brutal que d'habitude ! J'aime cette jalousie non déclarée ! De mon coté, j'aime quand il est directif et autoritaire. Je l'ai senti monter en régime et la tête maintenue, son pieu enfoncé, il s'est vidé les couilles directement dans mon estomac. Trop bon !! Je réussissais quand même à attraper les dernières giclées dans ma bouche, j'aime sons sperme sous ma langue. quand il est finalement sorti de ma bouche, j'avais nettoyé sa bite de toute trace suspecte. Par contre il bandait toujours. Il m'a poussé à genoux, le torse sur la table basse. Il a baissé mon shorty aux genoux et après avoir juste craché sur son gland me l'a enfiler entre les fesses puis dans le cul. Heureusement que j'avais mouillé d'excitation. Ses mains sur mes hanches, il m'a pénétré d'un seul mouvement. Pour gagner les derniers cm, il m'a écarté les fesses et j'ai pu sentir mon anus s'écarter sous la partie la plus grosse de sa bite. Il est resté sans bouger quelques instant puis m'a limé un bon moment, alternant petits coups rapides, grandes glissades, rotations... j'ai eu droit à une bonne démonstration de tout ce qui m'excite dans une sodomie. Alors que sans pouvoir me retenir, j'avais juté sur la table basse, il continua à m'enculer. Si la sensation juste après m'a semblé douloureuse, le plaisir est vite revenu et ses passages sur ma prostate m'ont fait vite rebander. Ses mains sur mes épaules il m'a donné de grand coups de bite annonciateurs de jouissance. Cette fois nous sommes venus ensemble lui dans mon cul et moi rajoutant une couche sur la table. Sans déculer, il se coucha sur moi et j'écrasais mon sperme sous mes abdos. J'ai serré les fesses quand il est sorti de moi et nous sommes allé nous doucher au sous sol. J'aime aussi c'est moments d'après l'amour. Là je ressens dans ses bras toute la tendresse qu'il a pour moi. Sous les jets d'eau, il me serre fort dans ses bras avant de me savonner et me laver tout en me massant. Je fais de même. Ces douches là nous prennent environ trois bons quart d'heure.
Nous remontons dîner avec juste une serviette sur les reins. Contrairement à certains autres soirs, nous passons notre temps collé l'un à l'autre.
Je l'aime comme ça mon jaloux qui ne veut pas se l'avouer !!
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
7 notes · View notes
claudehenrion · 1 month
Text
Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?
En parcourant la Presse –c'est-à-dire avec des pincettes, pour tenter d'approcher une vérité que ''le système'' (quoi que l'on mette derrière ce mot) se donne un mal de chien pour triturer et rhabiller ''comme le veut la doxa''--, on est frappé par une chose : par un effet ''boule-de-neige'', les choses qui fonctionnent vraiment mal entraînent dans le sillage de leur échec des pans entiers qui pourraient aller bien... sans les efforts que font nos ''meneurs'' pour tout déglinguer... (le cas-type, ce sont c'est les efforts absurdes dépensés pour mettre la France en iso-état de guerre de facto avec la Russie.).
La désaffection générale, qui touche toutes les classes sociales, tous les secteurs de l'activité, tous les âges, n'est une bonne nouvelle pour personne. L'impuissance profonde de l'Etat régalien, la désintégration des corps intermédiaires, l'épuisement des institutions, la décrédibilisation des élus, l'épuisement des institutions et l'aberration qui confond ''transparence à tout prix'' et ''démocratie au rabais'', dégoûte tous les citoyens de s'intéresser à la ''Res Publica'', ce qui explique sans doute pourquoi, au moment où se préparent des ''élections européennes'', on voit les partis hostiles à ce qu'est devenue l'Europe caracoler loin devant les tenants de la ''doxa'' –dont personne ne semble vouloir. Et au lieu de chercher à oblitérer les angoisses de nos concitoyens, les partis au pouvoir ne savent qu'insulter tous ceux qui ne partagent pas leur fantasme-repoussoir : sentant se lever (enfin) le vent libérateur de sa défaite, attendue par tant de braves citoyens, le ''système'' ne sait que se répandre en haine primaire contre tout ce qui n'est pas lui.
En fait –et à ce jour-- une campagne européenne digne de ce nom, devrait séparer la politique politicienne, ''macrono-court-termiste'' et ''européo-von der machinée'', des vrais problèmes, qu'ils soient immédiats ou à plus long terme. Conseils aux candidats : interdisez-vous de ne parler que de faux problèmes... et évitez la dialectique puérile qui semble être devenu le seul ''savoir faire'' de la majorité actuelle. (NB : je propose le néologisme ''savoir-ne-pas-faire'', pour désigner... la seule chose que savent faire les nuls en place : rien !).
A ce jour, les deux seuls sujets autorisés sont le droit des femmes et l'Ukraine, mais qui ont perdu en chemin le vrai sens de chacun des mots employés, pour ne plus signifier, contre toute raison  : ''des divagations tous azimuts autour d'un sancti-sacralisé ''Droit des Femmes'' privé de tout sens raisonnable et rationnel''... pour l'un, et, pour l'autre : ''des considérations de comptoir autour du désir –jamais démontré et pour cause, mais rabâché ''H24'', pour faire peur aux foules-- de Poutine d'envahir le monde entier... alors qu'il n'arrive déjà pas à arraisonner l'Ukraine''
(NDLR : On en profite pour rappeler que cette ''crise'', bien au delà des chiffres officiels de l'aide française, grossièrement sous-estimée à 7 ou 8 milliards d'Euros, vole à nos contribuables pressurés, à nos paysans contraints au suicide, à nos industries, à nos ménages, à nos finances, à notre inflation, à nos fins de mois et à notre dette --''excusez du peu'' !-- un fardeau qui dépasse déjà les 20 milliards, soit 1 point de PIB. C'est gigantesque ! On n'aura pas besoin que Macron arrive à nous foutre réellement en guerre contre son fantasme puéril –ce qu'il appelle ''Poutine''-- pour que notre pays entérine son état d'exsanguination. On aura l'air encore plus malin que maintenant, et ce n'est pas peu dire !).
''On'' nous répète sans arrêt qu'une des définitions du ''Populisme'', c'est d'évacuer toute nuance, de surjouer l'affrontement ou la menace d'affrontement, de caricaturer l'adversaire qui doit être présenté comme un ''diable'', ou un fou, un gâteux, un grand malade ou un aliéné, et d'inventer des adversaires imaginaires...Eh ! Bien, il serait temps de se demander sérieusement qui ''rentre'' le mieux dans cette définition : est-ce vraiment Trump, Poutine, Orban, ou Javier Milei –après Bolsonaro, juste à côté), qui sont présentés, quoi qu'ils fassent, comme des réincarnations de Belzébuth ou de Méphisto... ou ne serait-ce pas plutôt les quelques grands malades qui mènent à sa ruine un Occident de plus en plus abandonné par tous les autres pays du monde, l'un après l'autre ? Ça fait un drôle d'effet de nous retrouver, nous, dans la posture ridicule de Khomeini qui accusait les USA d'être ''le grand satan'' dans les années '80 ! (Pour Macron et von der Truc, c'est Poutine qui est l'incarnation du Vilain).
(NDLR - 2 : Curieusement, on peut noter au passage que ''conservateur'', cette si enrichissante qualité, correspond au mal absolu, dans le jargon ésotérique de la ''Gôche''... cela seul justifiant qu'on la rejette ! Car le vieux ''catho'' qui sommeille en moi (et qui se réveille, parfois !) ne peut pas s'empêcher de citer Saint Jean : ''La lumière est venue dans le monde et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises et que celui qui fait le mal refuse la lumière, de peur que ses œuvres ne soient vues pour ce qu'elles sont'' (Jn2, 13-25). Une bien belle idée, rendue éternelle en peu de mots ! ).
Pour être complets sur ce sujet, il faut dire que deux sujets connexes (con-nexes serait meilleur, puisque le suffixe ''nexe'' veut dire ''qui ressemble à''... ) vont sans doute être autorisés dans cette campagne de désinformation ''à propos de l'Europe (?)'' : (1)- La vision –totalement dépassée, mais prédominante chez… ceux qui la partagent-- d'une Europe-déïté, que l'on peut adorer, mais pas critiquer... et (2)- La marotte périmée (et sortie des préoccupations de la science) des menaces sur le climat qui auraient la préséance sur tout autre sujet (souvenez-vous de l'avalanche des ''La maison brûle'', il y a trois ans, à propos du CO² !).
Depuis... je n'ai pas remarqué que l'incendie en question ait changé quoi que ce soit, sur qui que ce soit, où que ce soit : on parle d'autre chose ! De toutes les idéologies destinées à ''foutre la panique'', il ne reste que leur néfaste, coûteuse et inutile ''transition climatique'' dont l'économiste David Thesmar, Professeur au prestigieux MIT, écrivait hier (le Figaro) : ''La Cour des Comptes estime que le coût supplémentaire de leur ''transition écologique'' représente un surcoût équivalent à 5 % du PIB, et est en croissance''. Que de problèmes sérieux, vrais et graves, ne seront jamais résolus, par la faute de cette ponction insane !
Je ne crois pas inutile de préciser que les faits et les chiffres rappelés dans les paragraphes qui précèdent ne sont pas sortis de mon cerveau indigent (que je verrais très bien affublé, par la ''nullo-cratie'' au pouvoir, des insultes habituelles de nos ministres, y/c le premier, pour camoufler leurs échecs dans à peu près tous les domaines : ''Ah ! Non, M'sieu l'Agent ! C'est lui qui me provoque : il fait rien que de dire ce que je veux pas qu'il dise !''. Je leur propose de m'accuser d'être, en vrac... de droite, extrémiste, conservateur, complotiste, ''tradi'', et islamophobe, raciste, ''me too'', xénophobe, voire féminicide... et que sais-je encore ! Que d'honneur ils me feraient : il n'est plus grande gourmandise que de se faire insulter ''à contre-rôle'' par quelqu'un que l'on méprise !
Mais revenons à notre sujet : franchement, vous avez envie, vous, de vivre, de voter, de ''vous crever la paillasse''... dans le pays qu'ils ont salopé en détruisant tout ce qui valait la peine d'être français, et en remplaçant tout ce qui faisait qu'il faisait bon y habiter par des dystopies dont aucun esprit sain ou simplement normal ne voudrait envisager jusqu'à l'existence ? Le titre de cet éditorial est : ''Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?''. Et... la réponse est : ''C'est, en grande partie, parce que... EUX !''.
H-Cl.
4 notes · View notes
maaarine · 2 months
Text
Tumblr media
Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
4 notes · View notes